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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 20:07

daclef-2

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com 

 

 

La prétendue réhabilitation de la politique ivoirienne par « le communautarisme politique» c’est-à-dire la politique d’exclusion, de certains citoyens de la vie publique de leurs nation et la politique d’exclusion électorale des partis politiques significatifs de l’opposition des compétitions démocratique, la politique de la division sociale, ethnique, tribale, et de la différenciation communautaire pour régner, ne fait que confirmer la fin de la politique de l’évolution sociale initier par FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Son abdication devant toute vision politique globale de la chose publique, bref son allégeance au pouvoir absolu, sa génuflexion devant le pouvoir dictatorial, sa prosternation devant le pouvoir arbitraire, issus d’une guerre d’agression déclenchée le 24 décembre 1999 et matérialisée en septembre 2002, au finish autoproclamé légale en 2010, sa soumission aux exigences de la force matérielle des armes et sa réédition face aux exigences des ventres des politicards en partie devenus suiveurs, son évolution inéluctable sur une voie avérée de régression sociale, sa course effrénée sur une voie certaines de crises sociopolitiques sempiternelles, son obstination sur une voie funeste de chaos sociaux ou toutes les mœurs ivoiriennes et toutes valeurs humaines seront soldées.

 

 

Fort de ce constat incontestable, donc citoyens ivoiriens, méfions-nous d’une conversion de notre société d’harmonie communautaire, de cohésion sociale et de paix pérenne héritée de FELIX HOUPHOUET BOIGNY , a un communautarisme des petits terrains communautaires, régionaux, religieux, tribaux, ethniques a des fins électoraux, de confiscation du pouvoir d’état par les artisans d’un HOLD-UP. La société qu’il nous annonce ressemblerait à une assemblée inconsciente d’individus, fanfarons, truands, malhonnêtes, voleurs,  sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs  propres ventres et leurs  propres intérêts égoïstes, égocentriques, taillés sur la mesure d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux.

 

 

Oui ! Citoyens ivoiriens, le progrès de notre société, de notre démocratie, de notre nation, de chaque ivoirien, est-elle dans cette division généralisée du communautarisme des petits terrains communautaires, régionaux, religieux, tribaux, ethniques a des fins électoraux, de confiscation du pouvoir d’état ? Non ! Sinon, en tout cas les nouveaux communautaristes de rattrapages ne peuvent ignorer, que cette doctrine mafieuse de la voie vers la totale régression sociale chaotique, fondée sur la malhonnêteté dans la gestion des affaires publiques et sur le HOLD-UP économique et électoral permanent, va de paire avec la fragilisation du substrat de notre chère patrie la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY. Donc que cette doctrine politique mafieuse communautariste est par définition antisocial, antihumain, éphémère, primaire, anomique, chaotique et sans avenir.

 

 

Alors qu’il est constant en politique que, la souveraineté nationale, la dignité humaine, le progrès social, le développement de chaque citoyen, la défense de la nation, rien de tout cela n’a de sens, si les communautés nationales ne se reconnaissent pas chacune fièrement et ostensiblement  dans une appartenance nationale commune et unique, si entre les communautés nationales et la nation, il n’y a plus rien d’autres que, sauf la loi des fusils, si entre la nation souveraine et le monde universel, il n’y a plus rien d’autres sauf l’interpénétration des affaires mafieuses d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux et la politique nationale sensée édicté des décisions souveraines pour la vie de la nation sans aucune interférence étrangère. Oublier ces conséquences désastreuses des  politiques du communautarisme de rattrapage, c’est faire preuve d’une grande imprudence, qui fragiliserait le socle de la nation ivoirienne et aussi Ignorer ces conséquences désastreuses des politiques du communautarisme de rattrapage, c’est faire preuve du summum de l’irresponsabilité politique dans la gestion des affaires publiques. Et vive le chaos sempiternel, au pays de FELIX HOUPHOUET BOIGNY.

 Photo-copie-2

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

Contact : dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com 

 

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 19:27

daclef-1

Ce qui n’est autre chose que: Le droit à l’autodétermination qui peut aussi se formuler en termes des besoins des personnes, de leur sécurité et leur droit de disposer de leurs propres richesses ou ressources naturelles souveraines et/ou celle de la terre sont les plus importantes pour la majorité des peuples  dans le monde.

jeunes ivoiriens aux mains nues

(Expropriation terrienne, défenestration de l’économie nationale, pillages systématiques des ressources naturelles souveraines, insécurité des personnes et des biens, politiques de murs diviseurs de différenciations communautaires, régionales, tribales, ethniques, religieuses. Politique de division sociale pour pouvoir régner ou exister politiquement. Des régions et des villes ivoiriennes interdites à des citoyens ivoiriens par le communautarisme criminel. Cela fait queLe citoyen ivoirien à le devoir de dénoncer l’arbitraire et de titiller la dictature jusqu'à ce qu’ils se dévoilent comme tels. Et c’est de droit, parce que conforme a l’Article 35 de la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen du 24 juin 1793 (Française certes mais de droit universel) qui dispose: « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs.» … C’est pourquoi, le citoyen ivoirien attaché à ses droits inaliénables, à sa liberté fondamentale, à son indépendance, à son libre arbitre, non inféodée à qui que ce soit et à quoi que ce soit, doit pouvoir faire pièce au pouvoir arbitraire des nouveaux communautaristes ivoiriens. )

 

Proposé par :Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou Le droit à l’autodétermination peut aussi se formuler en termes des besoins des personnes et de leur sécurité.

 

(Source de : John B. Henriksen (Avocat norvégien)

 

« *- Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou droit à l’autodétermination, est le principe issu du droit international selon lequel chaque peuple dispose d'un choix libre et souverain de déterminer la forme de son régime politique, indépendamment de toute influence étrangère. L'exercice de ce droit est en général lié à l'existence d'un État spécifique au peuple en question, État dont la pleine souveraineté est souvent envisagée comme la manifestation de la plénitude de ce droit. Il s'agit d'un droit collectif qui ne peut être mis en œuvre qu'au niveau d'un peuple. Le principe des nationalités ne doit être confondu avec le droit des peuples à l’autodétermination, même si, au fond, ils sont très proches. Le principe des nationalités repose sur une solidarité naturelle d’ethnie, religion, culture, langue, alors que le droit des peuples à l’autodétermination est fondé sur une solidarité consciente, dans une assiette territoriale. »

masse-popu

 (Le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou Le droit à l’autodétermination. Il s’agit du droit d’un peuple à poursuivre librement son développement économique, social et culturel, sans violence ni contrainte; on l’entend souvent comme signifiant la démocratie participative. ( ce Droit qui ne s’accommode pas avec l’arbitraire du musellement de l’opposition, avec la force des armes couronné par des élections monolithiques et avec le dirigisme de la défenestration économique et le pillage systhématique des ressources naturelles souveraines.)

 

*- Le droit à l’auto-détermination dans le droit international.

