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24 mars 2022 4 24 /03 /mars /2022 16:21
Lepetitfils: La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice  vers la conservation des droits inalienable du peuple: Quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue nouvelle, la côte d’ivoire de l’ordre social.

Lepetitfils: La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice vers la conservation des droits inalienable du peuple: Quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir : il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue nouvelle, la côte d’ivoire de l’ordre social.

POUR LA JUSTE ET CLAIRE COMPREHENSION ALLONS DANS LE LARGE DETAIL :

 

« Oui, n’en déplaise au tout-état Alassanéen et ses développeurs malfrats, costumiers des bradages et des pillages, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile ». Oui, l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, de ventes, de cessions, et d’usages délibérés des terres immémoriales. Et personne n’a pas d’habilitation de Décrétés les dépossessions des citoyens de leur propriété au nom de l’état. L’état n’en est que simple gestionnaire, des conflits des droits et de délimitations entre communautés «indigènes»  autochtones propriétaires  coutumiers immémoriales. Oui, aujourd’hui, la côte d’ivoire est installée dans un désordre indescriptible, qui à finit par imposer l’acculturation sociale, la dénaturation, et tend vers la désocialisation. Le socle existentiel de la société ivoirienne et le substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire l’assiette territoriale est soumise au géométrage délibéré de ce qui fait la souveraineté nationale et de ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples. Oui, en convenons-en et en consentons-en, citoyen ! Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand la vérité historique est coffrée, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel. Or seule la vérité historique, «cette valeur universelle» peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise insouciante et inconsciente, à conduire au développement de notre pays dans la stabilité et la paix réelle».

 

*-La propriété foncière coutumière immémoriale est régis, par le droit international coutumier «le droit des droits».

 

Oui, en convenons-en, citoyen ! Face aux bradages des terres, aux accaparements illégaux, aux expropriations et aux installations anarchiques. Le problème du foncier ivoirien doit rester rigoureusement sous la coupe du droit indigène autochtones coutumier « lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état ». Toute politique foncière, qui ne tient pas compte du droit coutumier, «lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état», en matière de propriété terrienne, des terres ancestrales, serait source de conflits demain. Le problème du foncier ivoirien demeurera source de crises sociales irrésolue en côte d’ivoire. Parce que, la propriété coutumière terrienne immémoriale, régis par le droit international coutumier de la propriété, tient en l’état toutes prescriptions juridiques spéciales, y compris celles constitutionnelles. Ce droit «de la propriété immémoriale coutumière», n’a pas besoin de prescription spéciale, il est ancestral et immémorial. Les droits fonciers coutumiers ressortissant irréfragable du droit international coutumier «le droit des droits», qu’ils soient constitutionnalisé ou non, qu’ils soient enregistrés ou non, qu’ils soient légiférés ou non, qu’ils soient décrétés ou non, les droits fonciers coutumiers ont plus de poids et plus d’effets juridiques que les droits obtenus grâce à une prescription positives quelconque, même constitutionnelle, devenu un support d’achat quelconque ou cession de droits quelconque d’origine juridique. Donc, la propriété coutumière immémoriale, n’a pas besoin de prescription juridique spéciale, même constitutionnelle avons-nous dits. Il a ses modes de cession aussi coutumière et ancestrale propre à chaque groupe social, à chaque communauté. Oui, dans   l'assiette territoriale, Chaque peuple, chaque communauté, chaque tribu, chaque ethnie, connait toutes les limites et les lois non-écrites qui régissent les terres ancestrales, régis par la propriété coutumière terrienne immémoriale.

 

Donc, nous disons que, l’état n’a pas d’habilitation de droit réel, de cession des terres immémoriales. Les problèmes de cession des terres, propriété immémoriale ne se transporte pas devant une juridiction même internationale, sauf à vouloir asseoir le droit international coutumier dans son champ d’application et sur son sujet, qui régit cette propriété ou sauf si le litige a trait aux tracées des frontières territoriales issues de colonisations. Donc, une décision d’une Cour dite commune de Justice internationale, ou d’une juridiction nationale ivoirienne, ne s’impose pas aux exigences irréfragables du droit international coutumier « le droit des droits », dans le cadre d’une affaire de vente sans base juridique tenable, ou de cession de droit spoliatrice par l’état « personne morale d’association de multiple communautés diverses », gestionnaire des biens publics. L’état n’est que simple gestionnaire des terres et arbitres des éventuels conflits de délimitations coutumières entre les communautés divers, propriétaires immémoriaux et ataviques. Oui, hier, aujourd’hui et demain, en côte d’ivoire la question du foncier ivoirien est au cœur de tous les conflits meurtriers intercommunautaires ivoiriens, de régions différentes, et entre ivoiriens propriétaires terriens, immémoriaux coutumiers et certains étrangers au dossier désormais ostensibles dans les régions forestières, où se sont majoritairement installées les communautés étrangères estimée à près dix « 10 » millions en Côte d'Ivoire. Et Subitement devenus propriétaires terriens ivoiriens du jour au lendemain, avec comme support un accaparement des terres, qui est déjà vulgarisé en toute illégalité en côte d’ivoire. Avec une assise juridique de code de nationalité, au terme duquel, même les descendants de l'explorateur portugais Soeiro Da Costa 1469 sont juridiquement ivoirien au vue de ce code de la nationalité. C’est mérité dans la logique de ce bidonnage juridique sur la nationalité ivoirienne, pour celui qui a donné à nos fleuves locaux les noms de San Andrea aujourd'hui Sassandra et San Pedro.

 

(- D’où, serait le bien venue, une option de nationalité qui proscrit la discontinuité, donc plus racinal, atavique, continue, plus rigoureuse sur le droit de la nationalité, avec l’exigence d’un lien ou d’un lieu initial de rattachement racinal, territorial effectif, continu, pour être conforme à la liquidation du tare du temps présent, de répondre aux désastres et désordres sociopolitiques actuel et cela pour être une option de nationalité d’une longévité certaine. En clair, la nationalité doit cesser d’être un simple « lien juridique et politique défini par une loi positive unissant un individu a l’état quel que soit sa date d’arrivée ou entrée, donc, pour être manifestement un lien de rattachement atavique, historique, territorial, ancestral, social, racinal et immémoriales. Et les dirigeants politiques ivoiriens qui gouvernent ou prétendent vouloir gouverner la totalité sociale souveraine doivent avoir un lien multiséculaire extrêmement très solides avec le peuple ivoirien qu’ils veulent gouverner. Cela, contrairement au présent code de la nationalité d’un non-sens juridique manifeste, et ostensiblement Bâtard, un bidonnage hybride et débridé de non-droit, une compilation de volonté personnelle, sans tête et sans queux, dans le seul but de se faire un troupeau de bétail électoral, aujourd’hui non-atteint ou non-satisfait»-). L’état ivoirien de 1960 n’a aucune Habilitation de droit pour vendre les terres. Oui, avec près de 4 millions de m2 des baies, remblayés la lagune ne serait qu’un souvenir dans quelques années. Une mafia d’expropriateurs dits développeurs œuvrent ardemment dans ce sens. Et la Côte d’Ivoire, la nation la plus sociopolitique-ment malheureuse d’Afrique à cause du désordre monstrueux qui y règne, est estampillée, le pays le plus heureux d’Afrique de l’Ouest, parce que tous les comptes s’y trouvent «criminalité, l’amoralité, l’immoralisme, vols, l’escroquerie morale et intellectuelle, dépravation des mœurs, etc. ».

 

C’est pourquoi, la côte d’ivoire a besoin nécessairement et rigoureusement, du renforcement judiciaire des droits des propriétaires terriens, de façon sans équivoque conformément au droit international coutumier, qui gouverne les droits de propriétés immémoriaux. D’où l’état, personne morale ne peut spolier les propriétaires coutumiers terriens. Donc l’état astreint au rôle d’interface, et confiner dans son seul rôle juridique de gestionnaire, qui se doit uniquement de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droit coutumier immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans. Des contrats dont tout en permettant les réaménagements de ses clauses chaque trente-trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes les clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales à personnes privées ou morales. Sauf à l’état lui-même personne morale gestionnaire, estampillé souverain et pour des raisons justifier d'intérêts publics, et pour des œuvres d’intérêt national profitable à toute la nation souveraine et a la totalité sociale souveraine. Oui, la relation qui lie les peuples autochtones à la terre, « leurs » terres », est matérielle, spirituelle et existentielle. Donc, pour respecter leurs obligations internationales, l’état doit assurer aux peuples autochtones détenteurs de propriétés coutumiers immémoriales, une protection effective de leurs droits fonciers, et mettre fin aux atteintes qu’y portent les tierces personnes. Et de jouer à fond, son rôle indispensable dans la protection effective des droits des peuples autochtones. Donc d’intervenir, par des mesures de police et de maintien de l’ordre, pour faire cesser les atteintes que portent aux communautés autochtones certains opérateurs privés en envahissant leurs propriétés terriennes et en pillant les ressources naturelles dans la plus grande illégalité.

 

*-« Droit des Droits » : Les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables.

 

Or les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. Les terres coutumières, sont non seulement insaisissables, mais elles ne peuvent faire l’objet d’une expropriation, même d’utilité publique, «sauf consensus et consentement», pas plus que d’une usucapion de la part de tiers. Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. C’est donc une mesure de protection forte qui sied à ce droit réel, en droit. Oui, ici, face au tout-état, la reconnaissance d’une véritable propriété foncière des peuples autochtones sur leurs terres coutumières ancestrales, soulève d’importantes difficultés politiques étatiques. Ainsi, le positivisme de l’état s’oppose souvent à ces peuples, qui se trouvent souvent confrontés à l’état, là où ils sont établis avec leurs droits fondamentaux de propriété comme mode d’expression d’une identité culturelle. Ceci parce que, le droit de propriété immémoriale des peuples autochtones, limite nécessairement la possibilité pour l’état qui veut décider librement du sort des importantes ressources terriennes souvent localisées sur ces propriétés ancestrales, et aussi qui aspire à tisser des relations avec d’éventuels investisseurs privés source de revenus. C’est pourquoi l’état fait le choix délibéré, pour des raisons économiques, de ne pas attribuer aux peuples autochtones un véritable droit de propriété sur leurs terres ancestrales, « un élément nécessaire de leur patrimoine existentiel » donc se contente de leur reconnaître seulement un droit d’usage des terres. Ainsi, les procédés de reconnaissance des droits fonciers des peuples autochtones sur leurs propriétés ancestrales place ces peuples face à des difficultés d’importance inégale, selon qu’une loi leur attribue des titres fonciers, ou les contraint à les revendiquer en justice. La plupart des législations étatiques se bornent en effet à reconnaître le droit pour les peuples autochtones de revendiquer des droits fonciers sur leurs propriétés ancestrales, et dans cette hypothèse les choses se compliquent singulièrement, car il appartient alors aux communautés autochtones d’établir le bien-fondé de leur revendication. «Selon des rapports, de 2000 à 2015, l’Afrique a cédé pour plus de 594000 milliards de CFA de terres en seulement 15 ans. C’est pourquoi, l’Afrique du Sud avait annoncé que les étrangers ne pourraient plus acheter de terres dans le pays dans une période 5 ans. A ce rythme dans moins de 100 ans les 50% des terres en Afrique Appartiendrait à une oligarchie minoritaire, les riches et certains dits développeurs avec le support du positivisme juridique de l’état »

 

Donc, l’orchestration étatique d’une politique urbaine d’expropriation latente de la paysannerie rurale, «en majorité manipulable et docile», de leurs propriété collective coutumière foncière-forestière au profit des grands intérêts mafieux, est un danger public réel dans l’avenir. Ainsi le droit indigène coutumier lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de la société composite en une entité abstraite, se trouve bafoué, alors que ce droit est ressortissant du droit international coutumier «le droit des droits » qui tient le droit positif en l’état». Donc, disons-nous, ici pour demain, attention au syndrome Zimbabwéen, somalien et Argentin, ou les principales responsables de la précarité des peuples autochtones et indigènes sont les spoliations de leurs droits de propriétés terriens par un ultralibéralisme sauvage, une urbanisation désordonne et chaotique, des cultures de toutes sorte, l’exploitation minière effrénée, l’industrie forestière et pétrolière, et la spéculation sauvage immobilière causales. Ce syndrome spoliateur est ostensiblement présent en côte d’ivoire, avec la même politique d’ultralibéralisme. Ici, d’où toute acquisition illégale ou de prescription légale, même constitutionnelle soit-elle, qui permettrait aux riches et aux grands industriels d’être les plus grands propriétaires terriens demain, seraient une catastrophe en côte d’ivoire. Et toute constitutionnalisation intéressée du droit de la propriété terrienne qui spolierait de leurs propriétés terriennes, les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers fondé sur les « lois ancestrales, non écrites » serait source de graves conflits dans l’avenir. Oui, cela demain, avec les peuples autochtones ataviques, propriétaires coutumiers comme premières victimes directes d’un développement économique débridé, qui non seulement marginalise les cultures, les identités, mais aussi et surtout, détruit, le droit de propriété, le lien à la terre des peuples « autochtones », et le savoir traditionnel de ceux qui se considèrent, pas seulement comme des « propriétaires », mais comme des « gardiens » d’une terre qui a ses droits propres. La course au foncier menace la paix civile ! La privation de la gestion des terres, le déni des droits fonciers, sont des motifs majeurs de conflits pour demain. Surtout des terres qui sont attenantes aux villes et aux villages, qui se développent et se multiplient à toute allure. Ou les cessions de terres illégales se font régulièrement au profit de certains dits développeurs aux abords des villes et villages, là où les propriétaires se font prendre leur propriété de force illégalement, souvent par l’état. Même si d’autres cessions rares ce font officiellement selon les règles coutumières et sous l’égide des «secrétariats» coutumiers dirigés par des chefs. Aussi les personnes pauvres résidant dans les zones rurales ont également couramment recours aux normes coutumières pour authentifier l’occupation des bidonvilles et des implantations urbaines informelles. « La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile ».

 

(Puisque, très souvent à l’origine des expropriations terriennes, se trouvent toujours une série d’actes de violences, qui est l’essence même des actes d’accaparements. Une situation conjuguée d’actes de violences qui enfante des conflits interethniques ou intercommunautaires, constantes. Cette violence n’est pas le résultat de conflits ouverts, où la question ethnico-communautaire est exprimée de manière explicite et directe, comme la revendication des peuples autochtones face à la société et au tout-État, mais plutôt des conflits fermés, où le tout-état et la société, recouvrent et dissimulent les demandes des peuples autochtones sous d’autres revendications positivistes: «généralement la construction d’ouvrages, taxé d’intérêt public et d’intérêt général, routes, extensions des villes, d’infrastructures publiques, l’exploitation de ressources, etc.» Dans ces cas, la position des peuples autochtones est laissée dans le flou. Ainsi à défaut d’éclairage, l’essentiel des préoccupations des peuples autochtones est consigné dans la boite noire étatique du tout état. Ainsi la peur de l’autre devient source de violence et de conflits, et la crise d’identité qui s’en suivra logiquement peut provoquer la résurgence de la vieille notion de « nationalités ethnico-communautaire », avec ses horreurs et ses dangers potentiels. Ainsi les peuples autochtones regarderont la totalité société avec méfiance. Se faisant, en se tenant à l’écart des appareils du tout-État, et aussi des partis politiques, en adoptant des positions et des actions toujours plus radicales. Et ainsi au Nom de l’unité du tout-État, on arrivera a bloqué les processus Indigénistes de légale réforme foncière et a pratiqué une politique d’usure. Oui, les germes de la violence sont là, pour notre pays la côte d’ivoire, sans que nous puissions prévoir avec certitude quel va être le cours des événements à venir. Peut-être que la présente «chronique citoyenne» réussira à attirer l’attention sur ce phénomène. Oui, la participation de l’état dans les ventes massives de terres, rendent compte d’une remise en cause du principe coutumier de propriété immémoriale terrienne. « Droit de propriété immémoriale terrienne, regardé ici, dans une logique de conflits entre propriété originaire et propriété née des politiques coloniales de spoliation fondée sur la création d’un état, né le 07 Aout 1960, dit souverain absolu). « Ceci trouve échos dans, la Déclaration des Nations-Unies sur les droits des peuples autochtones, Non-contraignante certes, mais elle occupe une place absolument centrale dans le traitement à fond des droits fonciers des peuples autochtones et bénéficie d’un soutien beaucoup plus massif. Oui, adoptée par 144 voix pour et 11 abstentions, elle n’avait en 2007 suscité l’opposition que de quatre Etats - mais non les moindres : Australie, Canada, Nouvelle- Zélande et États-Unis ».) La propriété coutumière immémoriale échappe aux états. « Oui, la terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960.

 

Donc, disons-nous, la suppression des droits coutumiers immémoriaux par le biais de politiques d’expropriation et de lois positives qui considèreraient que ces droits ont un statut, inférieur à celui de la propriété immémoriale est un danger. Oui, nous, ne souhaitons pas voir, un ivoirien devenir un Robert Mugabe dans l’avenir demain. «Le désordre monstrueux dans l’exploitation des terres, l’accaparement illégal et le bradage orchestré des terres à son corolaire néfaste de suites dont les  constructions anarchiques et la précarité des bâtisses. Oui à Abidjan, plus des douzaines immeubles se sont écroulés en un An 2021-2022, faisant des dizaines de morts et des centaines de blessés. Nos ancêtres sont-ils en colère ? Gnamien pwbli a-t-i déserté nos cieux ? Il est temps d’aller se prosterner quelque part à Yamoussoukro « pas n’importe où » pour demander à qui de droit intercession auprès de qui de droit». « La terre n’appartient pas à l’état né le 07 Aout 1960 ce serait très facile ». Donc un Robert Mugabe dans l’avenir, qui se mettrait à raser des quartiers par-ci, des plantations par-là, et des terres illégalement acquises par là-bas, des forêts classées partout ce risque est réel pour la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny. Et se serait catastrophique pour notre pays, surtout se serait le résultat de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques, de scories passéistes, de travers politiques d’ultralibéralisme de jungle, instaurer par pouvoir déviant, non-maîtrisé, divaguant ostensiblement dans les violations des droits du peuple et des citoyens. Et se rafistolant dans les fibres sociopolitiques très sensibles de la nation ivoirienne, d’Aujourd’hui. Un pouvoir qui chante le vivre ensemble et œuvre dans son contraire. Le vivre-ensemble, cet humanisme concept « une valeur socialiste de Gauche » est né à la remorque de la croissance des villes de par le monde et l'intensification de la mobilité humaine à travers le monde, qui posait de plus en plus le défi de la cohésion sociale, de la gestion de la diversité et de la sécurité quotidienne en milieu urbain de par le monde. Comme dit ci-dessus le vivre-ensemble est une valeur de Gauche socialiste. Qui a trois acceptions reconnues identiques : 1)- vivre ensemble acception sociologique : est la Capacité et assentiment des habitants des cités urbaines, dans un environnement de diversité sociale et culturelle, à partager harmonieusement leur lieu de vie. 2)- vivre-ensemble acception philosophique et scientifique : est le Concept qui exprime les liens pacifiques, de bonne entente qu'entretiennent des personnes, des peuples ou des ethnies avec d'autres, dans leur environnement de vie ou leur territoire. 3)- vivre ensemble acception politico-idéologique : Le bien vivre ensemble repose sur le respect mutuel, l'acceptation de la pluralité des opinions, des interactions dans l'ouverture et la coopération, des relations bienveillantes, ainsi que sur le refus de s'ignorer ou de se nuire. Voilà !

 

*- La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice vers son identité sociale dans le concert des nations. 

 

Voilà décrit le vivre ensemble, qui a pour but de bétonné le lien social, qui est éminemment politique, de pacifié les rapports humains qui est une grande source de paix et de stabilité, mais qui a été chanté à des fins politique d’attrape-tout par un pouvoir, pour pouvoir œuvre dans son contraire, qu’est la dépravation des mœurs sociétales, le désordre sociale à ciel ouvert, la balkanisation communautaire, le chacun pour soi l’argent pour tous et à tout prix, au mépris de la morale et en dépit des droits, y compris positifs prescrits, la dénaturation et l’acculturation de la totalité sociale, qui est lamentablement entrainer au vu et au su de tous, petit-petit vers le déracinement socioculturel, l’instauration de la loi de la jungle, la délinquance social, la criminalité comme mode de vie, la malhonnêteté dans les rapports humains ; la loi c’est moi, je peux faire il n’y aura rien, etc. etc. etc. L’argent ! Rien que dieu Argent ! Tout pour dieu l’argent ! Sur le dos l’ordre social, de la stabilité et de la paix. D’où l’horizon ivoire est passé du sombre et nuageux, a l’obscurcie. Le demain ivoire sent la catastrophe, le péril et le précipice abyssal. « Oui, « l’identité de la côte d’ivoire de demain doit-elle se réduire à la cartographie des états ? Et l’identité de l’ivoirien de demain doit-elle se réduire uniquement à la pièce d’identité administrative ? Ou doit-elle rester culturelle et sociale, comme toutes les sociétés « non-déracinés » du monde? »   Et le problème d’accaparement du foncier ivoirien, qui spolié et méprise le droit de propriété indigène autochtones coutumier et ces lois ancestrales, non écrites et antérieures à la Constitution de multiples sociétés composites en état, en serait incontestablement une des causes évidentes. Ces terres n’appartiennent pas à l’état ivoirien de 1960. Un gouvernant à le devoir Absolu de savoir, un gouvernant a l’obligation rigoriste de s’informer, gouverner c’est persuader et c’est dissuader, gouverner c’est avoir la capacité nécessaire d’anticiper les perspective d’avenir paisible de la totalité sociale dans le temps. Or le pouvoir d’Alassane Ouattara est un éternel creuset de chaos social, de crises sociales sempiternelles. De politiques de désocialisation, « une transformation qui cause une désagrégation sociale». De déculturation «destruction totale d'une culture » D’acculturation «des transformations qui affectent le modèle culturel original» D’Amoralité «étranger à la morale, qui ne prend pas la morale en considération ». D’Immoralité « l'immoralisme nihiliste qui s’oppose à la moralité ». (Ici, l’immoralité consiste à transgresser délibérément les règles de la morale atavique, et l'amoralité consiste à refuser ou nier l'existence d'une morale ancestrale, voire à encourager sa transgression) Donc, la dépravation des mœurs sociétales « Comportement dénaturé, manière de se conduire immorale ». De dénaturation sociétale, « altérer la nature de la société et déformer les mœurs sociétales». Donc le pouvoir d’Alassane Ouattara est la conjugaison de toutes les criminalités. La grandeur d’un dirigeant ne se mesure pas à l’aune de ses réalisations infrastructurelles, elle ne se trouve pas non plus dans la diversion des prismes tirés de la foule qu’il draine, ou ne s’adjuge pas par la masse de brigades d’acclamations. Oui, l’accaparement des terres en côte d’ivoire est un péril pour notre demain. Donc, pour le destin de nation cohérente, paisible et destin de tous.

