Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 juillet 2022 7 31 /07 /juillet /2022 19:42
 Lepetitfils : Un processus électoral normal quel que soit son théâtre ou son occasion, partidaire, local ou national doit préfigure l'harmonie qui doit régner dans une Nation, dont la souveraineté a été définitivement restaurée, par ce processus électoral sans aucune violence. Donc, l’Affaire de cette malbouffe électorale est donc gravissime à tous points de vue. L’enjeu ce sont les élections ivoiriennes à venir dans le temps et dans l’espace.  L’enjeu c’est notre vie démocratique en commun. Ou le citoyen contrepoids aux dérives de l’absolutiste totalitaire, choisira librement ses représentants.

Lepetitfils : Un processus électoral normal quel que soit son théâtre ou son occasion, partidaire, local ou national doit préfigure l'harmonie qui doit régner dans une Nation, dont la souveraineté a été définitivement restaurée, par ce processus électoral sans aucune violence. Donc, l’Affaire de cette malbouffe électorale est donc gravissime à tous points de vue. L’enjeu ce sont les élections ivoiriennes à venir dans le temps et dans l’espace. L’enjeu c’est notre vie démocratique en commun. Ou le citoyen contrepoids aux dérives de l’absolutiste totalitaire, choisira librement ses représentants.

*- Chronique «Kouma» : Tocsin pour la jauge électorale qui a montré le rouge.

Oui, sur une simple élection de structuration partidaire, la jauge de l’instabilité sociopolitique a donné sa graduation de rouge en l’état réel. La représentativité locale ou communautaire a été sacrifié sur l’autel du pouvoir absolu et de l’intérêt particulier, la cantonade du parti attrape-tout ostensible, ont poussé à leur pions préféré, «violences et affrontements avec gourdins, machettes, urnes cassées, listings truqué, trucage de vote, déchirures des documents» ont passés dans la casserole de la défense absolu des intérêts personnels». Selon la presse qui ne souffre d’aucune crédibilité, les citoyens ont retenus leurs souffles, de Touba à kounahiri, de Danané à Koro, de Ouaninou à sandégué, d’Anyama a partout dans le pays. Les faits de violences électoraux démodés dans un système vermoulu d’accession aux postes électifs contraire aux principes universels, ont prouvé que notre pays s’est écarté du droit chemin de la réelle démocratie, au mépris des règles conventionnelles, coutumières, universelles. Que notre pays a dévié de la seule route praticable en matière électorale, pour volontairement se confiné dans un système farfelus de suivisme de pseudo-démocratie moutonnier et dans un  panurgisme électoral de vache qui ne demande qu’à manger. Cette élection primaire à démontrer que la crise n’est pas derrière nous, qu’elle demeure dans la société évoluant à nos côté et que chaque jour, elle est un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris à la haine de l’autre, et dans une organisation sociopolitique, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc. Que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine.

Puisqu’en politique, en démocratie, il n’y a pas de petites élections, quand il s’agit de jauger le degré de fiabilité de la culture électorale et de la mentalité démocratique nationale. La côte d’ivoire, notre pays bat toujours la chamade, sous 12 ans de gravats de dénies d’élections ou de trucages électoraux, où valeurs démocratiques, électorales, et sociopolitiques sont en ruine, la société en péril. Oui, au vu du degré rouge de la jauge teste, chaque citoyen vit, rempli d’appréhension. Surtout quand le chef de la cantonade et ses séides fraudeurs entonnent la ritournelle de la rhétorique d’autosatisfaction autour des élections truquées de 2010 à ce jour. Donc, Revoilà le peuples ivoirien aux aguets à tout redouter des inconséquences d’un processus électoral politicien, non-maîtrisé, dérivant vers un but que les séides fraudeurs de la cantonade, tenant de l’orthodoxie des élections truquées, sont incapables de préciser, emportés vers les crises électorales sempiternelles qu’ils sont, par le courant des intérêts particuliers à défendre. Oui, la jauge teste de la fiabilité électorale plongé dans les élections de la cantonade au pouvoir a montré le rouge, degré annonciateur de la couleur des futures élections nationale. Les séides du chef font semblant de s’embrasser et s’arrachent les nez à coups de dents, le trucage est passé-là. Et les Crocs exhibés, dissuasifs ou d’attaques des séides demeurent dehors. Bon ! Ici, nous sommes face à une constance, qui veut que,  «le poisson pourri par sa tête».

