Lepetitfils: La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice vers la conservation des droits inalienable du peuple: Quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir : il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue nouvelle, la côte d’ivoire de l’ordre social.
POUR LA JUSTE ET CLAIRE COMPREHENSION ALLONS DANS LE LARGE DETAIL :
« Oui, n’en déplaise au tout-état Alassanéen et ses développeurs malfrats, costumiers des bradages et des pillages, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile ». Oui, l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, de ventes, de cessions, et d’usages délibérés des terres immémoriales. Et personne n’a pas d’habilitation de Décrétés les dépossessions des citoyens de leur propriété au nom de l’état. L’état n’en est que simple gestionnaire, des conflits des droits et de délimitations entre communautés «indigènes» autochtones propriétaires coutumiers immémoriales. Oui, aujourd’hui, la côte d’ivoire est installée dans un désordre indescriptible, qui à finit par imposer l’acculturation sociale, la dénaturation, et tend vers la désocialisation. Le socle existentiel de la société ivoirienne et le substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire l’assiette territoriale est soumise au géométrage délibéré de ce qui fait la souveraineté nationale et de ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples. Oui, en convenons-en et en consentons-en, citoyen ! Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand la vérité historique est coffrée, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel. Or seule la vérité historique, «cette valeur universelle» peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise insouciante et inconsciente, à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle».
*-La propriété foncière coutumière immémoriale est régis, par le droit international coutumier «le droit des droits».
Oui, en convenons-en, citoyen ! Face aux bradages des terres, aux accaparements illégaux, aux expropriations et aux installations anarchiques. Le problème du foncier ivoirien doit rester rigoureusement sous la coupe du droit indigène autochtones coutumier « lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état ». Toute politique foncière, qui ne tient pas compte du droit coutumier, «lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état», en matière de propriété terrienne, des terres ancestrales, serait source de conflits demain. Le problème du foncier ivoirien demeurera source de crises sociales irrésolue en côte d’ivoire. Parce que, la propriété coutumière terrienne immémoriale, régis par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état toutes prescriptions juridiques spéciales, y compris celles constitutionnelles. Ce droit «de la propriété immémoriale coutumière», n’a pas besoin de prescription spéciale, il est ancestral et immémorial. Les droits fonciers coutumiers ressortissant irréfragable du droit international coutumier «le droit des droits», qu’ils soient constitutionnalisé ou non, qu’ils soient enregistrés ou non, qu’ils soient légiférés ou non, qu’ils soient décrétés ou non, les droits fonciers coutumiers ont plus de poids et plus d’effets juridiques que les droits obtenus grâce à une prescription positives quelconque, même constitutionnelle, devenu un support d’achat quelconque ou cession de droits quelconque d’origine juridique. Donc, la propriété coutumière immémoriale, n’a pas besoin de prescription juridique spéciale, même constitutionnelle avons-nous dits. Il a ses modes de cession aussi coutumière et ancestrale propre à chaque groupe social, à chaque communauté. Oui, dans l'assiette territoriale, Chaque peuple, chaque communauté, chaque tribu, chaque ethnie, connait toutes les limites et les lois non-écrites qui régissent les terres ancestrales, régis par la propriété coutumière terrienne immémoriale.
