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5 décembre 2021 7 05 /12 /décembre /2021 13:57
Lepetitfils : Le vrai problème pour l’Afrique est que, tant que les citoyens ordinaires seront mal gouvernés parce que leurs États sombrent dans l’obscurantisme du chaos social sempiternel où les pouvoirs d’État virent à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, l’Africain ne pourra pas profiter de la richesse et des retombées de l’organisation sociopolitique de la société Africaine. Oui, Bien que popularisant dans la masse Africaine et électoralement payant, le panafricanisme n’est pas la solution à tout, l’anticolonialisme non plus. L’Afrique a besoin de réalisme politique.

Lepetitfils : Le vrai problème pour l’Afrique est que, tant que les citoyens ordinaires seront mal gouvernés parce que leurs États sombrent dans l’obscurantisme du chaos social sempiternel où les pouvoirs d’État virent à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, l’Africain ne pourra pas profiter de la richesse et des retombées de l’organisation sociopolitique de la société Africaine. Oui, Bien que popularisant dans la masse Africaine et électoralement payant, le panafricanisme n’est pas la solution à tout, l’anticolonialisme non plus. L’Afrique a besoin de réalisme politique.

*- RETROVISEUR : «A lire ou relire pour savoir obvier les écueils de demain».

*- Depuis les indépendances les colonisateurs viennent défendre l’Afrique contre des sauvageries Africaines.

Oui, le panafricanisme qui ne réussit pas à l’Afrique, à cause des enjeux économiques et politiques, entres Africains et les intérêts internationaux de par le monde, qui n’ont pas d’Amis, mais soumis à la loi du plus fort, demeure pourtant le meilleur fonds de commerce politique pour les hommes politiques Africains et pour la grande masse populaire Africaine. Bon! Reconnaissons-le le panafricanisme ouvert sur le monde, l’union politique dans le respect des droits et principes de réciprocités internationales, dans l’union fédératrice des forces Africaines solidaires et synergiques autours des enjeux de l’unification des destinées économico-sociopolitiques Africaines telle que, les États-Unis d’Afrique forte, solidaire et prospère, peut être une solution pour l’Afrique. Mais le panafricanisme repoussoir et aveugle est démodé et vermoulu. Bon ! Nous sommes d’accord que l’Afrique ne doit pas être toujours à la recherche d’éternelle nouvelle puissance de tutelle même en Asie. Oui, nous sommes d’accord que l’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations civilisées. Mais un pays Africain n’ira nulle part, sans une collaboration étroite d’intérêt réciproque avec sa puissance colonisatrice. L’Afrique n’évoluera que par ses liens politico-économiques très bien entretenus avec son ex-colonisateur. Une collaboration, non pas comme colonie éternelle, mais comme partenaire privilégié indéracinable, avec des nouveaux rapports économico-sociopolitique discutés et convenus, de nouveaux liens de coopérations solidifiés. C’est à ce prix qu’à moins de trente «30» Ans d’indépendance, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a pu avoir son miracle économique ivoirien et son progrès social pour tous,  qu’avec cette politique d’acceptation réciproque et de discutions avec son ex-colonisateur, la France du GL DE GAULLE, «la mère patrie».

D’où la France officielle et la côte d’ivoire officielle, assis tous deux à la même table, on pouvait s’écrier en disant, « on nous a trop volé » sans qu’aucune crise diplomatique n’en résulte.  Cela n’est possible qu’avec des liens sa nuances, ou tout est discutable, sans tabou et sans procès permanent de la colonisation qui a produit aussi des dividendes. Aucune nouvelle collaboration avec l’extérieure, n’apportera quoi que ce soit à un pays Africain, plus que sa puissance ex-colonisatrice. Il suffit de regarder l’Aube des indépendances Africaines ou certains dirigeants soucieux du devenir de leur peuple, sont tombés dans le piège du procès discursif permanent de la colonisation. Il a été ainsi donné en théâtre a constaté de Bamako, Accra, Conakry, et partout en Afrique ex-colonisée, de voir des intellectuels Africains, tourné le dos à leurs puissances colonisatrices, ensuite enseigné et transplanté les valeurs du panafricanisme non-délimité et proche du socialisme Russe dans leurs pays. Mais peut-on dire aujourd’hui qu’ils sont arrivés à un progrès ? En dehors de la formation des citoyens prolétariens anticolonialistes et antiélitistes, Non !  Le seul destin promis à ces colonies Africaines par les politiques déserteurs de la ligne de leurs colonisateurs, consistait à suivre le réveil des masses du prolétariat, pour la constitution d’une potentielle force d’appui révolutionnaire de panafricanisme. Ce prolétariat inintelligible et inintelligent, n'a eu aucune destinée meilleure en Afrique. Et la colonie française qui a pratiqué cette politique révolutionnaire de panafricanisme à l’extrême, dans sa phase hyperactive, est le Mali de Modibo Keita, qui s’est tourné vers l’URSS, avec la création de sa monnaie le franc Malien décroché du franc CFA.

*- L’Afrique a d’abord besoin de stabilité sociopolitique dédouanée de toute emprise idéologique ou religieuse.

Oui, disons-le, le panafricanisme endurcis, l’anticolonialiste hermétique, ne servira jamais l’Afrique, l’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés avec l’Afrique comme théâtre d’opération ne servira pas l’Afrique, désormais entre les mains des dragons d’Asie. Pour que le bateau Afrique du progrès social intégral prend la route vers les lumières du développement durable, l’Afrique a d’abord besoin de stabilité sociopolitique dédouanée de toute emprise politique ou religieuse, elle a besoin de paix pérenne avec l’acceptation des différences quelles qu’elles soient. Ainsi en Afrique, le développement trouverait son terreau fertile de progrès avec l’être Humain au centre de tout. Et l’Afrique doit se méfier de l’imbrication habile ou de l’interconnexion mafieuse de la religion et de la politique. Dans la gestion de «l’état-Nation», le rapport de force entre la politique religieuse et la politique laïque du pouvoir étatique, ne profite qu’aux petits malins délinquants escrocs moraux et intellectuels. Oui, c’est une exigence de l’escroquerie morale et intellectuelle, que de composer avec la croyance libre et la mentalité docile du peuple gouverné. En cherchant, non pas de servir le peuple, mais plutôt l’asservir, pour se servir dans les deniers. L’Anticolonialisme enchanté et le panafricanisme repoussoir, excellent souvent vers le même but. Et le panurgisme culturel est conforme à cette prétention d’escrocs notoires, qui prennent les dogmes comme appuis sociopolitique.

La politique Religieuse et la politique universelle étatique, ne vont pas ensemble, leurs rafistolage conduit au chaos sempiternel, jusqu’à ce qu’une détruise l’autre dans les décombres sociétaux, ainsi offert à la voracité des vautours. Quant au panafricanisme incompris des indépendances, il y a  le grand Mali de Modibo Keita, qui avait décroché son franc Malien au franc CFA, par Africanisme anticolonial. Enfin de compte, face à la réalité politique, il a ré-arrimé son francs Malien dévalué de 50%, au franc CFA. Et pire dans la nuit du 18 au 19 novembre 1968, arriva ce qui était prévisible, quand le peuple est décontenancé par une vision politique, un putsch, « le premier » au Mali. Un putsch qui sonnant la Fin d’une Ambition qui était pourtant dans le réel. Et ses successeurs ont été contraint d’entrés dans ledit rang néocolonialiste du CFA parrainé par le colonisateur. Bon ! Aujourd’hui nous entendons les échos d’un ECO arrivant, souhaitons que ça ne donne pas des échos panafricanistes anticoloniaux jusqu’à terre. Même si, l’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations. Un pays Africain, n’ira nulle part sans avec  la collaboration soutenue, les rapports d’intérêts vus et revus avec sa puissance colonisatrice Main dans la Main.

*- Le panafricanisme est-il une conséquence d’une fréquentation de la théorie marxiste et des activistes marxistes ?

Pour le Ghana, de l’Aube des indépendances, disons que, ce noble pays, sous l’autorité de la couronne d’Angleterre, au sein du Commonwealth, 1960 est l’année de son passage au statut de république, Kwame Nkrumah en devenait le président. Avec le projet de construction d’un Ghana panafricaniste et socialiste, appelé à être un fer de lance de la décolonisation intégrale de l’Afrique, et de la révolution Africaine. Kwame Nkrumah était dans le vrai et le concret, mais les intérêts internationaux étaient plus forts que ses Abritions légitimes. Donc, Kwame Nkrumah, Militant et intellectuel de très haut niveau anticolonialiste, s’est voulu, partisan de la révolution panafricaniste en Afrique. En devenant l’idéologue incontesté d’une émancipation Africaine du colonialisme et du néocolonialisme. Cet qui n’est autre chose que, la conséquence d’une fréquentation assidue par Nkrumah de la théorie marxiste des activistes marxistes. Dans la juste raison, il était fermement opposé à l’idée de la prétendue mission civilisatrice de la colonisation par les colons blancs en Afrique. Une colonisation civilisatrice, taxée d’entreprise de dénaturation de la culture négro-africaine authentique et traditionnelle. Kwame Nkrumah, véhiculait donc, l’idéologie du «consciencisme» socialiste et panafricanisme anticolonial, qu’est une adaptation des principes socialistes aux données socioculturelles Africaines. D’où la répugnance du mot «esclavage» offrait la recette populiste escomptée.

Ce qui dessinait l’Afrique, comme prisonnière du néocolonialisme assujettissant, assis sur une forme de domination et de suprématie condescendante du capitaliste, sur lequel Nkrumah, a mis l’accent comme l’ennemi numéro 1, de l’émancipation des peuples africains. Mais cette conception idéologique ne pouvait réussir à l’Afrique, qui avait certes besoins de mains Ouvrières de Masses, mais avait plus besoin de moyens, de têtes et de hauteur de vue. Or cette politique est antiélitiste ambiant. Donc malgré l’engagement sans retenu, malgré la bonne foi et la fiabilité du projet, l’échec de Nkrumah fut total, parce que le substrat «socialisme du bloc socialiste» avec comme locomotive URSS, ne misait que sur la production ouvrières de Masses en Afrique. Or l’Afrique avait besoin de têtes que de force ouvrières, pour bien défendre son idéal sociétal panafricaniste et révolutionnaire. Malgré que Kwame Nkrumah, fût dans le vrai, dans la juste raison, ce qui devait arriver, arriva, le 4 février 1966. C’est une constance que, les peuples déchus brulent leurs Icones ou leurs idoles dévoué, mais incompris. La chute de l’Osagyefo « le rédempteur »,  alors en visite en Chine socialiste, est célébré par une foule en liesse, dans  la capitale Accra. Parce que le panafricanisme avait besoin de plus de savoir, de moyens intellectuels, scientifiques, et financiers que de discours idéologiques, de dénonciations discursives. Le peuple antiélitiste fêta sa perte et sa défaite sociopolitique.

*- La politique de dénonciation du colonialisme Français et du néocolonialisme, comme fonds de commerce.

Quant à la Guinée de Sékou Touré de l’Aube des indépendances, contraint de gérer les conséquences de son Non ! Solitaire ou suicidaire de 1958, ne pouvait pas subir passivement le blocus et ostracisme résultante de son acte euphorique. Il tomba dans le discours enflammé de l’anticolonialisme et révolutionnaire. Il se tourna dès lors vers L'URSS de Khrouchtchev et les autres pays socialistes y compris d’Afrique qui étaient prêts à l'aider. Avec comme fonds de commerce la dénonciation du colonialisme Français, qui  était toujours politiquement payante dans son pays. Et s’appuyait au besoin, sur les accusations de complots pour survivre, ou personne ne prenait pourtant au sérieux. Les découvertes spectaculaires des complots contre-révolutionnaires de survie, que, ni l'URSS, ni la Chine populaire, ni même le Ghana, ne considéraient comme réels. Soutenu par des discours endiablés du genre « Il n’y a pas de dignité sans liberté : nous préférons la liberté dans la pauvreté à la richesse dans l’esclavage », de Patrice Émery Lumumba, qu’il a fait sienne. Oui, Patrice Lumumba du Congo de l’Aube des indépendances, lui-même nationaliste, panafricain anticolonialiste, fut l’Ephémère Premier ministre congolais juste après l'indépendance en 1960. Il était devenu une Icône de la lutte anticoloniale parmi d’autres, il était Ami du panarabe l’Egyptien Gamal Abdel Nasser, qui aussi adopta des mesures socialistes et mena des réformes pour moderniser son Égypte. Mais paradoxalement après la fin d’un sommet de la Ligue Arabe il succomba à une crise cardiaque, le 28 septembre 1970 au Caire, sans arriver à ses fins panarabe et panafricaniste. Et Patrice Lumumba, son Ami n'aura fait qu'un passage furtif sur le devant de la scène. Il est assassiné au Katanga un malheureux 17 janvier 1961, âgé de 35 ans.

Aussi retenons que, son Ami Sékou Touré «révolutionnaire anticolonialiste et panafricaniste», le Syli disaient les Guinéens, qui fût le premier président de la Guinée, est aussi mort le 26 mars 1984, alors qu’il était au pouvoir. Ayant dirigé son pays la Guinée d’une main de fer, il n’a pas su faire de ce qu’il appelait lui-même un «scandale géologique», du fait de son extraordinaire richesse minière et naturelle, un «miracle du développement». Pas plus que ses héritiers successifs au pouvoir. La Guinée est encore aujourd’hui un des pays les plus en retard de l’Afrique. L’Animalisations «raison du plus fort» dans l’exercice du pouvoir d’état, la conception archaïque et paternaliste du pouvoir d’état, pire que le colonialisme, le néocolonialisme et l’impérialisme dénoncés à tout bout de champs, en est la cause unique. Donc Sékou Touré ce ostensible de l’anticolonialisme et du panafricaniste révolutionnaire, qui a été suivi à l’identique par des régimes despotiques, n’a réussi à insuffler aucune dynamique de développement à son pays, pourtant totalement dédouané de la tutelle coloniale. L’Anticolonialisme aveugle et panafricanisme hermétique ne paye pas. L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servi et ne serviront jamais la lutte nationale démocratique en Afrique. L’Afrique doit comprendre qu’en politique, chaque fois qu'il arrive un problème sociopolitique, une crise sociopolitique, l’homme politique se doit de chercher logiquement les causes en lui-même d’abord, oui d'abord en lui-même, surtout en lui-même. Ainsi s’il arrive à discerner sa part de responsabilité dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, la part de responsabilité des autres dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, devient alors facilement discernable et dénoué de toute accusation gratuite. Oui les hommes politiques Africains doivent penser à opter pour le «Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois » décrété par Houphouët Boigny. 

(D’ailleurs depuis les indépendances, les colonisateurs viennent en arbitre en Afrique, ou en parti-pris pour un autre Africain payeur, en Afrique, ou même défendre l’Afrique contre les sauvageries Africaines. Donc le problème des Africains ce sont les Africains eux-mêmes. Même,  la propagation et la vulgarisation actuelle de la criminalité ignoble sous couverture sectaire qui donne de nouveaux sons à l’ancienne musique anticolonialiste, n’est pourtant pas venue de chez les colonisateurs non ! Ce sont les Africains qui terrorisent d’autres Africains en Afrique. L’Afrique qui est docile et perméable a toute les cultures dépravées extérieurs à l’Afrique. Oui, les colonisateurs aux frais de leurs contribuables, ne viennent qu’en interposition entre les Africains qui s’entre-tuent en Afrique. L’Afrique pesé quoi dans leurs économies sans contre parties de services rendus dans la balance ? La criminalité ignoble des Africains sous couverture sectaire qui a hélas, souvent ses entrées dans les cercles des pouvoirs d’états Africains, en Afrique, ne vient pas de chez les colonisateurs-blancs. Dans la criminalité ignoble, perverse, narcissique et sadique en Afrique, il n’y a pas de Blanc-colonisateurs dedans. «Ici, notre bouche citoyenne a KOUMA, gbê-de-gbê»).

*- L’Afrique doit composer avec la saine appréciation politique et les justes réalités du moment, malgré elle.

Donc le discours des hommes politiques Africains, ne doit pas se réduire à rejeter toute la responsabilité, de toutes les crises sociopolitiques, de tous les problèmes économiques et tous les malheurs Africains, sur la France, sur l’Occident, sur les Blancs et/ou les puissances étrangères a l’Afrique. En clair les hommes politiques Africains, ne doivent avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance, vis-à-vis de la France « la mère patrie », de l’occident, des Blancs et/ou les puissances étrangères a l’Afrique. Au contraire, ils doivent chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, pour permettre à l’Afrique et les forces l’Occidentales de construire ensemble un nouveau destin commun et partagé. L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servi et ne serviront jamais les luttes nationales démocratiques en Afrique. Et l’Asie comme succédanée des ex-colonisateurs ne servira pas non plus. Dans trente « 30 » Ans, essayons de comparer les infrastructures asiatiques d’aujourd’hui, aux infrastructures centenaires des ex-colonisateurs. Oui, les héros anticolonialistes, sont légions en Afrique, l’Afrique qui doit certes rester respectueuse de ses martyrs, parce qu’ils étaient dans le vrai, dans la raison, et dans le juste, mais contraire aux réalités des rapports de forces. Or la politique c’est la saine appréciation des réalités du moment. Ce qui fait, qu’il est difficile aujourd’hui de cité un seul pays panafricaniste qui à réussit par le panafricanisme. Oui ! Un seul panafricaniste anticolonial, qui a réussi à émerger son pays dans/avec cette voie, bien qu’étant de droit inaliénables des peuples. Le politique se doit d’agir à la limite de l’humainement admissible.