*- Ces fichus politicards nous ont encore servie la malbouffe électorale dans toute l’assiette territoriale du pays.

Oui, dans la vie sociopolitique, comme dans vie la démocratique et électorale, quand l’autorité de direction ne s’est pas imposée d’entrée de jeu, comme model référentiel, quand chaque tenant partiel du pouvoir de direction, ignore quelle est la logique partidaire poursuivie, quel est son rôle réel et précis dans cette architecture partidaire, même instable et confuse, l’esprit des intérêts sectaires  devient fou et dangereux. Avec un chef de canton aux aguets et souvent hallucinant sur tous les faits partidaires, avec comme solution la politique d’attrape-tout et de cooptation, face aux élections, petites soient-elles, mêmes internes ou partidaires. Donc le chef de la cantonade devient anxieux de sa survie éternelle qui en dépend et partant indécis dans l’action politique et interventionniste à tout bout de champ dans les affaires internes partidaire qu’à l’accoutumée. Et la composante du canton aussi devient plus agitée, plus extatique, qu’un bordel militaire de campagne sur la ligne de front mal délimitée. Ou tous les séides vendent des gages partout auprès du chef du canton, mais aussi auprès d’une opinion publique qui volage que jamais face à des violences commises par les séides de la cantonade. Et dans cette situation sociopolitique, volcanique, ou la cantonade et ses séides ont les leviers du destin de la nation en mains, d’aucuns s’étonneraient encore, que dans un tel contexte socio-politico-électoral, que la totalité sociale soit devenue une immense pétaudière. Malgré, cette existence d’entretien des conflits d’intérêts avec toujours des violences électorales, qui émane de cette culture politique du confus, cette pratique politique absolutiste, cette défense éperdue des intérêts partisans, pour pouvoir servir la table des convives nocturnes de tous les membres de la secte. «Pauvre de nous, citoyens libres », ces fichus politicards nous ont encore servie la malbouffe électorale à ciel ouvert dans toute l’assiette territoriale du pays.

Et avec toute cette catastrophe électorale, des séides du chef de canton, faiseurs de couillonnades, plantée du haut d’un système clownesque, au terme des dénies d’élections, qu’ils aiment à qualifie d’olympiade démocratique et de consensus national, soutenu en cela par des chasseurs de primes, hélas ! Ces siedes-là se croient olympiens du jeu démocratique. Alors que leur olympiade démocratique est assise sur la fraude et la violence électorale. Agbô ! Oui, a par «votre SIKA-Gnamien-kan», y a rien dans vous. De quoi dire encore Agbo ! Oui, sachez que la violence électorale est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Elle est l'affirmation en acte de la volonté de certains politiques d'infléchir et de corrompre le destin d'autrui. La violence électorale est fondamentalement, un mode de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. La violence électorale est considérée comme source d’illégitimité, parce que contraires à l'idée d'ordre social et politique. Donc, les manifestations de violence électorale sont des stigmates d'une mentalité archaïque, démodé ou voyou. Parce que le processus électoral se veut conservatoire de vertus civiques, qui renforce l'obligation pour l'individu de donner à son activité électorale une orientation qui tienne compte de son insertion dans la société citoyenne, par des liens d'interdépendance qui le rattachent à ses concitoyens. Le processus électoral devient dès lors une sorte de laboratoire civique qui impose aux électeurs un renforcement de l'autocontrainte. Le processus électoral devient le point de départ d'un procès de diffusion des différents comportements définissant le bon citoyen. Et la communauté des individus ne fera plus qu'une avec la société des citoyens. D’où il n’y a point de violence en politique, en démocratie, aux élections, et dans la société.

*-Le triomphe de l'idéal démocratique disqualifie à jamais tout projet d’incivisme sociétal et de violence électorale

Retenons-le depuis 2010, les corps humains ne cessent de joncher nos rues au terme des élections d’appellations démocratiques. Il est temps de penser à nos morts électoraux et par conséquence de remédier au mal «oui, ceux qui ont disparu à tout jamais n’existent plus que par nous et dans la pieuse fidélité de notre mémoires. Si nous perdions leurs souvenirs, ils n’existeraient plus du tout, si nous commencions à oublier les citoyens morts pour la démocratie et la paix au terme des élections, ils seraient anéanti une deuxième fois». Donc, le postulat du devoir et l’obligation d’objections morales s’impose, face à cette situation sociopolitique dont la persistance bafouerait les morts et ferait des vivants des cyniques. Oui, l’idéal absolutiste et le festival honteux d’une petite élection partidaire, mais a valeur de jauge des élections nationales, a imprimé sa graduation de couleur rouge du sang a ce petit évènement de jauges électorales, démocratiques et politiques, qu’est la structuration d’un parti qui détient la clé des élections nationales. Oui, à ce malheureux évènement, seul à manquer le nouveau ballon de Foot électoral. Oui, la civilisation qui veut que, le triomphe de l'idéal démocratique disqualifie dans la société et à jamais tout projet d’incivisme démocratique et de violence en politiques a été gommée et dégommée, dans cette élection interne de structuration partidaire.

