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15 janvier 2020 3 15 /01 /janvier /2020 18:03
Lepetitfils : Le fichu pouvoir d’Alassane Ouattara unilatéraliste et absolutiste, devenu piteusement incorrigible autour de la chose publique, dans l’ordre public et autour des conditions d’une élection réellement démocratique, appelle à un match avec les citoyens, qui doit se jouer dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des citoyens libres.

Lepetitfils : Le fichu pouvoir d’Alassane Ouattara unilatéraliste et absolutiste, devenu piteusement incorrigible autour de la chose publique, dans l’ordre public et autour des conditions d’une élection réellement démocratique, appelle à un match avec les citoyens, qui doit se jouer dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des citoyens libres.

*- Une Chronique de Lepetitfils D-C (en exile).

Eh bien voilà ! La politique obscurantiste orchestrée par le pouvoir d’Alassane Ouattara, au tour de l’organisation des élections de 2020, et l’amateurisme politico-démocratique et électoral d’une voyoucratie politicarde de vouloir « géré, calé et bouclé » tous. Assis sur la manipulation politicienne avec essence le mercantilisme politico-électoral, inscrit dans une logique électorale de passage en force du, « déjà géré, calé et bouclé ». Pour la confiscation du pouvoir d’état, veulent-nous astreindre à un déni de démocratie, au terme de l’élection présidentielle de 2020. Oui, Le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara persiste dans sa logique périlleuse à la tête de la côte d’ivoire. Malgré la crise sempiternelle depuis 2002-2011 et le début manifeste d’une crise de désocialisation de la Côte d’Ivoire. Qui peut conduire à l’état paria, fait de dénaturation des substrats sociétaux, de formatage mental des citoyens, de l’Euthanasisme politique des partis, de la dépravation des mœurs sociopolitiques. Malgré une politique mafieuse clanique et partisane qui a dévalorisé la représentation nationale à tous les niveaux. Malgré, une pratique avouée de dévalorisation du mérite dans le travail au profit d’une sélection incompétente des siens. Malgré, l’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire à l’étranger. Malgré le cynisme politique, le mensonge d’état, le mépris pour les autres, l’amoralité dans l’action de conduite des affaires publiques de l’état, et la corruption élevée à un niveau jamais atteint. Malgré les entorses répétées aux principes démocratiques et électoraux depuis 2011. Oui, malgré l’effarement du peuple souverain, et la consternation des citoyens dessus face aux passages en forces électoraux répétés « 20011-2015-2016 et suivants.

Malgré la lourde honte de l’intelligentsia, que cette situation sociopolitique abracadabrantesque à suscité, pas seulement en Côte d’Ivoire, mais partout dans le monde civilisé. Malgré la rage dénonciatrices des intellectuels honnêtes et la sécession mentale totale consommée des élites du chenil d’Houphouët Boigny, et toutes les élites indépendantes ou réfractaires circonstancielles, y compris les couillons de 2002, faiseurs de couillonnade. Malgré la fureur maitrisée de l’opposition significative et la société civile en appoint. Malgré l’inquiétude exprimée des plus grands religieux du pays et de la plupart des patrons et décideurs économiques, horrifiées par tant de crises sociopolitiques cycliques. Malgré un effondrement de toute crédibilité dans la gestion de la crise depuis 2O11, au niveau africain et même planétaire des dirigeants unilatéralistes et absolutistes de ce pays. Malgré une criminelle politique économique et financière dirigiste, soutenue par un surendettement éhonté en outrance, de sorte que chaque enfant qui nait aujourd’hui en janvier 2020, nait avec déjà ses enfants et ses petits-enfants endenté bien avant leurs naissances par Alassane Ouattara. Et vivront une vie d’enfer chaudronnier de récessions économiques avec des vieux ponts et des vieilles routes sur le bras. « Une génération chaudronnière ». Eh oui, malgré une telle catastrophe sociopolitique entretenue sciemment et un tel fiasco politico-démocratique total, depuis dix « 10 » ans de gestion amateur et approximative de la société ivoirienne, des affaires publiques et dans la conduite de l’état par un pouvoir mafieux. Ce pouvoir persiste dans sa logique périlleuse à la tête de la côte d’ivoire : Ne pas résoudre les crises, mais les aggraver sciemment, à dessein de confiscation du pouvoir d’état en 2020. Oui, il veut récidiver les passages en force électoraux de 2010, 2015, 2016 et des dernières locales extrêmement querellées.

Plaçant ainsi le peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’Etat, devant ses droits inaliénables bafoués. Le peuple doit pouvoir exigé, les conditions indispensables d’une parfaite élection démocratique et pluralistes, que le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara doit restituer au peuple ivoirien, l’absolu souverain en droit. Ceci permettra à tous les citoyens de remplir les conditions d’aller aux urnes de 2020, pour participer à la vie publique, politico-démocratique de leurs pays, qui est un droit civil et politique inaliénable de tout citoyen, universellement reconnu comme tel. Mais que Non ! Ici la règle édictée par le pouvoir Ouattara, est de ne rien céder, ses piranhas et ses sangsues doivent contrôler la commission électorale, pour servir le pouvoir d’Alassane Ouattara, pour qu’il dirige la côte d’ivoire comme un monarque du golf arabique. Oui, l’intention du pouvoir de, Ouattara est trop claire, et trop manifeste, une monarchie républicaine en ébauche. Il s’est inscrit sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, ici-là qu’est-ce qu’il veut prouver aux yeux du monde ou montrer au peuple souverain ivoirien, devant l’exigence de droit universelle, du retour à la situation sociopolitique antérieure au 24 décembre 1999 ? Comment prétendre respecter le sens des règles démocratiques, les principes de droits, la culture de justice et soutenir sans gêne un non-droit électoral manifeste ? Bon ! En politique, un système mafieux peut chercher à brouiller les pistes, à entretenir l’amalgame et à semer la confusion dans les esprits, mais il ne peut pas convertir le faux en vrai, l’illusion en réalité, le vice en vertu, au point de justifier que la souveraineté populaire du peuple et la légitimité citoyenne populaire, peuvent être supplantée par la volonté  électorale exclusive d’un pouvoir.

Oui, dans une société humaine organisée, régis par des normes juridiques internationales de régulations sociales, il est des agissements comme ceux ci-dessus suscité, qui dénotent, non seulement le ridicule politique, mais la bassesse d’ambitions perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation entière. Oui, aujourd’hui, il y a plus a pensé pour la côte d’ivoire, que des agissements carriéristes protecteurs des intérêts électoraux mafieux et égocentriques. Il y a plus à résoudre que des bassesses politico-judiciaires, protectrices des intérêts mercantiliste mafieux et égocentriques, qui sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la totalité sociale. Oui, le temps de fin du règne de l’arbitraire a fait son entrée en scène dans la sphère politique internationale. Les incorrigibles fauteurs de troubles électoraux doivent faire attention à des manœuvres sournoises, qui leur porteront préjudice à vie. La trahison ne s’efface pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile. Donc si, le défi a un sens, il importe de défier le camp de l’injustice, de l’arbitraire, au lieu de le laisser s’en prendre aux valeurs qui fondent l’organisation de la totalité société, de la vie démocratique et pour le vivre en commun politico-démocratique. L’orchestration d’actions de sabotage de la démocratie, n'est pas un jeu digne de ceux qui gèrent et aspirent continuer à gérer les biens publics, propriété exclusive du peuple souverain. Il est des moments de la vie, à défaut de la lucidité dans l’action sociopolitique, la retenue issue de la sagesse, et la discrétion au tour des ambitions carriéristes perverses, peuvent s’avérer plus efficaces. Car, on ne joue pas avec le sens de l’honneur et le sens de la dignité. Ici, rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir, surtout en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions. Il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement sociétal porteur de honte, de haine et de régression pour tout un peuple.

Le peuple doit veiller, à ce que sa soif de liberté, de justice et d’égalité, ne s’accommoder pas avec l’usurpation de fait de la légitimité populaire, de la revendication de la souveraineté populaire, par les acteurs de la confiscation du pouvoir d ‘état depuis Avril 2011. Parce que, le peuple a l’obligation de comprendre que, la seule voie possible pour sortir de l’impasse, d’une crise sociopolitique sempiternelle, sciemment entretenue par un pouvoir d’état au aboie, est d’accepter, est d’adhérer au principe de la démocratie universelle. Ce, à quoi le peuple souverain doit aspirer, et il revient à l’élite d’accompagner et d’encadrer cette  aspiration légitimes du peuple à vivre dans une société réellement démocratique. Et non dans une société où la rivalité politique s’organise autour des enjeux de l’usurpation de la souveraineté populaire par la force et par la violence, et partant la confiscation du pouvoir d’état, la propriété exclusive du peuple souverain. Donc la chose est claire, ou bien tous ensemble, le peuple fait le choix de l’organisation sociopolitique civilisatrice de valeur universelle, ou bien il demeurera dans la barbarie politicarde d’un pouvoir déviant, non-maitrisé, divaguant dans les fibres sociétales très sensibles, dans les droits inaliénables et dans les libertés individuelles. Oui, soit le peuple ivoirien serait collectivement capable de se mobiliser tous ensemble, en transcendant les intérêts personnels pour faire pièce tous ensemble pour le meilleur, d’une dynamique au profit de sa propre façonnage ou soit pour le pire, le peuple ivoirien serait lui-même façonné par cette dynamique démoniaque devenue sourde, aveugle, folle et sûr de son emprise sur la société ivoirienne.

Il n’y a pas d’alternative ou d’entre-deux. Les élections propres, réellement démocratiques, organisées dans des conditions universelles, sont indispensables à la vraie démocratie, à la stabilité politique, à l’état de droit réel, et à la paix sociale. Et quand elles sont malhonnêtement obstruées, par un pouvoir usurpateur de la souveraineté populaire du peuple, dans un unilatéralisme et un absolutisme aveugle, c’est le non droit qui s’installe et c’est l’arbitraire qui sévit. Notre pays, la Côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, qui veut évoluer parmi les nations civilisées, ne peut pas être partisan d’un pouvoir arbitraire et condescendant. Qui est, un Phénomène révélateur de la mentalité politicarde retardataire et de la culture sociopolitique démodée. Oui, la confiscation de force du pouvoir d’état, quelle que soit la nature, relève du choix du désordre sociopolitique, de l’instabilité politique, du chaos social, et non de l’option exigeante pour la civilisation moderne digne du 21e siècle. Où ici, la démocratie réelle est le fondement de l’état de droit et de la République, où la raison est le vecteur de l’action sociopolitique.

C’est le lieu pour nous de souligner ici que, la démocratie universelle ou réelle suppose donc que les citoyens se désistent de leur pouvoir, et décident de remettre ce pouvoir entre les mains d’un homme politique, se faisant ainsi ils le remettent entre les mains de la totalité sociale souveraine, qu’est le peuple et de toute la communauté de la totalité sociale souveraine contractuelle. Et c’est grâce à cet abandon, que chaque citoyen à le droit d’exigé des comptes à ses élus et reçoit en retour la protection légale de sa personne, de ses droits, de ses libertés, et de ses biens. Ici  aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre : le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. C’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un conseiller général ou un conseiller d’état, chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes attributs de droits que tous les autres. Ainsi les élus se sentent redevables aux citoyens électeurs. Dans le respect scrupuleux des normes juridiques universelles de régulations sociales.

Donc, l’élection démocratie réelle doit échapper à toute programmation systémique «  des genres d’élections ivoiriennes, géré, calé et bouclé d’Avance », qui désigne un futur élu. Oui, être élu doit, s’acquérir dans les urnes des élections démocratiques sans truquage, et sans imposition d’un résultat truqué, avec les armes « fusils ». Oui, dans un état républicain de droit et dans une démocratie réelle, un  pouvoir politique d’état est légitime, non pas parce qu’il dispose de la force publique, ou des personnes armées faiseur de roi, dans le feu et dans le sang, il est démocratiquement légitime et juridiquement légal, quand il est l’expression avérée de la souveraineté populaire du peuple, à travers les élections réellement démocratiques. Donc les pouvoirs quels qu’ils soient, ne sont pas imposées par la force, ou ne sont pas la  résultante de la force. Ils résultent de droit d’une convention électorale « qui assure sa légitimité » passée entre les citoyens et des hommes politiques, dont le fondement juridique est la souveraineté du peuple. Ce peuple qui délègue son pouvoir par élection libre, juste et transparente, sans fraude.

Dans ce système de démocratie réelle ou le pouvoir appartient exclusivement au peuple souverain, et non se trouvé au bout du fusil des guérilleros, pistoleros, fantassins avec « Marfa » et autres : Ici, un homme public, est celui qui est porte-parole du peuple, qui se doit de transporter une voix qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Même Chose pour un homme politique quel qu’il soit, est par définition un « homme mandaté ou soutenu » par le peuple et chargé de parler ou de gouverner au nom de la volonté générale, avec le devoir égal pour tous. Et cela dans le respect de la volonté générale, sans manipulation et sans fabriques électoralistes aucunes, pour positionné ses piranhas et ses sangsues au bout des veines nourricières de la société commune, ou pour diriger comme un monarque du golf arabique. Voici ci-dessus, l’idéal démocratique décrit de façon litote, sauf pour des usurpateurs aveuglés par les deniers publics et devenus des acteurs de non-droit, parce que grisés, qu’ils sont, par l’émotion de leur ego et la pulsion démesurée de leur instinct du carriérisme politique sans projets, ni perspectifs d’avenir.

Donc des aventuriers politicards, qui ne peuvent conduire un pays, que vers l’impasse sociopolitique, générateur de chaos sociopolitiques sempiternels. Dès lors, le peuple souverain acquiert le droit inaliénable, de s’organiser tous ensemble, contre la politique du désespoir. Donc sa décision doit être de conjuguer le devoir de résistance pacifique et l’appel à la mobilisation de toutes les forces vives de la nation, pour sauver sa volonté souveraine de vivre un destin socio-politico-économique commun et meilleur, dans l’anticipation des perspectives sociétales, mieux diagnostiquées, que celui que veut l’imposer, ce carriérisme politique, sans projets, ni perspectifs d’avenir. Oui, la résistance pacifique dans l’obéissance aux règles du droit universel, constituent le substrat d’une société moderne, civilisée, paisible, libre et démocratique, où les citoyens pourront s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux en droit. Seule la démocratie réelle participative, inclusive, sans obstruction aucune, libère un peuple des maux sociétaux et des tares de gestions publiques qui rongent la totalité sociale souveraine. Et inhibent toute perspective d’avenir meilleur, de construction d’une communauté nationale sereine réconciliée avec elle-même.

Le peuple souverain doit donc veiller de droit, à ce que son espoir d’une société cohérente et solidaire ne soit pas étouffé par des politiques politiciennes, des politicards carriéristes et arrivistes renégats, sans projets. Dont les actions de non-sens, sont à la hauteur des motivations strictement égoïstes, égocentriques et personnelles, qui  espèrent mettre en mouvement leurs aspirations profondes de la confiscation du pouvoir d’état. Et surtout qui ne désespère pas d’accaparer la souveraineté populaire et partant le destin de la nation, pour le plier à ses seules exigences claniques, égoïstes et égocentriques. Qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable au processus démocratique. Telle doit être l’aspiration commune à un peuple qui a tant souffert de la barbarie unilatéraliste, absolutiste et ethno-tribaliste, mise au service d’une politique de confiscation du pouvoir d’état au terme des élections toujours querellées, avec son honteux cortège de citoyens zigouillés.

Hélas revoilà encore pour 2020 : Une commission électorale inféodée et dépendant du pouvoir exécutif, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Une poursuite judiciaire effrénée pour intimidation et pour dissuasion contre des pesants acteurs politiques des élections à venir à 9 mois de celles-ci, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Des Condamnations arbitraires a 20 ans de prisons des hommes politiques qui, de par leurs poids électoral peuvent changés les résultats des élections, surtout des hommes politiques acquittés pour les mêmes faits par une autre juridiction dite internationale, donc supérieure en droit et choisi par le même pouvoir, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Pièces d’identités nationales indispensables à la participation aux élections, mais non-accessibles pour tous les citoyens, c’est du TRUCAGE ÉLECTORALE. Refus de la réconciliation pour maintenir des acteurs politiques en exil, loin du théâtre des élections à venir, c’est du HYPER-TRUCAGE ÉLECTORAL. Projet de Modification constitutionnelle pour changer la donne juridique et les règles des élections, a quelques mois de celles-ci, c’est du TRUCAGE ÉLECTORAL. Si parrainage des candidatures ou votes électroniques avérés incontrôlables, seraient du TRUCAGE ÉLECTORAL. Il est à noter que la constitution d’Alassane Ouattara de 2016, n’a régis aucune élection majeure, qui aurait révélé ses tares, ses imperfections et ses incohérences pour nécessité sa modification a 4 ans d’existence, donc ici sa construction sur des travers politiques qui servent Alassane Ouattara est manifeste. Monarchie semble en péril ?

BON ! LE POUVOIR D’ALASSANE OUATTARA DOIT FOUTRE LA PAIX AUX CITOYENS. LE POUVOIR D’ALASSANE OUATTARA DOIT COLLER LA PAIX AU PEUPLE IVOIRIEN. IL CONVIENT ICI, DE CHASSER LE POUVOIR D’ALASSANE OUATTARA. Oui, Toute candidature dans la logique de continuité du pouvoir d’Alassane Ouattara pour 2020, serait une fichue candidature politicarde et renégate, une fichue candidature arriviste et iconoclaste, une fichue candidature carriériste et nihiliste, une fichue candidature Alpiniste et Bouffe-tout, une fichue candidature alimentaire traitre à Houphouët Boigny, qui ne mériterait pas l’Akwaba des ivoirien. Oui! Le fichu pouvoir d’Alassane Ouattara unilatéraliste et absolutiste, devenu piteusement incorrigible autour de la chose publique, dans l’ordre public et autour des conditions d’une élection réellement démocratique, appelle à un match avec les citoyens, qui doit se jouer dans la rue opposante consensuelle et équilibriste critique, la meilleure Amie des citoyens libres. Parce que, dans les sociétés modernes et civilisées, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Afin de transporter leurs voix, leurs volontés, et leurs aspirations profondes, du Bas de la société commune vers le Haut de la société commune. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

Une Chronique de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

 

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7 janvier 2020 2 07 /01 /janvier /2020 22:52
Lepetitfils : La revendication éhontée des élections de 2015, comme un modèle de réussite démocratique et électoral, donne inexorablement, les signaux techniques en l’état actuel, tant « organisationnels et judiciaires » des élections à venir bâclées en 2020, et indique techniquement le trucage électoral en 2020 comme en 2015. Donc le schéma actuel des élections prévu en 2020 s’inscrit dans la logique périlleuse d’un processus électoral qui est celui voulu par le pouvoir des détenteurs des armes et par Holdup électoral en 2010, qui ont récidivé en 2015.

Lepetitfils : La revendication éhontée des élections de 2015, comme un modèle de réussite démocratique et électoral, donne inexorablement, les signaux techniques en l’état actuel, tant « organisationnels et judiciaires » des élections à venir bâclées en 2020, et indique techniquement le trucage électoral en 2020 comme en 2015. Donc le schéma actuel des élections prévu en 2020 s’inscrit dans la logique périlleuse d’un processus électoral qui est celui voulu par le pouvoir des détenteurs des armes et par Holdup électoral en 2010, qui ont récidivé en 2015.

Une Chronique de Lepetitfils D-C (en exile).

Il ne faut pas se laisser dérouter par des actions de manipulations politiciennes et des actions de diversions sur l’essentiel sociétal, qu’est  les conditions indispensables d’une parfaite élection démocratique et pluralistes, que le pouvoir d’Alassane Ouattara doit restituer au peuple ivoirien, l’absolu souverain en droit universel. Le pouvoir d’Alassane Ouattara doit obéir aux conditions électorales d’une élection loyale, juste, transparente, équitable, ou partir par n’importe quelle porte. Le temps du salamalec est dépassé, la ligne directe est d’une exigence « avons-nous déjà dit la semaine dernière ». Le pouvoir d’Alassane doit obéir à l’exigence de droit universel qui veut que le peuple doit rester l’ultime détenteur du pouvoir d’état. Le pouvoir d’Alassane Ouattara doit obéir au principe de droit universel qui fait du peuple le souverain absolu, devant lequel tout pouvoir d’état doit se prosterné. Et le peuple souverain doit pouvoir s’affirmé comme te,l au prix que cela mérité. Ceci permettra à tous les citoyens de remplir les conditions d’aller aux urnes de 2020, pour participer à la vie publique, politico-démocratique de leurs pays, qui est un droit civil et politique inaliénable de tout citoyen universellement reconnu comme tel.

