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13 février 2013 3 13 /02 /février /2013 12:37

Mamadou-Coulibaly-President-de-L-Assemblee-Nationale

Mamadou KOULIBALY Président de LIDER : Nous devons refuser que s’installe plus longtemps dans notre pays une classe de citoyens à irresponsabilité illimitée.

 

 

(Proposer par Lepetitfils Da Candy exilé politique de force)

lepetitfils da candy

(Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr)

 

 

De Mamadou KOULIBALY President de LIDER

 

Le processus de réconciliation en Côte d’Ivoire, qui a du mal à s’enclencher efficacement, tend à situer les responsabilités des différents acteurs de la crise ivoirienne. La responsabilité politique repose, entre autres, sur une certaine liberté dans l’exercice du pouvoir. Sans liberté, pas de responsabilité, même dans le crime. Le crime au sens large du concept est la transgression des lois justes, quelle qu’en soit la gravité : de l’évasion fiscale au génocide, en passant par les meurtres prémédités, le stationnement interdit et le vol à main armée. Sans aucun jugement moral, cette définition analytique permet clairement de distinguer d’un côté les actes criminels et de l’autre les activités légitimes. L’activité criminelle n’est payante que tant que le risque d’être appréhendé et condamné est faible. Le crime prospère donc lorsque la police et la justice sont faibles et que l’impunité devient la norme. La planification de la défaillance de l’Etat Pour ne pas faire trop d’histoire, retenons que le régime de Ouattara date officiellement d’avril 2011 lorsque, après avoir gagné les élections présidentielles de 2010, il lui a fallu faire une guerre pour accéder à un trône qui avait été confisqué par son adversaire. Pour cette guerre, le président Ouattara s’est appuyé sur les Forces armées des forces nouvelles (Fafn) et a recruté des combattants de différentes tribus et ethnies du nord de la Côte d’Ivoire, qu’il a transformés, par le pouvoir d’une ordonnance illégale, en armée régulière ivoirienne dénommée Forces Républicaines de Côte d’Ivoire (Frci), comme pour bien rappeler que ce sont les militants du Rassemblement des Républicains qui devenaient la nouvelle armée de notre pays. Le R des deux sigles ne semble pas se référer à la République, mais aux républicains du Rdr.

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 Les Fafn venaient de prendre l’ascendant sur les Forces armées nationales (Fanci) et se substituaient automatiquement à elles. Les Frci, dont Ouattara est le chef suprême, ont une histoire que l’on peut faire remonter au putsch manqué de septembre 2002. Elles sont alors une mosaïque d’associations de fait : Mpci, Mpigo, Mjp. Ces forces sont celles qui ont participé, entre septembre et décembre 2002, à l’étranglement du marché du cacao dans les zones de production de Vavoua, Danané et Daloa, permettant ainsi à certains négociants, qui leur avaient payé des sommes colossales, de s’enrichir tout en leur livrant armes sophistiquées et munitions en grandes quantités. Ces bandes armées vont ainsi devenir les forces d’occupation rebelles de la moitié nord du pays. Plus tard, les responsables de ces groupes nous expliqueront que les armes se sont imposées à eux, pensant ainsi attirer de la compassion à leur endroit. Nous ne reviendrons pas sur les détails de ces origines, mais une description détaillée de cette naissance peut être lue dans l’enquête menée par le journaliste Guy-André Kieffer, disparu curieusement quelques temps après.

 

 

Cette occupation du Septentrion sera le début d’activités criminelles intenses, qui durent jusqu’à aujourd’hui : L’exploitation des zones occupées et le pillage systématique des ressources de leur sol et sous-sol, agrémentés par des meurtres et des casses de banques, et en particulier ceux des agences locales de la Bceao, qui ont fait perdre à cette institution financière internationale plus de cinquante huit (58) milliards de francs cfa, que l’Etat de Côte d’Ivoire a eu l’obligation de rembourser par la suite, sans qu’aucun coupable n’ait été arrêté ni inquiété. L’expropriation des propriétaires fonciers traditionnels, l’exploitation et l’occupation illégales de terres agricoles pour la culture de drogues sont devenues coutumières. L’un des prototypes de ce type d’activités criminelles organisées reste M. Ouédraogo Rémi, ancien combattant des Forces nouvelles, qui bénéficie aujourd’hui encore de la protection et de la bénédiction du régime Ouattara qui, à la recherche de camps d’entrainement, n’ose pas déloger ce bandit de grand chemin, pilleur des forêts classées de l’ouest du pays, alors que tous les journaux ont décrit dans le détail les activités de « Ouremi » dans le Mont Peko. Des guerres de leadership sont aussi le propre des rebellions et sont responsables de la disparition de certains chefs de guerre tels que Sam Boukary alias Mosquitto, Zaga Zaga, Adams, Kass, IB et autres, tous victimes de la loi du crime organisé dans les zones Cno, comme à la belle époque décrite dans le roman «Le Parrain» de Mario Puzo et superbement mise en scène à Hollywood par Francis Ford Coppola avec Marlon Brando dans le rôle de Don Corleone. Dans ces zones, pendant les dix années du règne des Fafn, les modalités de gouvernement ont été celles de tout système de crime organisé. - Ils ont fait disparaitre l’Etat et l’ont remplacé par une administration militaire dirigée par les commandants de zones dits com-zones ; - Ils ont supprimé les caisses de l’Etat et les ont remplacées par une agence unique dite «la centrale», qui collecte les impôts, douanes et autres rapines et butins de guerre pour le compte des com-zones et autres chefs des Fafn ; - Ils ont instauré l’autorité des Fafn et proscrit définitivement celle des préfets, sous-préfets et autres administrations civiles, représentants de la République ; - Ils ont organisé une branche politique et une branche armée avec une répartition des tâches : la première partageait le pouvoir dans les zones hors Cno tandis que la seconde participait aux activités du centre de commandement intégré. Ceci a permis aux Fafn d’être à la fois les seuls maîtres dans les zones Cno et de partager la maîtrise du terrain et le pouvoir dans le reste du pays. - Ils géraient ainsi de façon collégiale le pouvoir d’Etat, avec l’appui de différents accords de paix (Marcoussis, Pretoria, Ouagadougou) et la complicité des refondateurs au pouvoir, qui avaient appelé à la soupe les autres partis signataires de l’accord de Marcoussis, accepté et célébré par tous. Les milices de toutes sortes se sont mises en place et ont profité d’activités criminelles sur l’ensemble du pays, qui s’est retrouvé gouverné non pas par un parti ou par un homme, mais par un collège de managers que l’on appelait à l’époque « la bande des quatre grands » : Ouattara, Bédié, Soro, Gbagbo.

gourou et adepte

 Ces quatre personnalités avaient tous rang de présidents d’institution de la République et jouissaient des privilèges liés. Ces quatre ont mis en place un système de gestion piloté par le Cadre Permanent de Concertation (Cpc) et ont accepté tous ensemble de mettre en berne la constitution et l’Etat de droit pour rechercher, disaient-ils, la paix. Selon leur plan de travail, le droit ne pouvait permettre d’arriver à la paix, il fallait en sortir, trouver la paix, pour ensuite revenir avec cette paix dans l’Etat de droit. Les bases criminelles de l’Etat étaient ainsi posées. Le refondateur s’est prostitué avec la rébellion pour garder ce qui lui semblait être l’essentiel: le pouvoir. - La justice, dans les zones Cno, était militaire. L’administration militaire et l’Etat sont devenus malfaiteurs. C’est sur cette administration et ces forces qu’Alassane Ouattara s’est appuyé. Cette force dont il avait le contrôle n’était pas officiellement au pouvoir à Abidjan, mais avait le pouvoir. Notons d’ailleurs que le président de la République de l’époque a toujours fait scrupuleusement ce que les Forces nouvelles voulaient, alors que lui-même n’est jamais arrivé à leur faire accepter quoique ce soit de significatif. Laurent Gbagbo était au pouvoir à Abidjan, mais ce sont les Fafn qui avaient le pouvoir dans les zones Cno, malgré les multiples accords de paix. En dix ans, il n’a obtenu ni unicité de caisse, ni contrôle de l’intégralité du pays, ni restauration de l’intégrité du territoire, ni redéploiement de l’administration dans les zones Cno, ni désarmement des forces combattantes, rien qui relève de la souveraineté de l’Etat. Dans les zones hors Cno, Laurent Gbagbo était certes au pouvoir, mais c’est Ouattara qui avait le pouvoir. Publicité 2002-2010 : Gbagbo sur le trône, Ouattara aux commandes Pour comprendre ce qui s’est alors passé il faut d’abord saisir l’essence du pouvoir. Une personne A a du pouvoir par rapport à une personne B, si A est en mesure d’inciter ou d’empêcher B d’accomplir ou pas une action donnée. Dans cette acception du pouvoir, l’on reconnait que A et B ne sont pas des robots, mais ont des volontés actives et que l’obéissance ne se fait pas sous une emprise magique. L’on admet aussi qu’à travers cette volonté, B est libre de désobéir mais qu’en pareil cas, A peut lui infliger des sanctions dont la crainte oblige B à obtempérer.

Gbagbo face Ouattara

 Si l’on transpose cette analyse de base à la politique ivoirienne durant la dernière décennie, on constate que Laurent Gbagbo était certes au pouvoir de 2002 à 2010 mais que, d’évidence, c’est Alassane Dramane Ouattara qui détenait le pouvoir. Pourtant, la gouvernance de la Côte d’Ivoire durant cette période est communément attribuée à Gbagbo, qui croyait d’ailleurs lui-même en être le détenteur. Il ne détenait en fait que le fauteuil présidentiel, alors que Ouattara gouvernait effectivement avec l’appui des Fafn dans les zones Cno. Laurent Gbagbo avait l’illusion du pouvoir, Ouattara en avait la réalité. Gbagbo était satisfait d’être au pouvoir et Ouattara lui faisait faire tout ce qu’il voulait et l’empêchait de faire tout ce qu’il ne voulait pas. Gbagbo se contentait d’être au pouvoir, de signer des accords avec les mandants de Ouattara et de les exécuter selon la volonté de Ouattara, à la seule condition que lui reste au pouvoir. Or être au pouvoir et avoir le pouvoir sont deux choses différentes. Etre au pouvoir ne veut pas dire automatiquement avoir le pouvoir. Gbagbo l’aura appris à ses dépens. Ouattara, lui, s’est contenté, depuis la signature de l’accord de Marcoussis, d’avoir le pouvoir sans être dans le fauteuil présidentiel. Un bref survol des évènements de la période suffit à convaincre que cette réalité et de cette thèse. - La rébellion non matée était une victoire de Ouattara sur la république de Gbagbo. - Les accords de Marcoussis, scandaleux arrangements présentés comme un «médicament amer» à essayer, étaient une expression du pouvoir de Ouattara sur le président Gbagbo. - Les accords de Pretoria, qui ont conduit Gbagbo à modifier ou rejeter toutes les lois votées par l’Assemblée nationale conformément à la constitution ivoirienne, instaurant entre autre l’actuelle Cei (Commission Electorale Indépendante), étaient une expression du pouvoir de Ouattara sur le président Gbagbo. - L’accord politique de Ouagadougou, dans ses quatre versions (I, II, III et IV) était aussi une expression de l’ascendance du pouvoir de Ouattara sur le président Gbagbo. - Proclamer que nous irons aux élections sans désarmement et tout mettre en œuvre pour qu’il en soit ainsi, en violation complète des lois et règlements de notre pays, était une victoire du pouvoir de Ouattara sur le président Gbagbo. - Le déroulement des élections et le cafouillage de la proclamation des résultats étaient l’expression du pouvoir qu’avait Ouattara, l’opposant d’alors, sur le président Gbagbo qui était au pouvoir et à la tête du groupe informel qu’on appelait à l’époque la majorité présidentielle (Lmp). - Le déroulement de la crise postélectorale montrera aussi cette différence entre Gbagbo, qui était au palais présidentiel, avait prêté serment devant le Conseil constitutionnel et croyait donc qu’il avait le pouvoir et Ouattara, qui était au Golf hôtel, avait prêté serment par lettre et n’était pas reconnu par le Conseil constitutionnel, tout en ayant le pouvoir de fermer les banques, les ports, l’aéroport, les administrations, d’ériger une armée, d’affecter des ambassadeurs extraordinaires et plénipotentiaires acceptés par le monde entier.