Donc, nous disons que, l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, de cession des terres immémoriales. Les problèmes de cession des terres, propriété immémoriale ne se transporte pas devant une juridiction même internationale, sauf à vouloir asseoir le droit international coutumier dans son champ d’application et sur son sujet, qui régit cette propriété ou sauf si le litige a trait aux tracées des frontières territoriales issues de colonisations. Donc, une décision d’une Cour dite commune de Justice internationale, ou d’une juridiction nationale ivoirienne, ne s’impose pas aux exigences irréfragables du droit international coutumier « le droit des droits », dans le cadre d’une affaire de vente sans base juridique tenable, ou de cession de droit spoliatrice par l’état « personne morale d’association de multiple communautés diverses », gestionnaire des biens publics. L’état n’est que simple gestionnaire des terres et arbitres des éventuels conflits de délimitations coutumières entre les communautés divers, propriétaires immémoriaux et ataviques. Oui, hier, aujourd’hui et demain, en côte d’ivoire la question du foncier ivoirien est au cœur de tous les conflits meurtriers intercommunautaires ivoiriens, de régions différentes, et entre ivoiriens propriétaires terriens, immémoriaux coutumiers et certains étrangers au dossier désormais ostensibles dans les régions forestières, où se sont majoritairement installées les communautés étrangères estimée à près dix « 10 » millions en Côte d'Ivoire. Et Subitement devenus propriétaires terriens ivoiriens du jour au lendemain, avec comme support un accaparement des terres, qui est déjà vulgarisé en toute illégalité en côte d’ivoire. Avec une assise juridique de code de nationalité, au terme duquel, même les descendants de l'explorateur portugais Soeiro Da Costa 1469 sont juridiquement ivoirien au vue de ce code de la nationalité. C’est mérité dans la logique de ce bidonnage juridique sur la nationalité ivoirienne, pour celui qui a donné à nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro.
(- D’où, serait le bien venue, une option de nationalité qui proscrit la discontinuité, donc plus racinal, atavique, continue, plus rigoureuse sur le droit de la nationalité, avec l’exigence d’un lien ou d’un lieu initial de rattachement racinal, territorial effectif, continu, pour être conforme à la liquidation du tare du temps présent, de répondre aux désastres et désordres sociopolitiques actuel et cela pour être une option de nationalité d’une longévité certaine. En clair, la nationalité doit cesser d’être un simple « lien juridique et politique défini par une loi positive unissant un individu a l’état quel que soit sa date d’arrivée ou entrée, donc, pour être manifestement un lien de rattachement atavique, historique, territorial, ancestral, social, racinal et immémoriales. Et les dirigeants politiques ivoiriens qui gouvernent ou prétendent vouloir gouverner la totalité sociale souveraine doivent avoir un lien multiséculaire extrêmement très solides avec le peuple ivoirien qu’ils veulent gouverner. Cela, contrairement au présent code de la nationalité d’un non-sens juridique manifeste, et ostensiblement Bâtard, un bidonnage hybride et débridé de non-droit, une compilation de volonté personnelle, sans tête et sans queux, dans le seul but de se faire un troupeau de bétail électoral, aujourd’hui non-atteint ou non-satisfait»-). L’état ivoirien de 1960 n’a aucune Habilitation de droit pour vendre les terres. Oui, avec près de 4 millions de m2 des baies, remblayés la lagune ne serait qu’un souvenir dans quelques années. Une mafia d’expropriateurs dits développeurs œuvrent ardemment dans ce sens. Et la Côte d’Ivoire, la nation la plus sociopolitique-ment malheureuse d’Afrique à cause du désordre monstrueux qui y règne, est estampillée, le pays le plus heureux d’Afrique de l’Ouest, parce que tous les comptes s’y trouvent «criminalité, l’amoralité, l’immoralisme, vols, l’escroquerie morale et intellectuelle, dépravation des mœurs, etc. ».
C’est pourquoi, la côte d’ivoire a besoin nécessairement et rigoureusement, du renforcement judiciaire des droits des propriétaires terriens, de façon sans équivoque conformément au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état, personne morale ne peut spolier les propriétaires coutumiers terriens. Donc l’état astreint au rôle d’interface, et confiner dans son seul rôle juridique de gestionnaire, qui se doit uniquement de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droit coutumier immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans. Des contrats dont tout en permettant les réaménagements de ses clauses chaque trente-trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes les clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales à personnes privées ou morales. Sauf à l’état lui-même personne morale gestionnaire, estampillé souverain et pour des raisons justifier d'intérêts publics, et pour des œuvres d’intérêt national profitable à toute la nation souveraine et a la totalité sociale souveraine. Oui, la relation qui lie les peuples autochtones à la terre, « leurs » terres », est matérielle, spirituelle et existentielle. Donc, pour respecter leurs obligations internationales, l’état doit assurer aux peuples autochtones détenteurs de propriétés coutumiers immémoriales, une protection effective de leurs droits fonciers, et mettre fin aux atteintes qu’y portent les tierces personnes. Et de jouer à fond, son rôle indispensable dans la protection effective des droits des peuples autochtones. Donc d’intervenir, par des mesures de police et de maintien de l’ordre, pour faire cesser les atteintes que portent aux communautés autochtones certains opérateurs privés en envahissant leurs propriétés terriennes et en pillant les ressources naturelles dans la plus grande illégalité.