 

La côte d’ivoire doit oser la marche et la course salvatrice : Quand on marche vers un but que l’on désire, il y a deux (2) conditions à remplir :  il faut premièrement que l’on y veuille aller à tout prix, en second lieu, que l’on soit disposé à faire tout ce qui est humainement possible, et surtout qu’on soit prêt à faire le pire des sacrifices pour se donner les moyens pour que ses pieds l’y porte vers ce but. Le peuple ivoirien doit oser marcher, vers la côte d’ivoire devenue nouvelle. Oui, dans une course de relai, quand dans la chaine des relais, il y a un chainon homme paralytique, qui n’existe et ne vaut que par les fausses notoriétés, ne vaut que par des fabriques d’Auras factices et ne vaut que par le soutien intéressé des brigades de soutien et d’acclamations, la course de relai est perdue d’avance, parce que l’obscurantisme n’est jamais victorieux d’une course de relai. Et ce principe et/ou cette maxime édicte, que dans une course de fond, qu’un paralytique veuille courir, et qu’un homme agile ne veuille pas courir, tous les deux resteront en place statique, inerte et vaincus avant la course de fond. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny doit oser la course vers un lendemain meilleur, stable et paisible. Un peuple confiné dans l’attentisme d’un lendemain meilleur qui ne viendra jamais cours vers la catastrophe programmée pour demain. Oui ! Qui a dit que la terre appartient à l’état ivoirien de 1960 ? Non ! L’état n’a pas d’habilitation de ventes et de cessions de droits sur les terres immémoriales ivoiriennes. « Notre motivation et préoccupation ici, est la sauvegarde des coutumes-mœurs ataviques, de l’identité sociale ivoirienne, de la survie identitaire des communautés ivoirienne et de dire non, à l’Ethiopienisation, à la Zimbabwénisation, a la somalisation, a l’Argentinisation, a l’Érythrénisation. Des états ou il fut un moment ou à présent que les terres appartiennent aux riches exploitants et aux accapareurs illégaux venus d’ailleurs ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

Soit dit en passant de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

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6 mars 2022 7 06 /03 /mars /2022 16:51
Oui, pour nous, a quoi sert de s’inscrire dans un processus bâclé ou les jeux sont truqués d’avance, pour se voir signifier à l’arrivée le rejet de certaines candidatures pour condamnation a 20 Ans de prison par défaut et non soldé. Et à quoi sert d’aller a des élections, pour aller se voir dire à l’arrivé, malgré la réalité des urnes, au mépris des prescriptions constitutionnelles et en dépit du droit universel que : « Quand le Conseil Constitutionnel dit que tu es éligible ou inéligible ou que tu es élu ou a perdu l’élection présidentielle, il n’y a pas débat » ici les débats son clos d’avance. N’en déplaise !

Oui, pour nous, a quoi sert de s’inscrire dans un processus bâclé ou les jeux sont truqués d’avance, pour se voir signifier à l’arrivée le rejet de certaines candidatures pour condamnation a 20 Ans de prison par défaut et non soldé. Et à quoi sert d’aller a des élections, pour aller se voir dire à l’arrivé, malgré la réalité des urnes, au mépris des prescriptions constitutionnelles et en dépit du droit universel que : « Quand le Conseil Constitutionnel dit que tu es éligible ou inéligible ou que tu es élu ou a perdu l’élection présidentielle, il n’y a pas débat » ici les débats son clos d’avance. N’en déplaise !

« Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ».

 

Le rapport final du 5e round du dialogue politique encensé du gouvernement Ouattara, ne rassure personne. Oui, Lamentablement et inexorablement, le folklore politique ivoirien continu manifestement, jusqu’à une nouvelle crise électorale ou le pouvoir d’Alassane Ouattara imposera encore tous les travers politique au peuple. Oui, Ce n’est pas la proclamation des représentants du gouvernement, de 21 partis et groupements politiques et de 26 Organisations de la société civile, proclamant : «se départir de la violence comme mode d’accession au pouvoir» et de renforcer « la culture démocratique », qui feront la solution. Non ! Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Oui, une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise ou le manipule. Idem, pour l’outil politico-démocratique qui mal exploité, et mal orienté, peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles. Donc nous disons, qu’il faut plus que le financement des partis politiques pour arriver à la paix. Il faut des principes clairs autour desquels se fera le vivre en commun. Il faut des actes organisateurs prescrits, neutres et impartiaux, qui définissent les mécanismes et mode d’accession au pouvoir d’état, et qui marquent le consensus sociopolitique autour de l’organisation sociopolitique. Ainsi qui échappe au contrôle des pouvoirs d’états. Une organisation qui donnera la primauté à l’affirmation du «gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple», prescrit dans une norme de régulation sociale nouvelle.

Et quant au processus électoral, ses règles se doivent de tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité de tous, indépendamment de nos castes, de nos origines nationale et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques, de nos croyances religieuses, sans aucune politique de protection des intérêts des uns et des autres. Et d’ouvrir à l’égal accès de tous, les structures étatiques de souveraineté. Hélas ! Sans ses mesures consensuelles et souveraines, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny vivra encore et toujours des crises politico-électorales malgré elle. Puisque, « Marfa » d’Alassane Ouattara a conquis la côte d’ivoire politique. «Toi tu veux démocratie d’accord, mais, moi j’ai  Marfa». «Tu prends ta part de bouffe et tu causes seulement, y a rien, moi pas bougé ! OK !»  Oui, le pouvoir d’Alassane Ouattara est sûr de son fait et est conscient de son emprise sur la politique ivoirienne et sur les politiques ivoiriens. Oui, le pouvoir d’Alassane Ouattara est Sûr d’avoir enfin fabriqué des citoyens vaches qui n’ont besoin que de manger, donc qui ne seront jamais un rival des possédants du pouvoir, ni un contrepoids crédible à ces possédants du pouvoir par rapport aux fortunes qu’ils amassent dans le désordre social ou peuvent amasser indûment sur le dos du peuple. Le quatrième mandat d’Alassane Ouattara de 2025 passera de la même manière, avec la même stratégie méprisante de trimbalement, soutenue par les armes « fusils» et par la justice judiciaire à l’identique du troisième mandat assujettissant.

Oui, pour nous, a quoi sert de signer des papiers et de s’inscrire dans un processus bâclé ou les jeux sont truqués d’avance, ou pour se voir signifier à l’arrivée le rejet de certaines candidatures pour condamnation a 20 Ans de prison par défaut et non soldé. Sinon à quoi sert d’aller a des élections, pour aller se voir dire à l’arrivé, comme en 2020, qu’on est battu ou vaincu, malgré la réalité des urnes électorales, cela parce que même au mépris des prescriptions constitutionnelles et en dépit du droit universel que : « Quand le Conseil Constitutionnel dit que tu es éligible ou inéligible ou que tu es élu ou a perdu l’élection présidentielle, il n’y a pas débat ». Donc ici malgré le retard incontestable pris sur le temps, il est mieux pour nous d’entonner notre refrain d’espérance en un avenir meilleur. Donc, disons Demain, parce qu’en politique, les plus grands magiciens politiques le savent et ils vous le diront ; il est un moment dans la vie politique ou l(homme politique de par son propre fait, tout ce qu’il touche se transforme en monstre contre sa propre politique. D’où les événements politiques le filent entre les doigts comme un poisson silure de nos marigots et rivières.

Oui, Demain parce que, si de par le monde, le pouvoir d’état qui rend un peuple fou furieux et débile, se met lui-même à la merci de ses crises de folie, donc c’est demain. Oui, Demain, parce que confiné dans la loi de la jungle, le peuple souverain ne peut avoir d’autre réaction que celle de l’état de nature. Donc disons-ici, Demain, oui Demain, sans faute Demain, on sera Demain, c’est Demain devant nous. Donc rêvons de Demain, parce que comme un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée instruit et invente de nouvelles pratiques pour faire porter la délibération politique collective et consensuelles sur des sujets et objets universels et réels et non sur des fausses notoriétés, des faux Auras, des fictions politiques, et des mythes fabriqués de toutes pièces. Ça vient petit-a-petit, de crises à crises, de loi de la jungle a loi de la jungle, de dicta des armes a dicta armé, un jour il fera jour.

Oui, Demain ! Ou en politique, le peuple souverain agira dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration politique élective ou d’adhésion politico-idéologique. Demain ! L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix sociopolitique «Houphouët-ienne» est à ce prix. Ceci permettra d’obliger la dévolution du pouvoir d’état placé à équidistance de tous les citoyens candidats sur la même ligne de départ, pour des élections, libres, transparentes, justes et ouvertes. Surtout ou l’homme incarnerait la centralité de toute politique et le citoyen le cœur de toute action sociopolitique. Donc, ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne, qui admette l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Ici Notre motivation la voici, « Ai-je fais, bien fait pour mon pays ce que je dois ». Le rapport final du 5e round du dialogue politique encensé du gouvernement Ouattara, ne rassure personne. Et c’est dommage pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. La côte d’ivoire est fatiguée des crises orchestrées et a répétitions sempiternelles depuis, 13 Ans. Oui, demain ! Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

Un soit dit en passant de : Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne

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17 février 2022 4 17 /02 /février /2022 17:55
Lepetitfils : préparer des élections, pour se voir dire à l’arrivé, comme en 2020, que même au mépris des prescriptions constitutionnelles et en dépit du droit universel que : « Quand le Conseil Constitutionnel dit que tu es éligible ou inéligible ou que tu es élu ou a perdu l’élection présidentielle, il n’y a pas débat ». Oui, ces dires, comme il n’y avait pas eu déjà ce jour du 28 novembre 2010 ou le conseil constitutionnel avait dit «proclamé» le résultat de la présidentielle en fonction des prescriptions constitutionnelle, et malgré l’irrévocabilité de ce dire du conseil constitutionnel, cela n’a pas empêché la contestation et la Guerre.

Lepetitfils : préparer des élections, pour se voir dire à l’arrivé, comme en 2020, que même au mépris des prescriptions constitutionnelles et en dépit du droit universel que : « Quand le Conseil Constitutionnel dit que tu es éligible ou inéligible ou que tu es élu ou a perdu l’élection présidentielle, il n’y a pas débat ». Oui, ces dires, comme il n’y avait pas eu déjà ce jour du 28 novembre 2010 ou le conseil constitutionnel avait dit «proclamé» le résultat de la présidentielle en fonction des prescriptions constitutionnelle, et malgré l’irrévocabilité de ce dire du conseil constitutionnel, cela n’a pas empêché la contestation et la Guerre.

*- C’est un légisme qui ignore les causes légales du mort a autopsié.

*- Depuis le de début du mois de Février 2022, il y a un débat sur une loi organique déterminant l’organisation et le fonctionnement du Conseil constitutionnel, qui s’apparente manifestement à un débat avec un médecin légiste qui s’inscrit dans une logique d’après Mort, d’où même autopsié dans les règles de l’art, le mort est mort tout de même. Donc un débat inutile sur une loi organique concernant une constitution de faite, qu’appliquera le conseil constitutionnel, pour nous, c’est un légisme qui ignore les causes légales du mort a autopsié. Nous, qui ne nous sommes jamais considéré comme partie à la constitution d’Alassane Ouattara, depuis son élaboration en 2016 « ça fait un gros retard de six 6 Ans continu, mais nous assumons ce décalage ». Donc nous ne sommes pas partis à la constitution d’Alassane Ouattara, dont l’actuel débat concerne une loi organique déterminant l’organisation et le fonctionnement du Conseil constitutionnel chargé de l’application de ladite constitution. Pour nous entrer dans un débat concernant l’organisation du conseil constitutionnel équivaut à adhérer à la constitution qu’il applique, et que nous avons toujours contesté jusque dans les urnes. Mais disons-nous tout de même, que dans les états de droit, certes, cette procédure est parlementaire, Mais qu’une loi organique qui concerne le conseil constitutionnel doit être d’emblée, impérativement approuvée par cette institution. Qui à défaut d’une existence matérielle à ce moment précis, que cette prérogative revient à l’Assemblée nationale qui la vote. Et après quoi cette loi organique est obligatoirement soumise au Conseil constitutionnel devenu matériellement existant, fonctionnel pour contrôle.

Parce que cette loi organique à pour prétention de compléter la Constitution dans un état républicain de droit. Et elle est hiérarchiquement supérieure aux lois ordinaires, elle vient tout juste dans la hiérarchie des normes derrière la Constitution. Mais cette constitution est l’œuvre d’un pouvoir qui revendique la souveraineté totale et absolue. Donc, faiseur de droit, situé au-dessus de la constitution. Donc une monarchie sous un monarque souverain absolu, frauduleusement constitutionalisé. Or, Répétons-le, ici encore : Pour voir une société, pour connaitre une société, pour dire une société, pour raconter une société et pour peser une société, il n’est pas, en droit, d’autre instrument que la constitution. Elle est un acte fondateur en ce qu’elle énonce les principes autour desquels se construit le vivre en commun de partage d’une société, elle est un acte organisateur en ce qu’elle définit les mécanismes du gouvernement politique, elle est un acte écrit en ce qu’elle marque, les principes et modes d’organisation politique de la société. Donc ainsi, elle échappe au contrôle des pouvoirs, en ce qu’elle fait la légalité des pouvoir politiques.

Donc, fortifier dans notre position de 2016 devenue retardataire, nous disons en appui de cette position, que les procédures normales d’élaboration constitutionnelles, d’une nouvelle constitution d’un état de droit, doit être confiée à une assemblée constituante élue par le peuple, détenteur ultime du pouvoir d’état. Cette assemblée doit être formée de scientifiques et de grands techniciens de la matière constitutionnelle. Que ceci, doit être la base même, de leur élection à l’assemblée constituante, qui est chargé de rédiger l’avant-projet de constitution qui doit être d’abord soumis à nouveau, pour avis à des spécialistes constitutionnels «un Comité des Experts». Qu’ainsi totalement technifié « technicisé » et rendu conforme au droit universel, l’avant-projet de constitution, est alors soumis à la votation politique du peuple, dans les principes politiques. Qu’au cas contraire la votation politique ne confère pas de légalité à une constitution. Qu’il est indéniable que, les normes positives ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Si elle repose exclusivement sur l’affirmation de la volonté politique d’un homme. Donc elles ne sont pas souvent forcément des droits universels ou conformes au droit réel.

Donc une constitution «droit positif», dont la procédure d’élaboration s’écarte des principes du droit universel, n’est pas du droit. Parce qu’elle s’avère se faisant, être la volonté abstraite d’un homme politique initiateur ou d’un groupe politiques soucieux d’arrivée à ses fins de dominations, par le biais du renforcement du pouvoir exécutif, qui est par essence l’autre figure du despotisme. Qu’aussi le but unique de l’élaboration d’une constitution ne doit pas être exclusivement la monarchisation de la république « tout pour le président et le vice-président » et la mondialisation d’une nationalité, au risque de confondre légalité du droit universel et uniformisation à des fins strictement d’intérêt politique. Que dès lors, il devient constant, qu’au terme d’une élaboration constitutionnelle, la primauté et l’universalité réelle des droits comme fondements du pacte social «conception technico-juridique» doit pouvoir se conjugué avec l’affirmation de la souveraineté nationale étatique et de la citoyenneté «conception politico-juridique», résolument inscrit au cœur de la république et de la démocratie populaire assis sur le principe du gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Donc la constitution de 2016 d’Alassane Ouattara, n’ayant pas souscrit à ses principes de droit universel, pour être opposable a tous, parce que devenue l’œuvre de tous, nous avons donc dit, bien qu’infortuné, pliant avec flexibilité sous le poids de notre sacerdoce de toujours, qu’est la recherche inlassable, hélas ! Parfois ingrate de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale, que nous ne sommes pas parties à la constitution d’Alassane Ouattara. «Mouk ça jamais». Et toujours fort de notre éclectisme impassible et notre foi inébranlable à l’avenir de notre pays la côte d’ivoire, continuons de soutenir la même chose.

Donc, aujourd’hui, il n’est pas question pour nous, d’être partie du débat sur une loi organique qui vient complétée cette constitution. Donc nous ne sommes pas dans ce débat cadavéré de médecin légiste autour d’un cadavre mort zigouillé par le non-droit procédural et par une votation politique catastrophique ou le but d’un referendum, est la recherche de l’expression démocratique de la totalité sociale souveraine. Dès lors en droit, quand une seule urne référendaire est cassée le vote référendaire perd tout son sens et devient nul et de nul effet. Oui nous nous sommes désolidarisé de la constitution d’Alassane Ouattara, parce qu’une Constitution n'est pas un texte de loi ordinaire, c’est la Loi des Lois, c’est l'acte solennel par lequel une société dans sa totalité déclare les principes qui la fondent, qui la rassemblent et qui l'organisent. Ce texte-là ne peut être élaboré aussi facilement qu'une loi ordinaire. Il exige une procédure consensuelle particulière, plus solennelle, plus exigeante, qui corresponde à la qualité des valeurs à constitutionalisé. Dès lors il faut une procédure normale, d’élaboration constitutionnelle. Ici on doit tenir compte que, la fonction primaire d’un système juridique même constitutionnelle qui est intégrative, un tel système sert à atténuer les éléments potentiels de conflit sociaux et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux afin de garantir la stabilité sociopolitique, la paix sociale. En effet, c’est seulement avec l’adhésion de tous à un système de normes juridiques que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents.

C’est ainsi pourquoi, qu’une nation doit en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais de procédures juridiques et démocratiques symboliques, aux nombres desquelles figure l’élaboration d’une nouvelle constitution consensuelle, soumis obligatoirement à l’adhésion de la totalité sociale souveraine, tant dans son système d’élaboration, que dans sa votation politico-démocratique référendaire, pour s’adapter à l’évolution du temps et du monde civilisé. C’est pourquoi les républiques de par le monde ne sont pas statiques et figées. Mais une constitution peut toujours présenter des germes de crises, dans la mesure où l’initiative de son élaboration est laissée à un seul homme ou un seul groupe politique détenteur de tous les pouvoirs du système étatiques, qui ne cherchent qu’a légalisé leur volonté. Or avant tout, une constitution républicaine se doit d’être conforme au droit et se doit d’être l’aspiration profonde du peuple, à vivre en commun dans la stabilité sociopolitique et dans la paix. Sinon, on risque de faire le lit liberticide, à la dictature, à la tyrannie, au despotisme. Voyons ensemble les acceptions de ces régimes liberticides pour les droits, les libertés, la démocratie sociale, pour nous en convaincre.

1*- La tyrannie est un régime politique, ou on appelle tyran tout homme politique qui, dans une cité, s'empare illégalement du pouvoir souvent par les armes et le conserve par la force de ses armes, au mépris des normes juridiques de la société commune. 2*- La dictature est un régime politique autoritaire, établi et maintenu par la violence, à caractère exceptionnel et illégitime. Elle surgit souvent dans des crises sociales très graves, il s'agit en général d'un régime très personnel ; mais l'armée ou le parti attrape-tout peuvent servir de base à des dictatures institutionnelles. 3*- Le pouvoir despotique donne une marche de conduite à suivre, tel que le ferait un père envers ses enfants, ma position ou rien, ce que j’ai dit ou rien. Mais retenons que, le tyran peut n’être pas despote, mais le despote est toujours un tyran, qui a la réputation d’être intransigeant autour de la chose publique et dans l’ordre du public. Il veut que les citoyens puissent organiser leur propre défense, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger de renard et de Loup, la raison du plus fort est toujours la règle pour le despote, d’où les fanfaronnades d’éloges, disposent des expertises doctes et esthètes.

Donc, aujourd’hui, nous nous interrogeons: qu’est-ce que les débatteurs opposé à cette loi organique peuvent bien empêcher, d’autant plus que c’est du ressort des parlementaires d’en décider, avec deux (2) chambres suivistes de députés «assemblée nationale et Senat, ou les mord-pions se le dispute avec les leveurs de bras», accaparé par le pouvoir en place, non seulement grâce à la constitution querellée, mais aussi en  grande partie au déséquilibre du découpage électoral et surtout à l’ensemble des processus électoraux. Ces deux chambres de députés «assemblée nationale et Senat, un tiers d’emblée de cooptation présidentielle», se veulent dès lors automates dans l’exécution des projets de loi soutenue ou émanent du pouvoir exécutive d’Alassane Ouattara. Donc, Alassane Ouattara décide seul de tout. Or dans un état de droit républicain, quand une seule personne décide de tout, c’est ce qu’on appelle la dictature dure ou la monarchie républicaine. Oui, que peut-t-on espérer de deux chambres suivistes de députés automates, prêt à jeter l’organisation sociale ivoirienne au pied du pouvoir exécutif d’Alassane Ouattara ? Même au besoin en le permettant de gouverner unilatéralement par ordonnance. Donc ici, nous sommes face à une fichue législature, qui se trouve inscrite par des intérêts politiques et pécuniaires, sur le registre des fossoyeurs de la démocratie et de l’état de droit républicain, devenue partisans intéressés d’ultralibéralisme de jungle, du dirigisme économique de défenestration économique criminelle, de concussion, de copinages, de vol organisé, de corruption et d’escroquerie morale et intellectuelle. Au-delà du ponctuel la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique.

