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17 février 2023 5 17 /02 /février /2023 05:06
Lepetitfils : Nous avons dit, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord. Nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible  d’y penser. La réconciliation et la Cohésion nationale échappent aux politiques discursifs d’autosatisfactions.

Lepetitfils : Nous avons dit, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord. Nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible d’y penser. La réconciliation et la Cohésion nationale échappent aux politiques discursifs d’autosatisfactions.

*- Chronique KOUMA : « Les têtes des traditionnels partis de gouvernements mises sous le couperet de la guillotine de l’absolutisme totalitaire. Il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour obvier les crises et pour arriver à la stabilité sociopolitique et à la paix, surtout à l’anticipation des perspectives d’avenir paisible et sereine dans le temps ».

Bon ! Disons ici, que c’est parque qu’il y a le feu à la maison, que nous devons proscrire la politique nombriliste, la politique d’une vache qui ne demande qu’à manger et la politique de tout argent et qu’il est question de soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas sur l’autel de l’Argent. Oui, sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, l’air est très grave au pays de Felix Houphouët Boigny. Hélas ! Contre la volonté citoyenne consignée dans plus de 80% d’abstentions électorales régulières depuis 2015, contre vent et marée donc, une voyoucratie est devenue maitre de notre socle sociétal, c’est-à-dire l’organisation socio-politico-économico-électoral. Eh bien oui, de sorte que nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant de nouveaux orages mortifères et cycliques, avec des tempêtes catastrophiques peut-être avant 2025 ? Mais sûrement en 2025, qui n’épargneront guère personne en côte d’ivoire. Les montagnes sont manifestement figées sur leurs positions habituelles, au grand bonheur des arrivistes alpinistes renégats, nihilistes téléguidés par le ventre et iconoclastes endormis dans le summum de l’inconscience et de l’insouciance, ça jongle par-ci, ça arpente par là-bas, et permettant aux montagnes de solidement bien fixées sur la route funestes vers l’abime. Le reniement de soi est devenu non pas une honte politico-idéologico-philosophique, mais une œuvre politique d’envergure.

Oui, la roublardise politicarde a échappé à l’obscurantisme de la politique politicienne, pour devenir désormais politiquement festive dans les stades de Foot communautaire. Le mensonge « wouya-fô » n’est plus la source de tous les maux sociétaux pour une entité qui n’aspire qu’à la paix sociopolitique, mais plutôt une valeur politique prisée par les tenants de la baraque ivoirienne. Les idéologies, philosophies, doctrine sont devenues une merde politico-démocratique. Le ventre toujours plein a fini par vaincre l’intellect humain le meilleur de gyroscope pour l’homme. La misère morale nourrit a la sève de l’ignorance des inconséquences du panurgisme et du moutonnier a étalé, l’intelligence politique de tout son long sur un Right glauque et visqueuse. Et patatras, «Gnamien-pbwli» à changer de bicoque résidentielle,  et le grand « Gnamien-pbwli » n’habite plus ni en Haut, ni en Bas, il s’est confiné dans les poche de politicards voleurs et mafieux, avec une honteuse règle qui veut que tout ait un prix à payer. Et pire dans notre société les importées Mœurs dépravées sont devenu ostensibles, surtout la dépravation sexuelles qui ont  fini par annihilées nos mœurs sociétales ataviques. Oui, c’est un constat irréfragable. Et au plan strictement politique, les têtes des traditionnels partis de gouvernements mises sous le couperet de la guillotine de l’absolutisme totalitaire, attrape-tout et bouffe-tout. Et au plan électoral au vu de la situation sociopolitique délétère sur la CEI, de désordre anomique dans l’organisation socio-électorale. Hélas ! La parole risque d’être donnée aux «fusils ou Marfa» comme 2011.

Donc, c’est parce que, nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête, et que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine, que tout forcing électoraliste et cooptation politique sont devenu crime contre la paix et la sécurité ivoirienne. Donc, au lieu des effrénés achats et rachats politicienne, il faut la recherche du  consensus dans l’ordre du public, au tour de la chose publique. Oui, la recherche d’une popularité factice à l’image des partis uniques ne doit pas passer par l’appel de tous les ripoux du pays autour d’un dessein, ou par la négation des autres appartenances politiques, « c’est-à-dire, la débauche, les achats et rachats des militants d’autres parties politiques ivoirienne ». Avec une opposition contraint et trimbaler malgré-elle par la force des pouvoirs partisans manifestement dictatoriale, « moi pas bouge ! Sur la CEI qui a des germes de conflits futurs ! ». Ce qui signifie en clair que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté évoluant vers d’autres catastrophe et chaos social en perspectifs. Retenons ici, qu’il est incontestable que, les doctrines politiques ne sont agités ou dangereuses que lorsqu’on les persécute, que les hommes politiques qui les défendent ou les animent, ne sont intransigeants ou dangereux que quand on les prive de liberté et d’espace d’évolution. Parce qu’ainsi, aux doctrines persécutées, on donne alors l’attrait du fruit défendu : aux hommes politiques qui les défendent et animent, on donne alors, le prestige de la persécution et du malheur.

Contrairement aux coquilles vides, une coquille pleine n’abandonne pas son substrat d’existence non-déplaçable.

C’est pourquoi, l’action politique doit se fonder, sur le respect des règles démocratiques, des droits inaliénables, des libertés fondamentales, sur la recherche inlassable parfois ingrate de l’harmonie sociale, de la cohésion intercommunautaire. Elle doit se fonder sur le refus de l’arbitraire dans les relations sociales, sur le refus de la ségrégation des appartenances politiques ou le refus de l’enfermement sectaire qui exige la concrétion clanique vers soi-même, et l’apartheid sociopolitique. C’est pourquoi, donc en période de turbulence sociétale, ce qui doit constituer la règle d’or de l’action politique, est que quand la conjoncture politique est misérable par le fait d’un pouvoir  absolutiste et totalitaire que l’action politique soit l’affirmation des principes sociétaux universels. Donc que l’action politique soit conduite dans le respect des droits inaliénables et des libertés fondamentales. Qu’elle soit la proclamation des idéaux politiques intransigeants, et l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires sans reddition aucune. Erich FROMM humaniste américain d’origine Allemande a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité»). Oui, la civilisation, la stabilité, et la paix, ce sont les hommes qui les font. Bon ! Malgré tout, on ira aux élections locales en attendant une une autre catastrophe en 2025.

Oui, de par le monde le panurgisme moutonnier des certains hommes politiques et l’ignorance de certains gouvernés qui s’en suit est le principal allié du pouvoir absolu «absolutisme totalitaire dictatorial ou tyrannique» autrement dit plus les citoyens sont politiquement statiques ou inertes, comme c’est le cas en Côte d’Ivoire actuellement, plus leur comportement est absolutiste. Souvent de par leur culture, ils vénèrent les tenants du pouvoir d’état.  Ils sont fatalement ou naïvement favorables à une hiérarchisation très strict en fonction du bien matériel quel que soit sa manière d’acquisition, ou admiratif ou soumis à l’aura factice « culte du chef ». Donc,  il ne serait pas sérieux d’attendre d’eux des revendication claires et précises concernant par exemple une sélection rigoureuse de nos dirigeants, et une sanction sans complaisance des gouvernants dans les urnes électorales, une gestion orthodoxe des ressources naturelles souveraines et étatiques, ou même une opposition au position du pouvoir d’état absolutiste et un respect plus strict des règles et principes démocratiques, etc. Non ! Ils n’en seront pas capables. Puisque, ceux-ci demeurent l’apanage des acteurs politiques qui démissionnent très souvent pour des raisons de ventre, devant l’absolutisme engraissé. Lequel souvent ne pouvant fortifier autrement cet absolutisme totalitaire creuset d’incompétences, et à 60% formé de partisans et de courtisans inconséquents, « ce qui dévalorise la représentation nationale dans le concert des nations », n’a d’autre moyens que d’essayer de débaucher et de d’acheter des supposés compétences extérieurs a lui. Qui sont peut-être coquille vide dans leurs réalités politiques. Une coquille pleine n’abandonne pas son substrat d’existence figé, qui n’est pas déplaçables.

Le pouvoir Adjugé au peuple libre et l’opposition politique a l’absolutisme totalitaire, attrape-tout et bouffe-tout.

Donc, les dérives totalitaires de tous rachetée par absolutistes dictatoriales et monarchistes ivoirien s’expliquent en effet aisément, l’inconséquence ou l’ignorance en est la cause, surtout l’ignorance nourrit par le culte de la personnalité. Le voilà le vrai problème de notre pays ! Et on continu de croire naïvement que, là où il n’y a pas de comportement Républicains, qu’il est possible d’ériger une vrai République, et/ou d’installée une Vraie Démocratie, là où il n’y a pas de comportements digne de la Vrais Démocrates. Bon ! Disons que, la différence entre un homme politique intelligent et un homme politique sage est que le premier arrive toujours à sortir de l’ornière ou le second a toujours su ne pas tomber. Mais Hélas ! La politique du ventre banni toute sagesse, toute intelligence, toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour honteusement se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect. Donc, si nous ne pouvons pas être sage, efforçons-nous si possible d’être intelligent.

Donc pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquences dans l’entretien sciemment de la crise ivoirienne, la question centrale est la suivante : comment soutenir la démocratie représentative, pour qu’elle ne se suicide pas ? En intégrant les citoyens libres dans la délibération. Oui, il est tout à fait possible qu’une démocratie se suicide, comme ce fut le cas en Allemagne avec l’arrivée d’Hitler au pouvoir en 1933. Oui, il impossible d’assimiler le seul vote a un système démocratique, comme les élections dans des pays absolutistes et totalitaires, ou tout est trucages et obstructions. Il est erroné de croire que la démocratie repose sur la rationalité d’un vote dans n’importe quelle condition. Il est  faux d’imaginer que la démocratie, telle que nous la connaissons dans les pays démocratiques occidentaux, dont la France, est définitivement installée chez nous. Il serait enfin fallacieux de penser que l’injure obscurantiste qu’est de vouloir tout acheter et la désinformation qui s’en suit, utilisée par l’absolutisme totalitaire cesseront d’eux-mêmes dans l’avenir. Bien qu’un espoir existe pour sortir de l’ornière ou nous sommes englués aujourd’hui. Cet espoir siège dans la mise en œuvre d’une relation nouvelle entre les institutions républicaines et les citoyens libres. « Répétons citoyens libres et non opinion ou peuple ».

Oui, comment faire en sorte que, malgré les énormes handicapes dû à l’obstruction d’un pouvoir absolutiste,  notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, puisse commence par sécréter dès maintenant de Vrais Républicains sociaux à même de s’imposer une vrai République soucieuse des règles et principes démocratiques chez nous dans notre pays ? Quand bien même il ne serait peut-être pas facile ou possible de transformer par un coup de baguette magique des absolutistes totalitaires en vrais républicains ou démocrates réels, respectueuses des règles universelles et principes internationaux. Donc, il nous faut KOUMA toujours en Non-Stop, qui pourrait par un jeu parfaitement démocratique réduire nos absolutistes républicains au seul rôle de Fanfarons qu’ils sont parfaitement capable de remplir comme des ballons de basket « BÄ BÄ BÄ ». Oui, toutes cette cantonades de fichus bouffe-tout et attrape-tout, pousser dans l’opposition et entrain de piailler leurs forfaitures, en séjournant souvent périodiquement a la «MACA AU TROU QUOI» pour pillages, vols, copinages, concussions, défenestration économiques et autres FERA  du bien à la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. « Le pouvoir adjugé au peuple souverain, arrimé aux citoyens libres et l’opposition politique imposée a l’absolutisme totalitaire, attrape-tout et bouffe-tout, est le très bon partage légal et légitime. Et c’est notre rêve de toujours, lui-même arrimé à cet au rêve d’une stabilité sociopolitique et d’une paix durable pour la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny. »

Refus pacifiste d’aller aux élections  bâclées et exiger, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique.

Parole de la légitimité citoyenne « LC_CRS, Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouëtiste enragée et d’un éclectisme hautement assumé, qui à préférer l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle. Oui, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologico-philosophique, dans l’arène politique ivoirienne, conforme à l’idéal sociétal de notre source atavique et surtout notre espérance à un avenir meilleur, malgré le sempiternelle chaos social à nous imposer ». Le banditisme politique et la voyoucratie politicarde n’ont jamais été des nôtres. Ni l’utilisation des poignards dans le dos de la démocratie réelle dans l’anonymat des bas-fonds n’est jamais notre alliée. Oui ! Jamais, notre entreprise citoyenne n’a jamais été celui des piranhas. Ça jamais ! Car pour nous rien, même l’ignorance, ni la bêtise, même la misère sociale et la politique du ventre, n’excusent une la haine politique et l’irresponsabilité dans la gestion sociale d’une société qui se veut policée. Parce qu’il s’agit pour nous, de la côte d’ivoire d’abord et avant tout. Une côte d’ivoire unie et solidaire, ou on pourrait aller aux élections démocratique comme les sportifs vont aux  compétitions sportifs, ou le vainqueur n’est jamais connu d’avance, ou tout le monde peut gagner, et où tout le monde peut perdre, avec des arbitres reconnus par tous comme  impartiaux, justes neutre, indépendant. «Ou une main-de-Dieu validée par un arbitre en l’absence d’acte ou esprit controuvés peut décider d’un résultat sans que le ciel ne tombe».

Donc disons-nous, ce partage des statut ou rôles « suscité », est autant plus important que nos absolutistes acheteurs, sinon débaucheurs effrénés se revendiquant républicains en s’ignorent totalitaires, et ignorent du même coup que leurs comportements cause d’énormes torts à notre système voulu de républicanisme, a notre démocratie participative, et a toute la vie publique ivoirienne. Ces absolutistes délinquants qui se disent républicains perçoivent le pouvoir d’Etat comme une chance de pouvoir tout acheter, de se remplir les poches, une sinécure voire une bénédiction divine, une suprématie d’avoir accède au pouvoir d’état. Ils y trouvent là un postulat pour en faire du pouvoir d’état, un formidable instrument de condescendance, de puissance personnelle ou clanique, et d’exploitation des ressources naturelles souveraines et étatiques visant l’enrichissement personnel et clanique. A partir d’une telle conception du pouvoir d’état par l’absolutisme. Il ne peut être possible de construire dans notre pays, un état digne de ce nom. Un état qui soit perçu par les uns et les autres comme un patrimoine commun à tous, sans différenciation aucune, à la place de cet Etat, recherché, se trouve l’absolutiste totalitaire se disant républicain, dont les pratiques portent en elles même les germes conflictuel permanent. Avec cette conception erronée du pouvoir qui veut tout, et sans avoir une conviction forte et une foi inébranlables en l’avenir, on a beau être républicain social jusqu’au cou, on a beau être démocrate jusqu’à la moelle des os, les chances de le demeurer à toute épreuve deviennent minimes, si rien n’est fait pour remplacer cette incongruité par une vision tout à fait nouvelle. Républicains et démocrates cooptés notre pays roule tout droit dans le mur.

Oui, Républicains et démocrates cooptés par l’absolutisme totalitaire, il y a incontestablement péril a la demeure ivoire, et il y a le feu à la maison ivoire. C’est pourquoi, si nous voulons construire un Etat souverain et une nation une et indivisible à la fois moderne et ouvert aux impératifs de l’unité nationale, si nous tenons à bâtir une véritable démocratie participative en lieu et place de l’actuelle démocratie de façade, si nous voulons empêcher la reproduction de la sauvagerie politique au terme des élections à venir et jeter ainsi les bases d’une véritable république républicaine, si notre souci de tous les jours est de supprimer les causes des maux sociétaux «coups d’Etat , sécession, rébellions, guerres, désobéissance et autres,» bref si nous tenons à organiser des élections réellement démocratique fondatrices d’un ordre nouveau dans notre pays la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny , nous devons commencer par nous assumer, par nous solidifier, par nous lever dès maintenant et prendre ou rechercher pacifiquement un certain nombre de mesure, qui ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’Etat par une vision tout à fait nouvelle qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, de la paix sociale pérenne et de la stabilité politique, dans la reconnaissance absolu de tous. Cela commence par le refus pacifiste d’aller aux élections problématiques et d’exiger, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord.

Il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour obvier les crises et arriver à la stabilité  et à la paix.

Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et avant les majeures bonnes élections. En tenant compte que  les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de quatre grands principes : 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit et l’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations et protéger les droits et les libertés,  3) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 4) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine ou l’homme est la centralité de tout le système électorale, au mépris des intérêts politiques et d’appartenances quelles qu’elles soient. C’est pourquoi nous avons toujours plaidé pour un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et avant les majeures bonnes élections. Et aussi avons toujours réclamé une Amnistie générale référendaire qui reste la meilleure porte de sortie de cette sale crise  monstrueuse, qui a fait plus 7000 morts et qui continu d’en faire toujours au terme de toutes les élections depuis 2010.

Donc, nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible  d’y penser. L’Amnistie politique vise en premier lieu à apaiser les esprits et à ramener la paix dans le pays. Elle joue alors le rôle fédérateur et apparait comme nécessaire à la stabilité de la nation et à la paix sociale. Après une guerre ou une crise sociopolitique aigüe, l’Amnistie politique référendaire permet de donner une assise durable à la paix sociale retrouvée. Parce que bien souvent en effet alors même que le conflit a pris fin que les armes ont été déposées, les dissensions demeurent toujours ou les desseins de dominations annihilent les activités politiques classiques ou normales et surtout menacent sans cesse la quête du calme sociale et de l’harmonie socio-politico-intercommunautaire. Donc, l’ordre et le  pardon souverain juridique, transporter par l’Amnistie politique coupe court a toute polémiques, puisque, l’ordre et le  pardon souverain juridique des infractions et des crimes commis pendant les périodes de troubles entrainent en même temps l’oubli des condamnés ou des condamnations d’hier.Il est constant de par le monde, qu’après une guerre ou une crise sociopolitique aigüe, lorsqu’il n’y a plus de victimes de la répression injuste à défendre, lorsque les opposants libres de tous mouvements ont retrouvés leur place dans la société, les rancœurs s’apaisent et le passé tombe progressivement dans l’oubli, emportant avec lui les risques d’une reprise ou d’un début de guerre ou crise sociopolitique. En ce sens l’Amnistie référendaire, est un véritable traité de paix intérieur, elle a dès lors pour finalité et pour fondement l’intérêt supérieur de l’état, l’intérêt général et le bien commun. 

Oui, le pardon souverain juridique et l’ordre social que transporte l’Amnistie politique vise la satisfaction de l’intérêt public au sens d’intérêt de l’ensemble de la communauté sociopolitique. Il ne s’agit donc pas de l’intérêt de chaque particulier mais de l’intérêt de la nation ou encore de l’État qui a pour mission essentielle de garantir la paix et l’unité de la totalité sociale souveraine. Il s’agit avant tout d’effacer les affaires des tableaux judiciaires nationales et internationales, pouvant susciter des troubles plus graves à l’ordre public, à l’ordre social, à un moment ou le peuple juge que les brouhahas d’une vérité judiciaires blessante ne ferait qu’envenimer la situation conflictuelle et d’aggraver la tension sociopolitique. Mais pour autant l’Amnistie politique référendaire, ne constitue pas un obstacle définitif au travail de mémoire qui par la suite dans des moments plus propices, quand le souvenir et les blessures sont moins violents pourra être entrepris par les historiens. Ceci est leurs sacerdoces. C’est pourquoi il faut le dialogue social et républicain qui proscrit le MOI, ou RIEN, il faut le consensus sociopolitique dans une citoyenneté commune acceptée par tous qui permettent de géré politiquement, pour arriver à une Amnistie générale référendaire. Qui vient atténuer les éléments potentiels de conflit sociaux et lubrifie le mécanisme des rapports sociopolitiques, afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. Parce qu’en effet, c’est seulement avec l’adhésion volontaire de la totalité sociale souveraine à un système politique cohérent, que le système des interactions sociopolitiques peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Donc, nous avons dit, un corpus d’organisme électoral, Autonome, Apolitique, totalement indépendant des pouvoirs et des politiques, qui puisse mettre tout le monde politique et civil en confiance, et tous les acteurs sociopolitique, et citoyens libres d’accord. Nous avons dit Amnistie politique comme porte de sortie de la crise s’il est encore possible  d’y penser. La réconciliation et la Cohésion nationale échappent aux politiques discursifs d’autosatisfactions. Il faut du sérieux, du concret, du tenable dans le temps, pour obvier les crises et pour arriver à la stabilité sociopolitique et à la paix, surtout à l’anticipation des perspectives d’avenir paisible et sereine dans le temps. Sur ceux nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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4 février 2023 6 04 /02 /février /2023 11:06
Lepetitfils : Le Leader de la légitimité citoyenne ne conduira jamais son mouvement de citoyens libre a des élections de façades. Mouk ! Oui, la « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée et d’un éclectisme assumé ne suivra pas, là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme. La LC_CRS soucieux de la régulation sociopolitique, avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire d’élus couillonnades des élections de façades. Jamais de la vie. «MOUK !»