 

 

De 2002 à 2010, Gbagbo était de fait au pouvoir, mais il faut retenir que sur la même période, c’est Ouattara qui avait le pouvoir. Tout bilan de cette décennie devrait tenir compte de cette situation et savoir que le pouvoir était partagé par les signataires des accords de Marcoussis. Ils ont exercé le pouvoir ensemble. Les refondateurs ont accepté la perversion de leur pouvoir par les rebelles. Ils en ont profité. Il serait trop facile, à l’heure du bilan, de dire que Gbagbo était seul au pouvoir, donc il doit en assumer seul le bilan. Il y a celui qui était au pouvoir et celui qui l’exerçait. La rebfondation a ainsi préparé la criminalisation de l’Etat, qui est aujourd’hui pleinement exercée par le président Ouattara. Cette criminalisation a été le socle de la déconstruction de l’Etat de droit, minutieusement planifiée, à dessein ou pas, par la rebfondation. Il était donc facile pour Ouattara d’y installer les Frci et d’étendre, cette fois à l’ensemble du pays, les pratiques de gouvernance qui avaient cours pendants dix ans dans les zones Cno. L’Etat malfaiteur est dorénavant devenu la norme et le repère. Cette fois, Ouattara est au pouvoir et a le pouvoir. Il installe le système des com-zones partout sur le territoire. Il nomme des anciens chefs de guerre préfets de région, il instaure des com-secteurs, nouvelle catégorie jusqu’à présent inconnue dans l’armée et dans l’administration du territoire en Côte d’Ivoire. Il redéploye, jusqu’aux petites contrées, la milice de son parti, qui tient lieu d’autorité civile et militaire en même temps. Ce sont les représentants locaux des Frci qui ont le pouvoir local, qu’ils exercent en s’appuyant sur les structures locales du Rdr. Ils sont à la fois juges, sous-préfets, maires, chefs de canton et de village. L’armée a le pouvoir local par délégation du chef supérieur des armées, Alassane Dramane Ouattara. L’Etat-criminel est dominé par une milice ethnique et sa branche politique, le Rdr. Ses équipes se spécialisent dans l’exploitation des ressources minières nationales pour leur propre compte. Ils animent des réseaux intouchables de crime organisé dans les forêts classées et les terres rurales, desquelles ils chassent les propriétaires coutumiers traditionnels. Ils passent des marchés de plusieurs milliards au nom de l’Etat, sans aucun respect des procédures d’appel d’offre telles qu’instituées par le code des marchés publics. Ils gèrent un Etat formel avec des procédures informelles. Ils privatisent pour leur clan et les chefs des milices des pans entiers de l’activité économique de l’Etat. Ils profitent de la protection que leur apportent les Nations Unies pour s’adonner à des activités criminelles, sans que les bailleurs de fonds, piégés, ne puissent protester ouvertement, eux qui croyaient que Ouattara aurait été un président moderne.

L'afrique de l'ouest est mal parti

 La communauté internationale découvre plutôt un Etat-trafiquant en tous genres, qui met les institutions au service du crime organisé, en dehors des lois de la République. Elle découvre un Etat qui multiplie les milices ethniques en remplacement des anciennes. Elle découvre un Etat qui criminalise les pratiques de pouvoir. On voit donc que la déconstruction des institutions de l’Etat ivoirien, minutieusement planifiée par un groupe d’hommes assoiffés de pouvoir, est le socle de toute la souffrance des populations qui croupissent dans une pauvreté toujours plus profonde et dans une oppression dont le niveau est devenu intolérable. Dans ce contexte, il est important de dénoncer massivement ce système, en commençant par en prendre l’entière conscience, et en luttant, chacun à notre niveau. Aussi infime que soit l’action de chacun, il est important que, individuellement et collectivement, la classe politique, la société civile, les ménages et les entreprises, nous fassions notre part d’effort sur nous-mêmes, dans la vérité et la responsabilité, pour espérer sortir de ce chaos, insoutenable malgré tous les slogans qui nous rabâchent le contraire. Il est important de refuser catégoriquement toute velléité d’amnistie, qui permettrait à la classe politique bourreau des populations depuis trop longtemps, de s’exonérer encore une fois de ses responsabilités criminelles. Nous devons refuser que s’installe plus longtemps dans notre pays une classe de citoyens à irresponsabilité illimitée. Il y va de notre survie, de l’avenir de la paix, de la liberté, de la démocratie et de la prospérité.

Mamadou Koulibaly-Large

Mamadou KOULIBALY Président de LIDER : Nous devons refuser que s’installe plus longtemps dans notre pays une classe de citoyens à irresponsabilité illimitée.

 

(Proposer par Lepetitfils Da Candy exilé politique de force)

lepetitfils da candy

(Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr)

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 14:43

lepetitfils da candy

En attendant que le soleil se lève vive « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA.

 

L’ingratitude de d’autres en côte d’ivoire est au dessus de l’humainement acceptable, avons-nous déjà dit. Mais voilà nous comprenons les causes de cette ingratitude pathologique maintenant, parce qu’il faut composer dans cas avec la mentalité du peuple conquit ou annexer. Eh oui « professeur » vous avez raison, nous voyons tout les jours les effets de cette composition politique subtile et habile avec la mentalité du peuple conquit et annexer, pour lequel peuple la croyance semble être qu’une fois le pouvoir politique d’état acquit peu importe la manière, vous devenez subitement « Dieu le grand » face a vous c’est la prosternation, c’est la courbette, c’est la génuflexion, c’est le griotisme éhonté pour pouvoir manger, c’est le discours élogique en espérant des postes te des titres, c’est le reniement de soit et pire c’est le reniement de ceux avec qui on avait hier composé a des fins peut orthodoxe, c’est le reniement de ceux a qui ont doit tout en politique, tout devient de leurs fautes… tout ce qui ont combattu hier « Dieu le grand » confesse l’avoir combattu sous l’emprise d’une force occulte, alors même que leurs faits et méfaits étaient dénoncer du jour au jour par ce qui n’ont pas besoin d’un centime de Dieu le grand.

 

 

Eh bien Oui merci « professeur » il faut composer avec la mentalité du peuple, que l’on veut non pas servir, mais plutôt asservir pour se servir dans les deniers publics en espérant une dynastie politique au bout du rouleau, comme celle des Kennedy aux états unis et celle des Zulfikar Alî Bhutto au Pakistan. Alors pourquoi pas la photocopie après l’original ainsi de suite le bien matériel volé dans les caisses publiques de l’état aidera a cela. Et ce serait normal la mentalité du peuple y est disposer parce que le bien matériel pillé des caisses publiques serait au rendez-vous. Alors bonjour la nouvelle ploutocratie éclose sous nos yeux en 2010, bonjour la dynastie atavique-ment tant espérer éclose elle aussi sur un terreau fertile a sa croissance sous nos yeux 2010. Il faut çà parce que juste a côte de cet terreau fertile a sa croissance et disposée ce n’est pas possible non !

 

 

Mais « ici » Oui et ça ne peut être autrement avons-nous déjà dit a d’autre occasion que ; Depuis 1990 date à laquelle « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO à été parachuté à la faveur de la conjoncture économique à l'exigence des institutions financières internationales dans l'arène politique ivoirienne au mépris de sa nationalité BURKINABE d'adoption. Il n'a eu que suffisance, dédain, et mépris pour le peuple ivoirien atavique.

 

 

Ce sont cette suffisance, ce dédain, et ce mépris pour le peuple ivoirien désormais annexé par un conquérant qui explique les arrestations à volonté, les poursuites sélectives dites judiciaires, les déportations. C’est çà la vérité, sinon « Dieu le grand » allait se faire des soucis pour éviter à faire ébranler le nouveau appareil annexeur qu'il dirige en se frottant trop brutalement à cette occasion à une opposition, à des individus ou des groupes politiques ayant conservé un certain pouvoir sociopolitique pouvant attiser en nouveau les braises et cendres du conflit qu'on vient tout juste de laisser derrière. « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO ne peut pas avoir d'égard pour le peuple ivoirien atavique et nous, nous comprenons cela et le voyons à la lunette du juriste-politologue et du psycholo-sociologue, encore merci « professeur ». Parce que quand on n'a ses parents qui ont débarqué de leurs MAURITANIE natale pour immigré en haute volta "BURKINA" il ya pas longtemps dans la vie d’un peuple qui se constitue en nation, et que « Dieu le grand » arrive à ANNEXER ce pays, terre de nos ancêtre et aïeux, par le soutien du pays d'accueil de ses parents et qui est son pays d'adoption cela avec la caution intéressée et soutien monnayables de l'extérieur le tout en moins de quelques génération seulement, on ne peut pas avoir un quelconque respect pour ce peuple soumis qui vous prend désormais pour leurs maitre.

 

 

Voilà pourquoi, « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO ne peut pas explorer dans la crise ivoirienne (le asseyons et discutons) ce dialogue d’Afrique noire,  ce concept qui a construit une mythologie justificatrice sur la justice non pénale "traditionnelle" en AFRIQUE noire et singulièrement sur les terres de nos aïeux par la pratique de nos ancêtres aujourd’hui dénommée  côte d'ivoire. Comment « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO peut agir autrement que par la loi de la jungle et se conduire en renard libre dans le poulailler libre, en renard hallucinant dans le poulailler halluciner, quant les victimes de ses coups 1999-2002 mise à genou sont aujourd'hui devenu ses principaux soutiens inconditionnels et les avales de tout ses travers politiques d'animosité..

 

 

Non !!! « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA  aujourd’hui  BURKINA FASSO ne peut pas avoir d'égard pour le peuple ivoirien atavique devenu plus que docile a ses errements de ballon de basket, parce trop sûr de son fait « mise à genou de tous »; ce qui le rend trop suffisant, trop méprisant; trop dédaigneux, et trop, trop fier. Mais voilà il faut se détrompe la peuplade de la côte d’ivoire est connue de tous et pour certains c’était hier tout juste, hier en en plein midi, que la soumission d’un peuple souverain ne peut faire oublier.

 

 

Même si Hitler  plébisciter en 1934  comme président, les plus grand analyste ont déduit qu’il ne convenait pas d’aller contre la volonté du peuple, donc dire dans l'absolu que le peuple est souverain nous disons oui mais pour éviter les dérives il doit y avoir des normes fondamentales qui veillent sur les liens sociaux ataviques entre le peuple et ses dirigeants, il doit y avoir une institution forte qui s'appelle le conseil constitutionnel. Donc nous disons Oui ! Le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état, mais tout peuple étant composite, le caractère politique du lien social doit être de rigueur. En attendant vive « Dieu le grand » petit-fils d’immigré mauritanien vendeur de tapis aux NABA en HAUTE VOLTA. Face a qui désormais c’est la prosternation, c’est la courbette, c’est la génuflexion, c’est griotisme éhonté pour pouvoir manger, c’est le discours élogique en espérant des postes te des titres, c’est le reniement de soit et pire c’est le reniement de ceux avec qui on avait hier composé a des fins peut orthodoxe, c’est le reniement de ceux a qui ont doit tout en politique, tout devient de leurs fautes… tout ce qui ont combattu hier « Dieu le grand » confesse  l’avoir combattu sous l’emprise d’une force occulte, alors même que leurs faits et méfaits étaient dénoncer du jour au jour par ce qui n’ont pas besoin d’un centime de Dieu le grand. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny

lepetitfils da candy

Une chronique citoyenne de Lepetitfils Da Candy exilé politique de force

 

Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny

FHB-copie-1

 

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11 février 2013 1 11 /02 /février /2013 14:48

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Alors donc citoyen !!! Piloté par une Rencontre Des Ripoux, tu sais que nous sommes, a la rive Mauritanie ???

 

 

Elections legislatives partielles en côte d’ivoire :

 

 

Six sièges (6) de députés a pourvoir zéro siège pour ladite majorité parlementaire de la Rencontre Des Ripoux. Le peuple a-t-il tout compris ???

assemblee nationale.7

Mais quoi qu’il en soit, en politique il est très difficile d’avoir des idées novatrices pour la stabilité sociale et la paix pérenne, quand toute ta cantonade soutenue par un lobby de presse internationale très intéressée et toutes les presses nationales qui te sont proches t’envoient des images que tu es la plus blanche des neiges, alors que le peuples souverain voit ton extrême laideur.

 

 

Pourtant il est douloureux de se redresser quand on plie depuis si longtemps sous une croyance mégalo maniaquemaladive que l’on est (Dieu le grand ) confiner sous les caprices du bien matériel qu’on prend pour le summum de l’humanité (dites moi le prix). Or il est impossible de se départir de la totalité de ses petites habitudes soporifiques qu’on n’a régit en règle de vie.

 

 

Conséquence en politique ou tout ne se réduit pas a la conquête du pouvoir pour se remplir les poches de deniers publics ou pour émarger forcement dans les caisses publiques de l’état.

 

Le peuple souverain finit par tout comprendre qu’on l’a conduit vers une destination qu’il ignorait qui n’est autre dans le cas présent, que la a la rive Mauritanie.

boigny-HOUPHOUET

Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouet Boigny

lepetitfils da candy

 « soit-dit en passant » Par : Lepetitfils Da Candy exilé politique de force

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7 février 2013 4 07 /02 /février /2013 14:48

FHB-copie-1

Les vainqueurs de guerre C-I ne sont pas plus puissants que les généraux Argentins, que Pinochet de Chili, que les khmers rouges

 

 

 

FELIX HOUPHOUET BOIGNY : PAS UNE SEULE GOUTE DE SANG VERSÉ SUR LE SOL DE CÖTE D’IVOIRE. JE PREFERE L’INJUSTICE AU DESORDRE

 

 

 

Quand les petits malins jouent au tourner en rond le mieux c’est de s’arrêter pour les regarder. Le jongleur alpiniste n’attend que le jour ou la corde se brise…Les vainqueurs de guerre en Côte d’ivoire  ne sont pas plus puissants que les généraux Argentins, que Pinochet de Chili, que les khmers rouges du Cambodge.