Oui, a quoi sert de se battre autour d’une loi organique déterminant les attributions, la composition, l’organisation et le fonctionnement du Conseil constitutionnel, chargé d’assurer le respect de la constitution, qui est la norme suprême en droit, dans  état républicain, autour de laquelle «loi fondamentale de la République», est appelé en préambule des normes internationales civilisatrices dans le bloc de constitutionnalité, si le tout prescrit, se trouve à la merci des élucubration judiciaire, d’un magistrat nommé par le pouvoir exécutive, dont il est partisan politique, cela quand il s’agit de juger de la régularité des consultations électorales ? Et il y a pire à résoudre, quand on regarde bien dans la vie sociale ivoirienne, qui est devenue délinquante, sinon criminelle, malgré le corpus bien fourni du droit pénal ivoirien, qui ne demande qu’à être appliqué à la société par une gouvernance soucieuse de l’ordre sociale. Une société humaine ne se juge pas par le haut, elle se voit, elle se mesure par le bas. La sécurité d’une société ne se limite pas à la sécurité des gouvernants, qui trainent des gardes corps armes aux poings, sinon des cortèges ubuesques suivi de Béret rouge paradant dans les rues, non ! La sécurité de la société s’assure du bas vers le haut en instaurant rigoureusement l’ordre en bas, ceci se transporte de lui-même en haut, de même le contraire se produit quand la société est pourrie en haut, cela se répercute en bas, s’installe, malgré les habitants de la cité.

La société ivoirienne d’après 2010, est devenu criminelle, agresseur, incivile, discourtoise, ou le désordre, le banditisme, les agressions délibérées, la malhonnêteté, sont devenus des valeurs sociales, ou l’escroquerie morale et intellectuelle, a annihilé la valeur de la parole humaine, pour laisser la place au comportement des ballons de basket «gonflage et dégonflage» sans contenu. Une confidence nous dit, qu’il est question d’en profiter, mais  de quoi ? De la ruine sociale ! Du désordre social ! Au prix de l’enfer social de demain ? Quand le gain facile à n’importe quelle condition et la richesse mal acquis prédominent sur l’être humain et sur les autres valeurs humaines, à  fin de domination ploutocratique condescendante, intervient inéluctablement la Ruine sociale. Redisons-le, dans une société humaine, il est des agissements qui dénotent, non seulement le ridicule, mais aussi de l’ignoble bassesse d’ambitions perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation entière. Et malgré ce danger sociétal réel, la grande partie de la composante politique dirigeante ne semble voir au prisme de ce désastre, que les élections à venir, et on ira encore à ces élections à n’importe quelle condition et prix. Ce qui consolide la myopie intéressée du pouvoir d’Abidjan. Le poisson pourri par sa tête dit-t-on et c’est dommage.

Aller a des élections, pour aller se voir dire à l’arrivé, comme en 2020, que même au mépris des prescriptions constitutionnelles et en dépit du droit universel que : « Quand le Conseil Constitutionnel dit que tu es éligible ou inéligible ou que tu es élu ou a perdu l’élection présidentielle, il n’y a pas débat ». Oui, ces dires, comme il n’y avait pas eu ce jour du 28 novembre 2010 ou le conseil constitutionnel avait dit «proclamé» le résultat de la présidentielle en fonction des prescriptions constitutionnelle, et malgré l’irrévocabilité de ce dire du conseil constitutionnel, cela n’a pas empêché la contestation jusqu’à la guerre, qui a fait 4000 morts. Non ! Nous ne marcherons pas, nous, dans ce sens, même si nous sommes indigents parait-il sous le pouvoir d’Alassane Ouattara. (« Après 10 ans hors du pays, avec une résidence saccagée et pillée trois « 3 » fois, la première fois pour le vidé de son contenu, la deuxième fois pour récupérer le peu résiduel qui restait et la troisième fois pour s’en servir peut-être de lieu de débouche. Même ma bibliothèque qui était mon plus grand souci, qu’on m’avait dit épargnée dans ma chambre principale, ou si l’argent peut-être la mesure de valeur, il y avait au moins pour 12 000 000 CFA d’ouvrages, soit 18300 Euros ou 26430 Dollar canadien, « des livres à 80 % de Droit et a 20% de science politique » ce qui n’est pas de la tarte « ou du Gbofloto » ivoirien, pour un malheureux indigent, pauvre type, comme nous. Donc péniblement acquis, la plupart par voie de commande, via la Librairie de France Plateau, à mon arrivée ces livres n’y était pas non ! Il y avait plus de livre. Nous disons ceci juste pour une mise au point, notre personne n’est pas la question centrale ». Mais n’empêche-nous ne sommes pas partie à la constitution d’Alassane Ouattara « jamais de la vie ». Nous assumons notre sacerdoce, forgée dans les combats politiques discursifs, sans violence physique, formée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, éduquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public, orienté vers la sagesse de Felix Houphouët Boigny, par les travers politiques d’animosité de toute sorte des nouveaux prédateurs de jungle et leurs faits chaotiques résultants de la guerre d’agression déclenchée en septembre 2002, poursuivi en 2010 et jusqu’à ce jour dans de multiples formes

Oui, mais n’en déplaise, malheureux peut-être, indigent peut-être, sinon pauvre « sans 1 piquini ou Moro» peut-être, mais  nous ne dévierons pas de notre ligne, jusqu’au Blocage de cette dynamique démoniaque, maléfique, satanique, criminel, et se débarrasser du système, marqué du sceau indélébile du fleuve de sang versé et cela le plus légalement possible, pour replacer l’être humain au centre du débat, le citoyen au cœur de toute politique économique et développementale. « L’Argent des voleurs, des pilleurs, fait-il le bonheur ?». Oui, pour nous aujourd’hui, au-delà du débat sur loi organique déterminant les attributions, la composition, l’organisation et le fonctionnement du Conseil constitutionnel, Aujourd’hui, il y a plus a pensé pour la côte d’ivoire, que des agissements nombrilistes Amoraux, carriéristes, protecteurs des intérêts électoraux et égocentriques. Il y a plus à résoudre que des bassesses politico-judiciaires, protectrices des intérêts politiques mercantiliste, il y a plus à conscientisé que l’ignominie de l’Apartheid politico-électoral, il y a plus a éclairé que l’obscurantisme juridique assis sur l’Anathème politique, il y a plus a légiféré que la négation du droit, des libertés, de l’ordre social, par excommunication juridique, qui relève du choix du désordre et de l’instabilité sociopolitique, du chaos social. Oui, Il y a plus à résoudre pour la côte d’ivoire que ces criminalités protectrices des intérêts égocentriques, qui sont porteurs de périls pour leurs auteurs, et pour la totalité sociale. Oui, la côte d’ivoire, notre société, la totalité sociale ivoirienne, a besoin de régulation sociale. «Au cas contraire demain l’ivoirien mangera Goudron et Béton des ponts, et pour payer le métro avec les écrous de Rails». La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a besoin de régulation.

Donc, tout ceci, pour dire que nous ne sommes pas dans le débat autour d’une loi organique, d’une institution judiciaire chargé d’assurer les respect d’une norme que nous avons rejeté au départ et surtout appliquant d’une norme que nous avons contesté dans son ensemble en 2016, donc, tant dans sa forme procédurale irrecevable, qui ouvre sur son fond anomique, que dans son essence de droit. Non ! «Mouk, jamais de la vie» nous ne pas partie à la constitution d’Alassane Ouattara. Et nous n’entrerons pas dans un débat cadavéré sans témoignage du cadavre. Pour nous, plus que jamais, la côte d’ivoire a besoin d’une nouvelle norme de régulation sociopolitique d’abord. Il faut une norme de régulation sociopolitique consensuelle et élaborée dans le strict respect des principes universels, du droit universel et règles démocratiques universelles. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à rire à nouveau ensemble, à apprécier ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale, ou tout en disant la vérité crue et nue, nous ne demanderons pas au peuple d’oublier, mais demanderons humblement au peuple d’essayer de pardonner pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences, au terme d’une Amnistie générale référendaire. Et le peuple ivoirien qui est d’une grandeur d’âme ancestrale et atavique saura pardonner, après les incères contritions et les repentances. Donc, une nouvelle norme de régulation sociopolitique d’abord quel que soit son appellation. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

Une chronique de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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12 février 2022 6 12 /02 /février /2022 16:37
Lepetitfils : L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations, avec son atavique étiquette civilisatrice d’ex-colonisée. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines qu’elle a hérité de sa puissance colonisatrice « que sont respect des droits inaliénable de l’homme, respect des libertés individuelles, respect des règles démocratiques, respect des normes positives de régulations sociopolitiques que les peuples choisissent librement, respect des règles et processus démocratiques, etc. ». Et d’ancrée ces valeurs humaines, dans les faits économico-sociopolitiques.

Lepetitfils : L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations, avec son atavique étiquette civilisatrice d’ex-colonisée. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines qu’elle a hérité de sa puissance colonisatrice « que sont respect des droits inaliénable de l’homme, respect des libertés individuelles, respect des règles démocratiques, respect des normes positives de régulations sociopolitiques que les peuples choisissent librement, respect des règles et processus démocratiques, etc. ». Et d’ancrée ces valeurs humaines, dans les faits économico-sociopolitiques.

*- « Kouma-pour-la l’Afrique ». 

Bon ! D’emblée, notons qu’en dépit des sacrifices de ses soldats Morts sur le théâtre des engagements humanitaires et  des milliards dépensé dans la lutte contre le terrorisme islamiste, l’ex-puissance colonisatrice, la France «la mère patrie» est devenue la cible privilégiée des discours de panafricanismes exacerbé. Et sans réfléchir, on crie «A bas la France » «Barkhane dégage !» ? Or à ce rythme, un jour il s’imposera a l’Humanité de crier «A bas les pouvoirs déviants d’Afrique de l’Ouest» «qu’ils dégagent !» «Pour que vive le peuple Ouest Africains». Puisque cette propagande panafricaniste aveugle et de populiste sourd, oublie que l’essentiel des efforts à fournir est strictement de politique nationale, qui est du ressort exclusive des dirigeants commanditaires de ses propagandes, qui doivent dès lors avoir des politiques et des actions incisives sur la sécurité nationale, en acceptant d’appliquer strictement et intégralement les processus de paix sous l’égide de la communauté internationale en intervention de droit. Ici la carence des responsabilités étatiques, l’inefficacité des actions gouvernementales, l’inaction des gouvernants, qui veulent la plupart des temps une chose et son contraire. Parce que, plus soucieux qu’ils sont de leurs carrières politiques que de la gestion des crises, ce qui oblige à caresser une cause de la crise, dans le sens du poil. D’où une cible sécuritaire-ment légale devient un paisible paysans à ne pas toucher, sont en grande partie les causes des dégradations des situations sécuritaires. Donc, en convenons-en ici, qu’avant de crier: «A bas la France, ses valets locaux, sa politique de dépendance et de mépris, vive la Russie sauveur», qu’il convient d’aller se prosterner, avec un respect religieux sur la tombe du président Modibo Keita «le soviet» qui a pratiquer la Russie jusqu’à l’extrême.

Après quoi, il y a inévitablement des choses a conscientisées 1)- qu’est-ce que la France gagne dans mon pays hormis, la mission de devoir et d’obligation internationale ? 2)- la Ruse est-elle légalement présente dans mon pays en tant qu’état, soumis au droit international général qui régit les rapports interétatique ? Sais-je que la Russie ne se battra jamais arme aux poings pour mon pays contre la France ? Parce que, ceci est une règle irréfragable des relations internationales ? Sais-je que dans la Haute sphère internationale, qu’en droit international, qu’en règles internationales et en relations internationales que les ex-colonisateurs ont la primauté sur les affaires de leurs ex-colonies ? Que ne vois-je pas, les liens de rattachement entre la grande Amérique et la Grande-Bretagne ? Et me dire qu’un pays Africain, n’ira nulle part sans une collaboration et des rapports d’intérêts vus et revus avec sa puissance colonisatrice évoluant, convergeant ensemble, dans le concert des nations vers des objectifs commun et partagés. Non ! C’est difficile de s’interroger sur soi-même quand le sentiment de victimisation prédomine, quand les carences de toutes sortes trouvent leur acception populaire dans l’accusation du colonisateur. Nous savons tous que nos routes poussiéreuses de 1960 s’appelaient «Traite» autrement «Tritie», allusion à la traite des noirs constructeur, rien que cela, peut servir de paravent justificatif au non-droit dans la masse populaire, malgré que ces routes ne se trouvent qu’en Afrique pas chez le colonisateur. Et qu’un coup d’état armé, qui annihile l’expression souveraine de la totalité sociale souveraine qu’est la constitution, est du même type que cette injustice de colonisé crié et décrié.

(Même si à propos des coups d’états une voix écoutée aujourd’hui en Afrique a dit ceci. « C’est, dans une certaine mesure, le résultat d’une défaillance dans la gouvernance. Ce n’est pas juste la faute des militaires, les civils ont aussi une responsabilité. Certes, le rôle des militaires n’est pas de conduire ce genre d’action, mais on ne peut ignorer que, dans certains cas, les civils commettent, eux aussi, des actes contestables ». « Si, sous un gouvernement civil, la situation se détériore et que les gens meurent, que les problèmes s’accumulent et qu’en plus les autorités se servent des militaires pour truquer les élections, qui doit-on blâmer lorsque l’armée renverse ces gouvernements ? Je trouve inapproprié de ne critiquer que les militaires et de ne pas blâmer les civils qui les ont utilisés pour se maintenir au pouvoir. J’imagine que c’est à partir de ce genre d’analyse que certains disent qu’il y a des bons et des mauvais coups d’État». Soit ! C’est vrai souvent qu’en politique, les résultats obtenus comptent davantage que les moyens utilisés pour y parvenir, les chiffres comptent davantage que les hommes. Mais n’empêche un coup d’état est un non-droit assujettissant pour le peuple, si son but n’est pas le retour immédiat du pouvoir dans le peuple).

Donc nous disons que, l’Afrique, notre destin commun, a besoin de vérité crue et nue, le mensonge mytho-maniaque leurrant et de diversion populiste, transporte le pire des malheurs pour l’Humanité et pour l’Afrique. L’Afrique avec son sentiment antioccidental cultivé dans la masse populaire non-avertie, par des pouvoirs déviants, fonce tout droit dans le chaos économico-sociopolitique et religieux. Attendons pour voir au départ de l’entreprise militaire privée Wagner de nationalité Russe, de la Centrafrique et du Mali pour constater ce qui restera des pauvres sous-sols de ces deux « 2 » pays Africains. Et si elle laissera des états stables et paisibles. (Cela risque d’être comme le retrait des troupes russes de l’Afghanistan, commencé le 15 mai 1988 et achevé le 15 février 1989 après une présence de près de 10 ans  en Afghanistan, devenu un théâtre de rivalité qui a été le facteur contribuant à la faillite totale de l’état, et à engendrer l’absence d’un État affaibli, ouvert à toutes les ingérences des puissances étrangères. « Notons entre guillemet que, dans une acception simplifiée, l’État désigne une entité territorialement circonscrite, un ensemble d’institutions politiques et administratives qui contrôlent l’espace public au sein d’un territoire, en accomplissant des tâches d’extraction et d’utilisation des ressources, de régulation sociale et des comportements, dans le respect strict de sa souveraineté étatique, socle de sa souveraineté internationale ». Donc, Retrait Russe sur un échec ? Peut-être pas ! Si l’on tient compte de la victoire de l’opération de Kandahar, entraînant la prise de Khost en fin 1987 par un régiment Russe. Mais quel a été le progrès sécuritaire pour l’Afghanistan et le peuple Afghan ?).

Donc disons-nous, le problème de l’Afrique ce n’est pas les ex-colonisateurs non ! C’est la culture pleurnicharde. Les guerres civiles et les coups d’états, qui font plus de mal à l’Afrique que la colonisation. Bons ! En Afrique de l’Ouest, il y a un proverbe coutumier qui dit que «L’eau qui sort de la bouche du poisson silure est la plus fraiche de nos marigots et rivières», parce que ce poison est sensé vivre dans les profondeurs de ces Eaux. Donc, revenons à la supposée présence officielle Ruse au Mali, ou les débats sont clos. Le Président de la Fédération Russe Vladimir Poutine, a dit clairement le lundi 07 Février 2022, que son pays, n’est nullement pas concerner et n’a rien à voir avec les entreprises militaires privées de nationalité Russe, qui opèrent au Mali. Soulignant, qu'il y’a des intérêts commerciaux «Soulignons-commerciaux», des entreprises Ruses qui se mettent d’accord avec le gouvernement malien, qui n’engage pas la Russe. Et qu’il à discuter de la situation au Mali avec le président Macron de France, qui connait désormais à la perfection la position Russe, qui n'a rien à voir avec les entreprises privées qui opèrent au Mali. Qu’il voudrait bien le souligner une fois encore, lors de la conférence de presse, que l'Etat russe n'a rien à voir avec CELA. Ce qui est dit est dit. Juridiquement c’est clair, a la lampe des lumières du droit international général qui régit les rapports étatiques, les faits de l’entreprise militaire privée Wagner, n’engage pas l’état Russe. Non !

Donc la présence de l’entreprise militaire privée Wagner, dans la sphère publique de gestion sécuritaire, qui relève strictement de la souveraineté nationale est une coopération privée Wagner-Mali, sans plus. Donc, juridiquement annihilant pour la souveraineté nationale du Mali «Mali-Bâ de feu-ma-mère». C’est une carence manifeste de l’état malien privatisé en commercial. On ne doit pas soustraire la gestion souveraine de la sécurité nationale aux rapports étatiques ou publics. Mais hélas ! La Russie n’est pas tenue par les actions de l’entreprise militaire privée Wagner qui opère dans l’ordre du public et dans la souveraineté étatique. La défense nationale et la sécurité de l’état, sont liés à l’indépendance nationale a la souveraineté nationale. Même si elles peuvent de droit international général, dans la cas de nécessité absolue d’intérêt général, d’ordre public, avoir l’appui d’autres état souverains dans le cadre des relations internationales d’entraide légale et de réciprocité. Mais elles ne se privatisent pas, non !  Sinon l’état commercial disparait, avec la souveraineté internationale perdue. Or ici dans la gestion d’une crise qui engage totalement la souveraineté étatique, le rapport devient anomique, quand l’état du Mali par conséquent sujet du droit international, duquel il tire sa souveraineté étatique et internationale, se lie à une entreprise militaire privée de droit commun, engagée dans la gestion d’une crise, inextricablement lié à sa souveraineté nationale. Une l’entreprise, qui défend avant tout des intérêts commerciaux d’entreprise, raison de son existence. Et ses actions n’engagent pas son pays de nationalité, comme les multinationales de droit commun et transnationales du monde.

*- L’Afrique, n’a pas besoin de cassure haineuse, de rupture brutale avec ses ex-colonisateurs aux savoirs reconnus.

Disons-le, nous avons Mal au Mali. La chanson nationaliste ou panafricaniste «à Bas ex-colonisateurs ou l’occident» n’a pas de débouchée. Bon! Que faire ?  L’Afrique notre destin commun va mal. Ces organisations internationales restent redevables de démontrer aux yeux du Monde qui observe, leurs capacités à régler les Crises sociopolitiques Africaines. Donc puisque, nous sommes d’accord que l’Afrique ne doit pas être toujours à la recherche éternelle de nouvelle puissance de tutelle même en Asie, ou Russe, chine et Turquie, celle de Amérique ne saurait tarder. Disons-le, l’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations civilisées. Mais, un pays Africain n’ira nulle part, sans une collaboration étroite d’intérêt réciproque avec sa puissance colonisatrice. L’Afrique n’évoluera que par ses liens politico-économiques, très bien entretenus avec son ex-colonisateur. Une collaboration, non pas comme colonie éternelle, mais comme partenaire privilégié indéracinable, avec des nouveaux rapports économico-sociopolitique discutés et convenus, de nouveaux liens de coopérations solidifiés. Oui, le panafricanisme repoussoir et aveugle est démodé et vermoulu. Le seul destin promis à des ex-colonies Africaines déserteurs de la ligne de leurs colonisateurs, consiste non pas à guider ou à diriger le peuple, mais plutôt à suivre le réveil extatique des masses martyrisées, par les pouvoir dictatoriaux d’Afrique et le refrain mobilisateur est connu de tous à Bas les ex-colonisateurs de l’occident.