Oui, insistons-en : L’anticolonialisme primaire irréfléchi, de façon exaltée, fiévreux, imprudent, frénétique, et le panafricanisme hermétique, sourd et aveugle, ne payent plus dans les luttes démocratiques face aux ex-colonies. Donc chanter à tout bout de champs, la France, toujours la France, et encore la France, malgré souvent sa bonne foi. L’Europe, toujours l’Europe, encore L’Europe, pourtant qui n’épaule pas mal notre Afrique en matière de sécurité et de toutes autres choses situer au-delà de nos forces et moyens, n’est pas la bonne voie de la lutte démocratique en Afrique, bien que popularisant pour les hommes politiques Africains. Parce que audible dans la masse populaire Africaine antiélitiste qui ne sait que faire de l’intelligible. Donc L’anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique irréfléchis «Bête-Bête-là» associés à la lutte démocratique, n’est pas la solution en Afrique. Le panafricanisme de diversion populiste à commodité populaire pour plaire aux brigades d’acclamations, n’est pas non plus la solution indiquée à nos problèmes économico-sociopolitiques et partants développementaux ou l’homme serait la centralité absolue. L’Afrique doit composer avec les justes réalités du moment, malgré elle.

Oui, certes l’Afrique doit rester panafricaniste en évoluant vers la fédération de ses forces. Mais un panafricanisme ouvert sur le monde, et d’union politique dans le respect des droits et des principes de réciprocités internationales dans fédérations synergiques des forces Africaines solidaires, autours des enjeux internationaux et de l’unifications des destinées économico-sociopolitiques Africaines, telle que, les États-Unis d’Afrique. Proposée dès 1924 par l'écrivain Jamaicain Marcus Garvey  qui rêvait d'une Afrique forte, solidaire, prospère, peut-être une solution pour l’Afrique. Cette très bonne idée géniale qui ne résiste pas aux forces concurrentes du monde opposées, est à l'origine de la Création des Mouvement panafricain. Mouvements de 1945 dont les leaders «les : Barthélémy Boganda, patrice Lumumba, Gorge Padmore, Jomo Kenyatta, Modibo Keita, Kwame Nkrumah, et Ahmed Sékou Touré », ont évoqué au 5e Congrès panafricaniste de la même année à Manchester, comme le nom qui désigne la création d'un éventuel État fédéral Africain. Donc, dans la suite de cette logique, si le panafricanisme avec des états autonomes chapeautés par un pouvoir exécutif central, qui coordonne les relations interétatiques d’Afrique entre les gouverneurs étatiques, est le but viser par le panafricanisme c’est une bonne solution pour l’Afrique. Mais, elle se doit d’être réaliste pour être dès lors salvateur pour l’Afrique. Parce qu’il permettrait la progressive unification des différents combats économico-sociopolitiques Africaines, pour l’Afrique, pour la Vie Africaine, pour l’homme, pour tout homme, pour les droits inaliénables pour la dignité et pour la liberté, obtenue dans la saine concurrence.

*- L’Afrique à son esclavagisme, des fils vendus par leurs parents aux marchands d’esclaves «Flêkê-Flêkê» du désert.

Donc, ici nous ne voulons pas défendre le diable qui a ses forces, en demandant aux Africains, de fermer les yeux sur tout ce que « les accusés de colonialisme, d’impérialisme, d’ex-colonies occidentales », font dans notre/votre Afrique. Mais tant que la lutte des hommes politiques Africains, pour les droits inaliénables des peuples, pour les libertés fondamentales, pour les développements économiques et sociaux et pour la démocratie en Afrique, ne serait pas institutionnellement unitaire, et de détacher «les ex-colonies» des combats politiques nationaux, et des luttes démocratiques nationales, contre l’arbitraire d’un pouvoir valet et suppôt, devenu sanguinaire, dans les pays Africains. Elle «cette lutte démocratique légitime» armerait d’avantage d’une force d’appoint supplémentaire, et d’une  force support d’acier, les arbitraires des pouvoirs devenus sanguinaires dans les pays Africains. Des pouvoirs sanguinaires Africains, dociles, suivistes, sans projets, des valets suppôts de leurs maitres de soutiens monnayables, qui s’efforceront de rassurer politiquement, économiquement et diplomatiquement les puissances dénoncées. Par des discours de diversion protecteurs des intérêts et paravent justificatif, à toutes les carences et incompétences. Et utilisées comme fonds de commerce politique pleurnichard «sans moi le pays est foutu» pour leurrer et tromper les peuples Africains, de la novatrice voie vers l’essentiel sociétal du moment, qu’est la collaboration étroite avec les puissances colonisatrices. Oui, les colonisateurs ne sont pas les problèmes de l’Afrique, Non ! Mais le grand problème pour l’Afrique pire que la colonisation, est le mode d’acquisition des pouvoir d’état en Afrique et leurs exercice effrénée dédouané souvent de tous droits et au mépris des règles universelles, en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par tous. Et il faut le souligner ici,  l’Afrique a eu, et a toujours, son esclavagisme, souvent des fils vendus par leurs propres parents aux marchands d’esclaves «Flêkê-Flêkê» du désert. Leurs descendances sont légions. C’est pire que le colonialisme Blanc et immoral que l’assujettissement du colon.

Nous pensons donc que, les hommes politiques  Africains, ne doivent avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance de l’occident, au contraire ils doivent rechercher auprès des ex-colonisateurs des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, de coopérations étroites, certes pas celles de 1960 de nos grands-parents. Mais des approches politiques saines, et des attaches diplomatiques nouvelles, des coopérations nouvelles, réciproquement consenties, sans faux-fuyant. Surtout rediscuter nos liens interétatiques, diplomatiques, politiques, économiques, sociaux, relationnels, dans une coopération étroite dans le respect de la réciprocité des relations internationales, qu’exigent les commodités diplomates, et qu’exigent les relations interétatiques dans le concert des Nations. Donc c’est une question d’avoir le courage de se regarder dans un miroir avant tout. Et chercher les causes des problèmes Africains, en nous même, d’abord en nous même, surtout en nous même, pour le relèvement de l’Afrique notre destin commun. Le regard vers l’Asie est souverainement embellissant, mais pourrait «exsanguer» dans la durée.

*- L’homme politique Africain doit refuser d’être un valet qu’une puissance étrangère vient imposer dans le sang.

Oui, c’est sauvage qu’une soldatesque se lève un Matin, pour donner un coup d’arrêt inacceptable et injustifiable, a l’état de droit, au processus démocratique, en s’assujettissant les normes de régulations sociopolitiques de la totalité sociale a la volonté des armes, est plus que le colonialisme. Et un panafricanisme exutoire et chansonnier ne pourrait solder ce navrant tare morale. Les hommes politiques Africains ont plutôt besoin de frottement, de compétition, et de confrontation avec tout le monde sur la planète terre commune, «nos sportifs sont des grands sportifs parce qu’ils ont joué avec les meilleurs de l’Occident et bénéficié de la technique des techniciens occidentaux du sport, ceci est valable pour toutes les relations humaines. Donc non ! À l’auto-enfermement et à l’auto-cadenas-sage entre les mains d’une politique développementale éphémère». Les hommes politiques Africains doivent plutôt refuser d’être des valets qu’une puissance étrangère, Occidentale ou pas, vient imposer à son peuple souverain avec la force des fusils, souvent dans le feu et dans le sang, au prix d’un soutien monnayable en billets de banques.

Il faut donc nous «Africains», se départir de la victimisation, de la martyrisation, et de l’esprit d’infériorité, pour aller à la rencontre des peuples quels qu’ils soient, sans complexité et sans complaisance, avec notre identité historique atavique d’ex-colonisé. «OUI, LE MAL DE L’AFRIQUE C’EST L’AFRIQUE ELLE-MËME. Hier France-Afrique, aujourd’hui Chine-Afrique, peut-être demain Amériques-Afrique. L’Afrique la docile versatile perméable a tout»… Oui, face à la difficile émergence d’une élite dirigeante Africaine, capable de défendre les intérêts vitaux de l’Afrique, par une futuriste option politique, saine, claire, lisible, adaptée a l’intérêt Africain et aux pays émergents, oui, face aux voracités de toutes sortes, l’Afrique, notre destin commun, n’a pas besoin de cassure haineuse, de rupture brutale et systématique, avec nos ex-colonisateurs ou avec l’Occident. L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations, avec son atavique étiquette civilisatrice d’ex-colonisée. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines qu’elle a hérité de sa puissance colonisatrice, et ancrée ces valeurs humaines, dans les faits économico-sociopolitiques. L’éternelle victimisation ne servira jamais l’Afrique, qui a besoin de compétition. Avec des hommes politiques capables d’orienter et de réguler la totalité sociale, dans la stabilité sociale, dans la paix, et d’orienter la marche des mouvements sociaux de la vie sociale, de sa société. Et surtout, être capable d’anticiper les perspectives d’avenir socio-politico-économique de la société qui l’a tout donné, et dans laquelle il vie, sans arrivé à un fleuve de sangs Humain. Et en tenant compte que, tant que les citoyens ordinaires seront mal gouvernés parce que leurs États sombrent dans le chaos social sempiternel où les pouvoirs d’État virent à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, ils ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société. Le panafricanisme n’est pas la solution à tout, l’anticolonialisme non plus. Bien que popularisant dans la masse Africaine et électoralement payant. L’Afrique a besoin de réalisme politique. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- « Kouma-pour-l’Afrique ». De Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

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27 novembre 2021 6 27 /11 /novembre /2021 10:06
Lepetitfils : Les poursuites judiciaires en Argentine, trente ans après, contre les crimes commis lors de la dictature militaire ou furent condamnés les plus hauts dignitaires de la dictature militaire ainsi que plusieurs guérilleros. Malgré deux lois d’autoamnistie unilatérale : « la loi point final et la loi d’Obeissance due» qui n’ont pas bénéficié de la caution souveraine du peuple Argentin, ne pouvaient résister au droit en l’absence de son «maitre» le peuple souverain.

Lepetitfils : Les poursuites judiciaires en Argentine, trente ans après, contre les crimes commis lors de la dictature militaire ou furent condamnés les plus hauts dignitaires de la dictature militaire ainsi que plusieurs guérilleros. Malgré deux lois d’autoamnistie unilatérale : « la loi point final et la loi d’Obeissance due» qui n’ont pas bénéficié de la caution souveraine du peuple Argentin, ne pouvaient résister au droit en l’absence de son «maitre» le peuple souverain.

*- «Kouma» : Pour tourner la page d’une crise, certes dans la douleur, mais dignement. QUI LIRA, COMPRENDRA

Bon ! Revenons-en, qu’on l’admet ou non, la côte d’ivoire est en crise. Et la côte d’ivoire ne s’en sortira de cette crise sempiternelle à germe de production cyclique, que par la totale restauration de la souveraineté populaire du peuple. Qui est le symbole irréfragable de l’état républicain de droit, ou le peuple est l’absolu souverain, géniteur de droit fondamental, qui se situe au-dessus de tous les citoyens et qui s’impose à tous sans exception, dans toute sa rigueur normative et régulatrice, qui échappe au contrôle des pouvoirs quels qu’ils soient et d’où qu’ils viennent. Et une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle, Avalisée et Validée, par le peuple souverain est la seule solution durable à la crise ivoirienne, stockée dans des magasins politiciens. «Oui, qu’en est-il devenu du rapport pertinent et convaincant de Mr Banny». Oui redisons-le, en espérant une fois se faire entendre par des petits politicards plaisantins qui s’ignorent totalement. Des petits politicards plaisantins qui s’ignorent, et qui, en prescrivant le règlement de compte politique au centre du débat politique. Aussi en inscrivant Dieu l’argent de leurs ivoirien nouveau acculturé au cœur des relations socio-politico-idéologiques. En organisant insidieusement l’intrique florentine au sommet de l’état et entretenir la gabegie dans les caisses publiques et dans les régies financières étatiques. Dans un système désocialisant, ou vol organisé se le dispute avec d’escroquerie morale et intellectuelle et de tous voleurs. Ou, des milliers de milliards sont défenestrés des caisses publiques d’état vers des destinations saugrenues, ou la richesse n’a pas de couleur et d’odeur. D’où le diable et Satan sont à Côté de tous. « Je suis à côté ?». Ils finiront à coup sûr de célébrer  le mariage du  droit et de l’arbitraire de jungle, cela avec la paix sociopolitique comme mouton de sacrifice sur l’autel du mariage de l’Eau avec le Feu, au mépris de l’Humain.

Des comportements sataniques dédouanés de la morale atavique qui sied à nos sociétés. Des pratiques diablotines dans un capharnaüm complice, glauque, visqueux et pervers «le Diable et Satan en complicité à côté d’humain» à finit de donner l’ébauche du mariage. Et d’indiquer que, les témoins de ce mariage de survie dans l’enfer de jungle et de damnation dans un chaudron, seront «Satan et le Diable», que «Jésus et Mahomet» seront mis en congé dans une côte d’ivoire acculturé et désocialisé, au couleur du sang humain. Oui, la politique c’est la saine appréciation des réalités. C’est à dire arrivé à dénoncer les tares sociétales et se dire, moi, je n’aime pas cela, or c’est cela la réalité, donc, c’est ce qu’il faut appliquer à cette situation sociopolitique, pour pouvoir s’en sortir, pour moi et pour mon peuple. L’ivoirien doit être capable de tourner, la page douloureuse et très sombre de la crise actuelle, cela certes dans la douleur, mais dignement et honorablement. Dès lors, il n’y a pas d’autre choix que de souscrire consensuelle-ment dans le registre du droit international coutumier «le droit des droits», avec un support infaillible qu’est l’Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle, Avalisée et Validée par le peuple souverain. Les rapports officiels commandité et conjugué, souvent suscité par le biais d’une société dite civile, sur la réconciliation nationale aux rapports placardés dès réception, ne serviront à rien dans la recherche de la vraie paix sociopolitique. Ça peut donner de la petite bouffe aux commandités, mais ça ne donnera rien, quant à la paix.

*- On ne soigne pas une plaie à l’orteil en tâtant le Front. Non ! La plaie se soigne sur sa surface avant tout autre.

Donc, nous disons, que pour notre part, qu’en optant ostensiblement depuis Plus de 10 Ans pour l’intervention souveraine, d’une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle et consentie, Avalisée et Validée, par le peuple souverain, qu’ainsi nous préférons l’état souverain de droit dans tous ses états. D’où l’intérêt de la totalité sociale prime sur toutes autres considérations «économico-socio-politico-juridico-judiciaire». Ceci est facile à comprendre pour l’ivoirien, nous, notre génération a été forgé dans les moules d’une culture politique de paix «Houphouetienne», qui veut que l’homme public soit capable de dépassement de soi, pour privilégier l’intérêt général. Qui veut qu’un dirigeant politique face à l’intérêt de la totalité sociale et celui de la nation souveraine, qu’il gouverne ou pas, soit capable de s’oublier soi-même, pour privilégier les grandes considérations politiques de paix, aux petites querelles politiciennes partisanes, sources de tensions sociales sempiternelles judiciarisées. Les grandes considérations pour nous, sont celles qui engagent la vie de la nation, le bien public, l’ordre social, l’intérêt général, l’avenir de la totalité social, le destin meilleur de la nation, Et c’est de l’avenir du Corps social, et de sa solidification qu’il s’agit ici, quand nous appelons à gorge déployée une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle-ment consentie, Avalisée et Validée, par le peuple souverain. Dans la situation de crise latente de la totalité sociale ivoirienne, l’Amnistie générale référendaire est: d’intérêt public, d’intérêt général, d’intérêt social. Donc, rien ne sert à faire Dieu-le-grand pour en fin de compte pourrir la vie future du peuple, qu’un Garde-fou consensuel pourrait obvier. Puisque l’Amnistie générale référendaire se situe au-dessus des pouvoirs et hommes dirigeants qui l’exercent légalement ou de fait, légitimement ou usurpé, momentanément de non-droit.

Aucun juridisme effréné, même fondé sur la politique de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité, ne peut obstruer la souveraineté réelle de l’Amnistie générale référendaire consentie par un peuple, à la recherche de sa grande clémence, qui transporte le pardon mutuel au terme d’une crise sociopolitique. Cette Amnistie générale référendaire n’est pas distincte de l’état de droit souverain. Ici, la règle principale du droit international général et des principes directeurs des relations internationales repose sur la souveraineté étatique. La grande Europe est composée aujourd’hui de nations civilisées et de pays moderne, parce que son histoire est jalonnée d’Amnistie générale post-guerre. Terre des droits de l’homme par excellence, et respectueuse a toutes épreuves des droits humains , elle a compris que quand : La clémence de l’Amnistie générale référendaire peut ramener à l’amour entre communauté nationale, à la cohésion nationale de la totalité sociale, à la stabilité sociopolitique, à la paix sociale pérenne, sans lesquels il n’y a pas de paix internationale et ramener au respect des futures normes de régulations sociales qui en ressortissent et acceptées par tous, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire est recommandée par la grande loi du bien public, de l’ordre social, de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre public. L’ordre public ici, au sens large est l’ordre matériel et extérieur considéré comme un état de fait opposé au désordre social, l’état de paix opposé à l’état de trouble social. « D’où, Pour la paix sociale, je préfère l’injustice judiciaire et la paix sociale est le préalable de tout développement: de Félis Houphouët Boigny». Dans cette acception savante et dans cette compréhension souveraine, l’Amnistie générale référendaire est du : droit international coutumier. «Le droit des droit» socle de tout état souverain de droit. Sans lequel il n’y a pas de pays moderne et d’état de droit juridique.