Le pouvoir d’Alassane doit obéir à la condition loyale d’une demande de procuration électorale au peuple. Mais à neuf « 9 » mois des élections, la chose est compliquée, pour le pouvoir d’Alassane Ouattara qui a provoqué pendant ses deux mandats, « 10 » ans une implosion/explosion sociétale. Même s’il désigne un autre candidat autre que, Alassane lui-même, aujourd’hui, ce candidat même de la jeune génération olympienne soit-il, comme il le dit, serait un candidat de la continuité systémique embourbé dans les décombres d’une casse sociétale. Un candidat comptable et tributaire de 10 ans d’amateurisme dans l’exercice approximatif du pouvoir. Un candidat qu’il valait laisser très tôt « un an au mois » la latitude d’imprimer ses marques programmatiques sociopolitiques au terme des débats politiques largement ouverts dans une société en crise et à la recherche de ses marques ataviques. Oui, les ponts et les routes ne sont des bilans convainquant dans une société en crises sempiternelles et on peut coudre une déchirure ou plâtré une fracture, mais on ne peut raccommoder une explosion sociétale.

Oui, dans la même logique d’explosion sociétale, revoilà les mêmes évènements sociopolitiques à la fin de 2019, orchestrés sous l’effet de l’anxiété électorale par le pouvoir Ouattara ? Ou réels dans les faits ? Peu importe. Ce déviant illogisme de répression tous azimuts : « mandats d’arrêts contre des personnalités passible d’une autre juridiction d’exception de la république, arrestations arbitraire d’élu couverts par une immunité a source constitutionnelle et perquisitions a la recherche des armes chez leurs détenteurs légaux en droit ». Le terrorisme judiciaire au service de l’intimidation politico-électorale savamment orchestrée, quoi ! Par la camarilla guerrière, mafieuse, « Hold-upiste, kindnapiste, confiscatiste, trucagiste et diversionniste ». Bon ! Il ne convient pas de défendre ou tout au moins aisé de défendre des couillons de 2002, face à leurs propres couillonnade. Mais ces évènements sociopolitiques de la fin de 2019, serviront à consolider la rigidité hermétique absolue de la crise sociopolitique ivoirienne, souhaiter, entretenue sciemment par un pouvoir d’état autocratique, à la recherche d’une factice légitimité démocratique. Au terme d’un processus électoral déjà cadenassée et bâclée à volonté.

Oui, un controuvé processus électoral géré, calé, et bouclé d’avance, qui enfantera un deuil électoral en 2020, dans un capharnaüm, kafkaïen, de pétaudière, suivi par des funérailles de la démocratie ivoirienne sacrifiée sur l’autel de la conservation coûte que coûte du pouvoir d’état. Le tout au mépris de la réconciliation nationale et en dépit de l’indispensable recherche de la paix sociopolitique. C’est une évidence certaine, l’alibi est toute trouver dans la boite noire étatique des mensonges d’états, enracinés au cœur de la république des voyous, pour devenir indécrochables. La mythomanie schizophrénique a atteint le sommet de l’état ou siège la maladie de mensonge. Les crises ce sont s’accumulés, au souhait et par la volonté du pouvoir d’Alassane Ouattara, des condamnations arbitraires d’opposants politiques a vingt « 20 » de prison, face à l’hypothèse de la confirmation de leurs acquittement a la CPI. « Oui ! A la Haye le 6 février 2020 l’appel  de la juridiction politique, risque de finir sur le répondeur automatique, qui ressasse sans interruption ACQUITTEMENT de pur droit. Puisque tout le droit est linéaire, il n’y a pas d’autres lignes de déviations. ACQUITTEMENT !!! ». Aussi des accusations peu crédibles de tentative d’atteinte à la sûreté de l’état, d’un candidat déjà déclaré postulant en 2020, et le pouvoir des unilatéralistes et absolutistes ivoiriens adopte toujours la même attitude : ne pas résoudre les crises, quand il ne les aggrave pas sciemment à dessein. C’est le fonds de commerce politique infaillible de ce pouvoir tricheur.

Donc ce pouvoir d’Alassane Ouattara, fait sciemment à dessein, une nouvelle composition unilatérale de la CEI a fin de rééditer le Hold-up électoral honteux de 2015, devenu un exemple de réussite électorale pour/en 2020, avec ses moins de 20% de taux de participations, aux conséquences incalculables sur la paix sociopolitique, a fini de confirmé cette grande constante du pouvoir des unilatéralistes et absolutistes ivoiriens, pour la confiscation du pouvoir d’état. Qu’est de toujours créer un nouveau terrain conflictuel de confrontation dans le domaine électorale ou la confiance doit être la vertu première entre tous, la structure étatique, ses démembrements et les partis politiques et associations de la société civile. Cela afin de passage en force électoral. Ici, la règle édictée, est l’entretient délibérément des crises sociopolitiques, en vue d’atteindre quelques objectifs obscurs, vaguement défini sous la formule de préservation des intérêts mafieux et claniques. L’entretien des crises, et la réponse autoritaire du pouvoir des unilatéralistes et absolutistes ivoiriens, toujours la même « opposant a genou pour qu’on te dicte ta conduite », le laisser penser à l’épreuve des analyses doctes et esthètes. Bon !  Que peuvent t‘ils faire d’autre, ses unilatéralistes et ses absolutistes ivoiriens, un pouvoir né d’une crise et en crise sempiternelle ne peut générer que des crises sempiternelles, jusqu’au gouffre sociopolitique total, dans un précipice abyssal sans issue de sortie. Pour permettre au renard libre de régner sur un poulailler halluciné destiné à son martyr. 

Mais ici, l’opposition réelle paiera très chère si, elle s’accommode avec cette imposture de non-droit. Parce que l’électorat ne suivra pas, non ! Il ne suivra pas, parce qu’aujourd’hui, les citoyens ivoiriens en ont marre, de se sentir privé avec la force par un pouvoir unilatéraliste et absolutiste, du droit inaliénable a des élections justes, libres, transparentes, et consensuelles, pour pouvoir choisir librement ses représentants nationaux, reconnu universellement à tout peuple. Et qu’ils n’ont pas droit d’être cités autour des élections chez eux dans leurs pays, qu’ils n’ont aucune importance dans la vie sociopolitique ivoirienne. Qu’ils peuvent être écrasés dans leurs droits, dans leurs libertés, aux pieds des grands intérêts mafieux, au vu et au su de tout le monde. Que le pouvoir unilatéraliste et absolutiste, ne les écoute pas autour de la chose publique, leurs biens communs, qu’ils comptent moins et très peu, face aux intérêts mafieux de ces politicards dans une alliance de cooptation alimentaire de compromission politique attrape-tout et solidement rattachés aux intérêts mafieux extérieurs des grands usuriers du monde. Le tout soutenu par un lobby affairistes aux propagandes monnayables, qui ont déjà sciemment occultés les crimes des soudards de, Alassane Ouattara pendant la guerre post-électorale chemin faisant vers le pouvoir du président Laurent Gbabgo à Abidjan. Oui, silences radio, malgré des milliers de morts techniquement quantifié. En somme, les citoyens ivoiriens ont bien compris, que les élections sont la condition certes nécessaire à la démocratie réelle participative ou chaque citoyen participe à la vie publique de son pays, mais qu’elle n’est pas suffisante pour la réalisation d’une société véritablement démocratique, avec en face un pouvoir unilatéraliste et absolutiste, accroché à ses intérêts personnels égocentriques, égoïstes, ostensiblement assis sur la force des armes « fusils ». Surtout soutenu par une mafia internationale aux intérêts condescendants.

Oui, les citoyens ivoiriens ont bien compris, que dans un système partial, mafieux, érigé en organisme électoral et en juge des élections dans leurs pays la côte d’ivoire, qu’ils ne peuvent rien changé en votant. Parce qu’ils ont aussi compris les ivoiriens, que ce n’est pas en votant dans n’importe quel système électoral partial, inféodé et dépendant d’un pouvoir déviant et arbitraire qui considère la chose publique comme son bien privé, qu’ils s’affirmeront citoyens libres. Oui, que dans ce système mafieux, qu’ils ne pèseront pas davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. C'est-à-dire une société harmonieuse, une société cohérente, une société stable, une société paisible, dans le respect mutuel et dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui est leur rêve commun de toujours. D’où l’abstention énorme 85% depuis l’arrivée de la camarilla mafieuse au pouvoir d’état. Même si certains hommes politicards loufoques, qui beurrent leurs tartines sur le dos du peuple dans la misère sociale, et hélas qui trônent sur la pauvre côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, et partant de force sur l’organisation de ces élections, ont affirmé en 2015, sans aucune honte, que cette situation de l’abstention énorme 85%, n’est pas grave. C’est pourquoi aujourd’hui, ils veulent et revendiquent toujours les élections de 2015,  avec ses moins de 20% de participation, comme exemple d’élection réussi. Quelle honteuse argumentation exutoire d’un pouvoir mégalomaniaque et éhonté. Mais que ces messieurs politicards se rassurent, nous « citoyens » savons qu’ils défendent leurs forfaiture électorale et que les poches de leurs piranhas et de leurs sangsues, ne chôment pas au cours de ces mascarades électorales de démocratie de façades, qui a une seule fin la  confiscation obscurantiste du pouvoir en toute illégalité juridique et en toute illégitimité démocratique.

Nous « citoyens » savons surtout que sous le pouvoir dirigiste criminel de, Alassane Ouattara, que tout à un prix, même l’être Humain, les milliards du peuple défenestrés ne manquent pas sur la table des convives. « Bonjours Bakayoko, Aurevoir Choi, Akwaba aux nouveaux venus » à la table des convives toujours bien garnie de deniers publics et de biens publics. Mais la Bouffe risque d’être amère un jour, pour tourner à la malbouffe et la colique. Aussi que ses politicards mafieux sachant qu’en revendiquant les élections bâclées de 2015 comme un modèle de réussite, que leurs défense exonérée de toute moralité démocratique oublie trois réalités intangibles : *1) D’abord nul pouvoir d’état même assis sur les armes « fusils » ne peut durablement gouverner un peuple s’il n’est pas soutenu par l’autorité morale qui résulte de la croyance du peuple en sa légalité juridique et en sa légitimité démocratique et électorale. Sans ces conditions il ne s’imposerait jamais aux citoyens libres dignes de ce Nom.

 

*2) Ensuite une démocratie réelle, universelle, participative, ou chaque citoyen consentant participe librement à la vie publique de son pays, ne peut et ne doit fonctionner que sur le mode du pluralisme politico-démocratique, de l’expression du suffrage universel populaire. Or l’abstention électorale « 85% depuis 2015 » est le signe de son inexistence, et lorsqu’on contourne cette réalité tangible par des questions qui paraissent impropres à la pratique démocratique et électorale, l’Animosité du rapport de force supplante la démocratie et le jeu électoral. On entre alors ainsi dans un système obscurantiste partisan et mafieux de compromission électorale, d’arrangement mercantiliste monnayables, et la sphère démocratique et électorale se trouve désertée par les citoyens dégoutés. Car ce n’est pas là que doit s’attribuer le pouvoir étatique, qui doit être  issu d’un réel processus démocratique et électoral. Ou le peuple ultime détenteur du pouvoir délègue librement par procuration électorale ce pouvoir.

 

*3) Enfin l’abstention de 85% par boycott  depuis 2015 accrédite l’idée illusoire citoyenne, qu’il pourrait exister des solutions qui ne passent pas par la politique politicienne. Fruit des rapports de forces d’animosité, pour l’acquisition de force et l’exercice du pouvoir d’état, au mépris des normes juridiques internationales prescrites, des règles démocratiques universelles et en dépit des droits inaliénables du citoyen à se faire gouverner par qui il veut. Donc ici à la porte des élections de 2020, on ne peut nullement revendiquer les élections de 2015, comme un  modèle de réussite démocratique et électorale et convaincre qui que ce soit. Nous venons d’avoir honte pour notre pays la côte d’ivoire d’ Houphouët Boigny devenu un état voyou et paria dans le concert des nations.  

 

Honte parce que, les élections de 2015 revendiquer par le pouvoir d’Alassane Ouattara comme un modèle de réussite démocratique et électorale, ignore royalement et concrètement: que les conditions qu’imposent les règles universelles démocratiques, pour aller à des élections véritablement démocratiques, exigent que trois principes élémentaires soient remplis : 1)-un système électoral pluraliste transparent, donc fiable. 2)-Un collège électoral consentant aux conditions consensuelles de l’élection. 3)- des citoyens candidats, éligibles aux sens des prescriptions internationales des droits civils et politiques, dans le respect scrupuleux du pluralisme politique et de la diversité des candidatures. Voilà l’idéal démocratique exigé. Quand un de ses trois conditions de droits universels fait défaut, les règles universelles démocratiques se trouve faussée et l’élection perd toute sa crédibilité juridique, entrainant l’illégalité et illégitimité des élus qui en sortent, obligeant le peuple à faire appel à ses droit inaliénables, qui ne peuvent jamais s’accommodé ou cohabité avec la dictature d’un pouvoir unilatéraliste et absolutiste, devenu un pouvoir illégal et illégitime. Oui, Notre crise sempiternelle ivoirienne est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par une meute de politicards, carriéristes pathologiques et arrivistes renégat. Incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies, qui régissent la société commune. La démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans. Non ! Elle est action continuelle du citoyen sur les affaires de l’état qui décide de la vie de tous et de chacun. Citoyens ivoiriens à vos droits, ici !

 

Oui, la honteuse revendication éhontée des élections de 2015, comme un modèle de réussite démocratique et électoral, donne inexorablement, les signaux techniques en l’état actuel, tant « organisationnels et judiciaires » des élections à venir bâclées en 2020, et indique techniquement le trucage électoral en 2020 comme en 2015. Donc le schéma actuel des élections prévu en 2020 s’inscrit dans la logique périlleuse d’un processus électoral qui est celui voulu par le pouvoir des détenteurs des armes et par Holdup électoral en 2010. Et qui ont récidivé en 2015, et veulent continuer en 2020, avec un système qui fait leur affaire, au détriment du droits et des libertés. Oui, tous les signaux techniques « organisationnels et judiciaires » en l’état actuel, indiquent que ce processus électoral en cours aboutira au trucage électoral en 2020 comme en 2015, même en 2010, couronnée par les fusils de guerres avec plus de 4000 morts de citoyens, zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état. Oui, la vraie opposition interdit aujourd’hui de commission électorale, en cooptant à desseins des dites oppositions rémunérées et accompagnatrices intéressées, qui mendient ses droits inaliénables avec un pouvoir déviant, dans une danse satanique du diable. Ce qui va certainement nourrir l’abstention électorale des dégoutés. La solution ? Tous ensembles d’une manière ou d’une autre. Aucune dictature ne s’estompe de lui-même, sans l’intervention synergique et énergique du peuple support, qui donnera espoir aux déchus de la trajectoire politique chaotique de, Alassane Ouattara. Il faut des conditions électorales parfaites qui lâche tous les candidats sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état avec les mêmes chances, conformément à l’idéal démocratique universel.

 

Mais si l’on s’entête à y aller coûte que coûte, bon an, mal an, sans garantie organisationnelle et judiciaire a ces élections de 2020, alors pour espérer au moins gagner dans les urnes de votes, nous soulignons dans les urnes de votes, ce qui est différent des résultats édictés par le pouvoir exécutif maitre du jeu a proclamés. Il va falloir nécessairement, pouvoir exiger ses droits inaliénables, après élection, coûte que coûte, bon an, mal an aussi, sans s’aliéné, sans s’assujettir à la volonté proclamée du pouvoir d’état et payer le prix juste. Et aussi pour y arrivée, il va falloir obligatoirement désactiver les motifs de l’abstention électorale 85% depuis 2015, en rassurant les indécis de la capacité de défendre les votes acquis, en orientant les protestataires et en réveillant les dégoutés, en galvanisant ses électeurs naturels et sympathisants, qui n’ont aucune confiance en ce processus électoral en cours. Et en donnant espoir aux déchus de la trajectoire politique chaotique de, Alassane Ouattara, en recherchant le témoignage international oscillant et incertain. Sans oublier que, la force d’aujourd’hui, qui peut être la faiblesse de demain, du pouvoir unilatéraliste, absolutiste, obscurantiste, différentialiste, de, Alassane Ouattara, est d'avoir fait un pacte avec le désespoir du peuple ivoirien, ou tout est monnayable, ou tout a un prix.

 

Une trajectoire politique chaotique assis sur la force matérielle des armes fusils, sur le mensonge d’état et qui utilise le mot développement et des farfelus chiffres de croissances, comme paravent justificatif à toutes ses fins lugubres et à tous ses travers politiques d’animosités. En faisant des grandes promesses intenables, donc qui ne seront jamais tenues, l’escroquerie morale et intellectuelle dans tous ses états, donc a dénoncé, a démonté aux yeux du peuple et du monde observateur. Et il va falloir aussi en indiquer les voies et moyens qui permettent de surmonter le désespoir suscité par la déviation sociopolitique prise dans un tournant dangereux avec le soutien intéressé de ses cooptations alliés et nouveaux suiveurs. En proposant ce qui est humain, ce qui est commun, ce qui est général, ce qui est d’avenir sociétal meilleur et ce qui a permis quarante (40) ans de stabilité sociale, de paix Houphouëtienne. Au pays de Félix Houphouët Boigny, autre fois havre de paix et de stabilité sociopolitique. Ou un homme était un homme indépendamment de sa caste. Que la nature protège la cote d’ivoire d’Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

 

Une Chronique de Lepetitfils Da Candy. Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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30 décembre 2019 1 30 /12 /décembre /2019 00:20
Lepetitfils : « Le pouvoir d’Alassane doit obéir aux conditions électorales loyales ou partir. Le temps du salamalec est dépassé, la ligne directe est devenue une exigence. À défaut d’obtenir du pouvoir d’Alassane Ouattara les conditions indispensables d’une parfaite élections démocratiques et pluralistes, il nous faut arriver à la condition légale d’une transition de 5 ans dans l’union de tous ».

Lepetitfils : « Le pouvoir d’Alassane doit obéir aux conditions électorales loyales ou partir. Le temps du salamalec est dépassé, la ligne directe est devenue une exigence. À défaut d’obtenir du pouvoir d’Alassane Ouattara les conditions indispensables d’une parfaite élections démocratiques et pluralistes, il nous faut arriver à la condition légale d’une transition de 5 ans dans l’union de tous ».

Citoyennes ivoirienne, Citoyens ivoiriens, cher peuple souverain ivoirien, ultime détenteur du pouvoir d’état. L’Année 2019 a été l’Année qui a vu la fenêtre ouverte en 2018 s’agrandir pour devenir une possible grande porte de sortie d’une crise sociopolitique devenue sempiternelle, en côte d’ivoire depuis 2002, et qui a atteint son summum en 2011. Oui, une grande porte de sortie de cette crise sociopolitique sempiternelle s’est ouverte avec l’alliance irrésistible et l’attelage hétéroclite infernal du président Gbagbo et son FPI, et du président Bédié et son PDCI, avec tous les partis politiques pacifistes soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, et soutenu par les forces vives régulatrices de la nation. Tous Engager dans un processus de fédération de toutes les forces vives régulatrices de la côte d’ivoire pour être le Gyroscope du Souverain, qu’est l’état en 2020 et pour CHANGER notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny. Au terme d’une irréversible alternance en 2020. Qui présage à coup sûr, ou tout au moins miroite, une gouvernance transitoire de cinq (5) ans au moins. Et que cette équipe de transition se doit d’être hétéroclite et composite, les couleurs politiques importeront peu dans ces conditions recommandées par l’intérêt général, seule importera son caractère fédérateur dans le respect de son hétérogénéité politique et de sa disparité idéologique. Ici on est contre personne, on est pour la côte d’ivoire.