 

 Ce droit est fondamental dans le droit international. Les instruments juridiques internationaux le donnent comme appartenant à  “tous les peuples”. Il est incorporé à la Charte des Nations Unies, à la Convention internationale sur les droits économiques, sociaux et culturels et à la Convention internationale sur les droits civils et politiques. L’article commun à ces deux Conventions stipule que : 

  • “tous les peuples ont le droit à l’auto-détermination en vertu duquel ils déterminent librement leur statut politique et librement poursuivent leur développement économique, social et culturel,
  • tous les peuples peuvent, à leurs propres fins, disposer librement de leurs richesses et ressources naturelles sans préjudice de toute obligation découlant de la coopération économique internationale, basée sur le principe de bénéfices mutuels et du droit international. Un peuple ne peut, en aucun cas, être privé de ses propres moyens de subsistance.
  • Les états, parties de la présente Convention y compris ceux qui ont la responsabilité d’administrer des territoires non autonomes ou sous mandat, devront rendre ce droit effectif et le respecter, conformément aux provisions de la Charte des Nations Unies.”

 

Le droit à l’auto-détermination a aussi été reconnu dans de nombreuses autres déclarations internationales et régionales sur les droits de l’homme, tels que le Chapitre VII de l’Acte final d’Helsinki de 1975, l’article 20 de la Charte africaine des droits de l’homme et des peuples et la Déclaration de garantie de l’indépendance des peuples et territoires coloniaux. Il a été approuvé par la Cour de justice internationale. En outre, son étendue et son contenu ont été définis par la Commission des droits de l’homme et la Commission pour l’élimination de la discrimination raciale des Nations Unies.

 

En plus d’être un droit relevant du droit international, le droit à l’auto-détermination est jus cogens – norme péremptoire ou contraignante. L’article 53 de la Convention de Vienne sur le droit des traités stipule qu’une norme péremptoire du droit international général est acceptée et reconnue par la communauté internationale comme non dérogatoire, non modifiable sinon par une norme subséquente de même nature. Il déclare la nullité d’un traité qui, au moment de sa conclusion, serait en conflit avec une norme péremptoire du droit international général.

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(les terres des communautés sont confisquées par tout en ôte d'ivoire. Alors que; Ressources et terre sont parties intégrantes de leur droit à l’autodétermination. Il est clair que beaucoup de gouvernements s’opposent à la reconnaissance de leur droit à l’autodétermination plus par peur de perdre le contrôle des terres autochtones et de leurs ressources naturelles que par peur de perdre une part de leur pouvoir politique.

 

Le principe du droit fondamental de tous les peuples à l’auto-détermination est fermement établi dans le droit international, y compris dans les droits de l’homme et doit, par conséquent, être appliqué également et universellement.

 

Aspects internes du droit à l’autodétermination.  

 

Il s’agit du droit d’un peuple à poursuivre librement son développement économique, social et culturel ; on l’entend souvent comme signifiant la démocratie participative mais il peut aussi signifier le droit d’exercer une autonomie culturelle, linguistique, religieuse, territoriale ou politique à l’intérieur des frontières d’un état existant.

 

Concernant l’économie ou les ressources naturelles  

 

Le droit de disposer de leurs propres richesses ou ressources naturelles est d’importance cruciale pour les peuples autochtones. Cette question et celle de la terre sont les plus importantes pour la majorité d’entre eux dans le monde. Ressources et terre sont parties intégrantes de leur droit à l’autodétermination. Il est clair que beaucoup de gouvernements s’opposent à la reconnaissance de leur droit à l’autodétermination plus par peur de perdre le contrôle des terres autochtones et de leurs ressources naturelles que par peur de perdre une part de leur pouvoir politique.

 

Ces dimensions sont soulignées dans le paragraphe 2 de l’article 1 commun aux Conventions :

 

"Tous les peuples peuvent, à leurs propres fins, disposer librement de leurs ressources et richesses naturelles sans préjudice de toute obligation découlant de la coopération internationale basée sur le principe de bénéfices mutuels et du droit international. En aucun cas un peuple ne peut être privé de ses propres moyens de subsistance".

 

Le Comité des droits de l’homme, qui est mandaté pour diriger la mise en œuvre de la Convention sur les droits civils et politiques, se tourne maintenant vers le droit à l’autodétermination des peuples autochtones en mettant un accent particulier sur sa dimension économique. En 1999, le Comité a demandé aux gouvernements canadien et norvégien de faire un rapport sur la question en relation avec le paragraphe 2 de l’article 1. Le droit à la terre et aux ressources ne peut pas être exclu du droit à l’autodétermination.

 

Concernant la culture  

 

Les dimensions culturelles sont celles du droit à déterminer et à établir le régime culturel ou le système sous lequel les peuples veulent vivre. Elles impliquent la reconnaissance du droit à recouvrer, jouir de et enrichir leur héritage culturel et celui de tous leurs membres à accéder à l’éducation et à la culture. La Déclaration des principes de la coopération culturelle internationale, adoptée par la conférence générale de l’UNESCO, reconnaît à tous les peuples le droit et le devoir de développer leur culture, droit qui est également mentionné dans le préambule de la plus importante des résolutions de l’O.N.U. relative à la reconnaissance du droit des peuples à l’autodétermination.

 

Dans ses dimensions culturelles, ce droit est considéré, par les peuples autochtones, comme fondamental pour leur survie, comme il l’est pour empêcher la destruction, par des forces extérieures, de leur héritage, de leurs valeurs, de leur identité culturelle et de leur mode de vie.

 

Il n’est pas possible, en outre, d’étudier les relations des autochtones à leurs terres ancestrales sans prendre en compte leur aspect culturel. Le professeur Erica-IreneDaes, en qualité de rapporteure spéciale sur les peuples autochtones et leur relation à la terre, a montré qu’il y avait un besoin urgent de développer, dans les sociétés non autochtones, la compréhension de la signification spirituelle, sociale, culturelle, économique et politique de la terre et de ses ressources pour la pérennité de leur survie et de leur vitalité. Elle a déclaré : " les peuples autochtones ont montré le besoin d’un cadre conceptuel différent et de la reconnaissance de leurs différences qui existent en raison de leur profonde relation à leurs terres, leurs territoires et leurs ressources."……

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 (Le besoin de sécurité est souvent le premier objectif de la lutte pour l’autodétermination d’un peuple qui a été victime de l’oppression, des déportations, de l’assimilation forcée, de persécutions sectaires ou religieuses, etc. Aujourd'hui près de 800 prisonniers politiques sont dans des lieux de détentions arbitrares et un leader politique et son fils déporté a la Haye )

 

L’article 25 du projet des Nations Unies de Déclaration des droits des peuples autochtones reconnaît que:

 

"Les peuples autochtones ont le droit de maintenir et de renforcer leur relation particulière, spirituelle et matérielle, avec leurs terres, territoires, eaux, rivages marins et autres ressources qu’ils ont possédés, occupés ou utilisés traditionnellement et de passer ces responsabilités aux générations futures."

 

Concernant les dimensions sociales  

 

L’article 21 du Projet de déclaration des droits concerne les aspects sociaux et économiques du droit à l’autodétermination :

 

"Les peuples autochtones ont le droit de maintenir et de développer leurs systèmes sociaux, politiques et économiques, d’être surs de jouir de leurs propres moyens de subsistance et de développement et de s’engager librement dans leurs activités traditionnelles, économiques et autres. Ceux qui ont été privés de leurs moyens de subsistance et de développement doivent recevoir une juste et équitable compensation.".