 

 

 

Aujourd’hui tout les citoyens soucieux de la paix sociale pérenne en côte d’ivoire se lancent dans des rhétoriques concernant l’amnistie en oubliant ou en faisant fi d’oublier le caractère très complexe de la crise ivoirienne qui a fait aujourd’hui plus sept milles (7000 ) morts par les deux ennemis belligérants dont un camp est aujourd’hui au pouvoir d’état avec ses crimes sur le bras et l’autre camp vaincu fait objet de poursuite sélective des vainqueurs.

 

 

 

Donc aujourd’hui un camp criminel détient la direction et le conducteur de la puissance publique étatique ivoirienne, elle même maitresse par excellence de la force de répression légale. Donc ce camp criminel de la crise ivoirienne a entre les mains les leviers de la justice ivoirienne qu’il téléguide. Cela ne va-t-il engendrer un besoin criant de justice judiciaire et sociale qui mettra en mal à coup sûr toute la société ivoirienne dans un avenir proche ? Or il est évident que la justice non sélective anéantit le besoin de vengeance des victimes, car la Cour qui inflige impartialement aux criminels de guerres le châtiment qu’ils méritent répond par la même aux victimes qui exigent des représailles. Il y a alors aujourd’hui deux angles de visions qui s’offrent à nous concernant la recherche de la paix sociale pérenne par rapport a la répression de ses crimes. 1)-Soit une justice non sélective qui anéantit le besoin de vengeance des victimes, (ce qui nous parait impossible) 2)-soit un deal de non-droit, mais d'intérêt public tout de même, qui ouvre sur une Amnistie générale des crimes de la crise ivoirienne, ceci bien que faillible en droit, aucune parties des deux belligérants n’aura intérêt a actionne ce droit (non-amnistiable et prescriptible) et il est constant que personne au monde ne viendra l’actionner contre le gré des ivoiriens (la logique Mandela).

ado- les morts sont morts yafohi

 Il est connu de tous même de cour pénale internationale « CPI » qu’il existe des documents fiables, des preuves matériels incontestables, établies et obtenues par des organisations au dessus de la bassesse politique et exempt de tout soupçons partisans que les FN-FRCI ont commis de graves crimes contre l’humanité sous ordre et avec l’aval complice de Ouattara dans sa conquête de pouvoir notamment a l’Ouest de la côte d’ivoire… la myopie aujourd’hui qui oblige a s’auto-dédouané n’aura-t-il pas son remède le plus facilement possible du monde par la reprise des répressions judiciaires des crimes non-expié par des criminels du camp Ouattara.

 

 

Donc si GBAGBO a commis des crimes, OUATTARA a commis autant de crimes plus graves, si les FDS ont commis des crimes, le FN – FRCI ont commis autant de crimes plus graves, si lesdits miliciens ont commis des crimes, les Dozos ont commis autant de crimes plus graves. Donc a crimes égaux, justice égales pour les deux belligérants de guerre de 2002 à 2013, si nous devons rester dans la logique de répressions judiciaires. La justice sélective conduit a un chaos plus grand que le précédent avons-nous toujours dit. 

 

 

* Les khmers rouges du Cambodge

Les khmer rouge du Cambodge

Alors Donc avons-nous toujours dit, devant ce qui semble relever de l’impossibilité de criminaliser uniquement la partie perdante d’une crise ou tout les deux belligérants ont commis des crimes contre humanité non-amnistiables et imprescriptibles en droit, le vainqueur d’aujourd’hui se doit de préfère s’abstenir de poursuivre l’ennemi vaincu d’aujourd’hui pour ne pas être l’inculpé potentielle de demain pour crimes contre l’humanité non-amnistiable et l’imprescriptible « l’Argentine des généraux, le Chili de Pinochet et les khmer rouge du Cambodge» parce que tous coupables de graves crimes contre l’humanité non-amnistiables et imprescriptibles.

 

 

 

Ainsi aucune partie n’a intérêt de se prévaloir  du  caractère  non-amnistiable et imprescriptible qu’exige le droit international des crimes commis au risque de se retrouve tous sur les bancs des accusés en cas de procès demain.(si toutes les parties qui forme la société commune ont tous tuer qui jugera qui ???) voici le sérieux problème qui se posera a toutes les parties en revendiquant le caractère  non-amnistiable et imprescriptible des crimes commis avons déjà dit.

 

*

Les khmers rouges du Cambodge

Les khmer rouge du Cambodge-2

Mais si malgré cette quête de la paix sociale pérenne par un deal de non-droit, mais d'intérêt public tout de même. « Nous soulignons intérêt public, l'intérêt public tient le droit en l’état, parce que l’objectif premier du droit est d’instaurer l’ordre public et la paix sociale qui sont au dessus du droit. C’est pourquoi depuis le monde est monde le droit s’arrête quand ses actions vont a l’encontre de sa vocation première l’ordre public et la paix sociale ». Les vainqueurs d’aujourd’hui autant criminels contre l’humanité au même titre que les vaincus d’aujourd’hui se plaisent dans une justice des vainqueurs il est alors évident qu’ils seront un jour ou l’autre poursuivi pour leurs crimes non-amnistiables et imprescriptibles qu’ils auront a expié de droit comme les vaincus d’aujourd’hui parce que leurs statuts de vainqueurs de la guerre d’aujourd’hui ne les exonère pas de droit et ne peut être utiliser comme un paravent justificatif des graves crimes contre l’humanité par des criminels vainqueurs soient-ils…

 

 

 

Ce deal de non-droit, amnistie politique vise en premier lieu à apaiser les esprits et à ramener la paix dans le pays. Elle joue alors le rôle d’armistice et apparaît comme la condition nécessaire de cohésion sociale autrement dit du cessez-le-feu. Elle a ainsi régulièrement figuré dans les traités de paix entre Etats belligérants en ce qui concerne les conflits internationaux et entre Groupes  belligérants en ce qui concerne les conflits internes des états. Mais l’amnistie permet aussi et surtout de donner une assise durable à la paix retrouvée. Bien souvent en effet, alors même que le conflit a pris fin, que les armes ont été déposées, les dissensions demeurent et menacent sans cesse le calme retrouvé, la stabilité sociale et la paix pérenne.

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*Sept mille morts (7000) de citoyens qui ne demandaient qu’a vivres en paix comme sous FELIX HOUPHOUET BOIGNY 

 

 

Donc Ce deal de non-droit, l’amnistie est considérée comme le seul moyen efficace de faire taire les adversaires à un régime arrivé au pouvoir au terme d’une guerre ou toutes les parties belligérantes sont coupables de graves crimes contre l’humanité. Elle est préférable à une poursuite judiciaire sélective implacable, à la répression systématique et aux poursuites pénales qui en droit ne se doivent d’épargnés aucunes des parties belligérantes.

 

 

 

Cet oubli obligatoire imposer par la quête de l’ordre public et de l’intérêt public, met ainsi un terme à l’opposition ami-ennemi, en mettant entre guillemets les crimes et délits commis par l’ancien adversaire vaincu mais aussi par ses propres partisans vainqueurs. Cette amnistie politique apparaît comme une nécessité réciproque de mettre entre guillemets  les crimes et délits commis : elle permet de mettre un terme à une lutte fratricide, à un affrontement entre deux groupes politiques, entre deux groupes de concitoyens, entre deux croyances différentes. Cette amnistie politique est par conséquent étroitement liée à la notion d’ordre public puisqu’elle a pour but de ramener ou de consolider la stabilité sociale et la paix civile et sociale pérenne, et par conséquent, de préserver la stabilité des institutions politiques et républicaines.

 

 

 

Elle anéantit de ce fait le sujet même des éventuelles agitations en portant la mise entre guillemets des crimes, délits, et des infractions commises. Elle a ainsi pour but de résoudre des troubles conjoncturels à l’ordre public par une justice sélective des vainqueurs. Ce genre d’amnistie politique permet alors, après une guerre civile ou une grave crise sociopolitique dans laquelle l’unité nationale a été particulièrement atteinte, de mettre un terme à ce qui serait susceptible d’entretenir la polémique ou les divisions dans le cadre d’une procédure judiciaire sélective des vainqueurs.

gourou et adepte

  les morts sont morts yafohi

 

 

Ce principe est vieux comme le monde, quand l’application du droit et de la justice pose plus de problème a une société qu’elle ne peut régler, les sociétés ont toujours transcendé malgré elles le droit et la justice en s’appuyant sur la contrition et la vérité de chacun pour aller a la paix sociale pérenne

 

 

C’est ce que Nelson Rolihlahla Mandela, dit « Madiba »  élu président de la République d'Afrique du Sud à compris et enseigner au monde conscient qu’il était que son ANC n’était pas sans reproche de crimes pendant la période apartheid.

mandela-afrique-copie-1

 Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Quand on met sa tête dans un trou noir pour ne pas voir et pour ne pas entendre, on laisse tout de même son cul dehors en l’air que le monde entier voit…

 

L'armée de pinochet

Le Chili de Pinochet

  Les vainqueurs de guerre C-I ne sont pas plus puissants que les généraux Argentins, que Pinochet de Chili, que les khmers rouges du Cambodge

 

 

 

La roue de l’histoire tourne-

pinochet-et ses amis

1-Arrêté à Londres en novembre 1998, le général Pinochet sera libéré en mars 2000 et renvoyé au Chili. Malgré la volonté de son pays de le traduire en justice, il meurt avant son éventuel procès, le 10 décembre 2006, d'une crise cardiaque

 

 

 

La roue de l’histoire tourne-

VIDELA-argentine

2-Jorge Rafael Videla, né à Mercedes, dans la province de Buenos Aires le 3 octobre 1925 est un général et homme politique argentin. Il dirigea l'Argentine et la guerre sale, après le coup d'État militaire du 24 mars 1976 qui destitua Isabel Perón. En 1981, il céda la présidence de la junte au général Roberto Eduardo Viola. Il a été placé en résidence surveillée au retour de la démocratie en 1983, puis condamné à la prison à perpétuité lors du Procès de la junte de 1985. Amnistié en 1989 par le président Carlos Menem, son dossier est rouvert en 20071 et se conclut le 23 décembre 2010 par une condamnation à la prison à vie,

La roue de l’histoire tourne-

 3-Pol Pot au pouvoir Les forces communistes menées par Saloth Sar triomphent de l’armée de Lon Nol le 17 avril 1975, date à laquelle Phnom Penh tombe entre les mains des Khmers rouges, considérés au départ comme une force libératrice par la population. Pol Pot et ses alliés mettent en place un régime totalitaire qui entreprend rapidement d'éliminer tout individu lié au gouvernement de Lon Nol. Sur ordre de son rival Ta Mok, il est arrêté par ses propres troupes pour l'assassinat de Son Sen, l'ancien chef de la sûreté du Kampuchéa Démocratique, et condamné à une peine d'emprisonnement à perpétuité. Pol Pot meurt le 15 avril 1998 à l’âge de soixante-neuf ans, officiellement d'une crise cardiaque. Son corps est incinéré avec des ordures et des pneus

La roue de l’histoire tourne-

ferdinant-marcos

4)-Chute de Ferdinand Edralin Marcos : Au cours des années de pouvoir de Marcos, son régime a sombré dans la corruption et la mauvaise gestion de ses proches. Le point culminant fut l'assassinat de Benigno Aquino. Marcos peut être considéré comme un modèle en ce qui a trait au détournement de fonds : il aurait détourné des milliards de dollars du Trésor philippin. Il s'est aussi rendu célèbre pour son népotisme, employant sa famille et ses amis aux postes clé de son gouvernement. En 1986 Marcos déclencha des élections et se représenta avec Arturo Tolentino comme vice-président. L'opposition était alors unie derrière la veuve d'Aquino, Cory Aquino et Salvador Laurel comme vice-président. À la suite des élections, Marcos et Aquino se déclarèrent tous deux vainqueurs. L’élection a été généralement entachée de fraudes de la part des deux partis. Avec le support de l'armée (commandée par Juan Ponce Enrile, ancien ministre de la défense et Fidel Ramos, ancien général sous Marcos), du mouvement Pouvoir du peuple (People Power), et des protestants de tous les secteurs, Marcos fut poussé à l'exil et Aquino devint présidente. Marcos et sa femme, Imelda Marcos, partirent en exil à Hawaii et ont par la suite été accusés de détournement de fonds par les États-Unis. Marcos est mort à Honolulu (Hawaii) en 1989.