Oui, l’idéal civilisation-nelle des élections démocratiques, accrédite l’idée, qu’il doit exister des processus d’élections qui ne passent pas par la politique politicienne. Creuset des violence sociopolitique et fruit des rapports de forces d’animosité fondé sur la défense des intérêts particuliers, pour l’acquisition, la confiscation, et l’exercice du pouvoir, au mépris des règles démocratiques et en dépit des droits inaliénables du peuple à disposer de lui-même. D’où, l'interdépendance ainsi que la forclusion de la violence imposée au citoyen de passer par la reconnaissance pleine et entière des devoirs liés à l'appartenance citoyenne commune à un corps électoral. En instaurant une forme inédite de coprésence civique, que symbolise la fusion des bulletins électoraux dans une même urne, de même que le résultat qui les agrège. Ce processus électoral quel que soit son théâtre ou son occasion, partidaire, local ou national doit préfigure l'harmonie qui doit régner dans une Nation dont la souveraineté a été définitivement restaurée, par un processus électoral sans aucune violence. Donc, l’Affaire de cette malbouffe électorale est donc gravissime à tous points de vue. L’enjeu ce sont les élections ivoiriennes à venir dans le temps et dans l’espace.  L’enjeu c’est notre vie démocratique en commun. L’enjeu c’est le droit inaliénable du peuple à disposer de lui-même, l’enjeu c’est notre Avenir, l’Avenir de  Nos filles et fils, de nos petites-filles et petit-fils, de nos arrière-petites-filles et arrière- petits-fils.

*- On doit s’inscrire résolument sur le registre des valeurs qui fondent l’organisation d’une société démocratique.

Oui ! En matière électorale et politico-démocratique, là où est l’autorité, là est aussi le responsable de défaillances. Oui, le système de TRUCAGE électoral n’est pas de la politique, mais de la vraie criminalité des hommes ripoux et mafieux, inscrit dans une logique des compromissions alimentaires qui œuvrent dans l’interpénétration des affaires mafieuses dans la politique. Et surtout qui n’aiment pas admettre s’être tromper dans leurs actions funestes et mortifères. Ainsi, ils accordent peu d’importance à la démocratie, au nom de laquelle trop de sang innocent a été versé en côte d’ivoire. Ils sacrifient ainsi l'avenir de toute une nation ivoirienne sur l’autel de la conservation des intérêts personnels, ou de l’acquisition des intérêts égoïstes. Ils n’accordent ainsi aucune importance au bonheur du citoyen et de tout homme vivant dans notre pays la côte d’ivoire. Un Bonheur qui ne peut être réalisé sauf qu’en mettant l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, pour l’avènement d’une société plus juste. Qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du progrès de la société commune, d’une société plus cohérente, d’une société plus égalitaire, d’une société plus humaine, d’une société plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous et respectée par tous, sans condition autres que celles prescrites d’intérêt général pour tous. La côte d’ivoire a besoin de pacifisme, de régulation sociale et de consensus.