La côte d’ivoire est devenue un océan de désordre qui exige des nageoires criminel, escrocs et voleurs pour vivre. Aujourd’hui en côte d’ivoire nul n’est censé respecter le droit ou la loi, s’il a pris la précaution de s’organiser en brigade d’acclamation des forts, en association délinquante, en corporation, en communauté différencialiste, ou même en groupe d’individus aux intérêts pécuniaire mafieux, ou en groupe de délinquants, et de se déclarer en colère, pour défendre une cause. Aujourd’hui, l’intérêt particulier est sacré et intouchable. Les intérêts particuliers sont préférés à l’intérêt général, l’individu préféré à la communauté, les féodalités préférés à l’état. C’est pourquoi nous assistons depuis à un déclin continu du règne du droit et de la loi au profit de celui de la force arbitraire. D’où la loi c’est Moi, tous autres loi est un leurre, un chiffon de papier, une attrape nigaude, «de ceux qui n’ont pas de force», la loi est destinée à inculquer aux faibles, aux moins nantis, le respect des forts et de leurs forces matérielles. Donc nous ivoiriens confrontés à un ensemble de violation sans précédent des droits fondamentaux de la personne humaine, ainsi qu’à des défis devenus économico-sociopolitiques, nous devons œuvrer pour une société qui fait du respect de tous les aspects de la vie, la valeur fondamentale sur laquelle doit être construite toute politique sociale d’espérance en une société paisible, harmonieuse et nouvelle dans notre pays, «l’homme est avant tout un être d’espérance», oui, toute politique de développement économique et sociopolitique dans notre pays, toute relation entre personnes humaines, toute relation entre nation dans notre pays. Et une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle et consentie, Avalisée et Validée, par le peuple souverain, est la voie indiquée pour parvenir à cette valeur fondamentale de respect du droit et de construire une société paisible.

*- Les Dieux-le-Grand qui trônaient sans partage sur des peuples et rattrapés par le droit international pénal.

Donc, Ré-soulignons-le, le droit international pénal n’a rien de sens unique, bien qu’enfanté par les états souverains qui le tiennent en l’état, le droit «New-yorkais» dans sa totale indépendance, à l’aune des gyroscopes de son champ d’applications «crimes contre l’humanité», il peut être avec toi et se retourner contre toi en un rien de temps. C’est un «monstre», qui n’est contrôlé ou n’est limité que par la souveraineté des peuples. Certains exemples des Dieux-le-Grand qui trônaient sans partage sur des peuples et rattrapés par le droit international pénal sont là patents:

Citons: 1-Le procès des anciens dirigeants Khmers rouges à Phnom Pen au Cambodge. Plus de 30 ans après, Nuon Chea, idéologue du régime de Pol Pot (1975-1979), Ieng Sary, ex-ministre des Affaires étrangères, Khieu Samphan, autrefois président du Campuchea démocratique et consorts ont répondu de leurs actes devant le droit et la justice.

2- Les poursuites judiciaires en Argentine, trente ans après, contre les crimes commis lors de la dictature militaire ou furent condamnés les plus hauts dignitaires de la dictature militaire ainsi que plusieurs guérilleros. Malgré deux lois d’autoamnistie unilatérale : « la loi point final et la loi d’Obeissance due» qui n’ont pas bénéficié de la caution souveraine du peuple Argentin, ne pouvaient résister au droit en l’absence de son «maitre» le peuple souverain.

3- Le chilien, Général Pinochet. (Fort de son compteur macabre, de plus de 3 200 morts et disparus, plus de 38 000 torturés, des dizaines de milliers d’arrestation de dissident). A été arrêté en novembre 1998, à Londres à la suite d'une plainte internationale déposée en Espagne pour « génocide, terrorisme et tortures» le monstre  déchainé l’a pris, 8 ans après sa perte du pouvoir. Il est libéré pour raisons de santé (2) deux ans après son arrestation en mars 2000 et il est retourné au Chili ou il meurt en décembre 2006, avant que les procédures judiciaires engagées contre lui n'aient abouti, 32 ans après sa prise de pouvoir. « Le contre poids de l’imprescriptible est le peuple souverain ».

4- La Sierra Léone des rebelles du Front révolutionnaire uni (RUF) : de Fodé Sankoh, de Sam Bokary et bien d'autres maquisards et par imbrication le Liberia de Charles Taylor, ont en effet tous répondu de leurs actes devant un tribunal spécial Onusien. Sans garde-fous ou garde-boue, la route imprescriptible était toute tracer jusqu’au trou. 

5- Aussi on peut citer le cas Maurice Papon en France, malgré une brillante carrière politique, justifie aussi que le droit international pénal n’a rien de sens unique et que l’histoire finit toujours par rattraper ses criminels couverts.

*- L’Amnistie générale référendaire, vise l’harmonie communautaire, la stabilité politique et la paix sociale.

Donc, vouloir faire l’économie d’une crise sociale, ne pas vouloir tourner une page de crise légalement, pour aboutir ainsi à une autre crise sociale plus gave, c’est inévitablement troubler le bien public, l’ordre social, l’intérêt général. C’est hypothéquer l’avenir de la totalité sociale, c’est de l’avenir de la société qu’il s’agit pour le Corps social, quand il délibère par la voie d’Amnistie référendaire post-crise, sur les grandes questions d’intérêt public, qui nécessitent cette Amnistie générale référendaire consensuelle, qui vise avant toute chose l’harmonie communautaire, la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. C’est à cela qu’un peuple souverain doit savoir et pouvoir tout «sacrifier». Parce qu’il n’y a pas d’état de droit, sans état souverain qui décide de son destin au mépris de toutes autres considérations et l’Amnistie générale référendaire est la manifestation régalienne de la souveraineté étatique dans le concert des nations. Donc de l’état de droit, et de l’appartenance à la communauté internationale. Donc, il faut noter ici, qu’il n’y a rien de saugrenu dans notre position toujours exprimée, par rapport à la demande d’une Amnistie générale référendaire, «qui tout comme l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité est une politique pour la paix». Cette pratique de souveraineté absolue des peuples souverains est vieille comme le monde.

L’une des premières grandes Amnisties politiques, est l’amnistie athénienne, qui a notamment été prise à la suite de la guerre civile qui opposa Thrasybule et les démocrates, aux sympathisants des Trente Tyrans au pouvoir. Après la chute de ces derniers en 403 avant Jésus-Christ, le régime démocratique a été rétabli et l’œuvre de reconstruction et de réconciliation mise en place.  *- Aussi, une large Amnistie a été proclamée et s’est appliquée à tous, au terme de l’article 16 du traité de Campo-Formio du 17 octobre 1797 qui prévoit: qu’aucun habitant de tous les pays occupés par les armées autrichiennes et françaises, ne pourra être poursuivi ni recherché, soit dans sa personne, soit dans ses propriétés, à raison de ses opinions politiques ou actions civiles, militaires etc. pendant la guerre qui a eu lieu entre les deux puissances. *-  Et dans la même veine, le  11 avril 1713 entre la France et le Portugal : Il y aura de part et d’autre un entier « oubli » de toutes les hostilités commises jusqu’ici ; en sorte que tous et chacun des sujets de la Couronne de France et de la Couronne du Portugal ne puissent alléguer réciproquement les pertes et dommages soufferts pendant cette guerre, ni en demander satisfaction par voie de justice ou autrement, y est prescrit au terme de l’Amnistie. C’était pareille pour : Aix-la-Chapelle du 18 octobre 1748 entre la France, la Grande Bretagne et les Pays Bas : Il y aura un « oubli » général de tout ce qui a pu être fait ou commis pendant la guerre qui vient de finir qui apparaissent alors comme indispensables pour faciliter un nouveau commencement, y est aussi prescrit au terme de l’Amnistie. «Un autre commencement, c’est ce que le referendum vise dans son essence.»

Donc, un recommencement qu’est, l’Amnistie générale référendaire vise la satisfaction de l’intérêt public, au sens d’intérêt de l’ensemble de la totalité sociale souveraine et de la communauté politique. Il ne s’agit donc pas de l’intérêt de chaque particulier, acteur ou pas de la crise querellée, mais de l’intérêt de la nation ou encore de l’Etat, qui a pour mission essentielle de garantir la paix et l’unité de la société. En ce sens, l’intérêt général est donc aussi l’intérêt supérieur de l’Etat : il consiste à assurer la sauvegarde de l’Etat, non pas en tant qu’institution étatique, mais en tant que garant de l’existence de la cohésion sociale, de la paix sociale pérenne et de la paix internationale. L’Amnistie internationale référendaire, anéantie de droit international, les mille manières qui existent pour faire sauter les verrous de l’autorité de la chose jugée, d’une décision qui ne condamne pas tous les criminels impliquer dans les crimes dont condamnation, elle anéantie aussi les mille manières d’ouvrir des dossiers de crimes dont des criminels ce sont autoamnistier après s’être fait exonérer de droit de poursuite judiciaire au cours des procès qui ont condamné d’autres criminels. Elle a ainsi pour but de résoudre des troubles conjoncturels à l’ordre public par une justice sélective des vainqueurs. Légalement et légitimement en ce sens, l’’Amnistie générale référendaire permet alors, après une guerre civile ou une grave crise sociopolitique dans laquelle l’unité nationale a été particulièrement atteinte, de mettre un terme à ce qui serait susceptible d’entretenir la polémique ou les divisions dans le cadre d’une procédure judiciaire sélective des vainqueurs, qui maintient la tension et tient la crise armée.

*- Les micmacs, les zigzags et les ping-pongs politiciens, ont leurs limites, face au droit international pénal.

Donc, en venant anéantir toute entreprise factieuse, cette option pour un nouveau recommencement de l’Amnistie générale référendaire régulatrice de la société, ouvre la voie vers une société de civilisation moderne et indique la voie royale idoine vers le développement intégral. Parce que l’Amnistie générale référendaire de régulation sociale consensuelle, d’intérêt national, débouche sur un nouvel ordre social conventionnel, qui désarme la violence sociopolitique. Parce qu’elle «Amnistie générale référendaire» vient interdire l'usage d'un certain répertoire d'action politique antagoniste, de règlement de compte cynique, sinistre et antisocial. En se voyant chargé comme unique fin essentielle, d’exprimer fidèlement la souveraineté du peuple, qui veut la paix et la stabilité, elle acquière ainsi les attributs symboliques du souverain et du sacré. Oui, au terme d’une Amnistie générale référendaire, qui permet à chaque associé sociétal, à chacun et à tous, de voir le redressement consensuel de ses griefs sociétaux, désarme la violence sociopolitique, et cela investit cet acte souverain d’Amnistie générale référendaire devenu l’œuvre de la totalité sociale souveraine, d'une force morale réelle et immense, elle s’impose par tout, en tout lieu et en tout temps, ce qui rend toute entreprise factieuse impossible. On se répète ici, citoyen !  Pour se faire bien entendre par des petits politicards plaisantins qui s’ignorent. «Oui, elle rend toute entreprise factieuse impossible».

Donc comme dit plus haut, la politique c’est la saine appréciation des réalités. C’est à dire arrivé à se dire face à une situation sociopolitique, Moi, je n’aime pas la solution qui s’impose comme unique postulat, or c’est ce qu’il faut, c’est cela la réalité, c’est cela qu’il faut appliquer à cette situation pour s’en sortir, et pour moi, malgré moi, et pour mon peuple martyr. Et d’appliquer cette solution, malgré tout, administrer ce remède, malgré les intérêts opposés. C’est ce que l’ivoirien doit se dire malgré lui, s’il doit être capable de tourner, certes dans la douleur, mais dignement et honorablement la page douloureuse et très sombre de cette crise latente. Bon ! Il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie n’a pas conscience du danger mortel avant la phase terminale de la noyade. Oui, regardons-nous dans le miroir, les micmacs, les zigzags et les ping-pongs, ont leurs limites, face au droit international pénal et face à la politique internationale de l’imprescriptibilité des crimes contre l’Humanité. Donc, tant que la porte de la crise serait ouverte, un jour les Trous seront ouvert à la dimension des têtes concernés. L’humanité a toujours protégé ses valeurs jusqu’à la limite du convenu, et le fiasco judiciaire cpi-ien précédant a aiguisé des curiosités a la recherche des vrais criminels de la crise ivoirienne. Le versatile gros Machin de GL DE GAULLE a l’oreille tendue vers la côte d’ivoires. Les ONG estampillées ou autoproclamées défenseurs qui ont fait prendre la tangente à George Bush junior « le fis de son père malgré sa toute-puissance a compris que l’éclair précède la Foudre», a  pris hélico par le toit d’une haute Tour Canadienne, semblent bien connaitre leurs cibles et objectifs. La gardienne hybride CPI, s’est trouver une tête britannique plus mordante les dégâts risque d’être à la hauteur de la longue attente. La cafouilleuse presse internationale n’entend que le tocsin pour  une propagande tous azimuts. Et la pauvre côte d’ivoire serait une fois encore obliger de coller ses fesses sur le banc des accusés dans le concert des nations civilisé. Le monde cherchera Houphouët avec une torche en plein Midi sans succès. Le prétendu Houphouët-isme serait dès lors taxé de Bâtardise ou d’adultérin. Il y a incontestablement le feu latent à la maison ivoire, il y a péril à l’horizon de la voie déviationniste emprunté par le navire ivoire, et personne ne viendra y remédier en dehors du citoyen ivoirien.» Amnistie générale référendaire ? Oui ! C’est ce qu’il faut ! Ce qui est dit, est dit. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Un soit dit en passant : De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

 

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18 novembre 2021 4 18 /11 /novembre /2021 12:58
Lepetitfils : La côte d’ivoire se noie dans l’océan de la civilisation universelle. Dès lors, un homme public ou un politique, de côte d’ivoire ne peut se conduire comme le commun des mortels. C’est ainsi, que tant que l’essentiel sociétal est en jeu, «la réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire», il doit jouer jusqu’à la limite de l’Humainement admissible pour gagner le jeu d’intérêt général et d’ordre public. La paix est à ce prix.

Lepetitfils : La côte d’ivoire se noie dans l’océan de la civilisation universelle. Dès lors, un homme public ou un politique, de côte d’ivoire ne peut se conduire comme le commun des mortels. C’est ainsi, que tant que l’essentiel sociétal est en jeu, «la réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire», il doit jouer jusqu’à la limite de l’Humainement admissible pour gagner le jeu d’intérêt général et d’ordre public. La paix est à ce prix.

Citoyens ivoiriens, Chers tous.

Aujourd’hui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, votre côte d’ivoire, offre-t-elle le visage d’un pays enviable dans le concert des nations ? Son incapacité a remonté a la surface d’une abyssale par le biais d’une vraie réconciliation nationale est-elle digne d’un état souverain ou la souveraineté réside dans le peuple ?   Son fonctionnement socioéconomique désordonné de grand Bazar incontrôlé est-il digne d’un état sérieux ? Son dit développement informel non agencé, dans le tout permis est-il conforme au développement réel graduel des pays développés ? Oui, même aux USA, les criminels ont consciences qu’ils sont criminels jusqu’à la chaise électrique. Ils sont conscient les criminels aux USA que leurs activités criminelles ne seront jamais, et au grand jamais une valeur sociale aux USA. Oui, l’escroquerie coupable à complicité conjuguer à ciel ouvert, le vol, l’inondation du pays de marchant de cocaïne et de drogue de toute sorte, la débauche sexuelle, la dépravation des mœurs sociétales ne soit-il pas devenus des activités valorisante dans votre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Aujourd’hui ? Oui, les agressions délibérés de toutes sortes, verbales, physiques, et morales, dans des grommèlements acidulée et dans des bourdonnements haineux, ne sont-ils pas admis dans le quotidiens des ivoiriens comme normaux, dans une société ivoirienne qui a totalement perdu ses repères sociétaux ? Oui, il y a œuvre utile régulatrice à faire pour la côte d’ivoire, qui exige l’abandon momentané de soi, la subordination des  intérêts et des blessures individuelles ou personnelles du moment. L’arbre à commencer cacher la forêt ivoire dans la mémoire collective ivoirienne. Mais quel que soit l’épaisseur de l’écorce de l’arbre ou le volume du tronc d’Arbre, ils demeurent chacun une partie intégrante de l’autre pour une vie unique où chacun est condamné a porté sa part de fardeau existentielle, puisque l’un n’aura jamais d’existence en l’absence de l’autre. C’est un corps unique.

Oui, la côte d’ivoire se noie dans l’océan de la civilisation universelle. Dès lors, un homme public ou un politique, de côte d’ivoire ne peut se conduire comme le commun des mortels. C’est ainsi, que tant que l’essentiel sociétal est en jeu, «la réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire», il doit jouer jusqu’à la limite de l’Humainement admissible pour gagner le jeu d’intérêt général et d’ordre public. Dans l’arène politique ivoirienne, les forces rétrograde n’ont rien céder et ne cèderont jamais le moindre espace de souveraineté populaire, opposé à leurs desseins. Mais hélas ! Dans cette situation, on fait le pari de la déchirure et de la fissure de l’opposition face à une force autoritariste et despotique. Nous sommes sous l’emprise d’un système politique archaïque, mafieux, fermé hermétiquement à toutes ouvertures du jeu politique. Un système pervers, qu’il faut renverser et se débarrasser de son  pouvoir anti-droit, le plus légalement possible, pour replacer l’être humain au centre du débat, le citoyen au cœur de toute politique économique et développementale. Donc, il nous faut éviter la division dans la lutte de reconquête du droit, à fin de régulation sociopolitique sur une période déterminée. Oui, qu’on se le tient pour dit ; Rien ne se fera dans la division, rien ne sera réussi dans la division, rien ne changera en côte d’ivoire dans la division. C’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt supérieur de la nation et pour l’intérêt général, que nous réussirons à restaurer dans le consensus national avec l’union de tous, la paix sociopolitique dans notre pays. Et ensuite a forgé un état de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire.

Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre un pouvoir déviant qui veut la diviser pour mieux la déchirer, a fin de régner comme charlemagne et afin d’enrichissement perpétuel grâce aux biens publics. Donc, il faut transcender tous les rigoristes faux clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels et la division dissolvants, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. Donc s’allié et se rallié pour l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques. Il nous faut ivoirien, absolument taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Il nous faut absolument arrêter la divagation des politicards ballons de baskets dans les fibres sociopolitiques hypersensible de la nation, qui doit retrouver ses repères. Donc nous soutenons ici au risque de déplaire à ce qui ne comprendra pas le sens de notre recherche inlassable parfois ingrate de l’ordre social et de la paix sociale, que, la lutte de leadership aveugle est une tare en politique. L’antagonisme partisan autodestructeur de positionnement personnel est un mal en politique. Que dans une société en crise aiguë la division dissolvant est contre-productif. Que le culte des appartenances idéologiques est périlleux pour une nation en crise. Ce sont ces maux qui tiennent la crise ivoirienne armée contre la totalité sociale. En clair l’arène  politique ivoirienne à des tares liées à la personnalisation stricte de la lutte politique, qui nuisent au bon fonctionnement politique de la totalité sociale ivoirienne. Transcendons nos personnes et dépassons nos égos.