 

Le Sommet mondial pour le développement social, tenu à Copenhague en 1995, a déclaré que : " le développement et la justice sociale sont indispensables à la réalisation et au maintien de la paix et de la sécurité à l’intérieur et entre les nations. De ce fait, le développement social et la justice sociale ne peuvent être obtenus en l’absence de paix et de sécurité ou en l’absence du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales…..(Le Sommet) reconnaît et soutient les peuples autochtones dans leur poursuite du développement économique et social en plein respect de leur identité, de leurs traditions, de leurs formes d’organisation sociale et de leurs valeurs culturelles."

 

Concernant la sécurité des personnes 

 

Le droit à l’autodétermination peut aussi se formuler en termes des besoins des personnes et de leur sécurité. Les peuples et les communautés s’efforcent de contrôler les moyens de satisfaire leurs besoins. Dans cette perspective la sécurité inclut l’intégrité culturelle et le respect des droits de l’homme et des libertés, par exemple le bannissement de la violence physique. Elle comprend aussi ce qui touche à la religion, la santé, la culture, l’économie, l’environnement et les aspects sociaux et politiques de la vie.

 

La sécurité des personnes existe quand les individus et les peuples dans leur ensemble jouissent de garanties légales et politiques pour mettre en œuvre leurs droits et libertés fondamentaux. Le besoin de sécurité est souvent le premier objectif de la lutte pour l’autodétermination d’un peuple qui a été victime de l’oppression, des déportations, de l’assimilation forcée, de persécutions sectaires ou religieuses, etc.

 

(Source de : John B. Henriksen (Avocat norvégien)          

*****

carte-d-ivoire administrative

(C’est pourquoi, le citoyen ivoirien attaché à ses droits inaliénables, à sa liberté fondamentale, à son indépendance, à son libre arbitre, non inféodée à qui que ce soit et à quoi que ce soit, doit pouvoir faire pièce au pouvoir arbitraire des nouveaux communautaristes ivoiriens, de déportation, d'oppresseurs, persécuteurs du peuple souverain, qui annihile toutes ses mœurs ancestrales, toutes  ses valeurs sociopolitiques, et met son être en péril dans le concert des nations.)

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Texte proposé par : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

contact: dacandylepetitfils.exileforce@gmail.com

 


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7 juin 2014 6 07 /06 /juin /2014 14:23

simone gbagbo-copie-2sarata touré

Le peuple, dira un jour à coup sûr aux armes de conquêtes de la Rive Mauritanie, Hêêê-tchê Djagassa.

 

 

Très majoritaire, la grandeur d’âme et d’esprit est devenue miette sur la terre de nos ancêtres, ce qui donne de la voix à la minorité de la petitesse d’âme et d’esprit devenue trop, trop bruyante. La haute diplomatie hospitalière assise sur l’autocontrôle, sur l’autolimitation et la grande sagesse qui annihile les rancœurs, tous hérité de nos ancêtres, qui n’aiment pas les bruits des bidons vides et la boue sociopolitique désertent les terres ancestrales.  Quoi de plus normal, nos valeurs et mœurs ancestrales sont étouffé a la Rive Mauritanie en plein siège du « FOLO-Oulé ou du Bâ-oulé-dâ » sacrilège. Safroulâye !!!

 

 

Ce grand peuple qui sait recentrer, au mépris des petites brouilles politiciennes, les débats politiques sur des grands sujets engageant la vie de la société commune dite nation et le combat politique sur la confrontation des idées, des arguments pour que les urnes transparentes décident du choix du peuple, dira un jour à coup sûr aux armes de conquêtes de la Rive Mauritanie, Hêêê-tchê Djagassa.

lepetitfils da candy

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31 mai 2014 6 31 /05 /mai /2014 19:42

choi et youssouf bakayokoado- les morts sont morts yafohi

*- L’organisme de l’administration électorale dans l’exercice de sa mission qu’est la gestion électorale doit être professionnel, non partisan, impartial, neutre et transparent.

 

*- Une élection ne connaîtra de succès que si les participants au processus croient que les administrateurs électoraux accomplissent leurs tâches de façon neutre, transparente et sans partialité politique. S'il en était autrement, la crédibilité du processus serait mise en jeu et la réputation de l'organisme électoral, en souffrirait.

 

*- Surtout lorsque certains dirigeants de l'organisme électoral sont nommés par les différents pouvoirs « exécutif, législatif et judiciaire » sur la base de leurs liens d’allégeances privilégiés, avec les dirigeants de ces pouvoirs et/ou sont nommés par les partis politiques en compétition, sur la base de leur adhésion à un parti ou de leur affinité pour un certain bloc de parti, la neutralité devient logiquement incertaine, la dépendance a une  tutelle oblige.

 

*- Alors que Les administrateurs électoraux doivent gérer les opérations électorales de façon professionnelle, en toute impartialité, en toute neutralité et en toute transparence et se comporter de manière à être jugé indépendant, neutre, et impartial, sous peine de nuire à sa crédibilité.

 

*- Ici il s’agit plus de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale pérenne, que d’un concours de la meilleure fanfaronnade de politicards, qui veulent défendre l’indéfendable.

 16crimes-fABATTOIR

*- La nouvelle CEI ivoirienne est le signe d’une côte d’ivoire acculturée, point de dialogue, point de consensus, tout pour le diktat et vive les affreuses crises dites postélectorales.

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29 mai 2014 4 29 /05 /mai /2014 14:21

DCL-10

De Lepetitfils da Candy : leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

En-un-mot.

 

En politique, on ne peut pas être majoritaire et avoir peur de la transparence.

 

Malgré le rejet par l’opposition, non représentée à l’Assemblée. Les députés ivoiriens ont voté la loi sur la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI).

assemblee nationale.7 ABATTOIR

C’est  le signe d’une côte d’ivoire annexée et acculturée, qui fonce tout droit dans une autre affreuse crise dite postélectorale. Comme cet homme transporter par la violence du courant de l’eau du fleuve, qui essaie de rassurer les observateurs en faisant des mimiques comme tout allait bien, qu’il est grand nageur.

 

En clair, l’ivoirien est depuis le 24 décembres 1999, date de la révolution des œillets, en passant par la date du 19 septembre 2002 date du déclenchement de la guerre d’agression, comme cet homme, qui tombe du haut d’une tour de 100 mètres et en dépit de quelques cognés de tête sur les paliers, en se répétant sans cesse jusque là tout va bien, alors même que le coma risque d’être profond a l’atterrissage sans secours.   

 

Expression divine ? Non ! C’est un signe qui ne trompe pas. Nous assistons à des mimiques d’un pouvoir dictatorial, peuplé de politicards, avant une autre affreuse crise postélectorale en côte d’ivoire en 2015.

 

En politique, on ne peut pas être majoritaire et avoir peur de la transparence. Ce ne sont que des mimiques avant une autre crise postélectorale en 2015 en côte d’ivoire, avons-nous dit. Qui vivra verra…

 ado- les morts sont morts yafohi16

La rive Mauritanie avons-nous avertie pendant la campagne présidentielle de 2010. Nous y sommes ! D’ou il faut parler soûrâkâ. Citoyen ivoirien! Ne soit pas un bouc, entre les mains d’un boucher Sourâkâ.