 

Il n’y a pas pire sourd que celui qui ne veut pas entendre, il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir. Quand on met sa tête dans un trou noir pour ne pas voir et pour ne pas entendre, on laisse tout de même son cul dehors en l’air que le monde entier voit…

lepetitfils da candy

Une petite contribution de : Da Candy Lepetitfils leader de la légitimité citoyenne en exil forcé

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1 février 2013 5 01 /02 /février /2013 20:14

Félix Houphouët Boigny « je préfère l’injustice au désordre social »

FHB

Un homme politique digne de ce nom ne subordonne pas une Amnistie politique a la justice des vainqueurs. Mandela l’a enseigné au monde 

 

 

 

L’amnistie est considérée comme le seul moyen efficace de faire taire les adversaires à un régime arrivé au pouvoir au terme d’une guerre ou toutes les parties belligérantes sont coupables de graves crimes contre l’humanité. Elle est préférable à une poursuite judiciaire sélective implacable, à la répression systématique et aux poursuites pénales qui en droit ne se doivent d’épargnés aucunes des parties belligérantes. 

 

 

 

Donc devant ce qui semble relever de l’impossibilité de criminaliser uniquement la partie belligérante perdante, le vainqueur préfère s’abstenir de poursuivre l’ennemi parce qu’ils sont tous « les deux belligérants » coupables de graves crimes contre l’humanité.

 

 

Ainsi aucune partie belligérante n’a intérêt de se prévaloir, de se réclamer du  caractère non-amnistiable et l’imprescriptible des crimes commis au risque de se retrouve tous  les deux belligérants coupables des mêmes crimes sur les bancs des accusés (si toutes les parties qui forme la société commune ont commis les mêmes crimes qui jugera qui ???)

 

 

voici le sérieux problème qui se posera dans le futur a toutes les parties belligérantes en revendiquant ou se réclamant du caractère  non-amnistiable et imprescriptible des crimes commis. 

 

 

 

Cet oubli obligatoire imposer par la quête de l’ordre public et de l’intérêt public, met ainsi un terme à l’opposition ami-ennemi, en mettant entre guillemets les crimes et délits commis par l’ancien adversaire vaincu mais aussi par ses propres partisans vainqueurs.

 

 

Cette amnistie politique apparaît comme une nécessité réciproque de mettre entre guillemets  les crimes et délits commis : elle permet de mettre un terme à une lutte fratricide, à un affrontement entre deux groupes politiques, entre deux groupes de concitoyens, entre deux croyances différentes.

 

 

Cette amnistie politique est par conséquent étroitement liée à la notion d’ordre public puisqu’elle a pour but de ramener ou de consolider la stabilité sociale et la paix civile et sociale pérenne, et par conséquent, de préserver la stabilité des institutions politiques et républicaines. 

 

 

Elle anéantit de ce fait le sujet même des éventuelles agitations en portant la mise entre guillemets des crimes, délits, et des infractions commises. Elle a ainsi pour but de résoudre des troubles conjoncturels à l’ordre public par une justice sélective des vainqueurs.

 

 

Ce genre d’amnistie politique permet alors, après une guerre civile ou une grave crise sociopolitique dans laquelle l’unité nationale a été particulièrement atteinte, de mettre un terme à ce qui serait susceptible d’entretenir la polémique ou les divisions dans le cadre d’une procédure judiciaire sélective des vainqueurs.

mandela-afrique-copie-1

  C’est ce que Nelson Rolihlahla Mandela, dit « Madiba »  élu président de la République d'Afrique du Sud à compris et enseigner au monde conscient qu’il était, que son appoint ANC n’était pas sans reproche de crimes pendant la période apartheid. 

 

 

 

Alors donc ce qui prétend précéder une Amnistie politique à une justice sélective des vainqueurs doivent s’entendre a leur tour sur le banc des accusés. Parce que le jour que les vaincus d’aujourd’hui seront vainqueurs de demain ils procèderont de la même manière de justice des vainqueurs en s’appuyant sur le caractère non-amnistiable et imprescriptible des graves crimes contre l’humanité que les vainqueurs d’aujourd’hui n’ont pas expiés

 

 

 

Ce principe est vieux comme le monde, quand l’application du droit et de la justice pose plus de problème a une société qu’elle ne peut régler, les sociétés ont toujours transcendé malgré elles le droit et la justice en s’appuyant sur la contrition et la vérité de chacun pour aller a la paix sociale pérenne  

 

 

 

 Une petite contribution de : Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne en exil forcé

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www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr ou www.malon-amadou.centerblog.net

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 18:49

Da candy lepetitfils

La procédure actuelle de répression des crimes commis en côte d’ivoire est la copie conforme de celles de Nuremberg et de Tokyo 

 

 

 

Un plaidoyer pour la côte d’ivoire de Lepetitfils DA Candy exilé politique de force 

 

 

 

(La CPI c‘est Nuremberg et la justice ivoirienne c’est Tokyo) ou les vaincus sont les criminels. Non !!! L’humanité ne saurait s’accommoder avec un tel non-droit et une telle déshumanité. 

 

 

 

Voyons la responsabilité des tenants du pouvoir d’état dans les crimes de la crise ivoirienne :*-1)-Alassane Ouattara le parrain de la rébellion dont SORO n’est que l’interface visible, le chef hiérarchique qui a commandé les opérations militaires postélectorales qui ont fait plus de trois milles (3000) morts est par conséquent le premier pénalement responsable des exactions et des tueries, « crimes des crimes » aux yeux du droit international pénal, du droit international des droits de l’homme, et du droit international humanitaire. Et c’est Alassane Ouattara, ce criminel reconnu par le droit international pénal, par le droit international des droits de l’homme, et par le droit international humanitaire qui détient la direction et le conducteur de la puissance publique étatique ivoirienne, elle même maitresse par excellence de la force de répression légale.

 

 

 

Donc un des criminels de la crise ivoirienne a entre les mains les leviers de la justice ivoirienne qu’il téléguide. Cela va engendrer un besoin criant de justice judiciaire et sociale qui mettra en mal à coup sûr toute la société ivoirienne dans un avenir proche. La justice non sélective anéantit le besoin de vengeance car la Cour qui inflige impartialement aux criminels de guerres le châtiment qu’ils méritent répond par la même aux victimes qui exigent des représailles. ALLASANE OUATTARA n’a aucune possibilité aux yeux du droit international de prétendre ignorer les exactions et les tueries de ses fantassins partis du nord ivoirien et de Bouaké sous son ordre pour conquérir le sud ivoirien par les armes contre le pouvoir GBAGBO.Alassane Ouattara vu à la loupe dudroit international pénal, du droit international des droits de l’homme, et du droit international humanitaireest un dangereux criminel de guerre. 

 

 

 

*-2)-Guillaume Soro le commandant en chef des Forces Nouvelles de Côte d'Ivoire (FNCI) une coalition de mouvements rebelles : le MPIGO, le MPCI et le MJP. En tant que chef consentant de la rébellion de septembre 2002. Il est le premier responsable des crimes commis par sa rébellion jusqu'à novembre 2010 date à laquelle il a remis sa démission et ses hommes a OUATTARA. Premier responsable des crimes commis par sa rébellion, parce qu’il était le chef supérieur ayant autorité sur ses subordonnés de septembre 2002 a novembre 2010, il disposait d’une capacité de mettre fin à une conduite criminelle dont il savait ou aurait dû savoir par obligation que ces hommes allaient ou étaient entrains de commettre des crimes. Cela résulte du principe de la responsabilité du supérieur hiérarchique qui tire son origine de la responsabilité pénale individuelle tel qu’appliqué par les juridictions de Nuremberg et de Tokyo.

 

 

 

Mais il n’est pas exclu qu’il puisse ignorer effectivement les infractions commises par ces subordonnés parce qu’il veut délibérément les ignorer. Ce qu’est de règle de droit, c’est que dans plusieurs cas flagrants, les tribunaux qui ont eux à juger les crimes de guerre après la deuxième guerre mondiale n’ont pas accepté cette manière de se laver les mains et ont admis que, compte tenu des circonstances, la connaissance des infractions commises par les subordonnés pouvait être présumé ». En règle générale du droit, le défaut de connaissance ne le dégage pas de sa responsabilités, si cette ignorance est imputable à une faute de sa part « devoir de s’informer et obligation de savoir ». Le fait que les infractions sont de notoriété publique, nombreuses, étalées dans le temps et dans l’espace depuis l’éclatement de la crise suite au son coup d’état manqué de septembre 2002 est à prendre en considération lorsqu’il s’agit de présumer que Soro Guillaume ne pouvait les ignorer. Donc le défaut de connaissance ne le dégage pas de sa responsabilité cette ignorance étant imputable à une faute de sa part.Soro Guillaume vu à la loupe dudroit international pénal, du droit international des droits de l’homme, et du droit international humanitaireest un dangereux criminel de guerre.

 

 

 

*-1-2)-Donc il est alors évident que si une juridiction doit juger les cimes contre l’humanité commis pendant la crise ivoirienne en général et postélectorale en particulier elle n’a aucune possibilité juridique de se passer du chef OUATTARA des FRCI et les DOZOS de novembre 2010 a ce jour et du chef rebelle Soro Guillaume de septembre 2002 a novembre 2010. OUATTARA ALLASSANE et Soro Guillaume sont incontestablement leurs chefs hiérarchiques. ALASSANE OUATTARA et SORO GUILLAUME doivent payer en qualité de supérieurs hiérarchiques les crimes contre l’humanité de leurs fantassins criminels. Cette responsabilité du supérieur pour les actes du subordonné, signalons-le qu’elle a été reconnue en 1907 par la convention de Haye. En outre dans le rapport préliminaire présenté à la conférence de la paix, à Versailles, le 29 Mars 1919, a été reconnue la possibilité d’attribuer sur les personnes en position d’autorité qui ont failli à leur devoir de prévenir les violations des lois ou coutumes de la guerre commises au cours de la Première Guerre Mondiale.

 

 

 

Alors donc aujourd’hui de quel droit peut-on exonérer les criminels ALASSANE OUATTARA et SORO GUILLAUME de justice et de responsabilité parce qu’ils ont acquit le pouvoir d’état par les armes ??? Nous sommes préoccupées par l’impunité dont jouissent OUTTARA ALASSANE et SORO GUILLAUME auteurs de crimes contre l’humanité, à cause de leurs statuts politique de gouvernants en fonctions.Alassane Ouattara et Soro Guillaume vu à la loupe des normes juridiques dudroit international pénal, du droit international des droits de l’homme, et du droit international humanitairesont deux dangereux criminels de guerre qui n’ont de place que sur le banc des accusés d’un TPI-CI tribunal pénal international pour la côte d’ivoire et si cette juridiction accepte de jeter un coup d’œil sur le droit international général il y a des parrains extérieurs qui peuvent être obligé en intervention forcée de s’expliquer comme coauteur…

 

 

 

Pour les exécutants des crimes de ALASSANE OUATTARA et SORO GUILLAUME dont les plus gradé étaient des sergents en septembre 2002, nous rénuunérons les noms de quelques uns ici : *-3-)-Chérif Ousmane ; Le commandant de la compagnie Guépard de Bouaké, cet ancien sergent des Fanci et un ancien membre des Firpac, un corps d’élite formé par le général Guéï. *4-)-Wattao ; ancien caporal des Fanci, le plus célèbre de la rébellion. *-5)-Morou Ouattara  est le cousin Wattao cousinage oblige. *-6)-Hervé Pélikan Touré alias «Vétchio» un des principaux meneurs de l’assaut final des FRCI à Abidjan sous ordre de ouattara. *-7)-Zacharia Koné alias «Zacka terreur tranquille » était le chef de guerre de Séguéla natal *-8)-Losseni Fofana ; Surnommé «l’intrépide Loss», sous ordre de OUATTARA c’est lui  qui a marché sur l’Ouest ivoirien avec ce que nous connaissons lors de  leur progression à Duékoué. *-9)- Fofié Kouakou Martin, ex-caporal de l'armée régulière maitre de khorogo,*-)-10-Ousmane Coulibaly dit « Ben Laden » *-11)-Koné Messamba le très effacé.*-)12-Tuo Fozié Et autres….