Oui, disons-le, le panafricanisme endurcis, l’anticolonialiste hermétique, ne servira jamais l’Afrique, l’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés, avec l’Afrique comme théâtre d’opération ne servira pas l’Afrique, désormais même lesdits dragons d’Asie espèrent de la versatilité de l’Afrique. Or pour que le bateau Afrique du progrès social intégral prenne la route vers les lumières du développement durable, l’Afrique doit d’abord opter résolument pour la stabilité sociopolitique, qui proscrit les coups d’états et les guerres et se doit d’être dédouanée de toute emprise religieuse, dans l’acceptation des différences et pour la paix. Et le développement trouverait son terreau fertile de progrès avec l’être Humain au centre de tout. Et l’Afrique doit se méfier de l’imbrication habile du non-droit assis sur la défense des intérêts quels qu’ils soient, puisque l’intérêt clanique d’un homme ou d’un pouvoir armé, n’est pas forcément souvent celui de la totalité sociale souveraine, qui aspire à la paix. Et surtout de proscrire l’interconnexion mafieuse de la religion et de la politique. Qui cherche, non pas de servir le peuple, mais plutôt l’asservir, pour se servir dans les deniers public. L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations. Un pays Africain, n’ira nulle part sans avec  la collaboration et les rapports d’intérêts vus et revus avec sa puissance colonisatrice évoluant sinon convergeant Mains dans la Mains dans le concert des nations vers un avenir partagé

Aujourd’hui, tout comme hier à l’aube des indépendances africaines, l’Afrique a besoin de frottements, sans esprit d’infériorité, sans victimisation éternelle, besoin de plus de savoir universel, de moyens intellectuels non-vacillants, de connaissances scientifiques assumées avec désintérêt, et de supports financiers de ses propres ressources, non-soumises aux pillages systématiques, par un pouvoir. Les discours idéologiques creux déconnectés de la réalité sociopolitique, ou de dénonciations discursives populistes leurrant, devant des peuples astreints à l’antiélitiste par le martyr de la misère, sont démodés. Répétons-nous: L’Anticolonialisme aveugle et le panafricanisme hermétique ne paye pas. L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique n’ont jamais servi et ne serviront jamais la lutte nationale démocratique en Afrique. L’Afrique doit comprendre qu’en politique, chaque fois qu'il arrive un problème sociopolitique, une crise sociopolitique, l’homme politique se doit de chercher logiquement les causes en lui-même d’abord, oui d'abord en lui-même, surtout en lui-même. Ainsi s’il arrive à discerner sa part de responsabilité dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, la part de responsabilité des autres dans les causes de ce problème sociopolitique, de cette crise sociopolitique, devient alors facilement discernable et dénoué de toute accusation gratuite. Oui les hommes politiques Africains se doivent de penser à opter pour le «Ai-je fais, bien fais pour mon pays, ce que je dois » décrété par Houphouët Boigny de côte d’ivoire.

Oui, le problème des Africains, ce sont les Africains eux-mêmes. Même, la propagation et la vulgarisation actuelle de la criminalité transnationales ignoble, sous couverture sectaire, n’est pas venue de chez les colonisateurs non ! Ce sont les Africains qui terrorisent d’autres Africains en Afrique. L’Afrique est docile et perméable à toutes les cultures dépravées venues de l’extérieur à l’Afrique. Cette criminalité transnationale ignoble a la vogue en Afrique sous couverture sectaire, a hélas, souvent ses entrées dans les cercles des pouvoirs d’états Africains, elle ne vient pas de chez les colonisateurs-blancs. Et il n’y a pas de Blanc-colonisateurs dedans sauf copté par des Africains, Donc en clair les Africains ou l’hommes politiques Africains, ne doivent avoir aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance, vis-à-vis de la France « la mère patrie », de l’occident, des Blancs et/ou des puissances étrangères a l’Afrique. Au contraire, ils doivent chercher des nouveaux moyens d’approches, d’attaches, pour permettre à l’Afrique et les forces étatiques légales Occidentales de construire ensemble un nouveau destin commun et partagé. Donc, le discours des hommes politiques Africains, ne doit pas se réduire à rejeter toute la responsabilité, des crises sociopolitiques ou des problèmes économiques, sinon tous les malheurs des Africains, sur la France, sur l’Occident ex-colonisateurs ou sur les Blancs. Donc avoir le courage de se regarde dans un miroir, faire avec le réel.

L’Anticolonialisme primaire et le panafricanisme hermétique, n’ont jamais servi et ne serviront jamais les luttes nationales démocratiques en Afrique. Et pire la tentation de se trouver des succédanées aux ex-colonisateurs ne servira pas non plus l’Afrique. Dans la vie sociopolitique, il faut avoir le courage de la saine appréciation des réalités du moment. La réalité ? La voici ! Il est difficile après l’indépendance Africaine en 1960, de montrer un seul pays panafricaniste, qui à réussit par le panafricanisme anticolonialisme, en dehors des chansons populistes endiablées, qui a réussi à émerger son pays dans/avec cette voie, hélas ! Bien payant dans la masse populaire non-avertie. Oui, la politique se doit d’être exercé sans état d’âme par l’homme politique et l’homme politique se doit d’agir à la limite de l’humainement admissible. Le panafricanisme de diversion populiste, à commodité populaire, pour plaire aux brigades d’acclamations, n’est pas la solution indiquée aux problèmes économico-sociopolitiques de l’Afrique, et partants du développement en Afrique ou l’homme serait la centralité absolue. L’Afrique doit composer avec les justes réalités du moment, malgré elle. Même si, un panafricanisme ouvert sur le monde, et d’union politique dans le respect des droits et des principes de réciprocités internationales, dans la fédération synergique des forces Africaines solidaires, autours des enjeux internationaux et de l’unification de destinées économico-sociopolitiques Africaines, telle qu’un État fédéral Africain, Chapeautés par un pouvoir exécutif central, qui coordonne les relations des états fédérés d’Afrique, entre les gouverneurs étatiques, peut être une bonne solution pour l’Afrique. Parce qu’il permettrait la progressive unification des différents combats économico-sociopolitiques Africaines, pour l’Afrique, pour la Vie Africaine, pour l’homme Africain, pour tout homme, pour les droits, pour la liberté, et pour la dignité obtenue dans la saine concurrence avec les entités des ex-colonisateurs dans un partenariat continu et soutenu dans le respect du socle de la souveraineté internationale qu’est la réciprocité qui sied auxdites relations.

Oui, le grand problème pour l’Afrique, pire que la colonisation, est le mode d’acquisition des pouvoir d’état en Afrique, et leurs exercice effrénée dédouané souvent de tous droits et au mépris des règles universelles, en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par tous. C’est pire que le colonialisme Blanc et plus immoral et abject que l’assujettissement du colon. Quand une soldatesque peut se lève un Matin, pour donner un coup d’arrêt inacceptable et injustifiable a la vie de l’état de droit, au processus démocratique, en s’assujettissant les normes de régulations sociopolitiques de la totalité sociale, par seule la puissance des armes, ici ou se trouve la liberté du peuple. Oui les peuples Africains ou les hommes politiques Africains doivent refuser d’être des valets qu’une puissance étrangère Occidentale ou pas, vient imposer à son peuple souverain avec la force des fusils, souvent dans le feu et dans le sang, au prix d’un soutien monnayable en billets de banques, en ressources naturelles souveraines. Il faut donc aux Africains, de se départir de la victimisation, de la martyrisation, et de l’esprit d’infériorité, pour aller à la rencontre des peuples ouverts du monde civilisé, quels qu’ils soient, sans complexité, sans complaisance et sans complaintes, avec notre identité historique atavique Assumée d’ex-colonisé. Oui, face à la difficile émergence d’une génération d’élite dirigeante Africaine, capable de défendre les intérêts vitaux de l’Afrique, par une vision futuriste d’option politique saine, claire, lisible, adaptée à l’intérêt Africain et aux pays émergents, oui, face aux voracités de toutes sortes du monde de compétition, l’Afrique, n’a pas besoin de cassure haineuse, de rupture brutale et systématique, avec nos ex-colonisateurs ou avec l’Occident aux savoirs reconnus.

Donc, avons-nous dits, l’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des Nations, avec son atavique étiquette civilisatrice d’ex-colonisée. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines qu’elle a hérité de sa puissance colonisatrice « que sont respect des droits inaliénable de l’homme, respect des libertés individuelles, respect des règles démocratiques, respect des normes positives de régulations sociopolitiques que les peuples choisissent librement, respect des règles et processus démocratiques, etc.». Et d’ancrée ces valeurs humaines, dans les faits économico-sociopolitiques. L’éternelle victimisation ne servira jamais l’Afrique, qui a besoin de compétition. Avec des hommes politiques fair-play comme gyroscope, capables d’orienter et de réguler la totalité sociale vers la stabilité sociale, vers la paix sociopolitiques. Et d’orienter la marche des mouvements sociaux épars de la vie sociale de sa société. Et surtout, être capable d’anticiper les perspectives d’avenir socio-politico-économique de la société, qui l’a tout donné, et dans laquelle il vie, sans arrivé à un fleuve de sangs Humain. Et en tenant compte que, tant que les citoyens ordinaires seront mal gouvernés, et vivront le martyr du non-droit, parce que leurs États sombrent dans le chaos social sempiternel où les pouvoirs d’État virent à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, qui assujettissent la souveraineté étatique à leur seule volonté, ils «Africains» ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société. Le panafricanisme n’est pas la solution à tout, l’anticolonialisme n’est pas la solution non plus. Bien que popularisant dans la masse Africaine et électoralement payant. L’Afrique a besoin de vérité crue et nue, de réalisme politique. Aucun pays ne donnera mieux à l’Afrique Francophone que la mère patrie la France. Que la nature protège l’Afrique, notre destin commun.

*- « Kouma-pour-l’Afrique ». De Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

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29 janvier 2022 6 29 /01 /janvier /2022 15:49
Lepetitfils : La société civile, socle de la totalité sociale, donc substrat de l’état, personne morale d’association libre, ou chacun abandonne un peu de droit, pour la sécurité collective, est absente de ce dialogue politique. Or il n’y a pas de politique sans société et le lien social est politique. Donc ce dialogue politique exclusif est un dialogue foiré.

Lepetitfils : La société civile, socle de la totalité sociale, donc substrat de l’état, personne morale d’association libre, ou chacun abandonne un peu de droit, pour la sécurité collective, est absente de ce dialogue politique. Or il n’y a pas de politique sans société et le lien social est politique. Donc ce dialogue politique exclusif est un dialogue foiré.

*- Exister par la côte d’ivoire dans le concert des nations civilisées.

La société civile, socle de la société et de l’état est absente du dialogue politique, on me dit de Kouma, donc je Kouma. Oui, aillons le courage de nos opinions, donc nous dirons que, le dialogue dit politique dans sa cinquième phase ne serait à l’arrivé qu’un condensé de foiré comme tous les autres depuis le 24 décembre 1999. Parce que les causes exutoires, le paravent justificatif du pouvoir absolu sont absente des discutions qui tablent sur cinq «5» thèmes retenus,  desquels une norme de régulations sociales est absente, alors qu’en 1999 la non-limitation constitutionnelle des mandats présidentiels, a servie de paravent justificatif pour tenter de justifier l’injustifiable et l’inacceptable, taxé dès lors de révolution des œillets contre une dictature. En 2002 la constitution de 2000 a été taxé de conflictuelle en son article 35, pour justifier une guerre délibérée de conquête du pouvoir par les armes, en 2020 la constitution de 2016 a été brandit au terme d’une honteuse élucubration judiciaires comme mettant les compteurs de droit déjà consommé à Zéro «sans prescription légale» pour aboutir à un troisième mandat qui a fait des centaines de victimes, «Morts et blessés». Et au terme de cette discussion, on fait d’une fixation exclusive: «la réforme de la Commission électorale indépendante (CEI), la réforme du code électoral, l’élaboration d’une nouvelle liste électorale», alors même que ces deux premières reformes seront, un non-sens juridique sans aucune validité, si elles ne sont pas conforme à la constitution anomique de 2016, mère bâtarde ou adultérin du troisième mandat, sans père  «norme juridique légale prescrit» et la troisième fixation se doit d’être régis par le code de la nationalité abracadabrantesque, sans tête ni queux, un fourretout de bidonnage textuel d’intérêt. Au surplus la société civile, socle de la totalité sociale, donc substrat de l’état, personne morale d’association libre, ou chacun abandonne un peu de droit, pour la sécurité collective, est absente de ce dialogue politique. Or il n’y a pas de politique sans société et le lien social est politique. Malgré ceci, ce dialogue dans ses fixations inscrit « l’adoption de mesures pour apaiser l’environnement socio-politique, la réconciliation nationale et élaboration d’une nouvelle liste électorale». Non ! Ce Foiré de dialogue au lieu d’assainir la vie politico-sociocommunautaire et d’orienter le cadre de vie civil et démocratique du pays, pour mettre fin aux crises politiques dans notre pays, ne peut aboutir que sur un consensus anomique entre l’opposition et les autorités et les crises sociopolitiques continueraient de plus belle manière. Oui !

Disons-le, la vie sociale ivoirienne à franchit une ligne rouge entre notre atavique civilité, courtoisie et paix vers une société de haute criminalité, de grand désordre et d’immoralité. Ou même les propriétés immémoriales sont assujetties à la force matérielle des muscles et des armes. Donc contrairement à ce que certains plaisantais pensent et se plaisent à dire, la côte d’ivoire n’est pas Américanisée, non ! Elle n’a rien d’Américain, l’Amérique est une société de grand ordre social régis par des normes rigoristes, dont la transgression entraine la conséquence légale qui sied. Donc malgré la supposée culture violente américaine, chaque délinquant américain est conscient de ce à quoi il s’oppose, jusqu’à la chaise-électrique, et qu’il serait traque jusqu’à dans son dernier retranchement pour subir cette rigueur. Or la côte d’ivoire est plutôt Afganisé et colombianisé ou tout est permis vols, escroquerie coupables, agression délibérée, jusqu’à l’obscène, le tout dans l’impunité complice. C’est très facile de voir ce désastre social, en acceptant de regarder la société. On ne peut pas voir cette dimension du réel sociétal qu’est la désastreuse vie quotidienne du peuple souverain à travers les griots des temps nouveaux et des médias aplatis qui se contentent de relayer des éloges, de flatter les égos d’aveuglément. Sur tout de rester installé confortablement dans sa bulle d’en haut, à l’écoute des brouhahas et des brouillaminis de tous ce monde suscité, non, ça se voit là. Il ne se voit pas percé dans la bulle en haut, ou la seule préoccupation demeure la gestion des déniés, des régies financière et des ressources naturelles souveraines, dans un état absent inexistant, sur toute la ligne sociopolitique.

Et aussi, cela ne peut se réguler que par une norme de régulation sociale rigoriste. Parce que, pour voir une société, pour connaitre une société, pour peser une société, il n’est pas, en droit, d’autre instrument que la constitution norme de régulations sociales. Parce qu’elle est l’acte fondateur et le substrat de la société, en ce qu’elle énonce les principes autour desquels se construit le vivre en commun de partage d’une société ; elle est un acte organisateur en ce qu’elle définit les mécanismes du gouvernement politique e le mode d’accession au pouvoir d’état; elle est un acte scientifique pensé, écrit et adaptée à l’identité sociale, en ce qu’elle marque, le consensus sociopolitique républicain autour des principes et modes d’organisation politique de la société. Ainsi, elle échappe au contrôle des pouvoirs d’état en ce qu’elle enfante et fait la légalité des pouvoirs politiques. Et elle donne la primauté à l’affirmation de la souveraineté populaire inscrit au cœur de la république et de la démocratie populaire assis sur le principe du «gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple». Maintenant au-delà de la question prioritaire de la norme de régulation sociale rigoriste, quant au processus électoral, qui semble être les plus grands soucis du dialogue en cour, nous disons que la côte d’ivoire doit tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité de tous, dans la participation à la gestion des affaires publiques de son pays, et de l’égalité de tous en droits et en devoirs, indépendamment de nos castes, de nos origines culturelles et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques, de nos croyances religieuses, sans aucune politique de protection des intérêts des uns et des autres. Et d’ouvrir à l’égal accès de tous, les structures étatiques de souveraineté populaire, cela dans la reconnaissance acceptée de chacun dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité tous, et dans la citoyenneté commune accepter par tous qui permet de gérer harmonieusement, paisiblement et politiquement. Donc un processus électoral qui permet d’obliger la dévolution du pouvoir d’état, placé à équidistance de tous les candidats, par des élections consensuelles, libres, transparentes, justes et ouvertes. Cela dans le respect de normes juridiques de régulations sociopolitiques rigoristes acceptées par tous, et de la laïcité républicaines constitutive de toute citoyenneté libre, évoluant sans aucune restriction dans toute l’assiette territoriale nationale. Ce qui reste le meilleur moyen de brisé l’enfermement sectaire dans le clanisme criminel de politicards. Ce qui fera de notre pays, un pays de citoyens égaux en droit et devoir, inscrit dans un système universel de droit, ou le gouvernement est confié pour un temps RIGOUREUSEMENT PRESCRIT, à des hommes bien élu par leurs concitoyens et responsables de leurs actes de gouvernances. Si le pays est content d'eux, il les maintiens au pouvoir ; s'il n'en est pas content, il les change, dans l’ordre social, sans bruit, sans violence, par le seul effet des suffrages au terme du délai prescrit.

La côte d’ivoire est devenue la terre de tous chaos sociaux, elle est engrenée dans un multiculturalisme criminel ou tous les petits malins ont leurs Lois importées a dictée au pauvre peuple ivoirien, désormais acculturé, a besoin de régulation sociale, prescrite dans une nouvelle norme de régulation sociale, élaborée strictement dans les règles de l’art qui sied. Une nouvelle norme de régulation sociale, qui se doit de proscrire la multi-culturalité implantée actuellement dans la société ivoirienne désormais aux mœurs dépravées par une politique attrape-tout, qui chante le «vivre en ensemble», cette valeur de gauche socialiste d’entraide soumise au respect strict des lois de la société ouverte, dont cette politique attrape-tout ignore l’acception idéologique. Et pire ce qui entraine l’acculturation de la société ivoirienne. Une nouvelle norme de régulation sociale ou le peuple libre restaurer dans sa souveraineté, qui par conséquent choisi une voie sociétale, avec un homme ou avec des hommes, parmi de multiples autres voies a lui proposé, par de multiples autres hommes. Une nouvelle norme de régulation sociale, d’où tout le pouvoir ressort du peuple, d’où tout le pouvoir s’acquiert par le consentement du peuple, et d’où tout le pouvoir d’état est pour le peuple. Une nouvelle norme de régulation sociale, dans laquelle le peuple souverain verra ses griefs sociétaux soldés, dans l’action politique des hommes politiques ou des dirigeants politiques. Une nouvelle norme de régulation sociale d’où toute communauté étrangère inscrite dans une logique de multi-culturalité opposée à la culture nationale laïque, qui tient nos sous-cultures nationales hétérogènes en l’état, doit se voir prier de rentrer chez-elle socle de sa culture. La côte d’ivoire est devenue une société aux mœurs dépravée et déboussolée. Une société ou la transplantation des cultures sociétales de certains pays ouest Africains est sources de valeurs. Donc une société ou la mesure de valeur sociale est prise à l’aune des cultures d’implantions. Une société ou le socle moral se mesure aux prismes des pratiques importées. Une société ivoirienne qui ne présente rien qui est porteur de lendemain meilleur, même pour les ennemis jurés. Celui qui en doute, qu’il ouvre bien les yeux sur la société ivoirienne ou l’exception humaine se voit mise à prix à ciel ouvert, le prix se compte sur les doigts avant d’être adjugé ostensiblement. Oui, la côte d’ivoire méconnaissable, aujourd’hui va Mal, très Mal, disons-le avec courage.

«Si nous devons cherche a bien regarder, la cause de ce qu’il convient d’appeler aujourd’hui le désastre ivoirien, en voici quelques lampes. En politique il suffit d’un ou de plusieurs individus malhonnêtes dans un groupe d’hommes dirigeants pour que tout le système entier devienne malhonnête. Si cette situation sociopolitique néfaste pour l’intérêt général n’est pas réguler, n’est pas décriée, n’est pas combattu, n’est pas dénoncée «dénoncer c’est notre mission sacerdotale de toujours», elle se répand insidieusement de façon souterraine, par l’obscurantisme politique, par l’intimidation, par la menace des intérêts, par la tentation de violé les interdit, par la peur de la force, par la manipulation différencialiste et par la connexion ou l’interpénétration des intérêts pécuniaires, par la recherche éperdue du gain facile et par le pacte fait avec la misère du peuple, devenu indigent. En effet pour ligoter psychologiquement un homme politique, ou un peuple devenus indigent et nécessiteux, il suffit de l’entraîner dans des affaires mafieuses, dans les dépravations des mœurs lucratives et pécuniaires, qui le rendront lié au système Hors la loi et complice du processus corrompu. Le poison pourri par sa tête, est un dicton indéniable de tous les temps».

*- il y a un prix à payer pour le désordre social et pour la dépravation de mœurs. 

Donc, une nouvelle norme de régulation sociopolitique, quel que soit son appellation. Peut-être un retour ajusté a la deuxième république de 2000 ? Ou une quatrième république, qui tient compte de la troisième république Anomique avec des institutions vermoulues ? Sinon voir une cinquième république de sursaut national ? Mais-là il y a un certain Laurent Dona Fologo qui maquerait à l’appel, regrettable-non ! Bon ! Nous, nous préférons une sixième république, puisque dans ce cas, nous dépasserons la mère patrie, la France républicaine de 1792, en nombre de république, malgré les 168 années d’écart «presque 2 siècles» entre les naissances des deux républiques « 25 septembre 1792 - 07 Aout 1960». Et cela serait dans l’ordre des choses, depuis les indépendances Africaines le bidonnage anomiques des normes de régulations sociopolitiques pour satisfaire a la volonté des dirigeants dits politiques est de rigueur. Donc disons-nous, il faut à la côte d’ivoire, une nouvelle norme de régulation sociale, qui serait une véritable gardienne des droits civils et politiques du citoyen, qui doit ainsi permettre de sauver et de garantir les droits et les libertés de tous. Cela protège la société des désagrégations graves. La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord, il faut une norme de régulation sociopolitique. Pour que nous « ivoirien » réapprenions à rire à nouveau ensemble, à apprécier ce qu’il y a de meilleur en chacun de nous, au terme d’un vrai processus de réconciliation nationale, ou tout en disant la vérité crue et nue, nous ne demanderons pas au peuple d’oublier, mais demanderons humblement au peuple d’essayer de pardonner pour la paix sociopolitique et pour vivre en commun dans le respect des différences, au terme de l’Amnistie générale référendaire. Et le peuple ivoirien qui est d’une grandeur d’âme ancestrale et atavique saura pardonner, après nos sincères contritions et nos repentances. Toute chose qui nécessite; 1)- Ouvrir le réel dialogue social sincère et inclusif- 2)- Libéré les prisonniers politiques quels qu’ils soient, 3)- Faire rentrer les exilés politiques, pour que toutes les filles et les fils de Dame ivoire, décident consensuelle-ment, coude-à-coude et main dans la main, tous ensembles de tourner une page plus que sombre de notre pays, par la seule voie possible, celle consensuelle. 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain et avec le courage de dire la vérité, rien que la vérité, sur la cause du pardon 5)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire. La stabilité politique est à ce prix, la  vraie réconciliation est à ce prix, la paix sociale est à ce prix, l’ordre social est à ce prix,  l’harmonieux intercommunautaire de/dans la nation à ce prix. 