 Photo-copie-2

De Lepetitfils da Candy : leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 15:08

D-Lepetitfils 

De Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

Ici nous sommes à la Rive Mauritanie ou il faut parler soûrâkâ. Ne nous demander donc pas la direction a suivre, qui est le contraire de ce que la dictature indique. 

 

*- La martyre qui s’est auto-immolé par le feu a bord de Puissancî-â-mâgnî-dê, le train d’enfer et de damnation qui va conduire le peuple ivoirien qui se plait dans le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre au chaos sempiternel serait décédée ? Personne n’a levé le petit doigt pour aider cette martyre, qui a frappé à toutes les portes pour avoir un peu d’argent sur ses créances que la présidence de la république reste devoir, jusqu’à ce qu’elle s’enfonce dans la misère, une misère noire, pourtant elle est une militante convaincue du parti au pouvoir. La rive Mauritanie avons-nous avertie pendant la campagne présidentielle de 2010. Nous y sommes, donc attention n’accepte pas le rôle de  boucs, citoyen ivoirien ! 

 

*- Perdant sur cinq tableaux face à la dictature, le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre conduit les peuples au chaos sempiternel.

 

*- Les pouvoirs dictatoriaux abusifs sont gagnant sur cinq tableaux du culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre face aux tenants d’un pouvoir arbitraire,  que le citoyen a vocation première de combattre.

 

*-1) Le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre socle de la dictature sanguinaire  par essence, ne se révolte pas par définition.

 

*-2) Le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre fait ce qu’un pouvoir dictatorial lui ordonne, n’étant pas capable de juger de la réalité des faits pour des raisons de suivisme.

 

*-3) Le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre s’engagera dans n’importe quel conflit mercantiliste et lucratif en chantant des jérémiades piteuses et des fanfaronnades pour soutenir les pouvoirs dictatoriaux, qui n’obéissent en réalité qu’a leurs poches et ventres, alors même que le citoyen ne doit risquer, que face à l’in-humanisme, l’inadmissibilité, l’inacceptable, l’intolérable, et l’injustifiable, notamment le fait pour une dictature de pousser le citoyen au désespoir, en le laissant au bord du progrès social, le citoyen ne doit risquer, que face à la défense de ses droits civils et politiques, des libertés d’expressions, des libertés démocratiques, de la liberté de participation a la vie politique du pays, de la liberté de se faire gouverner par les hommes qu’il  à choisit. Parce qu’en l’absence de prendre ce risque, il s’interdit ainsi tout comportement citoyen, qui se doit d’être gouverner par le libre arbitre et accepterait aussi, ainsi d’être confiner dans une vie moutonnière  d’animal, qu’une dictature peut l’impose.

 

*-4) ) Le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre acceptera n’importe quelle politique de destruction sociale d’une dictature, dont elle serait la première victime, en laissant le champ libre a l’arbitraire, ou en se contentent comme une vache, d’avoir a manger ponctuellement du jour au jour, dans la chambre a gaz d’une dictature, avant le chaos inévitable.

 

*-5) ) Le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre, ne sera jamais un combattant d’une quelconque  liberté et d’un quelconque droit inaliénable, ni un rival des possédants du pouvoir d’état, devenu arbitraire, encore moins un concurrent crédible dudit pouvoir arbitraire face aux fortunes à amasser, dans le sang de ses compatriotes. Le culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre se contentera de sa nourriture, la bouffe rien que la bouffe, « c’est notre tour de manger aussi, hooo !!!» ; ne réalisant même pas qu’on le confine ainsi dans une vie qui est celle d’un animal.

 

C’est pourquoi les pouvoirs dictatoriaux abusifs sont gagnants à tous les coups face au culte de la personnalité et du panurgisme idolâtre, dont la passion du pouvoir absolu est une exigence qui refuse tout compromis, cette passion est le contraire de la raison qui édicte la vie harmonieuse en société. Et vive le chaos sempiternel a bort de Puissancî-â-mâgnî-dê, le train d’enfer et de damnation, d’où pour une raison ou pour une autre, mais toujours liée au pouvoir, d’état, le désespoir peut conduire a l’auto-immolation par le feu devant le palais présidentiel.

 

Ici nous sommes à la Rive Mauritanie ou il faut parler Soûrâkâ. Ne nous demander donc pas la direction à suivre, qui est le contraire de ce que la dictature sanguinaire indique.

 

*- La rive Mauritanie avons-nous avertie pendant la campagne présidentielle de 2010. Nous y sommes, donc attention n’accepte pas le rôle de  boucs, citoyen ivoirien !

 DCL-10

De Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 15:43

lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

 

*- L'harmonie sociale est le contraire de la nuisance mutuelle. C'est donc plus que la paix, qui n'est que la négation du conflit.

 

*- Chronique. Coq-à-l’âne, pas trop bête, bête.

 

L’action politique doit être définie en termes de la vie quotidienne en société, qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du progrès social, qui protège les hommes et garantie leurs biens. L’action politique doit se fonder sur l’harmonie sociale, sur la cohésion communautaire, sur le respect des règles démocratiques, des droits inaliénables, des libertés fondamentales. Sur le refus de l’arbitraire dans les relations sociales, sur le refus de la ségrégation communautaire et l’apartheid sociopolitique. Dans la vie sociopolitique et dans l’exercice de l’action démocratique d’une nation qui se veut civiliser, quand les règles de la vie sociopolitique et l’action démocratique ne se fondent pas sur les repères universels sociétaux, le vivre en commun de partage policé, dans le respect des droits inaliénables et des libertés fondamentales, sera toujours soumis aux aléas de l’arbitraire d’un pouvoir sanguinaire aveuglé par les deniers publics de l’état. Ainsi a bord de Puissancî-â-mâgnî-dê, le train d’enfer et de damnation, pour une raison ou pour une autre, mais toujours liée au pouvoir, d’état, le désespoir peut conduire a l’auto-immolation par le feu devant le palais présidentiel.

 ado- les morts sont morts yafohi

*- Etat dirigiste criminel drogué aux défenestrations de l’économie.

 

Pouvoir sanguinaire aveuglé par le pouvoir d’état, que viendront légitimer les abonnés à l’opportunisme, promoteur lui-même du carriérisme pathologique, de l’attentisme abject et du fatalisme, de la quête médiocre de postes et de sièges à occuper, pour se remplir les poches de deniers publics soutirer des ressources naturelles souveraines du pays. Ce qui invite ici à un constat, depuis l’avènement de, puissancî-â-mâgnî-dê  qui symbolise désormais l’auto-immolation par le feu devant le palais présidentiel,  est-on vraiment sûr, que son pseudo-libéralisme qui est en réalité un dirigisme criminel a vraiment été à la hauteur des attentes du citoyen ivoirien? Ou au contraire ne vivons-nous pas en côte d’ivoire sous un Etat dirigiste criminel ? Omniprésent, drogué aux défenestrations de l’économie ivoirienne, et à la spirale du surendettement, qui créé la désespérance sociale et le chômage de masse, en empêchant le développement de l’homme, et qui est tout simplement en passe de nous tracer un affreux sillon d’avenir pour tous vers la ruine dans un précipice abyssal demain ? Cela avec l’aide de son clan armé, de ses séides, de ses phalangistes et ses parrains d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux ?