 

Donc il est d’une évidence absolu, qu’avec cette machine électorale hors gabarit, « que nous appelons tous pour la côte d’ivoire d’Abord, le reste on verra après régulation économico-sociopolitique», le plus difficile du travail aux cours des élections de 2020, serait de pouvoir par cette alliance irrésistible et cet attelage hétéroclite infernal, soutenu par les forces vives régulatrices de la nation, tous ensemble, de ramener l’Abstention électorale de plus de 85 % aux urnes de ces élections de 2020. Donc de faire décider les électeurs dégoutés, les électeurs résignés, les électeurs indécis, les électeurs qui votes blancs et les électeurs à votes protestataires. Et pour ainsi arriver aux mêmes, sinon à plus du taux de 83% de participations du premier Tour de la présidentielle de 2010, drainer dans les urnes par les mêmes grands hommes politiques en alliance politique de sauvetage. Voilà le sacerdoce, qui décidera des résultats de l’élection présidentielle de 2020. Si on obtient du pouvoir d’Alassane Ouattara les conditions indispensables d’une parfaite élections démocratiques, pluralistes que nous Récitons ici :

 

*- « Une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique.*- 2  Un Juge des élections impartial « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Un Découpage électoral équilibré. 4*- Une liste électoral consensuelle  *-5- Une identification claire des électeurs *-6- Une Condition claire d’accession à la candidature  *- 7- Les Instruments fiables et modes de scrutins clairs *- 8- Des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale qui respectent les droits du peuples. Et les pièces d’identités nationales gratuites dans cette période de crise aiguë ». En cette période de recherche de solution par le consensus et de la réconciliation nationale. Ceci permettra à tous les citoyens de remplir les conditions d’aller aux urnes de 2020, pour participer à la vie publique, politico-démocratique de leurs pays, qui est un droit civil et politique inaliénable de tout citoyen universellement reconnu comme tel. Voilà les conditions indispensables d’une parfaite élection démocratique et pluralistes que le pouvoir d’Alassane Ouattara doit restituer au peuple ivoirien, l’absolu souverain en/de droit.

 

Ainsi avec ses droit restitué, si nous partons donc, du constat qu’au cours des dernières élections, le pouvoir d’Alassane Ouattara, détesté et vomis par le peuple souverain, pour son intransigeance dans l’ordre du public et au tour de la chose publique, n’arrivait plus jamais à amener 20% de l’électorat total aux urnes des élections qu’il à organiser unilatéralement. Et tenant compte qu’en 2010 le premier Tour de la présidentielle a enregistré 83% de taux de participation et que le second Tour de cette même présidentielle de 2010 à enregistré 81% de taux de participations. Il est très clair dès lors, et très aisé d’affirmer aujourd’hui que les élections de 2020, sont d’avance mathématiquement gagnées par l’Alliance des : président Gbagbo, et son FPI, et du président Bédié, et son PDCI, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, soutenu par les forces vives régulatrices de la nation. Si on arrive à ramener l’abstention de plus de 85% dans les urnes de 2020.

 

Et surtout si on obtient de droit du pouvoir d’Alassane Ouattara les conditions indispensables d’une parfaite élections démocratiques et pluralistes. Qui est l’une des revendications du peuple souverain ivoirien qui aspire à : « Une commission électorale autonome et Apolitique sans bidonnage politique.*- 2  Un Juge des élections impartial « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Un Découpage électoral équilibré. 4*- Une liste électoral consensuelle  *-5- Une identification claire des électeurs *-6- Une Condition claire d’accession à la candidature  *- 7- Les Instruments fiables et modes de scrutins clairs *- 8- Des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale, qui respectent les droits du peuples. Et des pièces d’identités nationales gratuites dans cette période de crise aiguë ». Oui, les plus de 85% d’abstentionnistes appellent donc, ces droits politiques et civils inaliénables et universels pour revenir aux urnes des élections démocratiques, ainsi systémiquement, légalement, légitimement, devenue digne de ce Nom. Parce que respectant les droits du peuple a disposé de lui-même.

 

Oui, il ne faut pas se méprendre pour les élections de 2020, en suivant le pouvoir d’Alassane Ouattara dans sa logique, ce serait électoralement contreproductif. Parce que les ivoiriens ont compris que, ce n’est pas en votant dans n’importe quel système électoral, qu’ils pèseront davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. Donc ils n’iront pas aux urnes à n’importe quelle condition, parce que l’Alliance des : président Gbagbo, et son FPI, et du président Bédié, et son PDCI, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, soutenu par les forces vives régulatrices de la nation, y vont, non ! Ils n’iront pas ! Bien que ce soit un devoir citoyen de voter, mais se devoir oblige la conscience citoyenne seulement, quand le suffrage sert à la manifestation de la souveraineté populaire du peuple. Dans ce cas, Voter devient ainsi un devoir absolu que l’on ne peut que satisfaire l’exigence devenue de droit civique. C’est de par ce même droit que le peuple souverain a le droit de refuser de voter, quand le suffrage vise à légitimé un pouvoir illégal, en fait et en droit, ou à légitimer une politique obscurantiste et méprisant, qui détruit la souveraineté nationale et populaire.

 

Ainsi se faisant le peuple souverain pense donc que, pour exercer cette souveraineté populaire, il faut voter dans un cadre juste, équitable, transparent, légal et consensuel. Que sinon la souveraineté originaire du peuple et la légitimité du citoyen se trouvent confisquées, puisque les libertés perdent leur sens au terme des élections truquées, dans un système électoral qui ne mérite aucun crédit et n’inspire aucune confiance. Le peuple solidaire, n’ira aux urnes que sauf s’il est sûr et certain, que son vote souverain aura tout son poids juridique et légal, tout son poids légitime et populaire. Mis à l’abri des manigances et des manipulations des fossoyeurs de la démocratie et des trucages électoraux. Donc, les plus de 85% d’abstentions d’aujourd’hui, est une façon citoyenne de dire, non ! Nous ne sommes pas d’accord, nous ne pouvons pas continuer avec cette manière moutonnière de panurgisme électoral de bétail orienté, qui n’est pas une posture de citoyen libre. L’élection de 2020 se gèrera là !

 

Donc, Voici ici le champ et les enjeux des élections de 2020. Et ce n’est pas mince, Non !  Parce que le pouvoir d’Alassane Ouattara veut des élections à sa portée systémique. Ou il en sortira d’une manière ou d’une autre, vainqueur autoproclamé, cela avec la participation de l’opposition aux élections, ou le boycott par l’opposition des élections, ou par trucage électoral soutenu par les armes « fusils ». Ici la règle édictée à son clan, est de géré les élections de 2020, de calé les élections de 2020, et de bouclé les élections de 2020, pour ne pas perdre le pouvoir d’état de quelque manière que ce soit, qu’advienne que pourra. Donc le système électoral doit être la traduction de cette volonté de garder le pouvoir à tout prix, au mépris du droit et en dépit des règles. C’est pourquoi, pour notre part, compte tenue de la difficulté constante, dans le cadre de l’exécution des décisions des juridictions internationales, qui est entre les mains des  parties au différend. Puisque contrairement à l’ordre juridique national interne, les juridictions internationales ne disposent pas du recours à la force publique pour faire exécuter leur décision en cas d’obstacle à l’exécution. Donc en notre sens et pour notre part, dès la première décision de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, il incombait de tester par des actions actives non-judiciaires, la capacité réelle et la détermination soutenue du peuple ivoirien, de rechercher a entré dans ses droits inaliénables bafoués, en sacrifiant au juste prix qu’il faut. Toute chose, qui ne se donne pas par un pouvoir unilatéraliste, absolutiste, despotique, déviant, devenu, sourd et aveugle. Aucun pouvoir d’état et aucune portion minoritaire du peuple ne peut exercer la puissance souveraine de la totalité sociale qu’est le peuple entier.

 

Mais téléguidée à des fins électorales, la cour pénale internationale (CPI) dépositaire du président Laurent Gbagbo, à la suite d’une déportation afflictive, et infamante, l’exilant de force, loin de la terre de ses ancêtres, par la volonté exclusive du pouvoir d’Alassane Ouattara, veut jouer sa partition dans l’élection présidentielle de 2020. Donc elle élimine d’emblée le président Gbagbo en décidant, de la privation de tous ses droits civils, politiques, et humains. Au terme de la décision suivante, qui l’interdit ou le prive de. « le droit de s’exprimer en tant que militant ou responsable politique, le droit de participer publiquement à la détermination du programme d’un parti politique, le droit de participer à des meetings politiques, le droit de participer à des émissions radio, télévisées, dans lesquelles il serait fait mention de sa carrière politique ou de sa vision politique, le droit de pouvoir répondre aux questions de journalistes ou d’historiens concernant sa carrière ou sa vision politique, le droit de donner sa vision de la réconciliation ». Donc réduit à l’état de dépôt. Mais peine perdue, parce que le Bréviaire du président Gbagbo est largement connu en côte d’ivoire, et il y a un parti politique qui l’officie, avec des adeptes qui se disputent éloquence et fidélité. Mais en composant avec la CPI, le pouvoir d’Alassane Ouattara oubli, qu’on trouve juridiquement en filigrane de cette situation, une carence de l’état ivoirien et de ses institutions étatiques. Ici la diapositive de la côte d’ivoire à partir de la CPI offre l’image d’un état voyou et paria. Oui, le fondement même de la société internationale repose sur la souveraineté étatique de ses membres. Or la côte d’ivoire dans le concert des nations est assujettie à toutes les mafias du monde. La mythomanie schizophrénique et le mensonge d’état règne en maitre absolu le monnayable est la règle de la vie sociopolitique.

 

Au surplus de la déshumanisation du président Laurent Gbagbo a la CPI, la régénération politique spectaculaire de l’épouse Gbagbo après sa libération, est devenue une inquiétude électorale pour  les autorités ivoiriennes, qui imagine une conjugaison par défaut de Simone Gbagbo-Konan Bédié, sous la loupe experte de Laurent Gbagbo, au cas où ? Et vient se rajouter a tous ceci l’hypothèse de la confirmation de l’acquittement de l’appoint baroudeur des espaces publics et tribunicien achevé Charles. Tout tourne alors à l’anxiété électorale pour le pouvoir Ouattara, qui veut conduire le « déserteur » Soro Guillaume avec le dossard « perpète » à la Maca. Soro qui ne veut plus être le support d’une couillonnade comme en 2002. Parce qu’en bon petit, « qui ne cherche plus enfermé dans une Bicoque Djibonan Koné », mais plus tôt rechercher par le pouvoir Alassane Ouattara, à déposer ses valise à la maison chez le vieux père Konan Bédié. Le décor est là, ostensiblement planté, pour une lutte à mort. Le premier qui pose un Genou à terre a perdue, ou encore, entre le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état et le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara, celui qui prend sa jambe au cou le premier, dans une tangente à grande vitesse aura perdu. Et ici, le présage est connu et semble certain, parce qu’il y a eu déjà un tapis rouge à Yamoussoukro. Le peuple est sûr de son affaire, il  ne reste plus que la très bonne orientation des gyroscopes et l’occasion légale de la charge libératrice et régulatrice. Le pouvoir d’Alassane doit obéir aux conditions électorales loyales ou partir. Le temps du salamalec est dépassé, la ligne directe est d’une exigence.

 

Aujourd’hui donc, à défaut d’obtenir de droit du pouvoir d’Alassane Ouattara les conditions indispensables d’une parfaite élections démocratiques et pluralistes. Pour le peuple ivoirien, il y a, à ce jour, une seule solution pour s’en sortir, après le chaos social soutenue et entretenu sciemment par un pouvoir despotique et sacrement déviant, qu’est d’arriver au prix que cela mérite, à la condition légale d’une transition de 5 ans, dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. Afin de faire de la place à l’olympiade démocratique. Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir payer ce prix, en tirant sur le pouvoir comateux d’Alassane Ouattara dans une Ambulance pour en faire un corbillard en 2020. Oui ! Ici pas besoin de se leurrer, de se tromper, ou de dormir debout, il est d’une constance régulière que, si la démocratie doit être vécue dans notre pays comme l’entend le pouvoir de, Alassane Ouattara et alliés, elle ne débouchera pas sur la liberté, le doit et le respect des règles universelles.

 

Or seule, ces valeurs universelles peuvent aider notre pays à sortir de la situation de crise sempiternelle. Les valeurs de solidarité sociale partagées et d’harmonie sociocommunautaire, que la démocratie réelle inculque aux peuples, peuvent constituer la sève nourricière à la construction d’une nation ivoirienne stable, réconciliée avec elle-même, tolérante et paisible. Le peuple souverain ivoirien doit pouvoir conduire le pouvoir d’Alassane Ouattara au cimetière des pouvoir politique déviant, ici et maintenant, ou à défaut en octobre 2020… Sur ceux et avec espoir de pouvoir obtenir de droit du pouvoir d’Alassane Ouattara les conditions indispensables d’une parfaite élections démocratiques et pluralistes en 2020 et avec l’espérance que, 2020 sera l’Année de l’union désintéressée des filles et fils de la côte d’ivoire pour la paix, pour la régulation sociopolitique en côte d’ivoire. Citoyennes ivoiriennes ! Et citoyens ivoiriens ! Que la nature nous donne la force nécessaire pour répondre à l’appel de la Mère patrie dénaturée en 2020. Bonne et Heureuse année 2020 a tous… Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

 

Fait le Dimanche 29 décembre 2019 : (Les veux de nouvel An 2020 de Lepetitfils Da candy Leader de la Légitimité Citoyenne « en Exil ».)  

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28 décembre 2019 6 28 /12 /décembre /2019 02:56
Cinquante-sept (57) ans, cela se fête, en causerie sur les petites expériences de la vie. Même si le Bandji-Blanc du pays manque à la table.

Cinquante-sept (57) ans, cela se fête, en causerie sur les petites expériences de la vie. Même si le Bandji-Blanc du pays manque à la table.

CHERS AMIS ! DANSONS LE ZAOULI « CITOYEN » COMME MUSIQUE DE FËTE D’ANNIVERSAIRE.

 

Cinquante-sept (57) ans, cela se fête, en causerie sur les petites expériences de la vie. Même si le Bandji-Blanc du pays manque à la table. Donc nous disons que, Cinquante-sept (57) ans, cela se fête malgré huit ans et demi de fiasco et de gâchis qu’il faut assumer, sans aucun regret et être prêt à faire la même chose, dans la même situation, qui a occasionnée les huit ans et demi de fiasco et de gâchis. « D’autres ont fait le mêmes temps au Trou ». Question pour un homme public de s’assumer ostensiblement, dans une démocratie confisquée, où tous les appétits carriéristes, tous les intérêts égoïstes, égocentriques et toutes les passions obscurantistes et fanatiques, sont publiquement aux prises avec  l’intérêt général, la situation des hommes politiques qui croient en une idéologie, qui défendent un idéal sociétal et ont l’intime conviction qu’elle servirait au bien de la société, au bien de l’humanité n’est pas aisée, sinon elle est joncher d’enfer. Je parle ici des hommes de combats justes, menés souvent au prix de leurs vies, « Martin Luther King Jr », ou  être exposés à toutes sortes de surprises désagréables, « Nelson Rolihlahla Mandela ». Sous d’autres cieux on les assassine crapuleusement, « Le journaliste saoudien Jamal Khashoggi », et ce même risque d’assassinat crapuleux « escadron de la mort » ou de disparition forcée existe « Guy-André Kieffer », et persiste dans notre société ivoirienne sous un pouvoir déviant.

 

En ce jour de fête, en regardant dans rétroviseur du Navire Ivoire on est raffermit dans sa position que : Contre eux, « ces hommes de combats » les entreprises réputées infâmes paraient légitime, ou devient arme de combat politique. Contre eux le mensonge grossier, la délation éhontée devient vérité tangible ; Contre eux, la calomnie ignoble, devient louage griot-tique ; Contre eux la trahison funeste, l’ingratitude viscérale, la haine insatiable de l’autre, devient la loyauté et armes militantes. Contre eux, l’opinion docte, esthète, régulatrice, devient sources d’excommunication et d’anathème. Contre eux, l’expression politico-scientifique, devient un crime passible de séjour à la Gestapo, en prison civile ou  réduit au silence vocal dans l’enfer de la déportation. Contre eux, les mensonges, les diffamations, les  calomnies,  les médisances gratuites les plus abjects, le prosélytisme satanique, le cynisme narcissique, sado-pervers, les plus ignobles, sous couverture politico-démocratique, deviennent des armes de combats démocratiques. Contre eux, les convocations par la Gestapo, les mandats d’arrêts, les mandats de dépôts, les poursuites judiciaires arbitraires, les privations de droits et les confiscations unilatéralistes des biens, deviennent des armes électorales, ou diversion exutoire orchestré par les mensonges d’état, se le dispute avec la malhonnêteté du misérabilisme politique. Contre eux, la sorcellerie maléfique obtient sa part d’action politique qui fait zigzaguer les gros camions à la vue des adeptes porteurs de bréviaires de combattant. Contre eux, la marche sur la tête dans une politicarde Va-nu-piedisation clownesque et bouffonne de potentats, devient un mode de gestion de la totalité sociale, au terme d’un misérabilisme politico-démocratique, au mépris de la paix sociale et en dépit de la nécessaire réconciliation. Le clan et l’intérêt personnel égocentrique prime sur tout.

 

Oui, ainsi dans cette veine, tous ceux qu’on aura pu redouter, un jour seront exposés à subir ce qu’auront accumulé des sentiments d’animosités funestes inavouables, les intérêts politiques personnels de politicards menacés, les expériences sociopolitiques trompées, les ambitions carriéristes et arrivistes démesurées déçues, et la peur bleue des élections réellement pluralistes et démocratiques devenue anxieuse. Le peuple se trouve pousse dans son dernier retranchement et dos Mur avec l’unique solution de survie, la CHARGE libératrice et régulatrice. C’est peut-être, l’absolu prix à payer aujourd’hui en côte d’ivoire, pour la mise en place d’une démocratie réelle plus prosaïque, plus consensuelle, mais plus consistante et universelle. Donc une situation de combat à vie contre l’obscurantiste, le sectarisme, le carriérisme politique notoire et le misérabilisme politique ambiant, qui sont peut être toujours les plus nantis, les plus riches, les plus aisés financièrement, mais pas forcément les plus forts intellectuellement, idéologiquement et politiquement. Et le peuple souverain l’arbitre légal de ce combat de masse doit livrer son verdict demain. Disons donc demain, oui demain, sans faute demain, on sera demain. Applaudissez au moins !!! MERCI ! MERCI !! MERCI !!!

 

Oui, Cinquante-sept (57) ans, cela se fête en causerie sur les petites expériences de la vie. Même si le Bandji-Blanc du pays manque à la table, puisque le Tchapalo et le Koutoukou du pays dépassent notre compétence. Donc après  huit ans et demi de fiasco et de gâchis, dans Cinquante-sept (57) ans d’Âge, EN CE JOUR DE FËTE, de quoi donc, à faire péter une bouteille d’eau gazeuse en lieu et place du champagne habituel, pourvu que demain reste le rendez-vous du jour où il fera jour.

 

MERCI A TOUS D’AVOIR PARTICIPER A LA FËTE ET VIVE LA FËTE !!!

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13 décembre 2019 5 13 /12 /décembre /2019 21:18
Lepetitfils : Aujourd’hui, il n’a pas autre postulat de sortie de crise, il reste une seule solution pour s’en sortir du  chaos social, une transition de 5 ans dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc il s’agit aujourd’hui de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, tous ensembles, tous fondus dans une moule ivoire incolore, régulatrice, pacificatrice, harmonisatrice, unificatrice et paisible, pour la côte d’ivoire.

Lepetitfils : Aujourd’hui, il n’a pas autre postulat de sortie de crise, il reste une seule solution pour s’en sortir du chaos social, une transition de 5 ans dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. Donc il s’agit aujourd’hui de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, tous ensembles, tous fondus dans une moule ivoire incolore, régulatrice, pacificatrice, harmonisatrice, unificatrice et paisible, pour la côte d’ivoire.

*- Chronique : Réapprendre à vivre paisiblement.