Avec préoccupation :  De Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

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10 novembre 2021 3 10 /11 /novembre /2021 14:21
Lepetitfils : Oui, Nous sommes républicain-social !!! Et dans «républicain» il y a république, dans «social» il y a société. Une Amnistie générale référendaire consensualiste, pour soldé les griefs sociétaux et pour annihiler les rancœurs individuelles et désarmée la crise, «latent» de la totalité sociale.  Oui, il n’y a pas de demi-mesure, non ! Il n’y a pas 2 postulats, c’est la seule solution,

Lepetitfils : Oui, Nous sommes républicain-social !!! Et dans «républicain» il y a république, dans «social» il y a société. Une Amnistie générale référendaire consensualiste, pour soldé les griefs sociétaux et pour annihiler les rancœurs individuelles et désarmée la crise, «latent» de la totalité sociale. Oui, il n’y a pas de demi-mesure, non ! Il n’y a pas 2 postulats, c’est la seule solution,

*- Faire société et vie communes, sans heurt majeur, dans l’acceptation réciproque des différences sociétales.

Oui, ressassons-le, parce qu’une vérité mille fois dites vaut mieux que, les mensonges soutenus par les milliards du banditisme politique et du gangstérisme systémique. Oui, disons-le, il faut pour la côte d’ivoire post-guerre une vraie réconciliation nationale, pour consolider les fibres du lien social ivoirien, de l’harmonie communautaire ivoirienne, et de la paix social en côte d’ivoire, parce que le lien social est politique. Et sa consolidation ne peut se faire que par le rafistolage consensuel du lien social ivoirien en lambeau. Les ivoirien, hier solidaire à toutes épreuves sont désormais aujourd’hui, tous tomber dans l’apologie des différences, de toutes sortes. Oui, c’est parce que le lien social, est hautement politique et diplomatique, que chacun doit être reconnu dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, et chacun doit voir ses griefs sociétaux soldé dans le consensus, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Ici, il n’y a pas de succédané possible, le lien social est très sensible dans une société, le consensus est son matériel de soudure. L’œuvre de sa soudure s’oppose à l’entretien sciemment des crises sociopolitiques d’intérêts personnels et claniques.

Parce qu’il est constant que, le lien social, est ce qui permet aux groupes sociaux, aux mouvements graduels de la société, aux organisations corporatives et aux individus, de vivre paisiblement en commun dans une société cohérente et harmonieuse. Et surtout, pour faire société et vie communes, sans heurt majeur, dans l’acceptation réciproque des différences sociétales. Mais dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation sociale d’irruption imprévue, non-conforme au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs, orchestrée par une politique carriériste aveugle, tend à fragiliser le lien social. En lieu et place de sa consolidation par la justice sociale et par la justice juridique, pour chacun, qui témoignerait sans aucun doute de la très bonne santé et du dynamisme dans la société ivoirienne. Une mutation sociale d’irruption imprévue, qui  engendre la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit la cohésion sociale de la nation une et indivisible, de l’état de droit et d’une société démocratique. Nous y sommes désormais, et sont devenus valeurs, le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent n’a plus d’odeur dans la vie sociale, et la dépravation des mœurs sociétales.

*- La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny doit pouvoir être une société démocratique et humaniste. 

Bon ! Nous avons bien dit plus haut, une société démocratique ! Une société démocratique ? C’est une société a élections Zéro mort et à Zéro urne cassée. C’est une société de l’exaltation de la diversité solidaire, donc une société qui organise la solidarité envers les plus faibles, une société ou les minorités électorales bénéficie du respect et de la reconnaissance des majorités électorales. C’est une société ou le lien social est flexible et incassable, une société qui ne laisse personne au bord de la route du progrès social. C’est une société qui permet la participation libre de tous les citoyens à la vie politique de leur nation, sans manichéisme, sans anathème sociopolitique, sans excommunication juridique. Une société démocratique ? C’est une société qui met le citoyen contributeur social par excellence au cœur de la société de solidarité agissante. C’est une société de consensus ou le citoyen est un passeur de lien entre les groupes sociaux et les individus, un fusible de connections entre les groupes sociaux et les individus, pour mieux vivre en harmonie. C’est une société ou le citoyen instaure ou restaure le lien social, et donne ou redonne l’envie aux plus fragiles ou martyrisés de reprendre pleinement leur place dans la société, qui se doit d’être paisible. En les rendant acteurs du développement sociétal et acteurs de leur propre développement personnel. La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny doit pouvoir être cette société démocratique et humaniste débarrassée d’une politique de jungle de désordre, de l’autoritarisme inflexible, du dirigisme économique, et des qu’est-ce qu’il y a ? Des scories passéistes.

Oui, déplorons-le, ici encore, chaque jour un peu plus, la manière dont le pouvoir d’état est exercé dans notre pays, piétine les valeurs juridiques, les valeurs sociales, les valeurs républicaines et menace l’effectivité de la démocratie pluraliste par une politique de répression matérielle tous azimuts, de juridisme expéditif, de confiscation clanique orchestré du pouvoir d’état. Chacun se sent attaqué dans ses assises corporatistes, professionnelles, et mêmes juridiques. Les griefs sociétaux enfantent quotidiennement les grèves corporatives. Or les règles de vivre en société commune et de vivre commun en paix, dans une société humaine digne de ce Nom et harmonieuse, exigent qu’on s'accepter mutuellement comme égal, en dialoguant, en négociant, en recherchant le consensus, en communiquant en toute liberté, sans contrainte, sans intermédiaire, sans interférence, sans interactions sociales opposées, en acceptant les différences sociocommunautaires, sans être le  juge désigné de l’exception des autres. Mais hélas les ballons de baskets, de l’ultralibéralisme prédateur de jungle, assis sur un dirigisme économique systémique, qui chantent dans un désordre indescriptible, le progrès fondé sur le surendettement éhonté, ignorent que: la dignité humaine est basée sur la modestie, que le haut rang social est enraciné dans l'humilité, que la sagesse tire sa source de la grandeur d'âme, que l'intelligentsia est innée, même si le savoir scientifique demeure son appoint légitime, qu'on nait intellectuel, même si l’éducation didactique le complète, tout comme on nait noble avec la sagesse innée et avec la faculté de pouvoir diriger une entité sociopolitique et même le monde ou l’humanité et ses valeurs.

*- Mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental pour une société juste.

Il convient de dire ici, que pour la côte d’ivoire, il s’agit aujourd’hui dans le consensus, de récupérer toutes nos valeurs sociétales, dans un tous ensemble solidaire, de tout revendiquer solidairement, républicanisme, souverainisme, patriotisme réel, nationalisme censé, libéralisme véritablement humain, pour mieux tout dépasser, et refonder sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents sociopolitiques et idéologiques, nous ont légué comme valeurs sociétales. Pour avoir une société neuve, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Une société qui se nourrirait de la sève de la solidarité soutenue et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement. Le tout convergent dans une nation ouverte sur le monde naviguant a vue, sans nuance, ni opacité, vers le concert des nations. Il s’agit aujourd’hui de replacer au centre de la société avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état prédateur, la bureaucratie mafieuse, le fascisme de la répression arbitraire, les armes comme mesure de valeur sociale, la terreur des plus puissants. Mais de replacer l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental pour une nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et sociale pour tous. «Ceci est dû déjà dit sur notre route linaire de soit dit en passant», a destination unique de la terre de l’espérance et du pays de l’hospitalité, tous ensembles dans la vraie fraternité.

Et à la recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité et de la paix sociopolitique. Donc, insistons-en, au terme d’une crise sociopolitique de la totalité sociale, ultime détentrice de la souveraineté nationale, quand la clémence peut ramener à l’amour, à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale, ceux qu’une inflexible sévérité socio-politico-judiciaire, tiendrait une crise armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est recommandée par la grande loi de l’ordre social, du bien public, et de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre public. Afin de construire une société dont non plus l’état riche, mais l’homme incarnerait la centralité et le citoyen le cœur de toute action économico-socio-politique. Qui mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, et qui conduirait à l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Elle «Amnistie générale référendaire», cette option souveraine de politique étatique irréfragable, qui repose sur le besoin de stabilité politique, de cohérence sociale et d’harmonie intercommunautaire, se situe au-dessus des pouvoir et des hommes l’incarnent et l’exercice momentanément, dans le respect d’un rigoriste délai consensuele-ment prescrit. Hélas ! Ici elle s’oppose à de gros intérêts politiques personnels, claniques, partisans, surtout mafieux. Qui œuvrent au sein d’un pouvoir et dans l’arène sociopolitique ivoirienne, ou chaque tenant partiel du pouvoir d’état, ignore quelle est la logique gouvernementale poursuivie, mis à part le partage du butin, et surtout quel est son rôle réel et précis dans cette architecture gouvernementale, bien qu’instable et confuse. Ici, l’esprit de clan est devenu fou et le clan devenu plus agitée qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front, vive alors le Grand désordre.

*- Nous sommes républicain-social !!! Et dans «républicain» il y a république, dans «social» il y a société.

Donc, la fonction primaire d’une telle option souveraine de politique étatique irréfragable qu’est «Amnistie générale référendaire», est régulatrice, intégratrice et stabilisatrice. Et elle sert à atténuer les éléments potentiels de conflit sociopolitiques et à lubrifier le mécanisme des rapports sociopolitique, afin de garantir la stabilité politique et la paix sociale. Parce que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale souveraine, de la totalité du corps politique, à un système régulateur, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits sociopolitiques ouverts ou latents. Ici, la lutte individuelle pour le pouvoir, ne doit pas altéré les exigences citoyennes de défense de la nation et de la totalité sociale souveraine, de l’intérêt général, de combat démocratique, de vérité, de lucidité, d’objectivité dans la lutte et de courage dans l’action sociopolitique d’intérêt public dans notre pays la côte d’ivoire d’HOUPHOUET BOIGNY. La côte d’ivoire en crise a besoin de régulation infaillible, de stabilité réelle, de concret, de sérieux, de mesures consensuelles, des mesures qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, du droit universel, de la stabilité politique, de la paix sociale  et de la reconnaissance absolu de tous. Qu’on le veuille ou non, qu’on ose ou non, c’est la seule solution, il n’y a pas deux (2) postulats.

Bon ! Ce qui disent que : qu’est-ce qu’ils veulent ? N’ont rien compris ! Donc, fort de notre légalité et de notre légitimité de parolier du citoyen, ou la voix citoyenne des citoyens libres, il s’impose à nous de les faire comprendre. Donc, Oui, notre motivation est républicain-social, nos convictions entamées ci-dessus, sont du républicanisme-social. Cela veut dire quoi, au juste ? Cela veut dire que, les ballons de Basket de l’ultralibéralisme de jungle aillent au diable pour se faire crevé par leurs voisin Satan, ainsi notre monde devenu vivable se porterait mieux, en l’absence des couillons faiseurs de couillonnades, qui ne savent pas comment on fait président de la république, d’où leur désintérêt de habile frontalier à la limite de la politique noble Art et les affaires mafieuses. Oui, républicanisme-social ? Cela veut dire que, les pouvoir dictatoriaux du monde aillent se faire foutre. Que l’arbitraire obscurantiste de certaines confessions nébuleuses criminelles aille se faire enculé. Que le panurgisme politique moutonnier aille piaffer en enfer d’assujettissement des pouvoirs déviants. Que plus jamais aucun citoyen ne soit pris par sa différence sociopolitique, et que personne ne soit jamais réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Que l’autre dans sa différence quelle qu’elle soit, demeure un frère ou un ami, mais ne soit plus jamais un ennemi. Que comme dans toute nation souveraine et dans tout état républicain de droit, que l’homme politique ou l’homme public l’emporte sur son appartenance biologique, politique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques en politique ne soient plus jamais une fixation politique. Que le social prime à jamais sur la génétique, que la nationalité commune prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme des intérêts politiciens. Que la laïcité universelle prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune. Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Et que la société policée prime sur la société prédatrice de jungle ou l’arbitraire est Roi, et règne sans partage sur une société hallucinée et martyrisée.

Oui, Nous sommes républicain-social !!! Et dans «républicain» il y a république, dans «social» il y a société. Une Amnistie générale référendaire consensualiste, pour soldé les griefs sociétaux et pour annihiler les rancœurs individuelles et désarmée la crise, «latent» de la totalité sociale.  Oui, il n’y a pas de demi-mesure, non ! Il n’y a pas 2 postulats, c’est la seule solution, pour  Aider la côte d’ivoire à reprendre les rails stables de l’ordre social, de l’état républicain de droit et de la démocratie réelle, ou le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines finira son zigzag et ses micmacs, ses Ping-pongs de politique politicienne dans un précipice abyssal. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne, à «Kouma-Gbê» aux citoyens.

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30 octobre 2021 6 30 /10 /octobre /2021 20:16
Lepetitfils : Les confessions ont annihilé la politique et la politique. La laïcité universelle grommelle et bourdonne dans les corde d’un ring glauque et visqueux sur lequel, elle descendra que vaincue, si ? Or dans un réel état républicain de droit, en politique, en démocratie, et dans l’ordre du public, le peuple solidaire, sans couleur, doit agit dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration confessionnelle, élective ou d’adhésion politico-idéologique. Oui, dans un état républicain de droit, l’ordre social et la paix sont à ce prix.

Lepetitfils : Les confessions ont annihilé la politique et la politique. La laïcité universelle grommelle et bourdonne dans les corde d’un ring glauque et visqueux sur lequel, elle descendra que vaincue, si ? Or dans un réel état républicain de droit, en politique, en démocratie, et dans l’ordre du public, le peuple solidaire, sans couleur, doit agit dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration confessionnelle, élective ou d’adhésion politico-idéologique. Oui, dans un état républicain de droit, l’ordre social et la paix sont à ce prix.

A lire absolument : «une décharge de Non-droit, de cafouillage juridique, de désordre indescriptible».

Ré-disons-le encore ici, tout net. Il faut l’ordre social, l’ordre dans la société. Oui, Réconforté dans notre position d’éclectisme impassible par une persistante  situation sociopolitique kafkaïenne, confuse et abracadabrantesque. Notre sacerdoce de parolier du citoyen ici, devient tout sauf un simple jeu de rôle régulateur de routine, ou une simple réaction sentimentale de citoyen dégouté. Oui, c’est pour nous, une revendication d’une rupture mentale, entre la réalité sociale et le rêve que nous caressons, c’est une sécession entre le poids de ce qui est et tout ce qui peut exister. C’est pour nous, vouloir ouvrir le regard commun vers l’avenir et revendiquer que non seulement, une absence de normes anomiques de régulations sociopolitiques personnalisées est possible, mais qu’aussi grâce au respect strict des lois impersonnelles, qu’une citoyenneté commune dans un vivre en commun paisible est possible, au prix de l’action citoyenne synergique, assidue et désintéressée. Surtout qu’en plus, nous commençons à apprendre à voir cette citoyenneté, dans un vivre en commun paisible, pour le faire exister. Car cette citoyenneté commune dans un vivre en commun paisible, est la terre sur laquelle on bâtit les empires stables, harmonieux et paisibles, au terme d’une authentique perspective d’alternance sociopolitique. Avec pour préoccupation première, le progrès social pour tous, qui commence par l’homme. Oui par tout homme, et qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du développement socioéconomique. Et qui fait de tous les aspects de la vie humaine strictement régie, par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toutes sociétés, toutes politiques, toutes économies, tous développements, toutes relations entre citoyens de tous bords, entre personnes d’origines diverses et toutes relations entre nations souveraines.

Afin de donner à notre nation ivoirienne sa vocation étatique souveraine de régulation des torts et protectrice des droits, des libertés, des biens et des personnes, en rassemblant toute la composante sociale autour du droit, de la liberté, de la justice sociale et juridique. «Ça c’est pour la mouche citoyenne qui nous a piqué». Répétons-nous toujours, nous sommes de ce qui revendique ostensiblement, une société ivoirienne solidaire, qui admette sans faux fuyant, l’hétérogénéité des sous cultures nationales, ou «le Bidon de Bandji-Blanc côtoie le Céri-Dagâ, et se congratulent, dans le respect mutuel, comme deux camarade de la citoyenneté commune». D’où, le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Dans une côte d’ivoire redevenue un état républicain de droit, donc qu’aucun citoyen ne soit davantage citoyen qu’un autre : que le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. Que le citoyen, c’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président, un sénateur ou un conseiller d’état, un  Maire ou un conseiller général, chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes droits que tous les autres. Oui, ainsi la condition étant ainsi égale pour tous, nul n’a intérêt de la rendre compliquer ou onéreuse aux autres. Rassurer que dans ces conditions nul ne pourrait être placé au-dessus de la loi, y compris le chef l’état, président de la république, chef suprême de l’armée et commandants en chef de tous les «qu’est-ce qu’il y a ?»

*-La démocratie est le fondement de l’état de droit et de la République, où la raison est le vecteur de l’action.