 

*- Combattant des droits et de la liberté.

 

Ne vivons-nous pas en côte d’ivoire en marge des sociétés civilisées et modernes ? parce que dans la gouvernance moderne les temps sont révolus où une telle politique mafieuse « mangécratique » de l’accaparement des biens publics, au terme de la légitimation d’un pouvoir sanguinaire, arbitraire peut apporter un gain, via l’interpénétration des affaires mafieuses et de la politique. Par la promotion de la médiocrité, par la nomination ou par des rétributions pécuniaires occultes, liées à l’accomplissement de sales missions de taupes de l’indignité obscurantiste sectaire, de la mesquinerie politique, du clanisme et du pouvoir absolu. C’est pourquoi, donc en période de turbulence sociétale, ce qui doit constituer la règle d’or de l’action politique, est que quand la conjoncture politique est misérable par le fait d’un pouvoir arbitraire et sanguinaire, que çà soit l’affirmation des principes sociétaux universels, le respect des droits inaliénables et des libertés fondamentales, la proclamation des idéaux politiques intransigeants, et l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires. Sinon c’est le chaos sempiternel qui s’installe, pour que vive l’état policier, pour que vive l’état paria, pour que vive l’état voyou, divaguant dans le sang de ses ressortissants  dans le concert des nations.

 

*- L’intellectuel n’a pas le droit de se plaire dans la prosternation, dans la courbette, dans la génuflexion,

 

C’est pourquoi, si l’intellectuel est censé rendre le monde plus intelligible. Plus compréhensible. Alors en période de turbulence sociétale le premier rôle d’éclaireur de la société le revient, pour la proclamation des idéaux politiques intransigeants, l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires. Ces hommes, intellectuels qui croient en une idéologie et ont l’intime conviction qu’elle  servirait au bien de la société dans laquelle ils vivent et au bien de l’humanité toute entière. Ici nous parlons des hommes de combats pour la vie et de débats loyaux, justes menés au prix souvent de leurs vies physiques et être exposés à toutes les surprises désagréables. Depuis la nuit des temps cette espèce est assassinée par des obscurantistes  sectaires ne pouvant pas supporter la contradiction d’idée, qui est l’essence même de la démocratie réelle. Ils s’assument ces hommes de combats pour la vie, parce que, c'est le devoir de chaque homme de rendre au monde au moins autant qu'il en a reçu de l’humanité. Donc l’intellectuel n’a pas le droit de se plaire dans la prosternation, dans la courbette, dans la génuflexion, dans la griot-tique éhonté pour pouvoir manger, dans le discours flatteurs en espérant des postes et des titres, dans le reniement de soit. Non ! Gyroscope de l’ordre sociopolitique, il doit l’être.

 

*-L’ Harmonie sociale privilégie le dialogue à la contrainte 

 

Cette idée d’un ordre sociopolitique qui suppose que les hommes puissent avoir entre eux des rapports sociopolitiques réglés par des normes de régulations sociales acceptées par tous. Sources de l’Harmonie social et de l’humanisme, qui privilégient le dialogue à la contrainte. En effet, il y a harmonie sociale lorsque les membres d'une communauté humaine sont bénéfiques les uns aux autres. L'harmonie, en effet, est quelque chose d'agréable et ce sont les hommes qui ressentent éventuellement cela. L'harmonie sociale est le contraire de la nuisance mutuelle. C'est donc plus que la paix, qui n'est que la négation du conflit (une nuisance mutuelle particulière). Donc s'intéresser à la plus grande harmonie sociale possible implique d'agir sur les causes (il ne suffit pas d'aspirer à l'harmonie sociale ou de se contenter d'être gentil avec tout le monde). Pour ce faire, il importe de déterminer ce qui peut accroître l'harmonie sociale et ce qui peut s'y opposer.

 

*- Le citoyen doit pouvoir faire bouger les lignes sociopolitiques face à l’état oppresseur.

 

Mais il faut aussi aux citoyens d’être capable de faire pièces dans un face-à-face interminable entretenu entre  eux « citoyens » et l’État oppresseur qui est un système usine à gaz antidémocratique, qui vire à l’état policier, l’état paria, l’état voyou. A fin de faire coexister librement, consensuelle-ment et pacifiquement dans l’harmonie sociale, les citoyens aux droits égaux dans l’espace public. Les citoyens responsables doivent décidés de ne plus désespérer de la politique même devenue criminelle, comme de l'état, même devenue état policier, état paria, état voyou, divaguant quotidiennement dans le sang de ses ressortissants martyrisés et à s'engager dans la vie publique pour faire bouger les lignes sociopolitiques et la société civile pour sa part doit se décider de descendre dans l'arène politique, avec la ferme intention d'y jouer un rôle, en faisant progresser des idées de bon sens. Cela avec le bon ton qui sied, sans recourir ni a la force matérielle des armes, ni a l’injustice, ni la violence, ni à une conception strictement absolutiste du pouvoir d’état, ni aux utopies communautaristes.

 

*- La rive Mauritanie avons-nous avertie. Nous y sommes, citoyen ivoirien !

 

Le fichu de communautariste soit-disant nordiste ivoirien, s’étant mué peu à peu en dictateur sanguinaire accaparant, avec son clan, avec sa famille, avec sa fratrie, avec sa mafia des grands usuriers internationaux, le pouvoir et les richesses souveraines de la côte d’ivoire et qui tendent à fonder l’ordre sociopolitique national ivoirien sur l’affinité des sentiments d’appartenances, idéologique, philosophique, religieuse, communautaire, régionale, ethnique, tribale, sur l’idée des murs diviseurs dressés dans la société commune ou sur le consensus des opinions cooptées, des intérêts mercantilistes mafieux. Dès lors le citoyen a le devoir de veiller, a ce que ce communautariste tenant du pouvoir d’état, ne considère jamais le pouvoir d’état propriété ultime du peuple souverain, comme un capital de commerce d’une boutique de mauritanien au BURKINA FASO, que l’on conquiert par les fusils d’une guerre d’agression et que l’on doit conserver au prix d’une politique criminel de dirigiste, au prix de la violence, au prix de l’injustice et au prix de la martyrisassions du peuple souverain. C’est pourquoi  l’ivoirien ne doit pas se leurrer, face à un pouvoir sanguinaire,  le droit ne se donne pas, il s’arrache des griffes de l’arbitraire. Le prix de la liberté est la vie physique face à un pouvoir arbitraire et sanguinaire.

 

*- La rive Mauritanie avons-nous avertie pendant la campagne présidentielle de 2010. Nous y sommes, citoyen ivoirien !

 

Du Coq-à-l’âne, pas trop bête, bête.

 lepetitfils da candy

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 13:42

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DCL-10

Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force 

 

(Entre Guillemets.)

 

Ivoirien ! Prohibe la politique, communautariste, régionale, ethnique, tribaliste, clanique, mafieuse et sectaire.

 

Dictature sanguinaire d’un dirigisme criminel.