 

 

 

Voici quelques détails de leurs crimes contre l’humanité, leurs faits et méfaits dans la crise ivoirienne relayés par les organisations internationales de défenses des droits de l’homme, par la presse nationale, la presse internationale et rapporté par des réseaux sociaux et organisations citoyennes . Donc tous sont unanimes a reconnaitre que : Les crimes sont leur activité quotidienne et leurs victimes qui tombent tous les jours se chiffrent en milliers. Depuis leur coup d’Etat avorté contre leur ennemi belligérant GBAGBO LAURENT qui a débouché sur l’occupation de la moitié nord du pays le 19 septembre 2002, ces ex-rebelles tuent impunément. Le massacre collectif des gendarmes de Bouaké, l’extermination des danseuses traditionnelles d’ «Adjanou» à Sakassou, le charnier de Monoko Zohi, les génocides de Petit- Duékoué et de Guitrozon, l’extermination systématique de plus de 1000 innocents à Duékoué en mars 2011 confirmée par les rapports de Amnesty international et de la Division des Droits de l’Homme de l’Onu, les tueries de dizaines de paysans à Taï figurent au nombre de leurs crimes ignobles. Des crimes de guerre qui ont laissé indifférent Ouattara. Tous les jours, des Frci volent, braquent, rackettent, persécutent, rançonnent les populations. Ces hommes armés pillent, saccagent, incendient les biens d’honnêtes citoyens. Ils violent, tuent sans que cela n’émeuvent Ouattara. Simplement parce que les victimes de ces exactions sont censés être des partisans de leur ennemi belligérant Laurent GBAGBO, des militants et cadres Fpi ou Lmp.

 

 

 

Mais il a suffi que ces mêmes Frci tuent six « 6 » personne à Vavoua en décembre 2011 des présumés partisans du régime en place pour que les tenants du pouvoir perdent le contrôle de leurs nerfs et décident d’anéantir les Frci, deux poids de mesures comme la justice sélective des vainqueurs. A ce jour, le nom Frci renvoie aux crimes, vols, viols, braquages, à l'indiscipline caractérisée et à l'insécurité. Comment des hommes en tenue et en armes dans des véhicules frappés du logo Frci, peuvent-ils débarquer dans des domiciles, tenir tout le monde en respect, tuer sous les yeux de ses enfants le chef de famille, violer la mère et les filles tout en les obligeant sous la menace de fusillade de chanter pendant les viols les louages en malinké « ALASSANE OUATTARA puissancy à magny dê » la puissance de ALASSANE OUATTARA n’est pas bonne, avant d’emporter, argent, bijoux, téléphones, appareils électroménagers.

 

 

 

Des actes d’une extrême barbarie, doublés de crimes en tout genre, signés en lettres de sang par des éléments «incontrôlés» des Forces républicaines de ALASSANE OUATTARA et SORO GUILLAUME. »L’humanité à le devoir de faire arrêter et doit pouvoir arrêter cette machine broyeuse de droit qui se nourrit de l’impunité judiciaire et prospère sur des tabous comme l’immunité judiciaire des chefs d’états en exercice ou l’immunité diplomatique tout cour. Donc comme leurs utilisateurs,tout se monde tirer par la locomotive conjointe, Alassane Ouattara et Soro Guillaume sont des dangereux criminels de guerre qui n’ont de place que sur le banc des accusés d’un TPI-CI tribunal pénal international pour la côte d’ivoire et si cette juridiction accepte de jeter un coup d’œil sur le droit international général, il y a des parrains extérieurs qui peuvent être obligé en intervention forcée de s’expliquer comme coauteur.

 

 

 

Jusqu'à preuve du contraire, nous sommes convaincu que l’humanité ne saurait s’accommoder en côte d’ivoire avec une justice sélective des vainqueur d’une crise qui a fait plus de six milles cinq cent soixante quatre « 6564» morts dont trois milles cinq cent soixante quatre morts « 3564 morts» pour la seule période de crise postélectorale novembre 2010 à 2013 sous la responsabilité de Alassane Ouattara et trois milles et quelques « 3000 » de septembre 2002 à novembre 2010 sous la responsabilité de SORO GUILLAUME. « Des faits qui sont des crimes des crimes ».

 

 

 

L’humanité ne saurait donc, non plus soutenir l’impunité judiciaire concernant des crimes inacceptables et injustifiables qui choquent la conscience de l’humanité au motif que les criminels principaux OUATTARA ALASSANE et SORO GUILLAUME seraient des dirigeants politiques en fonction couvert de la boite noire des immunités étatiques. Non, Non, et Non !!! Les criminels ce ne sont pas uniquement les autres parce que les criminels Alassane Ouattara et Soro Guillaume exercent le pouvoir d’état acquit par les armes…Non !!! L’humanité ne saurait s’accommoder avec une telle déshumanité.

 

 

 

A propos de crime économique : Les 58 milliards FCFA volés dans les casses des agences BECEAO ivoiriennes ne sont-il pas des crimes économiques ???

 

 

 

Au surplus des casses de toutes les agences des banques ivoiriennes « des milliers de milliards m’a-t-on dit de source Bancaire de très haut niveau » après la prise de tout le territoire ivoirien par les rebelles de SORO Guillaume auteurs de ses casses qui ont pour parrain Alassane Ouattara et Les dommages subis par trois agences auxiliaires ivoiriennes de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest, dévalisées en 2002, qui est de 58 milliards FCFA perdus dans les casses de ses agences ivoiriennes par les rebelles de SORO Guillaume qui ont pour parrain Alassane Ouattara ne sont peut être pas des crime économiques en côte d’ivoire « Mauritanisée, » même si les voleurs a mains armées arrivées au pouvoir ont dû certainement rembourser ces sommes volées.

 

 

 

Le pillage systématique de ressources souveraines étatiques (Diamants, Or, Bois, Café, Cacao) les taxes sans fondements imposé aux pauvres populations ne sont-ils pas des crimes économiques ??? Parce qu’un valet des usuriers internationaux, un Boys de luxe  lavé, poli, chaussé et habillé chez les meilleurs couturiers de l’Occident, mais qui n’en restait pas moins un « boy de luxe », qui n’a jamais exprimé une seule opinion de développement ni écrit un seul petit article d’expertise à ce sujet est imposé au peuple de force ???

 

 

 

Non !!! Les criminels ce ne sont pas uniquement les autres parce que les criminels Alassane Ouattara et Soro Guillaume exercent le pouvoir d’état acquit par les armes d’une mafia internationale sous couverture onusienne. Non !!! L’humanité ne saurait s’accommoder avec une telle déshumanité.

 

 

Par Lepetitfils Da Candy exilé politique de force

 

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15 janvier 2013 2 15 /01 /janvier /2013 12:09

lepetitfils da candy

Le vivre ensemble ne se chante pas, il se pratique, il s’applique a la vie de tout les jours sans se croire juge de l’autre.

 

 

Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

 

 

(Comment peut t-on conquérir un pays par les armes en faisant plus de sept milles « 7000 » morts de citoyens zigouillés chemin faisant , sur l’autel de la conquête du pouvoir d’état puis prôner le vivre ensemble dans ce pays conquit par cet acte hautement ignoble digne des saligauds imposteurs. C’est du tout le monde haut-les-mains et tous a genou sinon c’est le trépas assurer, mais non !!! Le vivre ensemble cette valeur de gauche pacifique et unificatrice.)

 

 

Le vivre-ensemble est une valeur de gauche

 

 

En côte d’ivoire des politicards imposteurs pathologiques, et carriéristes opportunistes utilisent comme simple slogan, le concept philosophique intégrateur, unificateur qu’est le vivre ensemble en ignorant tout de son acception « sa lettre et son esprit » et le prenne pour un simple outil de propagande politique a des fins électorales. Le vivre-ensemble n’est non pas tel qu’on l’utilise aujourd’hui en côte d’ivoire comme slogan apologiste d’un communautarisme de rattrapage, à savoir au sens d’incantation politique a des fins électorales. Mais le vivre-ensemble se doit d’être utilisé au sens de la réalité sociétale, parce que dans ce cas, le vivre-ensemble est autre chose qu’un argument de campagne politique d’une Rencontre Des Ripoux. Donc les compartiments et murs diviseurs quels qu’ils soient, « communautariste de rattrapage, régionaliste Nord-Sud, sensibilité politique et idéologique, intérêts égoïstes et égocentrique » sont transcender, parce que contraires au principe même du vivre-ensemble, ou le lien social est éminemment politique.

 

 

Le lien social est politique

 

 

Le lien social, cette autre expression abondamment utilisée par les hommes politiques ivoiriens sans être vraiment définie dans son esprit, le lien social est ce qui permet aux individus de vivre ensemble et de "faire société" commune dans l’acceptation réciproque des différences sociétales et l’acceptation de chacun dans son originalité absolue, a l’intérieur de l’égalité de tous. Dans notre pays la côte d’ivoire, certaines mutations sociales carriéristes tendent à fragiliser le lien social, tandis que d'autres symptômes, comme la justice sociale et juridique  pour chacun témoignent de sa bonne santé et de son dynamisme dans les sociétés policées. Mais quoi qu’il en soit, la vitalité persistante du lien social ne doit pas masquer les tensions que peuvent créer des crises sociopolitiques qui  engendrent la création/formation des compartiments et des murs diviseurs dans la société commune, une tendance qui affaiblit la cohésion sociale dans une nation une et indivisible, dans un état de droit et dans une société démocratique.

 

 

Une société démocratique est solidaire

 

 

Une société démocratique ? C’est une société solidaire, une société ou le lien social est incassable, une société qui ne laisse personne au bord de la route. C’est une société qui permet la participation de tous les citoyens à la vie politique de leur nation. C’est une société qui met le citoyen contributeur social au cœur de la société de solidarité agissante. C’est une société ou le citoyen est un passeur de lien entre les individus, un fusible de connections entre les groupes sociaux, pour mieux vivre ensemble. C’est une société ou le citoyen restaure le lien social et redonne l’envie aux plus fragiles ou martyrisés de reprendre pleinement leur place dans la société commune, en les rendant acteurs du développement sociétal et acteurs de leur propre développement personnel. La côte d’ivoire de Felix Houphouet Boigny doit pouvoir être cette société démocratique, débarrassée de l’interventionnisme et de l’autoritarisme de l’ultra-dirigisme

 

 

Un ultra-dirigisme systémique

 

 

Et bien voilà !!! Malgré les valeurs sociétales qu’exige cette société démocratique, il y a problème dans notre pays la côte d’ivoire, parce que l’idéologie du communautarisme de rattrapes assis sur un ultra-dirigisme systémique se réclame du vivre ensemble solidaire et infortune nos pauvres oreilles de verbiages, de fanfaronnades de ballon de basket. Alors qu’une  crise sociopolitique sciemment entretenue par cette idéologie du communautarisme de rattrapes assis sur un ultra-dirigisme systémique ronge notre société qui est fragilisée dans son substrat, pire encore, elle risque de se briser en plusieurs morceaux, parce qu’une partie croissante de ses membres sont socio-politiquement méprisés par une politique de rattrapage communautariste des politicards phalangiste soutenu par des soudards et exclus de fait de l’organisation démocratique, donc institutionnelle et de la pratique sociale du vivre ensemble réel, et le peuple est gagner par la paupérisation,  la précarité, la misère, et l’anxiété à force de se réfugier derrière les fatalités, demain peut être serait meilleur grâce a dieu ? En acceptant ainsi la dégénérescence sociétale désespérément et la régression des droits humains, politiques et civils 

 

 

La régression des droits politiques et civils,

 

 

Aussi chaque jours, nos droits, nos libertés sont attaquées dans leurs fondements juridiques par des hommes en armes, fragilisés par une idéologie politique communautariste de rattrapage, remis en cause par un système économique ultra-dirigiste. Chaque jour un peu plus, la manière dont le pouvoir d’état est exercé dans notre pays piétine les valeurs juridiques, les valeurs sociales, les valeurs républicaines et menace l’effectivité de la démocratie pluraliste. La mise en avant de la crise bien que réelle par l’idéologie politique du communautarisme de rattrapes assis sur un ultra-dirigisme systémique ne saurait servir d’alibi à la régression des droits politiques et civils, des droits fondamentaux et des libertés individuelles dans notre pays martyrisé par un système économique hybride du vol organisé à grande échelle

 

 

Un vol qualifié organisé a grande échelle 

 

 

Cette idéologie politique du communautarisme de rattrapes assis sur un ultra-dirigisme systémique s’avère être une  ruines pour le vivre ensemble dans l’exaltation de la diversité solidaire dans notre société commune, dans notre nation une et indivisible et dans notre nation qui se veut une société démocratique. La richesse miraculeuse qui résulterait d’un surendettement étatique qui sonnera la paupérisation totale « deuxième miracle ivoirien » qu’il promet se  révèle être une escroquerie morale et intellectuelle, du vol qualifié organisé a grande échelle, une imposture sociopolitique et une tromperie économique et systémique. C'est la défenestration organisée de l'économie ivoirienne, des ressources étatiques et des ressources naturelles souveraines de la côte d'ivoire vers des intérêts mafieux. Dès lors le  citoyen qui n’aspire qu’à vivre en paix dans notre pays comme sous le père fondateur de la côte d’ivoire (FELIX HOUPHOUET BOIGNY) se trouve dans une situation très dangereuse avec un avenir incertain, que seul pourrait remédier la construction d’un nouveau vivre ensemble solidaire

 

 

Construire un nouveau vivre ensemble solidaire

 

 

Alors que notre organisation sociale doit placer au cœur de l’éthique démocratique les libertés individuelles et collectives, le respect de l’égalité et l’effectivité des solidarités sociales, doit mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, pour l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire. C’est pourquoi nous considérons que le temps est venu de réagir et de construire un nouveau vivre ensemble fondé sur l’exaltation de la diversité solidaire, un nouveau contrat social citoyen. Il y a urgence. Vivre ensemble c'est s'accepter, c’est communiquer, en acceptant les différences, sans être le  juge de l’exception de l’autre. Mais hélas les ballons de baskets, qui chantent le vivre ensemble, comme slogan de campagne politique ignorent que: la dignité humaine est basée sur la modestie, que le haut rang social est enraciné dans l'humilité, que la sagesse tire sa source de la grandeur d'âme, que l'intelligentsia est, innée même si le savoir scientifique demeure son appoint, qu'on nait intellectuel même si le didactique le complète, tout comme on nait noble. le sage a dit que ni Jésus, ni Mahomet dont les philosophies dominent une très grande partie du monde aujourd'hui ne savaient, ni lire, ni écrire. Donc personne en elle seule ne détient la vérité, Docteur soit t-il. En clair le vivre ensemble ne se chante pas, il se pratique, le jour au jour, le vivre ensemble doit s’applique a la vie de tout les jours, le contraire de cela impose a tous les ivoiriens dans l’arène politique une Décomposition/Recomposition sociopolique pour rendre raison a la nécessité populaire et a l'intérêt général.