Lepetitfils : Le Leader de la légitimité citoyenne ne conduira jamais son mouvement de citoyens libre a des élections de façades. Mouk ! Oui, la « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée et d’un éclectisme assumé ne suivra pas, là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme. La LC_CRS soucieux de la régulation sociopolitique, avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire d’élus couillonnades des élections de façades. Jamais de la vie. «MOUK !»

*- Chronique «kouma» la LC_CRS, soucieux de régulation systémique ne participera pas à des élections. Mouk !

Bon ! Disons ici, et pour les élections ivoiriennes quelles qu’elles soient, auxquelles le Leader de la légitimité citoyennes ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres, que si on ne prend garde, mêmes lesdits élections ivoiriennes à venir vont se réduire à l’opposition entre les très nantis « argent sans odeur, ni couleur » détenteur du pouvoir d’état et les moins nantis «misère sociale et désespérance du peuple» sciemment créé, afin de sceller une alliance de panurgisme moutonnière avec le désespoir citoyen et la désespérance du peuple souverain, il va valoir aller chercher, la politique, l’idéologique, la philosophique et la doctrinale dans les toilettes de l’oubliette ou les ventres boulimiques se vident. La transhumance nihiliste, renégate, arriviste, et iconoclaste en serait la cause unique. Au surplus il y a un grand débaucheur, un gros acheteur, un énorme affairiste du « R?DP » qui trône sur une grande commune Abidjanaise, qui a prêté serment devant le Gourou suprême, de tout acheter, de tout débaucher, de tout enfariner, afin arriver au pire que le parti unique genre stalinisme, l’idéologie inspiratrice des Khmers Rouges, saupoudrer actuellement en côte d’ivoire, dans un système de défenestration économique d’un pseudo ultralibéralisme de liquidation de toute souveraineté étatique et nationale, de bradage des ressources naturelle. Le summum de tous les  fouages de gueule des règles politico-démocratiques et de gouvernances étatiques, de tous les foulages au pied des droits et des libertés et de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria une a gaz démocratique, d’un état policiers usine a gaz des droits, et d’un état voyou ou tout est permis, quoi !

Aujourd’hui, les rapports Opposition/Pouvoir en côte d’ivoire est semblable aux rapports entre un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois, ou d’un petit Ukrainien revendiquant sa souveraineté devant un oligarque Russe, leurs sort est connu, « même cimetière est petit ». Donc, Il nous faut arriver tous ensemble à l’élaboration consensuelle des normes juridiques conformes aux droits et principes internationaux irréfragables. Sinon, le Leader de LC-CRS ne conduira jamais son mouvement de citoyens libres à une démocratie de façade ou des mascarades d’élections bâclées, aux résultats connus d’avance. A la députation dernier autrement dit aux élections législatives derrières il y a des partis de gouvernement qui n’ont trouvé les tiers des élus techniquement escompté en conformément la sociologie électorale ivoirienne et  pire il y a des partis souvent nouveaux peut-être qui ont de véritables assisses populaires nationales qui n’ont trouvé un seul élu même en alliance. Et les sénatoriales a venir confirmeront le même fait qui décide du sort des élections quelles qu’elles soient. Le problème est systémique, organisationnel, de normes juridiques adaptées à l’institution électorale. La LC-CRS ne suivra. Houphouët-isme assumée, elle n’est pas « du mode suivez-nous les yeux fermés » Mouk ! Jamais de la vie.

Oui, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale entre les acteurs politiques ivoiriens d’abord et avant les majeures bonnes élections. En tenant compte que  les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de quatre grands principes : 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit et l’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations et protéger les droits et les libertés,  3) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 4) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine ou l’homme est la centralité absolue de tout le système électorale, au mépris des intérêts. Ainsi se faisant, pour obvier impérativement que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays.

Parce que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sont obstrué par un carriérisme nombriliste aveugle et un arrivisme absolutiste égoïste et égocentrique condescendant. Ou le Moi est maitre absolu de l’intérêt général, de l’ordre social, et de la vie publique et le Moi qui se subordonne l’humain. «  Or quand un citoyen prend de l’argent pour son vote, il devient tacitement une vache qui ne demande qu’à manger. Mais si un citoyen prend de l’argent contre la promesse de voter et va voter contre sa promesse il s’avère citoyen libre ». Ne l’oublions pas, la pratique politique absolutiste sectaire n’a besoin que de suivismes, de silences, de panurgismes moutonniers. La liberté de parole libre est son pire ennemi. Donc, reprenons nos habituelles citernes d’eaux contre le feu qui couve dans notre société commune. Oui, répétons-le toujours notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect des principes des droit universels. Donc le nous faut être capable de nous adapter à l’exigence de l’art du vivre en commun dans le respect des droits inaliénables des peuples à disposer d’eux-mêmes. Pour afin pouvoir replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme au centre de la problématique sociale et sociétale et le citoyen au cœur de toute politique socioéconomique et développementale, pour l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus Humaine et plus paisible. Situé à l’opposé d’une société de désordre a ciel ouverte, ou la morale est en congé, les mœurs dépravées, l’honnêteté devenue un crime. Donc d’une société  acculturée, dénaturée, désocialisée, aux mœurs dépravée.

Bon ! Soulignons que, toute association politique et tout mouvement humain ont besoin d’un minimum d’ordre interne, de discipline partidaire et d’appartenance, de cohérence d’action pour assurer son bon fonctionnement interne. Donc, tout comme l’état, les associations politiques ou Apolitiques et les partis politiques érigent un ensemble de normes juridiques ou réglementaires impératives destinées à garantir l’ordre et la discipline en leurs seins. Singulièrement en politique les règles doctrinales et principes universels imposent le respect des instances de directions des partis librement choisis en fonctions des critères politico-idéologico-philosophique, qui veuillent au bon fonctionnement interne du parti politique ou du groupement de partis politiques, parce que sans cela il n’y a pas d’ordre et de discipline. Et sans cela il n’y a pas de pouvoir à conquérir, parce qu’impossible dans un capharnaüm. Donc ces principes et règles font la loi de régulation interne de ses organisations politiques. Donc, la participation à un parti politique et à un groupement de partis politiques ou un mouvement politique engendre au profit de ceux-ci, un certain pouvoir de régulation interne, en particulier celui d’édicter des règles de disciplines et assurer le respect de ses principes, qui assurent la lisibilité du groupement politique, son message, sa cohésion, son autonomie, son indépendance, l’ordre, la discipline et la cohérence qu’exige la réalisation du but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir d’état par les urnes démocratiques et pluralistes. Ce pouvoir est reconnu par la doctrine. La conviction politico-idéologico-philosophique ne se vend pas. Jamais !

Parce que, les aspirations légitimes socio-politico-économiques des électeurs d’un parti ne peuvent être défendus ailleurs qu’au sein de son parti idéologico-philosophique et leurs convictions personnelles du moment qui édicte leurs adhésion au parti se trouve-là et nul par ailleurs. Donc même si plusieurs motifs peuvent être à l’origine de la décision d’une personne ou d’un groupe de personnes de se départir des règles, des positions et des projets de son parti « qui est synonyme de reniement de soi». Mais toutefois, ils doivent pouvoir faire impérativement le choit , entre les besoins de leurs ventres du moment et leurs convictions originelles qui résident dans le soutien sans faille de la doctrine, dans le  projet, dans  les positions politico-électorales de partis dont ils s’avèrent renégats. Donc, après ce choix, s’il part, il doit aussi tacitement se départir de tous les oracles, les signes et emblèmes de son parti originel. Ceci est intransgressible en doctrine politique. Doctrine qui exige qu’aucun militant quelle que soit sa valeur au sein du parti politique, ne saurait déroger pour quelque raison que ce soit, même pour raisons de ventres,  au devoir de soutien envers le parti et à l’exigence politico-électorale du parti. La démocratie interne d’un parti politique n’exclut en rien l’ordre, la cohérence et une certaine discipline du parti. Donc ne pas être d’accord avec la majorité du parti politique, proposer des idées alternatives, une autre pensée, tout est possible dans un parti politique en interne. Mais l’idéologie philosophique ne se monnaie pas. Jamais !

Donc, changer de parti politique sans tenir compte des affinité idéologiques, et appartenance philosophique aller contre la position affirmée de son parti et contre le gré de son parti, pour être l’adversaire de son parti politique, contre le but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir par les urnes démocratiques et pluralistes, revient à s’affirmer ostensiblement comme un citoyen vache qui ne demande qu’a manger. Parce que ce citoyen vache qui ne demande qu’à manger, aurait ainsi adhéré à un parti politique sans aucune conviction de base, pour des raisons de ventres et delà, il ne sera jamais adversaire des procédant d’argent. Qui ne tiennent pas compte que la vocation première d’un parti est la réalisation du but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir par les urnes démocratiques et pluralistes. Donc, j’étai d’un parti politique et je vais dans un autre parti Non ! Tu n’es pas politique, tu es mangécrate, tu es bouffe-tout. La côte est le seul pays au monde ou on peut voir un Homme politique qui a adhérer librement à un  parti politique depuis des décennies et souvent de façon atavique, qui retourne sa veste, pour combattre son parti politique initial. « Cela équivaut aux états unis d’Amérique, qu’un Républicain s’inscrit dans la logique Démocrate et combat l’option politique des républicain.

Donc dans les nations civilisées aucun militant de parti digne de ce Nom ne peut voter ce genre d’homme politique renégat, nihiliste, iconoclaste et auto-reniant, aux cours d’une élection, pour quelques raisons que ce soient. Parce qu’il est impossible de bâtir un vrai état de droit le but des partis politiques, une vraie démocratie l’œuvre de prédilection des partis politiques, une vraie république condition de l’existence des partis politiques, les élections honnêtes la sève de la stabilité politique et de la paix sociale, ne sont compatible, avec des militants des partis politiques versatiles peu ou pas intéressés à la relation dialectique qui doit exister entre le nantis détenteur du pouvoir Etatique et le peuple souverain dont ils sont partis intégrantes. Faire la politique exige d’être exemplaire, exige d’être un référent moral sociopolitique, exige d’être représentatif. Or ce genre d’homme politique est dédouané de toutes les valeurs sociales d’une vie sereine et civilisée, il n’est qu’une vache qui ne demande qu’a manger. Et aussi aucun citoyen digne de ce Nom ne peut voter son organisation politique acheteur ou coopteur mafieux, qui divise pour régné. Parce qu’il est exclu de réclamer une nation souveraine digne de ce Nom, si elle ne prime pas sur les raisons de ventres lors de la désignation des représentants. Oui, il est illusoire de vouloir installer un Etat républicain de droit digne de ce Nom, avec des militants politiques peu ou pas intéressés à la défense des droits du peuple à se faire gouverner librement, sans contrainte par des hommes politiques honnêtes, qu’ils choisissent aussi librement sans contrainte au terme des élections démocratiques pluralistes.

Ainsi, il devient inutile de chercher à aller ou à organiser des élections démocratiques pluralistes, là où derrière une république de façade se cache un système autoritariste monarchiste absolutiste de fait qui achète et rachète tout, d’où tout a un prix. Faire la politique est avant tout le respect des grands universels principes dans l’adversité loyale. Or ce genre d’organisation politique acheteur ou coopteur mafieux est dédouané de morale sociétale et de toute clarté, l’obscurantisme est son socle d’existentiel, avec elle s’est vive le mensonge des gouvernant, le revirement au gré des ventres et intérêts particuliers, et dans l’état voyou mytho-maniaque ou tout est monnayable. Oui, redisons-le, l’objectif de la création de tout parti politique est de conquérir le pouvoir d’état. Donc, les partis politiques démocratiques sont créés pour conquête du pouvoir par les élections qu’ils tentent de remporter dans le but de gérer les institutions de l’Etat. Donc, ils mettent logiquement en avant des propositions de politiques publiques alternatives qui sont inspirées par les préférences des citoyens. A travers leurs choix des candidats et des politiques, ils proposent aux citoyens des options de gouvernance, qui peuvent renforcer les institutions politiques nationales.  Et dès lors, ils présentent ces choix aux élections et cherchent à mobiliser les citoyens derrière leurs visions de l’intérêt national. Soulignons l’intérêt national et non l’argent national. Là où il y a préférence de l’argent, la conviction  idéologiques, et appartenance philosophique disparait.

Les partis politiques à travers leurs actions sociopolitiques et leurs objectifs, peuvent jouer un rôle vital dans le renforcement des régimes démocratiques et pluralistes. Puisque, la volonté du peuple est le fondement de l’autorité des pouvoirs publics, cette volonté doit s’exprimer par des élections honnêtes qui doivent avoir lieu périodiquement, au suffrage universel égal, assurant la liberté du vote. Donc, ici, les partis politiques ne doivent pas chercher à améliorer le statut de leurs propres électeurs en privant d’autres citoyens de leurs droits fondamentaux  « libre arbitre sans achat de vote ou de conscience qui exprime l’humanité de l’homme» ou droits humains «liberté et croyance non-monnayable», par exemple, les partis politiques ne doivent pas exceller dans le débauchage rémunéré des cadres des autres partis politiques ou en exerçant une politique de discrimination sur la base des  appartenances autre que politico-idéologico-philosophique, ou en profitant de la misère collective du peuple avec l’argent public au terme des élections. Le parti au pouvoir « R ? DP soit-t-il » ne doit pas abuser de leur position en refusant l’accès aux services publics de base et à la protection à des individus ou des minorités qui ne soutiennent pas leur gouvernement. « La CEI est ostensiblement une boue mouvante très dangereuse.

Or, les partis démocratiques sont en droit de s’attendre à ce que les élections soient libres et que les partis au pouvoir n’abusent pas des ressources publiques dans le but de favoriser leurs candidats, ou d’asphyxier l’opposition politique. Toute chose qui anéantirait le rôle essentiel des partis politiques qu’est de participer à l’animation saine de la vie politique. Parce qu’ils sont les intermédiaires entre le peuple souverain absolu et les gouvernants momentanés qui disposent du bien public et des caisses étatiques. Or ici, l’arène sociopolitique ivoirienne est devenue le théâtre non pas d’une opposition politico-idéologico-philosophique et doctrinale, mais plutôt une opposition entre les très nantis détenteur du pouvoir d’état « argent sans odeur et sans couleur » et la misère sociale et la désespérance du peuple qu’ils ont sciemment créé, « extrême pauvreté précarisation » le tout afin de sceller une alliance de panurgisme moutonnière avec le désespoir citoyen et la désespérance du peuple souverain, dans un duel sur un tapis glauque et visqueux. Ou chacun tire le bien public et les caisses publiques de son côté, n’importe comment, en épiant les autres, à l’image de ces rapaces rassemblés autour d’une proie en décomposition avancée, bouffe-tout se battant parfois avec leurs semblables, en cohabitant avec eux le reste du temps, dans l’attente du coup de poignard fatal bien administré dans les dos que chacun prépare avec minutie.

Donc, le misérabilisme politique nantis, s’alliant toujours contre les nécessiteux socioéconomique, qui ne font pas partie de leur monde. Et le bien public, les caisses publiques et les ressources naturelles souveraines, leurs  permettent de porter au crédit des autres, les désastres qu’ils déclenchent dans la société commune, afin de se poser en sauveurs et de préserver leurs intérêts mafieux. Terreau fertile par excellence des vols synergiques organisés et des pillages systématiques des ressources naturelles souveraines et des biens publiques. Tout en organisant l’intrique florentine au sommet du système d’organisation sociopolitique, et d’entretenir la gabegie dans les caisses publiques. Oui, pillages, vols, détournement, défenestration en outrance couvert par des bonnes paroles. C’est pourquoi, si on ne prend garde, mêmes les élections ivoiriennes à venir, 2025  y compris, vont se réduire à l’opposition entre les très nantis détenteur du pouvoir d’état et la misère sociale qu’ils ont sciemment créé, afin de sceller une alliance de panurgisme moutonnière  avec le désespoir citoyen et la désespérance du peuple souverain. Oui, même en 2025, il va valoir aller chercher, la politique, l’idéologique, la philosophique et doctrinale, dans les toilettes de l’oubliette ou les ventres boulimiques se vident.

Oui, donc, disons le respect strict des règles et des procédures internes claires sont précieuses pour les partis qui souhaitent réussir électoralement sur le long terme. Les procédures qui réglementent les conflits internes peuvent contribuer à la longévité d’un parti, surtout si les règles sont transparentes, bien connues, comprises par les membres et respectées. Enfin le Leader de la légitimité citoyenne ne conduira jamais son mouvement de citoyens libre a des élections de façades. Jamais de la vie. Mouk ! Oui, la « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée et d’un éclectisme assumé ne suivra pas, là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme. La LC_CRS soucieux de la régulation sociopolitique, avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire des élus couillonnades des élections de façades. « MOUK !» jamais de la vie... Parce qu’il y a trop de mafieux voleurs dans mon pays qui s’exsangue. « Comme dit plus haut. Au surplus il y a un grand débaucheur, un gros acheteur, un énorme affairiste qui trône sur une grande commune Abidjanaise, qui a prêté serment devant le Gourou suprême, de tout acheter, de tout débaucher, de tout enfariner, afin arriver au pire des partis uniques genre stalinisme, l’idéologie inspiratrice des Khmers Rouges actuelle saupoudrer en côte d’ivoire dans un pseudo ultralibéralisme de liquidation de toute souveraineté étatique et nationale». Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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25 janvier 2023 3 25 /01 /janvier /2023 14:23
Lepetitfils : la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Donc pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique. Par ailleurs, dans un sens plus restreint, le terme politique renvoie à notre sens à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société et les luttes discursifs pour la représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent;

Lepetitfils : la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Donc pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique. Par ailleurs, dans un sens plus restreint, le terme politique renvoie à notre sens à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société et les luttes discursifs pour la représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent;

Chronique « Djîcôrô-câbâ » : Oui, il y a trop de criminel contre l’humanité dans mon pays la côte d’ivoire.   

Bon ! Clouer le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou a un homme politique est-t-il possible dans un état de droit ou dans une démocratie réelle ? Si le destinataire privilège des discours politiques reste le souverain absolu qu’est le peuple, estampillé ultime détenteur du pouvoir d’état ? La politique n’est ni UFR, ni Science-Po, ni Normal-Sup. Elle est une science exacte, un art noble, qui admet sans faux fuyant, les différences sociopolitiques. Elle « la politique » est un concours de représentativité, qui s’exerce dans le respect des droits et des règles au terme duquel se joue  le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Donc, en politique le « je suis X » accompagner de flagornerie mégalomaniaque et sado-pervers n’a pas de sens parce que ce que l’homme public dit, fait, et veut faire démontre ton « Je » invariable. Donc, la condescendance hautaine qui passe la négation d’autrui ne peut être politique parce que, elle est pathologique. Et pourtant dit-t-on, il faut le fermer la Bouche ou le Boucler le Bec, pour enfin pouvoir dire avec mépris « toi tu es qui ? ». Bon ! Moussa Traoré du haut de ses armes de toutes sortes ne l’a pas réussi au Mali, face à une intelligentsia malienne qui était extrêmement sûr et convaincu de sa route emprunté. Sékou Touré en l’espérant aveuglement a malencontreusement vidé sa pauvre Guinée de son  intelligentsia gyroscope, pour se retrouvé dans l’abime sociopolitique a jamais, et Léopold Sédar Senghor, ne l’a jamais osé pour laisser la place à l’affrontement des convictions politiques, aux frottements des idées, qui ont fait germer la vérité désintéressée, avec les confrontations discursifs contradictoires des hommes publics dans l’arène politique de son pays, a la recherche de l’intérêt général de sa nation, oui, pour ainsi laisser à son Sénégal toute sa stabilité sociopolitique jusqu’à aujourd’hui, même si des hommes politiques ont été obligé souvent et très privément de passer par la case prison, pour la côte d’ivoire et ici, laissons le vieux tranquille, qui a tout donné en espérant pour sa côté d’ivoire la paix pérenne, ou l’ordre sociopolitique était indiqué comme la clé de tous les changements possible.