La côte d’ivoire ne s’en sortira de cet engrenage politicien qu’au terme d’un consensus d’intérêt général qui proscrit le classique opposition idéologique, l’antagonisme d’adversité historique et les égos individuels, c’est à dire la fédération de toutes les forces régulatrices de notre pays la côte d’ivoire. C’est un devoir si nous devons exister par la côte d’ivoire dans le concert des nations. Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre ce qui veulent la diviser pour mieux la déchirer, a fin de régner comme charlemagne et afin d’enrichissement perpétuel grâce aux biens publics, de défenestration économique, de détournement de deniers publics, de concussion, de vols orchestré, de pillages et de l’exploitation sauvage de nos ressources naturelles souverains. Donc la chose est clair, c’est parce qu’il y a le feu à la maison, que l’ivoirien doit refuser l’enfermement sectaire et partisan, le repli d’appartenance diviseur, idéologiques et qu’il  doit privilégier l’union de tous dans la reconquête de la stabilité sociopolitique et de la paix pérenne en côte d’ivoire. Donc se allié pour l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques, avons-nous toujours dit et répéter a de multiples occasions. Pour ainsi mettre fin au chaos sociopolitique sempiternel, par la seule valeur de solidarité et d’harmonie sociale, que ce genre d’action régulatrice, dans le dépassement de soi, d’intérêt général, inculque au peuple, et qui peut constituer la sève nourricière à la reconstruction d’une nation ivoirienne redevenue souveraine, réconcilier et paisible. Il nous faudra Innover nous-même avec la fierté positive ivoirienne restaurer, avec nos propres capacités, pour faire notre propre Histoire, avec nos propres actions politiques, avec nos propres mots, avec nos propres expériences, sur la base de nos propres réalités sociologique, tant politique que communautaire. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix pérenne sociopolitique est à ce prix.

Ceci débouchera sur une voie légale de conquête du pouvoir d’état, dans de nouvelles actions politiques, à but de régulation sociale pour rétablir l’ordre sociopolitique. Ou on reconnait l’autre comme différent et qu’on l’admet comme son égal en droit et devoir. Donc point de nordiste de rattrapage et point de sudiste de prétendu exclusion. Mais tous ivoirien ! Conformément au droit de la nationalité, de préférence d’option de la nationalité du droit du sol, en lieu et place d’une loi de la nationalité abracadabrantesque, sans fondement de droit, à dessein électoraliste et de pillages de nos terres, par ses initiateurs unilatéraux. Ainsi comme le lien social est éminemment politique, faire tout pour que chacun soit restaurer dans ses droits, dans tous ses droits juridiques, civils et politiques. Dans une société ivoirienne commune, qui admette sans faux fuyant l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Et qui combattra sans retenu la multi-culturalité d’implantions acculturant pour la totalité société ivoirienne vulgarisée actuellement en côte d’ivoire. Ceci dans une exaltation de la diversité nationale solidaire, qui fera du respect de tous les aspects de la vie humaine régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, entre personnes d’origines diverses et toute relation entre nations souveraines, avec les lois que l’humanité s’est donné comme substrat infaillible. Ce qui s’avère comme un devoir absolu, pour tout ivoirien, pour tout citoyen et pour tout homme. Pour qu’il n’y a plus jamais de renard libre, dans le poulailler libre, le renard hallucinant, dans le poulailler halluciné, congratulant quelques pauvres coqs nihilistes et iconoclastes de la basse-cour, consentants au sacrifice de la liquidation politique de leurs personnes et de l’oracle de leur seule raison d’existence sociopolitique. Oui, c’est un devoir absolu, si nous devons exister par la côte d’ivoire et pour la côte d’ivoire dans le concert des nations. Ce qui est dit est dit: PAUVRE-DE-MOI, SOMMER DE KOUMA, J’AI KOUMA, MALGRE-TOUT. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

Un Kouma de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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18 janvier 2022 2 18 /01 /janvier /2022 12:49
Lepetitfils : Citons ici, Mandela qui a privilégié la paix, plutôt que la vengeance. Nous devons donc agir ensemble en tant que peuple uni, pour la réconciliation nationale, pour la construction de la nation, pour la naissance d'un nouveau monde. « Il est difficile d’expliquer à quelqu’un qui a les idées étroites qu’être «éduqué» ne signifie pas seulement savoir lire et écrire et avoir une licence, mais qu’un illettré peut être bien plus «éduqué» que quelqu’un qui possède des diplômes ». «Je suis là devant vous non pas comme un prophète mais comme un humble serviteur du peuple».

Lepetitfils : Citons ici, Mandela qui a privilégié la paix, plutôt que la vengeance. Nous devons donc agir ensemble en tant que peuple uni, pour la réconciliation nationale, pour la construction de la nation, pour la naissance d'un nouveau monde. « Il est difficile d’expliquer à quelqu’un qui a les idées étroites qu’être «éduqué» ne signifie pas seulement savoir lire et écrire et avoir une licence, mais qu’un illettré peut être bien plus «éduqué» que quelqu’un qui possède des diplômes ». «Je suis là devant vous non pas comme un prophète mais comme un humble serviteur du peuple».

*- Se taire puis sortir par la bonne porte d’une crise sociale ? Jamais !

Nous sommes peut-être prolixes, parce que nous savons où nous allons, et une destination sérieuse doit être expliquée. Retenons que, nos analyses ont pour but d’éveiller les consciences, donc de faire comprendre, d’éclairer les lanternes, donc de faire savoir, de débattre des faits sociaux pertinents qui demande régulations, donc d’être parolier du citoyen, de convaincre les réticences citoyennes, donc d’être large et clair, d’agiter des idées, donc de provoquer la contradictions systémique qui fait germer le réel, d’orienter les réflexions citoyennes, donc d’opposer nos vues et nos voies, que nous jugeons meilleures pour la totalité société souveraine au jugement collective, de soulever les problèmes quand il le faut, donc déplaire au pouvoir et aux puissants, d’étayer dans le moindre détail, donc ne pas faire dans la dentelle, dans le litote et se passer du succincte. Donc, nous analysons ou nous dénonçons, en espérant la prise des mesures collectives, qui prises ensemble par la totalité sociale souveraine, concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du bien public et du pouvoir d’État, par des visions communes et consensuelles, tout à fait nouvelles, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie universelle, du droit universel, des libertés individuelles, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne. Sans casse, ni cassure. D’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants.

Donc, dans notre visée, point de lynchage politico-judiciaire d’un homme politique taxé de pro-X ou de pro-Y encore moins l’excommunication politique sectaire, l’anathème social ou la damnation diabolique a vie. Donc, pour nous l’intérêt de l’analyse sociopolitique, ou de la dénonciation politique, est de tenter, de réguler la vie sociopolitique, l’action publique dans son ensemble, par des critiques légales et par des dénonciations légales, soumises aux règles du contradictoire et du démenti, aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de notre pays. Le poisson pourri par sa tête. Oui, analysons-nous et dénonçons-nous, parce que le ver est dans le fruit, qui pourri et les dégâts seront énormes, sans une Amnistie générale référendaire de solde de tous comptes de crises. Il est constant de par le monde, qu’il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Il est aussi constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise ou le manipule. Idem pour outil politico-démocratique qui mal exploité, et mal orienté, peut tuer les droits inaliénables et les libertés individuelles. Donc, nos analyses sociopolitiques de diagnostic, a pour but de se pencher sur un événement, dans une perspective d’évaluation, puis éventuellement participer à son amélioration. C’est notre but.

Donc, ici, la question d’évaluation analytique par nos soins, de l’action sociopolitique de l’homme politique, est liée à son transfert éventuel sur le terrain par le biais de normes consensuelle-ment élaborées dans une situation problématique, par des acteurs politiques et des citoyens sans responsabilités publiques effectives, du moins par rapport à la situation sociopolitique donnée, qui exige solution. C’est le but que nous visons en tout cas. Donc, nos analyses sociopolitiques, sont forcément Normatives dans leurs visées. Elles nécessitent un substrat, l’explicitation d’un modèle référentiel, celui des pratiques juridico-sociopolitiques attendues, ce qui est visé par nos analyse donc, n’est pas forcement «l’ultime» solution du cas pour nous qui l’apportons, mais visent à l’entraînement de tous les membres du groupe social à l’intelligence de la situation problématique qui s’impose ou qui s’oppose et qu’ils peuvent rencontrer. Oui, ici, en l’espèce, l’animateur de l’analyse sociopolitique querellée, d’ordre social, d’intérêt public, a alors deux préoccupations légitimes, apporter ou conforter et faire asseoir des connaissances universelles, permettre à la totalité sociale de comprendre les déterminants de la situation sociopolitique complexe à l’extrême. Donc, cela ne va pas sans vérité crue et nue. C’est notre but à nous, non pas le vol de milliards des caisses étatiques. 

Donc, au terme de nos analyses sociopolitiques ou de dénonciations citoyennes, la recherche de l’ordre sociale et de l’intérêt général prime sur tout. Ici, nous ne tenons compte que de l’aspiration profonde du peuple, à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale réelle, en tenant compte au terme de nos analyses que, la fonction primaire d’un système politico-juridique est intégrative. Un tel système politico-juridique doit être conçu et élaborer pour servir à atténuer les éléments potentiels de conflits sociaux et à lubrifier le mécanisme des rapports sociaux, afin de garantir la stabilité sociopolitique et la paix sociale pérenne. En effet, c’est seulement avec l’adhésion consensuelle de tous, à un système politico-juridique d’intérêt général, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Notre préoccupation, ici, est que, si la démocratie doit rester confiner dans le schéma actuel, dans la conception actuelle, dans notre pays, elle ne débouchera pas sur la liberté. Or seule cette valeur universelle peut aider notre pays la côte d’ivoire à sortir de la situation de crise sempiternelle et à conduire au développement de notre pays dans la paix sociopolitique. Donc, oui, que l’on ne compte pas sur nous pour desserrer notre mâchoire sur l’essentiel sociétal, en ce moment crucial de crise de la totalité sociale ivoirienne. Nous nous sommes expliqué chers jappeurs aux mollets au service d’une couillonnade monarchiste à déboulonnée

Parce que desserrer notre mâchoire sur l’essentiel sociétal, ce serait trahir le peuple souverain de côte d’ivoire. Or, les traces de la trahison d’un peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, ne s’effacent pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile et résiste au temps, dans le temps. Et on ne joue pas avec le sens de l’honneur et de la dignité d’un peuple souverain. Oui, rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir d’un peuple souverain, surtout en période de tentation forte de courber l’échine face à un renard libre et de procéder à des génuflexions pour avoir sa place à la table des convives nocturnes afin d’avoir des comptes bancaires indument très bien garnis. Donc dans nos exercices d’analyse sociopolitique, de dénonciations citoyennes, dans nos critiques objectives, ce qui nous intéresse en l’homme politique, ce sont ses idées politiques, l’idéologie dogmatique qu’il véhicule, le système d’organisation sociale et de gouvernance qui le soutien et ses actions de gestions publiques, qui décident de la vie de tous, de la vie de chacun, et de notre vie. Donc nous combattons des idées, des politiques, des systèmes, des actes politiques, nous ne sommes anti de qui que ce soit. Même s’il est indéniable de par le monde que doublement centriste, citoyen et républicain social convaincu, totalement indépendant que les accrochages qui nécessitent souvent les garages de réparations chemin faisant, peuplent cette voie salvatrice d’éclectisme impassible et surtout Houphouët-iste enragé, ça invite tous les temps le nihilisme, l’arrivisme renégat,  le carriérisme iconoclaste, le judaïsme rémunéré, à aller se faire enculer dans les basfonds nébuleux de la bassesse.

Et vraiment-Là, nous ne pouvons Rien contre, la voie choisie est maitresse absolue de la destination, malgré les possibles cognés à gauche comme à droite chemin faisant. Le  doublement centriste, citoyen et républicain social convaincu est, l’anti de tous les travers politiques, qui favorise les désespérances citoyennes, qui conduisent à la déchirure sociale. Mais l’homme physique ne l’intéresse pas, encore moins sa fortune matérielle. Pour nous, nous sommes convaincu que si l’Afrique, avec ses coups d’états intempestifs et singulièrement la côte d’ivoire dans une crise sempiternelle entretenue, a irruption volcanique et cyclique, à intervalle régulier, doivent être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, que  certains comportements anti-démocratique sont à bannir et que le fondement rigoriste de cette démocratie doit être le respect du droit dans toute sa rigueur et avec des citoyens qui respectent les règles démocratique préétablies, et les normes de régulation social accepter par tous au départ, que surtout, les armes ne doivent pas avoir droit au chapitre. Donc pour la côte d’ivoire, les ivoiriens sont persuadés que la côte d'ivoire ne s'en sortira jamais par la voie judiciaire politisée. Qu’il faut un Dialogue politique inclusif, républicain, sincère, et le Consensus politique et social, au tour de la chose publique, qui concerne la vie de tous, et la vie de la nation, dans le temps et dans l’espace. Que la chose publique n’est pas une plantation familiale. Non !

*- C’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance, de la solidarité, qu’on arrive à la stabilité sociopolitique.

Donc, qu’il faut adhérer librement, sans condition, sans faux-fuyant, sans calcul politicien, a l’idée de pardon, de ce qui apparait a première vue, comme impardonnable. Qu’il faut adhérer à la repentance, adhérer à la contrition, adhérer à l’intérêt général, abandonner l’idée de vengeance, abandonner la judiciarisation de la gouvernance étatique, pour résolument souscrire à la politisation diplomatique de la gouvernance étatique, taire les querelles d’intérêts personnels, arrêter les divisions fratricides, placarder les petites brouilles politiciennes de leadership, pour montrer la capacité commune à faire bouger les lignes sociopolitiques dans notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Se faisant, le pardon qu’accordera le peuple souverain martyrisé au terme du vote populaire référendaire, d’une Amnistie générale référendaire consensuelle et consentie, sera issu de l’attitude des acteurs politiques coupables de crimes «inacceptables et injustifiables». «Il s’agit ici, de responsabilité pénale individuelle du dirigeant d’état en matière de graves crimes contre l’humanité. C’est-à-dire la responsabilité internationale civile de l’état lui-même, si ses dirigeants enfreint les obligations qui lui impose la situation. Cette responsabilité absolue tire sa source de la souveraineté internationale étatique». C’est de-là que découle la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire, pour les préjudices subi par des tiers, qui ouvre à réparer de droit. Parce qu’en droit, la simple carence en matière de prévention des risques de conflits, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis des tiers. Donc toutes les victimes ivoiriennes qui résultent de la belligérance reconnue à Linas-Marcoussis, ou la carence et la faillite de l’état de côte d’ivoire a été constaté, et qui emporte la responsabilité pénale égale des deux belligérants de guerre, a fini d’asseoir totalement la responsabilité civile de l’état. L’état est civilement responsable.

Bon ! Mais un processus de dédommagement oblige d’avoir une lecture claire des faits de guerre, de sortes que cette lecture puisse être un support de droit, même en l’absence de justice judiciaire nationale ou internationale. Mais il faut noter que cette lecture claire ou pas, cela n’entrave en rien, en aucun cas, les droits acquis des victimes de guerres aux dédommagements. Puisque son support de droit qu’est le principes de la responsabilité civile étatique pour faits criminels, pour ordres des belligérants nationaux, est de s’assurer que la responsabilité pénale des personnes belligérantes, tout au long de la chaîne de commandement qui ont directement ou indirectement contribué à la violation des règles du droit international, est suffisamment engagée. « Il faut noter,  que les deux parties de la guerre ivoirienne ont acquis le statuts de belligérant à Linas Marcoussis». Donc, au terme de cette crise « guerre-interne» conflit national, c’est du statut de belligérance acquit à Linas Marcoussis, que découle la responsabilité civile de l’état, pour les préjudices subi par des tiers pendant la crise dans son ensemble. «Carence en matière de prévention de risques de conflit, devoir de protéger, obligation de savoir, de s’informer et d’Arrêté»

Et ces victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles «économiques, sociales, et même morale» pour les dégâts causés par l’antagonisme des deux (2) belligérances «dirigeants étatiques» ressortissants de l’Accord de Linas Marcoussis. Donc en l’espèce pour permettre aux victimes d’obtenir réparation, il y a  au moins deux voies de droits distincts : 1- La voie administrative : qui équivaut à obtenir réparation auprès de l’Etat en faisant appel à des institutions légales ou des lois légiférant en la matière, 2- La voie judiciaire : qui consiste à obtenir réparation par recours aux tribunaux ou justice traditionnelle et autres». Ce qui nécessite un substrat légal. Donc une structure d’identification des victimes et de dédommagement «commission ou autres» qui doit impérativement pouvoir s’appuyer sur des moyens de droits ou tout autre moyen légal, pour établir les réalités des faits et situer les responsabilités sans parti-pris en toute indépendance. De préférence dédouané de suite pénal, pour la paix sociale.

Donc une Amnistie général référendaire, une commission nationale, ou un dialogue national dans leurs résolutions ou dans le contenu de leurs rapports peuvent, servir de support de droit en l’espèce. Puisqu’en la matière,  pour que, la responsabilité de l’état soient formellement engagée, il faut l’identification des actes criminels réels et des criminels auteurs réels, légalement reconnus ou identifiés, auteurs des carences ou des insuffisances des actions qui entre en conflit, avec des droits réels détenus par des tiers, ainsi en droit même la simple carence de l’état en matière de prévention des risques de conflit, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ces ressortissant. Ce principe de droit irréfragable, de la responsabilité civile étatique pour les faits des supposés dirigeants étatique, tire son origine de la responsabilité pénale individuelle «chef hiérarchique», tel qu’appliqué par les juridictions de Nuremberg et de Tokyo et ultérieurement codifié par le statut du tribunal Pénal International pour le Rwanda à l’article 6. Donc cette responsabilité étatique, est irréfragable en la matière aux yeux du droit international pénal.

La vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Oui, les ivoiriens réunis, tous ensembles unis, et solidaire, en mettant en commun force, volonté, discussions, idées, pensées et actions, peuvent réussir l’impossible, l’impensable, et n’importe quel miracle. Ils peuvent les ivoiriens, en abandonnant les égos, en ne retenant que la patrie relever n’importe quel défi sociopolitique. Il faut le ressasser, parce que, c’est une constance d’intérêt public, une nécessité d’intérêt général, rien ne se fera en côte d’ivoire sans réconciliation vraie, sans pardon dans la reconnaissance mutuelle de tous les ivoiriens, rien ne se fera sans une contrition de tous les acteurs politiques des torts causé au pays et aux citoyens, dans une société qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales, unies, sans différenciation. Un dialogue triptyque ou un duo d’attente au sommet de la société ne suffiront pas. Il faut une grande ouverture de la boite noire étatique aux regards de la totalité sociale souveraine et l’exposé aux jugements des citoyens. Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. C’est de droit, parce que quand la vérité historique est coffrée dans la boite noire étatique, toutes les libertés «publiques ou individuelles» se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel. En l’absence de ce processus de soudage, au terme d’une contrition publique de tous les acteurs de la crise, et au terme d’un large dialogue national sincère ouvert à tous, toute politique de développement serait un leurrer, y compris le développement de béton de façade et pour les décors. Mais, hélas ! Les ambitions carriéristes commandant l’action publique, les yeux et les oreilles sont fermés. Oui ! C’est vrai, la politique du ventre banni toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise humaine se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre gouverne l’intellect et vive l’endormissement du peuple, engrené dans un panurgisme suiviste moutonnier d’une gestion monarchiste des affaires étatiques dégrever de toute essence démocratique.

Donc, répétons-nous, mille fois, les ivoiriens dans leur grande majorité écrasante, ont opté pour la paix sociale, pour la réconciliation nationale, persuader que la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire, encore moins la voie judiciaire politisée des vainqueurs de guerres. Que la côte d’ivoire ne s’en sortira que dans l’union de toutes ses filles et fils. Ils sont convaincus, les ivoiriens à la suite des gyroscopes que, Gouverner c’est prévenir dans le temps les perspectives d’avenir d’une société. Que, Gouverner ce n’est pas la gérance des crises sociopolitiques sempiternelles, non ! Que Gouverner, c’est anticiper les solutions aux crises sociopolitiques dans le temps et dans l’espace, dans l’abandon de soi et de ses intérêts politiques du moment, pour ne visé que l’intérêt général de la totalité sociale souveraine. Que Gouverner, c’est admettre la solution idoine d’intérêt public qui peut priver de l’exercice du pouvoir d’état, que gouverner, c’est accepter la solution qui peut envoyer dans l’opposition, quitte à revenir après, ou s’incliner devant la solution qui peut mettre hors du tout a jamais, pour avoir failli. Ceci est de droit, est d’ordre social, est démocratique conforme à la notion du pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple. Ou le peuple souverain agit dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration élective, ou d’adhésion politico-idéologique. En clair, aucun élu ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Le peuple est maitre de son  destin.

*- A défaut de ceci, que le tout puissant Dieu d’Abraham maudit le pouvoir ivoirien et tous ses qu’est-ce qu’il y a ?

