Lepetitfils : Le fichu pouvoir d’Alassane Ouattara unilatéraliste et absolutiste, devenu piteusement incorrigible autour de la chose publique, dans l’ordre public et autour des conditions d’une élection réellement démocratique, appelle à un match avec les citoyens, qui doit se jouer dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des citoyens libres.
*- Une Chronique de Lepetitfils D-C (en exile).
Eh bien voilà ! La politique obscurantiste orchestrée par le pouvoir d’Alassane Ouattara, au tour de l’organisation des élections de 2020, et l’amateurisme politico-démocratique et électoral d’une voyoucratie politicarde de vouloir « géré, calé et bouclé » tous. Assis sur la manipulation politicienne avec essence le mercantilisme politico-électoral, inscrit dans une logique électorale de passage en force du, « déjà géré, calé et bouclé ». Pour la confiscation du pouvoir d’état, veulent-nous astreindre à un déni de démocratie, au terme de l’élection présidentielle de 2020. Oui, Le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara persiste dans sa logique périlleuse à la tête de la côte d’ivoire. Malgré la crise sempiternelle depuis 2002-2011 et le début manifeste d’une crise de désocialisation de
Malgré la lourde honte de l’intelligentsia, que cette situation sociopolitique abracadabrantesque à suscité, pas seulement en Côte d’Ivoire, mais partout dans le monde civilisé. Malgré la rage dénonciatrices des intellectuels honnêtes et la sécession mentale totale consommée des élites du chenil d’Houphouët Boigny, et toutes les élites indépendantes ou réfractaires circonstancielles, y compris les couillons de 2002, faiseurs de couillonnade. Malgré la fureur maitrisée de l’opposition significative et la société civile en appoint. Malgré l’inquiétude exprimée des plus grands religieux du pays et de la plupart des patrons et décideurs économiques, horrifiées par tant de crises sociopolitiques cycliques. Malgré un effondrement de toute crédibilité dans la gestion de la crise depuis 2O11, au niveau africain et même planétaire des dirigeants unilatéralistes et absolutistes de ce pays. Malgré une criminelle politique économique et financière dirigiste, soutenue par un surendettement éhonté en outrance, de sorte que chaque enfant qui nait aujourd’hui en janvier 2020, nait avec déjà ses enfants et ses petits-enfants endenté bien avant leurs naissances par Alassane Ouattara. Et vivront une vie d’enfer chaudronnier de récessions économiques avec des vieux ponts et des vieilles routes sur le bras. « Une génération chaudronnière ». Eh oui, malgré une telle catastrophe sociopolitique entretenue sciemment et un tel fiasco politico-démocratique total, depuis dix « 10 » ans de gestion amateur et approximative de la société ivoirienne, des affaires publiques et dans la conduite de l’état par un pouvoir mafieux. Ce pouvoir persiste dans sa logique périlleuse à la tête de la côte d’ivoire : Ne pas résoudre les crises, mais les aggraver sciemment, à dessein de confiscation du pouvoir d’état en 2020. Oui, il veut récidiver les passages en force électoraux de 2010, 2015, 2016 et des dernières locales extrêmement querellées.
Plaçant ainsi le peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’Etat, devant ses droits inaliénables bafoués. Le peuple doit pouvoir exigé, les conditions indispensables d’une parfaite élection démocratique et pluralistes, que le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara doit restituer au peuple ivoirien, l’absolu souverain en droit. Ceci permettra à tous les citoyens de remplir les conditions d’aller aux urnes de 2020, pour participer à la vie publique, politico-démocratique de leurs pays, qui est un droit civil et politique inaliénable de tout citoyen, universellement reconnu comme tel. Mais que Non ! Ici la règle édictée par le pouvoir Ouattara, est de ne rien céder, ses piranhas et ses sangsues doivent contrôler la commission électorale, pour servir le pouvoir d’Alassane Ouattara, pour qu’il dirige la côte d’ivoire comme un monarque du golf arabique. Oui, l’intention du pouvoir de, Ouattara est trop claire, et trop manifeste, une monarchie républicaine en ébauche. Il s’est inscrit sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, ici-là qu’est-ce qu’il veut prouver aux yeux du monde ou montrer au peuple souverain ivoirien, devant l’exigence de droit universelle, du retour à la situation sociopolitique antérieure au 24 décembre 1999 ? Comment prétendre respecter le sens des règles démocratiques, les principes de droits, la culture de justice et soutenir sans gêne un non-droit électoral manifeste ? Bon ! En politique, un système mafieux peut chercher à brouiller les pistes, à entretenir l’amalgame et à semer la confusion dans les esprits, mais il ne peut pas convertir le faux en vrai, l’illusion en réalité, le vice en vertu, au point de justifier que la souveraineté populaire du peuple et la légitimité citoyenne populaire, peuvent être supplantée par la volonté électorale exclusive d’un pouvoir.