Oui, répétons-le, Clouer le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou politique est-t-il possible dans un état de droit ou dans une démocratie réelle, si le destinataire privilège des discours politiques reste le souverain absolu, qu’est le peuple estampillé ultime détenteur du pouvoir d’état ? Oui, puisqu’on n’est homme politique, que par son sacerdoce de gyroscope soutenue, en dénonçant les tares de la société, en indiquant une voie déterminée à un peuple libre de suivre ou pas, en exhibant les incohérences et incorrections, les imperfections, les faillis et les abus de pouvoirs des gouvernants, en indiquant une autre voie politique meilleure et salvatrice, et avoir la liberté et la quiétude d’aller dormir chez soi en toute confiance. Le combat ciblé, téléguidé et personnifié, qui ne repose que sur l’accaparement de la souveraineté populaire du peuple n’est pas de la politique et n’a rien à voir avec le noble art politique, dans laquelle le peuple souverain et seul le destinataire privilégié de tous les discours politiques, parce que détenteur ultime du pouvoir d’état. Donc, en politique, tu veux convaincre le peuple, eh bien, cause toujours à ce peuple, pour qu’il comprend, ici est la règle. En clair, ici le sacerdoce est connu de par le monde, qu’est d’apporté de droit et par devoir au peuple, apporté humblement à l’humanité par la culture de non-violence et par la culture de paix. En cherchant a Gouverné avec l’obéissance du peuple gouverné et servir désintéressement la totalité sociale souveraine à laquelle nous sommes tous redevables. Proscrire les politiques politiciennes personnifiées de se servir ostensiblement dans les caisses publiques étatiques, dans les deniers publics au nom de l’exercice du pouvoir d’état qui appartient par essence au peuple souverain. Le tout dans une situation où on peut faire la politique en dénonçant les tares des gouvernants, en indiquant une autre voie politique salvatrice et aller dormir chez soi en toute quiétude avons-nous déjà dits.

Donc, cette règle ou Maxim édicte qu’en politique, le citoyen qui veut convaincre et persuader le reste de la totalité sociale souveraine et le peuple dans son entièreté doit parler. Et doit constamment à chaque occasion de crises faire la preuve de sa capacité à réguler la totalité, à anticiper le perspective d’avenir dans le temps, ce qui fonde en politique sa légitimité populaire, devant le peuple souverain. C’est ça la démocratie, d’où le pouvoir qui en résulte est contraint de gouverné avec le consentement du peuple souverain gouverné, qui obéit par conviction. A la lampe des lumières irréfragables de ce principes peut-t-on prétendre vouloir, Clouer le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou un homme politique ? Surtout Ici, si nous essayons de prendre le mot politique, ce mot politique vient de la racine grecque « cité », d’où les citoyens sont maîtres de leur destin parce que détenteur ultime du pouvoir d’état. Et ce pouvoir s’exerce avec le consentement du peuple qui obéit par devoir et par conviction, sans contrainte armée, sans violence armées, d’où tout est consensuel et pacifique dans le respect des droits et des règles. D’où la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, qui se jauge à l’aune de l’écoute résonnante du peuple dans les urnes des élections et s’exprime dans le suffrage universel direct, et surtout voit au prisme d’un processus électoral transparent. Bon ! Il est aussi vrai, que de nombreuses approches de par le monde définissent la politique comme l’organisation du pouvoir dans l’état. Mais le lien entre politique et état n’est pas si évident, cette acception est relativement récente. La politique au sens le plus large est donc la structure et le fonctionnement « méthodique, théorique et pratique » d’une communauté de destin, d’une société policée. Dès lors, la politique concerne, alors les actions politiques de régulation systémique et d’équilibrage sociopolitique, le développement interne ou externe de cette société, ses rapportes internes entre sa propre composante sociale hétéroclite et ses rapports à d’autres ensembles sociaux universels. Comment peut-t-on alors dans cet exercice politique chercher a Cloué le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou un homme politique ?

Et surtout singulièrement, pour nous à la légitimité citoyenne, «Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, et Houphouétiste enragée qui a préféré l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle », la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Donc pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique. Par ailleurs, dans un sens beaucoup plus restreint, le terme politique renvoie à notre sens à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société commune et les luttes discursifs pour la représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent, « frottement, compétition, contradiction et confrontation d’idée et d’idéal sociétal » avec la participation sans obstacle obscurantiste de tous à la vie politique de leurs pays sans exclusive. Donc, ici rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à tous et tous les citoyens ont le même droit dans l’assiette territoriale nationale. Ça c’est notre vision de la politique. D’où point besoin n’est de Clouer le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou homme politique 

Donc tacitement faire la politique c’est défendre un idéal pour qu’il acquière l’adhésion du peuple souverain,  faire la politique c’est servir le peuple, faire la politique, c’est agir dans l’espace public, pour transformer une société à l’image de son idéal sociétal, qu’on n’a fait accepter par le peuple souverain, Faire la politique c’est essayer de réaliser ses convictions politiques et idéologiques, pour enfin tenir ses promesses et ses engagements sociétaux face au peuple. Non ! Donc Clouer le Bec ou fermer la bouche à un homme public ou politique ne colle pas avec la politique. Parce que le travail qui se définit comme politique, c’est d’agir pour l’intérêt général de la nation jusqu’à la limite de l’humainement admissible en transcendant son être, son Moi, et ses intérêts personnels du moment, situé à l’opposé de l’intérêt de la totalité sociale. Ce qui revient pour l’homme politique ou l’homme public, a dire les vérités crues et nues des choses au peuple souverain, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien, dans la gouvernance étatique et dans l’organisation sociopolitique, sans nuances, sans excès, ni dramatisation, mais avec franchise risquée et une détermination soutenue, pour un destin meilleur de la société commune .

Se faisant de démontrer par son action publique ou politique, qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de son pays qui profite à la nation une et indivisible. Donc, le tout se mesure à l’aune des actions politiques capables d’anticiper l’avenir du peuple dans le temps et d’orienter le souverain peuple en véritable gyroscope sur les meilleures voies qui profitent à la totalité sociale. Et de  réguler la vie sociopolitique, l’action publique des gouvernants par des critiques légales et par des dénonciations légales et aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de son pays. Avec pour but exclusif d’éveiller les consciences, donc de faire comprendre, d’éclairer, donc de faire savoir, de débattre donc de convaincre, d’agiter des idées, donc d’orienter. Surtout pour but de chercher a disposé, d’une capacité d’action politique à anticiper les perspectives d’avenir socio-économico-politique de la totalité sociale dans laquelle on vit ou on excelle. Donc, ici, s’efforcer à chercher a Cloué le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou politique devient, crime contre l’humanité, crime  inhumain et dégradant.

C’est pour cela, la situation de crise sociopolitique sempiternelle de notre pays la côte d’ivoire, pour notre part, nous espérons de la sagesse éclairée de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance lampadaire de Nelson Mandela, de l’endurance luminaire de Gandhi, et du courage luminescent de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée avec uniquement la parole politique et publique, par ses illustres personnes par la force discursive éclairante, est un exemple, un éclairage pour nous. Une espérance pour nous de pouvoir changer notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, d’une manière ou d’une autre. Donc la personne physique de l’homme politique ivoirien ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ivoirien ce sont ses actions politiques et gouvernementales, qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun. Donc nous sommes ostensiblement situé à l’opposé du Cloué le Bec ou fermer la bouche a un homme public ou politique, fait qui par acception juridique « droit international pénal » est un crime contre l’humanité, est un crime inhumain et dégradant. Diantre ! Comment la nature a pu doter jusqu’à ce degré inacceptable la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny de politiques politiciennes criminelles contre l’humanité en moins de deux « 2 » décennies. Oui, il y a trop de politiques politiciennes criminelles contre l’humanité dans mon pays la côte d’ivoire, « Djîcôrô-câbâ ». Sur ceux citoyens, que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Une chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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11 janvier 2023 3 11 /01 /janvier /2023 17:29
Lepetitfils : Certes, il nous faut une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant, mais surtout, il nous faut la gratuité de la Carte nationale d’identité indispensable à la participation aux élections à venir, il y a de nouveaux majeurs qui n’ont pas des pièces d’identités faute de moyens, même le certificat de nationalité est payant en vue de la participation aux élections. Donc la gratuité de la carte nationale d’identité s’impose comme postulat de droit, dans une situation de crise sociopolitique à la recherche de solution durable.

Lepetitfils : Certes, il nous faut une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant, mais surtout, il nous faut la gratuité de la Carte nationale d’identité indispensable à la participation aux élections à venir, il y a de nouveaux majeurs qui n’ont pas des pièces d’identités faute de moyens, même le certificat de nationalité est payant en vue de la participation aux élections. Donc la gratuité de la carte nationale d’identité s’impose comme postulat de droit, dans une situation de crise sociopolitique à la recherche de solution durable.

*- Chronique « Kouma: A LIRE ET COMPREDRE : Il faut boycotter les élections régionales et municipales à venir.

Les citoyens libres doivent absolument boycotter les élections régionales et municipales qui sont prévues pour  octobre et novembre 2023 en Côte d'Ivoire. Dans un processus électoral non-conforme à la norme d’organisation coutumière et non-conventionnel, la participation massive des citoyens électeurs entraine toujours la fraudes et les trucages massifs tout compte fait les fraudeurs et les truqueurs sortent toujours vainqueurs. Donc, par principe les citoyens libres doivent absolument boycotter ces élections régionales et municipale, en se disant qu’en votant qu’ils viennent procurer au mépris de leur droit, des élus de faits sinon de non-droit, qui à leurs tour vont voter des sénateurs, en dépit du suffrage universel direct, et qui se réclameront du pouvoir législatif, pourtant émanent du vote des démembrements du pouvoir exécutif dont ils sont astreint par la séparation des pouvoir à contrôle strict. Bon ! Comme toujours on veut nous soigner une plaie béante au pied en tirant sur la chevelure sur la tête, oui, on nous parle de l’orchestration certes politicienne de la transhumance électorale massive, en oubliant sa cause réelle qu’est le parachutage des candidats dans des circonscriptions électorale avec lesquelles ils n’ont aucun lien de rattachement locale atavique, territoriale, souvent qu’ils ne connaissent que Nom. La transhumance électorale massive est la résultante du parachutage des candidats dans des circonscriptions électorales qui ne connaissent pas, par exemple vous me prenez un Croupion « Kônôn-ko» n’importe où dans ce pays qui ne connait même pas l’acception de « kourou-bâtard et qui ignore tout de comment on n’a l’habitude de gérer les djogoyâ a Abobo» vous le planté a Abobo « la-geurre », logiquement ce candidat aura besoin de brigade de soutien de son transfuge monde réel pour converger vers Abobo  son nouveau centre d’intérêt politicien qui voit en lui un intrus étranger.

C’est pourquoi le lien de rattachement local continu et social atavique, le lien de rattachement territorial, spatial ancestral, le lien de rattachement Moral des rafistolages des fibres intercommunautaires entretenus par les candidats aux élections locales avec les populations qu’ils veulent administrés  ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Donc, la faute est au système électoral entier et aux normes électorales abracadabrantesques. Pour des raisons de positionnement stratégique, quand insidieusement, on pousse ses pions préférés, en coupant les têtes par-ci, en éliminant des pions par-là, en diminuant les longueurs là-bas, en rétrécissant, des largeurs à l’opposé, se faisant on finit par exhiber un Zéro pointé comme le plus meilleur  méritant, peut-être qui son ombre ayant grandit par les rayons du coucher du soleil comme le plus géant, on aura gagné les jeux, mais on aura fait perdre la totalité sociale souveraine pour ses bassesses. C’est pourquoi, quand certains principes coutumiers fondamentaux sont violés le voile étatique doit être percé faute de quoi les véritables fraudeurs et violeurs des grands principes de droits et de démocraties seront assurés d’un exercice continu  dans l’impunité totale, au Nom de la détention du pouvoir d’état. Parole de la légitimité citoyenne «LC-CRS», mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée, d’un éclectisme endurci et assumé. Oui, LC-CRS …

*- Bon ! Reprenons la marche citoyenne avec le peuple ultime détenteur du pouvoir dans un état républicain.

Retenons que, de par le monde c’est une évidence connu de tous, que la démocratie représentative est le fruit d’un compromis négocié dans le sang des révolutions des cinq «5 » derniers siècles, entre les exigences absolutistes et dictatoriales qui exigeaient tous les pouvoirs qu’els qu’ils soient et l’aspiration légitimes profonde des couches populaires qui aspiraient, à la maîtrise de leur vie et de leur destin collectif dans une société équitable et juste. De sorte qu’en l’absence d’élections qui organise la participation de tous, doté des droits, des libertés, et des instruments citoyens de cette participation a la vie de la société commune et en l’absence de votes efficaces, qui ne respectent pas le principe d’un homme, une voix, les citoyens utilisent alors leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir, le boycott actif et la désobéissance civile légale ou l’insurrection populaire pacifique, « du genre affaire de racaille, de gilets jaune, ou de Mai 1968» pour espérer obvier une aliénation de fait de leurs droits citoyens ou de la souveraineté populaire. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée. Dès cet instant, les  élus qui sortent des pseudo-urnes électorales et devenus détenteurs du pouvoir, n’agissent plus en tant que mandataires de la totalité sociale souveraine, mais en tant que monarque devenu souverain absolu. Donc les citoyens boycottent les élections pour délégitimer la structure du pouvoir, qui en ressortissent, illégalement et illégitimement dans le mépris des droits. Donc, e boycott des élections, est un refus de légitimer une mascarade.

Oui, une démocratie participative fonctionne par l’existence de la confiance totale de tous les participants dans le processus électoral et sur le mode du débat démocratique et pluraliste, l’abstention par boycott est le signe de leurs inexistences. Et dans une société, lorsqu’on contourne cette réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la démocratie, le rapport de force supplante la démocratie. On entre alors dans un système opaque de non-droit et la sphère électorale se trouve désertée par boycott. Car ce n’est pas là par se contournement controuvé que doit s’attribuer les pouvoirs démocratiques, et ce n’est pas là que doit se prendre les décisions électorales équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Donc l’abstention par boycott accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions légales, qui ne passent pas par la politique politicienne, fruit des rapports de forces d’Animosité ou d’Animalier, pour l’exercice du pouvoir d’état, au mépris des règles démocratiques et des droits du citoyen. Donc, le citoyen libre s’abstient, il boycotte, mais il fait confiance à la protestation légitime pour faire entendre sa voix citoyenne. Ici, le boycott est un signe de manque de confiance dans le processus électoral, de désespoir citoyen face à des travers politiques et électoraux, qui résulte du processus électoral cadenassé et bâclé, donc aux résultats téléguidés connus d’avance, via  un système qui schématise le trucage. Donc, pour des raisons lucratives et pécuniaires, privé des citoyens de cartes d'identités nationales, donc, de la possibilité de voter, en jouissant de tous les autres droits qui dépendent de cette carte nationalité d’identité, c’est de du trucage électoral et de la spoliation d’un droit inaliénable pour des raisons politiciennes et l’affairistes fondée sur la conservation ou la conquête du pouvoir d’état et aussi sur le  gain absolue qui priment sur un droit inaliénable. Oui, si l’état agit au Nom de ses ressortissants en s’endettant pour faire des routes, pour faire des ponts, pour construire des écoles, des universités, et des hôpitaux, etc. L’état doit pouvoir s’endetté pour pourvoir aux frais des pièces d’identités, qui attestent de la nationalité de ses ressortissants aux Noms desquels il s’endette, midi, matin, soir. A défaut, il convient de boycotter les élections.

 Donc, certes il nous faut « ivoiriens » une commission électorale Apolitique, Autonome, réellement Indépendant, mais surtout, il nous faut la gratuité de la Carte nationale d’identité indispensable à la participation aux élections à venir et il y a de nouveaux majeurs qui n’ont pas des pièces d’identités faute de moyens même, le certificat de nationalité est payant en vue de la participation aux élections à venir. Donc la gratuité de la carte nationale d’identité s’impose comme postulat de droit, dans une situation de crise sociopolitique à la recherche de solution durable.  Oui, dans la gestion de l’état tout ne doit pas être pécuniaire, mercantilisme, Argent, profit, gain. Un état de droit et une nation souveraine se gère par les gouvernants pour le peuple souverain consentant. On gouverne le peuple souverain avec son consentement, pour son bonheur, pour sa paix, avec l’anticipation des perspectives de son avenir dans le temps et dans l’espace. Donc la gratuité des pièces d’identités qui vont permettre à tous les citoyens de participer aux élections à venir est un droit inaliénable du peuple ivoirien a disposé de lui-même.  Oui, il est de notoriété publique, qu’en droit, la nationalité est utilisée pour décrire la relation juridique entre l'état et l'individu, c’est le lien sociopolitique qui lie un état à un individu. Donc ce terme nationalité indique le statut juridique matérialisé par une pièce d’identité nationale, qui donne ou confère à la personne des droits et des obligations par rapport à un état particulier. Cette identité juridique sécurisée donne accès aux documents qui l’attestent et reconnus aux niveaux national et international, qui sont nécessaires pour montrer le droit à la participation de la vie sociale et de la gestion de la société, à la protection civile et des avantages accordés par la nationalité d'un état. Un citoyen sans pièce d’identité  est un apatride sur la terre de ses ancêtres. Donc, il faut boycotter par nécessité citoyenne et pour la revendication d’un droit de citoyen libre.

Puisque, le boycott est une prise de conscience d’une contrainte illégale et de non-droit, transporté par des normes anomique et une forme ou procédure juridique viciée. Ce qui n’est pas précisément une posture de citoyen libre et indépendant. Et c’est pour cela que le boycott débouche toujours sur des crises politiques aigues. Mais pour, du même coup, redonner un sens à la souveraineté populaire, il faut aussi que ce boycott, ne se limite pas à l’abstention par boycott, mais, il faut qu’il débouche sur une intervention démocratique positive et que les partisans du boycott se regroupent, forment des comités légaux ou toutes autres structures collectives pour  débattent, non pas du choix d’un individu, qui irait exercer le pouvoir à leur place, mais des transformations de l’organisation politique et sociale, qui redonneraient à chacun des citoyen libre boycotteur paisible et civilisé, les moyens d’une existence démocratique et électorale décente et une prise de position sur le destin collectif. Car le système qui opprime les citoyens en les privant de la participation à la vie de la société, n’est pas spécifiquement un système électoral qu’on peut taxer de bâclé, mais un système de pouvoir voyou aux mains d’une politique exploiteuse de misère populaire citoyenne, celui-ci s’efforce de gouverne en se servant des élections ou pas. Mais, puisqu’ils sont toujours conscients de leurs nombrilisme politicards, donc, ils se moquent ostensiblement que les citoyens participent ou pas au vote du moment, et ce qui les préoccupent ce sont, comment étouffer les ouvertures démocratique et électorales pour que les citoyens n’arrivent à rien faire d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit. Donc ce pouvoir continuera à jouer la carte de la légalité «organisations d’un processus électoral bâclé et le respect des lois électorales viciées» sans se préoccuper de la légitimité que ne pourrait lui procurer qu’un vote populaire et massif, qui n’a aucune chance de se produire dans son mafieux système.

Qu’importe cette légitimité que ce pouvoir n’a aucune chance d’obtenir, eu égard au massif boycott actif et à la désobéissance civile ou l’insurrection populaire que, la situation de fait appelle, puisqu’un simulacre de légalité, basé sur son système électoral téléguidé, et sur le respect d’une organisation électorale politisée, et des lois électorales taillées sur mesure, suffit à ce système de pouvoir pour garder la haute main sur le pays et toute la richesse du pays. Et évidemment ainsi en résultent et s’entassent de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter et fissurer encore plus la cohésion sociale. Puisque la véritable démocratie participative, c’est quand des millions d’opprimés ou spoliés de justification de qualité font de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. Donc, il serait insensé de dire que le boycott n’est un choix, par une minorité opportuniste d’hommes politiques mafieux, qui méprisent le droit, les libertés et la démocratie. Qui ont transplantés toutes les politiques électorales chaotiques dans notre pays, toutes les crises sociales et intercommunautaires d’animosité de la  planète en côte d’ivoire, destinée à la désocialisation à petit feu, sous la houlette du Moi ou Rien, sinon moi ou la Terre Brulée. La côte d’ivoire est parti le 07 Aout 1960, sous la conduite de Félix Houphouët Boigny, avec la Religion «la paix dans les cœurs et dans les esprits et de pas une seule goutte de sangs Humain versée sur le sol ivoirien» avec l’option rigoriste que tout homme est homme, indépendamment de sa Caste, et que les hommes sont égaux en droit et en devoir dans la société, qui s’oblige à organiser la solidarité envers les plus faibles de sa peuplade, pour devenir une côte d’ivoire paisible. Ou tous les changements étaient possible, mais dans l’ordre social, dans la stabilité, dans le respect des lois, et de la paix sociopolitique. Alors parti de ce postulat comment peut-t-on arriver aux élections calamiteuses et macabres ? Donc, il faut boycotter par nécessité citoyenne et pour la revendication d’un droit de citoyen libre bafoué ou altéré de fait.