RETRO : Dans l’affaire commission électorale ivoirienne, nous ne sommes pas certain qu’une deuxième décision de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples servira à quelque chose, sans bonne volonté des parties et sans une bonne foi des parties au diffèrent dont décision. C’est pourquoi, dès la première décision, de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples, il incombait au peuple ivoirien de rechercher a entré dans ses droits inaliénables bafoués. Toute chose, qui ne se donne pas par un pouvoir unilatéraliste, absolutiste, despotique et déviant devenu, sourd et aveugle. Oui, le pouvoir unilatéraliste d’Alassane Ouattara n’a aucune habilitation de droit, de décider seul du processus électoral national, duquel les pouvoirs ressortissent. Dans la réforme de la commission électorale qui se doit d’être Apolitique, Autonome et Indépendante, il a franchi une ligne Rouge. On n’a pas besoin d’aller chercher à entendre ceci de la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples. C’est de droit. Oui, un peuple qui est prêt à renoncer à sa liberté pour se sentir en sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre. Et Tout peuple martyrisé qui a le courage de ses actions de régulation et de ses opinions, face à l’unilatéralisme nihiliste et iconoclaste au risque de sa vie, à le pouvoir de conquérir ses droits, ses libertés, et de changer sa société.

Le pouvoir ivoirien a atteint le summum de l’archaïsme politique dans la gestion de l’état et surtout dans la réforme du processus démocratique et électorale. Son misérabilisme politique ambiant autour des élections de 2020, a fini par désespérer le peuple ivoirien de ses errements politiques et de ses travers démocratiques et électoraux. Oui, trop d’amateurisme dans la gestion du pouvoir d’état et de la conduite unilatérale du processus démocratique et électorale, qui laissé planer un sérieux danger sur la totalité sociale, notre société commune. Danger réel de sempiternelles crises sociopolitiques aiguës, que l’instauration d’un vrai état de droit, d’une vraie démocratie qui enfantent de vrais élus peut obvier. L’amateurisme dans la gestion du pouvoir d’état et du processus démocratique et électorale en côte d’ivoire depuis 2011 est criant et ostensiblement antinomique, anomique et déviant. Le passage en force électorale est devenu la règle du pouvoir Ouattara. Ce qui présage des lendemains incertains. Oui, il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. L’outil démocratique mal exploité peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles.

La démocratie doit être assise sur le droit et la liberté, et c’est là que les détenteurs de savoirs et les penseurs ivoiriens se voient dévolus un rôle primordial devant l’histoire, aider la démocratie ivoirienne à bâtir nos droits inaliénables, nos libertés individuelles et la paix sociopolitique dans notre pays, pour que l’alternance politique soit assurée dans la paix, dans la stabilité sociopolitiques, dans une nation ivoirienne réconciliée avec elle-même et avec ses filles et ses fils réconciliés. Nous avons toujours dit que, la démocratie est un apprentissage des limites et de l’autocontrôle, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus au tour des règles de la compétition, qui se doit d’être loyale, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. La démocratie et la réconciliation sont inextricablement liées et interdépendantes. La réconciliation n’est donc pas un luxe en démocratie ou un accessoire de la démocratie, que l’on peut mettre de côté pour aller à des élections sans essence démocratique, elle est une nécessité dans une vraie démocratie, qui est le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple.

Oui, la réconciliation nationale post-crise nécessite et oblige qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler en nouveau, réapprendre aux peuples à s’admettre en nouveau, et à se reconnaitre en nouveau, réapprendre aux communautés nationales diverses à se côtoyer en nouveau, et à s’admettre mutuellement dans la concorde civile comme l’égal les uns des autres en nouveau, réapprendre aux hommes politiques à accepter les différences idéologiques dans l’ordre du public en nouveau, réapprendre aux citoyens ivoiriens à vivre paisiblement sans heurt dans une société commune, qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales en nouveau. Oui, ici il s’agit de recoudre le lien social mis en lambeau par un carriérisme pathologique, sourd et aveugle. Oui, c’est parce que le lien social est politique qu’il faut pour la côte d’ivoire post-guerre une vraie réconciliation nationale, débarrasser de toutes les formules politiciennes cérémoniale et festives. La vérité crue et nue entre frères, pour consolider les fibres du lien social ivoirien, pour harmoniser les rapports communautaires ivoiriens, et pour aller ensemble à la paix social, a la stabilité politique en côte d’ivoire, dans l’union solidaire de tous et de toutes.

Donc, tout cela ne peut se faire que par le rafistolage du lien social ivoirien mis en lambeau. Les élections libres, justes, transparentes équitables, et consensuelles, sont les premiers substrats du lien social, parce que vecteur du principe : « Le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple ». La totalité sociale ivoirienne hier très solidaire à toutes épreuves s’entretue désormais aujourd’hui. Ou chacun se sent attaquer dans les droits ataviques de son assise sociale. Alors que chaque citoyen doit être fier de l’unique appartenance à la totalité sociale commune  « ivoirien », parce que reconnu absolument dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. Que l’entretien sciemment des crises sociopolitiques dessert malgré le lien social qui est très sensible dans une société. Il est constant que, le lien social est ce qui permet aux groupes sociaux et aux individus de vivre paisiblement en commun dans une société harmonieuse. Et de faire société, et vie communes dans l’acceptation réciproque des différences sociétales. Et l’acceptation des différences de chacun dans son originalité absolue, à l’intérieur de l’égalité de tous, comme dit plus haut. Aujourd’hui dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation sociale criminelle orchestrée par des politicards carriéristes guérilléros tend à fragiliser le lien social.

Tandis que d'autres symptômes, comme la justice sociale et juridique pour chacun témoigneraient sans aucun doute de sa bonne santé et de son dynamisme dans la société ivoirienne. Mais quoi qu’il en soit, les rafistolages réconciliateurs des fibres du lien social ivoirien, ne peuvent ou ne doivent pas masquer les tensions que peuvent créer l’entretien sciemment des crises sociopolitiques sempiternelles. Qui engendrent la création/formation des compartiments différencialistes et des murs diviseurs dans la société commune, une tendance qui affaiblit la cohésion sociale, dans une nation une et indivisible, dans un état de droit, et dans une société démocratique. Oui, une société démocratique avons-nous dit. Une société démocratique, c’est une société de l’exaltation de la diversité solidaire, une société ou le lien social est hermétiquement rafistolé, flexible et incassable. C’est une société juste, tolérante, cohérente, qui ne laisse personne au bord de la route du progrès socioéconomique. C’est une société qui permet et admet, la participation libre de tous les citoyens à la vie politique de leur nation sans manichéisme économico-sociopolitique, d’un pouvoir truand et des truands a la recherche de trucage électoral.

Donc, c’est une société qui met le citoyen contributeur social par excellence au cœur de la société de solidarité agissante, ou on organise cette solidarité vers les plus faibles de la société. C’est une société ou le citoyen est un passeur de lien entre les groupes sociaux et les individus. Donc un fusible de connections entre les groupes sociaux et les individus, pour mieux vivre en paix et en harmonie. Une société démocratique avons-nous dit. C’est une société ou le citoyen rafistole, réinstaure et restaure le lien social. Et donne ou redonne l’envie aux plus fragiles ou aux martyrisés de reprendre pleinement leur place dans la société commune, qui se doit absolument d’être paisible. En les rendant acteurs du développement de tous et de chacun, et partant du développement sociétal commun, et d’être acteurs de leur propre développement personnel par la libre participation de tous les citoyens à la vie publique de leur pays. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, doit pouvoir être cette société démocratique, débarrassée de l’interventionnisme unilatéraliste et absolutiste, dans le processus électoral et dédouané de l’ultralibéralisme prédateur de jungle, de l’autoritarisme criminel, du dirigisme économique et de toutes les scories passéiste politicards, arriviste renégats, nihiliste iconoclaste au service des intérêts mafieux.

Cette idéologie de l’interventionnisme unilatéraliste et absolutiste s’est avéré être une  ruines absolue pour la paix sociopolitique, pour l’harmonie communautaire, pour le vivre en commun de partage, dans l’exaltation de la diversité solidaire, dans notre société commune autrefois paisible, dans notre nation autrefois une et indivisible, et dans notre état autrefois de droit, qui se voulait une société démocratique. Dès lors le  citoyen qui n’aspire qu’à vivre en paix dans notre pays comme sous le père fondateur de la côte d’ivoire Félix Houphouët  Boigny. Qui se trouve assigner à un avenir incertain, à une survie incertaine, avec un horizon obscurcie de danger, un demain de misère et damnation. Que seul pourrait remédier la construction d’un nouveau vivre en commun de partage solidaire soutenue par une vraie réconciliation nationale dans l’union de tous. Pour que notre organisation sociale, place au cœur de l’éthique démocratique, les libertés, les droits fondamentaux et collectifs. Le respect de l’égalité de tous et l’effectivité des solidarités sociales et de l’harmonie communautaire. Pour mettre l’homme au centre du débat politique, pour mettre le citoyen au cœur du débat développemental. Et pour l’avènement d’une société ivoirienne plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire, dans la vie en commun.

C’est pourquoi nous considérons que le temps est plus que jamais venu de réagir tous ensemble à la crise sociopolitique entretenue sciemment à dessein par un pouvoir absolutiste qui se nourri de crises. Et de construire un nouveau vivre en commun de partage, fondé sur l’exaltation de la diversité solidaire. Un nouveau contrat social citoyen ou le peuple souverain serait restauré dans son droit inaliénable universel, de l’ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc il y a urgence. Les règles de vivre en société et de vivre en paix dans une société humaine harmonieuse, exigent qu’on s'accepter mutuellement comme égal, qu’on communique en toute liberté sans intermédiaire politique, sans interférence politique extérieur, sans interactions sociales opposées, en acceptant les différences sociocommunautaires, sans être juge désigné de l’exception des autres. Mais hélas les nouveaux ploutocrates unilatéralistes, absolutistes, ballons de baskets, au service de l’ultralibéralisme prédateur de jungle assis sur un dirigisme économique systémique qui chantent le progrès fondé sur le surendettement éhonté, ignorent que: La dignité humaine est basée sur la modestie, que le haut rang social est enraciné dans l'humilité, que la sagesse tire sa source de la grandeur d'âme, que l'intelligentsia est innée, même si le savoir scientifique demeure son appoint légitime, qu'on nait intellectuel, même si l’éducation didactique le complète logiquement.

Donc en clair, la grandeur d’un mouvement politique ou d’un homme politique, n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans ses meetings, soutenus par des brigades d’acclamations souvent mobilisées par des frais tirés dans les caisses publiques de l’état. Et au cours de ses campagnes ou visites dites d’état, alimentés en foules par des politicards mercantilistes intéressés, manifestement adeptes aveuglé du monnayable en politique, ou même dans sa capacité a entrainé tous les nihilistes, iconoclastes, arrivistes renégats, ripoux mafieux du pays dans son sillage. Mais la grandeur d’un homme politique est plutôt dans ses actions politiques capables d’orienter le peuple, dans la cohésion sociale, dans l’harmonie communautaire et dans la paix sociale pérenne sans violences armée aucune, avec l’anticipation dans le temps d’un avenir meilleur, commun et partagé. En clair, le pouvoir d’Alassane Ouattara ne veut que des citoyens vaches qui ne pensent qu’à manger. Voilà ce qui est dit est dit.

Oui ! Tant que, Alassane Ouattara demeurera maitre du jeu sociopolitique, du jeu politico-électoral en côte d’ivoire, ou restera la voix du peuple ivoirien dans le concert des nations civilisées et au près des grands usuriers internationaux, des finances internationales, la crise ivoirienne restera entretenue sciemment et perdurera sempiternellement. Notre peuple, notre nation, notre terre, celle hérité de nos ancêtres, vit un moment de crise sociopolitique historique sous l’emprise d’un changement politico-économico-social dramatique, dont l’ivoirien doit œuvrer sans relâche, pour empêcher, qu’il ne tourne à de nouvelles tragédies politico-sociales gouverné par les armes impies en 2020. D’où  la passivité dans l’action politique serait de se faire complice de inacceptable et de l’injustifiable, qu’est la criminalité politico-électorale, afin de l’usurpation du pouvoir d’état, donc ici, la passivité n’est pas une solution de posture citoyenne. Donc refusons avec nos droits, nos libertés, d’être réduit à l’état piteux de vache misérable qui ne pense qu’a mangé, au moment où elle est destiner au sacrifice, pour que quelques-uns en mal de dynastie, de royauté soient multimilliardaires, sur nos vies, sur nos larmes, sur nos sangs.

Oui, Les valeurs sur lesquelles est fondée notre République ne doivent pas être négociables ou monnayables. Notre République est un héritage dont nous avons à assumer l’histoire pour envisager notre futur. Si de sensibilité idéologique et politique différentes que nous sommes dans l’arène politique, nos moyens de lutte diffèrent logiquement, la fin des luttes est la même pour tous, une côte d’ivoire réellement démocratique, stable, cohérente, harmonieuse et paisible. Cette fin oblige, l’unification des combats sociopolitique et la lutte citoyenne synergique, pour la vie. Il ne s’agit donc pas aujourd’hui de tout larguer, de tout brader, au nom de l’intérêt personnel égoïste et égocentrique, ou au nom dont on ne sait quelle fuite en avant carriériste, d’une politique de confiscation du pouvoir d’état par élection truquée. Au mépris de notre aspiration a une nation solidaire, ouverte sur le monde ou tous les changements politiques seront possibles mais dans la stabilité et la paix sociopolitique.

Donc, il s’agit aujourd’hui, de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, «républicanisme, souverainisme, patriotisme réel, nationalisme censé, libéralisme véritablement humain» pour mieux tout dépasser. Et refonder sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents politiques et idéologiques, nous ont légué comme valeurs sociétales, une société neuve, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Une société qui se nourrirait de la sève de la solidarité nationale soutenue et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Le tout convergeant dans une nation ouverte sur le monde et naviguant, vers le concert des nations. Oui, en politique bien comprise en ce 21e siècle, tout ne doit pas être mensonge monnayable ou mensonge d’état et manipulation mercantiliste en politique. Tout ne doit pas être obscurantisme sectaire et mégalomanie pécuniaire en politique. Tout ne doit pas être Hold-up électoral et roublardise mafieuse dans l’arène politique. Tout ne doit pas être matériel dans l’espace public et argent dans la conquête et dans l’exercice du pouvoir d’état républicain et social.

Il s’agit aujourd’hui donc, de replacer au centre de la société, avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état prédateur, la ploutocratie ou règne Dieu l’Argent, la bureaucratie mafieuse, le fascisme arbitraire, les armes comme unique mesure de valeur sociale, la terreur des plus puissants. Mais l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental. Donc pour replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme au centre de la problématique sociale et sociétale et le citoyen au cœur de toute politique économique et développementale. Dans une côte d’ivoire où le citoyen libre, enfin totalement libre, n’a plus que le droit et les règles librement établies, pour limite. Une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains, pour une nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et justice sociale pour tous. « Aujourd’hui, une seule solution pour s’en sortir du  chaos social est une transition de 5 ans dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, tous ensembles, tous fondus dans une moule ivoire incolore, régulatrice, pacificatrice, harmonisatrice, unificatrice et paisible, pour la côte d’ivoire ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny d’une catastrophe ébauchée pour les élections de 2020 par le pouvoir mafieux de, OUATTARA.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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2 décembre 2019 1 02 /12 /décembre /2019 23:39
Lepetitfils : Oui pour l’ivoirien il y a, à ce jour, une seule solution pour s’en sortir, après le chaos social soutenue et entretenu sciemment et par tous les moyens, y compris judiciaires, par un pouvoir despotique et sacrement déviant, est une transition de 5 ans dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire d’Houphouët Boigny. Il est question de soulever sa tête, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Oui, il faut absolument aux ivoiriens un tous ensembles, tous fondus dans une moule ivoire incolore régulatrice, pacificatrice, harmonisatrice, unificatrice et paisible, pour la côte d’ivoire.

Lepetitfils : Oui pour l’ivoirien il y a, à ce jour, une seule solution pour s’en sortir, après le chaos social soutenue et entretenu sciemment et par tous les moyens, y compris judiciaires, par un pouvoir despotique et sacrement déviant, est une transition de 5 ans dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire d’Houphouët Boigny. Il est question de soulever sa tête, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Oui, il faut absolument aux ivoiriens un tous ensembles, tous fondus dans une moule ivoire incolore régulatrice, pacificatrice, harmonisatrice, unificatrice et paisible, pour la côte d’ivoire.

Entre guillemet : « Nous sommes obligé de ré-souligner ici d’emblée que, la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent, ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous, et qui décident de la vie de chacun. Donc Engager dans la recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de la stabilité sociopolitique, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix Houphouët-ienne, nous avons depuis librement préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, ni rémunération pécuniaire, pour donner un autres sens à notre vie ? Ce choix libre est soutenu par notre éclectisme impassible, qui ne peut s’accommodé avec le panurgisme politico-électoral ».

 

Chronique : Dépasser son être pour son pays.

 

Le pouvoir d’Alassane Ouattara parvenue au pouvoir à la suite d’une guerre et des crises sociopolitiques aiguës successives et à répétitions sempiternelle, du 24 Décembre 1999, au 18-19  septembre 2002, pour arriver au 11 Avril 2011, n’est pas prêt à changer la manière et le procédé qui a fait de lui un « monarque absolu » Roi. Malgré une crise sociopolitique qui dure plus de vingt « 20 » ans et qui à fragiliser, voir, mis en lambeaux les fondements sociologiques étatiques et économiques de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui le pouvoir d’Alassane Ouattara est sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne devenue docile à ses errements dans la gestion des affaires de souveraineté absolu et à ses travers politiques dans l’ordre du public. Ou en tant que monarque absolu, il décide seul de tout. La côte d’ivoire s’enfonce du jour au jour dans la loi de la nature, dans une société ploutocratique de jungle ou l’arbitraire à force de loi ou la force matérielle des armes « fusils est Roi.

 

Donc ce pouvoir ne veut absolument rien entendre autour du bien commun, qu’est la chose publique. Ici la règle est de ne rien cédé, ses piranhas et ses sangsues de la ploutocratie naissante doivent être au bout des veines nourricières de la côte d’ivoire, pour servir la table des convives nocturnes mafieux autour d’Alassane Ouattara et cela quel que soit le prix à payer pour la totalité sociale ivoirienne. Oui ici, sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant de nouveaux orages cycliques et des tempêtes catastrophiques en 2020, qui n’épargneront guère personne en côte d’ivoire. C’est un constat irréfragable au vu de la situation sociopolitique délétère, de désordre anomique. La parole risque d’être donnée aux armes, fusils en 2020. Ce qui attise les tensions sociopolitiques, sème l’incertitude, la désespérance, qui règne actuellement en Côte d’Ivoire à la veille des élections de 2020, pour le moment organisationnelle-ment confisquée par le pouvoir. Parce que, le gérontocrate sera candidat : «Si les gens de ma génération sont candidats, je serai candidat». Bien !

 

Les élections de 2020 pour lesquels, nous avions un moment donné espérer, avant le satisfecit et la bonne note de l’Union Africaine « UA », sur la réforme de la commission électorale au pouvoir Ouattara, oui nous avons espérer qu’en fin le moment était venu, pour la communauté dite internationale, de faire l’effort impartial de comprendre, ce que vaut le niveau légaliste, le niveau de respect des droits, le niveau de compréhension de la démocratie universelle et le niveau véritablement humaniste, de l’homme qu’elle a imposé à la tête de la Côte d’ivoire dans le feu et dans le sang, en commanditant des grossiers mensonges sur le légalisme démocratique, en laissant commettre de quantités d’actions interdites, face au droit de l’homme, aux statuts juridiques des Etats, aux conventions de guerre. Tous violés à volontés en 2010 au terme d’une sorcellerie politico-électorale.

 

Tous violés à volontés en 2010, par un soutien ferme à un pouvoir carriériste sans précédent, qui a fait preuve de cynisme barbare, d’obscurantisme nébuleux, depuis le 24 Décembre 1999, au 18-19  septembre 2002, pour arriver au 11 Avril 2011 et tout cela avec le sourire du renard libre dans le poulailler halluciné. Oui, c’est la pire des gaffes de l’histoire des démocraties et de l’humanité, qu’une Mafia international sous couverture de la communauté internationale ou Onusienne, a fait en côte d’ivoire en 2010, lors de la validation des résultats de l’élection présidentielle. Ou la règle édicter au sud-coréen Young-Jin Choi, de Ban Ki-moon, était de faire tomber GBAGBO mort ou vif avec son régime, au nom de l’ONU et de ses principes de protections civiles. Donc au nom de la responsabilité de protéger et du devoir d’ingérence humanitaire, pour installer un pouvoir mafieux, docile, taillé sur la mesure d’une Mafia internationale sous couverture de la communauté internationale ou Onusienne.