Le peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état, doit rester maitre de son destin au mépris de la volonté des tenants de pouvoir d’état, qui adorent la violence électorale. En politique, le citoyen qui veut le pouvoir du peuple, doit parler au peuple, dans le respect des normes de régulations sociopolitique et dans le respect des règles démocratiques et électorales universelles. Et ce citoyen devenu gouvernant, doit constamment à chaque occasion de crises sociopolitiques faire la preuve de sa légitimité populaire, de sa légalité juridique. Et de démontrer qu’il apporte des valeurs ajoutées à vie de la totalité sociale qui profitent à la nation devant le peuple souverain, seul et ultime détenteur du pouvoir. C’est ça la démocratie ! C’est ça gouverné ! Avec le consentement du peuple souverain gouverné, qui obéit par conviction. Oui, l’ivoirien doit espérer de demain en refusant aujourd’hui de s’inscrire sur le registre des violences et trucages électoraux funestes, des fossoyeurs de la démocratie, des gens qui ne s'intéressent pas à l'homme, mais à Dieu-argent. Des gens qui aspirent ostensiblement à une société de criminalité économico-sociopolitique, qu’ils nous proposent, dans laquelle tout est monnayable à un prix, même la vie humaine. L’ivoirien doit refuser la violence et l’enfermement électoral dans un système démocratique et électoral mafieux. Ou la quête de la Bouffe est l’ambition première de l’homme politique. L’ivoirien doit s’inscrire résolument sur le registre des valeurs qui fondent l’organisation d’une société réellement démocratique, une société commune, harmonieuse, homogène, du vivre en commun politique et démocratique de libre partage. *- « Soulignons que, le rejet de la violence en politique en tant que mode d'action électorale impose de créer des conditions systémiques annihilant, susceptibles de dissiper la menace des violences dans le corps social. La mise en place d’un système électorale définitivement fiable qui rassure tout le monde dans l'activité électorale doit occuper, à cet égard, une place primordiale et déterminante. Le système électoral tendra alors ainsi à opposer à la conception  vindicative de la force matérielle, une autre conception : celle d'une adhésion  commune, consensuelle et intime, par laquelle s'établit pacifiquement le mécanisme politique et électorale de la délégation du pouvoir sans violence ».

*-l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison.

Oui ! L’ivoirien doit espérer de demain, en évitant l’absurde électorale aujourd’hui, qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger, par des pratiques de trucages électoraux à ciel ouvert, accompagner des viols répétés des normes de régulations sociopolitiques préétablies. Pour nous, il n’est pas sain aujourd’hui d’être partisan d’une violente politique et électorale, porteuse de honte dans l’avenir. Oui, l’ivoirien doit espérer de demain ! Parce que, nous restons convaincus, qu’un jour viendra certainement, où nous pourrions ouvrir sur un autre soleil sans violation, les yeux de nos sœurs et frères, de nos filles et fils, de nos petit-fils et petites-filles, sur cette terre autrefois paisible, que nous ont légué nos devanciers politiques, et nos chers ancêtres. Et ce jour-là, nous chanterons tous ensemble un véritable hymne en l’honneur des véritables fers de lance de la nation martyrisés, tombés au cours des élections violentes et criminalisés. Donc, ici et maintenant, il est impératif, pour tout citoyen ivoirien de souscrire résolument, tous ensemble solidaire, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions pour réussir l’impossible, l’impensable, le miracle et pour relever le défi sociopolitique en faisant bouger synergique-ment la ligne, au terme de l’idéal d’un réel cadre de Dialogue avec la participation de toutes les forces vives de la Nation. Le lien social est éminemment politique et doit être régi par le consensus national. Donc, pour aborder tous ensembles les questions clés qui porteront sur des sujets d’intérêts nationaux et de souveraineté nationale absolue, de stabilité sociopolitique, de paix nationale et internationale.

Notamment les questions sur: *- La mise en œuvre d’un véritable processus de réconciliation qui prendra en compte le bon retour des exilés et la libération des prisonniers politiques et leurs subordonnés militaires. *- L’indemnisation conséquente des victimes et de leurs familles d’ayants droits respectives. Qui exige l’élaboration d’un vrai système de dédommagement de toutes les victimes de la crise querellée de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour. *- L’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement indépendante et Apolitique. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel. *- Le découpage électoral. *- Donc, Ré-ouvrir le dialogue sociopolitique sincère *- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, *- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral bancal, manifestation du dégout citoyen pour la chose sociopolitique et partant pour la chose électorale.*- Et d’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. *- Donc, œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales, de tous les citoyens et de la loi, dans l'indispensable reconnaissance de l'autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison» *- Le rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative. *- Transformer notre pays pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde. « Sur ceux et à la suite d’une colique issue d’une petite Malbouffe électorale à nous servie sciemment, nous avons KOUMA ». Que la nature protège la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
21 juillet 2022 4 21 /07 /juillet /2022 02:27
La Légitimité Citoyenne, « Citoyen et républicain social «LC-CRS», mouvement d’utilité citoyenne, «doublement centriste», né à partir d’un besoin d’utilité citoyenne « stabilité et paix sociopolitique », face à l’ébauche d’une crise en 1994, après avoir existé sous diverses dénominations «d’association de jeunesses-H» à partir de 1983. Nous abhorrons le rigorisme inflexibles des clivages politiques, notre éclectisme impassible s’accommode peu avec la défense des appartenances d’intérêt particulier, l’antagonisme de la division dissolvants. « Légitimité Citoyenne LC-CRS ».