Il faut boycotter parce qu’une reddition de comptes de la crise socio-politico-électoral s’impose comme devoir aux citoyens ivoiriens. Parce que le chaos sempiternel, aura de beaux jours devant lui en côte d’ivoire, si le peuple ivoirien ne tire pas des leçons et des conclusions des crises électorales. Oui, la société ivoirienne est à un début d’une désocialisation dévalorisante en outrance, d’une acculturation sociale forcenée, d’une dénaturation socioculturelle assujettissante et d’une dépravation des mœurs sociétales ataviques de la Côte d’Ivoire, qui peut déboucher sur une honteuse dépaysassions aux couleurs importées. Une libéralisation effrénée de la confiscation des ressources naturelles souveraines et de l’expropriation terrienne des terres ancestrales soumis à géométrales régulier, épars et diffus. Un solide appauvrissement endémique de l’ivoirien par la vie très chère, qui piétine les petits au profit des grands intérêts internationaux. Une orchestration systémique de la liquidation mafieuse de la côte d’ivoire auprès des grands intérêts dans le concert des nations. Une escroquerie morale et intellectuelle très parfaite ventilée à tout bout de champs par des fanfaronnades élogieuses pour le formatage mental des citoyens, pour les inculquer une croyance divine bien administrée. Un succès ivoirien qui ne repose plus sur l’effort collectif de l’agriculture, mais sur un système économique dirigiste créancier du monde des éco-finances opaques et son équipe de copinage qui n’œuvre que dans la concussion. Une pratique politique euthanasiste sado-perverse narcissique, de destruction, de musellement de toutes opinions dissidentes, de toutes oppositions politiques, de certains partis politiques et hommes politiques récalcitrants face au seigneurial. Un sinistre cynisme dans la gestion des crises électorales sempiternelles couvert par le mensonge d’état qui s’en suit toujours. Un mépris condescendant pour les autres appartenances idéologiques et l’amoralité dans l’action électorale et politique.

Une pratique démocratique et politico-électorale égoïste et égocentrique «de-fait-nous-fait», élevé à un niveau jamais atteints dans notre pays, par l’interpénétration des affaires mafieuses dans l’exercice du pouvoir d’état, dans la gestion des affaires économiques d’état et finances publiques, dans le système des processus électoraux. Des éhontés entorses orchestrées et répétées aux droits civils et politiques, aux libertés citoyennes, aux grands principes démocratiques de par le monde et au processus électoral coutumier pour pouvoir obvier des élections véritablement démocratiques et conformes aux normes coutumières internationales. Un pillage systématique et sauvage des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire, « Or, Diamants, et autres orpaillage ». Des ressources naturelles souveraines devenues Butins, que même les petits enfants des ivoiriens, qui ne sont mêmes pas nés encore en 2023 pouvaient exploiter dans des siècles à venir, aux profits de l’intérêt général de la nation ivoirienne de la totalité sociale souveraine. Des fêtards détournements synergiques des deniers publics, souvent soumis a enquêté exutoire et d’enterrement propagandistes, par un clan de copinage formé de quelques familles privilégiées et membre d’une compromission politique et électorale. Un surendettement éhonté de l’état auprès des grands usuriers internationaux devenant ainsi propriétaire et exploitant des domaines coutumièrement réservés à l’ordre de souveraineté absolue. Et enfin, une société ivoirienne soumise a une politique économique  dirigiste de défenestration économique sur le dos du peuple ivoirien, et ce peuple qui exsangue à l’image de sa côte d’ivoire. Il est donc illusoire qu’avec un tel système démocratique politico-électorale bâclé et cadenassé de prétendre aller à des élections. Donc il faut boycotter les élections à venir de quelques formes qu’elles soient.

Oui, malgré tous ces faits indéniables de non-droits égrenés ci-dessus, si le peuple souverain de côte d’ivoire, ne tire pas de conclusions de cette situation suscitée et bien égrenée. Et s’il n’y a pas de refus citoyen de suivre le sens du vent bien soutenu dans cette situation ancrée dans la société. Il n’y aura pas plus malheureux, que l’ivoirien de demain dans le concert des nations. Et sauf à vouloir uniquement obtenir quelques petits postes personnels ou partiaires mais minoritaires d’élus sans poids régulatrices, « conseillers généraux et Maires », il est incontestablement illusoire dans ces conditions sociopolitiques, avec un système électorale bâclé et cadenassé à jamais de prétendre aller à des élections réellement propres et démocratiques. Ou, illusoire dans ces conditions à vouloir chercher à organiser des élections, pluralistes, démocratiques et républicaines, dans cette configuration préélectorale actuelle de l’arène politique ivoirienne, avec un système qui ne veut que favoriser l’embellissement démocratique à sa convenance électorale. Pour un maquignonnage politique par une factice animation électorale maquillée sous son contrôle, au sein d’une classe politique suiviste sélectionnée. Afin que chacun des admis politique sélectionné puisse porter un message prédéterminé, qui n’entravera en rien à un  dessein monarchiste, qui n’a manifestement pour le moment aucune appréhension à ce faire, pour la réussite de son schéma stratégiques de successions monarchiques programmé pour 2025-2030 et suivants, les suiveurs accourant à sa porte glauque et visqueuse ou suicidaire. Donc sûr de son fait ce système ne fera aucune concession importante concernant les revendications des autres appartenances politiques. Il faut boycotter les élections locales à venir.

Pauvre côte d’ivoire, Pauvre de LC_CRS, il n’y a plus de route, avec ce fichu système politicard de voyoucratie monarchiste et d’absolutisme aveugle, de quoi à tirer le tocsin d’appel de boycotteurs bulldozers citoyens c’est une urgence. Il faut boycotter les élections a venir. Oui, à vos bulldozers citoyens, parce que dans cette situation sociopolitique et démocratique-électorale, là où s’affiche ostensiblement, derrière une république mafieuse, démodé de façade, mais en réalité ou se cache de fait un système politique de voyoucratie monarchiste et absolutisme outrancier, assis sur une politique criminelle de dirigiste économique de défenestration économique expéditive et synchronique, qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux. Alors à ce rythme c’est une démocratie de façade sans contenue réel qui s’installera à jamais dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët  Boigny.  Donc, il faut boycotter les élections régionales et municipales qui sont prévues pour  octobre et novembre 2023 en Côte d'Ivoire, par nécessité citoyenne et pour la revendication d’un droit de citoyen libre.

Donc, répétons encore ici notre bréviaire irréfragable : Avant toute chose et pour que les élections méritent leurs nom, la côte d’ivoire, a besoin de régulation sociopolitique et d’une intégrité du processus électorale. Donc, revoilà nos remèdes : « Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui fera une identification claire et un enrôlement fiable des électeurs légaux, et dotera GRATUITEMENT tous les citoyens majeurs de pièces d’identités en vue de leurs participations aux processus électoraux,  en proscrivant les acquisitions frauduleuses de nationalités et du droit de votes. 5*- Donc, qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale d’un pays « 30 Millions d’habitants » *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent Tous Sénateurs y compris du suffrage universel direct, et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux coutumiers, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme, etc. ». A défaut de ce système électoral fiable, il faut boycotter les élections et opter pour une reddition de comptes de la crise socio-politico-électoral qu’impose le devoir citoyen. Oui,  il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Le mal connu et le remède connu, il ne reste plus que la volonté politique de privilégié l’intérêt national, et de la totalité sociale qu’est le peuple. C’est notre But. Sur ceux citoyens, nous avons Kouma. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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31 décembre 2022 6 31 /12 /décembre /2022 20:25
Lepetitfils : Nos vœux en 2023 tremplin électoral de futures élections est que Dieu d’Abraham maudit à jamais tous : Les matraqueurs des libertés. Les broyeurs des droits de l’homme et de la démocratie. Les annihileurs des espérances du peuple en un avenir meilleur. Les destructeurs des aspirations légitimés des citoyens vertueux. Les zélateurs enfarinés des droits civils et politiques. Les fossoyeurs de la démocratie qui veillent délibérément à diaboliser toutes opinions opposantes, tendant vers la vraie réconciliation nationale, vers le consensus politique au terme d’un sincère dialogue républicain

Lepetitfils : Nos vœux en 2023 tremplin électoral de futures élections est que Dieu d’Abraham maudit à jamais tous : Les matraqueurs des libertés. Les broyeurs des droits de l’homme et de la démocratie. Les annihileurs des espérances du peuple en un avenir meilleur. Les destructeurs des aspirations légitimés des citoyens vertueux. Les zélateurs enfarinés des droits civils et politiques. Les fossoyeurs de la démocratie qui veillent délibérément à diaboliser toutes opinions opposantes, tendant vers la vraie réconciliation nationale, vers le consensus politique au terme d’un sincère dialogue républicain

Oui, qu’ils soient tous maudit à jamais par Dieu d’Abraham. Voilà !

La côte d’ivoire est au travail, le pays va bien, dit-t-on ?  Avec le mépris ostensible pour les positions opposantes et le refus hautin du Dialogue politique, du Consensus au tour de la chose publique, de la Légalité et de la Transparence dans l’ordre du public, qui peuvent certainement obvier toute possibilité de future crise postélectorale et de futur chaos social en perspective. Or en réalité notre pays s’enfonce à jamais dans le chaos socio-électoral sempiternel, d’année en année pour se trouver actuellement devant un précipice abyssal. Il n’y a plus de route avec le pouvoir attrape-tout, panier à serpents-scorpions et ses séides enfermé contre le monde réel, dans un rassemblement compromissoire de bouffe-tout.

Donc, nos vœux en 2023 tremplin électoral de futures élections que Dieu d’Abraham maudit à jamais tous : Les matraqueurs des libertés. Les broyeurs des droits de l’homme et de la démocratie. Les annihileurs des espérances du peuple en un avenir meilleur. Les destructeurs des aspirations légitimés des citoyens vertueux. Les zélateurs enfarinés des droits civils et politiques. Les fossoyeurs de la démocratie qui veillent délibérément à diaboliser toutes opinions opposantes, tendant vers la vraie réconciliation nationale, vers le consensus politique au terme d’un sincère dialogue républicain et vers toute politique, qui a pour aboutissement la cohésion nationale et l’harmonie intercommunautaire. Aussi qui ringardisent donc,  toute parole citoyenne légitimes, ou tout simplement dissonante. Les auteurs de manœuvres d’obstructions a des mots fondateurs de civilisation dans l’arène politique ivoirienne et de la barbarie politico-électorale attrape-tout. Qui n’accordent aucune importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire de Félix  Houphouet  Boigny. Oui, qu’ils soient tous maudit à jamais par Dieu d’Abraham. Voilà !

A la légitimité citoyenne « LC-CRS, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste enragée, et d’un éclectisme assumé » notre sacerdoce de parolier du citoyen est tout sauf un simple jeu de rôle régulateur de routine, ou une simple réaction sentimentale de citoyen dégouté. Oui, nous, revendiquons une rupture mentale, entre la réalité sociale et le rêve hallucinant que nous font caresser des aventuriers politicards, donc, une sécession entre le poids de ce qui est et tout ce qui peut exister pour le bien commun. Nous, œuvrons à ouvrir le regard commun vers l’avenir et tous ensemble revendiquer que non seulement, un processus électoral Zéro-morts est possible, mais qu’aussi que grâce à un processus électoral qui repose sur les grands principes internationaux et au respect strict des lois impersonnelles, qu’une citoyenneté commune dans un vivre en commun paisible est possible, au prix de l’action citoyenne synergique, assidue et désintéressée.

Car cette citoyenneté commune dans un vivre en commun paisible, est la terre sur laquelle on bâtit les empires les plus stables, les plus harmonieux et les plus paisibles, au terme d’une authentique perspective d’alternance sociopolitique conçus par la totalité sociale souveraine. Avec pour préoccupation première, le progrès social pour tous, qui commence par l’homme « l’être humain mit au centre du débat socio-politico-économiques ». Tout homme, donc, un progrès qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du développement socioéconomique. Et qui fait de tous les aspects de la vie humaine strictement régie, par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale sur laquelle doit être construite toutes sociétés, toutes politiques, toutes économies, tous développements, toutes relations entre citoyens de tous bords, entre personnes d’origines diverses et toutes relations entre nations souveraines. Nous resterons comme toujours à l’œuvre de ce sacerdoce de parolier du citoyen en 2023 n’en déplaise, à ceux proposé à être maudit par Dieu d’Abramam.

Pour que là où les confessions ont annihilé la politique et le politique. Là ou la laïcité universelle groggy grommelle malgré elle, parce que torpillé et qui bourdonne dans les corde d’un ring glauque et visqueux sur lequel, elle ne peut descendre que vaincue, par tous les chaos sociaux qui ont pris leurs racines dans notre pays, la en côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, qui est désormais le lieu de prédilection de tous les crânes brûlés du monde. Les djihadistes en se signalant au Nord sur la terre de nos ancêtres, à la recherche d’un terreau fertile n’ont pas voulu manqué à l’appel, en pensant peut être ne plus se dépaysés en côte d’ivoire. Ou, Hier pas lointain, les parfums biens odorants du dôlô, du bandji blanc, du tchapalo, du koutoukou, bien fermentés auraient pu les dissuadé les djihadistes, a s’intéressé de la Nation ivoirienne laïque, ou depuis la nuit des temps toutes les croyances quelles qu’elles soient se côtoient allégrement dans le respect des différences religieuses ou de croyances quelles qu’elles soient. 

Surtout, ou coutumièrement ou le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ, et se congratulent, dans le respect mutuel, comme deux camarade de la citoyenneté commune. D’où, le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Dans l’assiette de l’état de côte d’ivoire alors républicain de droit. D’où, la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord. Aujourd’hui, il y a plus a pensé pour la côte d’ivoire, que des agissements carriéristes protecteurs des intérêts électoraux arrivistes, mafieux et égocentriques. Il y a plus à résoudre que des bassesses nihilistes et renégates politico-judiciaires, protectrices des intérêts mercantiliste mafieux et égocentriques, pour positionné les piranhas et les sangsues d’une appartenance attrape-tout et bouffe-tout, au bout des veines nourricières de la société commune. Afin, pour diriger comme un monarque du golf arabique. Avec le soutien intéressé, mais ferme des puissances extérieurs, au mépris du droit et du réel. Dans des pratiques archaïques porteuses de périls pour leurs auteurs et pour la totalité sociale. 

Il faut contre vent et marrée, bon an mal an une démocratie réelle comme fondement de l’état de droit et de la République, où la raison resterait  le vecteur de l’action sociopolitique, d’où la politique, la vraie ! serait de  dissuader le peuple gouverné, serait convaincre le peuple et serait persuader les citoyens libres. Donc, nous allons persévérer à toute épreuve dans les mêmes positions et insister dans les mêmes discours, persister tant que la situation restera la même et dans la pire des situations au risque de notre vie physique. En espérant obtenir une société, où les hommes «tout être humain», d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une société  stable, cohérente, harmonieuse, paisible, plus que jamais unie au tour de la nation dans l’exaltation de la diversité solidaire. 

Nous y avons souscrit et nous y demeurerons. Donc, nos vœux en 2023 tremplin électoral de futures élections que Dieu d’Abraham maudit à jamais tous : Les matraqueurs des libertés. Les broyeurs des droits de l’homme et de la démocratie. Les annihileurs des espérances du peuple en un avenir meilleur. Les destructeurs des aspirations légitimés des citoyens vertueux. Les zélateurs enfarinés des droits civils et politiques. Les fossoyeurs de la démocratie qui veillent délibérément à diaboliser toutes opinions opposantes, tendant vers la vraie réconciliation nationale, vers le consensus politique au terme d’un sincère dialogue républicain et vers toute politique, qui a pour aboutissement la cohésion nationale et l’harmonie intercommunautaire. Aussi qui ringardisent donc,  toute parole citoyenne légitimes, ou tout simplement dissonante. Les auteurs de manœuvres d’obstructions a des mots fondateurs de civilisation dans l’arène politique ivoirienne et de la barbarie politico-électorale attrape-tout. Qui n’accordent aucune importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire de Félix  Houphouet  Boigny. Oui, qu’ils soient tous maudit à jamais par Dieu d’Abraham. Voilà ! Sur ceux, Citoyennes ivoiriennes et citoyens ivoiriens ! Bonne et Heureuse année 2023 a tous… Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy leader de la légitimité citoyenne.

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27 décembre 2022 2 27 /12 /décembre /2022 03:44
Lepetitfils :Toute circulaire ayant des dispositions à caractère impératif doit se limiter à rappeler ou commenter les textes (lois  décrets), surtout elle ne doit pas créer de règle nouvelle contraire aux déjà prescrit ou coutumière. Ici le principe de droit intransgressible concernant les décisions judiciaires devenues définitives mises sous la coupes d’une circulaire ministérielle, décisions judiciaires qui interviennent pourtant en extrême urgence au tour des Droits réels qui portent sur des biens immobiliers et qui sont d’intérêts public, d’ordre public opposables à tous, est la « séparation des pouvoir ».

Lepetitfils :Toute circulaire ayant des dispositions à caractère impératif doit se limiter à rappeler ou commenter les textes (lois décrets), surtout elle ne doit pas créer de règle nouvelle contraire aux déjà prescrit ou coutumière. Ici le principe de droit intransgressible concernant les décisions judiciaires devenues définitives mises sous la coupes d’une circulaire ministérielle, décisions judiciaires qui interviennent pourtant en extrême urgence au tour des Droits réels qui portent sur des biens immobiliers et qui sont d’intérêts public, d’ordre public opposables à tous, est la « séparation des pouvoir ».

« *- Chronique « Kouma » : Tous dans les parquets généraux pour l’assistance de la force publique dans l’exécution des décisions judiciaires rendus au nom du peuple souverain au motif que le pouvoir exécutif est détenteur de la force p ublique intervenante dans l’exécution des décisions judiciaires rendus au nom du peuple souverain ».

 

Donc, disons qu’une circulaire ministérielle impérative soit-elle ne peut s’immiscer dans l’exécution d’une décision judiciaire devenue définitive, au motif que le pouvoir exécutif est détenteur de la force publique intervenante dans l’exécution des décisions judiciaires au nom du peuple souverain. Non ! Un ministre est « un démembrement » du pouvoir exécutive, donc il ne peut intervenir par le biais d’une circulaire dans l’exécution des décisions judiciaires devenues définitives « pouvoir judiciaires matériel». Et qui concernent surtout des droits réels détenus par des tiers pour lesquelles les décisions interviennent en extrême urgence. On n’est ministre de la république «pouvoir exécutif» ou magistrat indépendant « pouvoir judiciaire », mais on n’est jamais les deux « 2 » à la fois. Oui, intervenir par le biais d’une circulaire dans l’exécution des décisions judiciaires devenues définitives, même le président de la république qui nomme les ministres dans son gouvernement ne peut s’arroger cette prérogative dans un domaine protégé par le grand principe républicain de la « séparation des pouvoir ». Sauf prescription constitutionnelle exceptionnelle, sinon même le décret présidentiel ne peut justifier l’immiscions,  l’obstruction, l’assujettissement, dans l’exécution d’une décision judiciaire visant à la protection légale d’un droit réel détenus par des tiers, qui portent sur des biens immobiliers et qui sont d’intérêts public et d’ordre public opposables à tous.

 

Sauf, Prescription constitutionnelle, par ce que c’est connu de par le monde que, l’exception n’est pas du droit, elle peut être admise  légale au terme d’une prescription positiviste mais elle n’est jamais du droit. MOUK ! Oui, même si le président de la république détient le pouvoir réglementaire et  partant l’initiative de prendre les circulaires impératives de règlements nécessaires à l’application de certaines  normes juridiques, cette initiative peut certes être délégué aux ministres mais les ministres n’en disposent pas en propre : ils n’ont qu’un pouvoir d’administration sur leur département ministériel, qui doit être conforme aux normes juridiques et procédures coutumières. Puisqu’en déterminant ce qui est obligatoire, les normes juridiques sources des décisions judiciaires désignent en même temps ce qui est attentatoire aux droits réels détenus par des tiers. Elles n’ont donc pas besoin d’intervention particulière par circulaires ministérielle. Surtout là où, elles exigent l’exécution immédiate d’ordre public, en ce qu’elles définissent comme obligatoire et sanctionnent les actions qui pourraient être mises en œuvre pour l’en empêcher. Donc, si les procédures et les décisions judiciaires qui ressortissent légalement des normes juridiques prescrites, et procédures coutumières, sont soustraites à l’exigence de l’exécution instantanée, de droit, de ce qui est définitive, donc devenue obligatoire, les droits réels seraient alors exposés à l’arbitraire des gouvernants d’état.