*- Oui, en pratique politique, la démocratie ne consiste pas à mettre épisodiquement un bulletin dans une urne, à déléguer les pouvoirs à un ou plusieurs élus puis à se désintéresser, s'abstenir, se taire pendant cinq ans durant dans l’inertie. Non ! Elle est action continue du citoyen sur les affaires de l’état qui décide de la vie de tous et de la vie de chacun. Oui, gouverner c’est prévenir dans le temps les perspectives d’avenir d’une société. Gouverner ce n’est pas la gérance intéressée des crises sociopolitiques controuvées, non ! C’est anticiper les solutions aux crises sociopolitiques dans le temps et dans l’espace. Il est constant de par le monde que face à la politique de l’Autruche, qu’il y a des vérités qu’il faut dire et redire pendant longtemps, et longtemps rebattre des sujets sensibles de la société. Et faire tinter toujours comme une cloche, les préoccupations citoyennes, pour avoir la voie sociétale idoine, d’où la présente. Oui ! La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord. Aujourd’hui, il y a plus a pensé pour la côte d’ivoire, que des agissements carriéristes protecteurs des intérêts électoraux mafieux et égocentriques. Il y a plus à résoudre que des bassesses politico-judiciaires, protectrices des intérêts mercantiliste mafieux et égocentriques, pour positionné ses piranhas et des sangsues au bout des veines nourricières de la société commune. Ou afin, pour diriger comme un monarque du golf arabique. Avec le soutien intéressé, mais ferme des puissances extérieurs, au mépris du droit et du réel. Ces pratiques archaïques, sont porteuses de périls pour leurs auteurs et pour la totalité sociale. Oui, le temps de fin du règne de la concussion et du copinage habile a fait son entrée en scène dans la sphère politique internationale. Ou les mensonges d’état de soutiens de camaraderies ne sont plus vraiment audibles. Les incorrigibles fauteurs de troubles politico-juridico-démocratique doivent faire attention à leurs manœuvres sournoises, de coup-bas et de bas-coups, qui leur porteront préjudice à vie. La trahison ne s’efface pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile. Oui, certes un peuple demeure bête-borné, un bon moment, mais ils ne le restent jamais à vie ! Ça jamais de la vie.

Donc l’orchestration d’actions de sabotage de la démocratie, n'est pas un jeu digne de ceux qui gèrent et aspirent à gérer les biens publics, qui est la propriété exclusive du peuple souverain. Il est d’une constance absolue, qu’il est des moments de la vie, à défaut de la lucidité dans l’action sociopolitique, la sage retenue, l’autocontrôle, la contrition et la discrétion, au tour des ambitions carriéristes perverses s’avèrent plus efficaces. Car, on ne joue pas avec le sens de l’honneur et le sens de la dignité du peuple. Ici, rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir, surtout en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions. Il n’est pas sain de s’afficher partisan d’un événement sociétal porteur de honte, de haine et de régression pour tout un peuple. Oui, un peuple souverain doit donc, veiller de droit, à ce que son espoir d’une société cohérente et solidaire, ne soit pas étouffé par des politiques politiciennes, socles de politicards carriéristes, arrivistes renégats, sans projets. Dont les actions de non-sens, sont à la hauteur des motivations strictement égoïstes, égocentriques et personnelles, et qui  espèrent mettre en mouvement leurs aspirations profondes d’intérêt personnel, autour du pouvoir d’état. Et surtout qui ne désespère pas d’accaparer de non-droit et de fait, la souveraineté populaire et partant le destin de la nation, pour le plier à leurs seules exigences claniques, égoïstes et égocentriques. Qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt irrecevable, inacceptable et injustifiable au processus démocratique. Oui, ici, la démocratie réelle est le fondement de l’état de droit et de la République, où la raison est le vecteur de l’action sociopolitique. D’où la politique, la vraie ! C’est dissuader le peuple gouverné, c’est convaincre et persuader les citoyens libres, c’est persévérer à toute épreuve dans les mêmes positions et insister dans les mêmes discours, d’y persister dans les mêmes situations et dans la pire des situations au risque de sa vie physique.

*-Aider la côte d’ivoire à aller vers un état républicain de droit et la réconciliation nationale dans l’union de tous.

Oui, hélas ! Mille fois hélas !  Dans la perspectives des élections de 2025 revoilà le peuple ivoirien encore aux aguets à tout redouter des zigzags inconséquents, des micmacs insouciants et des comportements légers, des actions socio-politico-judiciaires dans la perspectives de conquête du pouvoir par une classe politique éparse et disqualifiée, confinée à la remorque d’un pouvoir d’état déviant, non-maîtrisé, le tout divaguant ostensiblement dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne, ou la légitimité internationale et la légalité nationale s’acquiert a Elysée, ou la clarté et honnête se juge a Elysée . Oui, le peuple est halluciné, craignant déjà que la compétition de 2025 ne tourne à une nouvelle tragédie politico-sociale, qui consoliderait la peuplade des cimetières, dans notre pays. Oui nous doutons sérieusement de l’écologie mentale de ceux qui entre en transe face à l’enjeu, des compétitions politico-démocratiques  à venir, «la musique du Diable et de Satan a résonnée, si X ou Y n’est pas dans la course on gagne». Le summum de la bassesse politique quoi ! Ils doivent sûrement avoir ces politicards une forte dose de Gravier, de Sables mouvants ou de Boue «pôtô-pôtô» immuable dans leurs têtes. Ils commencent à reproduire une situation incertaine, qui vient rappeler et aggraver encore la crise froide, mais brûlante de plus en plus fréquemment, qui déchire le tissus de la cohésion nationale socle de l’état et partant substrat de la république. Avec des coups de poignards répétitifs dans le dos de la démocratie et des républicains-et-démocrates. Il est constant de par le monde, qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. L’appareil du système étatique et l’outil du système économico-socio-politico-démocratique, tout comme l’outil du système électoral, mal exploité peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles. Or seules ces valeurs universelles peuvent aider, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny à sortir de la situation de crise sempiternelle, à conduire au développement véritable dans le progrès pour tous et le bonheur commun.

L’état de droit et la démocratie doivent être assis sur le droit et la liberté et c’est là que les ivoiriens de tous bords politiques, se voient dévolus aujourd’hui un rôle primordial devant l’histoire, aider l’état de droit et la démocratie à aller vers un état de droit républicain réel et à la vraie réconciliation nationale dans l’union de tous. Donc à rebâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles bafoués et la paix sociopolitique, par le biais de ses valeurs sociales universelles suscitées. Oui seule la pratique démocratique réelle peut nous libérer des nouveaux maux qui rongent notre société autrefois paisible, qui inhibent toute perspective d’avenir meilleure et de la construction d’une communauté nationale réconciliée avec elle-même et avec le monde civilisé. Oui, l’avantage indéniable, du respect strict des droits civils et politiques universels, est que, un pouvoir d’état issu légalement et légitimement de la volonté populaire de tous, ne peut être oppressif pour le peuple souverain. Il ne peut s’appliquer qu’à défendre les justes intérêts des membres de la totalité sociale. Donc, il ne peut qu’assumer, protéger, les droits des contractants contributeurs de la totalité sociale, et leurs droits civils et politiques. Sous un tel pouvoir d’état issus légalement et légitimement de la volonté populaire souveraine, permet de sauver, de garantir les droits inaliénables, les libertés démocratiques et individuelles de tous. Ce qui enfante une société cohérente, homogène, où le citoyen libre, enfin totalement libre, n’a plus que le droit et les règles librement établies, pour limite. Une société, où les hommes «tout être humain», d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une société  stable, cohérente, harmonieuse, paisible, plus que jamais unie au tour de la nation dans l’exaltation de la diversité solidaire. 

*- Le confessionnel à annihilé la politique et le politique. La laïcité grommelle et bourdonne sur un ring visqueux.

Confinée dans un capharnaüm kafkaïen chez pétaudière, notre patrie la côte d’ivoire est enfermer dans un système clanique prédateur de jungle, adepte d’un carcan de certitudes bétonnées, où les slogans exutoires tambourinés étouffe la moindre prise en compte des analyses expertes, doctes, esthètes, intellectuellement et objectivement réelles. On dénie la démocratie comme l’apprentissage des limites et de l’autocontrôle, qui exige le respect de la diversité, de la pluralité politique, du consensus politique, au tour des règles de la compétition électorale, qui se doit d’être loyale, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. La vraie réconciliation nationale se fait en soignant la plaie sur sa vraie surface, là où ça fait très mal, sa guérison sans séquelle est à ce prix. Ici la démocratie et la réconciliation sont inextricablement liées et interdépendantes. Oui, si l’on veut être crédible aux yeux du monde extérieur, l’ivoirien doit montrer sa capacité à faire bouger les lignes sociopolitiques en côte d’ivoire. Pour avoir une société ivoirienne harmonieuse, débarrassée de toutes les scories passéistes d’implantations et d’importations. Une société ivoirienne réconciliée, libérée de la barbarie violente de l’obscurantisme politique et des institutions politiques républicaines, devenues vermoulues, débarrassée d’un système démocratique démodé. Une société ivoirienne, où le citoyen libre, enfin totalement libre, n’aura plus que le droit réel et les règles librement établies, pour limite. Une société ivoirienne, où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains non déshumanisé. Une société ivoirienne stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire. Une société ivoirienne de la différence acceptée par tous, une société ivoirienne de la variance, qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Une société ivoirienne ouverte sur le monde. Et c’est maintenant, demain ce serait trop. «La côte d’ivoire dans un grand désordre peine à retrouver l’ordre atavique».

Les confessions ont annihilé la politique et le politique. La laïcité universelle grommelle et bourdonne dans les corde d’un ring glauque et visqueux sur lequel, elle descendra que vaincue, si ? Malgré que, l’humain, l’inacceptable et l’injustifiable, semble avoir découvert, dans le parc de la Comoé, son terreau fertile d’expansionnisme, la criminalité nébuleuse couvert des dénominations obscurantiste est enquête effrénée des ressources naturelles souveraines de la côte d’ivoire, et le parc de la Comoé en regorge, d’où l’enjeu n’a jamais été confessionnel, non ! Il est de pure criminalité transfrontalière, en quête de nouvel Eldorado sous couverture confessionnelle. Il est temps d’enlever l’épine dans le pied Nord de la côte d’ivoire, la terre de nos ancêtres, quitte à que ça saigne abondamment pour une guérison sûre et certaine. Mais cela ne peut s’inscrire que sur registre d’une préoccupation, d’une détermination et d’une priorité politique anticipative. Hélas l’âge du président semble plus préoccupant. Or, dans un réel état républicain de droit, en politique, en démocratie, et dans l’ordre du public, le peuple solidaire, sans couleur, doit agir dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration confessionnelle, élective ou d’adhésion politico-idéologique. Oui, dans un état républicain de droit, l’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie intercommunautaire est à ce prix, la paix sociopolitique, est à ce prix. Et ceci débouche sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état, non-redevable autre qu’au peuple incolore. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés solidaires, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne, qui admette l’hétérogénéité des sous cultures nationales «comme dit ci-dessus». Oui, ici il est constant que la volonté de toute la composante sociale ne peut être injuste pour d’autres membres de la totalité sociale. Parce que, la volonté générale de la totalité sociale ne peut s’appliquer qu’à défendre les justes intérêts de tous ses membres, elle ne peut qu’assurer les droits des contractants consensuels de la société commune. Et elle ne peut que s’affirmer gardienne des droits civils et politiques du citoyen. Elle ne peut permettre, et s’atteler qu’à sauver et à garantir les droits et les libertés de tous. Cela protège la société des désagrégations graves résultant des pratiques politicienne. Il faut le répéter cela protège la société des désagrégations issus des bassesses politiques.

*- Des fanfarons, des truands, des malhonnêtes, des sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia, pour leurs ventres.

Mais hélas le clanisme mercantiliste mafieux et les faux Boyards politiciens de ventre devant l’éternel, continue à célébrer, le culte obscurantiste de la personnalité, de l’intérêt particulier, qui assujettit le peuple dans des institutions vermoulues. Ils sont sûr de leurs faits, ces grognards mercantilistes, matraqueurs des libertés, ces broyeurs des droits de l’homme et de la démocratie, ces annihileurs des espérances du peuple en un avenir meilleur et ces destructeurs des aspirations légitimés des citoyens vertueux, ces zélateurs enfarinés des droits civils et politiques, ces fossoyeurs de la démocratie universelle, qui veillent délibérément à diaboliser toutes opinions opposantes, tendant vers l’état de droit et la vraie réconciliation nationale, dans le consensus politique, au terme d’un sincère dialogue républicain et vers toute politique saine du pardon national au terme d’une Amnistie générale référendaire, qui à pour aboutissement la cohésion nationale et l’harmonie communautaire. Ainsi ils ringardisent toutes paroles citoyennes légitimes, ou tout simplement dissonantes, d’où la criminelle obstruction orchestrée à ces quelques mots de valeurs universelles ci-dessus, et fondateurs de civilisation dans l’arène politique ivoirienne, sous leurs jougs. Leurs actions politiques de credo compromissoire protecteurs des intérêts particuliers, portent en elles-mêmes les germes de toutes sortes de crises sociopolitiques comme les nuées portent inexorablement l’orage. La société que ces gens pourri-là, «d’un clanisme mercantiliste mafieux et les faux Boyards politiciens de ventre», nous annonce ressemble à une assemblée inconsciente d’individus malhonnêtes grommelant, bourdonnant, sans repère moral, sans doctrine philosophique, sans idéologie politique et sans racine sociale, dispensé de droit et de l’ordre, réduit qu’ils sont, à suivre la direction du vent, qui porte leurs intérêts particuliers de panurgisme moutonner, démocratique-socio-politico-électorale. Des fanfarons, des truands, des malhonnêtes, des voleurs, des sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia, pour leurs propres ventres et pour leurs intérêts égocentrique. Le moi ou rien, la concrétion du moi au lieu de la convergence salvatrice

Ainsi se faisant, la chère patrie déboussolée, étourdie, indécise, vacillante et oscillante sur ses bases souveraines, peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales, d’une crise sociale aiguë, voulue par un carriérisme pathologique. Un carriérisme, introducteur d’une société désordonnée, ou le laisser-aller se dispute avec la sans loi. En Côte d’Ivoire, toutes les crises sont maintenant présentes : «Crise de droit, crise morale, crise civique, crise de confiance, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité, crise identitaire. Donc crise de la totalité sociale, résultante d’un désordre indescriptible, entretenue sciemment par un système attrape-tout». La crise sempiternelle que connait la société ivoirienne violée, est une crise de l’absence de l’art du vivre en commun dans le respect des normes juridiques, qui régissent la société commune. Une crise du dévoiement des pratiques saines démocratiques et du non-respect du droit universel, par la suscitée meute de politicards, carriéristes pathologiques et arrivistes renégat. Qui se sachant incontestablement incapables de satisfaire aux légales exigences rigides du droit, préfèrent l’art de tripatouillages, de magouilles, de concussions, des copinages et des affaires mafieuses. Ces versatiles endurcie de pratique politicienne qui se dérober aux conséquences de sa propre politique au gré de ses intérêts du moment, est dangereuse pour la totalité sociale. D’où, Chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué dans son assisse juridique, dans son substrat sociale d’existence. Aussi désespéré dans ses droits civils et politiques, dans ses libertés fondamentales de citoyens, dans ses droits inaliénables d’humain. Et même dans ses biens et dans ses propriétés immémoriales, chacun fait son gendarme.

*-La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, a besoin de l’ordre social, ou de son Atavique sociabilité humaine.

Et cette camarilla  mafieuse ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à ses seules exigences égocentriques et claniques, «comme déjà dit, leur action politique de credo compromissoire portent en elles-mêmes les germes de la guerre civile, de toutes sortes de crises sociopolitiques comme les nuées portent inexorablement l’orage». Dans une côte d’ivoire devenue de tous les chaos, soutenu par les non-dits et les sous-entendus, et le résultat est terrifiant : chacun tire de son côté, n’importe comment, en épiant les autres, à l’image de ces rapaces rassemblés autour d’une proie inerte, en décomposition avancée, en se battant parfois avec leurs semblables, en cohabitant avec eux le reste du temps, en s’alliant toujours contre ceux qui ne font pas partie de leur monde. Delà, a résulter l’impossibilité de la réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire, les Zigzags et Micmacs autour d’accès à la fonction élective de président de la républicain, ou, si des portes voix sont connus, les instigateurs commanditaires sont aussi imaginables. Mais tout de même, le serpent à sonnette a fait entendre sa musique par support interposé et la danse macabre aura bel et bien lieu en 2025. Pauvre côte d’ivoire ! Bon ! Malgré tous, nous ne sommes jamais descendus du train de la stabilité et de la paix sociopolitique à destination d’une société vivable, piloté par les Gyroscopes, nous sommes toujours dans l’antichambre derrière la porte de la cabine de pilotage des gyroscopes. Ceci toujours et pour toujours jusqu’à... Donc, rebaptisé ou renommé en un nouveau mouvement politique, ou restructuré et ré-mécanisé pour un centenaire triomphant à venir, nous y sommes en appoint, si nous en vallons encore un « 1 » ? La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, a besoin de l’ordre social, ou de son Atavique sociabilité humaine. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne, parolier légal d’intérêt citoyen qui n’a ici causé le Nom de personne, ici nous somme sur notre champ de prédilection sacerdotale, notre espace d’évolution, ce qui est dit, est dit, Pian !!!»

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8 octobre 2021 5 08 /10 /octobre /2021 23:04
Lepetitfils : Une activité parlementaire ne peut être de vouloir prescrire, un droit imprescriptible. Non ! Non ! Et NON ! «L’honorabilité oblige le  législatif de quitter dans Pkapkato-yâ», «l’exécutif doit abandonner le nombrilisme de Môgô-fâgâ-wouyâ, soutenu par Marfâ», « le judiciaire ne doit pas regarder en dessous des tables, des faits-nous-faits » «le citoyen doit avoir un regard continu, soutenu et dédouané de diplomatie, sur sa société», «le peuple doit rester gardien capables de coup de pied au cul pour sa souveraineté», «les normes juridiques antinomiques et mortifères ou mêmes les élections-cadavres, la côte d’ivoire doit quitter dans ça».