 

 

Une décomposition/recomposition politique 

 

 

C’est pourquoi une décomposition/recomposition politique s’impose à notre chère patrie la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Refusons donc avec nos droits, nos libertés d’être réduit a l’état piteux de vache misérable destiner au sacrifice pour que quelques uns en mal de dynastie et de royauté soient multimilliardaires sur nos vies et nos sangs. Les valeurs sur lesquelles est fondée notre République ne se négocient pas. Notre République est un héritage dont nous avons à assumer l’histoire, pour envisager notre futur. Si nos moyens de lutte diffèrent, la fin est la même pour tous une côte d’ivoire paisible. Il ne s’agit donc pas pour nous de tout largueur, de tout brader au nom de l’intérêt personnel égoïste et égocentrique ou au nom dont on ne sait quelle fuite en avant carriériste, au mépris de notre aspiration a une nation solidaire ouverte sur le monde

 

 

Pour une nation ouverte vers le concert des nations.

 

 

Il question pour nous de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, républicanisme, souverainisme, patriotisme réel, nationalisme censé, libéralisme véritable pour mieux tout dépasser et refonder sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents nous ont légué comme valeurs sociétales, pour une société neuve, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui se nourrirait de la sève de la solidarité nationale soutenue et de la citoyenneté commune, le tout convergent dans une nation ouverte vers le concert des nations. Il s’agit pour nous de replacer au centre de la société avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état, la bureaucratie, le fascisme, les armes, la terreur des plus puissants mais l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental pour une nation une et indivisible garantissant droits et libertés pour tous. 

 

 

Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

lepetitfils da candy

Contact : article9et14duh_article3ctun@hotmail.fr et www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 20:28

 dcl-1-voeux 

Vœux de nouvel an 2013 de Lepetitfils Da Candy exilé politique de force... 

 

 

  Citoyens et citoyennes martyrs !!! La légitimité citoyenne Mouvement politique d’utilité citoyenne dont l’éclectisme impassible soutient sa foi inébranlable en l’avenir de sa position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne. Ni postes, ni titres pour donner un sens à notre vie, avons-nous fait le serment. Mais tout en étant conscient qu’en politique les forces changent non pas de façon linéaire mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. La légitimité citoyenne donc, va s’efforcer dans ce capharnaüm kafkaïen de satisfaire à la tradition des vœux de nouvel an par le biais de son leader exilé politique de force. Dont l’exil est milles fois instructifs et bien supporté grâce a l’écoute et la compréhension qu’il a rencontré auprès de ses pays d’asiles et auprès des dirigeants sociopolitiques et étatiques de par le monde. Donc, Citoyen !!! Nous savons ce que 2012 a été et couronné par le drame du 31 décembre 2012 au stade…Toujours des morts.

 

 

 

Au moment ou Hollande déclare vouloir désendetter la France, Ouattara surendette notre pays. Il y a quelque chose de funeste et mortifère pour le peuple dans le système Ouattara. Dans ses vœux de nouvel an 2013 il a tenu un discours creux d’autosatisfaction déconnecté de la réalité alors que le pays est gagné par la paupérisation et l’insécurité sciemment entretenue. L’année 2012 nous a servi un climat de tension sans précédent depuis l’arrivée de Ouattaral’ultra-dirigiste au pouvoir. Nous avons assisté à  une vague d`attaques meurtrières entre FRCI délaissées et FRCI légalisées. Aussi le couple Gbagbo tire la locomotive des centaines de prisonniers politiques de OUATTARA nullement inquiété pourtant passible de la même poursuite pour responsabilité du chef hiérarchique que le président Gbagbo. Et Michel Gbagbo est séquestré parce qu’il est le fils de Gbagbo sans plus. Justin Koné Katinan est visé par une procédure d`extradition au Ghana et Charles Blé Goudé est sous (mandat d’arrêt). Ouattara pratique manifestement une justice des vainqueurs. Aucune figure de son camp armé n`a été pour l`instant inquiétée pour des crimes commis durant la crise de conquête du pouvoir par les armes.

 

 

 

Avec tout ces prisonniers et persécutés politiques sur le bras, OUATTARA a le courage de dire péremptoirement que ; (il n’y pas de prisonniers politiques, SIC). Le degré de la subtilité, de l’opportunisme, et  de l’ingratitude de Ouattara est au dessus de l’humainement acceptable. L’existence de prisonniers politiques en côte d’ivoire sous Ouattara est la preuve tangible d’un dysfonctionnement de la démocratie. Définition du prisonnier politique? Pour être considérée comme « prisonnier politique » une personne doit remplir au moins un critère sur les cinq définis officiellement : *-1) détention imposée en violation des libertés fondamentales (pensée, conscience, expression, association, etc.) *-2) détention pour des raisons politiques sans rapport avec une infraction *-3) disproportion, pour des raisons politiques, entre la durée ou les conditions de détention et la gravité de l’infraction *-4) discrimination d’une personne détenue par rapport aux autres pour des raisons politiques *-5) irrégularité de la procédure de jugement pour des raisons politiques.

 

 

 

Au terme de cette définition du prisonnier politique ci-dessus largement partagée par le conseil de l’Europe. On constate clairement au terme des deuxième (2e), quatrième (4e ) et cinquième (5e ) de ses critères, que tout les prisonniers de la crise ivoirienne sont des prisonniers politique, cela  tant que  Alassane Ouattara et ses fantassins seront en liberté, parce qu’ils détiennent le pouvoir d’état. Et l’humanité  a prescrit la persécution politique comme étant un crime contre l’humanité. Il est constant que dans la répression des crimes commis en côte d’ivoire, il y a manifestement  (discrimination des personnes détenues par rapport aux autres non détenues pour des raisons politiques) et il y a incontestablement (une irrégularité dans les procédures sélectives de poursuites pouvant aboutir au jugement qui fait fi d'ignorer les criminels sous couverture du pouvoir politique d’état pour des raisons politiques.) Aussi il y a des gens en prison parce qu’ayant (participé au dernier gouvernement de GBAGBO au titre de LMP sans plus).

 

 

 

 

Quand le pouvoir d’état se protéger des poursuites judiciaires pour des crimes de droit commun au détriment des autres, ceux-ci deviennent de droit des prisonniers politiques quelques soient la nature des crimes commis. Aussi il est avéré que le pouvoir Ouattara ne prospère que sur la persécution politique. Tous ses faits suscités ne sont pas de bons présages pour la réconciliation nationale tant prôné et un bon prélude à la paix sociopolitique pérenne. Dans le processus de réconciliation nationale la vérité est préférable à la justice judiciaire. Une décomposition/recomposition politique s’impose à notre chère patrie.Houphouët n’a jamais voulu d’une justice qui peut créer le désordre dans son pays…

 

 

 

Ouattara est Ultra-dirigiste qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux et étatiques. 

 

 

 

En visitant la liste des prisonniers politiques, les FDS traquées, les acteurs politiques persécutés, en regardant aussi le nombre d’exilés politiques et les ivoiriens qui ont perdu leurs terres notamment a l’ouest. Nous voyons malheureusement que le communautarisme socle du pouvoir de Ouattaral’ultra-dirigiste a pris pieds dans notre société commune aves des FRCI qui tuent aisément avec l’assurance de l’impunité assurée. Ouattara le Jusqu’au-boutiste ne peut sanctionner, Non !!! Tenter de le faire retournerait contre lui sa meute d’hommes armés qui l’a soutenue par une rébellion pour l’installé au pouvoir.

 

 

 

Voilà pourquoi il cautionne les agissements des FRCI et des Dozos qui se réclament ostensiblement de lui et de sa politique communautariste. D’ailleurs Ouattara n’a aucune emprise, n’aucun contrôle sur les FRCI et Dozos qui agissent a volonté. Tout ceux-ci démontre que la crise ivoirienne ne fait que commencer des graves écueils à surmonter est devant nous citoyen !!! Et devant la chère patrie  la côte d’ivoire dans le concert des nations policées ou elle est  mise à genou. Il nous faut donc dès maintenant essayer de prévenir l’irréparable face à des milliers d’hommes armés dans la nature frustré et trahis par ceux qui les ont utilisés comme outils de conquête du pouvoir.

 

 

 

Citoyen !!! La première vocation de notre mouvement politique étant de mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, et l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous, si cette vocation doit avoir un sens, il convient de combattre l’arbitraire ultra-dirigiste jusqu'à ce qu’il se dévoile comme tel. Donc a défaut de pouvoir contraindre Ouattara ultra-dirigiste au principe d’une vraie réconciliation au terme d’un dialogue politique inclusif, nous devons pouvoir faire de sorte que le régime de Ouattara et tous ses complices répondent un jour des exactions et abus «Abidjan (yopougon) Danané, Man, Duékoué, Dabou, Gongouanou, Adzopé, Tiasalé, Agboville et autres » à l’endroit des ivoiriens de tout borts devant un TPI-CI (Tribunal pénal international pour la côte d’ivoire).

 

 

 

Le péril quête la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY 

 

 

 

 

Notre mouvement politique s’est affirmer anti-panurgisme, nous avons donc le devoir de montrer la voie indiquer pour la paix sociopolitique pérenne et hélas a défaut, la voie d’un Tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne « conseil de sécurité » pour que les criminels répondent de leur crimes de guerres imprescriptibles et non-amnistiables. Aussi Alassane ultra-dirigiste s’adonne à une politique ultra-mafieuse de surendettement dont la côte d’ivoire n’est que le tremplin des fonds vers d’autres destinations occultes pour rendre quelques uns multimilliardaires. Dettes que le peuple ivoirien paiera sur plusieurs générations. 

 

 

 

Au surplus le fond de souveraineté qui était de (15 milliards) quinze milliards sous Bédié de 1994 jusqu’à la chiennerie de date du 24 décembre 1999 est passé aujourd’hui à près de (160 milliards) cent soixante milliards sous Ouattara. Ainsi Ouattara broute (13,5 milliards) treize milliards cinq cents millions de francs par mois dans les caisses publiques de l’état. Et cela parait ne pas suffire,  Ouattara devenu commis voyageur dépense des centaines de milliards par voyage de complaisances. Et on nous dit  Ouattara est ultralibéral Non !!! Il est Ultra-dirigiste qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux et étatiques. Ce boulon-sangsue videra la côte d’ivoire de toutes ses ressources économico-financières à leurs profits si nous restons inertes, citoyen !!!.

 

 

 

Notre mouvement politique doit continuer la course par des analyses tièdes et actions froides pour montrer a Alassane l’ultra-dirigiste et consorts que la politique ne se réduit pas à la seule recherche des postes et titres rémunérés dans les caisses de l’état, que  faire la politique c’est défendre un idéal. C’est servir le peuple et non le massacrer pour se servir. C’est agir dans l’espace public, pour transformer  son pays conformément à son idéal sociétal. C’est réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses engagements sociétaux. Notre mouvement politique se doit d’être encore plus froid dans l’action pour faire savoir à Alassane, l’ultra-dirigiste et consorts que le travail des responsables politiques, ce n'est pas de chercher des postes et titres  à chaque occasion ou de céder à la panique de la perte du pouvoir face a l’adversité. Et qu’il n'y a pas lieu de remettre en cause la démocratie pluraliste du fait de la défense d’intérêts communautaires par un ultra-dirigisme aveugle.