*-« Droit des Droits » : Les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables.
Or les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. Les terres coutumières, sont non seulement insaisissables, mais elles ne peuvent faire l’objet d’une expropriation, même d’utilité publique, «sauf consensus et consentement», pas plus que d’une usucapion de la part de tiers. Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. C’est donc une mesure de protection forte qui sied à ce droit réel, en droit. Oui, ici, face au tout-état, la reconnaissance d’une véritable propriété foncière des peuples autochtones sur leurs terres coutumières ancestrales, soulève d’importantes difficultés politiques étatiques. Ainsi, le positivisme de l’état s’oppose souvent à ces peuples, qui se trouvent souvent confrontés à l’état, là où ils sont établis avec leurs droits fondamentaux de propriété comme mode d’expression d’une identité culturelle. Ceci parce que, le droit de propriété immémoriale des peuples autochtones, limite nécessairement la possibilité pour l’état qui veut décider librement du sort des importantes ressources terriennes souvent localisées sur ces propriétés ancestrales, et aussi qui aspire à tisser des relations avec d’éventuels investisseurs privés source de revenus. C’est pourquoi l’état fait le choix délibéré, pour des raisons économiques, de ne pas attribuer aux peuples autochtones un véritable droit de propriété sur leurs terres ancestrales, « un élément nécessaire de leur patrimoine existentiel » donc se contente de leur reconnaître seulement un droit d’usage des terres. Ainsi, les procédés de reconnaissance des droits fonciers des peuples autochtones sur leurs propriétés ancestrales place ces peuples face à des difficultés d’importance inégale, selon qu’une loi leur attribue des titres fonciers, ou les contraint à les revendiquer en justice. La plupart des législations étatiques se bornent en effet à reconnaître le droit pour les peuples autochtones de revendiquer des droits fonciers sur leurs propriétés ancestrales, et dans cette hypothèse les choses se compliquent singulièrement, car il appartient alors aux communautés autochtones d’établir le bien-fondé de leur revendication. «Selon des rapports, de 2000 à 2015, l’Afrique a cédé pour plus de 594000 milliards de CFA de terres en seulement 15 ans. C’est pourquoi, l’Afrique du Sud avait annoncé que les étrangers ne pourraient plus acheter de terres dans le pays dans une période 5 ans. A ce rythme dans moins de 100 ans les 50% des terres en Afrique Appartiendrait à une oligarchie minoritaire, les riches et certains dits développeurs avec le support du positivisme juridique de l’état »
Donc, l’orchestration étatique d’une politique urbaine d’expropriation latente de la paysannerie rurale, «en majorité manipulable et docile», de leurs propriété collective coutumière foncière-forestière au profit des grands intérêts mafieux, est un danger public réel dans l’avenir. Ainsi le droit indigène coutumier lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en une entité abstraite, se trouve bafoué, alors que ce droit est ressortissant du droit international coutumier «le droit des droits » qui tient le droit positif en l’état». Donc, disons-nous, ici pour demain, attention au syndrome Zimbabwéen, somalien et Argentin, ou les principales responsables de la précarité des peuples autochtones et indigènes sont les spoliations de leurs droits de propriétés terriens par un ultralibéralisme sauvage, une urbanisation désordonne et chaotique, des cultures de toutes sorte, l’exploitation minière effrénée, l’industrie forestière et pétrolière, et la spéculation sauvage immobilière causales. Ce syndrome spoliateur est ostensiblement présent en côte d’ivoire, avec la même politique d’ultralibéralisme. Ici, d’où toute acquisition illégale ou de prescription légale, même constitutionnelle soit-elle, qui permettrait aux riches et aux grands industriels d’être les plus grands propriétaires terriens demain, seraient une catastrophe en côte d’ivoire. Et toute constitutionnalisation intéressée du droit de la propriété terrienne qui spolierait de leurs propriétés terriennes, les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers fondé sur les « lois ancestrales, non écrites » serait source de graves conflits dans l’avenir. Oui, cela demain, avec