Lepetitfils : Une activité parlementaire ne peut être de vouloir prescrire, un droit imprescriptible. Non ! Non ! Et NON ! «L’honorabilité oblige le législatif de quitter dans Pkapkato-yâ», «l’exécutif doit abandonner le nombrilisme de Môgô-fâgâ-wouyâ, soutenu par Marfâ», « le judiciaire ne doit pas regarder en dessous des tables, des faits-nous-faits » «le citoyen doit avoir un regard continu, soutenu et dédouané de diplomatie, sur sa société», «le peuple doit rester gardien capables de coup de pied au cul pour sa souveraineté», «les normes juridiques antinomiques et mortifères ou mêmes les élections-cadavres, la côte d’ivoire doit quitter dans ça».

*- Oui, les mêmes causes produisent les mêmes effets. « 2010-2015-2020 surement 2025».

La côte d’ivoire a Mal, non pas à sa constitution «de 2000», mais a ses hommes politiques « politicards ». Oui, dans un état républicain de droit, l’âge d’un homme politique ne doit pas être une fixation absolue jusqu’à vouloir le prescrire dans des normes juridiques positives, supposées être de régulations sociopolitiques. « L’âge des députés Français de la législative en cours varies de moins trente « 30 » Ans, a plus  de 80 Ans, sinon vers 90 Ans. Et le président américain Joseph Robinette Biden Jr, dit Joe Biden, a été élu président a l’Age de 77 Ans ou 78, et il gouvernera peut être pendant 8 ans jusqu’à l’âge de 85 Ans ou 86 Ans. Si ! Oui seulement si,  Donald Trump qui aura 80 Ans dans quatre «4» ans ne viens  pas réactiver les affaires qui paraissent clownesque pour Joe Biden, ». « Ce ultralibéral de jungle carnivore, a déjà emmerdé le monde pendant 4 ans, et est toujours capable de revenir à 80 ans, pour emmerder le monde en nouveau, autant que mon pays de merde la côte d’ivoire l’emmerde». Puisque, la politique est un  concours de représentativité du peuple souverain. Donc ce n’est pas le business, c’est ce n’est pas les fabriques politiciennes, ce n’est pas les affaires mafieuse, ça ne se mesure pas à l’aune de la force physique, ou à l’aune de l’âge des prétendants à la fonction mise en concours. Donc,  en droit, et de droit, surtout dans un état républicain de droit, il y a des droits civils et politiques  qui ne se prescrivent pas dans une norme juridique.

Donc la personne physique de l’homme politique, ne doit jamais être une fixation, tant qu’il dispose de ces droits civils et politiques, «non-consommé totalement au terme d’un délai Franc imparti d’exercice de la fonction politique ». Ce qui doit intéresser en l’homme politique ce sont ; sa capacité intellectuelle, sa faculté mentale, son aptitude à pouvoir exercer la fonction dont il porte la prétention, sa capacité intellectuelle d’anticipé les perspectives d’avenir dans le temps, ses actions politiques et gouvernementales, qui décident de la vie de la nation, qui décident de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun. Le tout dans le respect de la promesse républicaine de l’égalité de chance dans la société commune, de l’égalité de tous en droits et devoirs, indépendamment des appartenances politiques, des origines individuelles, de convictions philosophiques, de croyances religieuses sectaires», sans aucune politique condescendante, sans aucune fabrique juridique de domination partisane. Et dans le respect de l’ouverture, à l’égal accès des citoyens aux compétions électorales démocratiques pour la conquête du pouvoir étatiques, qui est par essence, comme déjà dit, un concours de représentativité du peuple souverain ultimes détenteur du pouvoir étatique.

Donc, un concours de représentativité, sans exception particulière, contraire au droit universel, tous «citoyens» moulé dans le système de la démocratie électorale, qui cadre avec le principe du pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. Donc, nous  «ivoiriens» devons œuvrer pour la libre concurrence démocratique et électorale, tous soumis au système politique universel, de gouvernement démocratique largement ouvert, et tous respectueux de la règle du droit. Oui, notre pays a plus que jamais besoin aujourd’hui des gens «Capables, quelques soient leurs âges» pour sauver notre volonté de vivre un destin meilleur, que celui que veulent nous imposer les forces rétrogrades et du mal, qui violent les règles préétablies du droit, qui bafouent les principes de la démocratie, qui constituent pourtant le fondement d’une société harmonieuse, d’une société libre, d’une société cohérente, d’une société de droit et d’une société démocratique, qui permettent aux citoyens de s’épanouir en tant que citoyens libres et égaux. Oui, dans un état républicain de droit, l’âge d’un homme politique ne doit pas être une fixation absolue jusqu’à vouloir le prescrire  dans des normes juridiques positives de régulations sociopolitiques. Une activité parlementaire ne peut être de vouloir prescrire, un droit imprescriptible. Non ! Non ! Et NON !

«L’honorabilité oblige le législatif de quitter dans Pkapkato-yâ», «l’exécutif doit abandonner le nombrilisme de Môgô-fâgâ-wouyâ, soutenu par Marfâ», « le judiciaire ne doit pas regarder en dessous des tables, des faits-nous-faits » «le citoyen doit avoir un regard continu, soutenu et dédouané de diplomatie, sur sa société», «le peuple doit rester gardien capables de coup de pied au cul pour sa souveraineté», «les normes juridiques antinomiques et mortifères ou mêmes les élections-cadavres, la côte d’ivoire doit quitter dans ça». Oui, les mêmes causes produisent les mêmes effets. Cela se dit depuis que le monde est monde, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, doit-elle encore dévier en 2025 ? Et foncer tout droit dans le mur de par la volonté politique d’écarter deux « 2 » têtes représentatives ? Tout, porte à le croire, puisque une nouvelle danse du diable a fait entendre ses rythmes préférés et effrénés. Des danseurs y sont attirés, malgré eux, d’autres sont près d’y aller volontiers, parce qu’il y aura de quoi à manger au prix du sang citoyen. Oui, qui peut démontrer que la défense des idéaux démocratique peut s’accommoder de l’acceptation de la restriction juridiques des droits civils et politiques inscrits dans des normes internationales contraignantes, au nom d’une hypothétique légitimité textuelle nationales, qui par essence, est un acte qui résulte du déni du droit ? Ici notre motivation est unique : « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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26 septembre 2021 7 26 /09 /septembre /2021 16:35
Lepetitfils: Les procédures de révisions constitutionnelles, doit échapper aux hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix, surtout pour échoir, à l’aspiration profonde du peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Elle doit être mis, sous la supervision scientifique régalienne d’intérêt public, des scientifiques et des grands techniciens de la matière constitutionnelle, et doit être soumis pour avis ou censure de la juridiction politiques «conseils constitutionnel après votes parlementaires .

Lepetitfils: Les procédures de révisions constitutionnelles, doit échapper aux hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix, surtout pour échoir, à l’aspiration profonde du peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Elle doit être mis, sous la supervision scientifique régalienne d’intérêt public, des scientifiques et des grands techniciens de la matière constitutionnelle, et doit être soumis pour avis ou censure de la juridiction politiques «conseils constitutionnel après votes parlementaires .

*- Prolixe non ! Mais préoccupé, par un nouveau zigzag et micmac effréné vers le mur.

Bon ! Donc, d’emblée, admettons en nouveau ici, qu’il faut se répéter, même si de toute évidence, nous sommes convaincus et sûr, de ne pouvoir rien changer, dans le nouveau brouillamini, dans le nouveau brouhaha, et dans le nouveau hallali de révision constitutionnel d’intérêt politique, qui se dessine. Puisque, l’obscurantisme des intérêts personnifiés, n’a pas besoin de lumières, et n’a pas besoin d’expertise ou d’analyses doctes et esthètes, soient-elles, Non ! Pas du tout besoin. Mais cela ne doit pas nous empêcher, de répéter ce que nous avons ressassé depuis 2015. Donc, dénonçons-nous, en espérant des mesures, qui prisent ensemble par la totalité sociale souveraine, concourrait à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État, par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, du droit universel, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne. Sans casse ou cassure, ni GbanGban ! D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Donc point de lynchage juridique ou politique, d’un homme politique taxé de pro-X et de pro-Y, encore moins l’excommunication sectaire sociopolitique, ou de damnation diabolique. Le sectarisme du combat politique personnifié, n’a rien à voir avec le noble art du discursif politique, dans laquelle le peuple souverain est le destinateur privilégié de tous les discours politiques, par ce que détenteur ultime du pouvoir d’état.

Oui, Dénonçons-nous, parce qu’en politique, il suffit d’un ou de plusieurs individus malhonnêtes dans un groupe d’hommes politiques, pour que tout le système entier devienne malhonnête. Si cette situation sociopolitique malhonnête et néfaste pour l’intérêt général de la société, n’est pas réguler par la dénonciation citoyenne, «dénoncer, c’est notre mission sacerdotal de toujours, inlassable parfois ingrate, et dédouané des cultes d’un, Gnamien-Pwbli». Elle se répand insidieusement de façon souterraine, par l’obscurantisme politique, par l’intimidation et la menace, par la peur de la force matérielle, par la manipulation différencialiste et par la connexion ou des interpénétrations des intérêts pécuniaires. En effet pour ligoter psychologiquement un homme politique, il suffit de l’entraîner dans des affaires obscures et mafieuses, qui le rendront forcement lié au système mafieux et complice du processus corrompu. Donc, pour nous l’intérêt de la dénonciation, est de tenter, de réguler la vie sociopolitique, l’action publique des gouvernants par des critiques légales et par des dénonciations légales et aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de notre pays. Le poisson pourri par sa tête. Oui, Dénonçons-nous, parce que le ver est dans le fruit qui pourri et les dégâts seront énormes. Il est constant de par le monde, qu’il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, une analyse sociopolitique de diagnostic, a pour but de se pencher sur un événement, dans une perspective d’évaluation, puis éventuellement participer à son amélioration. «Comme dit  ci-dessus, c’est notre sacerdoce».

Donc une analyse sociopolitique, est forcément normative, qui nécessite un substrat, l’explicitation d’un modèle référentiel, celui des pratiques juridico-sociopolitiques attendues ; ici la question de l’évaluation analytique de l’action sociopolitique d’un homme politique, est liée à son transfert éventuel sur le terrain par le biais de normes consensuelles élaborées dans une situation problématique, par des acteurs politiques et des citoyens participants, sans responsabilités publiques effectives, du moins par rapport à la situation sociopolitique donnée, qui exige solution. Donc, ce qui est visé par l’analyse n’est pas forcement «l’ultime» solution du cas pour celui qui l’apporte, mais vise à l’entraînement de tous les membres du groupe social à l’intelligence de la situation problématique qui s’impose ou qui s’oppose et qu’ils peuvent rencontrer. Oui, ici l’animateur de l’analyse sociopolitique d’intérêt public a alors deux préoccupations légitimes, apporter ou conforter des connaissances universelles, permettre à la totalité sociale de comprendre les déterminants de la situation sociopolitique complexe à l’extrême. Donc, cela ne va pas sans vérité crue et nue. «C’est notre but à nous, non pas les milliards des caisses étatiques». Oui, Endormi par les profits du grand désordre actuel, on se leurre et se trompe, pour Rien, la côte d’ivoire offre aujourd’hui au monde le visage d’une société à la dérive, un désordre, qui ne présente Rien dans le concert des nations, qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. La Pauvre côte d’ivoire, sera sans doute resoumise à un nouveau zigzag et micmac constitutionnel vers le mur de rochet, d’une révision constitutionnelle pour rétrécir les voies d’accès à la fonction de président de la république de côte d’ivoire. AGBÖ !

*- Oui, la modification constitutionnelle doit obéir à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine de la nation.

Oui, convenons-en, une Constitution n'est pas un texte de loi ordinaire.  C’est la loi des lois, c’est un acte solennel par lequel une société déclare les principes de droit qui la fonde, qui la rassemblent et qui l'organisent. Ce texte-là, ne peut être changé aussi facilement qu'une loi ordinaire. Il faut une procédure particulière, consensuelle, d’intérêt public, plus solennelle, plus exigeante, qui corresponde à la qualité de l'acte à modifier et qui cadre à l’extrême perfection avec la volonté du peuple souverain et les intérêts de la totalité sociale. Donc, dès lors, il faut une procédure normale d’intérêt public, d’intérêt général, débarrassé des intérêts politiciens carriéristes de révision constitutionnelle. D’où la recherche de l’ordre sociale et de l’intérêt général doit primer. Ici on doit tenir compte de l’aspiration profonde du peuple, a la stabilité sociopolitique et à la paix sociale réelle, et on doit tenir compte que, la fonction primaire d’un système juridique surtout constitutionnelle, est intégrative. Un tel système  juridique doit servir à atténuer les éléments potentiels de conflits sociaux, et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux, afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. En effet, c’est seulement avec l’adhésion consensuelle de tous, à un système de normes juridiques d’intérêts généraux, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Mais hélas ! Nous allons en nouveaux lamentablement vers une révision constitutionnelle a visée personnalisée, avec la future crise que cela sous-tend. Le peuple assujettis fera encore les frais, payera la note extrême. Et on dira que, le non-droit est droit, par la votation politique par une Assemblée automate, au service d’une monarchie ploutocratique, chapeauté par un Roi. Les droits strictement prescrits et à délai franc sans appel, sont dit constitutionnellement remis à zéro «SIC».

Disons-le encore, les normes positives ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Donc elles ne sont pas souvent forcément du droit ou conforme au droit universel. Donc une révision normale  constitutionnelle, « droit positif », ne se fait pas au mépris de la souveraineté populaire du peuple, assujettis en le limitant dans son choit, par conséquence contraire au droit universel, n’est pas du droit et ne peut l’être. Parce qu’elles s’affirment dès lors, manifestement et ostensiblement comme la volonté abstraite d’un homme politique ou d’un groupe d’hommes politiques soucieux d’arrivée à ses fins de dominations néo-monarchiste débridé ou à une ploutocratie, par le biais du rétrécissement des voies d’accès au pouvoir public électif et pour le renforcement du pouvoir exécutif qui est par essence l’autre figure du despotisme. Ainsi la révision constitutionnelle politicienne, devient un procédé dangereux pour le peuple, en raison de la possible utilisation que peuvent en faire des hommes politiques initiateurs de la révision constitutionnelle, avec unique objectif de faire légitimer par des législateurs intéressés, leurs desseins dynastiques condescendants et de domination sociopolitique, avec comme appui les institutions étatiques vermoulues au mépris des intérêts du peuple souverain assujettis en grande partie ignorante.

Or, le droit du peuple et le droit universel de la totalité sociale souveraine, exige que le but unique d’une révision constitutionnel, ne soit pas exclusivement à visée d’intérêt politicien ou pour le cadenas-sage des voies d’accès à la fonction de président de  république. Sinon, on risque de confondre légalité du droit universel et uniformisation personnalisé des règles du droit positif, à des fins strictement d’intérêt politique. Dès lors, il devient constant, qu’au terme d’une modification constitutionnelle, la primauté et l’universalité réelle des droits comme fondements du pacte social « conception technico-juridique», doit pouvoir se conjugué avec l’affirmation de la souveraineté du peuple et de la citoyenneté «conception politico-juridique», inscrit au cœur de la démocratie républicaine et de la démocratie populaire, assis sur le principe du gouvernement du peuple, par le peuple, et pour le peuple, sans restriction aucune. «Voulu par Abraham Lincoln, à la remorque de la Grèce antique». Nous sommes conscient qu’une nation doit en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais de reformes de son substrat social et de procédures juridiques et démocratiques symboliques, surtout d’intérêt général, aux nombres desquelles figure la révision constitutionnelle périodique et/ou l’élaboration d’une nouvelle constitution pour s’adapter à l’évolution du temps et du monde réel, mais dédouanée de récupération politique, qui est très dangereuse. Parce que, porteur de germes de conflits de toutes sortes. Mais n’empêche ici, la règle universelle édictée depuis la nuit des temps par le droit internationales est que, les républiques ne sont pas statiques et figées.

*- Il faut un consensus sur la révision constitutionnelle, socle de la société, normes de régulation sociopolitique.

Mais de toute évidence, la révision constitutionnelle peut toujours présenter un risque de crise sociopolitique, dès lors qu’une réponse à la question de la révision constitutionnelle, est présentée comme une manifestation de confiance ou de soutien à l’égard d’un homme politique, auteur ou initiateur souterrain, de la question de révision constitutionnelle, ou une condamnation d’un autre homme politique, opposer à la question de la révision constitutionnelle. Ceci est politiquement indéniable, sauf une très grande vigilance du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, il s’agit là, d’une possible déformation textuelle par récupération d’habilité politique, difficilement évitable, quand la question de la révision constitutionnelle, est personnalisée et d’intérêt politicien. Dans la mesure où l’initiative de la révision constitutionnelle, est laissée à un groupe politique détenteur de tous les pouvoirs étatiques. Donc disons ici, Modification constitutionnelle d’accord, mais une révision constitutionnelle républicaine, conforme au droit et l’aspiration profonde du peuple, à vivre en commun dans la paix. Et d’avoir pour strictement pour but essentiel, pour cette révision constitutionnelle, d’arriver à la réconciliation nationale et à l’harmonie communautaire et la paix sociale. Donc ici «pour la côte d’ivoire» ce processus doit être à la remorque d’une Amnistie générale référendaire des faits de la crise ivoirienne de l’après Houphouët Boigny. Si on veut la paix sociale pérenne. La force de ce processus réside dans son caractère réconciliateur, entre hommes politiques d’une part et entre communautés nationales d’autre part, qui peut obvier d’autres crises sociopolitiques dans le temps.