Parce que la compréhension du bonheur d’un élu ou d’un groupe d’élus ou d’un homme politique ou d’un groupe d’hommes politiques, n’est pas forcément celui du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Et le Bien-être de la totalité sociale souveraine se jauge à l’aune de la stabilité et de la paix sociale, de l’ordre sociopolitiques, des services publics rendus, des institutions politiques, par la qualité de l'environnement, mais surtout soumis aux appréciations et considérations individuelles très subjectives des citoyens libres de tout engagement. Oui, enfin disons-le encore de façon claire et net, lcrise ivoirienne, est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, la culture d’impunité à piétinée les règles normatives de la vie en société entre citoyens. Or c’est une constance, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique, mais en politique les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de dialogue ouvert ou l’obstruction au dialogue inclusif fondé sur les défenses aveugles des intérêts politiques égoïstes et égocentriques.

(Le Dialogue politique national est le premier serviteur de la justice sociale, il tient la justice judiciaire en l’état, et toute justice judiciaire qui n’a pas pour fixation le dialogue national, la recherche de la paix, de l’ordre social, est une justice d’état voyou, d’état policier, d’état paria et absolutiste, téléguidée à des fins politiques par des faiseurs de couillonnade condamnés au rôle de brigade d’appoint éternel, qui ne sait pas comment on fait président de la république. Pauvre de Moi, il n’est pas saint d’être soixante-tards dans ce pays de merde. Oui, une justice judiciaire téléguidée est manifestement l’Antithèse de la paix sociale et du dialogue national inclusif, de recherche de la paix, et la phrase gyroscope, «je préfère l’injustice judiciaire au désordre social » de Félix Houphouët Boigny, s’affirme ici comme synthèse. La justice judiciaire doit être tenue en l’état, par la paix sociale et le dialogue national inclusif, quand elle devient porteuse de désordre social. Là où  ça dégonfle par tout et ça pète le plomb devant la cathédrale, Agbô !!! Donc si nous devons montrer notre agacement, notre peine, et notre tristesse, a la face du monde, nous dirions ici, que le procureur du royaume du monarque Alassane Ouattara, Mr Adou Richard n’a pas de raison, non ! Il est dans son rôle systémique, du gueulard condamné par notre système judiciaire à être le labrador docile du pouvoir exécutive, au cœur du pouvoir judiciaire. Notre système judiciaire retire le gardiennage des lois de la république au parquet, pour le séquestré dans une bicoque présidentielle comme gardien des intérêts présidentiels.)

Nous n’espérons Rien de ce personnage. Oui, nous sommes peinés, agacés, attristés, de voir et d’entendre, la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national a toutes épreuves et de paix sociale à l’Africaine. Cette culture de non-violence, d’harmonie communautaire et d’union nationale à toute épreuve. Cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire et cette civilisation Africaine atavique d’acceptation réciproque des différences sociopolitiques et  d’entraide solidaire dans l’union cohérente de tous. Cette politique sociale assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité à l’intérieur de l’égalité de tous. C’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et devoir Initié par FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Hélas ! De voir aujourd’hui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, devenir le lieu de toutes les crises sociopolitiques d’Animosités, et le lieu de toutes les politiques chaotiques, de toutes les crises sociales de bassesses de la planète.

Donc, à ceux qui croient encore à la réconciliation version et option  du pouvoir Ouattara, nous disons, qu’ils ne se leurrent pas. Les jeux sont truqués d’avance. Il n’y aura pas de dialogue politique sincère, inclusif, républicain, entre l’opposition et le pouvoir Ouattara, pour arriver à la vraie réconciliation, non ! Parce que cela suppose le dialogue inclusif dans un consensus politique national. Or le pouvoir d’Abidjan ne recule devant aucune catastrophe pour assouvir son dessein mafieux, parce que réputé intransigeant autour de la chose publique et dans l’ordre du public. Oui le pouvoir aveugle, sourd et fou d’Alassane Ouattara et ses suppôts n’admettrons jamais une reforme sérieuse du système de l’organisation sociale et de la gestion sociopolitique étatique. Et dans leurs compréhension, c’est cela la réconciliation nationale et la paix sociale. Et c’est pour cela ce pouvoir d’Alassane Ouattara, astreint le fichu peuple ivoirien au summum de tous les  foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et des libertés et de tous les fouages démocratiques et électoraux d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. Voilà !

Donc, citons ici, Mandela qui a privilégié la paix, plutôt que la vengeance. «Nous comprenons bien qu'il n'y a pas de voie facile vers la liberté. Nous savons bien que nul d'entre nous agissant seul ne peut obtenir la réussite. Nous devons donc agir ensemble en tant que peuple uni, pour la réconciliation nationale, pour la construction de la nation, pour la naissance d'un nouveau monde. «Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès». « Il est difficile d’expliquer à quelqu’un qui a les idées étroites qu’être «éduqué» ne signifie pas seulement savoir lire et écrire et avoir une licence, mais qu’un illettré peut être bien plus «éduqué» que quelqu’un qui possède des diplômes ». «Je suis là devant vous non pas comme un prophète mais comme un humble serviteur du peuple».

Oui, il est d’une constance absolue qu’en politique, la vraie politique, c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, surtout, en organisant la solidarité agissante envers les plus faibles, «hélas ! Là où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats inflexible, l'intolérance aveugle face aux différences quelles qu’elles soient, et l'égoïsme soutien de l’égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une Vraie réconciliation nationale réussie et à la paix sociale. «Oui, à défaut de cette solution salvatrice d’intérêt public, d’intérêt général, et d’ordre social, que le tout puissant Dieu d’Abraham maudit le pouvoir ivoirien et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? La postérité ne pardonnera jamais, a tous ses soutiens Maudits à jamais. Voilà !» Sur ceux citoyen ! On temporise le Kouma-citoyen pour le moment, sauf si le résultat du «dialogue politique» actuel s’avère interpellatif ou s’il rencontre notre agrément-citoyen. MERCI-DONC … Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne. 

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1 janvier 2022 6 01 /01 /janvier /2022 01:29
Lepetitfils : le Psychanalyste humaniste américain d'origine juive allemande, Erich FROMM 1900 – 1980, a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité». Donc, retenons en 2022, que la côte d’ivoire d’aujourd’hui est le produit de nos divisions d’hier, et que seuls les ivoiriens, tous ensembles feront la côte d’ivoire de 2022 et de demain.

Lepetitfils : le Psychanalyste humaniste américain d'origine juive allemande, Erich FROMM 1900 – 1980, a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité». Donc, retenons en 2022, que la côte d’ivoire d’aujourd’hui est le produit de nos divisions d’hier, et que seuls les ivoiriens, tous ensembles feront la côte d’ivoire de 2022 et de demain.

*- Les vœux de nouvel An 2022, de Lepetitfils Da Candy Leader de la légitimité citoyenne.

A cette occasion de nouvel An 2022, Il ne convient nullement pas pour nous ici, de s’attarder sur la genèse des faits antérieurs sociopolitiques néfastes et politiciens des années antécédentes. Des faits sociopolitiques voulu sciemment, entretenus à dessein et  demeurés statiques dans son essence depuis 2011 jusqu’en fin 2021. Ou il a été impossible de tourner une page de crise sociopolitique très honteuse, par une réconciliation nationale réelle, dans une côte d’ivoire confinée sous le  règne de l’anti-Houphouët-isme réduit à la bâtardise, sous couverture de l’Houphouët-isme. Donc, faisons l’économie d’une interprétative narration inutile, pour passe à nos vœux.

 

Donc, pour nos Vœux de 2022, nous souhaitons qu’en 2022, le peuple souverain ivoirien ose rester lui-même, en conjuguant tous les registres souverains d’émancipation citoyenne, au terme d’un inclusif dialogue national souverain, ou au choix du peuple, estampillé de tout autre Nom. Et d’arriver à une Amnistie générale référendaire consensuelle et consentie, pour un nouveau commencement sociétal dans l’ordre et la paix. Avec des normes de régulations sociales nouvelles et consensuelles. Une architecture systémique d’organisation étatique nouvelle, avec des compartiments architecturaux de récompense politicienne inutile a biffé. Et l’avènement d’un système judiciaire véritablement indépendant, entrainant la fin des pouvoirs judiciarisé, et les poursuites judiciaires effrénées, téléguidées et expéditives, laissées à  l’initiative des gueulards fulminatoires et outranciers, aux crocs rouillés et aux gueule déodorantes. Donc un parquet systémique qui ne serait plus sous l’ordre du pouvoir exécutif commanditaire, donc des parquetiers capables de fouillés dans les coffres de la présidence de la république, malgré l’opposition du maitre momentané des lieux, «a la Kenneth Starr, le procureur indépendant qui a poursuivi le mastodonte président des Etats-Unis Bill Clinton». Une nouvelle répartition sérieuse au même prorata de nombres d’habitants, des démembrements pouvoirs d’états, «Congres-Législatif, municipal, régional, gouvernorat, c’est-à-dire, un élu égal tel nombre d’habitants invariables pour tout le pays, cela au mépris de l’espace de l’assiette territoriale administrée et d’ainsi exiger, pour certaines élections locales que les candidats soient nés dans la circonscription électorale de leurs candidatures pour que les liens de rattachement territorial et historique, entre les dirigeants politiques élus et leurs administrés de la circonscription électorale soient solides, cela dispense la gestion publique de la malhonnête a ciel ouvert». Une nouvelle règle de jeu de la compétition électorale, qui permettrait d’échoir exclusivement la légitimité et la légalité, à la majorité absolue des citoyens, qui se jaugera à l’aune des élections aux suffrages universels et au prisme d’un processus électoral transparent, avec des arbitres électoraux impartiaux. Le tout, pour que le bateau du progrès sociopolitique reprend la voie royale, vers la lumière du développement économique et politique destinée à rendre la juste raison à la nécessité populaire, sans qu’une seule goutte de sang ne soit versée, avec une grande ouverture sur le monde. Donc nos souhait pour 2022 est que l’ivoirien soit capable de refonder l’ordre social d’humanisme, si cher à Félix Houphouët Boigny brutalement interrompu en 1999-2002. Ce sont nos Vœux !

 

C’est pourquoi citoyen ! En 2022, si l’espoir doit demeurer le désespoir surmonté, il convient donc en 2022 pour tous citoyens ivoiriens,  de demeurer dans la logique de reddition des comptes de la crise ivoirienne, par une Amnistie générale référendaire consensuelle et consentie. Qui doit être plus que jamais une fixation citoyenne, à fin de décomposition/recomposition politique salvatrice. Pour une côte d’ivoire respectueuse des droits, des libertés, des règles du jeu démocratique, et de la différence sociopolitique acceptée par tous, une côte d’ivoire de la variance, qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Oui, se dire Houphouët-iste, puis s’enfermer dans des certitudes soporifiques et calcul politicien illusoire bétonné, face à l’impérieuse nécessité d’une Amnistie générale référendaire consensuelle et consentie, source  d’une contrition publique de tous les acteurs de la crise, au terme d’un large dialogue national ouvert à tous est manifestement faire le pari de l’entretien et du pourrissement de la crise sociale.

 

Donc, en 2022, nos vœux est que soit mis fin, à ce qui est désormais une constance aujourd’hui, le pouvoir exécutif et l’opposition se donnant les mains en théâtre, a occasion festive exhibitionnistes, comme le Diable et le Bon Dieu, pour avancer en claudiquant vers un destin qu’on aime à dire de dialogue politique, de réconciliation nationale, de développement économique et de paix sociale pérenne et a l’arrivé de tomber encore dans les même travers sociopolitiques.  Oui ! En 2022, le pouvoir au peuple, par le peuple, pour le peuple, ce principe universel, qui fait du peuple ivoirien, le détenteur ultime du pouvoir  d’état, appelle  aujourd’hui, ce peuple souverain au devoir, de demeurer dans la logique de reddition des comptes de la crise ivoirienne, qui doit être plus que jamais une fixation citoyenne, afin de demeurer dans cette autre logique de paix réelle. Donc en 2022 il serait mieux de s’essayer à vouloir arrêter une évolution de tout destruction d’une politique sans mémoire, sans avenir, et limité dans le temps.

 

Oui, le Psychanalyste humaniste américain d'origine juive allemande, Erich FROMM 1900 – 1980, a dit : « Notre capacité de douter, de critiquer et de désobéir est sans doute le seul moyen d’éviter la fin de la civilisation et d’assumer l’avenir de l’humanité». Donc, retenons en 2022, que la côte d’ivoire d’aujourd’hui est le produit de nos divisions d’hier, et que seuls les ivoiriens, tous ensembles feront la côte d’ivoire de 2022 et de demain. Sur ceux, citoyen ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous. Citoyennes ivoiriennes et citoyens ivoiriens ! Bonne et Heureuse année 2022 a tous…

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28 décembre 2021 2 28 /12 /décembre /2021 01:46
Lepetitfils : La politique, la vraie ! C’est persuader, c’est convaincre, c’est dissuader, c’est persévérer. Donc, la côte d’ivoire a besoin d’un inclusif dialogue national souveraine pour un nouveau commencement avec des normes de régulations sociales nouvelles et consensuelles, une architecture systémique d’organisation étatique nouvelle, avec des compartiments architecturaux inutiles a extirpés, une nouvelle répartition au même prorata chiffré de nombres d’habitants des démembrements pouvoirs d’états, une nouvelle règle de jeu de la compétition électorale, etc.

Lepetitfils : La politique, la vraie ! C’est persuader, c’est convaincre, c’est dissuader, c’est persévérer. Donc, la côte d’ivoire a besoin d’un inclusif dialogue national souveraine pour un nouveau commencement avec des normes de régulations sociales nouvelles et consensuelles, une architecture systémique d’organisation étatique nouvelle, avec des compartiments architecturaux inutiles a extirpés, une nouvelle répartition au même prorata chiffré de nombres d’habitants des démembrements pouvoirs d’états, une nouvelle règle de jeu de la compétition électorale, etc.

MUSIQUE ! - (*- Citoyen en lisant ceci en entier, en quelques minutes, tu auras participé à la fête.) - Merci !

En ce jour d’Anniversaire, il convient de souligner que, nous ne sommes ni un Dieu, ni un Moïse, mais un simple citoyen qui pense pouvoir réguler sa société et qui espère servir son pays. Donc, disons ici, que parti sur la pointe des pieds en 2011 à l’âge de 49 Ans, nous voilà entrain de tenter un retour à l’âge de 59 Ans, 10 Ans d’écueils et de ruines, mais rendu nécessaire pour sauver une pauvre vie, de pauvre citoyen, plus que jamais méprisable pour les sadiques piranhas et pour les balles assassines des cyniques et sinistres sicaires d’une république bananière. Donc essayer de se réinstaller dans les ruines et débris de 10 ans de vie gâchée, sans compter sur qui que soit. Comme à l’accoutumé pour tous les écueils qui ont jalonnés notre existence, y compris l’enfer de l’exil même le UNCHR. Nous ne comptons sur qui que ce soit et sur quoi que ce soit : Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, Houphouët-iste convaincu, né à partir d’une motivation d’intérêt public de régulation. Nous n’avons donc pas vocation à compter sur le non-quantifiable de rêves soporifiques incertaines de la vie.

D’où, pour notre totale liberté citoyenne, dans la dénonciation régulatrice, nous avons préféré dès le départ en 1994, l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle, alors que peut-être le monnayage de nos activités, pouvait nous rendre milliardaire. Bon ! Notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne et notre espérance à un avenir meilleur de la totalité sociale, malgré le sempiternel chaos social à nous imposer. En clair, ce que nous voulons, et si nous pouvons, c’est d’apporté de droit et par devoir aux citoyens ivoiriens, apporté humblement à l’humanité par la culture de non-violence et de paix l’Houphouëtienne. Et pour qu’on puisse Gouverner avec l’obéissance des citoyens gouvernés et servir désintéressement la société à laquelle nous sommes redevables. Donc de s’efforcé au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et s’oublier pour la côte d’ivoire, et de dénoncer la dilution mafieuse de la politique étatique.

Donc, dénoncer l’interpénétration obscure des affaires mafieuses dans la gestion des affaires publiques étatiques, la dislocation de la société commune par la division pour régner, la segmentation communautaire, ou par affinité ethno-tribale pour entretenir la crise sociale à dessein, avec des  petites brouilles politiciennes d’intérêts égoïstes, égocentriques et compromissoires, a fin de préservé les intérêts indus. Dans un théâtre d’ombre, où les individus s’entre-déchirent autour des intérêts égocentrique. Des individus qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement, a la guerre comme à la guerre. Donc, point de consensus dans l’ordre du public, point de dialogue sincère inclusif de la totalité sociale. Donc, nous ne sommes à la recherche, de, Ni poste, ni titre, ni rémunération quelconque, pour donner un notre sens à notre vie. Si ceci peut venir à la remorque de notre sacerdoce tant mieux pour nous. Donc la fixation pour nous est, la Stabilité et la Paix. Ce qui est dit, est dit. Bon! Écourtons la genèse d’un anathème sociopolitique animalisé. Puisque-là, c’est la fraternité du moine tibétain et du dignitaire Chinois, avec le trépas fraternel à l’horizon. C’est mon frère on n’est entre nous chemin faisant vers la guillotine du couperet.

*- A Refaire ? Nous Referions la même chose à l’identique.

Donc, nous voulons dire à cette occasion FESTIVE, qu’après 10 ans d’absence du pays, que nous essayons le retour, en espérant de la sécurité de notre vie, et celle de tous les citoyens, et en espérant de la paix et de la réconciliation. Mais, notre premier constat de simple citoyen, qui n’est ni un Dieu, ni un moïse, ni un devin obscur, ou un savant obscurantiste, est amer. La côte d’ivoire est plus que jamais à la remorque de l’influence de la culture orientale, et asiatique, a l’image de toute notre Afrique Noire «Afrique-Chine, Afrique Turquie» etc. Et avec la complicité ou dans l’ignorance du sommet de l’état, en bas sur le socle de la société ivoirienne, la côte de Félix Houphouët Boigny s’affaisse et plie sous le poids de l’expansionnisme culturel nébuleux. La clarté ancestrale est désormais obéissante à l’obscurantisme des non-dits et des sous entendues des obscurs petits malins sur leurs terreaux fertiles désormais

Oui, comme nous avons déjà dit et écrit : La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, est désormais un étouffoir mental déshumanisé, un foutoir merdier d’obscurantistes peu catholique, a tout point de vue. Malgré l’exception sociologique et culturelle, elle a désormais une plaie béante a son côté Nord, qui risque de se gangrené a défaut de soins intensif et souverain dès maintenant. Et elle est devenue une clinique de formatage des esprits, au service d’une escroquerie morale et intellectuelle, qui aspire à un lamentable bornage d’un enclos moutonnier, nécessaire à l’avènement peut-être souhaité d’une monarchie ploutocratique, soutenue par un système dirigiste de profit.

Le nouveau paternalisme sociétal inculqué au peuple, ou la civilité courtoise de, Madame, Monsieur est supplanté par la vulgarité, Papa, Maman, vieux, vieilles, etc. tous dans un panurgisme d’enclos hermétique, servent ce souhait d’une monarchie ploutocratique. Désormais, l’Houphouët-isme ne vit plus que de Non, sur la terre d’Houphouët Boigny. La modestie Houphouët-enne et sa sagesse, ont désertées la sphère sociopolitique pour laisser place à la grossièreté hautaine insensée, des envolés de Ballons de Baskets gonflés-dégonflés et dégonflés-gonflés. Donc, le substrat de notre société laïque qu’est le républicanisme social a perdu du terrain face à son grand rival de toujours, les dogmes totalitaires et le pouvoir absolutiste, désormais sur leur champ d’évolution préfère et de prospérassions

Ces dogmes totalitaires et le pouvoir arbitraire absolutiste, veulent s’imposé par la manipulation obscurantiste, comme gyroscope de la société et indiquent leurs destination voulue, en caressant le veux absolu que les citoyens puissent organiser leur propres défense, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours, en cas de danger de renard et de Loup. Ainsi leur totalitarisme et leur absolutisme auront atteint leurs visées, une fois la raison du fort et du plus Riche devient la règle de vie en société, donc la question du comment est-on devenue fort ou riche, n’a plus droit au chapitre. D’où les fanfaronnades d’éloges rémunérés et tambourinées, disposent des analyses, expertes, doctes et esthètes, pour la fabrique d’une société moutonnière et suiviste résignée. Puisque, ce que papa et Maman dit, ce que le Monarque dit, ne se discute pas chez nous, ici.

*- Citoyen ! Tu danse ceci aujourd’hui tu riras demain en dernier ressort.

Donc, au terme de notre premier constat de simple citoyen, disons-nous, il ressort que la côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique consensuelle, surtout paisible, stable, cohérente, harmonieuse. Que la côte d’ivoire a besoin de la construction d’une communauté nationale solidaire réconciliée avec elle-même. Que  l’ordre politique en lui seul chanté, au terme d’un dialogue exclusif bancal dit politique, pour éluder l’essentiel sociétal, ne garantit jamais une réconciliation nationale et une paix durable dans une société en crise sempiternelle. La réconciliation nationale  doit commencer par la réinstauration de l’ordre de la sociabilité dans les relations Humaines du bas, transporté par les dirigeants soucieux d’Anticiper les perspectives d’avenir dans le temps et bien élus, vers le haut, par l’ordre public, par l’ordre intercommunautaire, par l’ordre dans la totalité sociale, et par la primauté accorder a l’intérêt général de la nation, avec la paix sociale comme fixation absolue, pour une vie libre, de citoyen libre.

Oui, au terme de notre premier constat de simple citoyen, il est constant, que la côte d’ivoire se doit d’être une société Humaniste, à l’image de Félix Houphouët Boigny, ou l’homme incarnerait la centralité, de toute action économico-socio-politique, surtout, ou le citoyen se doit d’être le cœur de toute action développementale. Un développement qui cadrerait à la perfection avec nos réalités sociales, pour une vie libre, débarrassée des scories passéiste d’absolutisme, d’autoritarisme et de toutes les anxiétés créancière, qui résulterait du surendettement, qui présage une accalmie avant l’orage des récessions économiques. Donc, un développement, ou tous les citoyens seront sous la protection exclusive de la loi positif, conforme au droit universel, dans une nation solidaire, dont la gouvernance ne serait plus judiciarisé, et ne serait plus de copinage ou de la concussion, mais une nation stable, paisible, prospère et démocratique, ou tous risques de crises sociopolitiques, ou de conflits serait obvier a jamais.