 

 

 

Mais plutôt de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale pour un destin meilleur. Sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise et détermination au terme d’une analyse tiède. Oui citoyen !!! Il  n’est pas démocratique, ni une manière de faire la politique   de museler l’opposition significative avec les armes ou privé des minorités de participer a la vie  politique  de leurs nation. Mais en revanche on doit démontrer en  politique  qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays qui profite à la nation une et indivisible.

 

 

 

Il faut être de toutes les luttes légales. Ne pas céder un pouce de terrain de nos droits, libetés et devoirs, ne jamais être gagné par la résignation ambiante. La course de vitesse engagée entre nous et l’arbitraire continue. Pour ainsi remédier au mal de notre patrie, en mettantl’homme au centre du débat  politique, le citoyen au cœur du débat développemental, à l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Voilà l’enjeu de la nouvelle année 2013.

 

 

La grandeur d’un mouvement politique n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans son meeting, mais plutôt dans ses actions capables d’orienter et de  réguler l’action publique des gouvernants et les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays, et surtout sa capacité à anticiper les perspectives d’avenir socio-économique de la société dans laquelle il vie ou excelle. C’est pourquoi depuis une douzaine d’années nous revendiquons souvent notre droit d’aller en enfer pour nos opinions politiques en s’attaquant à l’arbitraire. C’est pourquoi aujourd’hui il est encore question de résister avec espoir qui est le désespoir surmonté. Sur ceux, Citoyen !!! Bonne et heureuse année 2013

 

 

Par Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

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Voir : www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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(Note : Acception de l’ultra-dirigisme

 

 

« Dirigisme : du latin dirigere, redresser, aligner, ranger, ordonner, diriger, conformer, régler : Système dans lequel l'Etat remplace l'initiative privée dans la vie économique 

 

 

Le dirigisme est un système politique dans lequel l'Etat intervient de manière systématique et autoritaire dans l'économie. A travers le gouvernement, il y exerce, un pouvoir d'orientation ou de décision, sans toutefois sortir du cadre de l'économie capitaliste. L'Etat utilise l'économie comme un moyen pour atteindre certains de ses objectifs.

 

 

Exemples de leviers d'action de l'Etat : contrôle du crédit, politique monétaire, politique fiscale, politique du commerce extérieur, politique d'investissement, politique salariale...

 

 

Le dirigisme est une forme d'autoritarisme d'Etat appliqué à l'économie. On emploie également l'expression d'économie dirigée. »-) 

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Ce texte date du prémier janvier 2013 des évenements nous ont dissuader de sa publication immediate ici...

mais ils depuis 01-01-2013 sur: www.dacandylepetitfils.over-blog.com et www.malon-amadou.centerblog.net

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11 janvier 2013 5 11 /01 /janvier /2013 20:09

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CHARLES BLE GOUDE, PRÉSIDENT DU COJEP 

 

 

VOEUX DE CHARLES BLE GOUDE, PRÉSIDENT DU COJEP : BONNE ET HEUREUSE ANNÉE 2013.

 

 

Bonne et heureuse année, voici l’expression coutumière pour formuler un souhait à l’occasion du nouvel an. Mais que souhaitons-nous au juste pour notre pays, pour l’Afrique et pour le monde ? Allons-nous continuer de comptabiliser les morts ou allons-nous au contraire consacrer la vie? Allons-nous continuer de rester dans la logique de protéger des régimes ou allons-nous prendre la résolution de travailler pour la Côte-d’Ivoire et pour l’Afrique toute entière?

 

 

 

Allons-nous continuer d’indexer le voisin comme la cause de notre malheur ou sommes-nous prêts à tirer les leçons de notre situation actuelle afin de sortir des affres et bâtir une existence enviable qui nous éloigne de la barbarie. Cruauté sans raison et réaction primaire et grégaire, la barbarie contredit l’évolution humaine alors que l’intelligence élève l’individu à une attitude sélective dans l’action et permet la compétition des idées.

 

 

Comment nous projeter dans l’avenir, comment souhaiter le meilleur pour notre pays et ses habitants, pour l’Afrique et les africains ainsi que la naissance d’un monde meilleur, plus juste et plus égalitaire si nous ne jetons pas un regard rétrospectif critique sur notre vécu et si nous n’évaluons pas avec lucidité et sérénité notre présent ? Au fait, où sommes nous? Où voulons-nous et devons nous aller? Comment y parvenir? Ces questionnements visent à proposer des idées constructives et éducatives qui conduisent à changer et à améliorer le tableau trop sombre dans lequel beigne le monde et de nombreux pays africains dont la Côte-d’Ivoire.

 

 

 

Au niveau mondial, avec la grave crise financière qui a particulièrement touché la zone euro, l’année 2012 qui vient de s’achever a mis a nu les limites d’un capitalisme en agonie et aux abois. 2012 fut aussi marquée au niveau planétaire par des catastrophes naturelles liées essentiellement au changement climatique causé par la pression et la violence humaine sur notre environnement.

 

Au niveau continental, de nombreux pays africains ont été confrontés à l’épreuve de la démocratie et des libertés. Le Nord du Mali est encore occupé pendant que la République Démocratique du Congo et la Centrafrique connaissent des rébellions armées. En Côte-d’Ivoire, l’année 2012 a été rythmée par de grandes et profondes souffrances qui sont d’ordre moral, psychologique et physique.

 

Au plan social, 2012 a vu un affaissement sans précédent du pouvoir d’achat de nos compatriotes, du fait des licenciements aussi illégaux qu’abusifs et guidés par le principe Ouattaraïste du rattrapage ethnique. Pendant ce temps, les produits agricoles, en particulier le cacao, le café, le palmier à huile et l’hévéa ne sont pas achetés aux paysans à leur juste prix. Ainsi, les ivoiriens ne ressentent aucun effet des pluies de milliards car l’argent ne circule pas ; ils ont faim et éprouvent de plus en plus de difficultés à se soigner, à soigner et à scolariser leurs progénitures !

 

 

Les engagements de l’état vis-à-vis des fonctionnaires, en particulier les promesses faites au personnel enseignant et aux professionnels du secteur de la santé sont restées lettre morte, alors que pour l’essentiel, elles reposaient sur l’atteinte du point d’achèvement de l’initiative PPTE. Les étudiants, après deux années blanches, viennent de reprendre le chemin des amphithéâtres dans des conditions peu reluisantes, malgré les milliards engloutis dans la réhabilitation de nos universités.

 

 

C’est dans ce contexte social déjà difficile que le gouvernement vient, à l’aube de cette année nouvelle, de décider en catimini de la hausse du prix de l’essence et du gaz domestique de grande consommation. Au plan économique, l’endettement de la Côte-d’Ivoire a repris de plus bel avec une privatisation tout azimut des secteurs stratégiques de notre économie, hypothéquant ainsi l’avenir de notre génération ainsi que celui des générations à venir. Au plan purement politique, les acquis démocratiques se sont fortement effondrés pour laisser prospérer une dictature sans nom.

 

 

 

Les libertés individuelles et collectives, la liberté d’expression et d’action et la liberté de la presse sont devenues une simple vue de l’esprit. Les arrestations et détentions arbitraires de journalistes, d’adversaires politiques, de policiers, de gendarmes et de militaires sont devenues des pratiques courantes admises et encouragées par le pouvoir en place. Des pro-Gbagbo et des centaines d’éléments des FDS (Forces de Défense et de Sécurité) restent encore détenus dans des prisons et camps de concentrations disséminés à travers tout le pays, en particulier dans le nord qui est devenu la zone de déportation par excellence et cela, sur un fond de politique d’apartheid ethno-tribale préoccupante et intolérable qui risque de créer un grand fossé-si ne n’est déjà le cas- entre les autres ivoiriens et les ivoiriens du nord.

 

 

Près de deux ans après la crise postélectorale, des milliers d’Ivoiriens sont encore contraints à rester en exil et plusieurs d’entre eux vivent dans des conditions précaires dans des camps de réfugiés. Le Président Laurent GBAGBO, pour sa popularité et ses ambitions politiques légitimes est toujours illégalement et injustement maintenu loin de son peuple et l’on parle abusivement de réconciliation nationale. Quelle contradiction ? Quelle absurdité ? Quel manque de lucidité et de réalisme politique ?

 

Près de deux ans après la chute du Président Laurent Gbagbo, plusieurs de ses sympathisants sont encore persécutés quand leurs biens (maisons, plantations ….) ne sont pas confisqués ; des populations sont encore pourchassées. Plusieurs villes et villages restent encore occupés par des FRCI et leurs supplétifs DOZO qui continuent d’exercer leur domination avec des exactions de tout genre sur les populations civiles.

 

 

Après près de deux ans de pouvoir Ouattara, le dialogue politique est au point mort ; aucune perspective ne se dessine pour une réconciliation nationale vraie et sincère. Alors que le COJEP n’a cessé de prôner un dialogue politique sincère et inclusif avec l’opposition plurielle, le régime Ouattara a fait le choix du mépris vis-à-vis de l’opposition politique en affichant face à elle une attitude de suffisance et d’indifférence. Mais comment comprendre particulièrement que le FPI, le principal parti de l’opposition, le parti créé par Laurent GBAGBO, soit banalisé et méprisé de la sorte par Ouattara qui doit sa survie politique à cette formation politique et à son leader historique ?

 

 

C’est dans ce contexte que le 1er congrès extraordinaire de notre organisation vient de me renouveler sa confiance en me portant à la tête du Congrès Panafricain pour la Justice et l’Egalité des Peuples (COJEP). Mes premiers mots vont à l’endroit de tous nos militants ivoiriens et africains que je tiens à remercier du fond du cœur, pour cette marque de sympathie et d’affection qu’ils viennent ainsi de témoigner à mon égard. Je mesure les attentes et le poids de la responsabilité qui est la mienne. Les défis à relever sont grands et nombreux. Il s’agit entre d’étendre la toile du COJEP, promouvoir ses idées motrices pour le retour à un état de droit dans notre pays, pour la Justice et l’Egalité des Peuples.

 

 

L’atteinte de ces objectifs nous impose de la discipline et de la cohésion. Ces enjeux exigent que nos efforts soient conjugués. Les pratiques dictatoriales et antidémocratiques du pouvoir Ouattara et partout ailleurs en Afrique commandent une action unitaire et solidaire avec le talent de chacun dans l’action collective, pour opposer des contrepouvoirs et des oppositions qui ramènent aux ivoiriens et aux africains leur liberté confisquée, leur droit perdu, leur dignité et leur honneur bafoués.

 

 

Dans un tel contexte et face à ces enjeux qui doivent prévaloir sur nos ambitions personnelles et parfois égoïstes, je voudrais solennellement et modestement lancer un appel à l’endroit de tous nos alliés naturels, à l’endroit de tous les démocrates ivoiriens et africains pour plus de cohésion et de concertation. J’ai espoir qu’ensemble, dans l’union, la solidarité et la fraternité, nous parviendrons à relever tous ces défis. Démocrates ivoiriens et africains, les défis à relever nous imposent cette attitude de solidarité et cette démarche collective. C’est le meilleur cadeau que de nombreux ivoiriens et africains attendent certainement de nous !

 

 

Pour ma part, je prends l’engagement devant l’histoire de ne jamais inscrire mon combat dans une démarche solitaire. Ce combat, nous voulons le mener ensemble avec le FPI et tous les combattants pour la démocratie! Ce chemin, nous voulons le faire aux côtés de tous les mouvements panafricanistes, aux côtés des démocrates et patriotes ivoiriens et africains. Le Congrès Panafricain pour la Justice et l’Egalité des Peuples promet de joindre sa voix à celle des peuples ivoiriens et africains épris de justice, pour plus de liberté et d’égalité en Côte-d’Ivoire, en Afrique et dans le monde entier.

 

 

 

Je prends également l’engagement de tenir le cap ! Le cap, c’est rester nous-mêmes et ne jamais nous renier ! Le cap, c’est notre constance, notre persévérance malgré les vicissitudes du moment ! Nous resterons toujours fidèles à la culture de la victoire aux mains nues car pour nous mieux vaut convaincre par la force des arguments que de vaincre par l’argument de la force des armes.

 

 

 

Le cap, c’est rester conforme à nos ambitions et à notre idéal commun. Le cap c’est respecter nos valeurs démocratiques et ne point nous écarter des sillons tracés par le Président Laurent GBAGBO ! Nous devons aussi refuser d’être des héritiers cueilleurs ! C’est pourquoi, le COJEP inscrira son action dans une dynamique de création de valeur ajoutée. Nous voulons être des héritiers qui perpètrent et qui pérennisent l’œuvre du maitre, le Président Laurent GBAGBO. Mais mieux, nous voulons être ceux qui font fructifier et qui apportent de l’innovation à l’action commune. C’est ainsi et seulement ainsi que notre père politique à tous sera fier de nous !

 

 

Bonne et heureuse année 2013 à toutes et à tous !