«Bon ! Il est mieux de le souligner encore ici, non pas pour X ou contre Y, mais par devoir citoyen, puisque notre sale gueule, à nous, libre de tout engagement, a l’aptitude de le faire, oui, il y a danger pour la côte d’ivoire, il y a péril à la maison ivoire, à cause des conceptions politiques monarchistes, archaïques, des comportements sociaux primaires. Des comportements sociopolitiques déplacés et des attitudes intransigeantes, intolérantes, de certains partisans politiques, en vers les opinions des autres partis ou appartenances sociopolitiques. Le tout dans une étroitesse d’esprits sectaires et criminels, dans les rapports humains, dans la vie sociale et dans la pensée politique. L’amateurisme de ce sectarisme politico-démocratique, ou même électoral, d’une voyoucratie politicarde, inscrit sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, assis sur la manipulation politicienne, avec essence le mercantilisme, perdra la côte d’ivoire. Avec l’amoralité dans l’action de conduite des affaires publiques de l’état, les entorses répétées aux règles de droits, aux principes démocratiques et électoraux, qui peuvent conduire à l’état paria, fait de dénaturation en outrance des substrats sociétaux, de formatage mental des citoyens, de l’Euthanasiste politique des appartenances opposées, de la dépravation des mœurs sociopolitiques. Oui, une politique mafieuse clanique et partisane, qui divague dans les fibres de la société avec un bidon d’essence dans la main gauche et une boite d’allumette dans la main droite, ce qui a dévalorisé la représentation nationale à tous les niveaux, et provoquer l’effondrement de toute crédibilité dans la gestion de la crise ivoirienne depuis 2011, au niveau africain et même planétaire. Un fiasco socio-politico-démocratique, de persister dans une logique périlleuse, protecteur des intérêts particuliers. Ne pas résoudre les crises, mais les aggraver sciemment à dessein, ou  les fanfaronnades d’éloges rémunérés disposent des expertises doctes et esthètes. Donc le choix manifeste du désordre sociopolitique, de l’instabilité politique, du chaos social, qui s’oppose à l’option exigeante pour la civilisation moderne digne du 21siècle, ou la démocratie réelle est le fondement de l’état de droit et de la République, où la raison est le vecteur de l’action sociopolitique. Oui, les normes juridiques positives comme mur diviseur de droit, anti-personnel ou anti-caste de personne, dans l’organisation sociale, portent toujours en elles-mêmes des germes de crises sociopolitiques. Un Phénomène d’Afrique, révélateur de la mentalité retardataire et de la culture sociopolitique démodée, d’un dangereux sectarisme ploutocrate, à la limite de la criminelle, qui dénotent, non seulement le ridicule politique, mais la bassesse d’ambitions perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation toute entière. Nous le disons ici, en SOS, à qui veut l’entendre, en espérant pouvoir sauver la volonté souveraine ivoirienne de vivre un destin socio-politico-économique commun, paisible, harmonieuse et meilleur, dans l’anticipation des perspectives sociétales, mieux diagnostiquées, que celui que veut l’imposer, ce sectarisme politique, sans projets, ni perspectifs d’avenir. Avec une seule ambition la conquête ou la conservation de pouvoir. Il y a trop de Couillonnades dans ce pays. Voilà, ce qui est dit, est dit».

Donc, il convient de souligner formellement ici, pour la gouvernance du peuple souverain de côte d’ivoire ultime détenteur du pouvoir d’état, qui n’a plus besoin de «Gbangban, ni de Gnagami-sso». Que ce n’est pas un groupement de partis politiques, ou un parti politique, sinon même une personnalité politique, qui décide délibérément de la modification constitutionnelle d’un état souverain. Non ! La modification constitutionnelle doit obéir à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine, elle doit être, conforme au droit du peuple à disposer de lui-même, dans la stabilité politique et dans la paix sociale. Et ce peuple souverain doit savoir ou doit retenir, qu’un député est celui qui est porte-parole du peuple pendant une échéance constitutionnelle prescrite, qui se doit obligatoirement, de transporter une voix qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que le peuple souverain veut, à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale de la totalité sociale souveraine, exprime du bas vers le haut. Et qu’un homme politique, quel qu’il soit, est par définition un « Homme mandaté, ou reconnu et soutenu » par le peuple et chargé de parler ou de gouverner au nom de la volonté générale, avec le devoir égal pour tous et cela dans le respect de la volonté générale, sans manipulation et sans fabriques juridiques d’intérêts personnels, ou électoralistes aucunes, pour se positionné au bout des veines nourricières de la société commune et pour diriger comme un monarque du golf arabique. Ils «ces hommes» ont l’obligation de se conformer à l’aspiration profonde du peuple souverain, et à celui de la totalité sociale souveraine, sans rafistolage juridique.

*- Une procédure normale de révision constitutionnelle d’intérêt public débarrassé des intérêts politiciens.

Oui, dans un état républicain qui a subi un bouleversement politique d’ordre international tel une guerre ou d’ordre national tel une révolution, un coup d’état ou un changement de régime politique par la force, on ne s’aventure pas aveuglement dans des procédures parlementaires intéressées de révisions constitutionnelles. Donc il faut le consensus autour de la révision constitutionnelle socle de la société, normes juridiques extrême de régulation sociopolitique. Ceci est du droit international coutumier, «le droit des droits», qui en l’absence de Constitution écrite, «la coutume internationale fondée sur la souveraineté du peuple consentant», définit le cadre général de l’organisation de l’État, «ou tout n’est pas constitution». Oui, même si nous sommes d’accords que, le pouvoir de révision constitutionnelle s’exerce dans le cadre procédural stricte fixé par les textes constitutionnels existants, mais cela se fait strictement avec le consentement et la volonté générale exprimé du peuple souverain. Ce principe de droit internationale coutumier est intransgressible et irréfragable dans la gouvernance d’un état républicain de droit. Ici, le contrôle juridique de la souveraineté du peuple libre et sa volonté populaire constante échappent totalement à un pouvoir d’état, lequel même est souvent fondamentalement opposé par abus à ce que la souveraineté nationale appartient au peuple. Or le principe universel qui exige que, la souveraineté nationale appartienne au peuple, interdit évidemment à ses représentants « exécutif et législatif, non-habilités», de l'aliéner, de l’assujettir, de la mépriser, notamment en les déplaçant textuellement ou en les transférant à des autorités quelles qu’elles soient. Ici le peuple agit autrement que par procuration électifs à des élus représentants de « 5 ans seulement» ou à un pouvoir exécutif, qui lui est subordonné en l’espèce. Ici la volonté générale est maitresse.

Donc, le pouvoir constituant révisionnel accessoire ou institué est un pouvoir constituant prévu par la constitution elle-même, pour une modification de celle-ci, qui confère une compétence de révision constitutionnelle. Qui tire sa légitimité et son fondement du pouvoir constituant originaire par le biais de la constitution existante. Mais, aucun pouvoir d’état, aucune personnalité politique, aucun groupement politique, aucun parti politique ne peut contrôler la souveraineté du peuple, qui se situe au-dessus de lui et hors de sa portée. Le peuple reste maitre de sa procuration élective. Donc, la votation politique d’une révision constitutionnelle politicienne et intéressée, ne confère pas de légalité de droit à une révision constitutionnelle à initiative politicienne, de rétrécissement de voies d’accès au pouvoir d’état, au mépris de la souveraineté du peuple. Sauf à admettre que la future société ivoirienne doit être forcément le prisme d’un homme ou d’un pouvoir, et doit se mesurer à l’aune d’un système politique d’un homme ou d’un pouvoir. Il est de droit, que les procédures de révisions constitutionnelles normales, doit échapper aux hommes politiques pour échoir strictement à la volonté générale de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix, surtout pour échoir, à l’aspiration profonde du peuple souverain détenteur ultime du pouvoir d’état. Une révision constitutionnelle qui doit être mis, sous la supervision scientifique régalienne d’intérêt public, des scientifiques et des grands techniciens de la matière constitutionnelle, et qui doit être soumis pour avis ou censure à la juridiction politiques «conseils constitutionnel après votes parlementaires », qui censure rarement les textes politiques en provenance du pouvoir exécutives, qui prend soins de transcrire ses volontés dans les textes de lois positifs, en comptant sur la votation politique législative intéressé, votation souvent des parlementaires automates. Oui, la votation politique ne confère pas de légalité de droit à une révision constitutionnelle. Ce qui est dit est dit.

Un soit dit en passant : Du parolier légitime et légal, Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

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19 septembre 2021 7 19 /09 /septembre /2021 21:02
Lepetitfis : Houphouët disait que, L'économie ne pouvant être la seule mesure de l'homme, sachons intégrer, à part beaucoup plus entière, la culture dans la dynamique du développement. Une culture qui soit elle-même dialogue et qui, dépassant les formes classiques d'expression artistique auxquelles la limitent certaines élites, sache être, à tous les niveaux et dans tous les milieux, l'occasion d'un élan et d'un profit collectif en même temps qu'un "supplément d'âme" à notre croissance.

Lepetitfis : Houphouët disait que, L'économie ne pouvant être la seule mesure de l'homme, sachons intégrer, à part beaucoup plus entière, la culture dans la dynamique du développement. Une culture qui soit elle-même dialogue et qui, dépassant les formes classiques d'expression artistique auxquelles la limitent certaines élites, sache être, à tous les niveaux et dans tous les milieux, l'occasion d'un élan et d'un profit collectif en même temps qu'un "supplément d'âme" à notre croissance.

*- La côte d’ivoire émergente ? En parlons-en, de  façon litote.                                     

«Il faut souligner d’emblée, qu’à l’ opposé des économies industrielles, que le mot pays émergent, est né dans les années 1980 d’un économiste néerlandais, a  la faveur du développement des marchés boursiers dans les pays en développement. Dans l’entendement duquel, un pays émergent, est un pays capable de soutenir une croissance rapide en économie ouverte sur une période relativement longue sans mettre en péril son équilibre externe. Il faut aussi souligner que, beaucoup d’expériences de croissance rapide, sont venues buter sur le caractère insoutenable à moyen et long terme des échanges extérieurs de biens et services et de capitaux». Les rêves envolés, quoi !

Donc, nous disons ici, qu’en lieu et place de l’émergence économique chantée par les grands théoriciens mafieux de l’ultralibéralisme de jungle, «ce foutage de gueule Alassanéen dit développement», cette couillonnade systémique qui n'admet jamais s'être trompé, parce que réputé intransigeant, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence d'ordre social. Qui favoriser un état réel d’harmonie entre les hommes de tous horizons et entre l’homme et la réelle nature ivoirienne. Donc, en lieu et place de ce farfelu fouage de gueule, il est question plutôt d’affirmer sa souveraineté nationale pleine et entière, dans le concert des nations ordonnées et civilisées, et savoir honnêtement tirer profit de la mondialisation économique. « Comme dit en marge, le terme de pays émergent et de marché émergent, chanté par ce pouvoir dirigiste ont fait récemment leur apparition dans la littérature, désignant les pays les plus dynamiques parmi les pays en voie de développement et les mieux intégrés dans l’économie mondialisée, sans qu’une définition exacte soit élaborée à cet effet, encore moins trouver des éléments de mesure discriminants. De sorte qu’il n’existe aucune définition consensuelle de la notion d’émergence»

Selon les meilleurs chansonniers du système de l’ultralibéralisme d’Alassane Ouattara, la côte d’ivoire est engagée dans une stratégie raffinée vers la réalisation des objectifs du développement durable. «Un rêve ou une poudre de maquignonnage aux yeux». Puisque, l’ordre social est l’impérieux préalable incontournable, a tout développement économico-sociopolitique. Félix Houphouët Boigny disait : «Nous voulons aller de l'avant, assurément, mais sans, pour autant, renier notre passé, sans tourner le dos à celles de nos formes de civilisation qui constituent notre originalité et dont le monde a grand besoin, nous le savons. Et ce que nous voulons, c'est réaliser un social des plus hardis». Mais ici, dans un capharnaüm kafkaïen chez pétaudière, on revendique volontiers, que, la côte d’ivoire aspire à devenir une économie a revenue intermédiaires d’ici 2035 et à rejoindre les pays à revenus élevés à l’horizon 2050. «C’est bien mielleuse tout ça». Quand l’ordre social ou l’ordre dans la société manque à la vie sociale ou en société.

Donc nous disons que, pour la côte d’ivoire post-guerre, l’ordre social étant manquant dans la vie sociale, et malgré une propagande effrénée sur la progression économique, la côte d’ivoire affiche des indicateurs de développement sociaux indignes d’un pays candidat a l’émergeant. Le progrès de la totalité sociale et le développement commun et bien partagé, exige l’ordre social, et un système social capable de trouver des solutions aux tensions nées du Bazar, du grand désordre, d’un développement déséquilibré fanfaronné a tous bouts de champs. Oui, avec l’ordre social et l’ordre de la sociabilité, comme substrat, et avec le respect strict des normes de régulations sociopolitiques adaptées, la pratique démocratique bien comprise, auront pour but de renforcer les institutions républicaines. Ainsi la stabilité sociopolitique, et la confiance qui en résultent, auront pour but de renforcer et de soutenir le développement total et intégral, surtout le progrès social pour tous. D’où le citoyen ivoirien serait le cœur de toute action développementale. Un développement qui cadrerait à la perfection avec nos réalités sociales, pour une vie libre, ordonnée, débarrassée de toutes les scories passéistes et des anxiétés qui présage l’orage pour demain.

La recherche de ce développement total et intégral, exige un souci d’équité sociale entre les hommes. Qui doit s’étendre du bas vers le haut de la totalité sociale, dans l’ordre du public. Donc, avec l'émergence de l’ordre social, la côte d’ivoire serait en mesure de reformer et de d’améliorer son  organisation sociale de manière à ouvrir la voie idoine à une nouvelle ère d’émergence économique. Dans un monde en perpétuelle évolution, ou la haute sphère de la politique internationale demeure la chasse gardée des grandes puissances, tutélaires. Donc, sans cassure, il s’agit pour la côte d’ivoire groggy, abasourdie, de Bousculer un peu, l’ordre international, par une vision des relations internationales étatique, distincte des relations internationales affairistes, intégré par la couillonnade d’Abidjan. Oui, cette capacité de résistance aux chocs externes, assurera la survie de la réelle nature ivoirienne et éventuellement permettra la croissance économique et le développement. Qui se retrouvent dans la réduction de la pauvreté, des inégalités, dans l’accès pour tous aux ressources souveraines de notre organisation sociale, avec le progrès pour tous assuré, aux soins, à l’éducation ou encore à la réelle culturelle typiquement ivoirienne. Culture a l’opposé d’une société de désordre a ciel ouverte, ou la morale est en congé, les mœurs dépravées, l’honnêteté devenue un crime. Donc une entité sociale dédouanée d’une société  acculturée, dénaturée, aux mœurs dépravée.

Oui Ici, une grande partie de l’économie ivoirienne demeure informelle « l’exploitation des ressources naturelles souveraines non-renouvelables et autres, etc. », sous le contrôle hermétique des puissants clans de copinages, de concussions, surtout sous-bancarisée. D’où ici, la société ivoirienne n’a plus besoin d’ordre. Or l’émergence économique résulte plus de la garantie offert par  l’ordre social établi, de la nature même des normes juridiques et valeurs sociales en vigueur, du fonctionnement des organisations publiques, du cadre réglementaire, des procédures et des politiques publiques, de la qualité civilisée du leadership politique, que d’une quelconque économique dirigiste de rafistolage économique et de jonglages financières. Les chiffres de croissances farfelus, chanté à tout bout de chants, les goudrons, les bétons, les véhicules à l’âge limités, le Métro, les tricycles transports de bagages et de passagers et mêmes les tricycles solaires, ne feront pas le développement de la côte d’ivoire, en absence de l’ordre social, qui proscrits le désordre indescriptibles. Dans une côte d’ivoire devenue de sacrilèges, qui ne se décongestionne pas dans l’espace, mais s’entasse, se centralise, pour une vie sociétale, cafouillée, désordonnée, étouffante, dépravée et chaotique.

Oui, l’enrichissement qui résulte des chiffres de la croissance économique, ne peut permettre de faire reculer la pauvreté, que par une saine politique de développement social, dans l’ordre social. Donc une transformation de l’ordre économique mise au service du développement de l’ordre sociopolitique. Au cas contraire, avec l’approche dirigiste de l’ultralibéralisme, qui a apprivoisé ce sujet « développement-croissance », on arrive inéluctablement à un désastre destructeur sur le plan sociopolitique, ou à une tentative visant à étendre des relations économico-sociopolitiques criminelles, fondamentalement d’exploitations des moins nantis par les puissants. La croissance économique ne se traduit pas nécessairement par une hausse du bien-être des populations, comme en Inde, tout comme en Chine, les nouveaux modèles asiatiques de développement enviés en Afrique. La croissance économique repose sur l'enregistrement comptable des transactions économiques, matérialisées par une facture ou un ticket de caisse. Mais il n'en a que faire du bonheur et du bien-être des populations. Il les laisse de côté et ne les prend jamais en compte dans sa visée. Donc, il souscrit à un développement qui laisse l’homme au bord de la route du progrès sociopolitique de la totalité sociale. Au même moment où, les deniers publics convergent allègrement vers des poches claniques et individuelles, des gens peu ou sans scrupules, d’une mafia extrêmement bien structurée.

C'est pour cela que les chiffres de croissances économiques sont, un indicateur aveugle, car ils ne considèrent pas les conséquences politiques, sociales, éthiques et morales des transactions dont ils résultent. Ainsi, ce n'est pas parce que la croissance économique augmente, que le bien-être d'une population augmente automatiquement. «Bien-être de la population qui se jauge à l’aune de l’ordre sociopolitiques, des services publics, des institutions politiques, la qualité de l'environnement, mais surtout soumis aux appréciations et considérations individuelles très subjectives des citoyens libres de tout engagement». Donc, il faut une émergence économique, qui oblige de mettre l’homme «l’être humain» au centre du débat économique, le citoyen au cœur de toute politique économico-sociopolitique et développementale. Oui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence d'ordre social, que d’une quelconque émergence économique, fondée sur des chiffres farfelus de croissance économique. Il faut l’ordre social au substrat infaillible qui passe par une Amnistie générale référendaire consentie par la totalité sociale souveraine. Nous avons appelé et nous appelons toujours à une amnistie générale référendaire sur les faits criminels du 24 décembre 1999, passant par 19 septembre 2002 jusqu’à ce jour. L’amnistie présidentielle « SIC » ou l’amnistie parlementaire, ne résistent pas à la volonté populaire du peuple souverain.