Oui, dans une société humaine organisée, régis par des normes juridiques internationales de régulations sociales, il est des agissements comme ceux ci-dessus suscité, qui dénotent, non seulement le ridicule politique, mais la bassesse d’ambitions perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation entière. Oui, aujourd’hui, il y a plus a pensé pour la côte d’ivoire, que des agissements carriéristes protecteurs des intérêts électoraux mafieux et égocentriques. Il y a plus à résoudre que des bassesses politico-judiciaires, protectrices des intérêts mercantiliste mafieux et égocentriques, qui sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la totalité sociale. Oui, le temps de fin du règne de l’arbitraire a fait son entrée en scène dans la sphère politique internationale. Les incorrigibles fauteurs de troubles électoraux doivent faire attention à des manœuvres sournoises, qui leur porteront préjudice à vie. La trahison ne s’efface pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile. Donc si, le défi a un sens, il importe de défier le camp de l’injustice, de l’arbitraire, au lieu de le laisser s’en prendre aux valeurs qui fondent l’organisation de la totalité société, de la vie démocratique et pour le vivre en commun politico-démocratique. L’orchestration d’actions de sabotage de la démocratie, n'est pas un jeu digne de ceux qui gèrent et aspirent continuer à gérer les biens publics, propriété exclusive du peuple souverain. Il est des moments de la vie, à défaut de la lucidité dans l’action sociopolitique, la retenue issue de la sagesse, et la discrétion au tour des ambitions carriéristes perverses, peuvent s’avérer plus efficaces. Car, on ne joue pas avec le sens de l’honneur et le sens de la dignité. Ici, rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir, surtout en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions. Il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement sociétal porteur de honte, de haine et de régression pour tout un peuple.
Le peuple doit veiller, à ce que sa soif de liberté, de justice et d’égalité, ne s’accommoder pas avec l’usurpation de fait de la légitimité populaire, de la revendication de la souveraineté populaire, par les acteurs de la confiscation du pouvoir d ‘état depuis Avril 2011. Parce que, le peuple a l’obligation de comprendre que, la seule voie possible pour sortir de l’impasse, d’une crise sociopolitique sempiternelle, sciemment entretenue par un pouvoir d’état au aboie, est d’accepter, est d’adhérer au principe de la démocratie universelle. Ce, à quoi le peuple souverain doit aspirer, et il revient à l’élite d’accompagner et d’encadrer cette aspiration légitimes du peuple à vivre dans une société réellement démocratique. Et non dans une société où la rivalité politique s’organise autour des enjeux de l’usurpation de la souveraineté populaire par la force et par la violence, et partant la confiscation du pouvoir d’état, la propriété exclusive du peuple souverain. Donc la chose est claire, ou bien tous ensemble, le peuple fait le choix de l’organisation sociopolitique civilisatrice de valeur universelle, ou bien il demeurera dans la barbarie politicarde d’un pouvoir déviant, non-maitrisé, divaguant dans les fibres sociétales très sensibles, dans les droits inaliénables et dans les libertés individuelles. Oui, soit le peuple ivoirien serait collectivement capable de se mobiliser tous ensemble, en transcendant les intérêts personnels pour faire pièce tous ensemble pour le meilleur, d’une dynamique au profit de sa propre façonnage ou soit pour le pire, le peuple ivoirien serait lui-même façonné par cette dynamique démoniaque devenue sourde, aveugle, folle et sûr de son emprise sur la société ivoirienne.