Donc, aujourd’hui, l’ivoirien se voit dévolu un rôle primordial de citoyen libre, totalement libre, aider la démocratie ivoirienne à obvier les crises sociales sempiternelle, qui peuvent entrainer des bains de sangs. Aider la côte d’ivoire à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles et la paix sociale. D’où, on peut faire la politique et aller librement dormir chez soi, sans aucune crainte d’être accuser d’atteinte à la sûreté de l’état ou d’être zigouillé, sinon arrêté pour sa couleur socio-politico-idéologique. Surtout ou l’homme politique, ne possèdera qu’un seul pouvoir légal et légitime, le pouvoir de persuader. La capacité de persuader est une arme infiniment plus efficace que les mensonges éphémères d’état et les fusils de guerre, qui ont pour but de vaincre et non de convaincre.

Le dialogue politique certifie, une crise a désamorcée, de façon ponctuelle, chirurgicale, urgente, dans le consensus.

L’Arène politique ivoirienne aime la politique folklore, extraordinaire. Un dialogue politique n’évolue pas par étape annuel, a un but soporifique, un dialogue certifie, qu’il y a une crise latente a désamorcée, donc ce dialogue se veut ponctuel, chirurgical, face à un mal circonscrit, dont les remèdes urgentes impose le consensus national immédiat. Donc nous disons enfin, que, la côte d’ivoire a besoin d’un inclusif dialogue national souveraine, pour un nouveau commencement, avec des normes de régulations sociales nouvelles et consensuelles, une architecture systémique d’organisation étatique nouvelle, avec des compartiments architecturaux inutile a extirpé, une nouvelle répartition au même prorata de nombres d’habitants des démembrements pouvoirs d’états, une nouvelle règle de jeu de la compétition électorale, etc. D’où la légitimité appartient à la majorité absolue des citoyens, qui se jauge à l’aune des élections aux suffrages universels et au prisme d’un processus électoral transparent. Le combat politique personnifié du pouvoir absolu «l’absolutisme» n’a rien à voir avec le noble art politique, dans laquelle le peuple souverain est le destinateur privilégié de tous les discours politiques, par ce que détenteur ultime du pouvoir d’état.

En politique le citoyen qui veut le pouvoir du peuple doit parler au peuple. Et doit constamment à chaque occasion de crises faire la preuve de sa légitimité populaire devant le peuple souverain. C’est ça la démocratie, c’est ça gouverné avec le consentement du peuple souverain gouverné qui obéit par conviction. Oui, la politique, la vraie ! C’est persuader, c’est convaincre, c’est dissuader, c’est la convergence vers les autres et non la concrétion du Moi, et c’est persévérer, à toute épreuve dans les mêmes positions d’intérêt général et dans les mêmes discours d’intérêt public et d’y persister dans la pire des situations au risque de sa vie physique. Donc si c’est à Refaire ? Nous Referions la même chose à l’identique, après 22 ans de chaos sociopolitique «24-12-1999- 01-01- 2022», dont 11 ans d’exil d’enfer «2011-2022». *Oui, ici, ci-dessus, c’est notre souhait que nous exprimons à cette occasion festive, de fête d’anniversaire. Nous ne sommes ni un Dieu, ni un Moïse, ni un Divin de prémonition, ni un savant détenteur de connaissances obscures et nébuleuses, nous ne sommes qu’un simple citoyen, qui pense servir sa société, en prenant les risques qui sied. En excavant souvent dans le tréfonds du droit international pénal a la recherche de la lampe éclairante des criminels de guerres ivoiriens, juste pour pouvoir bien tourner une page honteuse. Oui, simple citoyen qui, après 22 ans de déviationnisme «24 décembre 1999-2022 dans quelques jours», espère retrouver la voie. Pour que le bateau ivoire reprend cette noble voie salvatrice avec son rythme d’évolution graduel dans la grande sagesse Houphouët-ienne et avec un développement ordonné, bien agencé, dans l’ordre du besoin de la totalité sociale souveraine, naviguant vers la lumière du développement intégral. C’est ça, l’espérance citoyenne. Donc, Citoyen ! Tu danse l’entier de cette musique de fête d’anniversaire d’aujourd’hui, tu riras à l’éclat demain en dernier ressort. On Danse !

CITOYEN ! MERCI POUR LE SOUTIEN DE TOUT LES TEMPS, ET BONNE FËTE. VOTRE SERVITEUR, LEPETITFILS-D-C …

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19 décembre 2021 7 19 /12 /décembre /2021 02:42
Lepetitfils : La Côte d’ivoire n’a plus besoin de soutien aux sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire, mourante et résignée qui s’exsangue. Oui, Nous Citoyen ! Si détenteur de 1% du pouvoir de DONALD TRUMP, nous logerons tous se monde de la CPI et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? De casse-pied !  à la nationale MACA Abidjanaise, A-chez-nous-pays. Et le ciel ne bougera jamais ! Parce que la souveraineté pleine et entière restera au peuple ivoirien. Il y a trop de sangsues dans le Marigot politique ivoirien, surtout trop, trop de sangsues da la rizière gouvernementale.

Lepetitfils : La Côte d’ivoire n’a plus besoin de soutien aux sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire, mourante et résignée qui s’exsangue. Oui, Nous Citoyen ! Si détenteur de 1% du pouvoir de DONALD TRUMP, nous logerons tous se monde de la CPI et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? De casse-pied ! à la nationale MACA Abidjanaise, A-chez-nous-pays. Et le ciel ne bougera jamais ! Parce que la souveraineté pleine et entière restera au peuple ivoirien. Il y a trop de sangsues dans le Marigot politique ivoirien, surtout trop, trop de sangsues da la rizière gouvernementale.

 

*- Même si vous n’êtes pas avec les sangsues, vous bouffer aussi.

Visiblement les chacals continus de zapper aux tendons du mollet de Dame ivoire, au nom de la crise postélectorale, qui continue à faire voler les charognards dans les décombre de la côte d’ivoire et le manges-mils aux services des sangsues branché à la mamelle de la côte d’ivoire. Justice ! Les mêmes refrains partisans se font sporadiques. Lisons ceci pour s’en persuader : «L’acquittement confirmé en appel le 31 mars 2021 de l’ancien président de la république et de son ancien ministre par la cour pénale internationale (CPI) a consacré l’impunité désormais accordée aux auteurs des crimes de la crise postélectorale de 2010-2011. L’acquittement de ces deux seuls suspects poursuivis devant la cour pénale internationale (CPI) signifie que les plus hauts responsables de ces crimes tant parmi les pro-Gbagbo que les pro-Ouattara ne seront jamais inquiétés». Voilà le refrain, nous y sommes, mais, nous aurions préféré pour notre part, voir les pro-Ouattara affronter la CPI et faire acquitter de la même manière dans un procès, avant de parler d’impunité accordée. Il faut noter pour rappel, que CPI avait chargé, Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé avec la charge des crimes contre l'humanité, (meurtre, viol, autres actes inhumains ou à titre subsidiaire tentative de meurtre, et persécution) supposés commis en Côte d'Ivoire en 2010-2011, tout en omettant, les crimes de septembre 2002 et suivant. Et le 15 janvier 2019, la Chambre de première instance 1 a acquitté M. Gbagbo et M. Blé Goudé de toutes ces charges de crimes contre l'humanité. Et dans sa suite linéaire, le 31 mars 2021, la Chambre d'appel a confirmé cette décision. Puisque, l’accusation n’avait pas apporté la preuve des éléments des crimes portés à la charge des accusés.

(Bon ! Ici dans le langage citoyen, A - chez -nous - pays, les choses, ne sont pas compliquées dû tout, «wahi !» Donc qu’on ne nous les complique pas. Alors que c’est clair. Voila ! Il y a une Affaires de cadavre, «môgô-fâgâ gbazan, zigouillé-môgô-dey, fou-falaki», et il y a les cadavres, morts, zigouillés, partout, et il y a les noms de deux (2) personnes seulement dans l’affaire, chacun dans sa cantonade avec fusils «môgô-fâgâ marfâ». Donc, les deux ont leurs noms mariés avec criminel de guerre, en tout cas, un des deux est le criminel de guerre, sans faute. Et un matin, il y a une justice «de gros-bras, genre Djon-bri»  qui vient soulever un des 2, qu’il «Gnou» jusqu’à, aller le poser dans son banc des accusés. Et après des années et des années, cette justice «de gros-bras, genre Djon-bri» vient un jour déposer en plein midi, celui qu’il a soulevé, pour dire à la face du monde, que le criminel ce n’est pas lui-là «mouk»-au grand jamais. Que ce n’est pas lui le criminel de guerre, des cadavres zigouillés, «môgô-dey fâgâ fou-falaki. Et la justice «de gros-bras, genre Djon-bri» d’avertir tout le monde, que celui qu’il vient de déposer-là, que l’homme qui met son nom dans criminel de guerre encore, que lui «justice-fângâtigui» va «Gnou» cet homme-là, jusqu’à, aller le poser dans son banc des accusés de menteur obstruction-aire a sa justice. Voilà les choses clair et net. Donc, entre nous dans ce pays, dans cette affaire, est-ce que le reste est compliqué à comprendre ? Non ! Le citoyen z’a pas bête-bête, le peuple non plus z’a pas mouton, «mouk»-jamais de la vie ! Pas bête ! Pas mouton ! Même au village Apkani, connait bien que quand tu enlèves 1 dans 2, qu’il reste 1 seul. Donc, s’ils ne peuvent pas regarder ce 1-lâ, dans les yeux, avec 1 œil, or 1 c’est 1, nous sommons ici donc, les chacals, les vautours, et les charognards de quitter dans les décombres de la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, qui s’exsangue. Ce n’est pas compliquer, si vous z’a pas sangsues vous bouffer aussi».

*- Les vraies victimes de guerres en quête de dédommagement ne se préoccupent pas des couleurs politiques.

Bon ! Et  même dans le langage commun, c’est aussi moins compliquer : La crise postélectorale ivoirienne a offert aux ivoiriens deux (2) potentiels ou supposé criminel de guerres de cette crise que sont : Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo, tout le reste n’est qu’accessoire. Donc l’acquittement au terme d’un procès pénal de l’un des deux ne de peut pas être considéré comme l’impunité accordée, il reste toujours un potentiel ou supposé criminel de guerre qui doit affronter la justice internationale «CPI», pour se voir acquitter aussi, pour qu’on puisse parler d’impunité accordée. Mais rien à faire, chacals, vautours et charognards pondent, communiqué clownesque de diversion par-ci, conférence de presse de soutien voilé des ripoux iconoclastes par-là. Oui, les décombres de la pauvres côte d’ivoire semble donnent toujours à manger. Il y a la Malbouffe et ça bouffe tout de même. Mais, il ne faut pas se tromper de voie en observant uniquement que les possibles répercussions politiques de cette décision de la CPI, qui a totalement obéit aux règles de l’Art des procès pénaux internationaux, qui exigent que la responsabilité du chef hiérarchique soit la résultante de la responsabilité d’un ou des exécutants reconnus au terme du même procès. Donc on ne peut ignorer royalement que cette décision a respecter tous les aspect judiciaires d’une décision pénale internationale. Cela à commencer par l’élément déclencheurs de violations du droit fondamental ivoirien, qui n’a pas vocation à obéir aux prétentions individuelles des intérêts politiques personnels, au mépris des causales violations réelles de droits, sans lesquels violations, les crimes ne seraient jamais commis dû tout. Il convient dès lors, de souligner que la constitution ivoirienne qui a régis les élections querellées avait bouclé le contentieux électoral. Mais, hélas, dans une situation ou la politique ivoirienne était devenue depuis septembre 2002, une affaire de rapport de force armée, ou le pouvoir ne se trouvait qu’au bout du fusil. D’où la loi c’est moi, et surtout, nul n’était censé respecter le droit ou la loi, s’il avait pris la précaution de s’organiser en groupe armé rebelle pour devenir une force nouvelle, et de se déclarer en colère arme aux mains, pour défendre une cause quelconque. C’est de là qu’est née l’ensemble de la crise ivoirienne en 2002.

Donc, il convient de souligner que, si ces positions déclinantes sont motiver par le soutien aux victimes de guerres, ou est prise pour défendre les victimes de guerres, il faut dès lors souligner que, nul n’est besoin de se lancer dans des élucubrations sophistes plein d’apories, pour pouvoir asseoir le droit et règles de dédommagement des victimes de guerre. Ici, le civilement responsable des préjudices que les victimes ont subi, est connue de tous, l’état ivoirien est civilement responsable des préjudices de guerres, quel que soit l’auteur des crimes. L’état est civilement responsable des dommages subis. Cette responsabilité étatique est irréfragable en droit international pénal et en l’espèce, l’état a le devoir de prévenir et de protéger. Il faut noter aussi que depuis la légalisation de la rébellion ivoirienne «STATUT DE BELLIGÉRANT» par l’accord inter-belligérant de Linas Marcoussis, qui a consacré de droit la reconnaissance internationale des deux parties à la belligérance avec devoir, droit et responsabilité égaux, jusqu’au rajouts de 2011, ainsi, aux yeux du droit international pénal New-yorkais, la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire est définitive  et formellement engagée. Donc aujourd’hui, il est question seulement dès lors, de préconiser une voie sérieuse de dédommagement conséquent des victimes de guerres. Et ce processus de dédommagement conséquent s’impose aux tenants du pouvoir d’état quels qu’ils soient, les victimes de guerres ne se préoccupent pas des couleurs politiques.

*- C’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance et de la solidarité, qu’on arrive à la stabilité sociopolitique.

Donc on ne peut comprendre, qu’un défenseur de ces victimes aux droits acquis, n’ait d’autre cheval de bataille que la responsabilité pénal d’un seul belligérant et d’entrées en EXTASE face à l’idée de son acquittement judiciaire, tant disque, au  même moment l’autre belligérant vainqueur de guerre, exerce le pouvoir ? Depuis la nuit des temps, on n’est jamais vainqueur, pour avoir caressé tout le monde sur son passage, non ! Vainqueur de guerre, on n’est supposé avoir enjambé des cadavres, pas morts de maladies naturelles. La distance de Bouaké, jusqu’aux rues Abidjan, passant par Man, Duékoué, est témoin. Bon ! En côte d’ivoire, il n’y a pas de VICTIMES DE GBAGBO, il n’y a que des VICTIMES DE GUERRE  de 2002-2011 à ce jour à dédommager. Dédommagement autour duquel, la côte d’ivoire a la recherche d’une remontée à la surface des profondeurs Abyssales d’une crise, qui n’a que trop durée, n’a plus besoin de chacals, de vautours et de charognards, dans ses lamentables décombres. Et surtout n’a plus besoin de soutien aux sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire, mourante et résignée qui s’exsangue. « Oui, Nous ! Si détenteur de 1% du pouvoir de TRUMP, nous logerons tous se monde de la CPI et tous ses qu’est-ce qu’il y a ? à la MACA Abidjanaise, A-chez-nous-pays. Et le ciel ne bougera pas ». Parce que la souveraineté pleine et entière restera au peuple ivoirien. Il y a trop de sangsues dans le Marigot politique ivoirien, surtout trop, trop de sangsues da la rizière gouvernementale.

Donc, nous disons encore ici, et maintenant, qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la réconciliation nationale et de la paix sociale, une fixation absolue, au mépris de toute les autres considérations, y compris juridiques et judiciaires. Donc, c’est le lieu ici, de se répéter toujours, que la clé de la solution de la crise ivoirienne, est entre les mains du peuple souverain de côte d’ivoire. Personne d’autre ne viendra avec une autre clé magique pour trouve une solution magique à la crise ivoirienne qui perdure, a la place du peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état. Ni la communauté internationale, ni les procédures de la Cour pénale internationale, «CPI», ne trouveront une solution, à une crise politique, astreinte à une solution politique ivoirienne. Reprenons notre vieux refrain qui est, qu’il n’y a pas d’autres solutions à la crise ivoirienne que celle du consensus politique. Il demeure constant, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique. Mais en politique, les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de dialogues inclusifs, fondés sur les défenses aveugles des intérêts politiques égoïstes et égocentriques. Or, il est d’une constance absolue qu’en politique, la vraie politique, c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, l’insouciance des conséquences et l'égoïsme égocentrique», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique, à la cohésion intercommunautaire et à la paix, par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et ancrée dans les cœurs.

*- L’Amnistie générale référendaire est la manifestation régalienne de la souveraineté dans le concert des nations.

Donc il n’y a d’autre solution durable à la crise ivoirienne, que celle consensuelle issue du pardon, de la repentance, de la contrition des acteurs, au terme d’un dialogue sincère au tour d’une table. Et ensembles, de s’inscrire tous unis, dans une option, non pas de l’oubli, mais de pardon souverain, sur la voie de la réconciliation nationale vraie, et pour la paix sociale Houphouët-ienne. Qui n’a de siège que, dans les cœurs et dans les esprits, «d’où il sied de préféré l’injustice judiciaire d’intérêt public, au désordre social d’intérêt personnel». Afin que le tout soit couronné par une Amnistie générale référendaire. Se faisant ainsi, le réel pardon qu’accordera le peuple martyrisé au terme du vote référendaire, sera issu de l’attitude des acteurs politiques, coupables de crimes «inacceptables et injustifiables». Un dialogue exclusif donc, entre clan partisans ou satellites ne doit pas être baptisé dialogue politique qui se doit d’être inclusif. De-là, découlera la responsabilité civile de l’état de côte d’ivoire, pour les préjudices subi par des tiers, qui ouvre à réparer de droit. Parce qu’en droit, la simple carence en matière de prévention des risques de conflits, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ses ressortissants. «Toutes les victimes ivoiriennes résultent de la belligérance reconnue à Linas-Marcoussis, ou la carence de l’état de côte d’ivoire a été constaté et consacré, qui emporte la responsabilité égale des deux camps belligérants de guerres». Ici, l’état est civilement responsable de droit

Oui, il n’y a pas d’autre choix, que de souscrire consensuelle-ment, tous ensemble ivoiriens et ivoiriennes, dans le registre du droit international coutumier, «le droit des droits», avec un support infaillible, qu’est l’Amnistie générale référendaire. Oui, pour que ça rentre dans les oreille et cœurs, répétons-le, quand : La clémence de l’Amnistie générale référendaire, peut ramener à l’amour entre communauté nationale, à la cohésion nationale de la totalité sociale, à la stabilité sociopolitique, à la paix sociale pérenne sans lesquels, il n’y a pas de paix internationale et ramener au respect des futures normes de régulations sociales, qui en ressortissent et acceptées par tous, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale souveraine, l’Amnistie générale référendaire est recommandée par la grande loi du bien public, de l’ordre social, de l’intérêt général, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre public. L’ordre public ici, au sens large est l’ordre matériel et extérieur, considéré comme un état de fait, opposé au désordre social, l’état de paix, opposé à l’état de trouble social. « D’où, Pour la paix sociale, je préfère l’injustice judiciaire, puisque la paix sociale est le préalable au développement », de Félis Houphouët Boigny». L’Amnistie générale référendaire est la manifestation régalienne de la souveraineté dans le concert des nations. Donc, de l’état de droit, et de l’appartenance à la communauté internationale, donc, réel socle des relations internationales.

*- Arrêtez de soutenir les sangsues branchés a la mamelle de la côte d’ivoire mourante et résignée qui s’exsangue.

L’Amnistie générale référendaire, permet alors, après une guerre civile, ou une grave crise sociopolitique dans laquelle l’unité nationale, a été particulièrement atteinte, de mettre un terme à ce qui serait susceptible d’entretenir la polémique, ou les divisions dans le cadre d’une procédure judiciaire sélective des vainqueurs, qui maintient la tension, et qui tient la crise armée contre la totalité sociale souveraine. L’Amnistie générale référendaire, ressortissante du droit international coutumier «le droit des droits» tient en l’état, le droit international pénal et la politique internationale de l’imprescriptibilité des crimes contre l’Humanité. Donc, elle est l’unique voie salvatrice pour la côte d’ivoire, qui a impérieusement besoin d’une émergence de l’ordre social, pour sortir la tête de l’Eau. Qui oblige de mettre la nation ivoirienne au rond-point central, pour un nouveau départ ou recommencement du jeu sociopolitique. Une vie sociopolitique qui inscrirait avec une majuscule une fois pour toute, l’homme au centre du débat économique, le citoyen au cœur de toute politique économico-sociopolitico-développementale dans une nation humanisé, paisible 

Oui, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence d'ordre social, que d’une quelconque émergence économique, fondée sur des chiffres farfelus de croissance économique. «La jungle des relations économico-sociopolitique à abandonner l’humaine pour devenue un monstrueux marécage, pour les pieds honnêtes, plus ils bougent, plus ils s’enfoncent, jusqu’à l’engloutissement totale  pour leurs façonnages sociopolitiques. Oui, les transfuges, déserteurs, les judas nihilistes iconoclastes, arrivistes et renégats, ont perdus lamentablement, la culture ataviques de paix sociopolitiques et les valeurs Houphouët-ienne. Et Hélas ! Il serait laborieux, voir arrachant, de les retrouver et de les tirer du fond du marécage, acculturant, dénaturant et désocialisant». Oui, il faut l’ordre social, l’harmonie intercommunautaire, la stabilité politique et la paix Houphouët-ienne, aux substrats infaillibles, qui passe par une Amnistie générale référendaire consentie par la totalité sociale souveraine. Pour ne pas que, ces valeurs citées ci-dessus, soit un objectif rechercher mais inatteignable pour la côte d’ivoire d’Houphouët, nous avons appelé hier, nous appelons toujours à une amnistie générale référendaire sur les faits criminels du 24 décembre 1999, passant par 19 septembre 2002 jusqu’à  la guerre de 211 à ce jour. Donc que les chacals, les vautours, et les charognards quittent dans les lamentables décombres de la côte d’ivoire et surtout, qu’ils cessent de soutenir les sangsues branchés a la mamelle de la pauvre côte d’ivoire mourante et résignée qui s’exsangue. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne, vient de satisfaire aux exigences de son sacerdoce citoyen.