les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers comme premières victimes directes d’un développement économique débridé, qui non seulement marginalise les cultures, les identités, mais aussi et surtout, détruit, le droit de propriété, le lien à la terre des peuples « autochtones », et le savoir traditionnel de ceux qui se considèrent, pas seulement comme des « propriétaires », mais comme des « gardiens » d’une terre qui a ses droits propres. La course au foncier menace la paix civile ! La privation de la gestion des terres, le déni des droits fonciers, sont des motifs majeurs de conflits pour demain. Surtout des terres qui sont attenantes aux villes et aux villages, qui se développent et se multiplient à toute allure. Ou les cessions de terres illégales se font régulièrement au profit de certains dits développeurs aux abords des villes et villages, là où les propriétaires se font prendre leur propriété de force illégalement, souvent par l’état. Même si d’autres cessions rares ce font officiellement selon les règles coutumières et sous l’égide des «secrétariats» coutumiers dirigés par des chefs. Aussi les personnes pauvres résidant dans les zones rurales ont également couramment recours aux normes coutumières pour authentifier l’occupation des bidonvilles et des implantations urbaines informelles. « La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile ».
(Puisque, très souvent à l’origine des expropriations terriennes, se trouvent toujours une série d’actes de violences, qui est l’essence même des actes d’accaparements. Une situation conjuguée d’actes de violences qui enfante des conflits interethniques ou intercommunautaires, constantes. Cette violence n’est pas le résultat de conflits ouverts, où la question ethnico-communautaire est exprimée de manière explicite et directe, comme la revendication des peuples autochtones face à la société et au tout-État, mais plutôt des conflits fermés, où le tout-état et la société, recouvrent et dissimulent les demandes des peuples autochtones sous d’autres revendications positivistes: «généralement la construction d’ouvrages, taxé d’intérêt public et d’intérêt général, routes, extensions des villes, d’infrastructures publiques, l’exploitation de ressources, etc.» Dans ces cas, la position des peuples autochtones est laissée dans le flou. Ainsi à défaut d’éclairage, l’essentiel des préoccupations des peuples autochtones est consigné dans la boite noire étatique du tout état. Ainsi la peur de l’autre devient source de violence et de conflits, et la crise d’identité qui s’en suivra logiquement peut provoquer la résurgence de la vieille notion de « nationalités ethnico-communautaire », avec ses horreurs et ses dangers potentiels. Ainsi les peuples autochtones regarderont la totalité société avec méfiance. Se faisant, en se tenant à l’écart des appareils du tout-État, et aussi des partis politiques, en adoptant des positions et des actions toujours plus radicales. Et ainsi au Nom de l’unité du tout-État, on arrivera a bloqué les processus Indigénistes de légale réforme foncière et a pratiqué une politique d’usure. Oui, les germes de la violence sont là, pour notre pays la côte d’ivoire, sans que nous puissions prévoir avec certitude quel va être le cours des événements à venir. Peut-être que la présente «chronique citoyenne» réussira à attirer l’attention sur ce phénomène. Oui, la participation de l’état dans les ventes massives de terres, rendent compte d’une remise en cause du principe coutumier de propriété immémoriale terrienne. « Droit de propriété immémoriale terrienne, regardé ici, dans une logique de conflits entre propriété originaire et propriété née des politiques coloniales de spoliation fondée sur la création d’un état, né le 07 Aout 1960, dit souverain absolu). « Ceci trouve échos dans, la Déclaration des Nations-Unies sur les droits des peuples autochtones, Non-contraignante certes, mais elle occupe une place absolument centrale dans le traitement à fond des droits fonciers des peuples autochtones et bénéficie d’un soutien beaucoup plus massif. Oui, adoptée par 144 voix pour et 11 abstentions, elle n’avait en 2007 suscité l’opposition que de quatre Etats - mais non les moindres : Australie, Canada, Nouvelle- Zélande et États-Unis ».) La propriété coutumière immémoriale échappe aux états. « Oui, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960.