Il n’y a pas d’alternative ou d’entre-deux. Les élections propres, réellement démocratiques, organisées dans des conditions universelles, sont indispensables à la vraie démocratie, à la stabilité politique, à l’état de droit réel, et à la paix sociale. Et quand elles sont malhonnêtement obstruées, par un pouvoir usurpateur de la souveraineté populaire du peuple, dans un unilatéralisme et un absolutisme aveugle, c’est le non droit qui s’installe et c’est l’arbitraire qui sévit. Notre pays, la Côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, qui veut évoluer parmi les nations civilisées, ne peut pas être partisan d’un pouvoir arbitraire et condescendant. Qui est, un Phénomène révélateur de la mentalité politicarde retardataire et de la culture sociopolitique démodée. Oui, la confiscation de force du pouvoir d’état, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitique, de l’instabilité politique, du chaos social, et non de l’option exigeante pour la civilisation moderne digne du 21e siècle. Où ici, la démocratie réelle est le fondement de l’état de droit et de la République, où la raison est le vecteur de l’action sociopolitique.
C’est le lieu pour nous de souligner ici que, la démocratie universelle ou réelle suppose donc que les citoyens se désistent de leur pouvoir, et décident de remettre ce pouvoir entre les mains d’un homme politique, se faisant ainsi ils le remettent entre les mains de la totalité sociale souveraine, qu’est le peuple et de toute la communauté de la totalité sociale souveraine contractuelle. Et c’est grâce à cet abandon, que chaque citoyen à le droit d’exigé des comptes à ses élus et reçoit en retour la protection légale de sa personne, de ses droits, de ses libertés, et de ses biens. Ici aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre : le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. C’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un conseiller général ou un conseiller d’état, chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes attributs de droits que tous les autres. Ainsi les élus se sentent redevables aux citoyens électeurs. Dans le respect scrupuleux des normes juridiques universelles de régulations sociales.
Donc, l’élection démocratie réelle doit échapper à toute programmation systémique « des genres d’élections ivoiriennes, géré, calé et bouclé d’Avance », qui désigne un futur élu. Oui, être élu doit, s’acquérir dans les urnes des élections démocratiques sans truquage, et sans imposition d’un résultat truqué, avec les armes « fusils ». Oui, dans un état républicain de droit et dans une démocratie réelle, un pouvoir politique d’état est légitime, non pas parce qu’il dispose de la force publique, ou des personnes armées faiseur de roi, dans le feu et dans le sang, il est démocratiquement légitime et juridiquement légal, quand il est l’expression avérée de la souveraineté populaire du peuple, à travers les élections réellement démocratiques. Donc les pouvoirs quels qu’ils soient, ne sont pas imposées par la force, ou ne sont pas la résultante de la force. Ils résultent de droit d’une convention électorale « qui assure sa légitimité » passée entre les citoyens et des hommes politiques, dont le fondement juridique est la souveraineté du peuple. Ce peuple qui délègue son pouvoir par élection libre, juste et transparente, sans fraude.
Dans ce système de démocratie réelle ou le pouvoir appartient exclusivement au peuple souverain, et non se trouvé au bout du fusil des guérilleros, pistoleros, fantassins avec « Marfa » et autres : Ici, un homme public, est celui qui est porte-parole du peuple, qui se doit de transporter une voix qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Même Chose pour un homme politique quel qu’il soit, est par définition un « homme mandaté ou soutenu » par le peuple et chargé de parler ou de gouverner au nom de la volonté générale, avec le devoir égal pour tous. Et cela dans le respect de la volonté générale, sans manipulation et sans fabriques électoralistes aucunes, pour positionné ses piranhas et ses sangsues au bout des veines nourricières de la société commune, ou pour diriger comme un monarque du golf arabique. Voici ci-dessus, l’idéal démocratique décrit de façon litote, sauf pour des usurpateurs aveuglés par les deniers publics et devenus des acteurs de non-droit, parce que grisés, qu’ils sont, par l’émotion de leur ego et la pulsion démesurée de leur instinct du carriérisme politique sans projets, ni perspectifs d’avenir.