 

 

Chacun doit prendre sa part dans la lutte contre cette dictature sanguinaire qui dirige notre pays la côte d’ivoire. Cette dictature sanguinaire d’un dirigisme criminel prospère, parce qu’il a su récupérer une frustration faite a une communauté non pas véritablement nordiste, mais une communauté crée de toute pièces « Les hommes aux grands boubous parait-il ? » par des hommes politiques en quête de substrat politique et de popularité, pour se maintenir ou se hisser a la tête de l’état de côte d’ivoire.

 

La côte d’ivoire qu’ils ont finit par kidnapper avec les armes internationales des intérêts mafieux des grands usuriers planétaires. Pour mettre un des leurs a la tête de l’état de côte d’ivoire, un communautariste carriériste pathologique en mal de dynastie et de royauté et a la recherche obstiné de biens matériels pour assouvir un vieux dessein de domination sociopolitique par le bien matériel en espérant effacer ainsi un passé peut glorieux, qui en temps normal balaie tout orgueil. 

 

 

Cette dictature sanguinaire arrivée au pouvoir suite au petit coup d’état tirant et arrachant, qui a duré 11 ans 4 mois, du 24 décembre 1999, date de la révolution dite des œillets, au 11 avril 2011 date d’achèvement du coup d’état par un kidnapping avec les armes internationales des intérêts mafieux des grands usuriers planétaires et qui a fait sept milles « 7000 » morts a ce jour. Cette dictature sanguinaire tient toujours une mitraillette à la main, prêt à faire feu sur toute velléité d’opposition, non content d’avoir zigouiller seulement sept milles « 7000 » ivoiriens. Dictature sanguinaire qui a su aussi profite habilement des brouillons d’inculture politique que sont le communautarisme criminel, l’arrivisme politique hautain, le carriérisme pathologique,  fondé sur le relativisme politique et idéologique manipulatrice.

 

 

Dictature sanguinaire largement peuplé de véritables ballons de BASKET, des grands bruits, rien que des bruits en quelque sorte. Après tout, si tout est fanfaronnade en politique, si tout est monnayable en politique et si tout se vaut en politique, parce que les armes et le bien matériel, même mal acquit sont devenus le socle de valeur sociopolitique. Alors pourquoi un zéro pointé n’ambitionnerait-il pas un jour de devenir le numéro un de la côte d’ivoire. Après avoir servi Comme premier policier de la gestapo ivoirienne la dictature sanguinaire d’un dirigisme criminel ou après avoir été chef rebelle, aux ordres d’un carriériste pathologique, qui trône sur cette dictature sanguinaire d’un dirigisme criminel ?

 

Eh bien dans le système mécanique de l’appareil étatique, quand chaque tenant partiel du pouvoir d’état ignore quelle est la logique gouvernementale poursuivie, quel est son rôle réel et précis dans l’architecture gouvernementale bien qu’instable et confuse, l’esprit de cour devient fou et dangereux, parce que le renard règne en maitre absolu sur le poulailler halluciné. Surtout avec une dictature sanguinaire affaibli et aux abois, face aux nombreux crimes de guerres et crimes contre l’humanité, commis sous son l’ordre, au terme d’un petit coup d’état tirant et arrachant qui a duré 11 ans 4 mois du 24 décembre 1999 date de la révolution dite des œillets, au 11 avril 2011, date d’achèvement du coup d’état par un kidnapping avec les armes internationales des intérêts mafieux des grands usuriers planétaires et qui a fait sept milles « 7000 » morts a ce jour.

 

Sept milles « 7000 » morts a ce jour, ce qui est difficilement effaçables dans la mémoire collective consciente de l’humanité. D’où aujourd’hui la seule solution restante aux yeux du droit international pénal, est de livrer son dauphin putatif, chef de guerre devenue par parachutage deuxième personnage de son fichu d’état annexé, a une juridiction de politique internationale, cela pour couvrir ses arrières dossiers de crimes de guerres et de crimes contre l’humanité. Qui rend « cette dictature sanguinaire » indécise, dans l’action politique pouvant conduire a la paix sociale pérenne, fruit de la réconciliation devenue impossible et  aussi toujours interventionniste et dirigiste dans le secteur vital économique à tout bout de champ qu’à l’accoutumée. C’est pourquoi la fichue de gouvernance de cette dictature sanguinaire d’un dirigisme criminel, devient plus agitée qu’un bordel militaire de campagne, sur la ligne de front, face a une opinion publique qui volage que jamais, face à l’arbitraire dictatorial des décisions unilatérales prises, en prélude d’un affreux Hold-up électoral en 2015. Aussi face à des déportations des leaders politiques et toujours face à des  procès ciblés contre l’opposition politique significative a fin de confiscation continue du pouvoir d’état, les élections ne doivent être que parodique.  

 

Eh oui ! Quand on a conquit le pouvoir par les armes, pour ainsi légaliser ces armes impies source de son pouvoir, qui ont fait plus de sept milles « 7000 » morts  de citoyens zigouillés sur l’autel de l’acquisition du pouvoir d’état, citoyens zigouillés qui ne demandaient qu’a vivre en commun dans une  totale harmonie sociale, le Hold-up électoral ça marche toujours. Donc quoi de plus normal qu’avec cette culture criminelle, cette culture du confus, cette culture du sadique opaque, cette pratique politique mafieuse de servir la table des convives, d’une mafia internationale et de tous ses proches, d’appartenance communautaire ou de la fratrie. Quoi de plus normal donc que le ventre devienne l’essentiel, alors c’est la rançon du culte de la spontanéité et de la personnalité « Alassanî puissancî â magnî-dê ». Ainsi il en résulte qu’on peut être un zéro pointé et afficher les hautes ambitions étatiques.

 

Il y a donc de quoi à s’inquiéter pour notre démocratie de demain. Notre démocratie de demain se bâtira-t-elle sur ses fausses notoriétés ? Celle sur quoi la dictature sanguinaire d’un dirigisme criminel prospère ? Si Notre démocratie de demain ne doit pas se bâtir sur les fausses notoriétés, Chacun doit prendre sa part dans la lutte contre cette dictature sanguinaire, qui dirige notre pays la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY, au terme d’un petit coup d’état réussi, qui a duré 11 ans 4 mois du 24 décembre 1999 date de la révolution dite des œillets, au 11 avril 2011, date d’achèvement du coup d’état par un kidnapping avec les armes internationales des intérêts mafieux des grands usuriers planétaires et qui a fait sept milles « 7000 » morts a ce jour. Donc aujourd’hui, il nous faut restaurer notre société commune homogène qui prohibe la politique, communautariste, régionale, ethnique, tribaliste, clanique, mafieuse et sectaire. 

lepetitfils da candy

 Lepetitfils Da Candy : Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 13:24

merdes-partout

 

SOUS NOS YEUX.........de Jean Debadea Ble Guirao

BLe-guirao.

Une fois le pouvoir acquis, sous nos yeux et devant nous. 