 

Oui, tous violés à volontés en 2010, malgré les Garde-Fous constitutionnel du peuple souverain ivoirien, pour se préserver des crises post-électorales, et de prévenir l’irruption des armes « fusils » dans la politique comme en 1999. La constitution du 23 juillet 2000 qui a régit les élections présidentielles de 2010, librement acceptée par tous les candidats au départ des élections. (*-Article 94 *- Le Conseil constitutionnel contrôle la régularité des opérations de référendum et en proclame les résultats : (Le Conseil statue sur : *- l'éligibilité des candidats aux élections présidentielle et législative ;  *- les contestations relatives à l'élection du président de la République et des députés. *- Le Conseil constitutionnel proclame les résultats définitifs des élections présidentielles.-- Article 98 :*- Les décisions du Conseil constitutionnel ne sont susceptibles d'aucun recours. Elles s'imposent aux pouvoirs publics, à toute autorité administrative, juridictionnelle, militaire et à toute personne physique ou morale.) Donc la crise électorale ivoirienne  de 2010, était l’une des crises les plus faciles a soldé, a arbitré. Avec la bonne foi, le respect de la constitution de 2000, qui a régis les élections de 2010, pouvait éviter à la côte d’ivoire une guerre, et sauver 4000 vies de citoyens zigouillés sur l’autel du pouvoir d’état, chemin faisant vers ce pouvoir d’état.

 

Il faut noter ici, que nous avons adressé le 09 Décembre 2010 aux moments les plus forts de la crise ivoirienne, une communication détaillée et étayée de 5 pages d’une précision extrême, avec des pièces jointes, déclarations et témoignages des observateurs électoraux, de 23 pages, plus la décision complète du Conseil Constitutionnel ivoirien juge des élections ivoiriennes, relative au deuxième tour querellé, adressé à tous les pays Africains par le biais de l’Union Africaine (UA), et à tous les chefs d’états Africains par correspondance E-mail. Aussi à toute l’Europe par le biais de l’Union Européenne (UE), au monde par le biais des nations unies (UN), communication qui n’a pu rien changé. Malgré les saisines des organisations internationales citées : l’ONU, l’UE, l’UA, la CEDEAO, le CEN-SAD, le Parlement Européen, le Gouvernement Français. « Et ampliations aux organisations de défense des droits Humains : OMCT, FIDH, FIACAT, ICG, Amnesty International, le RADDHO et RSF ». Cette communication n’est pas tombée dans des oreilles de sourd partout, mais s’est vu opposé des faits non-électoraux antécedents.

 

Au terme de cette communication, nous avons appelé au respect des lois qui ont régis les élections querellées, en soulignant qu’aucune société humaine ne peut être paisible sans le respect de ses normes de régulations sociales existantes et sans le respect des droits de chaque citoyen. Et qu’il n’y a pas de standard international, ou onusien en matière des élections démocratiques, qui sont toujours soumis à la rigueur des normes de régulations sociales préétablies par des pays en élections. Desquelles normes de régulations aucune certification internationale n’a d’habilitation de droit de s’en départir, au risque de tomber dans le non-droit manifeste. Mais hélas ! Les intérêts mafieux ont primés sur le peuple ivoirien. Le sort de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny était scellé par les intérêts mafieux, qui ont primé sur le peuple ivoirien, aujourd’hui martyrisé par une dictature en fait et en droit.

 

Oui, aujourd’hui le pouvoir ploutocratique de, Ouattara ne finit pas d’agencer ses moyens de trucages électoraux, tout y passe. 1*- L’instauration d’une caution de 100 millions de FCFA à payer pour être accepter comme candidat. Non ! C’est insensé l’argent ne doit pas être le socle de la représentativité dans une nation sérieuse. Bien que des citoyens représentatifs, honnêtes, nantis ou fort de leurs acquits ataviques peuvent payer cette caution de CENT MILLIONS, d’autres moins nantis représentatifs comme eux, ne peuvent pas payer cette caution de CENT MILLIONS. Et le pire est que ; Le plus petit criminel braqueur, voleur à main armée, casseur de banque, magouilleur dans la gestion des affaires publiques. Homme politique malhonnête pilleur de deniers publics et le petit escroc rats des finances étatiques dans les grâces du monarque, peut posséder cet argent, sans être représentatifs pour le peuple souverain. Non ! La souveraineté doit rester au peuple souverain dans ses choix. « Si on veut être Président de la République, on doit pouvoir sortir au moins 100 millions de FCFA » n’est pas un langage d’homme politique encore moins d’homme d’état digne de ce Non. Cela frise avec l’affairisme mafieux, d’une ploutocratie post-guerre branché comme des sangsues à la mamelle des finances étatiques ivoiriennes.

 

*2- Le parrainage des candidats par des élus ou par signatures citoyennes ou par qui que ce soit pour être admis candidat est un trucage électoral manifeste. Ce procédé de parrainage peu démocratique, est un outil manifeste de trucage électoral légalisé et d’élimination électoral mafieuse d’emblée, pour ceux  qui n’ont pas participé aux dernières élections. Et c’est un objet d’obstruction pour tous candidats gênants à l’électorat épars dans toute l’assiette territoriale. Ce système favorisé les politiciens de fiefs et de chasse gardée, alors même que sur le plan national, il ne pèse pas grande chose. Et le plus souvent l’acquisition de ces signatures sont monnayables. Alors même qu’il n’y a pas plus démocratique, qu’un citoyen égal un vote au cours des élections pour départager tous les citoyens candidats qui aspirent à participer à la vie publique de leurs pays. Ou tout le monde sans obstruction textuelle, librement parte sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état. Chacun soumis à la mesure réelle  de sa représentativité nationale. La souveraineté doit rester au peuple souverain dans ses larges choix électoraux.

 

* 3- Un seul tour à l’élection présidentielle ?  Et mandat présidentiel illimité ? Ce n’est pas mauvais ! Mais ici, ce qui est mauvais, inacceptable et injustifiable, c’est de recourir à cette option politique d’un seul tour à l’élection présidentielle pour compenser une minorité acquise, face à une coalition politique largement majoritaire au deuxième tour. Et le mandat présidentiel illimité pour ainsi s’éterniser au pouvoir après trucage électoral par les procédés suscités. Ici, la politique de la limitation initiale ou l’illimitation initiale des mandats n’est pas le problème, non ! Peu importe l’option constitutionnelle initiale d’un état souverain. Mais c’est une controuvée modification constitutionnelle a la porte des élections pour la rendre conforme à des intérêts personnels et a des ambitions claniques, face à une élections présidentielle mathématiquement perdue d’avance, qui pose un sérieux problème de droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même. Ici on méprise et on s’accapare la souveraineté. Non ! La souveraineté doit rester au peuple souverain dans ses larges choix électoraux sans trucage textuel.

 

Mais le pouvoir d’Alassane Ouattara sûr de son fait ne veut rien attendre. Les citoyens ivoiriens dans leur grande majorité ont cherché depuis 2011, l’homme politique, l’homme d’état, dans le pouvoir d’Alassane Ouattara, sans découvrir la plus petite ébauche de carrure d’homme politique et d’homme d’état. Toutes les analyses à cette fin débouchent sur l’affairisme au cœur de l’état sans se faire de soucis pour la gestion paisible de la totalité sociale. La côte d’ivoire est sous une mafieuse ploutocratie hermétique d’un régime déviant. Quoi de plus normal, une ploutocratie est le pouvoir par excellence de l’argent, et est un état de société où la richesse est le nerf principal des choses, où l’on ne peut rien faire sans être riche, où l’objet principal de toute ambition politico-électorale est de devenir riche, où la capacité et la moralité s’évaluent généralement par la fortune même à la couleur du sang. La ploutocratie est l’idéologie  politique de survie des valets  et boys de luxes du Fonds monétaire international (FMI), de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et des finances internationale.

 

Donc Espérer des mêmes, est-t-il ici une Erreur de crédule ? Il nous semble aujourd’hui au regard des ébauches des élections de 2020, que nous nous sommes naïvement tromper en espérant des hommes et du droit dans un espace régit exclusivement par les intérêts. Oui peut-être ce serait pour nous, aussi naïf comme en 2010, quand nous, nous adressions a presque la totalité des décideurs du monde, dans la recherche de la solution de droit aux contentieux électoraux de 2010, qui a fini par débouché sur la guerre qui a fait plus de 4000 morts de citoyens. « Bon ! Hélas ! Pauvre de moi, Pauvre d’ivoiriens, Pauvre côte d’ivoire, Pauvre d’Africains et Pauvre d’Afrique ». Au vu de ce constat ci-dessus, aujourd’hui les ivoiriens a plus de 95 % ont opté pour la réconciliation nationale, persuader que la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais, ni par la voie judiciaire nationale, ni par la voie judiciaire CPI-enne, et encore  moins par l’ARBITRAGE des états africains ou d’une communauté dite internationale.

 

Qu’elle ne s’en sortira que dans l’union de tous les ivoiriens. Aujourd’hui toute rencontre sociopolitique, quelle qu’elle soit, qui tend vers l’unification synergique des forces vives de la nation et vers l’unification des combats sociopolitiques, est la bienvenue et doit être soutenue par le peuple souverain. Oui, la réconciliation nationale est incompatible avec l’entretien sciemment à souhait, des crises politico-sociales dont elle a pour objet d’effacer et de cicatriser les blessures sociales. La réconciliation nationale post-crise nécessite qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler, à se reconnaitre, à s’admettre mutuellement comme égal en droit, à accepter les différences sociopolitique, à vivre dans une société commune, qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales.

 

Donc pour que la réconciliation soit productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut se faire en dehors de l’attente et du consensus des acteurs politiques, les hommes de tout bord politique d’abord. Ce sont les acteurs politiques qui sont les problèmes, ce sont eux qui font les problèmes et ce sont eux qui posent problème ou il n’y a n’en pas. Donc les problèmes doivent se résoudre à leurs niveaux consensuelle-ment, tous les problèmes non résolus à leur niveau consensuelle-ment reste un problème non traité, qui gâchera tout un jour. C’est pourquoi le forum pour la réconciliation nationale de 2000 à échoué, malgré les grands tours de micros, et en dépit des milliards dépensés.

 

La réconciliation est donc un désir de rendre notre condition meilleure, une lassitude de la guerre et des crises sociopolitiques, une  crainte légitime des mauvais évènements funestes et mortifères. La réconciliation devrait être la renonciation au désir de vengeance, par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé. D’où toute les rencontres quelles qu’elles soient, doivent être les bienvenues entre ivoiriens, entres sensibilités politiques ivoiriennes différentes et entre idéologies politiques ivoiriennes différentes. Les combats légitimes de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique.

 

Donc au vu de tous ceci ci-dessus, les ivoiriens dans leur ensemble, ne veulent plus de l’ARBITRAGE politique des organisations internationales étatiques sournoisement et insidieusement téléguidées par une mafia de despotes Africains aux intérêts identiques et rafistolés, qui veulent s’éternisé bon gré, mal gré et bon an, mal an au pouvoir d’état, avec les soutiens des grands usuriers internationaux. Et ils « les ivoiriens » ne veulent plus de prisonnier politiques, objet de danse de sorcellerie judiciaire ou de théâtre d’ombre politique dans une juridiction politique. Ce qui signifie pour nous ivoirien que, les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain «  l’état » et pour sauver la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny. Donc vive les rencontres.

 

Oui pour l’ivoirien il y a, à ce jour, une seule solution pour s’en sortir, après le chaos social soutenue et entretenu sciemment par un pouvoir despotique et sacrement déviant, et par tous les moyens, y compris judiciaires, est une transition de 5 ans dans l’union de tous, avec tous les partis politiques soucieux du devenir de la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny. Il est question de soulever sa tête, pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Oui, il faut absolument aux ivoiriens un tous ensemble, tous fondus dans une moule ivoire incolore régulatrice, pacificatrice, harmonisatrice, unificatrice et paisible, pour la côte d’ivoire, et c’est l’unique solution invariable pour s’en sortir du chaos. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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26 novembre 2019 2 26 /11 /novembre /2019 23:49
Lepetitfils : il faut exiger les conditions d’une vraie élection en 2020, débarrassée de tous les desseins de trucages, des appétits carriéristes, de toutes les ambitions politiciennes de passages en force électorale, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, il ne reste plus que la folie et la débilité mentale avancé pour le peuple ivoirien. Et Advienne que pourra. Un peuple doit savoir devenir fou furieux et débile, sinon il n’est jamais souverain. Donc, il le faut pour la côte d’ivoire, il le faut pour la paix.

Lepetitfils : il faut exiger les conditions d’une vraie élection en 2020, débarrassée de tous les desseins de trucages, des appétits carriéristes, de toutes les ambitions politiciennes de passages en force électorale, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, il ne reste plus que la folie et la débilité mentale avancé pour le peuple ivoirien. Et Advienne que pourra. Un peuple doit savoir devenir fou furieux et débile, sinon il n’est jamais souverain. Donc, il le faut pour la côte d’ivoire, il le faut pour la paix.

*- Chronique : Débilité citoyenne et son Remède.

 

La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny de par le fait d’un pouvoir unilatéraliste et absolutiste a acquis le droit inaliénable de toute nation souveraine de devenir folle. Oui la côte d’ivoire doit savoir devenir folle, d’une folie libératrice, sauveuse, régulatrice, salvatrice et réconciliatrice. La côte d’ivoire doit savoir devenir folle, d’une folie destructrice, anéantisse-use, balayeuse, pour les fossoyeurs de la démocratie, les artisans enfarinés des hold-up électoraux, les politiques effrénées de passages en force électoraux. Et c’est de droit souverain, pour la côte d’ivoire, pour la stabilité sociopolitique, pour la paix pérenne. Question d’harmonie sociocommunautaire, de paix sociale et de stabilité sociopolitique, surtout de ne pas faire des économies de crises, en perdurant dans une justice judiciaire bancale, incohérente et parodique. Il faut le souligner ici tout net, qu’aujourd’hui a la lampe de toutes les lumières des faits de guerres de 2002 à 2011 et avec le gyroscope juridique du droit international pénal, il n’est pas possible aux regards rigoristes de ce droit, de poursuivre judiciairement de façon sélective pour crimes de Guerres  « le camp Gbagbo », et ainsi de pouvoir exonéré de poursuites judiciaires les vainqueurs de guerres « le camp de Alassane Ouattara et consorts. Non ! Non ! Et non ! La crise ivoirienne n’a plus besoin de diagnostics causal, le carriérisme pathologique et l’arrivisme politique en sont la cause unique. Or plus qu’Hier, Aujourd’hui les ambitions multiples carriéristes claniques et arrivistes renégats sont montés d’un cran, pour se fixé à la limite de l’acceptable, dans la perspective d’une succession monarchique, programmée au terme des élections qui doivent être soumises aux trucages électoraux à cette fin. Et ainsi l’impossibilité de la réconciliation nationale, à armée plus que jamais la crise contre la totalité sociale.

 

Le pire est à venir dit-on et c’est une évidence, qu’il nous faut trouver tous ensembles  la bonne porte de sortie. Donc la crise ivoirienne a besoin uniquement des remèdes applicables par tous les ivoiriens, dans le corps social ivoirien, rendu très malade par cette crise post-guerre. Oui, concernant les responsabilités de la guerre en côte d’ivoire, ce n’est pas difficile à démontrer les responsabilités dans toute la chaine, les criminels de guerres sont désignés juridiquement et judiciairement par des  faits qui tombent incontestablement dans le champ du droit international pénal et du droit international Humanitaire. Parce que cette guerre après son ébauche le 24 décembre 1999 et déclenchée les 18-19 septembre 2002, résulte des coups d’état, avec son cortège de crimes contre l’humanité, dont des hommes d’état figurent parmi les victimes zigouillés pour ce qu’ils sont. Coup d’état contre un pouvoir démocratiquement légitime et juridiquement légal, auquel on n’a laissé aucun choix autre que le contraindre à la légitime défense. Et aussi la guerre dite postélectorale de 2011 qui est la suite programmé de la première « on m’a remis ce fusil en 2002 que c’est jusqu’au palais présidentiel d’Abidjan a dit un fantassin » a été déclenchée unilatéralement au mépris de la décision judiciaire constitutionnelle qui avait clôturé les contentieux électoraux querellés qui était l’objet revendiqué et qui était l’objet de danse et de théâtres d’ombre politiciennes d’une Mafia internationale sous couverture de la communauté internationale ou « onusienne ».

 

Donc avec un peu d’honnêteté intellectuelle qui oblige à se regarder dans un miroir, on n’a pas besoin d’aller chercher loin  la vérité sur les responsabilités de cette guerre et tout ce qui s’en suit. Même si le titre juridique de belligérance, qui est supposé partager la responsabilité et légalisé le coup d’état de 2002 en acte de guerre, au lieu de crimes d’atteinte criminelle à la sûreté de l’état, a été acquit après à Linas Marcoussis, cela ne change rien aux faits criminels causaux, initiaux de départ. Oui ! On n'a pas besoin de chercher longtemps des arguments pour appuyer l'idée que le fait de préparer sciemment un coup d’état armé contre un pouvoir démocratiquement légitime et juridiquement légale et ensuite de mener unilatéralement une guerre de conquête du pouvoir d’état par les armes après une élection juridiquement perdu, donc sans aucune habilitation légale de droit, sans aucune légitimité populaire, est le pire des crimes contre l’humanité. Sauf si on ne veut pas voir et on ne pas entendre.

 

C’est pourquoi, après une telle monstrueuse gaffe sociopolitique ou la voix d’une Mafia internationale sous couverture de la communauté internationale ou « onusienne », a primé sur les voix des électeurs ivoiriens dans les urnes, et conscient que nous sommes qu’au-delà des malléabilités juridiques et des manipulations judiciaires, que les faits de guerres de 2002-2011, ont désignés les responsables de crimes de guerres et les criminels de guerres et ont rendu leurs verdicts, ainsi guidé que nous sommes, par la sagesse politique Houphouët-ienne, nous soutenons toujours que  pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou l’installation du chaos sociopolitique sempiternel entretenu avec règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état. « La  crise qui a endeuillé la Côte d’Ivoire transporte des droits civils réels a soldé. Mais les activités criminelles fondées sur la participation, l'initiative, doivent être vidé dans le coffre de l’histoire de la nation par la souveraineté populaire, par le biais d’une Amnistie générale référendaire. Plus besoin de rassemblement festif et cérémonial sous l’égide d’un pouvoir voyou et déviant, qui les utiliserait à des fins politiciennes mafieuses ». Oui ! Tout le problème est manifestement et incontestablement là. Comment ce pouvoir acquit par les armes de guerres impies, peut-il se regarder dans un miroir, dans une situation sociopolitique abracadabrantesque. Où le carriérisme pathologique, l’arrivisme renégat, la défense des intérêts particuliers, l’affairisme mafieux ont fini de désintégré le corps de la totalité sociale ou le corpus social, pour ensuite rendre tous inconciliables aujourd’hui en côte d’ivoire:

 

« Oui, la société ivoirienne devenue inconciliables avec ses valeurs d’antan, ses mœurs ataviques. La nation ivoirienne souveraine qui se doit d’être une et indivisible, devenue inconciliable avec la solidarité agissante communautaire diverse, socle de toutes les sociétés harmonieuses. La politique ivoirienne devenue inconciliable avec la démocratie universelle. Les élections ivoiriennes devenues inconciliables avec les votes citoyens qui se sont abstenus à 80% aux  élections de 2010 jusqu’à ce jour, a la veille des élections de 2020. L’exercice autocratique et despotique du pouvoir d’état devenu inconciliables avec les droits inaliénables du peuple à disposer de lui-même et les libertés individuelles. Le pouvoir d’état unilatéraliste et arbitraire devenus inconciliables, avec l’opposition politique significative. Les positions des renégats politicards carriéristes transhumants des deux grands partis politiques devenues inconciliables avec les règles des partis politiques desquels ils se réclament. Les hommes politiques d’une cooptation de manges-mils migrateurs saisonniers, nihiliste, iconoclaste aux multiples ambitions politiques opposées devenues inconciliables. Les communautés nationales diverses autrefois solidaires devenues inconciliables et antagonistes souvent au tour d’un simple bonjour pour que vive les dégâts irréparables. Le Monarque républicain « Dieu le Grand en personne après Dieu c’est lui » enfermé dans sa tour illusoire devenue inconciliable avec toute politique de vraie réconciliation et toute politique de paix pérenne. Oui ! Inconciliables ».