Donc des aventuriers politicards, qui ne peuvent conduire un pays, que vers l’impasse sociopolitique, générateur de chaos sociopolitiques sempiternels. Dès lors, le peuple souverain acquiert le droit inaliénable, de s’organiser tous ensemble, contre la politique du désespoir. Donc sa décision doit être de conjuguer le devoir de résistance pacifique et l’appel à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation, pour sauver sa volonté souveraine de vivre un destin socio-politico-économique commun et meilleur, dans l’anticipation des perspectives sociétales, mieux diagnostiquées, que celui que veut l’imposer, ce carriérisme politique, sans projets, ni perspectifs d’avenir. Oui, la résistance pacifique dans l’obéissance aux règles du droit universel, constituent le substrat d’une société moderne, civilisée, paisible, libre et démocratique, où les citoyens pourront s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux en droit. Seule la démocratie réelle participative, inclusive, sans obstruction aucune, libère un peuple des maux sociétaux et des tares de gestions publiques qui rongent la totalité sociale souveraine. Et inhibent toute perspective d’avenir meilleur, de construction d’une communauté nationale sereine réconciliée avec elle-même.
Le peuple souverain doit donc veiller de droit, à ce que son espoir d’une société cohérente et solidaire ne soit pas étouffé par des politiques politiciennes, des politicards carriéristes et arrivistes renégats, sans projets. Dont les actions de non-sens, sont à la hauteur des motivations strictement égoïstes, égocentriques et personnelles, qui espèrent mettre en mouvement leurs aspirations profondes de la confiscation du pouvoir d’état. Et surtout qui ne désespère pas d’accaparer la souveraineté populaire et partant le destin de la nation, pour le plier à ses seules exigences claniques, égoïstes et égocentriques. Qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable au processus démocratique. Telle doit être l’aspiration commune à un peuple qui a tant souffert de la barbarie unilatéraliste, absolutiste et ethno-tribaliste, mise au service d’une politique de confiscation du pouvoir d’état au terme des élections toujours querellées, avec son honteux cortège de citoyens zigouillés.
Hélas revoilà encore pour 2020 : Une commission électorale inféodée et dépendant du pouvoir exécutif, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Une poursuite judiciaire effrénée pour intimidation et pour dissuasion contre des pesants acteurs politiques des élections à venir à 9 mois de celles-ci, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Des Condamnations arbitraires a 20 ans de prisons des hommes politiques qui, de par leurs poids électoral peuvent changés les résultats des élections, surtout des hommes politiques acquittés pour les mêmes faits par une autre juridiction dite internationale, donc supérieure en droit et choisi par le même pouvoir, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Pièces d’identités nationales indispensables à la participation aux élections, mais non-accessibles pour tous les citoyens, c’est du TRUCAGE ÉLECTORALE. Refus de la réconciliation pour maintenir des acteurs politiques en exil, loin du théâtre des élections à venir, c’est du HYPER-TRUCAGE ÉLECTORAL. Projet de Modification constitutionnelle pour changer la donne juridique et les règles des élections, a quelques mois de celles-ci, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Si parrainage des candidatures ou votes électroniques avérés incontrôlables, seraient du TRUCAGE ÉLECTORAL. Il est à noter que la constitution d’Alassane Ouattara de 2016, n’a régis aucune élection majeure, qui aurait révélé ses tares, ses imperfections et ses incohérences pour nécessité sa modification a 4 ans d’existence, donc ici sa construction sur des travers politiques qui servent Alassane Ouattara est manifeste. Monarchie semble en péril ?
BON ! LE POUVOIR D’ALASSANE OUATTARA DOIT FOUTRE LA PAIX AUX CITOYENS. LE POUVOIR D’ALASSANE OUATTARA DOIT COLLER LA PAIX AU PEUPLE IVOIRIEN. IL CONVIENT ICI, DE CHASSER LE POUVOIR D’ALASSANE OUATTARA. Oui, Toute candidature dans la logique de continuité du pouvoir d’Alassane Ouattara pour 2020, serait une fichue candidature politicarde et renégate, une fichue candidature arriviste et iconoclaste, une fichue candidature carriériste et nihiliste, une fichue candidature Alpiniste et Bouffe-tout, une fichue candidature alimentaire traitre à Houphouët Boigny, qui ne mériterait pas l’Akwaba des ivoirien. Oui! Le fichu pouvoir d’Alassane Ouattara unilatéraliste et absolutiste, devenu piteusement incorrigible autour de la chose publique, dans l’ordre public et autour des conditions d’une élection réellement démocratique, appelle à un match avec les citoyens, qui doit se jouer dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des citoyens libres. Parce que, dans les sociétés modernes et civilisées, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Afin de transporter leurs voix, leurs volontés, et leurs aspirations profondes, du Bas de la société commune vers le Haut de la société commune. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
Une Chronique de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).