 

Le monde est vraiment bizarre mais sous les tropiques, dans notre pays, c'est encore fabuleux. Il s'y passe des choses fabuleuses, des choses fantastiques et bizarres qui méritent qu'on s'y attarde un peu, le temps d'un anniversaire, le temps d'un arrêt, le temps d'une rétrospective. Nos Partis Politiques ont toujours eu en leurs seins des structures spécialisées, structures de combat dites spéciales de femmes et de jeunes qui ont mené le combat de terrain, pas de salon, pendant les dix ans de la fécondation, pour la victoire et l'ascension du RHDP au pouvoir. Combien de coups n'ont ils pas pris ? Combien de femmes et de jeunes sont tombés sur la route de ce combat. Impossible de les compter ou de les énumérer tellement la liste est longue. Mais une fois le pouvoir acquis, sous nos yeux et devant nous, on a commencé à trouver d'innombrables défauts a leurs différents leaders allant pour certains, a leur coller des épithètes, quand pour d'autres, a les trouver tout simplement, désormais, infréquentables, inaptes à occuper des postes de responsabilités.

 

Sous nos yeux et devant nous, au PDCI RDA, au RDR, au MFA et a l'UDPCI les Leaders de jeunes et de femmes, qui, hier, ont bravé les innombrables difficultés, sont clochardisés, écartés de la gestion de la chose publique, méprisés, humiliés et réduits a une mendicité politique de survie sur la base de faux arguments, de faux procès, de calomnies, de ragots et de médisances de toutes sortes.

 

Sous nos yeux et devant nous, on fabrique et on met en selle de nouveaux "leaders" a coups de moyens matériels et financiers sous une base de lutte fausse, on tronque et on travestie l'histoire récente de nos partis politiques. On oublie que le leadership est inné et ne se fabrique pas.

 

Sous nos yeux et devant nous, l'ingratitude, la méchanceté sont devenues monnaie courante.

 

Sous nos yeux et devant nous, on ne répond plus au portable ou du moins on change carrément de numéros à ceux avec qui on a partagé des années communes de lutte et avec qui on aurait pu mourir ensemble. Que non! Ce sont de nouveaux arrivants au militantisme saisonnier, au courage précaire, n'ayant aucun passé de combattant, n'ayant aucune trace de lutte lors de ses dix dernières années qui se pavoisent désormais quand ceux qui ont mené le véritable combat sont combattus, sont relégués au purgatoire de la retraite anticipée. Ils sont accusés de tous les maux et de tous les pêchés. Même les retraités, eux au moins, ont des égards.

 

Que non! Sous nos yeux et devant, les anciens Présidents et anciennes Présidentes de jeunes et de femmes, avec leurs principaux collaborateurs sont aux oubliettes, au placard, enterrés vivants. 2002, 2003, 2004,2005,2006,2007,2008,2009,2010 et 2011 sont désormais trop loin pour qu'on se souvienne ou qu'on s'en souvienne. Des opportunistes à souhait sortent désormais de partout comme des champignons et parlent eux aussi du RHDP.

 

Sous nos yeux et devant nous, le RHDP, notre structure commune de lutte est entrain de battre tous les records "Guinness". Plus de réunions des instances depuis la victoire et la sortie du Golf, plus de réunions de ses démembrements et pourtant cette coalition est au pouvoir et gère le pouvoir d'Etat.

 

Le résultat, Sous nos yeux et devant nous, les nombreux efforts et les grands chantiers de développement du Président OUATTARA ne sont pas perçus à leurs justes valeurs. Le dégel des avoirs, la libération des prisonniers, le retour des exiles et les nombreuses actions menées par le Chef de l'Etat envers l'opposition et ses cadres sont engloutis sous l'autel de la politique politicienne. Le RHDP ne faisait plus de réunions pour arrêter et peaufiner ses stratégies, a laissé, de manière inexorable le champ libre a une opposition qui s'en donne a cœur joie. Même le RGPH pourtant essentiel pour la planification pour les prochaines années est boycotté en interne comme en externe par une opposition et des agents recenseurs en cagoules.

 

Sous nos yeux et devant nous, le RHDP attend, à moins de dix huit mois de la prochaine présidentielle, "ses fameux réglages" qui doivent relancer la machine.

 

Sous nos yeux et devant nous, de nombreuses maisons et habitations sont encore occupées par nos braves FRCI qui tardent à les restituer aux propriétaires.

 

Sous nos yeux et devant nous, ils sont encore nombreux, les ivoiriens qui sont en détention, sans jugement, a Abidjan et a l'intérieur du pays et cela plus de trois ans après la crise post électorale.

 

Sous nos yeux et devant, sans que personne ne s'en meuve, l'ouest du pays est envahi par des hordes de frères de la sous Région, obligeant les populations locales à continuer leur exil forcé.

 

Sous nos yeux et devant nous, malgré les nombreux efforts du Chef de l'Etat qui s'est personnellement rendu à Zwrudu dans le comté du grand Geddeh au Libéria, un drame est entrain de se mettre en place avec tous les ingrédients, a l'ouest du Pays. Le Président Alassane OUATTARA fait beaucoup pour ce pays, travailleur infatigable, malgré son état de santé précaire, il continue de sillonner le monde, de travailler pour chaque jour, pour apporter un peu de joie et de gaieté à chacun et a chacune.

 

Mais hélas, sous nos yeux et devant nous, tous ses efforts sont bloqués en métaphase par une ceinture autour de lui, dans son entourage immédiat, qui sabote tout, complotant dans les salons climatisés pour casser du sucre sur le dos d'autrui.

Sous nos yeux et devant nous, les nominations et les promotions ne respectent aucune valeur cardinale. On oublie les vrais militants, même s'ils ont de la valeur ou s'ils remplissent toutes les conditions pour faire la place a des frères, des neveux ou des cousins, sortis du néant, qui pour la plupart dormaient dans l'hexagone quand nous battions le pavé, respirons l'air des gaz lacrymogènes ou risquons nos vies de jours comme de nuit, sous la pluie comme sous le soleil. Les leaders sont comme des icônes qui ne peuvent mourir.

 

Sous nos yeux et devant nous il se passe des choses bizarres, des choses sans règles. Dieu merci, en toute chose existe une exception et c'est d'ailleurs l'exception qui fonde la règle....Dans ce tohubohu, il existe des exceptions, sous nos yeux...

BLe-guirao.

SOUS NOS YEUX.........de Jean Debadea Ble Guirao

 

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12 mai 2014 1 12 /05 /mai /2014 20:06

gourou et adepte

« J’assume la rébellion armée qui a fait sept milles (7000) morts d"ivoiriens à ce jour)

 

Le gros problème des dictateurs et des dictatures c’est : comment on (s’) en sort ? de : Chiheb Boughedir

 

(Une dense expression métaphorique : La Source (mère) est de Chiheb Boughedir)

 

Réflexions désorientées d’un dictateur sanguinaire potentiel.

 

Admettons que je sois un dictateur sanguinaire (et corrompu, bien sûr). Comment suis-je parvenu au pouvoir, déjà ? Disons que mon pays était en pleine anarchie et que mes compagnons d’armes, tous bègues, suite au petit coup d’état que nous avions organisé ensemble m’ont poussé vers le devant de la scène parce que je causais bien dans les postes médiatiques. Ou alors que mon prédécesseur, dont j’étais le chouchou, avait tourné gâteux. A moins qu’il ne se soit fait dégommer par un exalté (mort au tyran!) !