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12 décembre 2021 7 12 /12 /décembre /2021 10:41
Lepetitfils: Disons-le, notre sacerdoce est de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale, dans l’harmonie communautaire pour un destin meilleur de la société. Oui, de dire les choses, sans excès, sans haine, ni dramatisation, avec un courage qui transcende les intérêts mercantilistes. Dires les choses avec une franchise risquée pour la vie et une détermination soutenue. Pour nous, le combat d’homme politique doit démontrer qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de sa société qui profite à la nation une et indivisible.

Lepetitfils: Disons-le, notre sacerdoce est de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale, dans l’harmonie communautaire pour un destin meilleur de la société. Oui, de dire les choses, sans excès, sans haine, ni dramatisation, avec un courage qui transcende les intérêts mercantilistes. Dires les choses avec une franchise risquée pour la vie et une détermination soutenue. Pour nous, le combat d’homme politique doit démontrer qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de sa société qui profite à la nation une et indivisible.

*- La recherche de la docilité du peuple a fini de provoqué l’amoralité et  la dépravation.

 

La côte d’ivoire à perdue ses repères. Elle peine à remonter à la surface des profondeurs abyssales d’une crise voulue. Oui, les bouleversements des valeurs sociales avec la force armée et Dieux l’argent comme mesure de valeurs sociales, l’impossibilité entretenue de la vraie réconciliation, l’exclusion économico-sociopolitique schématisée, le tissus de la cohésion sociopolitique en lambeau, les fibres communautaires sectionnées, la chasse aux sorcières, les persécutions politiques, les anathèmes sociopolitiques, les excommunication démocratique et électorales, le harcèlement moral, l’escroquerie morale et intellectuelle, l’obstruction à la paix sociale, aux droits et aux a la liberté, par le refus de tourner une page sombre a  jamais honteuse, par une Amnistie générale référendaire, que connait aujourd’hui notre pays la côte d’ivoire, a fini par plongé la totalité sociale dans l’obscurantisme moutonnier et le panurgisme d’animal dressés, qui ne demande qu’à manger. Une partie du peuple entrainer dans la levée d’interdits ce fait complice. En effet pour ligoter psychologiquement un peuple ou un homme,  il suffit de l’entraîner dans l’anarchie des affaires mafieuses, qui le rendront lié au système malhonnête, et complice du processus corrompu. Le poisson pourri par sa tête. Oui, si tout le monde est malhonnête, qui criera aux malhonnêtes. Or, il suffit d’un ou de plusieurs individus malhonnêtes dans la société ou dans un groupe de dirigeants pour que tout le système entier devienne malhonnête. L’anarchisme sociétal n’est pas développement.

 

Oui, si cette situation sociopolitique malhonnête et néfaste pour l’intérêt général n’est pas dénoncée « dénoncer c’est notre mission de toujours ». Elle se répand insidieusement de façon souterraine, par l’obscurantisme des intérêts à défendre et a protégés, et par la connexion ou des interpénétrations des intérêts pécuniaires mafieux. Donc, des  bouleversements sociaux disons-nous donc, soutenus et entretenus actuellement par un clanisme mal sain, a fini de provoqué l’amoralité cynique dans la totalité sociale, la dépravation des mœurs ataviques sociétales. La crétinisation sociétale qui n’a d’yeux que pour la malhonnêteté au quotidien de la vie civile, et qui n’a d’intérêt que pour le volume des fessiers hautement fournie en exhibition, permet aux  brigades d’acclamations acculturées en voie de désocialisation de s’en donne à leurs œuvres inconsciente, en soutient a des hommes politiques, dont les Auras factices nébuleux ne sont fondés que sur des fausses notoriétés griot-tique et propagandistes. Ou tout est léger, tout est vulgaire et vulgarisé, ou tout est versatile, au gré des rire sado-pervers. Ou Satan et le Diable jouent aux envoyés d’un Dieu-le-grand, maitre de tout. En un mot le socle de prospérassions des pouvoir déviants, totalitaires, personnels, absolutistes, obscurantistes et/ou le substrat constructif des sectes criminelles et les confréries obscurantistes, ou les sociétés secrètes nébuleuses, ou même les mafias politico-socioéconomiques, quelles qu’elles soient de par le monde.

 

Oui, au moment même, que les grands Gardien de la morale mondiale se désolidarisent de la perversité sexuelle institutionnelle, au moment que la grande Amérique «berceau de tous» se déchire au tour de la conception juridique de l’avortement, au moment où tous les périls de l’humanité se trouvent consigné par les Savants dans la dépravation sexuelle «Sida, covid-19, cancers, crimes-sado-pervers», la côte d’ivoire aspire ostensiblement à la légalisation de l’homosexualité. Oui, la vulgarisation d’exhibition ostentatoire des tissus fessiers, signe d’un état d’âme, «véritable invite aux Lalogo-bête-bête-là», non-coutumière a notre société et moins-atavique à la côte d’ivoire de nos ancêtres, n’a pas suffi dû tout, Non ! La débauche doit être totale et libre, au nom du droit, au nom de la liberté. Il est constant de par le monde que la dépravation des mœurs sociales ou la dépravation sexuelle servent toujours la criminalité des pouvoirs et le non-droit,  parce qu’elle n’est possible que dans la levée des interdits sociaux. Et la criminalité financière structurée dans la gestion des affaires publiques d’états est là, patente. Et surtout un émiettement du pouvoir politique étatique et institutionnel étatique, entre de multiples centres d’intérêts claniques partisans, qui cohabitent certes au sein du même clan obscurantiste dédouané de moral, sans foi, ni loi, mais qui ne sont plus en mesure de s’entendre autour des intérêts diffuses, disparates et éparses des uns, qui sont sincères, et des autres, truands, affairistes, roublards, qui ne veulent que tout accaparer. Les audits du monarque en difficulté, sur le trône d’une cour incontrôlable, n’y changerait Rien. De sorte que le clanisme mafieux à gagner tout les corps du tissus social ivoirien. Tout est devenu clanique, dans l’administration publique et dans la vie civile quotidienne. C’est un proche de X ou Y, d’où, on embarque à Gauche sous acclamation et on débarque ostensiblement à droite en fanfare au gré d’intérêt amoral, immoral et mercantiliste, le tout au profit du plus grand payeur. La côte d’ivoire à perdue ses repères.

 

Rependre la boue, obliger les citoyens à y patauger, ensuite dire,  regardez-les, ces sales gens-là, allez crever en enfer.

 

Oui, la gouvernance sous ces maux pathologiques retire au peuple, et aux citoyens, ce qui les revient de droit, la part de leurs destins communs, qu’ils peuvent maîtriser sans eux. Ils appartiennent ces gens-là, à une certaine race d’hommes politiques mafieux, assoiffés de pouvoir, Adorateur de Dieu l’argent et fous de notoriété sociopolitique. Oui, des politicards carriéristes pathologiques et arrivistes renégats, qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leur dessein mafieux, d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses.  Leur credo d’obstruction politique au tour du système démocratique est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage et l'affirmation en acte de la volonté d'infléchir et de corrompre le destin du peuple pour le réduire à leur seule exigence mercantiliste, pécuniaire, égocentrique et à Dieu l’Argent. Leur gestion des affaires étatiques et de gouvernance politique sont plus fondamentalement un mode d’imposition unilatéraliste et de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. Leur action politique clanique, compromissoire porte en elle-même les germes de crises sociopolitiques de toutes sortes comme les nuées portent inexorablement l’orage. Des actions à but unique de défense nombriliste des intérêts indus. Au sein d’un pouvoir déviant, néo-monarchiste et non-maitrisé et une pantalonnade de diplomatie clownesque et des relations internationales vanupiedisées  ou le carriérisme du clan prime les considérations de compétence.

 

Cette société nombriliste, de diversion que ces gens-là nous annonce et promet au terme d’une farfelue émergence, ressemble à une assemblée moutonnière inconsciente, d’individus sans repère moral, sans doctrine, sans idéologie et sans racine sociale, réduit à suivre la direction du ventre, et avec le souhait d’avoir des citoyens incapable de réactions citoyennes, de protestations légitimes, « face à la notion moral d’une société de papa-maman inculquées, creuset et fondement de toute les arbitraires». Et le tout confinés dans un train d’enfer et de damnation «peinturé» au couleur ivoire et piloté par des fanfarons, des truands, des malhonnêtes, des voleurs, des sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs propres ventres et pour leurs intérêts égoïstes, égocentriques. Et assis sur une force aveugle, broyeuse de droit et de liberté d’une peuplade, monarchiste, maternelle et paternelle, docile et soumise. Comme si la valorisation d’autrui, devait passer par la négation des autres appartenances sociopolitiques. Donc une société pilotée par une cohorte lamentable de politicards Alpinistes, absolutiste et utopiste qui ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à ses seules exigences égocentriques et claniques. Leurs seuls soucis, faire tout pour garnir la table des convives nocturnes de deniers publics. Et tous y passe sans problèmes comme sur une roulette.  

 

«Donc, sont devenus des valeurs sociopolitiques, un gouvernant malhonnête qui détient une petite parcelle de pouvoir étatique, qui détourne des milliards dans les biens publics. Un homme politique ou un homme public, trafiquant de drogues et de cocaïne. Un homme politique pilleur et exploitant illégal des ressources naturelles souveraines non-renouvelables, ou tout au moins complices des pillages. Un homme politique misérable au départ à 2011 aujourd’hui en possession d’une fortune colossale et des milliards qu’il ne peut justifier. « Tu sais c’est un homme politique hein ! » est la seule réponse de diversion à tout ceci. Et les désormais audits exutoires arrivent en fanfare puis Rien. Oui, RIEN !»

Ce qui permet aux principaux clans, de jouent au jeu de la neutralisation, avec dans le viseur le coup fatal qui sonnera le clash. C’est-à-dire, une explosion du bloc politique clanique. C’est pourquoi qu’aujourd’hui, les dirigeants de l’état au plus haut niveau s’appuient sur les institutions vermoulues, qui détient le droit de promotion mafieuse, pour s’accaparer les institutions économiques et financières «c’est moi qui nomme qui je veux». Et pour faire de quelques-uns des multimilliardaires dans la perspective des affrontements à venir. Ainsi ils s’assujettissent donc, les valeurs de la république, la morale sociétale, les normes de régulations sociales et de gestion de la société, la cohésion sociale et la paix sociale pérenne. Et le résultat de ces bouleversements suscité, dans un duel de clans sur un tapis glauque et visqueux est terrifiant : On substitue volontiers au débat d’idée, qu’est l’essence démocratique par excellence fut-il rude, le lynchage obscurantiste et le sectarisme rémunéré. Quant à la confrontation des arguments socio-politico-idéologique, on préfère l’utilisation des poignards dans le dos dans l’anonymat des bas-fonds des huis-clos entre eux.

Oui, quand plutôt que de convaincre et persuader, on se saigne et on s’achève dans la fureur des hallalis. «Un tel est en disgrâce présidentielle, un tel n’a plus de responsabilité dans le parti, un tel est démis de ses responsabilités, un tel a pris la tangente avec le dossard perpète-le-pauvre». Et on porte au crédit des autres, les désastres qu’on déclenche dans la société commune, afin de se poser en sauveurs et de préserver les intérêts mafieux. «Oui, avec l’obscurantisme criminel, le fusils du criminel de guerre ne lui appartiennent pas, mais ce sont les fusils de celui qui ne sait, qu’est-ce que c’est. Le pouvoir conquit par le rebelle criminel de guerre au terme des tueries n’est pas son pouvoir, mais le pouvoir de celui, qui ne peut tuer une seule personne. Et cette personne malgré tout, et malgré lui, est de la même équipe que le criminel de guerre, et par extraordinaire, il est l’enfant de celle ou de celui dont ses enfants ne peuvent souffrir sous le règne du criminel de guerre». Vive l’immoralisme de bassesse, de l’ignominie obscurantiste criminel. «Ici, ne peut comprendre que celui qui cherche à comprendre». Oui, on repend la boue et obliger les honnêtes citoyens et tous les passants à y patauger, ensuite s’auto-alarmer en s’écrier d’une voie sournoise, à l’endroit de tout ce beau monde d’honnêtes salie, en disant regardez les, ces gens-là, comment ils sont sales, allez crever en enfer, sales mecs. 

*- On ne donne pas  «PéDé» a Assemblée, la côte d’ivoire ne veut pas de «PéDé» légalisé

 

Mais hélas ! Dans ce capharnaüm kafkaïen chez pétaudière, le pauvre citoyen épris de paix et de justice, rêvant a une société aux socles de valeurs incassables, aux morales et mœurs sociétales restaurées, aspirant à acquérir un peu de droit, espérant à un partage équitable des ressources de l’organisation sociopolitique, espérant à participer à la vie politique de son pays, pour afin œuvrer à organiser la solidarité sociale en vers les plus faibles de la société commune, n’a évidemment pas de  droit de cité dans ce monde-là. Ce pauvre citoyen épris de paix et de justice, peut être bafoué dans ses droits fondamentaux les plus élémentaires, le droit à la vie par exemple et dans ses libertés les plus sacrés. On peut alors aller de chaos social et à des crises sempiternelles entretenues pour satisfaire des appétits carriéristes et arrivistes renégats, motiver par l’accaparement des biens publics. Oui, tant que le pouvoir échoit à ce clanisme-là et à leurs maitres, soutiens monnayables qu’est les usuriers internationaux, le citoyen épris de paix et de justice, n’a évidemment pas de  droit de cité dans ce monde-là, qui n’est pas son monde. Donc ce citoyen ne compte pas sur l’échiquier sociopolitique de ce monde-là. La société de ce monde-là est construite autour de l’argent et des crimes.

 

Donc le citoyen et son sort, celui de sa patrie la Côte d’Ivoire d’Houphouët Boigny et de son peuple, sont liés à cette évidence, qui veut que, un clan qui ne vise qu’à préserver ses intérêts personnel, ne peut pour arriver à ses fins que, générer des crises sociales, terreau fertile par excellence aux vols synergiques organisés et aux pillages systématiques des ressources naturelles souveraines et des biens publiques. Oui, Pillages des ressources naturelles souveraines, vols organisés à grande échelle, détournement de deniers publics,  défenestration économique en outrance, couvert par des bonnes paroles, font partie du quotidien des ivoiriens. Donc nous disons en définitive, qu’il n’y a pas deux (2) postulats, soit on choisit d’aller à la stabilité sociopolitique et à la paix sociale pérenne tous ensemble, dans un processus de fédération de toutes les forces régulatrices pour le changement dans notre pays la côte d’ivoire, inscrit au cœurs d’une Amnistie générale référendaire consentie. Et en s’inscrivant résolument dans un processus de vraie réconciliation nationale pyramidale, soit la côte d’ivoire serait condamnée à vivre le chaos sempiternel. Et la postérité ne nous pardonnera pas. Oui, un processus de fédération des forces régulatrices pour le changement dans notre pays inscrit dans l’Amnistie générale référendaire, est la voie indiquée pour parvenir à la valeur fondamentale de respect du droit et de construire une société paisible, une société cohérente, une société harmonieuse de diversité solidaire. Et les bateaux du progrès reprendront la voie royale, universelle vers la lumière du développement économique et politique, destinée à rendre la raison à la nécessité populaire, sans qu’une seule goutte de sang ne soit versée.

 

*- Notre sacerdoce ? Dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale.

Ici, nous ne sommes pas à la recherche de la voie vers un palais présidentiel ou un gouvernement, ou quoi que soit de lucratif, pécuniairement bien productif, non ! Nous ne cherchons que la voie salvatrice vers la stabilité sociopolitique et celle novatrice vers la paix Houphouët-ienne, ou tout est ordre, ou tout homme est homme, indépendamment de sa caste, quelle qu’elle soit. Puisque, nous sommes un Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, et Houphouëtiste enragée, qui a préféré l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle, dès le départ en 1994, bien que le monnayage de nos activités nous aurait rendu peut-être milliardaire, parce qu’il y a des gens qui en connaissent la valeur sociopolitique et le prix juste de son apport en politique, qui ne se fait pas avec l’argent. Notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en notre position politico-idéologique de paix, dans l’arène politique ivoirienne. Et surtout notre espérance à un avenir meilleur, malgré le sempiternel chaos social à nous imposer. Malgré souvent la faim et la soif, parce que le mensonge génère la malbouffe qui donne la Colique. Et les déchets toxiques, les tonnes de cocaïnes, le vol organisé, les détournements synergiques orchestrés, donnent la diarrhée. Il faut le dire, pour nous, la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même pratique donc de fait la politique. Par ailleurs, si nous regardons dans un sens plus restreint, le terme politique renvoie à notre sens à des luttes et débats démocratiques pacifiques et civilisés pour l’acquisition du pouvoir, des actions d’équilibrage de la société et au concours de la représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent, avec la participation de tous à la vie politique de leurs pays sans exclusive. Nous !

Ici, rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à tous et tous les citoyens ont le même droit dans l’assiette territoriale. C’est notre vision de la politique et c’est pourquoi, nous vomissons les armes en politique. Oui pour nous, la politique est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple devenu maitre de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir et ceux qui, à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple martyrisé et le pouvoir d’oppression au service de DIEU l’argent. C’est pourquoi le combat prioritaire de l’homme politique pour nous, devient de dire les choses, quand elles vont bien et quand elles vont moins bien dans l’organisation sociale, dans l’harmonie communautaire pour un destin meilleur de la société. Oui, de dire les choses, sans excès, sans haine, ni dramatisation, avec un courage qui transcende les intérêts mercantilistes. Dires les choses avec une franchise risquée pour la vie et une détermination soutenue. Donc le combat d’hommes politiques c’est de démontrer qu'on apporte une valeur ajoutée à l'action publique de sa société, qui profite à la nation une et indivisible. Oui, ça c’est notre but, notre objectif, notre visée, atteint ou pas ? C’est notre motivation, notre sacerdoce existentiel.

*- Amnistie générale référendaire n’est pas distincte de l’état de droit souverain «elle émane du droit des droits».

 

Donc nous disons que pour un peuple souverain, uni, solidaire et synergique , vouloir tourner une page de crise sociale, souverainement, légalement, légitimement pour aboutir à la stabilité sociocommunautaire et à la paix sociopolitique, nécessite la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociale, et c’est donc là, qu’un peuple souverain doit savoir et pouvoir tout «sacrifier». Et la politique internationale de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité, qui transcende de droit l’accessoire responsabilité personnelle ou individuelle pour siéger au cœur de la responsabilité du chef hiérarchique commanditaire et donneur d’ordres, sans lesquels le crime ne serait jamais commise, ne peut pas malgré tout, obstruer la souveraineté de l’Amnistie générale référendaire consentie par un peuple souverain, à la recherche du pardon mutuel au terme de Sa crise sociopolitique. Cette Amnistie générale référendaire n’est pas distincte de l’état de droit souverain, et du droit international général «le droit des relations interétatiques». Bon ! Ainsi se faisant ou chemin faisant, le monde pourra accompagner la côte d’ivoire unifiée, réconciliée, dont les filles et les fils parlent de la même voix dans leurs désir de paix sociale et dans la recherche soutenue de la stabilité politique, celle économique qui est de par le monde, la résultante de la stabilité, de paix sociopolitique suivra ou pourra suivre. 

 

Oui, il est évident que, la communauté internationale composée de nations souveraines ne peut absolument pas prendre une position ferme et ne peut rien dire ou rien faire, si les citoyens ivoiriens et les acteurs politiques ivoiriens ne se mettent pas, eux-mêmes, ensemble dans un processus de fédération de toutes les forces régulatrices et se dire la côte d’ivoire d’abord. C’est une constance réciproque de la règle qui régit les rapports dans ce cas, la communauté internationale à tout état souverain membre qu’est de dire: «qu’il ne convient pas d’aller contre la volonté d’un peuple souverain consentant. Tout au moins, c’est ce qu’elle a soutenu en 1933 quand Adolf Hitler s’est fait élire le 05 Mars 1933 avec 43,91% des voix.» Donc nous ne sommes ici, ni alarmiste, encore moins insulteurs, mais nous avons les mêmes germes de crises qui ont conduit à la crise «guerre» de 2002, 2011. Ce qui signifie en clair que la crise risque de s’aggraver, qu’elle n’est pas derrière, qu’elle est à nos côté, évoluant sur son terreau fertile grâce aux mentalités politiciennes démodées, vers sa répétitions sempiternelle. Oui, les discours nombrilistes, «c’est l’autre, ce n’est pas moi, et la prison ne concerne que l’autre, moi, je ne suis pas concerné» ne peuvent occultés en aucune manière, le fait que la crise demeure à nos côté dans une société anarchiste-abracadabrantesque, déviationniste, à la dérive des dépravations des mœurs. D’où chaque jour elle «crise» est un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris à la haine de l’autre et dans un système politique absolutiste, qui abhorre les différences d’intérêts politiques, idéologiques, dogmatiques, sociales. En se privant ainsi de l’expérience des autres et du débat collectif de la société diverse dans sa multiplicité. Bon ! On ne se tait pas pour sortir par la bonne porte d’une crise sociale. «DONC, PAUVRE-DE-CÖTE-D’IVOIRE, PAUVRE-DE-MOI, J’AI KOUMA». Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*- UN LIBRE KOUMA POUR LA PAIX EN CÖTE D’IVOIRE: De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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