 

 

Je formule mes sincères vœux pour que l’esprit de Dieu visite les autorités ivoiriennes afin qu’enfin la Côte-d’Ivoire se réconcilie avec elle-même, puisse sortir de cette sortie de route pour le bonheur des ivoiriens. Ce qui serait quasiment impossible tant que les prisonniers politiques ne recouvreront pas leur liberté, à commencer par le plus illustre d’entre eux, le président Laurent GBAGBO.

 

 

Pour la Paix et la réconciliation vraie, je formule également les vœux de voir ces milliers d’ivoiriens contraints à l’exil retrouver leur famille respective et la terre de leurs ancêtres, la terre qui les a vus naitre.Tout le mal que je souhaite pour chacun d’entre vous est que l’argent circule dans tous les secteurs d’activités, dans les ménages et que l’argent « travaille » pour le Bonheur de chaque ivoirien et des habitants de ce pays.

 

 

Que 2013 voit s’évanouir nos souffrances, nos amertumes, nos rancœurs dans un océan d’Espoir et d’Espérance, de Liberté et de Justice !

 

 

Que le tout Puissant inspire les dirigeants africains pour que naisse l’Afrique dont je rêve, l’Afrique des Démocraties populaires, l’Afrique des Libertés et des Peuples!

 

 

Patriotes ivoiriens et africains. Unis, nous serons plus forts ! Unis, nous irons plus loin ! Unis, nous triompherons ensemble !

 

 

POUR LE BUREAU POLITIQUE DU COJEP

 

 

 

Charles Blé Goudé
Président du COJEP

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Da candy lepetitfils

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3 janvier 2013 4 03 /01 /janvier /2013 11:55

dcl-1-voeux

Vœux de nouvel an 2013 de  Lepetitfils Da Candy

 

 

Citoyens et citoyennes martyrs !!! La légitimité citoyenne Mouvement politique d’utilité citoyenne dont l’éclectisme impassible soutient sa foi inébranlable en l’avenir de sa position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne. Ni postes, ni titres pour donner un sens à notre vie, avons-nous fait le serment. Mais tout en étant conscient qu’en politique les forces changent non pas de façon linéaire mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. La légitimité citoyenne donc, va s’efforcer dans ce capharnaüm kafkaïen de satisfaire à la tradition des vœux de nouvel an par le biais de son leader exilé politique de force. Dont l’exil est milles fois instructifs et bien supporté grâce a l’écoute et la compréhension qu’il a rencontré auprès de ses pays d’asiles et auprès des dirigeants sociopolitiques et étatiques de par le monde. Donc, Citoyen !!! Nous savons ce que 2012 a été et couronné par le drame du 31 décembre 2012 au stade…Toujours des morts.

 

 

Au moment ou Hollande déclare vouloir désendetter la France, Ouattara surendette notre pays. Il y a quelque chose de funeste et mortifère pour le peuple dans le système Ouattara. Dans ses vœux de nouvel an 2013 il a tenu un discours creux d’autosatisfaction déconnecté de la réalité alors que le pays est gagné par la paupérisation et l’insécurité sciemment entretenue. L’année 2012 nous a servi un climat de tension sans précédent depuis l’arrivée de Ouattara l’ultra-dirigisteau pouvoir. Nous avons assisté à  une vague d`attaques meurtrières entre FRCI délaissées et FRCI légalisées. Aussi le couple Gbagbo tire la locomotive des centaines de prisonniers politiques de OUATTARA nullement inquiété pourtant passible de la même poursuite pour responsabilité du chef hiérarchique que le président Gbagbo. Et Michel Gbagbo est séquestré parce qu’il est le fils de Gbagbo sans plus. Justin Koné Katinan est visé par une procédure d`extradition au Ghana et Charles Blé Goudé est sous (mandat d’arrêt). Ouattara pratique manifestement une justice des vainqueurs. Aucune figure de son camp armé n`a été pour l`instant inquiétée pour des crimes commis durant la crise de conquête du pouvoir par les armes.

 

 

Avec tout ces prisonniers et persécutés politiques sur le bras, OUATTARA a le courage de dire péremptoirement que ; (il n’y pas de prisonniers politiques, SIC). Le degré de la subtilité, de l’opportunisme, et  de l’ingratitude de Ouattara est au dessus de l’humainement acceptable. L’existence de prisonniers politiques en côte d’ivoire sous Ouattara est la preuve tangible d’un dysfonctionnement de la démocratie. Définition du prisonnier politique? Pour être considérée comme « prisonnier politique » une personne doit remplir au moins un critère sur les cinq définis officiellement : *-1) détention imposée en violation des libertés fondamentales (pensée, conscience, expression, association, etc.) *-2) détention pour des raisons politiques sans rapport avec une infraction *-3) disproportion, pour des raisons politiques, entre la durée ou les conditions de détention et la gravité de l’infraction *-4) discrimination d’une personne détenue par rapport aux autres pour des raisons politiques *-5) irrégularité de la procédure de jugement pour des raisons politiques.

 

 

 

Au terme de cette définition du prisonnier politique ci-dessus largement partagée par le conseil de l’Europe. On constate clairement au terme des deuxième (2e), quatrième (4e ) et cinquième (5e ) de ses critères, que tout les prisonniers de la crise ivoirienne sont des prisonniers politique, cela  tant que  Alassane Ouattara et ses fantassins seront en liberté, parce qu’ils détiennent le pouvoir d’état. Et l’humanité  a prescrit la persécution politique comme étant un crime contre l’humanité. Il est constant que dans la répression des crimes commis en côte d’ivoire, il y a manifestement  (discrimination des personnes détenues par rapport aux autres non détenues pour des raisons politiques) et il y a incontestablement (une irrégularité dans les procédures sélectives de poursuites pouvant aboutir au jugement qui fait fi d'ignorer les criminels sous couverture du pouvoir politique d’état pour des raisons politiques.) Aussi il y a des gens en prison parce qu’ayant (participé au dernier gouvernement de GBAGBO au titre de LMP sans plus).

 

 

 

Quand le pouvoir d’état se protéger des poursuites judiciaires pour des crimes de droit commun au détriment des autres, ceux-ci deviennent de droit des prisonniers politiques quelques soient la nature des crimes commis. Aussi il est avéré que le pouvoir Ouattara ne prospère que sur la persécution politique. Tous ses faits suscités ne sont pas de bons présages pour la réconciliation nationale tant prôné et un bon prélude à la paix sociopolitique pérenne. Dans le processus de réconciliation nationale la vérité est préférable à la justice judiciaire. Une décomposition/recomposition politique s’impose à notre chère patrie. Houphouët n’a jamais voulu d’une justice qui peut créer le désordre dans son pays…

 

 

 

Ouattara est Ultra-dirigiste qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux et étatiques. 

 

 

En visitant la liste des prisonniers politiques, les FDS traquées, les acteurs politiques persécutés, en regardant aussi le nombre d’exilés politiques et les ivoiriens qui ont perdu leurs terres notamment a l’ouest. Nous voyons malheureusement que le communautarisme socle du pouvoir de Ouattara l’ultra-dirigiste a pris pieds dans notre société commune aves des FRCI qui tuent aisément avec l’assurance de l’impunité assurée. Ouattara le Jusqu’au-boutiste ne peut sanctionner, Non !!! Tenter de le faire retournerait contre lui sa meute d’hommes armés qui l’a soutenue par une rébellion pour l’installé au pouvoir. Voilà pourquoi il cautionne les agissements des FRCI et des Dozos qui se réclament ostensiblement de lui et de sa politique communautariste. D’ailleurs Ouattara n’a aucune emprise, n’aucun contrôle sur les FRCI et Dozos qui agissent a volonté. Tout ceux-ci démontre que la crise ivoirienne ne fait que commencer des graves écueils à surmonter est devant nous citoyen !!! Et devant la chère patrie  la côte d’ivoire dans le concert des nations policées ou elle est  mise à genou. Il nous faut donc dès maintenant essayer de prévenir l’irréparable face à des milliers d’hommes armés dans la nature frustré et trahis par ceux qui les ont utilisés comme outils de conquête du pouvoir.

 

 

 

Citoyen !!! La première vocation de notre mouvement politique étant de mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, et l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous, si cette vocation doit avoir un sens, il convient de combattre l’arbitraire ultra-dirigistejusqu'à ce qu’il se dévoile comme tel. Donc a défaut de pouvoir contraindre Ouattara ultra-dirigiste au principe d’une vraie réconciliation au terme d’un dialogue politique inclusif, nous devons pouvoir faire de sorte que le régime de Ouattara et tous ses complices répondent un jour des exactions et abus «Abidjan (yopougon) Danané, Man, Duékoué, Dabou, Gongouanou, Adzopé, Tiasalé, Agboville et autres » à l’endroit des ivoiriens de tout borts devant un TPI-CI (Tribunal pénal international pour la côte d’ivoire).

 

 

 

Le péril quête la côte d’ivoire de FELIX HOUPHOUET BOIGNY 

 

 

 

Notre mouvement politique s’est affirmer anti-panurgisme, nous avons donc le devoir de montrer la voie indiquer pour la paix sociopolitique pérenne et hélas a défaut, la voie d’un Tribunal pénal international (TPI-CI) pour la côte d’ivoire de création onusienne « conseil de sécurité » pour que les criminels répondent de leur crimes de guerres imprescriptibles et non-amnistiables. Aussi Alassane ultra-dirigiste s’adonne à une politique ultra-mafieuse de surendettement dont la côte d’ivoire n’est que le tremplin des fonds vers d’autres destinations occultes pour rendre quelques un multimilliardaires. Dettes que le peuple ivoirien paiera sur plusieurs générations.

 

 

Au surplus le fond de souveraineté qui était de (15 milliards) quinze milliards sous Bédié de 1994 jusqu’à la chiennerie de date du 24 décembre 1999 est passé aujourd’hui à près de (160 milliards) cent soixante milliards sous Ouattara. Ainsi Ouattara broute (13,5 milliards) treize milliards cinq cents millions de francs par mois dans les caisses publiques de l’état. Et cela parait ne pas suffire,  Ouattara devenu commis voyageur dépense des centaines de milliards par voyage de complaisances. Et on nous dit Ouattara est ultralibéral Non !!! Il est Ultra-dirigiste qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux et étatiques. Ce boulon-sangsue videra la côte d’ivoire de toutes ses ressources économico-financières à leurs profits si nous restons inertes, citoyen !!!.

 

 

 

Notre mouvement politique  doit continuer la course par des analyses tièdes et actions froides pour montrer a Alassane l’ultra-dirigisteet consorts que  la politique ne se réduit pas à la seule recherche des postes et titres rémunérés dans les caisses de l’état, que  faire la politique c’est défendre un idéal. C’est servir le peuple et non le massacrer pour se servir. C’est agir dans l’espace public, pour transformer  son pays conformément à son idéal sociétal. C’est réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses engagements sociétaux.

 

 

Notre mouvement politique se doit d’être encore plus froid dans l’action pour faire savoir à Alassane l’ultra-dirigisteet consorts que le travail des responsables politiques, ce n'est pas de chercher des postes et titres  à chaque occasion ou de céder à la panique de la perte du pouvoir face a l’adversité. Et qu’il n'y a pas lieu de remettre en cause la démocratie pluraliste du fait de la défense d’intérêts communautaires par un ultra-dirigisme aveugle. Mais plutôt de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale pour un destin meilleur. Sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise et détermination au terme d’une analyse tiède. Oui citoyen !!! Il  n’est pas démocratique, ni une manière de faire la politique de museler l’opposition significative avec les armes ou privé des minorités de participer a la vie politique de leurs nation. Mais en revanche on doit démontrer en politique qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays qui profite à la nation une et indivisible.

 

 

 

Voici le combat qui sied à notre mouvement politique en 2013. Par conséquent s’impose à nous une lutte fédératrice, pacifique, conscientisée pour nos droits et nos libertés  dans le respect des différences. Il faut être de toutes les luttes légales. Ne pas céder un pouce de terrain de nos droits, libetés et devoirs, ne jamais être gagné par la résignation ambiante. La course de vitesse engagée entre nous et l’arbitraire continue.  Pour ainsi remédier au mal de notre patrie, en mettant l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, à l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous.

 

 

Voilà l’enjeu de la nouvelle année 2013. La grandeur d’un mouvement politique n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans son meeting, mais plutôt dans ses actions capables d’orienter et de  réguler l’action publique des gouvernants et les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays, et surtout sa capacité à anticiper les perspectives d’avenir socio-économique de la société dans laquelle il vie ou excelle. C’est pourquoi depuis une douzaine d’années nous revendiquons souvent notre droit d’aller en enfer pour nos opinions politiques en s’attaquant à l’arbitraire. C’est pourquoi aujourd’hui il est encore question de résister avec espoir qui est le désespoir surmonté. Sur ceux, Citoyen !!! Bonne et heureuse année 2013

 

 

 

Par Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne exilé politique de force

 

voir: www.lepetitfilsdacandy.webnode.fr  ou malon-amadou. centerblog.net

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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