 

Il convient donc de noter ici que, la côte d’ivoire n’a pas à rechercher une nouvelle tutelle démocratique, ou d’être un nouveau protectorat électoral des organisations internationales. Ces « MACHINS » difficilement neutres et impartiaux. Certes, les organisations quelles qu’elles soient, fonctionnent à l’image des hommes politiques qui les animent, donc au rendement et position changeant. Mais n’oublions pas que, Young-Jin Choi, de Ban Ki-moon, a décidé unilatéralement seul du résultat des élections de 2010, sans aucun socle juridique, et au mépris des normes de régulations sociales ivoiriennes acceptées par tous au départ. Quand on sait, qu’il n’a jamais existé un standard international admis absolu des élections, qui sont toujours soumis aux normes juridiques de régulations sociales des pays concernés, et qui diffère d’un pays a un autre. La côte d’ivoire comme la France, La côte d’ivoire comme les USA, la côte d’ivoire comme l’Allemagne, doit pouvoir organiser ses élections démocratiques, sans interférences extérieures aucunes, sans attendre un quelconque satisfecit ou note d’où ils viennent. La côte d’ivoire doit rester totalement indépendante dans sa gestion des affaires étatiques et souveraine dans ses actes socio-politico-intentionnel. Donc point de dirigeant légitime que par la reconnaissance des organisations d’états.

 

Donc pour ces exigences, il convient de rappeler, qu’à défaut des conditions d’une vraie élection en 2020, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, dans un tel schéma actuel, le peuple souverain de côte d’ivoire a le devoir absolu de savoir devenir fou, d’une folie libératrice pour lui-même peuple souverain et d’une folie destructrice pour ceux qui le martyrise en le privant de la paix sociale et de l’union de tous. Et qui ont pour support politique un système ultralibéral prédateur à l’extrême qui bouffe les petits à la table des convives nocturnes des grands usuriers internationaux. Et qui revendique que les individus appauvris puissent organiser leur propre défense dans sa jungle où il est roi. Surtout qui veut un poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours au besoin du renard libre. Oui ! La liberté totale pour le renard libre dans le poulailler libre, le renard hallucinant dans le poulailler halluciné. Oui le peuple souverain doit devenir fou par le fait du martyr d’un pouvoir d’état unilatéraliste, despotique et devenu ostensiblement fou, déviant et voyou.

 

Or quand un pouvoir d’état rend un peuple fou furieux et débile, il se met soi-même à la merci de ses crises de folie et vive les dégâts. De toute évidence et incontestablement après la catastrophe démocratique et électorale de 2010. Et après les travers démocratiques avec 86% d’abstention par dégout et les impaires électorales de 2015 avec un président de la république dit élu avec moins de 15% de l’électorat total inscrit et imposé au peuple souverains de côte d’ivoire par les armes. Il faut absolument arrêter cette dynamique démoniaque, mortifère, destructeur et de dégénérescence sociétale. Oui, il faut une porte de sortie légale et consensuelle à la crise qui dure depuis 20 ans, « décembre 1999 à novembre 2019 ». Advienne que pourra. Il est d’une constance absolue de par le monde que, confiné dans la loi de la jungle le peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Sans les conditions d’une vraie élection en 2020, qui enfantera une vraie réconciliation nationale dans l’union de tous, il faut cette folie un de ces quatre matins pour les citoyens ivoiriens groggy, abruti, infantilisé, réveillé par une folie qui fait agir autrement que par procuration électorale ou élective, et en l’état de débilité mentale avancé qui ne connait que, ligne directe, avec un seul remède le coller la paix Houphouët-ienne.

 

Donc un peuple décidé à prendre son destin en main dans la rue consentante, cette opposante consensuelle et équilibriste critique, qui est la meilleure amie de la souveraineté populaire dans une démocratie réelle et le plus grand sauveur des peuples martyrisés. « Le Mali de 1991, l’une des révolutions Africaine les plus cohérentes parce que soutenue par la totalité sociale souveraine, le témoigne pour l’histoire ». Donc sans les conditions d’une vraie élection en 2020, débarrassée de tous les desseins de trucages, des appétits carriéristes, de toutes les ambitions politiciennes de passages en force électorale, qui enfantera une vraie réconciliation nationale et une vraie paix sociopolitique, il ne reste plus que la folie et la débilité mentale avancée pour le peuple ivoirien. Et Advienne que pourra. Un peuple doit savoir devenir fou furieux et débile au tour de ses droits inaliénables et de ses libertés individuelles, sinon il n’est jamais souverain. Donc, il le faut pour la côte d’ivoire, il le faut pour la stabilité politique, il le faut pour la paix pérenne, dans une souveraineté restaurée du peuple devenu l’absolu souverain.

Oui, Que dit-t-on ? Un seul tour à l’élection présidentielle ?  Et mandat présidentiel illimité ? Ce n’est mauvais ! Parce que, si ceci était prescrit dans la constitution initiale de 2000, Bédié avec ses 41% dont 600.000 voix volé, permuté sur procès-verbaux par trucage, ou  Gbagbo avec ses 38% officiel du premier tour serait élu président en 2010. Mais ici, ce qui est mauvais, inacceptable et injustifiable, c’est recourir à l’option un seul tour à l’élection présidentielle pour compenser une minorité acquise et au mandat présidentiel illimité pour ainsi s’éterniser au pouvoir. Ici, la politique de la limitation initiale ou l’illimitation initiale des mandats n’est pas le problème, peu importe l’option constitutionnelle initiale d’un état souverain. Mais c’est une controuvée modification constitutionnelle a la porte des élections pour la rendre conforme à des intérêts personnels et a des ambitions claniques qui pose un sérieux problème de droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même. Dès lors, pour le peuple ivoirien le nécessaire arrêt impérieux de cette dynamique démoniaque, est devenu d’intérêt public réel, et d’ordre social. « *- Ici en attendant la bénédiction de Dieu d’Abraham et suivants sur l’intercession de Felix Houphouët boigny  à ses côtés, et la future reconstruction Béni de la côte d’ivoire d’Houphouët boigny, que la côte d’ivoire sous Alassane Ouattara soit Maudit, que tout soit gâté même. De nuit comme de jour, si la restauration de la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny doit passer par là, forcement ? Voilà ! « Ceci est du leader de la légitimité citoyenne».

Donc cette folie souveraine du peuple et cette débilité mentale citoyenne avancée, suscitées, ont un duo de traitement vaccinal : *1)-Une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant et un système électoral revu dans toutes ses dimensions, qui lâche tous les candidats sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état en 2020, afin d’obtenir des élections libres et démocratiques, dédouanées de toutes les scories passéistes de trucages électoraux. « La commission électorale dans sa nouvelle mouture est inconstamment Alassanéenne. Le conseil constitutionnel est inconstamment Alassanéen. La liste électorale actuelle avec l’orchestration des énormes fraudes sur la nationalité en espérant compenser ainsi une minorité acquise est inconstamment Alassanéenne. Le découpage électoral actuel qui n’est pas fait au prorata d’un élu pour un nombre d’administré bien déterminé est inconstamment Alassanéen, qui dans cette situation bien que minoritaire dans le peuple devient majoritaire en élus grâce au découpage électoral non-équilibré. Etc. Ici tout est au service du pouvoir d’Alassane Ouattara ».

 

*2)- Une Amnistie générale référendaire de tous les faits commis entre le 24 décembre 1999 en passant par les 18-19 septembre 2002 pour arriver au 11 avril 2011 jusqu’au jour du vote référendaire. « Parce que la côte d’ivoire ne s’en sortir jamais par la voie judiciaire sélective et téléguidée contre un seul camp belligérant. Oui, il n’est pas possible aux regards rigoristes du droit international pénal qui n’a rien de sens unique, de poursuivre judiciairement pour crimes de Guerres, que les vaincus de guerre « le camp Gbagbo », et ainsi de pouvoir exonéré de poursuites judiciaires les vainqueurs de guerres « le camp de Alassane Ouattara et consorts » non ! Ce serait faire magasiné une partie importante de la crise ivoirienne pour demain et de donner rigueur de droit absolue a la politique idéologique de l’imprescriptibilité de certains crimes de guerre commis dans la crise ivoirienne par le camp d’Alassane Ouattara le belligérant déclencheur. La stabilité politique, l’harmonie communautaire, la paix sociale exigent de clôturé les expéditions judiciaires sélectives et téléguidées des vainqueurs de la crise ivoirienne.

 

Ce duo de traitement vaccinal « anti-folie souveraine du peuple et anti-débilité mentale citoyenne avancée », mettra une fois, pour toute, notre pays sur les rails du droit universel, de la démocratie universelle, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne et de la reconnaissance absolu de tous, avec les droits civils et politiques libéré de toutes les restrictions textuelles controuvées du pouvoir actuel. « Parce que ce pouvoir aura ainsi son cul en plein air et à ciel ouvert près pour recevoir un coup de pied citoyen bien administré qui le montrera la porte de sortie définitive ». Et de coller la paix Houphouët-ienne à la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. « Maladie et Remède infaillible, question de choisir par le pouvoir Ouattara ». Seulement, que la nature épargne la côte d’ivoire des Flambeaux Nocturnes citoyens. Oui, Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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20 novembre 2019 3 20 /11 /novembre /2019 01:32
LEPETITFILS : pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou le chaos sociopolitique sempiternel entretenu par des règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état, par les artisans « Alassaniens » du trucage électoral de 2010, qui soutiennent en nouveaux, que 2020 c’est bouclé, c’est géré, c’est calé. Ces fossoyeurs « Ouatara-iste » de la démocratie, champions de holdup de 2010 dans une alliance de cooptation peuplé de mange-mils migrateurs.

LEPETITFILS : pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou le chaos sociopolitique sempiternel entretenu par des règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état, par les artisans « Alassaniens » du trucage électoral de 2010, qui soutiennent en nouveaux, que 2020 c’est bouclé, c’est géré, c’est calé. Ces fossoyeurs « Ouatara-iste » de la démocratie, champions de holdup de 2010 dans une alliance de cooptation peuplé de mange-mils migrateurs.

*- Chronique : La porte de sortie de crise.

« Notre motivation ? C’est parce qu’il y a le volcan qui dort sur la terre de nos ancêtres et qu’on n’a plus besoin des lunettes d’Emmanuel Khan et de Karl max, ou de Thucydide pour le voir, est notre motivation citoyenne. C’est tout sauf un jeu de rôle régulateur de routine citoyenne ou une simple réaction sentimentale, non ! C’est une sécession mentale avec un pouvoir d’état déviant, inscrit dans une logique de démocratie de façade et de passage en force électorale en espérant de ses armes fusils à l’Arrivée. Oui, pour nous, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Ce n’est pas en refusant de regarder une plaie sur le front dans un miroir et préférer tâter l’orteil au pied que la plaie au front va guérir. Non ! Elle va se gangrenée ».

Donc, il faut le dire ici tout net et sans équivoque que, si nous « ivoiriens » tenons à un mode d’organisation sociale consensuel qui s’imposera a tous par le biais d’une bonne organisation électorale consensuelle fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau dans notre pays. Où tout le monde « partis politiques, groupement de partis politiques, candidats indépendants libres de tous engagements », partent librement en compétition sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, oui, où on pourrait faire la politique et aller dormir chez soi en toute quiétude, sans crainte d’être zigouillés ou arrêté, nous devons commencer par nous lever dès maintenant pour dire non au pouvoir arbitraire unilatéraliste immiscé dans l’organisme électorale et sa réforme unilatérale de notre mode d’organisation sociale fondée sur un parti pris grossier dans le système électorale. Et de prendre un certain nombre de mesure nécessaires pour des élections propres en 2020 indispensable à la cohésion sociale, à la paix sociopolitique et à l’harmonie communautaire. Des mesures qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails du droit universel, de la démocratie universelle, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne et de la reconnaissance absolu de tous.

Oui ! Nous avons toujours dit et répété; que si l’on veut être crédible aux yeux du monde extérieur, il nous faut montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques en côte d’ivoire. Oui, notre soif de droit, de liberté, de justice, d’égalité et de démocratie, ne doit pas s’accommoder, avec le mépris hautin pour un consensus politique, pour le dialogue républicain dans l’ordre du public. Il est temps de dire non ! Que ça suffit ! Que s’est trop indécent pour l’image de la côte d’ivoire. Oui, là où la société d’antan se fondait sur l’obéissance moutonnière et le panurgisme de vache qui ne demande qu’à manger, celle d’aujourd’hui privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques. D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Parce que la souveraineté réside dans le peuple; elle est une et indivisible, imprescriptible et inaliénable. Ici de droit, et incontestablement, le peuple est le souverain absolu.

Donc, le pouvoir d’état issu des urnes démocratiques doit être l’affirmation de la volonté de ce peuple souverain. Ici pour voir une société, pour dire une société, pour rencontrer et raconter une société, pour entendre une société, pour connaitre une société, il n’est pas, en droit, d’autre institution légale et fiable que le mode d’accession au pouvoir d’état par élection démocratique pluraliste, qui demeure par excellence, l’expression légale et légitime de la souveraineté populaire . La société ivoirienne de demain sera ce que nous déciderons tous ensembles aujourd’hui consensuelle-ment autour de l’organisme électoral et des élections démocratiques pluralistes consensuelles. Donc la peur Bleu des élections propres et de l’Adversité électorale qui motive, l’orchestration des persécutions politiques des opposants politiques sous couverture judiciaire et une justice des vainqueurs de guerres, sélective, téléguidée, par le pouvoir exécutif d’état, sont à l’opposé de la quête de l’ordre social, de l’ordre public, de l’intérêt général, de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale. Or le système judiciaire ivoirien sous l’emprise du pouvoir d’état, baigne dans un océan d'humiliation des opposants et d'abus du pouvoir exécutif d’état.

Oui, il faut se répéter ici d’emblée, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national et de paix sociale à l’Africaine. Cette culture de non-violence, d’harmonie communautaire et d’union nationale à toute épreuve. Oui, cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire et cette Africanité atavique cohérente à l’ivoirienne. Cette politique sociale initié par Félix Houphouët Boigny, assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. C’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir, sagement pratiqué par Felix Houphouët Boigny. Hélas ! N’avoir malheureusement aujourd’hui pour principaux porte-paroles et principaux représentants dans l’arène politique ivoirienne, dans la vie publique ivoirienne et dans le concert des nations, qu’une minorité iconoclaste, nihiliste, d’opportunistes hommes politiques carriéristes pathologiques et arrivistes renégats, qui méprisent le droit, les libertés et la démocratie.

Oui, nous sommes peinés, attristés de voir la côte d’ivoire de Félix Houphouët BOIGNY, devenir le lieu de toutes les politiques chaotiques, d’expérimentation de toutes les crises sociales d’animosité de la planète sous la houlette du moi ou rien, sinon la terre brulée. « Vive le dicta d’un pouvoir unilatéraliste aveugle qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux, donc vive la vie très chère, vive la criminalité électorale de toute sorte pour la damnation de la pauvre côte d’ivoire destinée à la désocialisation à petit feu ». Oui, pourquoi la côte d’ivoire doit être l’exception de la règle universellement admise par la volonté d’un pouvoir politique aveugle ? L’exception n’a jamais été du droit dans le monde civilisé. Donc il faut le consensus autour de la chose publique et dans l’ordre du public, notamment en matière de processus électoral socle de la totalité sociale. Les élections au-delà de l’aspect exigé par les principes universels démocratiques viennent pour consolider le lien social, qui est éminemment politique ou chacun bénéficie de tous ses droits et se soumet volontiers à ses devoirs, dans le respect de sa vie physique et privée. Donc les élections doivent elles-mêmes pour être démocratiques, répondre à certaines conditions techniques, juridiques et politiques, sans parler du cadre sociopolitique paisible, nécessaire à un choix libre et authentique des citoyens. Ne l’oublions pas la fonction primaire d’un système démocratique des élections pluralistes est intégrateur. Un tel système sert à atténuer les éléments potentiels de conflit électoral et à lubrifier le mécanisme des rapports entre les acteurs sociopolitiques, afin de garantir la stabilité politique et la paix sociale.

Parce que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale, de la totalité politique à un système des élections démocratiques pluralistes, que le système des interactions socio-politico-démocraties peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents entre acteurs de la vie sociopolitique. Donc il ne reste plus rien d’autre à l’ivoirien que de se battre légalement. La lutte individuelle pour le pouvoir, ne doit pas altéré les exigences citoyennes, de défense de l’intérêt général, de combat démocratique, de vérité, de lucidité, d’objectivité dans la lutte et de courage dans l’action politique dans notre pays la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc pour une fois n’entrainons pas le peuple souverain de côte d’ivoire sur des terrains colorés de chasses des intérêts politiques particuliers. Qui n’ont d’autre objet que d’obvier l’essentiel sociétal, que de masquer l’intérêt général de la totalité sociale. Donc luttons tous ensembles loyalement pour, pouvoir obtenir une commission électorale consensuelle digne de ce Nom, Apolitique, Autonome et totalement indépendante des pouvoirs étatiques, pour une meilleure société ivoirienne de demain. Oui ! Le mode de l’organisation sociale, la sphère politique, l’espace public encore moins le pourvoir d’état ne sont pas des plantations privées d’une meute d’opportunistes politicards assis sur la force matérielle des fusils.

Oui ! Il serait bon aujourd’hui pour la côte d’ivoire, de ne pas s’enfermer dans une logique unique de répression judiciaire sélective téléguidée contre un seul camp politique. Et de pouvoir tenir compte des circonstances propres à la situation de la crise sociale ivoirienne de 1999-2002 jusqu’en Avril 2011. Oui, dans le cas de la crise ivoirienne, il est préférable de privilégié, voire de subordonné la répression pénale sélective téléguidée, contre un seul camp politique vaincu, qui affecte la crédibilité de la justice, tant nationale, qu’internationale, et qui laissera des frustrations, des ressentiments subsister longuement sur le terrain sociopolitique en crise, au souci de transparence d’une nécessité de contrition, voir au soucis d’une demande de repentance, qui sera satisfaite par un vrai processus de réconciliation nationale. Parce qu’en effet, il est incontestable, que seule la vérité est à même de nettoyer l’abcès de la haine de la belligérance passée, d’anéantir les futures sources potentielles de conflits ou des crises sociopolitiques et d’amorcer le processus de guérison des plaies sociales existantes. Et il n’y a pas mieux qu’une Amnistie générale référendaire consensuelle acceptée par le peuple souverain dans toute sa composante populaire et dans toute sa diversité solidaire.

L’amnistie renvoie dès lors les affrontements du passé à l’histoire, elle peut, si elle est réussie c’est à dire acceptée consensuelle-ment par tous, leur ôter leur pointe mortelle dans l’intérêt commun. La côte d’ivoire en n’a besoin, pour qu’en fin, les combats politiques, les débats d’idées démocratiques contradictoires se mènent, avec la bouche haut-parleur en mains et jamais avec les armes « fusils » de guerres, comme mesure de valeur sociopolitiques et source de pouvoir d’état. Mais hélas ! Le pouvoir ivoirien à la réputation d’être intransigeant. Si l’ivoirien veut le rétablissement de la paix sociale, de la stabilité politique et de l’apaisement des esprits, il doit s’inscrire dans la logique salvatrice de l’oubli, voire du pardon, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale couronné par une Amnistie générale référendaire, qui reste la seule voie honorable de la sortie de crise. Donc une Amnistie générale référendaire, pour éviter une loi du talion indéfinie et la contagion du désordre, pour apaiser les esprits, associer l’ordre et la clémence consensuelle, créer une société policée et non la compétition indéfinie des frustrations individuelles ou claniques, pour établir un état social au lieu d’un état de prédation, sinon de nature.