 

Donc, dès lors qu’une circulaire s’immisce dans l’exécution d’une décision judiciaire devenue définitive se situe-t-elle du côté de l’ordre « républicain » ? Non ! Ainsi, la circulaire impérative qui se tourne vers le commandement au lieu de privilégier la simple recommandation administrative, en restant conforme à la procédure coutumière édictée par le principe de la « séparation des pouvoirs » n’a telle pas obligation d’être d’intérêt public et conforme aux prescriptions juridiques desquelles ressortissent les décisions judiciaires ? Comment concevoir alors qu’une circulaire ministérielle puisse obstruer, retarder, anéantir assujettir une décision judiciaire définitive et la faire échapper à sa procédure normale d’exécution judiciaire qui l’assortie d’emblée d’une réquisition judicaire routinière

De la formule de droit international coutumier « le droit des droits » qu’est : «  le président de la république de côte d’ivoire mande et ordonne a tous commissaires de justice « Huissier » a ce qui requis de pourvoir à l’exécution de la présente décision, au procureurs généraux et aux procureurs de la républiques près les tribunaux de première instance d’y tenir, la  main, a tous commandants et officiers de la force publique de prêter main-forte lorsqu’ils en seront légalement requis ».

 

Cette réquisition intégrée dans la décision judiciaire n’est-elle pas suffisante pour bénéficier de l’assistance de la force publique dans l’exécution de la décision qui la transporte. D’autant plus que même un sergent de la Police ivoirienne ou de Gendarmerie ivoirienne, sinon même de l’armée ivoirienne sont bien doté de savoir pour pouvoir apprécier l’importance d’une réquisition, afin d’assistance de la force publique, dont il font partie ? A défaut le parquet « procureur de la république » du tribunal de Céans au besoin de vouloir vérifier la  nécessité absolue de l’assistance de la force publique, ne doit-il pas être le dernier recours ? Ce qui contribuerait à l’efficacité judiciaire. Donc, pourquoi dans une matière sensible qu’est l’exécution des décisions judiciaires devenus définitives doit-t-on confiné tout un département dans les mains d’un parquet général pour avoir l’assistance de la force publique dans l’exécution des décisions judiciaires rendues exécutables ? Et qui concernent surtout des droits réels détenus par des tiers pour lesquelles les décisions interviennent en extrême urgence pour faire cesser des préjudices que subit un tiers et qui s’aggravent de jour en jour ? Des droits réels qu’une circulaire ministérielle n’a aucun pouvoir de droit d’anéantir. D’ailleurs dans notre système un ministre ne peut prendre la décision d’une circulaire impératives qui se situe davantage du côté de la modification procédurale judiciaire, sauf délégation de pouvoir présidentiel admise constitutionnelle, ailleurs cela incombe au premier ministre indépendamment chefs de gouvernement et systémiquement opposable au président de la république.

 

De par le monde, les circulaire qu’elles soient « circulaires impératives ou circulaires interprétatives » ne visent généralement pas les décisions judiciaires devenues définitives « le pouvoir judiciaires libre de conduite en dépend», elles s’adressent généralement aux textes nouveaux, généralement un décret à appliquer. C’est pourquoi les circulaires édictées par une autorité administrative telle un ministre observe un contenu impératif afin de dicter et d’ordonner à l’administration la manière dont elle doit appliquer le texte nouveau ou un décret nouvel ou un droit nouveaux. « Donc, comment appliquer un texte nouveau, un décret nouveau, une loi nouvelle d’accord, mais pas de s’immiscer dans une décision judiciaires devenue définitives». Les circulaires ministérielles ne s’appliquent pas aux décisions judiciaires devenues définitives, qui interviennent en extrême urgence au tour des Droits réels qui portent sur des biens immobiliers et qui sont d’intérêts public et d’ordre public opposables à tous. (Notons que la propriété immobilière confère une plénitude de pouvoirs sur le bien immobilier, lesquels pouvoirs s’incarnent dans ce que l’on appelle le droit réel. Ce droit réel dont est titulaire le propriétaire immobilier est le plus complet de tous. Et consiste à exercer un droit réel, non pas contre une personne, mais sur le bien immobilier. Et cela ne peut être, obstruer, retarder, assujetti, anéanti de non-droit « sans titre, sans qualité et sans le moindre droit », de quelque manière que ce soit). Parce ce que le propriétaire de ce bien est en droit d'en jouir et d'en disposer librement et complètement, sous réserve des limites découlant des droits et des conditions d'exercice fixées par la loi sources unique des décisions judiciaires devenues définitives.

 

Oui, la circulaire impérative n’a de sens régulateur que sauf s’elle vise un texte transmis par une autorité administrative (président de la république, président d’institutions, ministre, recteur, préfet, etc.) aux services placés sous son autorité hiérarchique, voire aux administrés, pour les informer d'une nouveauté législative ou réglementaire conforme normes et procédures coutumières. De par cette visée, elle ne peut et elle ne doit s’immiscer obstruer, retarder, assujettir ou affaiblir, sinon anéanti des décisions judiciaires devenues définitives. Toute circulaire ayant des dispositions à caractère impératif doit se limiter à rappeler ou commenter les textes (lois  décrets), surtout elle ne doit pas créer de règle nouvelle contraire aux déjà prescrit ou coutumière. Ici le principe de droit intransgressible concernant les décisions judiciaires devenues définitives mises sous la coupes d’une circulaire, qui interviennent pourtant en extrême urgence au tour des Droits réels qui portent sur des biens immobiliers et qui sont d’intérêts public et d’ordre public opposables à tous, est la « séparation des pouvoir ». En l’espèce ce principe oblige de par le monde.

 

Ce principe de droit intransgressible de la « séparation des pouvoir » est galvaudé, quand le système mécanique de l’appareil étatique, tourne à un tout permis néo-monarchisme débridé et a une ploutocratie bâtarde naissante. Ou chaque tenant partiel du pouvoir étatique ignore quelle est la limite du champ d’évolution que son poste ou son titre le destine. Et ignore aussi la logique gouvernementale poursuivie, mise à part « je suis et je règne », en ignorant quel est son rôle réel et ses limites précises dans l’architecture gouvernementale ou de la gestion administrative devenue instable et confuse.  Et on n’aboutit dès lors, a la gouvernance étatique et la gestion administrative de la totalité sociale hyper judiciarisé, qui s’immisce dans la conduite des procédures et d’exécution des décisions judiciaires, avec des affaires judiciaires mettant des magistrats sous ordre et pressions du pouvoir exécutif dans l’exerce de leurs pouvoir judiciaire, d’où le tout devient soumis à la politique du pouvoir exécutif « procédure judiciaire politisée et exécution de décisions judiciaires politisée, magistrat sous commandement politique systémique du ministre de la justice démembrement du pouvoir exécutif et le tout devient politique ».

 

D’où  l’incongruité de la gestion des affaires judiciaires politisées, l’intervention de la force publique en soutien aux décisions judiciaires politisée, l’irrationalité de la gestion de la vie sociale et politique judiciarisée, l’inconstance des positions judiciaires politisées, par des circulaires ministérielles qui se détachent lamentablement des grands principes internationaux,  l’épuisement et la dégradation des références historiques politico-judiciaires. Hélas ce qui n’est plus considéré comme un signe de misère, donc vive, la misère de l’expression dérivée d’une gestion administrative déviationniste, l’indigence avérée des actes administratifs, soutenu par des discours creux, déconnectés de la réalité judiciaire-économico-socio-politique, ne sont aussi plus des signes avérés de misère d’action. Hélas ! Tout au contraire elles deviennent des marques de l’authenticité des actes de gestions administratives judiciarisés.  Et le néo-monarchisme débridé et la ploutocratie bâtarde naissante, n’a plus honte de ses catastrophiques actions administratives et de ses échecs répétés. Ils portent ainsi ostensiblement ses fiascos de gestions administratives fièrement en bandoulière. Oui, ses plantages de gestions administratives et sociopolitiques catastrophiques, deviennent ses consécrations. Le tout soutenu par un nihilisme iconoclaste en outrance qui se dédouane des grands principes internationaux coutumiers. Et le peuple souverain ivoirien aux aguets se met à tout redouter et compte dès lors moins dans cette gouvernance avec une gestion admirative foirée. Ou le citoyen peut être bafoué dans ses Droits réels qui portent sur des biens immobiliers et qui sont d’intérêts publics et d’ordre public opposables à tous. D’où un circulaire ministérielle ne peut s’immiscer dans l’exécution d’une décision judiciaire devenue définitive, au motif que le pouvoir exécutif est détenteur de la force publique intervenante dans l’exécution des décisions judiciaires rendus au nom du peuple souverain. L’abracadabrantesque administration et la gestion catastrophique de la côte d’ivoire par le pouvoir Ouattara va perdre la côte d’ivoire devenue un pays de MERDE. Parole de la LC_CRS. Sur ceux citoyens, nous avons Kouma et il y a un Nom dans Affaire, le pouvoir Alassane Ouattara, Pian !!! Voilà ! Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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21 décembre 2022 3 21 /12 /décembre /2022 17:01
Oui, c’est d’une évidence absolue, qu’en participant à l’importe quelle élections, on aide à consolider les élections de façades, dans un pays qui se veut républicain de droits et démocratiques, et en crise socio-politico-démocratique. Et les citoyens en votant dans n’importe quelle fabrique systémique électoral partial, inféodé, et dépendant, d’un pouvoir absolutiste, qui considère la chose publique comme son bien privé, qu’ils pourront, s’affirmeront citoyens libres. Ou qu’ils « citoyens » pèseront davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun.

Oui, c’est d’une évidence absolue, qu’en participant à l’importe quelle élections, on aide à consolider les élections de façades, dans un pays qui se veut républicain de droits et démocratiques, et en crise socio-politico-démocratique. Et les citoyens en votant dans n’importe quelle fabrique systémique électoral partial, inféodé, et dépendant, d’un pouvoir absolutiste, qui considère la chose publique comme son bien privé, qu’ils pourront, s’affirmeront citoyens libres. Ou qu’ils « citoyens » pèseront davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun.

*- Chroniques « Kouma » : « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent… »

On ne peut pas être acteurs ou homme politiques ivoirien et ignorer que la crise sempiternelle que vit la côte d’ivoire est la résultante du dévoiement des principes coutumiers et pratiques universelles démocratiques, et du non-respect du droit universel, au mépris de l’art universel du vivre en commun dans l’égalité. On ne peut pas être acteurs hommes politiques ivoirien et œuvrer ou postuler en éludant que la mère de toute les crises ivoirienne depuis 1999, est incontestablement, les élections souvent calamiteuse, ou souvent une peur bleue d’affronter sa minorité acquise au terme des élections, et surtout des élections truquées sur toutes les lignes, qui s’appuient sur la politisation de l’organisation des élections qui se situe au-dessus de tous, et des élections qui ont pour but d’asseoir la possibilité de l’avènement d’une représentation nationale de grande valeur, qui peut instaurer un climat de confiance et réconcilier le pays avec lui-même et avec le  monde. On ne peut pas parler, de démocratie, d’élection  ivoirienne et oublier que c’est elles qui ont enfantés les crises. Donc, nous y sommes dans la logique que élections ivoirienne = « égal » crise et nous s’y restons à la recherche d’éclairage publique qui peut obvier les élections-crises.

Bon ! Retenons que les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent. Donc, «Music» Rappons dans cette logique le peuple ivoirien mérite son gouvernement d’unilatéralisme autoritaire, qui n'admet jamais s'être trompé, parce que réputé intransigeant. Eh bien oui, depuis 2011, le peuple ivoirien peut-être mérite son gouvernement d’un hybride républicanisme et néo-monarchisme débridé. Avec une gouvernance constamment tempérée, par le capharnaüm kafkaïen socio-juridico-politique à répétition cyclique et souvent rééquilibré par un grand foutoir amoral, immoral, et d’escroquerie morale et intellectuelle dans une dépravation dénaturante de mœurs ataviques sociétales. Sinon disons, mortuaire-ment démocratisé, à souhait et à volonté par la pétaudière des élections truquées. D’où les débris épars et diffus, échappent des gueules cassés des politicards pleins de deniers publics, entrainant morts de citoyens et désolations nationales. Oui, des pétaudières des élections truquées, ou on advient souvent aux votes des morts à des fins d’accaparement de tout le pouvoir d’état. Où, les misérables taux de participation, 4% ou 5%, «référendaire ou présidentielle» deviennent 40% ou 50% par la force d’un gros zéro «pointé» mis derrière les pauvres chiffres unitaires en rajout. Et aujourd’hui s’est visible aux yeux nus que la côte d’ivoire bat toujours la chamade, sous les gravats macabres, et nauséabonds de plus 7000  morts zigouillés sur l’autel de l’acquisition et/ou de la conservation du pouvoir «1999-2022». Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent ».

Ici, ce sinistre antécédent électoral, n’a pas besoin d’aller excavé des fouillis aux odeurs mortuaires ou de consulté les vieux puits grandement osseux, dans toute l’assiette territoriale. Qui malgré eux appellent tous une Amnistie générale référendaire pour la stabilité sociopolitique et la paix socio-intercommunautaire. Avant d’en arriver à résoudre l’impossibilité d’une vraie réconciliation inclusive qui est devenue la règle sociale de la vie en commun. D’où les ordonnances présidentielles déviantes sont destinées à la suppléance exutoire du absolument nécessaire et d’une vrai Amnistie générale référendaire. Ce qui réduit valeurs sociales et mœurs sociétales à la ruine, réduit à la cohabitation mitoyenne de la démocratie fossoyée, des droits bafoués, des libertés piétinées, le tout confiné dans l’obscurantiste peint au couleur rouge du sang. Et gradué a la couleur blanche de la cocaïne. Le tout dans une société de misérabilisme politique, ou les différences qui divisent priment sur les valeurs sociétales universelles, destinées à unir les peuples civilisés et qui enrichissent les nations souveraines. D’où  la damnation à l’enfer c’est pour l’autre dans sa différence et sa particularité, etc. Où, il devient ainsi, illusoire de vouloir installer un Etat de droit ou devient inutilité d’espérer d’une paix sociale, là où derrière une république de façade se cache un hybride républicanisme et un néo-monarchisme débridé, soutenue par un système politique absolutiste délinquant d’un dirigisme économique aveuglé par le pouvoir d’état. Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. «Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent»

Le tout inscrit, dans un système politique Bazarde de gouvernance illisible, résolument tourner vers une logique de monarchie absolue, et installée dans un Brouhaha des chansons inaudible sur le « vivre en ensemble », cette valeur reconnue socialiste, mais galvaudée de son essence et de son acception initiale. C’est une évidence le règne des pouvoirs personnels de par le monde repose sur des chassons exutoires et de diversion. Et nul n’est épargné par ces chansons paravent justificatifs, tous y trouvent leurs comptes dans un engrenage d’obstructions hermétique, «valeur sociale, mœurs sociétales, droits, libertés, organisation sociopolitiques, normes juridiques soumis à la mise à zéro controuvée pour effacer les droit civils et politiques prescrits et totalement consommés, «Koutoubou !» Oui, tous y passent à la trappe des folklores de diversions politiciennes et de l’orchestration des  élucubrations judiciaires jugées honteuse partout dans Monde démocratiques civilisé. C’est pourquoi, un moment donné à la LC_CRS, nous avons espéré de la force Morale de la proclamation des idéaux politiques intransigeants et de l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires. En le  faisant obstinément, la stabilité sociopolitique et la paix sociale était et reste notre but. Donc  la recherche inlassable parfois très ingrate de la paix sociopolitique, est notre crédo et notre sacerdoce, de tous temps. Mais hélas, nous sommes dans une situation où toutes les analyses à cette fin sont condamnées a débouché sur la magouille politicienne au cœur de l’état, ou les affaires généraux sont assujettis aux affaires particulières nombrilistes ou on ne  se fait pas de soucis pour les questions de la gestion paisible de la totalité sociale. Dans une société ivoirienne, sous une mafieuse ploutocratie naissante, d’un régime dirigiste autoritariste, déviant. Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent… »

*- Les crises  sont le tableau de bord des gouvernants, ils perdent le pouvoir, dès qu’ils perdent la confiance du peuple.

Oui, quoi de plus normal, quand on sait de par le monde que le système ploutocratique est le pouvoir par excellence de l’argent. Dieu-Argent, qui trône sur un état sociétal où la richesse matérielle, est le nerf principal des choses, où l’on ne peut rien faire sans être riche, où l’objet principal de toute ambition socio-politico-électorale est de devenir riche, où la capacité de l’homme politique et la moralité sociale de l’homme politique, s’évaluent généralement aux prismes de la richesse et le socle de valeur sociopolitique est confinée à l’aune des fortunes même à la couleur du sang. Oui, ici pas de doute aucun, des porteurs de casseroles endiablés entassés devant des maisons de verres, vous le diront volontiers que la ploutocratie est une idéologie politique sangsue de survie politicarde au service du Fonds monétaire international (FMI), de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), des finances internationales, un est mot des grands usuriers internationaux. Aussi quoi de plus normal, quand on sait de par le monde, que le dirigisme économique « genre Alassanéen » est une doctrine économique d’interventionnisme a tout bout de champs, qui considère importante une emprise régulière sur l’économie étatique dans le but de soumettre le système économique étatique à sa volonté de défenestration économique. Ici la gouvernance par ordonnance présidentielle qui anéanti tout contre-pouvoir devient inévitable. Oui, le pouvoir d’Abidjan qui en fait partie, est politiquement sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne devenue docile à ses errements dans la gestion des affaires même de souveraineté absolu, et à ses travers politiques dans l’ordre du public. Ou en agissant en tant que monarque absolu, il décide seul de tout. La côte d’ivoire s’enfonce du jour au jour dans la loi de la nature, dans une société ploutocratique de jungle ou l’arbitraire à force de loi ou la force matérielle des armes « fusils est Roi. Donc, ce pouvoir ne veut rien entendre autour du bien commun, et de la chose publique y compris les élections. Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent… »

Ici, le pouvoir d’Abidjan a fait le pari du pourrissement de la situation sociopolitique, la règle édictée par ce pouvoir néo-monarchiste et absolutiste, est de ne rien cédé, et que ses piranhas et ses sangsues de la ploutocratie naissante doivent être au bout des veines nourricières de la côte d’ivoire, pour servir la table des convives nocturnes du pouvoir d’Abidjan. Et cela, quel que soit le prix à payer par la totalité sociale ivoirienne, pourtant estampillée souveraine détenteur ultime du pouvoir d’état. Donc, ici, l’affirmation de Montesquieu qui veut que, les peuples ont le gouvernement qu’ils méritent et reprise plus tard par Joseph de Maistre sous une autre forme « Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite», vient à point nommé dans la situation que vit la totalité sociale ivoirienne. Retenons donc, que les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent. Puisque pour se doter du gouvernement qu'elle désire toute nation doit absolument conquérir son indépendance au détriment d'un non-droit, d’un républicanisme monarchiste, d’un dirigisme économique et d’une culture socialement dénaturante, et qui s'efforce d'être aussi politiquement admise comme normale. Avec des hommes qui sont capables de revendiquer ponctuellement leurs droits inaliénables à  traverser les flammes de l’enfer, poussé par une conviction qu’aucune arme matérielle ne peut détruire au terme d’une détermination légitime digne de peuple libre et souverain. Oui, le peuple ivoirien doit savoir que, quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Donc ce principe et/ou cette maxime édicte qu’un paralytique veuille courir, et qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous deux resteront en place statique. Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent»

C’est pourquoi, nous à la LC_CRS, soucieux de la régulation sociopolitique, avons pris  comme gyroscope, Richard Neustadt, un grand expert des présidences américaines, qui observait en 1960 dans un livre qui est devenu par la suite la bible de Jack KENNEDY « que le président des États Unis ne possède qu’un seul pouvoir, le pouvoir de persuader ». Donc, persuader, dissuader, convaincre, le souverain peuple ivoirien, est notre But. Ceci est d’autant plus évident que, l'Autorité est la capacité de se faire obéir avec le consentement des gouvernés qui obéissent. Cette autorité vient d'en haut, et l’obéissance du souverain par la confiance vient d'en bas. Donc, l’autorité ? Oui ! Mais avec le consentement et l’obéissance libre du souverain peuple, et avec pour mission unique d’être le porte-parole de la totalité sociale souveraine a l’intérieur et a l’extérieur de la totalité sociale souveraine. Donc autrement dit : être porte-parole du peuple pendant une échéance prescrite par le souverain peuple, et de transporter obligatoirement une voix qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que la volonté générale veut, et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut, et d’être considéré comme procuré et chargé de parler ou de gouverner au nom de la volonté générale. C’est ainsi que dans les sociétés civilisées, dès lors que le gouvernement perd la confiance de son souverain peuple, il est condamné à perdre le pouvoir qui émane de lui tôt ou tard. Ainsi, les situations sociopolitiques s’affirment comme le tableau de bord des gouvernants. Bravo ! « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent… »