Donc, disons-nous, la suppression des droits coutumiers immémoriaux par le biais de politiques d’expropriation et de lois positives qui considèreraient que ces droits ont un statut, inférieur à celui de la propriété immémoriale est un danger. Oui, nous, ne souhaitons pas voir, un ivoirien devenir un Robert Mugabe dans l’avenir demain. «Le désordre monstrueux dans l’exploitation des terres, l’accaparement illégal et le bradage orchestré des terres à son corolaire néfaste de suites dont les constructions anarchiques et la précarité des bâtisses. Oui à Abidjan, plus des douzaines immeubles se sont écroulés en un An 2021-2022, faisant des dizaines de morts et des centaines de blessés. Nos ancêtres sont-ils en colère ? Gnamien pwbli a-t-i déserté nos cieux ? Il est temps d’aller se prosterner quelque part à Yamoussoukro « pas n’importe où » pour demander à qui de droit intercession auprès de qui de droit». « La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile ». Donc un Robert Mugabe dans l’avenir, qui se mettrait à raser des quartiers par-ci, des plantations par-là, et des terres illégalement acquises par là-bas, des forêts classées partout ce risque est réel pour la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny. Et se serait catastrophique pour notre pays, surtout se serait le résultat de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques, de scories passéistes, de travers politiques d’ultralibéralisme de jungle, instaurer par pouvoir déviant, non-maîtrisé, divaguant ostensiblement dans les violations des droits du peuple et des citoyens. Et se rafistolant dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne, d’Aujourd’hui. Un pouvoir qui chante le vivre ensemble et œuvre dans son contraire. Le vivre-ensemble, cet humanisme concept « une valeur socialiste de Gauche » est né à la remorque de la croissance des villes de par le monde et l'intensification de la mobilité humaine à travers le monde, qui posait de plus en plus le défi de la cohésion sociale, de la gestion de la diversité et de la sécurité quotidienne en milieu urbain de par le monde. Comme dit ci-dessus le vivre-ensemble est une valeur de Gauche socialiste. Qui a trois acceptions reconnues identiques : 1)- vivre ensemble acception sociologique : est la Capacité et assentiment des habitants des cités urbaines, dans un environnement de diversité sociale et culturelle, à partager harmonieusement leur lieu de vie. 2)- vivre-ensemble acception philosophique et scientifique : est le Concept qui exprime les liens pacifiques, de bonne entente qu'entretiennent des personnes, des peuples ou des ethnies avec d'autres, dans leur environnement de vie ou leur territoire. 3)- vivre ensemble acception politico-idéologique : Le bien vivre ensemble repose sur le respect mutuel, l'acceptation de la pluralité des opinions, des interactions dans l'ouverture et la coopération, des relations bienveillantes, ainsi que sur le refus de s'ignorer ou de se nuire. Voilà !
*- La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice vers son identité sociale dans le concert des nations.