La Légitimité Citoyenne, « Citoyen et républicain social «LC-CRS», mouvement d’utilité citoyenne, «doublement centriste», né à partir d’un besoin d’utilité citoyenne « stabilité et paix sociopolitique », face à l’ébauche d’une crise en 1994, après avoir existé sous diverses dénominations «d’association de jeunesses-H» à partir de 1983. Nous abhorrons le rigorisme inflexibles des clivages politiques, notre éclectisme impassible s’accommode peu avec la défense des appartenances d’intérêt particulier, l’antagonisme de la division dissolvants. « Légitimité Citoyenne LC-CRS ».

*- Chronique «Kouma» : On veut plus de juridisme qui trouble l’ordre social.

(Bon ! Que dire d’emblée, sauf que la côte d’ivoire, depuis le 24 décembre 1999, est le creuset des : Constituions alibi et paravent justificatif, est le lieu de Forum de réconciliation foiré, et des accords politiques inter-ivoiriens de toute sortes, et de tout cadres, « accord de Lomé, accord de Linas- Marcoussis, accord de Pretoria, accord d’Accra, accord de Ouaga », et toujours transcrits dans les registres validant, de l’ONU, de l’UA et de la CEDEAO, en emportant ainsi, droits et statuts d’accords internationaux. Au surplus des évènements sensé conduire à la paix, «Flamme de la paix à Bouaké les 30 et 31 juillet 2007, Commission Dialogue Vérité et Réconciliation (CDVR) ». Mais non ! Demain sent toujours la poudre de la fracture sociopolitique. Oui, la côte d’ivoire est dans la nasse, notre pays est dans le pétrin d’un merdier conflictuel, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, peine à monter à la surface d’une abyssale crise sociopolitique voulue, par un manichéisme sociopolitique, qui a atteint le summum de la sado-perversité. Oui, cette crise n’a été possible, n’a pu se concevoir et se faire, que dans la seule hypothèse, ou notre pays est devenu l’ombre de lui-même, par la faute des politiques carriéristes, primaires, cyniques, et obscurantistes. Oui, les difficultés que les diverses communautés nationales éprouvent à vivre pacifiquement ensemble, sont souvent dues aux multiples tensions attisés par les hommes politiques faute de dialogue inclusif. Or, c’est ce qui risque d’être fatale pour la côte d’ivoire et pour le citoyen ivoirien, s’il doit exister par la côte d’ivoire souveraine dans le concert des nations. Bon !)

*- Un communiqué qui confine les citoyens dans l’appréhension, que l’accalmie précède l’orage et la tempête.

Bon ! Nous ne sommes que dans l’après-Midi de l’élection présidentielle d’octobre 2020, qui est le lendemain de celles de 2010-2O11 et nous, nous interrogeons sur celles de demain. Donc, nous ne sommes pas contre le dialogue politique et la réconciliation nationale, mais nous sommes pour la paix sociopolitique, garantie dans le temps. Donc, pour arriver au terme d’une recherche inlassable parfois ingrate à cette paix sociopolitique, il faut inexorablement dialoguer dans l’ordre du public autour de la chose sociale. Qui ne doit pas être considérer comme une plantation privée de quelque composante sociétale quelle qu’elle soit. Et dans l’ordre du public, autour de la chose sociopolitique, qu’est l’espace de droits pour tous, le consensus doit être de rigueur. Dans l’élaboration des normes de régulations sociopolitiques et d’aller ensuite a de bonnes élections réellement démocratiques, qui sont de notoriété publique source de paix sociopolitique. Avec l’acceptation réciproque sans exclusive des ambitions milles fois légitimes de candidatures aux différentes élections post-réconciliation nationale. Et pour se faire, pour y arriver, il s’impose à chaque camp de combattre les extrêmes qui se cristallisent à son sein et qui pourrissent la vie sociopolitique. Quand bien même, il ne serait peut-être pas possible, de transformer par un coup de baguette magique, des aveugles absolutistes délinquants en démocrates loyaux, ou en républicains respectueux des valeurs conventionnelles. Mais, ici, les positions intéressées des extrêmes, de certains clans politicards, peuplé de ripoux rafistolés à des intérêts pécuniaires, égoïstes, égocentriques, devenus sourds, peuvent empêcher chemin faisant, le dialogue sincère inclusif, de tous ensembles unies, vers une réconciliation, pour un exercice honnête du noble art politico-démocratique sans violence armée. Oui, un exercice plein et entier qui exprime la souveraineté du peuple.