*- Le non-droit manifeste et les jeux truqués, ne peuvent produire la réelle stabilité politique et la vraie paix sociale

Donc, dans cette logique de contrôle continu, les manipulations du peuple par la propagande où les mensonges pour diversion des gouvernants, sont rendus inopérants par les éclaireurs et les éveilleurs de consciences, qui œuvrent à l'élévation du niveau de la compréhension politico-socio-culturel des citoyens et la participation à la détermination des positions de l'opposition au pouvoir établi. En définitive, l’acception de la phrase « « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent », est que toute nation devrait parvenir à avoir le gouvernement qu'elle mérite, sauf une dépendance extérieure insurmontable. Donc, en politique la capacité de persuader est une arme infiniment plus efficace que les armes matérielles (fusil), de l’arbitraire dictatorial, qui peut trôner sur un pays par la contrainte. Donc, disons que, faire la politique ce n’est pas de céder à la panique de la perte électorale légale du pouvoir, face à l’adversité du pluralisme politico-démocratique et électorale inclusive, ou/et de scellé des compromissions électorales mafieuses d’hypocondriaques passéistes d’assoiffés de pouvoirs absolus, avec les organismes électoraux afin de trucage systématique. Oui faire la politique ce n’est pas de s’attaquer aux principes démocratiques ou de remettre en cause la démocratie pluraliste du fait de la défense d’intérêts égoïstes et égocentriques, en déambulant et divaguant dans les droits et dans les règles. Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent… »

Donc, redisons-le, nous, nous sommes donc, à la LC_CRS, efforcé a notre corps défendant, d’essayer, « à la suite de l’expert Américain Richard Neustadt » de persuader, dissuader, convaincre, l’ultime détenteur du pouvoir d’Etat, qu’est le peuple souverain, qu’en en allant aux élections avec une organisation électorale d’encliquetage ou tout le fonctionnement systémique repose sur la politique de domination par la force matérielle, que certes quelques personnes seront élus, et pourront bénéficier des avantages qui sied à la fonction d’élue, mais qui ne pourront rien changer dans la vie sociopolitiques ivoiriennes. Et que surtout aller a des élections aux prix de combien de jeunes  en nouveau ? De combien d’enfants sans pères et/ou de mères en nouveau ? Oui, dans un système électoral politisé, partial, érigé en organisme de combat d’intérêt politique, avec des juges des élections au service d’un système et des partis politiques participants aux élections, «joueurs et arbitres», ne peuvent rien changé, dans le véritable sens d’une évolution vers une vie socio-politico-démocratique paisible respectueuse des droits et des libertés. Oui, le citoyen en votant dans ce système doublement acteur «joueur et Arbitre», ne pourra rien régulé dans l’organisation sociale du pays. Disons encore Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan « Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent… »

Oui, c’est d’une évidence absolue, qu’en participant à l’importe quelle élections, on aide à consolider les élections de façades, dans un pays qui se veut républicain de droits et démocratiques, et en crise socio-politico-démocratique, partant électorale. Et les citoyens en votant dans n’importe quelle fabrique systémique électoral partial, inféodé, et dépendant, d’un pouvoir absolutiste, qui considère ostensiblement, la chose publique comme son bien privé, qu’ils pourront, s’affirmeront citoyens libres. Ou qu’ils « citoyens » pèseront davantage sur les choix de société, qu’ils veulent vivre en commun. C'est-à-dire une société harmonieuse, une société cohérente, une société stable, une société paisible, dans le respect mutuel et dans l’exaltation de la diversité solidaire, qui est leur rêve commun de toujours. Non !  Et c’est un devoir absolu de notre légitime sacerdoce à la LC_CRS, mouvement d’utilité citoyenne. Oui, le non-droit, ne peut produire du droit réel, et les jeux truqués, ne peuvent produire la réelle stabilité politique et la vraie paix socialeRessassons Bravo! Au pouvoir d’Abidjan. «Les nations ont les gouvernements qu’ils méritent»

*- Malgré tout, au terme de cette « Kouma », nous ne retirons Rien de ci-dessous répéter, redit, et ressasser.

Oui ! Qu’est-ce que la main du pouvoir exécutif, avec un chef futur candidat à sa propre succession et celles de ses démembrement institutionnel « ministres, préfets de régions et préfets départements » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains des partis politiques nés pour être partisans dans la conquête du pouvoir et futurs candidats « accompagnateurs désignés du système actuel » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains d’une dite société civile colorée « pas à l’Orange-Blanc-Vert » et de surcroit qui ne comprend pas les gestes de la main-dieu, viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains du temple de la vérité, qui ressorte du contradictoire «magistrature et barreaux» viennent faire dans le système d’organisations électorale au mépris de leurs religion, qu’est de dire le droit et faire germer la vérité dans une situation de banditisme politico-électorale, dont les derniers mots sur les fraudes et trucages des vulgaires fraudeurs et des bandits endurcis, revient déjà à une juridiction constitutionnelle ? Ici, c’est une constance indéniable, sauf à vouloir s’auto-leurrer et s’auto-tromper, comme toujours dans une politique des yeux fermés expressément à la manière de l’autriche; que tant que ces bras armés de partisanneries, de défenses des intérêts partidaires particuliers « joueurs et arbitres », demeureront dans l’organisme électoral, il demeurera un lieu de confrontations glauques, d’antagonismes visqueux, de luttes roublards et de diversions nombrilistes, donc un lieu de division dissolvantes, de conflits d’intérêts insolubles, qui enfantera toujours des morts et des crises comme à chaque élection depuis 2011.d’àu les « Kouma » Tocsin de la LC_CRS. Bon ! Disons toujours, Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent.

Donc, l’organisme de gestion électorale ivoirienne doit être inscrit au cœur de l’APOLITISME, dans le respect des valeurs électorales universelles coutumières et des principes des juridico-démocratiques, affirmés par les instruments internationaux. Qui encouragent et protègent, la tenue d’élections propres. Et de par le monde, ce système est adapté au contexte sociopolitique de chaque pays. Pour la côte d’ivoire en quête de paix, qui vit une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, et qui est en Mal du vivre en commun d’égalité dans le respect des normes juridiques de régulations sociales, c’est l’APOLITISME ABSOLUE de l’organisme électorale Autonome. Il faut absolument un système d’organisation sociopolitique adapté à la situation sociopolitique ivoirienne et un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, et capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. Toujours Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent.

Donc: Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale d’un pays « 30 Millions d’habitants » *-5- Qui fera une identification claire des électeurs légaux, en proscrivant les acquisitions frauduleuses de la nationalités et du droit de votes*-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent Tous du suffrage universel direct et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent.

Et si nous voulons que la réconciliation nationale au-delà des chansons de convenances politiques, soit la renonciation au désir de vengeance d’après guerres, conflit ou crise, par l’acceptation du pardon, donc de l’abandon des graves blessures du passé, cela passe donc par la vérité obligatoirement. Et de couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire.  Parce qu’il y a AMNISTIE légale «droit public pénal » qui s’impose à tous dans une nation souveraine et amnistie soumise à la censure du peuple par simple contestation publique, qui sort de son champ coutumier, pour rejoindre illégalement sans fondement de droits réel, le champ du droit de grâce présidentielle, certes qui exonère de l’expiation pénitentiaire des crimes mais n’absout pas les personnes concernées. Parce qu’il ne tient qu’à la volonté présidentielle et du bon vouloir de son pouvoir du moment. Les lois d’Amnisties ressortissantes du droit international coutumier sont à un moindre degré Législative et Référendaire qui ne peut être anéantie que par un notre referendum initié et voté par ce même, ce qui n’est pas une posture de peuple libre et souverain, sauf récidives ou tentative de récidiver les mêmes faits Amnistiés. Oui, la paix pour la côte d’ivoire et en côte d’ivoire dépend de l’abandon de soi au profit de la nation. Encore et toujours, Bravo ! Au pouvoir d’Abidjan. Les peuples ont les gouvernements qu’ils méritent. Mais ici, le gouvernement du peuple, par le peuple pour le peuple est mis en congé et la démocratie représentative appelle désespérément, la fataliste démocratie directe ivoirienne. Et Vive le pouvoir d’Alassane Ouattara ! Sur ceux citoyens ivoiriens, nous avons Kouma en « RAP » n’en déplaise ! Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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10 décembre 2022 6 10 /12 /décembre /2022 04:30
Lepetitfils : La situation sociopolitique ivoirienne constitue un défi politique, il y a défi. Et ce défi lancé, est lancé au chainon générationnel le plus fragile, parce qu’épars, diffuse sous tutelle, faiseuse de COUILLONNADDE qu’est la génération des enfants de l’indépendance devant la postérité et face à l’histoire. EST-ELLE DEVENUE UNE PAUVRE COUILLONNE ? QUI NE SAIT PAS COMMENT ON FAIT PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ? Donc qu’il faut former ? Dit-t-on ? Donc, Morpion ? Cornichon ? Dégonflée ? Patate ? Même un peu imbécile ? Qui peut pas comprendre ? Voilà ! C’est ça !

Lepetitfils : La situation sociopolitique ivoirienne constitue un défi politique, il y a défi. Et ce défi lancé, est lancé au chainon générationnel le plus fragile, parce qu’épars, diffuse sous tutelle, faiseuse de COUILLONNADDE qu’est la génération des enfants de l’indépendance devant la postérité et face à l’histoire. EST-ELLE DEVENUE UNE PAUVRE COUILLONNE ? QUI NE SAIT PAS COMMENT ON FAIT PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE ? Donc qu’il faut former ? Dit-t-on ? Donc, Morpion ? Cornichon ? Dégonflée ? Patate ? Même un peu imbécile ? Qui peut pas comprendre ? Voilà ! C’est ça !

*- Chroniques « Kouma » : Le décor d’un évènement funeste et mortifère, est planté en nouveau.

Oui, les ping-pongs ont recommencé, et iront jusqu’à une nouvelle crise, « je me suis fait enrôlé, disent les uns et il s’est fait enrôlé pour rien, disent les autres». Et à la maitresse des jeux d’ajouter péremptoirement : « Le principe c’est que quand on est sur la liste électorale et qu’on a perdu les droits d’être sur cette liste et qu’il y a une révision de la liste électorale on ne vient pas pour se faire enrôlé en nouveau. Ce qui convient de faire c’est que le concerné se présente au contentieux pour apporter les documents qui attestent qu’il peut à nouveau figurer sur cette liste électorale. C’est en ce moment que la personne est prise en compte si elle apporte la preuve qu’elle doit figurer sur la liste électorale.» Oui, c’est, bien tirer le tocsin du serpent à sonnette, bien tirer pour laisse la morsure au front pour 2025. Ou règle édictée est que : « Toute personne condamnée pour un délit ou un crime à une privation de ses droits civiques est rayée des listes révisées » dit-t-on. Donc, le paravent justificatif semble bien solide, une norme juridiques controuvée, bien élaborer en conscience et à dessein politicienne qu’est l’article 4 du code électoral qui prescrit péremptoirement:  « Ne sont pas électeurs les individus frappés d’incapacité ou d’indignité notamment : - les individus condamnés pour crime ; - les individus condamnés à une peine d’emprisonnement sans sursis pour vol, escroquerie, abus de confiance, détournement de deniers publics, faux et usage de faux, corruption et trafic d’influence, attentats aux mœurs ; - les faillis non réhabilités ; - les individus en état de contumace ; - les interdits ; - les individus auxquels les tribunaux ont interdit le droit de vote et, plus généralement, ceux pour lesquels les lois ont édicté cette interdiction…. » Et Consolidé par -*- ARTICLE 5 du même code électoral qui prescrit: « La qualité d’électeur est constatée par l’inscription sur une liste électorale. Cette inscription est de droit ». Le cocktail explosif est là ! Positivement légalisé. Parce que nul n’est électeur, s’il ne peut par conséquence pas être candidats.

Bon ! C’est connu de tous, les normes qui régissent les activités civiles et politiques, normes positives ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Donc elles ne sont pas souvent forcément du droit ou conforme au droit inaliénable universel. Parce qu’elles « normes positives » s’affirment souvent manifestement et ostensiblement comme la volonté abstraite, d’un homme politique ou d’un groupe d’hommes politiques, soucieux d’arrivée à ses fins de dominations, par le biais du rétrécissement des voies d’accès au pouvoir public électif. Avec unique objectif de faire légitimer par des législateurs intéressés, leurs desseins dynastiques condescendants et de domination sociopolitique, et avec comme appui les institutions étatiques vermoulues, au mépris des intérêts du peuple souverain assujettis, et en grande partie ignorante, et pour le renforcement du pouvoir exécutif qui est par essence l’autre figure du despotisme. Et C’est ce que, le monde du droit reproche souvent aux normes positives Africaines et souvent sous d’autres cieux. Puisqu’en élaborant une norme positive, on doit tenir compte que, la fonction primaire d’un système juridique, qui régis les droits civils et politiques, surtout électoral, est intégrative. Un tel système  juridique doit servir à atténuer les éléments potentiels de conflits sociaux, et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux, afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. Puisqu’en effet, c’est seulement avec l’acceptation de tous, dans un système de normes juridiques d’intérêts généraux, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. « Nous le tenons des maitres de la science juridique universelle, au temps de l’article 35 de la constitution de 2000 ».Mais hélas ! Nous allons en nouveaux lamentablement vers une future crise due aux normes anomiques et organisations sociopolitiques démodés et surtout l’obstination politicienne, d’un carriérisme arriviste pathologique et aveugle.

*- Les jeux de ping-pongs avec un ballon de braise-de-feu dans un champ de pailles sèches inflammables continues.

Donc, le décor d’un évènement funeste et mortifère, est lamentablement planté pour en nouveau cabriolé sur un terrain macabre, glauque et visqueux, appeler l’élection présidentielle de 2025, sous l’orchestration obscurantiste, inaudible et inintelligible d’une organisation doublement acteur « joueuse et arbitre ». Et surtout aux sons des élucubrations judiciaires devenues coutumières pour la côte d’ivoire. Oui, un évènement sociopolitique qui devait être une fête démocratique et électorale, et qui n’appelle pourtant que l’expression de la souveraineté populaire, tend encore vers hécatombe. Nous, nous attardons peut-être inutilement ici sur ceci, mais, c’est parce que nous allons vers une nouvelle crise plus grave, qu’il faut anticiper le diagnostic et voir si on peut obvier le péril, avant qu’il ne soit trop tard demai. Obvier de nouveaux morts électoraux est notre sacerdoce. Bon ! Nous en convenons qu’une nation au terme de son organisation sociopolitique doit pouvoir en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais de reformes symboliques des normes de son substrat social d’intérêt général  aux nombres desquelles figure la révision périodique des normes politiques pour s’adapter à l’évolution du temps et du monde réel, mais cela doit être dédouanée de récupération politique, qui est très dangereuse, parce que, porteur de germes de conflits de toutes sortes. Donc, doit échapper aux hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix, surtout pour échoir, à l’aspiration profonde du peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Même si la règle universelle édictée depuis la nuit des temps par les nations civilisées au terme du droit international coutumier est que, les républiques ne sont pas statiques et figées, mais il est impératif qu’elles évoluent à l’aune des droits et aux prismes des libertés acquises.

Oui, nous allons vers une nouvelle crise électorale, la goupille explosive des intérêts politiques sont ostensiblement visible, parce que, le but de tout parti politique sérieux est de conquérir le pouvoir d’état, et tout parti politique digne de ce Nom, pour assurer son existence dans le temps est obligé d’avoir un vrai présidentiable candidat dans son rang « un cheval gagnant qui portera l’espoir partidaire commun » ; Et si celui-ci, «candidat» se trouve opposé à un obstacle illégal dans son couloir de compétition à la représentation nationale, c’est le parti et ses sympathisants qui entrent en extase pour pouvoir lever l’obstacle illégal. Et c’est légitime en démocratie et en politique, sans cela, on est un parti politiques appoint aux autres partis politiques, et on n’est une coquille vide, qui roule dans le mur, et c’est la casse assurer pour les épaves partidaires. D’où crise latent dénoncer ici. Dénoncer est notre sacerdoce. Oui, la paix n'étant pas l'absence de guerre, ni le contraire de la guerre. Ne surtout pas réduire la vraie paix à l'absence de guerre, ce serait réduire la paix à une vision vide de sens, passive, incomplète, incohérente et lointaine. Le champ de la paix sociale comme comportement est bien  plus vaste. Oui, disons-le, les mêmes antagonismes insidieux pour la conquête du pouvoir et la confiscation électorale continue. Les jeux de ping-pongs avec un ballon de braise-de-feu dans un champ de pailles sèches inflammables continues, le thermomètre sociopolitique se fait versatile, oscillante.

*- Agir pour rebâtir tous ensemble la nation ivoirienne sur des piliers solides de droits, de libertés, de démocraties.

 Le thermomètre socio-politico-électoral est actuellement goupillé et peut exploser à tout moment, expressément ou par inadvertance de manipulation. Oui, de par le monde, il est de notoriété publique que, les difficultés que les diverses communautés ethniques d’une nation éprouvent souvent à vivre pacifiquement ensemble sont dues souvent aux multiples tensions attisés par la pratique de politiques politiciennes des hommes politiques et souvent  dues à des illusions personnelles des dirigeants du pouvoir étatique ou des hommes politiques carriéristes arrivistes. Oui, en un mot, la grandeur d’âme et la largesse d’esprit autour des affaires publiques étatiques ont déserté la côte d’ivoire. Oui, on ne peut pas être grand d’esprit et entretenir sciemment une crise sociale pour des intérêts mafieux, affairistes, égoïstes, égocentriques et obscurantistes. Être grand en politique c’est soutenir une grande cause sociétale et politique, débarrassée des questions d’Amour-propre et de la défense d’intérêt particulier. Donc être grand, dans une société humaine en crise aigüe, se mesure réellement à l’aune de la  capacité à faire passer les problèmes généraux sociétaux avant les problèmes particuliers et claniques, donc se mesure réellement au prisme de  la défendre de l’intérêt général de la totalité sociale en transcendant son propre être. Donc,  la grandeur d’un homme politique n’est pas dans le bien matériel volé dans les caisses publiques de l’état et pillé dans les ressources naturelles souveraines non-renouvelable de la nation.

Et surtout la grandeur d’un homme politique n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans ses meetings politiques soutenus par des brigades d’acclamations mobilisées par des frais tirés dans les caisses publiques de l’état,  ou même dans sa capacité a entrainé tous les nihilistes, tous les iconoclastes, tous les ripoux politiques du pays dans son sillage et rémunéré dans le bien public étatique. Mais la grandeur d’un homme politique est plutôt dans ses actions politiques capables d’orienter le peuple dans la paix sociale pérenne, dans la cohésion communautaire et dans l’harmonie sociale avec l’anticipation dans le temps des perspectives d’un avenir meilleur, commun et partagé. Donc être grand n’est pas la recherche éperdue d’entretenir sciemment une brouille nombriliste politicienne d’intérêt politique égoïste, égocentrique, a fin de préservé les intérêts indus. Où autour des questions de la représentation nationale, les individus s’entre-déchirent et n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement. Alors que la grandeur politique se rapporte à des sujets d’intérêts publics, se rapporte à la vie harmonieuse en société et à l’avenir de la nation et à la conduite de cette nation à sa juste place dans le concert des nations et vers le progrès social qui ne laisse personne au bord de la route développement commun et humain

Mais hélas ! La côte d’ivoire avec une crise toujours armée contre la totalité sociale, ira résolument a une nouvelle crise. Parce que les hommes politiques ivoiriens et le pouvoir ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leurs dessein mafieux, parce que réputés intransigeants autour de la chose publique et dans l’ordre du public. Avec un système politique devenu aveugle, sourd et fou, qui proscrit toutes reformes sérieuses du système de l’organisation socio-politico-électorale, a fin de pacifié la gestion socio-étatique, parce que cela hypothèquera l’‘assurance de la conservation du pouvoir. Donc, dans sa compréhension systémique, la soumission seigneuriale face à la force matérielle et l’absence de guerre  équivaut à la réconciliation nationale et la paix sociale. Le tout soutenu par des discours creux de diversions, déconnecté de la réalité sociopolitique par les politiques de tous bords et les actes quotidiens de gouvernances étatiques. Or une réconciliation nationale vraie, et la paix sociale sont incompatibles avec l’entretien sciemment par les roublardises de diversions politiciennes sur la crise, dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée. Pour pouvoir rebâtir tous ensemble la nation ivoirienne sur les piliers solides de droits, de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche, en 2025 ou même s’écrouler à jamais dans le temps, « dénaturée, désocialisée, dépravée, assujettie et acculturée» devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisées, digne de ce Nom.