 

Bref me voici dictateur sanguinaire. Je gouverne donc, comme il se doit, le dos au mur, une mitraillette à la main, prêt à faire feu sur toute velléité d’opposition. Pour employer une métaphore. Je ne suis pas réellement adossé à un mur, je sais simplement que si je baisse ma garde, ce qui m’attend c’est dans le meilleur cas l’exil (si je cours vite) sinon un (TPI) Tribunal Pénal International ou la fameuse (CPI) Cour Pénale International, si mon peuple devenu fou et débile me rattrape. Et dans le pire un nombre variable de balles dans la peau, ou bien le couperet de la guillotine, qui est bien préférable pour ma part a un collier de vieux pneus au cou, qui peuvent se mêler de la danse. Les démocrates n’aiment pas vraiment les dictateurs sanguinaires. C’est d’ailleurs réciproque. La mitraillette métaphorique n’est pas non plus dans mes mains. Elle symbolise les forces de l’ordre, police et armée à qui je délègue le maintien de l’ordre. Le tout, c’est d’éviter que les chefs de mon bras armé ne me renversent. Et mettent celui d’entre eux qui cause bien dans les postes médiatiques à ma place. Je me méfie donc. Tout boulot a ses aléas…Pour le reste, je fais ce que je peux.

 

J’essaie de faire en sorte que mon peuple (que j’aime tant et qui ne me le rend pas toujours bien) ne crève pas trop de faim. Ventre affamé n’a pas d’oreilles et comme j’aime à faire des discours, un peuple sourd me frustrerait. De plus, la faim fait sortir le loup du bois comme l’émeutier de son taudis ou les fourmis magnans de leurs terriers. Bref, on se développe un peu. Au passage, je me remplis les fouilles et j’invite mes partisans, à tous les niveaux, à en faire autant afin qu’ils sachent bien de quel côté leurs tartines sont beurrées, sur le dos du peuple souverain.

 

J’organise de jolies fêtes qui célèbrent mon pouvoir. Le peuple aime les jolies fêtes, les visites dites d’états. Dans les démocraties, il en organise même spontanément sous des prétextes divers afin de pouvoir jouir du fin plaisir de marcher ensemble en braillant des conneries. Quand a mes défilés ils sont militaires plus que revendicatifs. Ils montrent au peuple que leur argent est sagement utilisé et les rappelle à la plus élémentaire des prudences sachant que même intérieur l’ennemi reste l’ennemi et n’a qu’à bien se tenir… sinon !

 

 

Bref tout serait parfait si ne se posait la question de mon éventuel départ. ÂH !!! Dans les démocraties, la solution est simple: il suffit d’être battu aux élections ou de ne pas se représenter. Mais dans une dictature… Pas d’élections possibles ou du moins pas d’élections susceptibles de mener à un changement quelconque. Donc Vive les alliances artificielles des intérêts réciproques. Quant à l’abandon du pouvoir, il peut mener à l’exil, a un (TPI) Tribunal Pénal International ou la fameuse (CPI) Cour Pénale International tout comme au poteau. De toute façon mieux vaut finir a la IDI AMIN DADA que de finir a la SADAM HUSSEIN ou a la MOUHAMAR KHADAFI. On peut laisser le pouvoir à son fils quand on en a un pas trop naze. Ou à son fils « spirituel »… Ça marche parfois, pas toujours. Du coup, on reste. Faute de solution valable, on s’incruste. On se fait vieux et la gâchette se fait molle… Le peuple s’impatiente… Les alliés démocrates se découvrent des réticences… Ça branle dans le manche… Si on ne meurt pas avant, ça se termine très mal… Eh bien c’est pourquoi les maladies bénignes deviennent sauveur souvent.

 

Combien de dictateurs respectés et fêtés dans le monde entier ont fini dans les poubelles de l’histoire ? Citez m’en UN SEUL que l’on révère en dehors d’un cercle restreint de nostalgiques fanatiques ? UN SEUL ! Le gros problème des dictateurs et des dictatures c’est : comment on (s’) en sort ?

 

La Source est de Chiheb Boughedir: Réflexions désorientées d’un dictateur sanguinaire potentiel.

 

***********

lepetitfils da candy

UN COMMENTAIRE.

 

Eh bien! En voici une kyrielle

 

Tout ce sur quoi d’autres dirigeants (des dictateurs et des dictatures) avaient fondé leurs grandes politiques de conservation du pouvoir quitte à fouler aux pieds les principes de droit, de liberté et la démocratie, défendus ci-dessus, se sont effondrés sous leurs yeux de leur vivant. Récitons quelques exemples pour rafraichir les mémoires de la passion du pouvoir d’état des dictateurs et des dictatures: Premier de tous les exemples, l’Allemagne de Hitler et viennent ensuite les exemples suivants; le Chili de Pinochet, l’Indonésie de Suharto, l’Argentine de Videla, les Philippines de Marcos, La Yougoslavie de Slobodan MILOSEVIC, l’empire centrafricain de Bokassa, l’Ouganda d’Idi Amin DADA, le Mali de Moussa TRAORE, le Zaïre de Mobutu Sessé SEKO, le Nigeria de Sani ABACHA, le Liberia de Charles TAYLOR, La Serra LEONE de FODE SANGHO , la GUINÉE de Sékou Touré suivi de Lassana Conté et autres, l’Haïti de Bertrand ARISQTIDE et l’Afrique du Sud de Piter BOTHA. (Et a des degrés divers dépendant de l’appréciation intime de chacun) la Tunisie de BEN ALI, l’Egypte d’OSNI MOUBARACK, la LYBIE du guide MOUHAMAR KADAFI, le Yémen du Maréchal Ali Abdallah Saleh et peut être bientôt même si ça devient arrachant, la Syrie de BACHAR EL ASSAD, sans oublier la Grèce des petits fils de TOUCIDIDE constamment en ébullition et en extase. Nous n’omettrons pas par patriotisme ce jour de Mai 68 le Général DE GAULLE désorienté par des manifestations légitimes citoyennes, avouait du haut de son piédestal: Je n’y peux plus rien, rien n’obéit plus, les ministres ne commandent plus rien, ça fiche le camp, je n’ai plus rien dans les mains, donc je ne peux plus rien faire, il faut que je m’en aille, et le Général rendait le tablier avec sa multitude de vaillants généraux. Question pour le Général DE GAULLE de laisser les merdes devenus « cabri mort » quitter sur sa godasse de général, avant de bouger ses pieds. Sinon bouger ses pieds avec ses godasses auraient fait trop de dégâts. Cabri mort n’a pas peur des godasses de généraux. Aussi il y a le bloc communiste et l’équilibre de la guerre froide, qui n’ont pas résisté à la goutte d’eau continue de la volonté populaire, tout comme le mur de Berlin qui est tombé au son du violoncelle de l’union retrouvée, comme jadis le mur de Jéricho est tombé aux accents de la trompette des libertés. Mais il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir et pire sourd que celui qui ne veut pas entendre…

 lepetitfils-novembre 2013-B

Commentaire de : Lepetitfils Da candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

(La Source du texte mère est de Chiheb Boughedir)

 

Voir dans la même Rubrique : www.malonnamadou.blog.fr

 

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  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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