MAIS HÉLAS ! LES MÊMES DANSES D’OMBRE DE SORCELLERIE POLITIQUE RECOMMENCENT EN CÔTE D’IVOIRE. A-T-ON DÉJÀ OUBLIER QUE LADITE COMMUNAUTÉ INTERNATIONALE ÉTAIT AU CHEVET DE LA CÔTE D’IVOIRE LORS DES ÉLECTIONS  DE 2010 ? QUE CELA N’A PAS PU EMPÊCHER LA GUERRE POST-ÉLECTORALE QUI A FAIT PLUS DE 7000 MORTS ? ALORS QUE LA CEDEAO AVAIT UN REPRÉSENTANT EN CÔTE D4IVOIRE, QUE L’UNION AFRICAINE AVAIT UN REPRÉSENTANT EN CÔTE D’IVOIRE ? QUE LES NATIONS UNIS ÉTAIT EN CÔTE D’IVOIRE AVEC UNE ARMÉE DE MILLIERS DE SOLDATS, MAIS QUE CELA ABOUTIT SUR LA GUERRE POST-ÉLECTORAL QUI A FAIT 4000 MORTS ? LA CÔTE D’IVOIRE A-T-ELLE TOUJOURS BESOIN DE NOTES OU DE SATISFECIT DE LA COMMUNAUTÉ DITE INTERNATIONALE EN MATIÈRE ÉLECTORALE. ON NOUS PARLE DE PAYEUR, SI CELUI QUI PAYE A DROIT DE REGARD DANS LA CASSEROLE ? IL EST CLAIR QUE LE RECEVEUR DE LA DONATION LA CÔTE D’IVOIRE AURA DES PLAIES ENCORE A PANSER EN 2020. Il faut souligner ici formellement que des hommes, de par leur travail de stratèges, ardu, inlassable, parfois ingrat et par leur abstention électorale stratégique 85%, ont pu ainsi réduire le pouvoir d’Alassane Ouattara à sa juste réalité 16% à 18% à la face du monde.

Mais cette fois en 2020 pour quelques raisons quelles qu’elles soient : « Retour des déportés politiques que sont le Président Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé ou pour l’absence de réconciliation nationale, ou même de transparence électorale », On reste fataliste, résigné, inerte, statique et passif, pour laisser le champ libre au pouvoir d’Alassane Ouattara, ce serait fini pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Il va falloir dès lors s’apprêter à vivre tous les changements inimaginables « changement de dénomination du pays, de drapeau, de hymne nationale  et de totale désocialisation ». Comme l’a dit l’autre, 2020 ça passe ou ça casse, une implosion-explosion serait même mieux. « Bon ! A la suite d’un petit problème, une amie m’a dit la semaine dernière amicalement, que la source de tous mes problèmes est ma Gueule ouverte en permanence, je lui ai répondu que je ne pouvais rien contre, parce qu’elle n’est pas faite pour être fermée». OUI, LA CÔTE D’IVOIRE NE S’EN SORTIRA JAMAIS PAR LA PORTE DE LA COMMUNAUTÉ DITE INTERNATIONALE, QUI A TOUJOURS SES PIONTS A JOUER. ELLE NE S’EN SORTIRA QUE PAR L’UNION DE SES FILLES ET FILS UNIS SOLIDAIREMENT AU TOUR DE L’IDÉAL DE PAIX HOUPHOUETIEN, QUI EXIGE ENTENTE ET CONSENSUS AUTOUR DE LA CHOSE PUBLIQUE, DANS L’OUBLI DE SOI.

Donc il faut le Dialogue sociopolitique sincère et le Consensus au tour de la chose publique, le bien commun. Il faut la Légalité. Il faut légitimité. Il faut la Transparence absolue dans l’ordre du public. Pour ainsi obvier toute possibilité de future crise sociopolitique et de futur chaos social en perspective. La force incontestable de ce processus consensuel, réside dans son caractère réconciliateur, entre hommes politiques d’une part et entre communautés nationales d’autre part, qui peut obvier d’autres sources de crises sociopolitiques dans le temps. Toute autre solution unilatérale, intransigeante, à la crise ivoirienne ne peut qu’être éphémère, toute autre porte de sortie solitaire s’ouvrira sur de nouvelles crises sociopolitiques.  Oui ! En clair donc, pour la côte d’ivoire, il n’y a pas deux (2) postulats, l’Amnistie générale référendaire consensuelle pour la paix sociale, ou le chaos sociopolitique sempiternel entretenu par des règlements de comptes dans un capharnaüm kafkaïen à fin de confiscation du pouvoir d’état, par les artisans « Alassaniens » du trucage électoral de 2010, qui soutiennent en nouveaux aujourd’hui, que 2020 c’est bouclé, c’est géré, c’est calé. Ces fossoyeurs « Ouatara-iste » de la démocratie ivoirienne, champions de holdup électoral de 2010, aujourd’hui dans une alliance de cooptation conjoncturelle peuplé de mange-mils migrateurs saisonniers toujours à la manœuvre.

Donc l’Amnistie générale référendaire consensuelle dans sa grande clémence qui appelle de droit, au pardon mutuel, voir à l’oubli judiciaire, n’est pas distincte de l’état républicain de droit souverain et c’est la porte de sortie de crise, la plus sage, la plus honorable, donc la plus Houphouët-enne pour la côte d’ivoire. C’est ainsi que dans un grand pays comme la France, dont l’histoire est jalonnée de guerres civiles et de crimes massifs, des guerres de croyances religieuses, aux tragédies du XXe siècle, en passant par les tourmentes révolutionnaires, l’amnistie est régulièrement venue à l’appui de l’apaisement social, favorisant la reconstitution du tissu national. Comme dit plus haut «  l’amnistie renvoie les affrontements du passé à l’histoire, elle peut, si elle est réussie c’est à dire acceptée consensuelle-ment par tous, leur ôter leur pointe mortelle dans l’intérêt commun ». La politique idéologique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité est certes respectable, mais celle de l’Amnistie référendaire ne l’est pas moins, dès lors qu’elle contribue à l’intérêt public, à l’ordre social, à la paix publique, et qu’elle s’inscrive au cœur de la logique de volonté générale du peuple souverain.

C’est pourquoi, dans le monde d’aujourd’hui du 21E siècle, seul l’ordre social dans une nation SOUVERAINE est opposable à l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité par un peuple SOUVERAIN en quête de paix sociale. Hélas ! Le pouvoir de, Alassane Ouattara à la réputation d’être inflexible, irréductible, hermétique et intraitable sur des questions dans l’ordre du public, qui engagent la vie de la nation, la vie de la totalité sociale, la vie de tous et la vie de chacun. Quoi de plus normal quand dans un despotisme absolu, la génuflexion, la courbette et la prosternation seigneuriale deviennent la règle indiquée pour rester à la table des convives, garnie de deniers publics sur le dos du peuple souverain. Mais il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut rien voir. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).          

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13 novembre 2019 3 13 /11 /novembre /2019 17:48
Lepetitfils : L’âme du pouvoir d’Ouattara est possédée depuis 2011 par le Diable, elle est obscurantiste, démoniaque, satanique, maléfique et sado-perverse. Donc, pas question de consensus politique. Point de sagesse Houphouët-ienne, point de réflexibilité politique. Alors qu’une âme juste est guidée par sa connaissance du Bien. Cette disposition consiste à se gouverner selon la raison. Une âme juste maîtrise ses passions. Enfin, une telle âme peut être dite en bonne santé, parce qu’elle se tient à l’écart de l’injuste et du dérèglement des passions.

Lepetitfils : L’âme du pouvoir d’Ouattara est possédée depuis 2011 par le Diable, elle est obscurantiste, démoniaque, satanique, maléfique et sado-perverse. Donc, pas question de consensus politique. Point de sagesse Houphouët-ienne, point de réflexibilité politique. Alors qu’une âme juste est guidée par sa connaissance du Bien. Cette disposition consiste à se gouverner selon la raison. Une âme juste maîtrise ses passions. Enfin, une telle âme peut être dite en bonne santé, parce qu’elle se tient à l’écart de l’injuste et du dérèglement des passions.

*- Chronique. Le droit n’a rien de sens unique.

Ici nous réagissons avec beaucoup de peine au constat que la sagesse n’a pas encore habité l’esprit du pouvoir de, Alassane Ouattara. Alors même qu’il est de notoriété publique universelle que, l’exercice du noble art politique est la saine appréciation des réalités du moment. Oui, est-t-il possible aux regards rigoristes du droit, de s’entêté dans des poursuites judiciaires sélectives pour crimes de Guerres contre les vaincus de guerre « le camp Gbagbo », et ainsi de pouvoir exonéré de poursuites judiciaires les vainqueurs de guerres « le camp de Alassane Ouattara et consorts » reconnus et avérés grand criminels de guerres pendant la crise ivoirienne en générale et la guerre post-électorale en particulier déclenchée unilatéralement par Alassane Ouattara et bien documentée aujourd’hui ? Pour la stabilité politique, pour l’harmonie communautaire, pour la paix sociale, ne peut-t-on pas clôturé les expéditions judiciaires sélectives et téléguidées de la crise électorale de 2011 ? Pour les mêmes causes de valeurs sociopolitiques inestimables, ne peut-t-on pas confié de droit, les élections a un organisme électoral Apolitique, Autonome et totalement indépendant qui lâche tous les candidats sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état en 2020 ? Que non ! Le pouvoir d’Alassane Ouattara doit pouvoir s’immiscer dans le processus électoral, pour danser son tango obscurantiste. Ses arrières casseroles puantes n’en sont-t-elles pas la cause unique ? En clair peut-t-on poursuivre l’Homme politique Charles Blé Goudé, aujourd’hui pour « crimes de guerre et crimes contre l’humanité devant le tribunal criminel de côte d’ivoire, parce qu’on aperçoit  la faillite certaine de la procédure déjà engagée sur des allégations mensongers devant la cour pénale internationale (CPI) qui l’a acquitté. Acquittement dont la côte d’ivoire attend comme postulat de paix, de réconciliation nationale ?

Et demain se faisant en même temps, de pouvoir convaincre un seul ivoirien, pour raison de réconciliation nationale et de paix sociopolitique, de l’inutilité des poursuites judiciaires contre Alassane Ouattara et consorts reconnus et avérés grand criminels de guerres pendant la crise ivoirienne en générale, coup d’état manqué des 18-19 décembre 2002 transformé en rébellion et la guerre post-électorale pour la prise du pouvoir d’état en particulier déclenchée unilatéralement par Alassane Ouattara et bien documentée aujourd’hui ? En politique n’y a-t-il pas une ligne rouge face à laquelle les pouvoirs politiques des états doivent s’arrêter pour dire la nation d’abord, le pays d’Abord et l’entité commune qu’est l’état d’abord ? C’est pourquoi il est de pratique constante de par le monde que, quand la clémence de l’Amnistie générale référendaire, qui résulte du droit international coutumier, « le droit des droit », peut incontestablement ramener à l’amour entre communauté nationale, à la cohésion nationale de la totalité sociale, à la stabilité sociopolitique, à la paix sociale, si elle est acceptée par tous, ce qu’une inflexible sévérité politico-judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale. Dès lors l’Amnistie générale référendaire est recommandée par la grande loi du bien public, de l’ordre social, de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre public, que dans l’ordre social paisible.

Cette Amnistie référendaire est au-dessus de la constitution, elle fait la légalité et le droit en tout lieu et en tout temps. Il faut pouvoir fermer la porte derrière a d’autres crises sociopolitiques, qui serait plus conséquentes dans pareille situation. Ce referendum sur l’Amnistie devient ainsi un contrepouvoir destiné à éviter les décisions qui seront prises par les gouvernants sur la base d’intérêt autre que général. Cette Amnistie générale référendaire devient dès lors un instrument d’adhésion du peuple souverain à un projet éminemment politique, qui engage la vie de la totalité sociale. Elle vise donc à faire adhérer une grande majorité du peuple souverain a un choix sociopolitique, à un projet politique qui touche à la souveraineté nationale, ou à une proposition politique d’intérêt général. Ce qui est le contraire de l’ordonnance d’Amnistie d’Alassane Ouattara du 6 août 2018. De toutes les façons, celle-ci ne tient qu’à lui seul, Alassane Ouattara, et celle-ci ne tient que par lui seul Alassane Ouattara. Or Aujourd’hui ses intérêts politico-électoraux de 2020 s’opposent à son ordonnance d’Amnistie. Donc, dès lors les poursuites judiciaires refont surface par la force des élections de 2020. En oubliant que les crimes de guerres commis en côte d’ivoire de 2002 à ce jour sont régis par le droit international qui n’a rien de sens unique.

Le retour de l’épée peut être pour demain. Pusqu’il est de notoriété publique qu’en côte d’ivoire, des crimes de guerre ont été commis en 2002 de Bouaké à Abidjan et en 2011 à l’ouest, de Man à Abidjan, et le tout chemin faisant vers le siège du pouvoir Gbagbo. Oui, il est de notoriété publique, bien partage avec les ONG de défenses des droits de l’homme que, 1600 morts en 24 heures en 2011 ont été faites par les fantassins lâchés en dehors de tous titres et de toute habilitation de droit, par un auto-proclamé président de la république, soutenu par une forfaiture internationale. Ici pas besoin d’excavé des fouillis ou de consulté les puits dans toute l’assiette territoriale nationale, pour s’en persuader, Bouaké et « Adjanou, Assandré, Assafou-N'zegouanou s/p de » Sakassou, Duékoué et Guitrozon et suivant, ont rendus leurs témoignages a la vraie humanité. Et l’interface paravent justificatif désigné « SORO » ne tient pas la route du droit international pénal, tant en 2002 ou il n’était Rien qu’en 2011 ou il ne commandait rien après les élections querellées de 2010. Non ! L’interface paravent justificatif SORO ne tient pas la route en droit international « un étudiant zéro pointé, Bouche M’lê- M’lê. Pas 5 F « moro-pikini dans sa poche, mais qui dit je suis rebelle, voilà pourquoi je suis devenu rebelle ». Non ! Je dis Non !

Ce n’est pas compliquer en droit international pénal, qui somme dans ce cas, que cela est facile, trop, trop léger et demande de dire la vérité, rien que la vérité, toute la vérité. Un des principes les plus élémentaires de droit, transcende dès lors l’auto-réclamation pour se pose la question inquisitoire à qui profite les coups d’état et les crimes de guerres, de conquête effrénée du pouvoir d’état par les armes, commis entre le 24 décembre 1999, de septembre 2002 et  au  11 avril 2011. Donc durant Onze « 11» ans, quatre « 4 » mois et dix-huit « 18 » jours, pour réussir à conquérir le pouvoir d’état par les armes « fusils ». La réponse à cette procédure d’inquisition conduit inéluctablement sur le vrai criminel de guerre commandant et commanditaire couvert par l’auto-réclamation, au cas contraire la justice internationale se dénierait, et elle ne peut pas se dénier, face à la force de ce qui est documenté par des ONG neutres et impartiales. Ce principe inquisitoire a induit depuis plus d’un siècle, d’une manière générale, le principe de la responsabilité individuelle, qui est ainsi posé pour assurer que tous ceux qui contribuent à la commission du crime soient tenus pour responsables. Qu’il soit généralement reconnu, qu’il y a des actes ou omissions pour lesquels le droit international pénal doit attribuer la responsabilité pénale aux individus qui en sont responsables et contre lesquels la peine doit être imposée. Qu’au cas contraire les criminels de guerre les vrais commandants et commanditaires de ses subordonnés seront assurés de l’impunité totale.

L’objectif des principes de la responsabilité pénale individuelle relativement à la position officielle, à la responsabilité pour ordre, et aux ordres du supérieur, est de s’assurer que la responsabilité pénale des personnes, tout au long de la chaîne de commandement, ayant directement ou indirectement contribué à la violation des règles du droit international, est suffisamment engagée. Quant à la responsabilité du supérieur hiérarchique commanditaire actif ou passif pour les actes du subordonné, signalons qu’elle a été reconnue en 1907 par la convention de la Haye. Donc à la lampe de toutes ses lumières ci-dessus, ici nous partons des faits qu’après le coup d’état du 24 décembre 1999, et depuis le mois de septembre 2002 jusqu’à la date d’Avril 2011 jusqu’à aujourd’hui, la crise ivoirienne résultante d’une volonté de conquête du pouvoir d’état par les armes « fusils », a fait plus de sept milles « 7000 » morts de citoyens, dont quatre milles « 4000 » citoyens morts pendant la seule période de la crise postélectorale. Et que les premiers pénalement responsable de ces exactions et de ces  tueries de guerres , « crimes des crimes » aux yeux du droit international pénal et du droit international humanitaire, chapeauté par le droit international Newyorkais, sont ceux qui détiennent la direction et le conducteur de la puissance publique étatique en côte d’ivoire. Et qui se sont inscrit dans une logique de justicier.

Donc les premiers pénalement responsable de ces exactions et de ces  tueries de guerres, sont maitres par excellence de la force de répression légale en côte d’ivoire. Ce sont ceux-là même qui ont entre les mains les leviers de la justice ivoirienne, qu’ils téléguident, au surplus de la cour pénale internationale « CPI ». Cela va engendrer un besoin criant de justice judiciaire et de justice sociale qui mettra en mal à coup sûr toute la société ivoirienne dans un avenir proche. Comme on le dit de coutume « justice pour tous, égaux en droit et devoir ». Un besoin criant de justice judiciaire et de justice sociale, puisque dans le rapport préliminaire présenté à la conférence de la paix, à Versailles, le 29 Mars 1919, a été reconnue la possibilité d’attribuer sur les personnes en position d’autorité qui ont failli à leur devoir de prévenir les violations des lois ou coutumes de la guerre commises au cours de la Première Guerre Mondiale. Parce que d’une part, le supérieur doit savoir ou avoir des raisons de savoir que son subordonné était sur le point de commettre ou a commis le crime. D’autre part, le supérieur doit avoir failli de prendre toutes les mesures nécessaires et raisonnables qui s’imposent pour prévenir la commission de ce crime par son subordonné, arrêté son subordonné engagé dans l’activité criminelle ou le punir, ainsi que dissuader toute autre activité criminelle. « Ici Ouattara assure et soutient l’impunité des siens ».

Ce qui fait que le supérieur hiérarchique encourt une responsabilité pour cause d’omission ou d’infraction commise par une personne placée sous son contrôle. Et Pour qu’il en soit juridiquement ainsi, il est nécessaire que le lien qui les unit soit tel qu’il place l’auteur de l’infraction sous la subordination de celui qui répond de sa faute. Mais encore le supérieur doit être une personne ayant autorité sur ses subordonnés, disposant d’une capacité de mettre fin à une conduite criminelle, dont elle savait ou aurait dû savoir par obligation que ces derniers allaient ou étaient en train de commettre. Ce principe de la responsabilité du supérieur hiérarchique qui tire son origine de la responsabilité pénale individuelle tel qu’appliqué par les juridictions de Nuremberg et de Tokyo, a été ultérieurement codifié par le statut du tribunal Pénal International pour le Rwanda à l’article 6. Donc ici, les crimes postélectoral commis par les fantassins lâché par Alassane Ouattara parti de l’ouest de de la côte d’ivoire, chemin faisant vers l’objectif désigné par l’ordonnateur, qu’est le pouvoir du président Laurent  Gbagbo au sud de la côte d’ivoire, dans leurs expiations judiciaires ne peuvent épargné sous n’aucun prétexte Alassane Ouattara encore moins exonéré les fantassins de ce dernier de poursuite judiciaire sous prétexte qu’ils ont acquis le pouvoir par les armes aux prix de 7000 morts de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état

Non ! Impossible ! Les obligations internationales qui s’imposent aux individus priment sur leurs pouvoirs d’état et sur leurs devoirs d’obéissance envers leurs l’Etat dont ils sont ressortissants. Le gouvernant d’état qui a violé les lois de la guerre ne peut, pour se justifier, alléguer le mandat qu’il a reçu de son état, du moment que l’Etat, en donnant ce mandat, a outrepassé les pouvoirs que lui reconnaît le droit international. Donc il est clair et net qu’au vu des  sept milles « 7000 » morts de la crise ivoirienne dont plus de quatre mille morts « 4000 morts » pour la seule période de la crise post- électorale, et au vu des grands principes irréfragables et invariables du droit international pénal et du droit international humanitaire. Il est aisé pour chaque citoyen de savoir que Alassane Ouattara et consorts sont passible formellement, irréfragable-ment et sans équivoque de poursuite judiciaire. Alors pourquoi en faire l’économie sur le dos de la paix sociopolitique en côte d’ivoire.  D’autant plus que face aux exactions et tueries de milliers de personnes qui frôle l’extermination « GENOCIDE » les Nations UNIES à travers l’ONU-CI s’en est fait échos et les ONG de défenseurs des droit de l’homme, Amnistie International ne sont pas resté inerte face à l’ampleur des exactions et des tueries des FRCI et DOZOS de Ouattara dans l’ouest ivoirien, et sur tout leur passages en direction d’Abidjan hécatombe était manifeste et ostensible.