*- La paix comme mouton de sacrifice dans une côte d’ivoire plongée dans le désordre au couleur du sang humain.

Dès lors, il est impératif, d’œuvrer pour que la réconciliation nationale sincère soit possible, pour pouvoir arrêter le cycle infernal de la violence en politique depuis 1999, et orchestrée par des hommes politiques. Ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne. Ici, c’est ce qui constitue incontestablement un défi politique, il y a défi. Oui, le défi lancé par la situation sociopolitique actuelle, est lancé au chainon générationnel le plus fragile, parce qu’épars, diffuse sous tutelle, faiseuse de COUILLONNADDE qu’est la génération des enfants de l’indépendance devant la postérité et face à l’histoire. Une génération qui NE SAIT PAS COMMENT ON FAIT PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, DONC QU’IL FAUT QU’ON LA FORME DIT-T-ON. Peut-être jugé, Morpion ! Cornichon ! Dégonflée ! Patate ! Voilà ! Même, un peu imbécile aussi, qui ne peut pas comprendre. Parce que c’est ça seulement qui, ne change pas. Mais hélas ! Malgré-nous, nous faisant partie de cette génération, nous savons, qu’il n’y a pas d’extraordinaire en politique ivoirienne, connaissant depuis 1994, à la perfection millimétré la sphère politique ivoirienne. Ou, nous avons vu et étudié la marche satanique du Bon Dieu et  du Diable nébuleux, qui se sont donner les mains au nom d’une solidarité de lutte pour avancer en claudiquant vers un destin commun qu’ils appelaient la conquête du pouvoir, pour arriver à la forfaiture du 24 décembre 1999, premier coup d’état au pays de Félix Houphouët Boigny, et après pour arriver au grand tournant qu’est la rébellion des 18-19 septembre 2002.

Et ensuite chemin faisant, nous avons vu et étudié le Bon Dieu et le Grand Satan, magistral cette fois, qui ont changé de pas de marche, mas toujours diaboliques, boitant sinistrement vers un autre destin qu’ils ont aimé à miroité de développement économique, pour arriver à la guerre postélectorale, au terme de laquelle des desseins ont été assouvis, dans les décombres de la nation ivoirienne, qui ont couvert plus de 7000 Morts. Enfin de compte pour laisser le citoyen au bord de la route du progrès social, du développement économique et la paix sociale pérenne. Et de finir dans une marche obscurantiste d’ensemble cynique sur un tapis glauque, visqueux et satanique aujourd’hui. Ou Chaque homme politique ivoirien est prêt à liquider son voisin dans les hallalis propagandistes des baffons comme des cowboys Américano-mexicain. « Je t’aime à genou Moi », «  je te hais debout Toi », « je te zigouille si tu me fais de l’ombre» « Messieurs les choses sont déjà partagés, tout pour Moi et Rien pour vous. OK ! ». Donc, nous avons vu venir cette monstruosité politique de versatilité mercantiliste en pacte maléfique et satanique, avec comme support le misérabilisme politique endiablée, enchantée, nombriliste, alimentaire, de prostitution, avec la paix sociopolitique comme mouton de sacrifice, dans une côte d’ivoire plongée dans le désordre, et désormais frappé de la couleur quotidienne du sang humain versée. Et nous vivrons logiquement les conséquences, des inconséquences de cette marche macabre, que nous avons vue et observée impuissamment depuis 1994, en marche funeste, en pas latent, et ensuite en pas endiablé, pour terminer en pas démoniaques et cyclique dans le temps.

*- Une nation enfermée dans un carcan de certitudes bétonnées des intérêts particuliers dans une logique de jungle.

Et c’est cette faiseuse de COUILLONNADE qu’est la génération des enfants d’indépendance qui paieront la note salée comme depuis le 24 décembre 1999. Nous savons que pour d’autre peut être magicien politique ? Mais pas du tout divin. Nous savons seulement que la diversion roublard pour arriver à ses fins était, et est toujours obligé de se dévoilé au bout du rouleau. Et que toute persistance éternelle dans ce jeu de dupe serait suicidaire pour les faiseurs de COUILLONNADE de la génération des enfants d’indépendance, avec elle une Côte d’ivoire  confinée dans une situation de politique nombriliste parce que prise en otage par une camarilla de politicards mafieux. Ou elle vit une situation sociopolitique obscurantiste, délétère, de désordre, de tension, d’incertitude et de désespérance. D’où chacun est fouetté dans son instinct de survie sociopolitique et même physique. Puisque la catastrophe n’est plus loin dans les esprits, dans une société devenue prédatrice de jungle. Ou l’autre n’est plus un frère ou même un ami, mais un ennemi à abattre. Où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, dans son substrat sociale, dans ses droits civils et politiques, dans ses libertés fondamentales, dans ses droits inaliénables, dans une côte d’ivoire devenue de tous les chaos sociopolitiques. Et avec une organisation du système démocratique, socio-politico-électorale, subordonnée à des institutions vermoulues des normes juridiques anomiques imposées par des gens sûr de leurs faits dans une société mafieuse affairiste ou l’argent n’a plus d’odeur.

 Le tout soutenu dans un monstrueux brouhaha propagandiste des brigades d’acclamations tout bornées, par l’escroquerie morale et intellectuelle, pour pouvoir s’accaparer le tout état et les biens publics, dans la perspective des affrontements sociopolitiques programmés et cycliques. Ils assujettissent ainsi les valeurs de la république, la morale sociétale et les mœurs. Les citoyens décontenancés, assistent impuissant à ce spectacle honteux d’une situation sociopolitique de crises sciemment cultivée et marqué du sceau indélébile du fleuve de sang versé. Et de la haine pour les autres dont la fin semble ne pas être pour demain. Depuis 2011, avons-nous toujours dit, il n’est guère déchéance électorale, minime soit-elle sans qu’un événement vient rappeler et aggraver encore la situation sociale délétère et de désespérance, qui déchire la nation confisquée entre les mains des politiques utopistes, qui ne désespèrent pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne, pour le plier à leurs seules exigences égocentriques et claniques. La côte d’ivoire, est enfermer dans une logique politique de jungle et dans un carcan de certitudes bétonnées, de protections des intérêts particuliers, où les slogans exutoires tambourinés, étouffe la moindre prise en compte des analyses critiques, objectives, expertes, doctes, esthètes, et visant la réelle anticipation dans le temps d’un avenir paisible, dans le concert impitoyables des nations civilisées du monde réelle, qui n’ont pas d’Ami.

*- il faut nous départir de la barbarie violente de l’obscurantisme électoral d’un système démocratique confisqué.

Oui, nous dédouané de la politique propagandiste et de la cooptation nihiliste et iconoclaste, pour nous à la légitimité citoyenne « LC-CRS, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée », en pilonnant chaque fois à occasion « demain, oui demain, sans faute demain, on sera demain », nous espérons alors d’une génération, celle des enfants de l’indépendance, elle s’est-elle résignée à suivre le courant d’eau ? Le sens du vent ? Dans une situation sociopolitique dont les réalités et la vérité d’hier et d’aujourd’hui ne seront pas forcement celles de demain, dont elle est la première victime désignée, dans le présent comme dans le futur. Oui, nous espérons alors d’une génération, celle des enfants de l’indépendance en partie martyrs, donc, formée et forgée dans les combats politiques discursifs sans violence physique. Et éduquée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, fabriquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public, orienté vers la sagesse de Houphouët Boigny, par les travers politiques prédateurs de jungles et ses faits chaotiques résultants des faits, de 1999 - 2002 - 2011 - 2020 – et suivants avec plus de 7000 Morts de citoyens zigouillés. A-t-elle opté pour la reddition ? Pour la capitulation ? Et même pour le reniement ? Elle se serait-elle longtemps endormi par les Boucs pour enfin de compte sentir le Bouc ?  Nous ne pouvons croire, parce que nous sommes de cette génération « Cabri-Mort » « Les éléphanteaux-d’HOUPHOUET », et pourtant l’alignement devient très inquiétant. « Même les labradors impénitents du chenil d’Houphouët Boigny redouté hier parce que dressés a l’action politique directe et synergique et souvent intempestivement tenu par les colliers par le maitre du chenil se font attentistes-observateurs». Hélas ! Là où la reddition des comptes sociopolitiques s’impose, et là où la Décomposition/Recomposition politique d’intérêt général, et d’ordre social,  est le seul postulat qui s’impose.

Oui, demander des comptes pour pouvoir, voir le bout du tunnel du chaos social sempiternel et atteindre tous ensemble la paix sociopolitique Houphouët-ienne, pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, n’est pas faire des règlements de comptes politiques, source des foyers de tensions sociales. D’où le devoir absolu pour cette génération, que nous ne pouvons espérer ou admettre démissionnaire, celle des enfants de l’indépendance, est de transcender les clivages politiques, pour demander des comptes clairs sur les questions touchant à la paix sociopolitique, à l’harmonie communautaire, à la souveraineté nationale. Afin d'envisager consensuelle-ment, tous ensemble cotes-a-côtes, coudes-a-coudes, mains dans les mains, dans la paix, de tourner la page sombre, pour éviter l’aliénation, l’assujettissement de la souveraineté nationale, désormais mise en marche par des politiques nombrilistes qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leurs dessein politiques. Donc, s’impose d’elle-même ici, la Décomposition/Recomposition politique salvatrice à cette génération pour avoir une côte d’ivoire harmonieuse débarrassée des scories passéistes d’implantations. Une côte d’ivoire libérée de la barbarie violente de l’obscurantisme politique et électoral et d’un système démocratique confisqué par le mensonge d’état.

Une côte d’ivoire où le citoyen libre, enfin libre, totalement libre, n’a plus que les principes internationaux, le  droit universel, et les règles coutumières librement agencées dans nos normes de régulations sociopolitiques préétablies, pour limite. Une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire. Une côte d’ivoire de la différence acceptée par tous, une côte d’ivoire de la variance, Une côte d’ivoire qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Une côte d’ivoire ouverte sur le monde. Une côte d’ivoire restaurée dans son pacifisme atavique de régulation sociale consensuelle. Une côte d’ivoire ou il n’y aura ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni petits terrains électoraux barricadés, ni privilège exclusif dans toute l’assiette territoriale nationale de Séguéla a Adzopé, et de ni tabou dans toute la sphère publique nationale, «d’Odienné à Abidjan, de San-Pedro à Bouna». Une côte d’ivoire restaurée dans son Houphouët-isme doctrinal avec la totale démasquassions de l’anti-Houphouët-ismes, « démasqué », Aujourd’hui incrusté dans des groupements politiques, attrape-tout et biens logé sous la couverture du nom Houphouetistes, pourtant avéré Nihilistes et Iconoclastes, Renégats et Arrivistes, devant l’éternité du nombrilisme politique, inscrit sur le registre des fossoyeurs de la démocratie.

Une côte d’ivoire débarrassée des scories passéistes politicardes, qui ne préparent pas l’avenir mais la met en danger par toutes sortes de travers politico-démocratiques, la totalité sociale est devant un précipice abyssal, qu’est l’élection présidentielle de 2025, qui sent déjà lamentablement la putride l’hécatombe politico-électorale à venir.  Donc, une côte d’ivoire qui obligerait ses hommes politiques à s’inscrire dans la logique rigoriste du respect des droits et des libertés, du respect des règles démocrates, source d’une société de paix pérenne. Et seront astreint au devoir de rendre la société plus intelligible, plus compréhensible, assigné dans le rôle d’éclaireur de la totalité sociale, qu’ils seront. Une côte d’ivoire qui saura apprécier le vrai bonheur, qu’elle se serait reconstruite pour ne pas avoir à la reperdre. Une côte d’ivoire, ou le peuple souverain restaurer dans ses droits inaliénables et ses  libertés fondamentales serait capable d’agir alors, fort de sa souveraineté pleine et entière, autrement que par procuration élective ou d’adhésion politico-idéologique, oui, libre avec l’entièreté de son libre arbre. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix sociopolitique Houphouët-ienne est à ce prix. Ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocratiques et dans une société de paix pérenne. Et c’est maintenant, demain ce serait trop tard. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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27 novembre 2022 7 27 /11 /novembre /2022 16:31
Lepetitfils : Retenons citoyens ! Que seule la vérité historique qui ressortissent des grands principes internationaux, et des grandes pratiques sociopolitiques et électorales universelles coutumières, peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise sempiternelles, a support électoral, alimenter par l’insouciance, inconscience, et à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle. « Parole de la légitimité citoyenne, (LC_CRS) mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée ».

Lepetitfils : Retenons citoyens ! Que seule la vérité historique qui ressortissent des grands principes internationaux, et des grandes pratiques sociopolitiques et électorales universelles coutumières, peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise sempiternelles, a support électoral, alimenter par l’insouciance, inconscience, et à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle. « Parole de la légitimité citoyenne, (LC_CRS) mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et Houphouët-iste enragée ».

*- Chroniques « Kouma » : Bien que dégouté question de dire un mot sur l’objet dégoutant.

D’emblée soulignons ici que : Si le certificat de nationalité a bien sa place dans la chaine de documents susceptibles d’aboutir à l’obtention d’une pièce d’identité, il n’est pour autant pas une pièce justifiant une identité officiel, qui permet à un citoyen de justifier de son identité. Et partant pour avoir le droit à l‘inscription sur les listes électorales et de votes aux élections. Seules la carte d'identité « gratuite sous d’autre cieux » ou le passeport officiel étatique, permet de justifier une identité, mais aussi une nationalité. Le certificat de nationalité est un acte judiciaire provisoire, qui ouvre sur une voie de recours devant les Juridictions SI ? Il ne peut donc pas servir de pièce attestant une identité officielle, qui permet à un citoyen de justifier de son identité. Non ! « Mouk » certificat de nationalité comme pièce ? Jamais de la vie … L‘inscription sur les listes électorales est un acte éminemment politique et civil « ressortissant des droit civils et politique » donc il faut absolument une pièce justifiant l’identité officiel du citoyen pour s’inscrire sur les listes électorales. Sauf si une demande officielle de pièces d’identité qui remplit les conditions requises, précède l‘inscription sur les listes électorales afin de voté aux élections. Retenons que la côte d’ivoire est frapper par une crise sociopolitique et électorale certes, mais aussi s’affaisse sous le poids d’une une crise identitaire.

Mais aujourd’hui le fondement même de cette carte nationale d’identité ivoirienne laisse a désiré, avec une confuse assise juridique de code de nationalité, au terme duquel, même les descendants de l'explorateur portugais Soeiro Da Costa 1469 sont juridiquement ivoirien au vue de ce code de la nationalité. Et c’est mérité dans la logique de ce bidonnage juridique sur la nationalité ivoirienne, pour celui qui a donné à nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro. Un Code de nationalité ivoirienne rétroactif : « Chapitre II : Détermination des bénéficiaires Article 2 : Bénéficiant des dispositions de la présente loi, les personnes entrant dans l’une des catégories ci-après : les personnes nées en Côte d’Ivoire de parents étrangers et âgées de moins de vingt et ans révolus à la date du 20 décembre 1961 ; l les personnes ayant leur résidence habituelle sans interruption en Côte d’Ivoire antérieurement au 07 août 1960 et leurs enfants nés en Côte d’Ivoire ; l les personnes nées en Côte d’Ivoire entre le 20 décembre 1961 et le 25 janvier 1973 de parents étrangers et leurs enfants. » Autant dire que la nationalité ivoirienne n’existait pas jusqu'à ce code de nationalité. Comme dit plus haut, même, la descendance de l'explorateur portugais Soeiro da Costa 1469 doit être  ivoirien, lui qui a donner a nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro, çà serait mérité au vu du bidonnage sur la nationalité ivoirienne.

Ce Bidonnage sur la nationalité ivoirienne, frappe le socle existentiel de la société ivoirienne et le substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire ce qui fait la souveraineté nationale et ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples est mise en péril. Oui, en convenons-en et en consentons-en, citoyen ! et nous le disons parce que, « Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand les grands principes internationaux sont coffrés, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel. Or seule la vérité historique qui ressortissent des grands principes internationaux, des pratiques sociopolitiques et électorales universelles coutumières, peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise sempiternelles a support électoral, insouciante et inconsciente, et à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle. « Parole de la légitimité citoyenne, (LC_CRS) mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste assumée ». 

Bon ! Continuons sur l’actualité présente qu’est l’enrôlement sur les listes électorale et disons que, le certificat de nationalité n’est pas une pièce justifiant une identité officielle qui permet à un citoyen de justifier de son identité. Et que, l’état a l’obligation de pourvoir aux frais d’établissement des pièces nationales d’identités de ses ressortissants quand cela devient d’intérêt public, ou d’intérêt général. Oui, l’état, qui se trouve incapable de pourvoir aux frais d’établissement des pièces nationales d’identités à un grand nombre incalculables de ses ressortissants nécessiteux, manifeste une carence implicite de souveraineté étatique. Parce que la citoyenneté se trouve assujettie à l’argent, au lieu du droit. Donc c’est un défaut manifeste du fonctionnement de l’état, que d’omettre un grand nombre incalculables de ses ressortissants dans ses processus électoraux de souveraineté absolue, dont le socle est l’acte posé par l’ensemble des citoyens ou l’agissement synergique de la totalité sociale souveraine. «Le pouvoir au peuple ou  le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple». D’Abraham Lincoln et à la suite de la Grèce antique.

Donc pour des raisons lucratives et pécuniaires, être privé d'une carte d'identité nationale, d'un passeport, donc, de la possibilité de voter, ou de jouir de tous les autres droits qui en dépendent  est de la spoliation d’un droit inaliénable pour des raisons de caisses étatiques fondée sur l’argent à amasser qui priment ainsi sur un droit inaliénable. L’état a l’obligation de pourvoir aux frais d’établissement des pièces nationales d’identités de ses ressortissants quand cela devient d’intérêt public, ou d’intérêt général, c’est-à-dire comme déjà dit, si cela concerne un nombre très important de citoyens dont l’action civile et politique se trouve subordonnée à la possession d’une pièce d’identité qui rendrait service à la totalité sociale. Oui si l’état agit au Nom de ses ressortissants en s’endettant pour faire des routes, pour faire des ponts, pour construire des écoles, des universités, et des hôpitaux, etc. L’état doit pouvoir s’endetté pour pourvoir aux frais des pièces d’identités, qui attestent de la nationalité de ses ressortissants aux Noms desquels il s’endette. «Les cartes d’identités officielles sont-elles payantes dans nombres de pays du monde ? La suppression, du droit de timbre sur la carte d’identité du 1er septembre 1998, est-elle toujours en cours en France ?». Bon ! Face à un grand nombre, l’intérêt public l’impose.

Bon ! Allons à l’enrôlement massif dit-t-on, ou les voix citoyennes serviront d’aval aux trucages. Dans une légale Opération d’inondation Electorale, dans une mafieuse fraude d’Inondation de nationalité à fin électorale. La commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral et le mode de scrutins  électoral, les supports des votes citoyens, disposent de toutes les élections. Il faut le dire de façon clair et net ici. Dans l’avenir l’opposition ivoirienne toutes tendances confondues, ne peut aucunement espérer avoir une majorité d’élus ou être capable de reprendre le pouvoir d’état au terme de toutes les élections à venir, entamées aujourd’hui avec l’enrôlement des citoyens électeurs. Cette opposition ivoirienne, suiviste est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers un anéantissement totale. Oui, disons-le net, au mépris des pratiques politiciennes, la côte d’ivoire, d’élection a élections mal ficelées, qui ne rassurent personne, entre les mains d’une politique nombrilisme, Amoral, est comme un homme emporter par la violence de la puissance du courant de l’eau du fleuve, «Bâ-woulé» qui se noie petit-a-petit, tout en faisant des mimiques désespérées vers la gueule du prédateur crocodile. Et surtout qui s’essaie intempestivement de rassurer les observateurs, en faisant des grimaces désespéré, comme tout allait bien, qu’il est un grand nageur. Alors que le prédateur crocodile imperturbable attend son festin sadique, pervers et macabre. 

De par le monde, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politicienne. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur processus électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Parce dans leurs pays, leurs institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, et par conséquents, qui s’affranchissent des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. En se soumettant au principe universel qui veut que les pays souverain alignent leur cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Ici il s’agit du droit inaliénable des peuples de disposé d’eux-mêmes en élisant leurs représentations nationales aux termes des concours bien organisé et propres.