Les auto-clémences d’Amnisties, ne résistent pas à la volonté populaire du peuple souverain en droit, qui offre au peuple souverain, dix mille clés pour faire sauter un verrou d’auto-clémence d’Amnistie. « Donc elle ne retarde que l’échéance des crises ». Ici seule une amnistie référendaire lie les mains du peuple souverain, au risque de se dédire au terme d’une autre amnistie ou le peuple souverain reste assujettie moralement à son premier vote référendaire, ce qui n’est pas une posture de peuple souverain pensant et libre, en quête d’ordre social et de paix sociopolitique. Oui, la côte d’ivoire est certes maitrisée et vaincue, mais elle n’est pas convaincue et persuadée, Non ! Elle se trouve dans une paix de l’absence de conflits ouverts, donc éphémère. Une course poussiéreuse et désordonnée vers le développement d’une société humaine ne paye jamais biens. Une société humaine doit progresser avec une marche sûre, sans désordre et sans brouhahas, ou l’ordre impose la discipline, ou la morale enfante la conscience, ou la sagesse imprime la cadence, ou la vision éclairée d’une anticipation des perspective d’avenir dans le temps a mission de gyroscope sociétal, ou le rythme infaillible obvie les sortis de route sociétales et obéit aux moyens nationaux, sans surendettement assujettissant. Une totale maitrise du destin en quelque sorte, «à l’image de la marche de la garde présidentielle Houphouët-ienne de nos enfances ou la précision synergique oblige allégeance, et exprime l’assurance dans la totale maitrise de son art et l’absolue sureté d’atteindre l’objectif visé, le tout ventilant la force tranquille. Oui, Comme dirait l’autre, allons doucement, doucement, parce que nous sommes pressé».

Ici, il faut qu’on retienne qu’un état réellement républicain de droit, ne tient qu’au respect des normes juridiques de régulations sociopolitiques par toutes la composante sociale, et qu’à la reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et aussi à la protection égale de tous, «citoyens», de leurs personnes et de leurs biens. Or ici, le pays bat et se débat, toujours sous vingt «20» Ans de gravats, où valeurs sociales et sociétales sont en Ruine. La crise ivoirienne est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, et l’impunité, à piétinée les règles normatives de la vie en société entre citoyens, est en train de s’ajouter lamentablement. « Ou le plus fort bénéficiaire de l’impunité dans l’agression ou en agressivité est le maitre des situations querellées, ou mêmes le plus habile dans les tromperies relationnelles, est le grand gagnant de toujours, au mépris du droit et en dépit de l’ordre social. Le bien matériel « Argent » doit avoir une couleur et une odeur qui se jauge à l’aune de la morale et se mesure au prisme du droit». Et c’est une grave faute politique et morale ou même de gouvernance étatique, que de s’arroger le droit à l’impunité dans les rapports sociaux, surtout que de vouloir paraitre blanc comme neige, et de vouloir occulter ses responsabilités dans la crise ivoirienne, par conséquence qui ne doit être le fait que des autres. Les conséquences de cette crise ont acculturées la société ivoirienne et tend inexorablement vers la désocialisation sociétale devenue de jungle. (Un Amie suisse, «professeur de droit internationale, spécialiste de l’Amérique du sud» m’a dit ceci : Tous ceux qui portent votre mission, ont un seul problème dans ce monde, leurs Bouches. Et j’ai répondu malgré moi, que, « qu’est-ce que, on peut d’autres quand sa bouches n’appartient pas à soi seul ? ») Ce qui est dit, est dit.

Oui, hélas ! Milles fois hélas ! On commence déjà à parler de 2025, comme si le socle sociétal était perfectionné. Oui, comme si, une élection présidentielle pouvait réguler la côte d’ivoire. Une élection présidentielle ne régulera jamais la société ivoirienne, en l’absence, de la juste réforme de la nature même des normes juridiques et valeurs sociales en vigueur, sans ériger le fauteuil présidentiel en fixation absolu, en l’absence du fonctionnement des organisations publiques, du cadre réglementaire, des procédures et des politiques publiques, de la qualité civilisée du leadership politique, de l’ordre social établi, de la sociabilité qui proscrit la loi de la jungle dans la vie en société, et le grand désordre actuel à tous les niveaux de la société. «Le poisson pourri par sa tête. Tout est pourri et pourriture sociétale, dans une loi de la jungle, ou le rapport de force financière est régie en règle absolue, au mépris des normes juridiques de régulations sociopolitiques, et en dépit de l’impérieuse nécessité de construire une société ordonnée, humaniste et solidaire». Oui tout indique actuellement dans ce grand cafouillage sociétal, de paternalisme, donc de panurgisme, de docilité, et de profit malhonnête, qui rend Aveugle, que 2025  sera sans échappatoire possible, 2010, sera 2015, sera 2020. Et ça passera comme sur des roulettes, la société ivoirienne semble s’accommode avec le grand désordre, et quelques nantis minoritaires qui ont voix aux chapitres semblent avoir pris goût aux profits hégémonique et condescendant, du grand désordre sociétal actuel. Oui, la côte d’ivoire au progrès social Abracadabrantesque et déviationniste, culturellement et comportementale-ment apprivoisée, est devenue un pays de MERDE. «Un pays qui n’est plus lui-même». Donc, en lieu et place du grand désordre entretenue sciemment, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, a besoin de l’ordre social, ou de son Atavique sociabilité humaine. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

Un Soit dit en passant : Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne, parolier légal d’intérêt citoyen a causé»

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22 août 2021 7 22 /08 /août /2021 16:29
Lepetitfils: Bon ! Nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de réconciliation vraie, de stabilité sociopolitique, que c’est pourquoi nous sommes-là, avec notre sale gueule puante de citoyen libre, sachant que ça peut tourner au délit de sale gueule. « Jacques Chirac nous en n’a enseigné des délits de sales gueules».

Lepetitfils: Bon ! Nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de réconciliation vraie, de stabilité sociopolitique, que c’est pourquoi nous sommes-là, avec notre sale gueule puante de citoyen libre, sachant que ça peut tourner au délit de sale gueule. « Jacques Chirac nous en n’a enseigné des délits de sales gueules».

*- Chronique : La loupe de Lepetitils Da Candy.

«Soulignons d’emblée que le but visé par cette chronique ci-dessous est une modeste contribution à recherche inlassable parfois ingrate de la stabilité sociopolitique et de la paix pérenne dans notre pays la côte d’ivoire ».

Donc nous disons que: Si nous, on avait encore des portes voix, «puisque des malheureux et catastrophiques décès nous en n’ont privé», nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, qu’après dix «10 » d’absence de notre pays, que nous sommes de retour, en espérant de la paix et de la réconciliation, si nous avions une part à prendre dans ce processus le droit citoyen l’exige. Que mais, notre premier constat est amer, la côte d’ivoire n’arrive pas à résister à l’influence de la culture orientale, et asiatique, a l’image de toute notre Afrique Noire. La côte de Félix Houphouët Boigny s’affaisse et plie sous le poids de l’expansionnisme culturel nébuleux. La clarté ancestrale est désormais obéissante à l’obscurantisme des non-dits et des sous entendues. À Abidjan, on n’est plus à New-Dehli en Inde, qu’à Paris ou à New-York. Le vert des espaces publics, tout vert d’hier, à céder la place aux brumes et aux ocres des bétons entassés et condensés. Oui, notre première vue est effroyable, une société installée dans un grand désordre, dans la logique, du chacun pour soi et Dieu l’argent pour tous. «Ce qui est le propre de l’ultralibéralisme de jungle de par le monde».

Donc, oui nous aurions dit à notre portevoix, que nous avions fait le constat dégradant que ; La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, «notre pays à nous», est désormais un étouffoir mental déshumanisé, un foutoir merdier d’obscurantistes, peu catholique a tout point de vue. Une clinique de formatage des esprits, au service d’une escroquerie morale et intellectuelle, afin de pouvoir arriver au lamentable bornage dans un enclos moutonnier, nécessaire à l’avènement d’une monarchie ploutocratique, soutenue par un système ultralibéral de profit. Qui veut que les citoyens puissent organiser leur propres défense, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger de renard et de Loup «la raison du plus Riche est la règle, donc la question du comment est-on devenue riche n’a plus droit au chapitre. Les fanfaronnades d’éloges rémunérés disposent des expertises doctes. Le pouvoir judiciarisé de la camarilla belliciste et guerrière a tout son destin en main, sans aucun contrepouvoir ou contre poids. Dame ivoire a perdu son âme, séquestrée et semble résigne».

Oui, l’ordre politique en lui seul chanté et dansé, ne garantit jamais une réconciliation nationale et une paix durable dans une société en crise sempiternelle. La réconciliation nationale  doit commencer par la réinstauration de l’ordre de la sociabilité dans les relations Humaines du bas, transporté par les dirigeants bien élus vers le haut, par l’ordre public, par l’ordre dans totalité sociale, et par la primauté accorder a l’intérêt général, avec  la paix sociale devenue une  fixation absolue. Oui, nous avons déjà dit que, c’est en cultivant les vertus du dialogue social, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique, par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et à la paix. Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition des acteurs sociopolitiques de la crise, au terme d’un dialogue sincère. Et couronné par une Amnistie générale référendaire, voté par le peuple souverain, qui se situe au-dessus de tous les hommes politiques, quels qu’ils soient et de tous les pouvoirs politiques, quels qu’ils soient, elle résiste aux stratégies politiciennes et au temps de roublardises loufoques de bassesses politiques.

Bon ! Nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de réconciliation vraie, de stabilité sociopolitique, que c’est pourquoi nous sommes-là, avec notre sale gueule puante de citoyen libre, sachant que ça peut tourner au délit de sale gueule. « Jacques Chirac nous en n’a enseigné des délits de sales gueules». Mais Rien à faire, c’est notre métier d’utilité citoyenne, notre sacerdoce d’intérêt public. Oui, depuis 10 Ans, rien n’a pu contrarier le système ultralibéral prédateur de jungle, à l’opposé du monde vivable, «genre Donald Trump-iste et Sarkozy-en». Oui, aucune action politique, n’a pu ébranler le système de gouvernance judiciarisé ultralibéral de pétaudière assise sur une société ivoirienne acculturé, dénaturé, aux mœurs désormais dépravée. Oui, l’importé a annihilé le local Atavique au couleur ivoire, le transplanté a submergé le naturel ancestral, une société moutonnière aux conduites panurgismes, est manifestement à craindre, parce qu’en ébauche visiblement dans la société ivoire.

Une vie sociale de sectarisme nébuleux, est née sous nos tropiques, une réelle crise identitaire sociologique pointe à l’horizon et son nuage est trop épais. «Oui, celui qui prend ça pour le développement se leurre. Là où, Est devenue la règle le mélange, y compris des genres, dire une chose pour faire comprendre son contraire, faire une chose au nom de son contraire, la parole a perdu son sens. Le rigorisme du respect du lien social à céder à l’extrême légèreté dans les rapports sociaux, des actes proscrits et prescrits sont vulgarisés et à la vogue, et le tout permis est exaltant. D’où tout fait rire et tout fait dansé, la sado-perversité semble désormais admise, la légèreté et l’inconscience ont atteint le summum». Surtout, avec des relations humaines devenue un véritable capharnaüm kafkaïen, sous la coupe d’une politique vacillante et oscillante, d’un dirigiste économique aveugle sur l’avenir, tout  juste à la limite de la criminelle, avec un développement sous la totale mainmise des grands usuriers internationaux, qui laisse la grande majorité citoyen au Bord de la Route du progrès social. Et pire, la dette flambe, flambe et flambe, la masse salariale risque d’être taxée de pléthorique. Un dégraissage des charges de l’état s’imposerait-il un Jour ?

Oui, un nouveau paternalisme sociétal a pris son envol en côte d’ivoire «la civilité courtoise de, Madame, Monsieur est supplanté par la vulgarité Papa, Maman, le républicanisme social perd du terrain face à son grand rival de toujours». Oui, l’Houphouët-isme ne vit plus que de Non, sur la terre de Felix Houphouët Boigny. La modestie Houphouët-enne et sa sagesse, ont désertées la sphère sociopolitique pour faire de la place à la grossièreté et au hautain. Un grand Bazar s’est installé dans la société comme règle de vie, la grande foire aux larrons s’est ouverte sous nos yeux sur la terre de nos ancêtres. Le lavage de cerveaux a pris pied, pour n’installer que Dieu l’argent, balayant l’humanisme Houphouët-tien, «ou tout homme est Homme indépendamment de sa caste», soutenu par l’esprit novateur de la philosophie Houphouët-ienne, éternellement habité par la place centrale que l’homme devrait occuper dans tout processus de développement de la société ivoirienne. «Pas une seule goutte de sangs versée» « et le progrès pour tous et partagé est au placard» «La mesure de valeur sociopolitique est désormais logé dans les poches et pendues sur les épaules des porteurs uniformes». Oui, Humanisme Houphouët-ien, est en congé forcé, l’état de droit a sauté par la fenêtre et a pris la tangente sous les yeux des brigades d’acclamations perverses qui se marrent, et l’inconscience rend invisible l’orage à l’horizon. L’état de droit, réellement républicain se trouve lamentablement supplanté par des magouilles aux cœurs des relations Humaines sociétales et politiques. Tout le monde se tape la poitrine avec l’incantation ostensible de son appartenance socio-politico-communautaire. Là où la courtoisie, l’harmonie, la modestie et la solidarité agissante devaient être de règle pour une société cohérente et paisible.

Surtout, là où on devait logiquement, construire une société solidaire, dont non plus l’état tout puissant, fort du bien public, piloté par une politique prédatrice ultralibéral de jungle, ou Dieu l’argent règne en maitre absolu, en catégorisant à souhait et à volonté notre nation, parce qu’elle est celle de Felix Houphouët BoIgny, en Riche  ou en Pauvre. Il y a un fossé grandissant de jour en jour qui sépare lesdits Riches et lesdits pauvres. La côte d’ivoire a besoin de réconciliation nationale régulatrice. La vraie réconciliation nationale et l’autocritique qu’elle sous-tend, la contrition qu’elle impose, au-delà des théâtres d’ombres politiciennes, lubrifie les interactions sociopolitiques afin qu’elles ne tournent ou ne dégénèrent en conflit ouvert ou latent. C’est ainsi qu’on arrive de par le monde, a forgé un état de droit et à réussir à bâtir une stabilité sociopolitique et à obtenir une paix durable. «La paix celle qui ne naitra pas que de la paix conclue après une bataille, mais de la paix débattue sans bataille et érigée en victoire définitive de l’idée sur le sabre». La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a Besoin de cette paix.

Donc en définitive, nous aurions fait dire au pouvoir Ouattara, que la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique consensuelle, surtout paisible, stable, cohérente, harmonieuse. Que la côte d’ivoire a besoin de la construction d’une communauté nationale solidaire réconciliée avec elle-même. Oui, que la côte d’ivoire se doit d’être une société Humaniste, à l’image de Félix Houphouët Boigny, ou l’homme incarnerait la centralité de toute action économico-socio-politique, surtout, ou le citoyen se doit être le cœur de toute action développementale, un développement qui cadre à la perfection avec nos réalités sociales, pour une vie libre, débarrassée de toutes anxiété créancière qui présage une accalmie avant l’orage. Un développement ou tous les citoyens seront sous la protection exclusive de la loi, dans une nation solidaire dont la gouvernance ne serait plus judiciarisé, et ne serait plus de copinage ou de la concussion, mais une nation stable, paisible et démocratique, ou tous risques de crises sociopolitiques, ou de conflits serait obvier a jamais. Oui, hélas !  Nous aurions fait dire ceci ci-dessus au pouvoir Ouattara, mais encore milles fois hélas !  Des décès nous ont privés de portes voix. Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne «de retour après 10 Ans sur la terre de nos ancêtres

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21 juillet 2021 3 21 /07 /juillet /2021 00:54
La côte d’ivoire a besoin de stabilité sociopolitique et de paix Houphouët-enne d’abord.

La paix n'est pas un vain mot, mais un comportement.

La côte d’ivoire a besoin de stabilité sociopolitique et de paix Houphouët-enne d’abord. La personnalisation de fait, du pouvoir d’état, ne doit pas se faire au mépris de la volonté de la totalité sociale souveraine et en dépit de l’impérieuse nécessité à d’aller a la paix sociopolitique, elle ne doit pas se faire avec la dévalorisation du reste de la composante sociétale étatique et de la totalité sociale diverse, en se privant ainsi de l’expérience des autres différences et appartenances ou de l’idéal sociétal commun. La vie démocratique est l’apprentissage des limites, avec selfs contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible et ceci conformément au droit universel. Et l’exercice politique exige l’autocontrôle, l’autocritique et la contrition, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité, du consensus, a toute épreuve, au tour des règles loyales, qui régissent la vie en commun, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. La détention du pouvoir d’état doit obéir aux respects des droits et des règles préétablies. Oui la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, a besoin de stabilité sociopolitique et de paix Houphouët-enne, d’abord. Ce qui exhibe un grand défi politique de recherche de la cohésion sociale, de l’harmonie communautaire, et de la paix sociopolitique. Ici ce qui doit être recherche inlassablement c’est la PAIX, la PAIX, et la PAIX.

-- (*- La paix ne naîtra que de la paix : non point de la paix conclue après une bataille, mais de la paix débattue sans bataille et érigée en victoire définitive de l'Idée sur le sabre.

*- La tolérance est mère de la paix.

*- La paix n'est pas un don de Dieu à ses créatures. C'est un don que nous nous faisons les uns aux autres.

*- La paix n'est pas dans le monde mais dans le regard de paix que nous portons sur le monde.)--

*- La paix n'est pas un vain mot, mais un comportement.

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LIRE ABSOLUMENT LA CHRONIQUE CITOYENNE CI-DESSOUS

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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