Ici en droit international pénal et en droit international humanitaire, les chefs hiérarchiques sont pénalement responsable des faits commis de leurs hommes armées et armés par eux, avec pour des missions précises « dans le cas présent conquérir le sud ivoirien pour les forces de Ouattara (FRCI) avec ordre précise de OUATTRA de chasser le président Gbagbo par les armes « fusils ». C’est de là que découle la responsabilité pénale incontestable d’Alassane Ouattara et peut être aussi la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire pour les préjudices subi par des tiers pendant la crise dans l’ensemble. L’état a l’obligation d’assurer la sécurité de ses ressortissants. Donc les victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles « économiques, sociales, et même morale » pour les dégâts causés par l’antagonisme de belligérances. C’est pourquoi nous avons dit plus haut qu’en politique n’y a-t-il pas une ligne rouge face à laquelle les pouvoirs politiques des états doivent s’arrêter pour dire la nation d’abord, le pays d’Abord et l’entité commune qu’est l’état d’abord ? Ne peut-t-on pas comprendre aujourd’hui, que tous les belligérants d’une guerre sont logé à la même enseigne sans exception ? Donc savoir que le camp Ouattara est opposé aux mêmes droits que le camp Gbagbo, sans aucune possibilité pour échapper aux normes, règles et principes de droits ? Par conséquent être plus politique que justicier ZORO ?

C’est pourquoi, comme dit déjà ci-dessus, il est de pratique constante de par le monde que, quand la clémence de l’Amnistie générale référendaire, qui résulte du droit international coutumier, « le droit des droit », peut incontestablement ramener à l’amour entre communauté nationale, à la cohésion nationale de la totalité sociale, à la stabilité sociopolitique, à la paix sociale, si elle est acceptée par tous, ce qu’une inflexible sévérité politico-judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale. Dès lors l’Amnistie générale référendaire est recommandée par la grande loi du bien public, de l’ordre social, de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre public. Cette Amnistie référendaire est au-dessus de la constitution, et fait la légalité et le droit en tout lieu et en tout temps. Il faut pouvoir fermer la porte derrière a d’autres crises sociopolitiques, qui serait plus conséquentes dans pareille situation. Oui, un pouvoir d’état ne peut pas exister seulement que par l’autoritarisme des poursuites judiciaires téléguidées, en justifier son existence que par la simple nécessité d’entretenir les crises comme le font les tenants actuels du pouvoir en côte d’ivoire. On ne peut dès lors, éviter de se poser des questions troublantes, auxquelles le gouvernement, de son côté, ne peut non plus éviter indéfiniment de répondre. Pourquoi Blé Goudé ? Était-il aussi important dans le système sécuritaire ? Non !

Oui, pourquoi vouloir faire payer au pays un tel prix fort pour rien qui peut résulter des poursuites judiciaires a sens uniques et du refus de discuter des questions essentielles concernant la vie de la nation? Pourquoi refuser de discuter avec les autres formations politiques majoritaires sur une question du processus électoral, alors qu’elles ont prouvé, non seulement leurs solide présence sur le terrain politique, mais aussi la justesse de ses idées et de ses revendications politique? Pourquoi vouloir créer un nouveau terrain conflictuel de confrontation dans le domaine électorale en 2020 ou la confiance doit être la vertu première entre la structure étatique, ses démembrements et les partis politiques et associations ? Pourquoi vouloir s’inscrire  de force ou s’obstiner dans le même scénario de la crise postélectoral de 2010 aux conséquences  désastreuses ? Pourquoi cette peur Bleu des élections propres et de l’adversité électorale ? Quelle est cette méthode qui consiste à aggraver la situation de crise politique du pays en tentant ou faisant semblant de régler les crises ? Oui, pourquoi, il faut que les élections dites démocratiques et pluralistes doivent être forcément sous le contrôle du pouvoir exécutif sortant ? Qui est dès lors simple candidat comme tous les autres candidats qui doivent tous partir sur la même ligne équidistante du pouvoir et avec une commission fiable ? Ce qui provoque la perplexité des analystes politiques.

*- Toujours des questions troublantes ?

Oui, s’agit-il d’un mode de gestion inconnu de l’état, inventé en Côte d’Ivoire par le clanisme du pouvoir d’Alassane Ouattara ? La stratégie autocratique controuvée du pourrissement est-elle un mode de gestion officiel des affaires aux yeux de nos gouvernants ivoiriens ? Gouverner n’est-t-il pas la capacité de se faire obéir avec le consentement du peuple qui obéit ? Donc l’idéal n’est-t-il pas d’obtenir cette obéissance sans menace et de ne l’exercer que dans le but de sécuriser la totalité sociale ? Ici sans aucun doute, le gouvernant remplit une fonction et les responsabilités qui s’y rapportent, il assume une charge et les conséquences qui s’ensuivent. Et gouverner est d’autant mieux exercée qu’elle est consentie. Le gouvernant a donc obligation de refaire sans cesse la preuve de sa légitimité populaire. Oui, une route non-balisée risque fort de ne mener nulle part, sinon au chaos sociopolitique sempiternel. Oui, le droit n’a rien de sens unique. Donc, est-t-il possible aux regards rigoristes du droit, de s’entêté dans des poursuites judiciaires sélectives pour crimes de Guerres contre les vaincus de guerre « le camp Gbagbo », qui a subit huit « 8 » années, d’attaques armées répétées jusqu'au 11 Avril 2011 ou le pouvoir Gbagbo s’est écroulé sous les Bombes d’une mafia internationale, au terme d’une guerre postélectorale où la vérité des urnes a été occultée par des intérêts mafieux, et ainsi de pouvoir exonéré de poursuites judiciaires les vainqueurs de guerres « le camp de Alassane Ouattara et consorts » reconnus et avérés grand criminels de guerres pendant la crise ivoirienne en générale et la guerre post-électorale en particulier déclenchée unilatéralement par Alassane Ouattara et bien documentée aujourd’hui ?

Oui, l’entretien des crises sociopolitiques, et la réponse autoritaire du pouvoir d’Alassane Ouattara, toujours la même, « opposant a genou pour qu’on te dicte ta conduite », le laisser penser. Le pouvoir d’Alassane Ouattara ne s’avère-t-il pas là, comme une dictature ? Comme une tyrannie ? Comme un despotisme ? Comme une autocratie monarchiste ? Comme un unilatéralisme anti-droit et liberticide en ce 21e siècle ? Oui ! Tous les faits y plaident pour cette possibilité. L’âme de ce pouvoir d’Alassane Ouattara est toujours possédée depuis 2011 par le Diable, elle est obscurantiste, démoniaque, satanique, maléfique et sado-perverse. Donc, pas question de consensus politique. Point de sagesse Houphouët-ienne, point de réflexibilité politique. Alors qu’une âme juste est guidée par sa connaissance du Bien. Cette disposition consiste à se gouverner selon la raison. Une âme juste maîtrise ses passions. Enfin, une telle âme peut être dite harmonieuse, belle, forte et en bonne santé, parce qu’elle se tient à l’écart de l’injuste et du dérèglement des passions. Le pouvoir Abrouti, des Abroutis mythomanes et Clownesques d’Alassane Ouattara, économise la crise sociopolitique ivoirienne, pour avoir des alibis d’usé de ses armes traditionnelles à volonté. Bon ! Un pouvoir né d’une crise « guerre » et en crise de légitimité populaire et de crise de confiance sempiternelle entre lui et la totalité sociale souveraine, ne peut générer que des crises jusqu’au gouffre abyssal. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).          

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6 novembre 2019 3 06 /11 /novembre /2019 16:13
Lepetitfils : Présidents Africains ? C’est trop Doux !!! Les constitutions sont et seront toujours modifiées par la volonté des gouvernants, les élections ont été et seront toujours unilatérales monolithiques, les partis politiques de l’opposition ont été exclus des élections et ce sont absentées des élections par dégout, et ils vont être toujours exclus des élections et poussé à l’abstention électorale par dégout. Les dirigeants élus avec moins de 15 % de taux de participation électorale continueront. Ainsi va l’Afrique, notre Afrique de l’Ouest.

Lepetitfils : Présidents Africains ? C’est trop Doux !!! Les constitutions sont et seront toujours modifiées par la volonté des gouvernants, les élections ont été et seront toujours unilatérales monolithiques, les partis politiques de l’opposition ont été exclus des élections et ce sont absentées des élections par dégout, et ils vont être toujours exclus des élections et poussé à l’abstention électorale par dégout. Les dirigeants élus avec moins de 15 % de taux de participation électorale continueront. Ainsi va l’Afrique, notre Afrique de l’Ouest.

*- Chronique : Présidents Africains ? C’est trop Doux !!!

En Afrique, singulièrement en côte d’ivoire, on a coutume de dire souvent qu’en quelque chose Malheur est bon. Oui, aujourd’hui, les ivoiriens dans leur ensemble, semblent connaitre la mère de toute les dictatures en Afrique et singulièrement en Afrique de l’Ouest. Elle est incontestablement la volonté des dirigeants Ouest Africains a s’incrusté au pouvoir d’état. Et cette volonté dictatoriale soumise à l’ARBITRAGE politique des organisations internationales étatiques sournoisement et insidieusement téléguidées par une mafia de despotes Africains, qui veulent s’éternisé au pouvoir d’état avec le soutien des grands usuriers internationaux, est la génitrice de toutes les dictatures en Afrique Noire et en Afrique de l’Ouest. Les Modifications des grands principes de souveraineté nationale absolue dans la constitution, par le biais de parlements Automates d’enregistrements, à la solde du pouvoir exécutif. Ou les élaborations souvent dans une procédure totalement viciée d’une nouvelle constitution, en méprisant le souverain primaire, qu’est le peuple « une Assemblée constituante qui lui est ressortissante » et imposé au vote référendaire du peuple souverain infantilisé, qui ne dispose de rien en tant que souverain absolu. Ce qui lui est demandé, c’est le vote « Oui ou Non » d’un texte qui exprime la volonté exclusive d’un dirigeant politique de l’état, pour obtenir des résultats toujours truqués. Tout y passe, pour arriver au déplombage du verrou de la limitation des mandats présidentiels, en revendiquant la non-rétroactivité des normes juridique. Ce principe de droit, inscrit au cœur du droit international coutumier « le droit des droits », ouvre dès lors la porte à de nouveaux mandats présidentiels en ignorant les anciens mandats. L’AFRIQUE DE L’OUEST EST MAL PARTIE.

Même la nouvelle génération considérée comme Olympienne politique, qui a fait rêver pas mal de peuple, tente cette Aventure ubuesque de potentat d’une autre époque, au mépris de l’Olympiade qui la sied. Ici la recherche éperdue, obstinée, de l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple souverain, et de l’assujettissement institutionnel à leurs profits est manifeste. Et il s’exprime aussi souvent dans des intempestifs passages en forces électoraux, ou l’exclusion textuelle des opposants inscrits dans des normes juridiques spéciales de confiscations électorales, « aux élections présidentielles et aux législatives ». Donc des élections qui sont loin d’être le reflet de la volonté générale. Au terme de ce despotisme dictatoriale de confiscation de la souveraineté populaire du peuple souverain, et partant l’exercice autocratique et illégale du pouvoir d’état, une séparation se forme entre volonté de l’état, incarné par un pouvoir dictatorial, Usurpateur de la souveraineté populaire, mise au service de quelques-uns et la volonté générale de la totalité sociale, qui devrait avoir en vue le bien de tous. Dès lors, le pouvoir d’état dictatorial, vire à l’absolutisme et s’accapare le rôle du peuple souverain. Et le dictateur pseudo-président de la république et despote chef de l’état finit par se mettre au-dessus de la loi, qu’il impose seulement au peuple souverain pour le bénéfice des intérêts personnels. Dans cette dictatoriale séparation, la totalité sociale souveraine qu’est le peuple, est la grande victime de ce processus despotique qui détruit le socle sociétal, et qui conduit au désespoir sociétal, avec elle, l’idéal d’une société paisible et civilisée. L’AFRIQUE DE L’OUEST EST MAL PARTIE DANS LE CONCERT DES NATIONS CIVILISEE. Il est question d’y remédier après un juste diagnostic.

Ici, la politique de la limitation initiale ou l’illimitation initiale des mandats n’est pas le problème, peu importe l’option constitutionnelle initiale, c’est sa modification pour la rendre conforme à des intérêts personnels et a des ambitions claniques qui pose un sérieux problème de droit inaliénable du peuple a disposé de lui-même. Dès lors, pour les peuples Africains de l’Ouest le nécessaire arrêt impérieux de cette dynamique démoniaque, est devenu d’intérêt public réel, et d’ordre social. Pour que la politique, ce noble art qui conduit à l’exercice du pouvoir d’état qu’elle sous-tend cesse de Rimer avec l’hécatombe. Sinon, les Ouest-Africains risquent de faire le lit à la dictature, à la tyrannie, au despotisme, qui ne prospère que sur les ruines des sociétés humaines. Et qui malheureusement se propagent insidieusement par comparaison, par référence, et par imitation de voisinage en Afrique, surtout en l’Afrique de l’Ouest. Ou ils gouvernent, ou tout au moins gouvernent la côte d’ivoire sous un régime liberticide. L’AFRIQUE DE L’OUEST EST MAL PARTIE. D’où ici, en politique la pratique de l’exercice du pouvoir d’état, contredit la théorie des grands penseurs de la démocratie, d’Abraham Lincoln, « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » à la Grèce athénienne de l'Antiquité, ce trouve ici pris a contre-pieds. L’AFRIQUE DE L’OUEST EST MAL PARTIE et tend vers une communauté gouverné par les principes des régimes politiques liberticides, totalitaires, autocratiques, « genre monarchisme absolu du Golf-Arabique », ou l’Empirisme obscurantiste prime sur la saine théorie qui a forgée les grands principes politico-démocratiques des nations civilisées de la société des nations du monde , qui a balisé l’exercice du noble art politique depuis 1920.

En Afrique, singulièrement en Afrique de l’Ouest, il est incontestable que, la  clownesque tentative la plus forte des dirigeants des pouvoirs Africains est indéniablement l’interdit constitutionnelle de faire plus de deux « 2 » Mandats présidentiels. Ici nous sommes en Afrique les lois sont fait pour inculquer le respect des forts aux plus faibles, donc les lois sont à sens unique, destinées et soumises à la malléabilité des détenteurs des pouvoirs d’états. Oui, l’Afrique, notre Afrique de l’Ouest, aux élections qui enfantent deux présidents concomitamment élus, chacun selon ses principes, point de respect des normes de régulations sociales prescrites et acceptées par tous au départ des élections. Avec l’unique solution d’y aller tranché le non-droit devenu une Affaire, a la CEDEAO et à l’UA. Ainsi l’heureux Aimé par la majorité Africaine du comité des despotes, l’apporte cette fois aux négociations nébuleuses. Oui, l’Affaire n’est plus une affaire électorale, ou la question est de savoir qui a gagné les élections dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies et acceptées par tous au départ des élections, ça devient une affaire politique, qui exige une solution politique, au mépris du droit. C’est ainsi que deux premiers ministres concomitamment en service peuvent gouverner un pays. C’est normal en Afrique ou on dit souvent que, « Trop de Viandes ne gâte pas la sauces », rester maitre de la cuisine est la règle.

Oui, Voyons ensemble les acceptions scientifiques de ces régimes liberticides et chaudronniers pour les droits, les libertés et la société commune, qui champignonnent en Afrique de l’Ouest pour s’en convaincre. *- La tyrannie est un régime politique, ou on appelle tyran tout homme politique qui, dans une cité, s'empare illégalement du pouvoir souvent de manière illégale ou par les armes et le conserve par la force de ses armes, au mépris de la souveraineté populaire. *- La dictature est un régime politique autoritaire, établi et maintenu par la violence, à  caractère exceptionnel et illégitime. Elle surgit souvent dans des crises sociales très graves, il s'agit en général d'un régime très personnel ; mais l'armée ou le parti peuvent servir de base à des dictatures institutionnelles. *- Le despote : le pouvoir despotique donne une marche de conduite à suivre, tel que le ferait un père envers ses enfants, « ma position ou rien, ce que j’ai dit ou rien, tu n’es pas avec Moi, tu es mon Ennemi ». Rousseau dans son Contrat Social, en disant que, « le tyran peut n’être pas despote, mais le despote est toujours tyran », illustre magnifiquement cette acception « dictateur, despote et tyran » tous est liés. Cette acception qui est aujourd’hui, les trois « 3 » étoiles du général Alassane Ouattara, chef de guerre fort de ses armes impies « fusils ». Et qui a la réputation notoire d’être intransigeant autour de la chose publique de l’état et dans l’ordre du public de la totalité sociale souveraine, « Fausses élections truquées, modification constitutionnelle unilatérale estampillée nouvelle constitution, Usurpation de la souveraineté populaire du peuple à volonté, a souhait dans le processus d’élection démocratique. Des élections avec moins de 15% de taux de participation pour se dire élu. Tout y est ».

L’AFRIQUE DES INTERFACES QUI SE DÉCLARENT REBELLES, POUR COUVRIR LE VRAI REBELLE. TOUT CELA AU MOMENT OU SON TOUT C’EST BOUCHE, Y N’A PAS 5 F DANS LUI... PITIÉ POUR LA CÔTE D’IVOIRE DE FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc, ici, demandons humblement et de droit réel inscrit au cœur de la légitimité citoyenne, à Alpha Condé, a la recherche de Grade dans la discipline, de dire Bonjour à son Frère et Ami, General trois « 3 » étoiles, « dictateur, despote et tyran », Alassane Ouattara. « Soyez salué, la prosternation, n’est pas pour maintenant ». Puisque les peuples Africains y veillent et savent que les dictatures de par le monde naissent souvent avec la complicité d’une petite partie minoritaire des peuples. Oui, il est constant de par le monde que, les vraies dictatures pures et dures naissent la plupart des temps souvent avec la complicité d'une petite partie très minoritaire des peuples, et sous l’aval d’une démocratie de façade, d’élection a moins de 15%. Donc ses dictatures commencent toujours au nom du peuple souverain, détenteur ultime du pouvoir d’état, en lui jetant en pâture les attributs souverain et symboles du pouvoir étatique, orchestré par des brigades d’Acclamations intéressées, avant de les lui reprendre par des moyens et procédés irrationnels. « J’ai été élu, le peuple a parler, le pouvoir au peuple etc.. ». Il leur suffit ensuite de ne s’embarrasser d’aucuns scrupules pour s’y maintenir contre vents et marrées a ce pouvoir usurpé, qui appartient au peuple souverains martyrisé. Appuyer en cela par l’inculcation du culte aveugle de la personnalité et le panurgisme politique qui s’en suit et qui conduisent les peuples au chaos social sempiternel.

Parce que le culte de la personnalité ou le panurgisme politique, ne réfléchit pas, ne discerne pas, il se contente de sa nourriture, « la bouffe, rien que la bouffe. Vive la  Bouffe ! C’est notre tour de manger aussi, Hooo ! Jusqu’à ce que ça tourne à la malbouffe», ne réalisant même pas qu’on le confine ainsi dans une vie de vache, qui n’a besoin que de manger, afin de pouvoir crier  à la vue du maitre.. Hééé ! Djâh ! Présidents Africains ? C’est trop Doux !!! Les constitutions sont et seront toujours modifiées par la volonté des gouvernants, les élections ont été et seront toujours unilatérales monolithiques, les partis politiques de l’opposition ont été exclus des élections et ce sont absentées des élections par dégout, et ils vont être toujours exclus des élections et poussé à l’abstention électorale par dégout. Les dirigeants élus avec moins de 15 % de taux de participation électorale continueront. Ainsi va l’Afrique, notre Afrique de l’Ouest. En disant que l’Afrique Noire est Mal partie, René Dumont pensait si bien Avertir. Aujourd’hui, L’AFRIQUE DE L’OUEST TRÈS MAL PARTIE, EST ENTRAIN DE S'ABRUTIR A LA FACE DU MONDE MODERNE. « Encouragement Citoyen à l’Afrique, notre Afrique ». Que la nature protège l’Afrique des : Felix Houphouët Boigny, Nelson Rolihlahla Mandela, Kwame Nkrumah, Léopold Sédar Senghor, etc.  Continent une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour ses filles et fils.

*- Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne (en exile).

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