Ici ce droit inaliénable des peuples, passe par l’intégrité du processus électorale, qui garantit neutralité, impartialité, transparente. Et qui est assise sur un ensemble de conditions basées sur les principes universels démocratiques, qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes, qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, avec un organisme électorale Autonome, Apolitique qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. Donc qui instaure, la confiance entre tous les acteurs politiques et dans chaque étape du processus électoral. Donc, l’intégrité du processus électorale, englobe la volonté de concevoir et d’aligner le cadre juridique des élections ainsi que les règles et les pratiques électorales avec  les grands principes internationaux et les engagements internationaux des états en matière des droits internationaux coutumiers « le droit des droits ».

*- Répétons ce qu’il faut pour la côte d’ivoire d’Aujourd’hui.

*- Donc répétons avant de s’arrête : Dans un processus électoral qui se situe en droit au-dessus tout « institutions étatiques, partis politiques, élus ou enquête d’élections » parce que ressortissant irréfragable du droit universel international coutumier, Qu’est-ce que la main du pouvoir exécutif, avec un chef certainement futur candidat à sa propre succession et celles de ses démembrement institutionnel « ministres, préfets de régions et préfets départements » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains des partis politiques nés pour être partisans dans la conquête du pouvoir et futurs candidats « accompagnateurs désignés du système actuel » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains d’une dite société civile colorée « pas à l’Orange-Blanc-Vert » et de surcroit qui ne comprend pas les gestes de la main-dieu, viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains du temple de la vérité, qui ressorte du contradictoire «magistrature et barreaux» viennent faire dans le système d’organisations électorale au mépris de leurs religion, qu’est de dire le droit et faire germer la vérité dans une situation de banditisme politico-électorale, dont les derniers mots sur les fraudes et trucages des vulgaires fraudeurs et des bandits endurcis, revient déjà à une juridiction constitutionnelle ? Ici, c’est une constance indéniable que, tant que ces bras armés de partisanneries, de défenses des intérêts partidaires particuliers « joueurs et arbitres », demeureront dans l’organisme électoral, il demeurera un lieu de confrontations glauques, d’antagonismes visqueux, de luttes roublards et nombrilistes, donc un lieu de division dissolvantes, de conflits d’intérêts politiciens insolubles.

Répétons-nous, il faut absolument un système d’organisation sociopolitique adapté à la situation sociopolitique ivoirienne et un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, des pouvoirs institutionnels étatiques et capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. Et aussi, si nous voulons que la réconciliation nationale soit la renonciation au désir de vengeance d’après guerres, conflit ou crise, par l’acceptation du pardon, donc de l’abandon des graves blessures du passé, cela passe donc par la vérité obligatoirement. Et Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire Parce qu’il y a AMNISTIE légale «droit public pénal » qui s’impose à tous dans une nation souveraine et amnistie qui sort de son champ coutumier, pour rejoindre le champ du droit de grâce présidentielle  et qui ne tient qu’à la volonté d’une seule personne et son pouvoir d’état du moment. Les lois d’Amnisties ressortissantes du droit international coutumier sont Législative et Référendaire. Et la paix pour la côte d’ivoire et en côte d’ivoire dépend de l’abandon de soi au profit de la nation. Il s’agit pour nous bien que dégouté de dire un mot sur l’objet dégoutant. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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20 novembre 2022 7 20 /11 /novembre /2022 05:03
Lepetitfils : Les acteurs politiques ivoiriens, ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, nos jeux de ping-pong d’aujourd’hui avec des morts à l’arrivée, nos dribles de roublardises en n’écoutant l’autre pour pouvoir lui administré un contre-pied loufoque, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain, sur lesquels la postérité ne nous pardonnera jamais demain. Il faut dans nos actions politiques que, nous fassions preuve d'une intégrité et d'une objectivité intellectuelle telles, pour que cette crise s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations de justice juridique et sociale.

Lepetitfils : Les acteurs politiques ivoiriens, ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, nos jeux de ping-pong d’aujourd’hui avec des morts à l’arrivée, nos dribles de roublardises en n’écoutant l’autre pour pouvoir lui administré un contre-pied loufoque, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain, sur lesquels la postérité ne nous pardonnera jamais demain. Il faut dans nos actions politiques que, nous fassions preuve d'une intégrité et d'une objectivité intellectuelle telles, pour que cette crise s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations de justice juridique et sociale.

*- Chronique « Kouma: Nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête.

Oui ici, sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant de nouveaux orages cycliques et des tempêtes catastrophiques peut-être avant 2025 ? Mais sûrement en 2025, qui n’épargneront guère personne en côte d’ivoire. «La roublardise n’est pas politique, le mensonge n’est pas politique» Oui, c’est un constat irréfragable au vu de la situation sociopolitique délétère sur la CEI, de désordre anomique dans l’organisation socio-électorale. Hélas ! La parole risque d’être donnée en nouveau aux armes, «fusils ou Marfa» comme depuis 2011. Donc, c’est parce que, nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête, et que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine, que tout forcing unilatéraliste est devenu crime contre la paix et la sécurité ivoirienne, qu’il faut le consensus dans l’ordre du public, au tour de la chose. Oui, la tension sociale ne cesse de monter et les muscles partisans sont manifestement bandés « moi pas bouge ! Bon ! Moi, aussi ne cèdera pas cette fois ! Et la CEI a des germes de conflits futurs ! » Ce qui signifie en clair que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière nous, qu’elle est à nos côté évoluant vers d’autres catastrophe et chaos social. Bon ! Malgré tout, on ira aux élections locales en attendant une autre hécatombe, une autre catastrophe en 2025. C’est du classique en politique politicienne, que de rependre la boue, obliger les honnêtes citoyens et tous les passants à y patauger et ensuite s’écrier d’une voie sournoise, à l’endroit de tout ce monde salie, en disant regardez les, ces gens-là, comment ils sont sales allez tous crever en enfer. Oui, les ébauches de cette catastrophe sont là.

Or, les principes internationaux, les instruments internationaux et les pratiques coutumières internationales exigent que le cadre des élections démocratique doive pouvoir rassurer les peuples « politiques et citoyens ». Le Conseil de l’Europe a toujours soutenu que les peuples ont le droit de décider de leurs avenir et d’élire librement leurs  dirigeants « librement ici signifie, élire ses dirigeant dans le consensus, dans le respect des principes internationaux de transparences et conformes aux normes internationales ». Et le président Américain d’alors, Barack Obama quant a lui estimait que les dirigeants doivent tenir compte des revendications et manifestations de leurs peuples et doivent prêter attention à ce que réclament les gens « composante sociale » et prendre des décisions ordonnées, constructives et sérieuses. Que l'avenir politique d’un  pays se décide librement sans entraves de quelque sorte que ce soit par son peuple souverain. Donc le peuple ivoirien a l’instar du monde civilisé doit pouvoir décider de son avenir et d’élire proprement ses dirigeants conformément aux normes de régulations sociopolitiques consensuelles. 

Donc, ici en côte d’ivoire, nous sommes toujours perdus sur le terrain des intérêts politiques et de la défense des droits fondamentaux, des droits civils et politiques, du droit à la participation de la vie de sa cité, qui suppose le consensus dans l’ordre électorale qui éminemment l’ordre du public, qui échappe à la gouvernance d’un pouvoir quel qu’il soit. Oui la CEI nouvelle formule controuvée, est la manifestation continue du choix de l’option perverse du pourrissement de la situation sociopolitique en côte d’ivoire. Elle est le choix de la radicalisation autour du système électoral. Se faisant elle « CEI », faute de pouvoir rassurer tout le monde « politique et citoyen », s’affirme comme le choix du désordre social, de l’instabilité politique, de la déchirure sociale, de la politique d’aveuglement expresse de l’Autriche, avec ses affrontements meurtriers. Donc, Ressassons-le, notre crise sociopolitique est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect des grands principes internationaux en matière électorale, et le non-respect du droit universel de gestions électorales coutumières, et de l’incapables des politiques ivoiriens de s’adapter à l’art du vivre civilisé, dans le respect des droits inaliénables des peuples à disposer d’eux-mêmes. Donc, nous devons chercher à créer tous ensemble une société du vivre en commun paisible, ou l’ivoirien pourrait faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé, d’être embastillé, sinon être arrêté. Et cela mettrait du coup un terme à une crise, qui n’a pu se concevoir et se faire que dans la seule hypothèse ou notre pays est devenu l’ombre de lui-même, en déviant de la voie royale tracée par Félix Houphouët Boigny vers la paix, par la faute le carriériste pathologique primaire, cynique, et obscurantiste des hommes politique ivoiriens. 

Oui, depuis 2011, il ne se passe guère d’échéance démocratique prescrite, sans que des élections dramatiques viennent troubler l’ordre social ivoirien, et aggraver encore la crise froide, mais brûlante, qui déchire de plus en plus fréquemment les tissus de la cohésion sociale nationale, socle de l’état républicain de droit, et partant le substrat de la république. Et pourtant, il faut le redire, personne au monde ne viendra arrêter le cycle des élections a problèmes à la place des ivoiriens, ou ne viendra faire du miracle pour l’ivoirien. C’est pourquoi, nous restons convaincus qu’un jour viendra, qui enfantera des élections propres en côte d’ivoire. Donc où nous pourrions ouvrir nos yeux citoyens, les yeux de la totalité sociale, sur un autre soleil, sur cette terre  que nous ont légué nos chers ancêtres. Et ce jour-là, nous chanterons tous un véritable hymne en l’honneur des citoyens tombés, aux termes des élections depuis 2010-2011 sur l’autel de acquisition du pouvoir d’état, et dans la logique de sa conservation à tout prix, Ces jeunes citoyens, fiers ivoiriens, véritables fers de lance de la nation ivoirienne sont tombés, sur le champs d’honneur au mépris d‘une bonne organisation démocratique et électorale qui rassure tout le monde et régis par des normes de régulations sociopolitiques consensuelles. « Or Houphouët Boigny l’a réussi pendant 40 ans dans l’ordre et la paix ».

« Kouma » parole de désespoir, Non ! Mais parole d’Esperance pour demain-meilleur, Oui ! L’espoir est en Homme.

Oui, solidifié par la philosophie Houphouët-ienne, ce jour-là, qui enfantera des élections propres en côte d’ivoire, nous célèbrerons l’avènement de ce grand jour tous ensemble au rythme des « tam-tam-parleurs » de nos ancêtres, et battre des mains aux sons des tambours et frapper le sol du pied aux sons des trompètes, pour dire qu’on en avait marre et assez. Les élections se joueront à partir de ce jour, aux sons de la musique Zaouli dans toute sa cohérence, dans toute son harmonie, dans toute sa transparence visible, lisible et intelligible du musicien organisme électorale qui impose de lui-même les rythmes et cadences aux danseurs politiques. L’olympiade démocratique aurait ainsi retrouvé son champ réel. Mais citoyen ! En attendant ce jour-là, tout comme les vaillants peuples des pays en quêtent inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitiques et de la stabilité sociale, nous devons continuer encore à Kouma et à Ré-Kouman, c’est notre sacerdoce. Oui, Nous devons œuvrer à faire existe ce  jour-là, citoyen ! Cela pour les jeunes morts électoraux, partout dans le pays sur l’autel de l’acquisition du pouvoir et dans la logique de sa conservation à tout prix. Ce jour à venir, le postulat de reddition de comptes s’imposera de lui-même à tous et à tous les niveaux. Pour qu’un peuple ivoirien nouveau et soucieux du bien-être démocratique et électorale de son peuple fait jour par la conjugaison synergique des actions citoyennes et par le devoir citoyen. Puisqu’il est d’une constance absolue de par le monde, que les sociétés Humaines progressent souvent non pas de façon linéaire, mais très souvent par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre et ses conséquences. Ce jour, se lèvera et ce peuple nouveau naitra contre vent et  marrée, bon an mal an, car dans nos cœurs de de citoyens ivoiriens, l’espérance Houphouët-ienne est profondément gravée. « Parole de désespoir, NON ! Mais parole d’Esperance a un avenir meilleur, OUI ! L’espoir est en Homme. NOUS ESPERONS DES PRINCIPES DEMOCRATIQUES COUTUMIERES DU MONDE UNIVERSEL ET SURTOUT DE L’UNIVERSALISME DE LEURS DROIT. Donc, en attendant l’Aurore de ce jour salvateur, nous devons continuer de Kouma, et de nous battre, en tenant compte que la recherche inlassable de la stabilité sociopolitique et de paix sociale est très souvent INGRATE. Dans une société dénaturée, mercantiliste, affairiste, magouillas et avide.

Oui, notre soucie de toujours demeure et est devenue insoluble, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociopolitique sans lesquels toute politique développementale est vouée à l’échec, et la volonté unanime d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, dans une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père fondateur de la côte d’ivoire Felix Houphouët Boigny, sont Hélas ! Mille fois Hélas ! Devenues pour le moment une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché, mais inatteignable pour notre pays. Dans lequel une mutation sociale d’irruption imprévue, non-contrôlée, non-maitrisée, non-conforme au calendrier d’agencement sociétale du père fondateur, et orchestrée par une politique carriériste aveugle à fragiliser notre système démocratique et électorale, en lieu et place de sa consolidation systémique, qui pouvaient témoigner de sa bonne santé et du dynamisme de l’organisation dans la société ivoirienne. Une mutation sociale d’irruption imprévue qui  engendre la création/formation des segmentations dans la corps social, et la création intéressée des compartiments d’intérêts politique personnels, le montages des murs diviseurs dans la totalité sociale. Cette nouvelle « donne »  ou tendance à affaiblit la cohésion sociopolitique de la nation une et indivisible, à dénature l’état de droit et la notion d’une société démocratique. Nous y sommes,  désormais sont devenus des valeurs, la politique music «mamaya, coumbé ou djagbawra», le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent n’a plus d’odeur dans la vie sociale, et la dépravation des mœurs sociétales est ostensiblement portée par des pratiques importées. Les ivoirien, hier solidaire à toutes épreuves sont désormais aujourd’hui, tous tomber dans l’apologie des différences, de toutes sortes. Or, le lien de coexistence social, est politique et diplomatique, ou chacun doit être reconnu dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, et voir ses griefs sociétaux soldé dans le consensus, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Ceci est notre but au terme de nos Kouma.

En clair, ce que nous voulons, si nous pouvons, c’est apporté de droit et par devoir au citoyen a la société a laquelle nous devons tout sans interruption, sans parachutage, apporté humblement à notre nation ivoirienne et peut-être à l’humanité par la culture de non-violence et de paix Houphouët ienne. Pour qu’on puisse Gouverner dans notre pays dans la paix sociale et avec l’obéissance des citoyens gouvernés sans faire de morts cyclique et pour qu’on puisse servir désintéressement la société à laquelle nous sommes redevables.  Donc nous nous de efforçons au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et nous oublier pour la côte d’ivoire, en dénoncer la dilution de la politique étatique dans les affaires mafieuses électorales et dans la gestion des affaires publiques étatiques, la dislocation de la société commune par la division pour régner, la segmentation communautaire ou par affinité ethno-tribale pour entretenir la crise sociale à dessein avec des  petites brouilles politiciennes d’intérêts égoïstes, égocentriques et compromissoires a fin de préservé les intérêts indus. D’où les individus s’entre-déchirent autour des intérêts politiques égoïstes égocentriques et mafieux. Des individus qui n’envisagent le combat politique, le débat démocratique et les élections pluralistes, que sous la forme d'une guerre civile opposant des armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement, a la guerre comme à la guerre. Donc, point de consensus dans l’ordre du public, point de dialogue autour de la chose publique, dons point d’organisation sociopolitiques fiables. A la LC_CRS nous sommes fièrement pauvres et Pauvre-type, est notre médaille préférée, puisque, cela ne compte que dans le panurgisme politique moutonnier. N’en déplaise aux fichus ploutocrates nouveaux en côte d’ivoire. Mais malgré tout  contre nous on commandite les vols avec effractions jusqu’à la bibliothèque « des livres péniblement acquit plus de douze millions 12 000 000 F » durant toute une vie au mépris souvent des besoins naturel de notre ventre (manger). Parait-il que cela fait partie de la nouvelle politique ivoirienne et s’appelle fermé la bouche de quelqu’un en le privant de sources incontestable de savoir. Quelle honte ! Pour la politique, noble Art par excellence.

Bon ! Qu’est-ce que la main du pouvoir exécutif, avec un chef certainement futur candidat à sa propre succession et celles de ses démembrement institutionnel « ministres, préfets de régions et préfets départements » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains des partis politiques nés pour être partisans dans la conquête du pouvoir et futurs candidats « accompagnateurs désignés du système actuel » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains d’une dite société civile colorée « pas a l’Orange-Blanc-Vert » et de surcroit qui ne comprend pas les gestes de la main-dieu, viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains du temple de la vérité, qui ressorte du contradictoire «magistrature et barreaux» viennent faire dans le système d’organisations électorale au mépris de leurs religion, qu’est de dire le droit et faire germer la vérité dans une situation de banditisme politico-électorale, dont les derniers mots sur les fraudes et trucages des vulgaires fraudeurs et des bandits endurcis, revient déjà à une juridiction constitutionnelle ? Ici, c’est une constance indéniable, sauf à vouloir s’auto-leurrer et s’auto-tromper, comme toujours dans une politique des yeux fermés expressément à la manière de l’autriche; que tant que ces bras armés de partisanneries, de défenses des intérêts partidaires particuliers « joueurs et arbitres », demeureront dans l’organisme électoral, il demeurera un lieu de confrontations glauques, d’antagonismes visqueux, de luttes roublards et nombrilistes, donc un lieu de division dissolvantes, de conflits d’intérêts insolubles, qui enfantera toujours des morts et des crises comme à chaque élection depuis 2011.donc les « Kouma » Tocsin intempestive de la LC_CRS.

Donc, l’organisme de gestion électorale ivoirienne doit être inscrit au cœur de l’APOLITISME, dans le respect des valeurs électorales universelles coutumières et des principes des juridico-émocratiques, affirmés par les instruments internationaux. Qui encouragent et protègent, la tenue d’élections propres. Et de par le monde, ce système est adapté au contexte sociopolitique de chaque pays. Pour la côte d’ivoire en quête de paix, qui vit une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, et qui est en Mal du vivre en commun d’égalité dans le respect des normes juridiques de régulations sociales, c’est l’APOLITISME ABSOLUE de l’organisme électorale Autonome. Il faut absolument un système d’organisation sociopolitique adapté à la situation sociopolitique ivoirienne et un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. 

Donc: Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale d’un pays « 30 Millions d’habitants » *-5- Qui fera une identification claire des électeurs légaux, en proscrivant les acquisitions frauduleuses de la nationalités et du droit de votes*-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent Tous du suffrage universel direct et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc.

Et si nous voulons que la réconciliation nationale au-delà des chansons de convenances politiques, soit la renonciation au désir de vengeance d’après guerres, conflit ou crise, par l’acceptation du pardon, donc de l’abandon des graves blessures du passé, cela passe donc par la vérité obligatoirement. Et Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de Oui au moins.  Parce qu’il y a AMNISTIE légale «droit public pénal » qui s’impose à tous dans une nation souveraine et amnistie qui sort de son champ coutumier, pour rejoindre le champ du droit de grâce présidentielle  et qui ne tient qu’à la volonté d’une seule personne et son pouvoir d’état du moment. Les lois d’Amnisties ressortissantes du droit international coutumier sont Législative et Référendaire. Et la paix pour la côte d’ivoire et en côte d’ivoire dépend de l’abandon de soi au profit de la nation.

Les acteurs politiques ivoiriens, ne doivent jamais oublier que, les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques, nos jeux de ping-pong d’aujourd’hui, avec des morts à l’arrivée, nos dribles de roublardises en n’écoutant l’autre pour pouvoir lui administré un contre-pied loufoque, sont ceux-là mêmes sur lesquels l'Histoire nous jugera demain, sur lesquels la postérité ne nous pardonnera jamais demain. Il faut dans nos actions sociopolitiques que, nous fassions preuve d'une intégrité et d'une objectivité intellectuelle telles, pour que cette crise s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations de justice juridique et sociale en côte d’ivoire. Oui, il y a des agissements dans l’arène politico-électorale ivoirienne, qui dénotent, non seulement de la trahison du peuple ivoirien, de la traitrise à l’égard de Félix  Houphouët  Boigny, du reniement de soi, du ridicule, mais surtout la bassesse des ambitions perverses. En ce sens que ces agissements sont porteurs de péril, pour leurs auteurs dans l’avenir et pour la nation toute entière, qu’ils dirigent ou veulent diriger aujourd’hui. Le danger réel est-là. Donc sur ceux citoyens ! Nous, on n’a Kouma, malgré-nous. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA routinier de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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