Voilà décrit le vivre ensemble, qui a pour but de bétonné le lien social, qui est éminemment politique, de pacifié les rapports humains qui est une grande source de paix et de stabilité, mais qui a été chanté à des fins politique d’attrape-tout par un pouvoir, pour pouvoir œuvre dans son contraire, qu’est la dépravation des mœurs sociétales, le désordre sociale à ciel ouvert, la balkanisation communautaire, le chacun pour soi l’argent pour tous et à tout prix, au mépris de la morale et en dépit des droits, y compris positifs prescrits, la dénaturation et l’acculturation de la totalité sociale, qui est lamentablement entrainer au vu et au su de tous, petit-petit vers le déracinement socioculturel, l’instauration de la loi de la jungle, la délinquance social, la criminalité comme mode de vie, la malhonnêteté dans les rapports humains ; la loi c’est moi, je peux faire il n’y aura rien, etc. etc. etc. L’argent ! Rien que dieu Argent ! Tout pour dieu l’argent ! Sur le dos l’ordre social, de la stabilité et de la paix. D’où l’horizon ivoire est passé du sombre et nuageux, a l’obscurcie. Le demain ivoire sent la catastrophe, le péril et le précipice abyssal. « Oui, « l’identité de la côte d’ivoire de demain doit-elle se réduire à la cartographie des états ? Et l’identité de l’ivoirien de demain doit-elle se réduire uniquement à la pièce d’identité administrative ? Ou doit-elle rester culturelle et sociale, comme toutes les sociétés « non-déracinés » du monde? » Et le problème d’accaparement du foncier ivoirien, qui spolié et méprise le droit de propriété indigène autochtones coutumier et ces lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état, en serait incontestablement une des causes évidentes. Ces terres n’appartiennent pas à l’état ivoirien de 1960. Un gouvernant à le devoir Absolu de savoir, un gouvernant a l’obligation rigoriste de s’informer, gouverner c’est persuader et c’est dissuader, gouverner c’est avoir la capacité nécessaire d’anticiper les perspective d’avenir paisible de la totalité sociale dans le temps. Or le pouvoir d’Alassane Ouattara est un éternel creuset de chaos social, de crises sociales sempiternelles. De politiques de désocialisation, « une transformation qui cause une désagrégation sociale». De déculturation «destruction totale d'une culture » D’acculturation «des transformations qui affectent le modèle culturel original» D’Amoralité «étranger à la morale, qui ne prend pas la morale en considération ». D’Immoralité « l'immoralisme nihiliste qui s’oppose à la moralité ». (Ici, l’immoralité consiste à transgresser délibérément les règles de la morale atavique, et l'amoralité consiste à refuser ou nier l'existence d'une morale ancestrale, voire à encourager sa transgression) Donc, la dépravation des mœurs sociétales « Comportement dénaturé, manière de se conduire immorale ». De dénaturation sociétale, « altérer la nature de la société et déformer les mœurs sociétales». Donc le pouvoir d’Alassane Ouattara est la conjugaison de toutes les criminalités. La grandeur d’un dirigeant ne se mesure pas à l’aune de ses réalisations infrastructurelles, elle ne se trouve pas non plus dans la diversion des prismes tirés de la foule qu’il draine, ou ne s’adjuge pas par la masse de brigades d’acclamations. Oui, l’accaparement des terres en côte d’ivoire est un péril pour notre demain. Donc, pour le destin de nation cohérente, paisible et destin de tous.
La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice : Quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir : il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue nouvelle. Oui, dans une course de relai, quand dans la chaine des relais, il y a un chainon homme paralytique, qui n’existe et ne vaut que par les fausses notoriétés, ne vaut que par des fabriques d’Auras factices et ne vaut que par le soutien intéressé des brigades de soutien et d’acclamations, la course de relai est perdue d’avance, parce que l’obscurantisme n’est jamais victorieux d’une course de relai. Et ce principe et/ou cette maxime édicte, que dans une course de fond, qu’un paralytique veuille courir, et qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous les deux resteront en place statique, inerte et vaincus avant la course de fond. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny doit oser la course vers un lendemain meilleur, stable et paisible. Un peuple confiné dans l’attentisme d’un lendemain meilleur qui ne viendra jamais cours vers la catastrophe programmée pour demain. Oui ! Qui a dit que la terre appartient à l’état ivoirien de 1960 ? Non ! L’état n’a pas d’habilitation de ventes et de cessions de droits sur les terres immémoriales ivoiriennes. « Notre motivation et préoccupation ici, est la sauvegarde des coutumes-mœurs ataviques, de l’identité sociale ivoirienne, de la survie identitaire des communautés ivoirienne et de dire non, à l’Ethiopienisation, à la Zimbabwénisation, a la somalisation, a l’Argentinisation, a l’Érythrénisation. Des états ou il fut un moment ou à présent que les terres appartiennent aux riches exploitants et aux accapareurs illégaux venus d’ailleurs ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
Soit dit en passant de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.