Le peuple qui recouvrera ainsi sa souveraineté totale, qu’il confiera à qui, il veut au terme de ces élections devenues ainsi véritablement pluraliste et démocratiques, respectueuses des droits inaliénables et règles démocratiques. Oui en convenons-en, le consensus national qui conduit aux élections démocratiques, transparentes, équitables, libres et justes, avec les valeurs de solidarité sociale et d’harmonie communautaire, que cela sous-tend inculqué au peuple souverain, par une écoute sérieuse des politiques, peuvent constituer la sève nourricière de la construction d’une nation ivoirienne redevenue paisible, harmonieuse, dans un monde en perpétuel mouvement. Il est constant et irréfragable de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise. C’est la même chose pour l’outil démocratique, qui mal exploité peut tuer les droits inaliénables, les libertés individuelles et peut conduire au bain de sang humain. Donc la démocratie doit être assise sur le droit et sur la liberté. C’est là que le tout  ivoirien, se voit dévolus un rôle essentiel, primordial, existentiel, devant l’histoire et devant le monde entier, aider la démocratie ivoirienne à obvier les crises sociales qui peuvent entrainer des bains de sangs, aider la totalité sociale souveraine, à bâtir les droits inaliénables, les libertés individuelles, la paix sociopolitique pérenne Houphouët-ienne

*- Prenons conscience que la crise ivoirienne est une honte pour la philosophie politique de Félix Houphouët Boigny.

Donc disons-le net, il est constant de par le monde que, la grandeur politique ou électorale d’un homme ou d’un partis politiques, n’est pas dans la foule qu’il peut drainer dans ses meetings politique, soutenus par des brigades d’acclamations, mobilisées par des frais tirés dans les caisses publiques de l’état et au cours de ses campagnes. Ou même dans sa capacité a entrainé tous les politicards, renégats, nihilistes, iconoclastes, ripoux politiques du pays dans son sillage. Mais la grandeur électorale d’un homme politique, est dans la confiance dans ses actions politiques d’intérêt général exprimé dans les urnes électorales par le peuple souverain. Et dans sa capacité d’orienter le peuple souverain, dans la cohésion sociale, dans l’harmonie communautaire et dans la paix sociale pérenne, sans violences aucune quelle qu’elle soit. Avec l’anticipation dans le temps des perspectives d’un avenir meilleur, paisible, commun et partagé. La grandeur d’un homme politique ou des partis politiques est toujours matérialisée par un vote massif d’adhésion, au cours des élections démocratiques, « 50% de l’électorat total au moins», sans aucune saugrenuité.

Ainsi, le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, valide le processus par un taux de participations largement majoritaire a plus de 50% de l’électorat total inscrit sur la liste électorale. Et par un pourcentage obtenu dans ce taux de participation par l’homme politique ou les partis politiques au terme d’une élection démocratique, transparente, juste, équitable et pluraliste. Donc, la grandeur d’un homme politique ou des partis politiques se trouvent là et pas ailleurs. Donc tous ensembles unis, optons pour le dialogue largement inclusif, pour obtenir une vraie réconciliation nationale, gage des élections crédibles. Au cas contraire les mêmes chaos sociaux sempiternels continueront dans notre pays, au moment où une clique de ripoux politicards se sucre sur le dos du peuple. Oui, prenons conscience cette crise est une honte pour la philosophie politique de Félix Houphouët Boigny. Donc, méfions-nous tous ensembles « ivoiriens » d’une conversion de notre société autrefois paisible, et d’harmonie inter- communautaires, de cohésion sociale et de paix sociopolitique pérenne héritée de Félix Houphouët Boigny, en un clanisme mafieux, politicard, renégat, nihiliste, iconoclaste, de ripoux politiques, a la recherche éperdue d’intérêt particulier, de petits terrains partisans, sectaires, obscurantiste, communautaire, régional, religieux, tribal, ethnique à des fins d’ambitions politiques. Sinon de conquête ou de confiscation du pouvoir d’état dans la durée temporelle.

*- Dans une nation en crise sempiternelle, le redressement des griefs sociétaux annihile le désir de vengeance.

Oui, allons au dialogue sincère non-politicien, pouvant aboutir sur une vraie réconciliation nationale, dédouanée de scorie passéiste, de tapis politicien glauque et visqueux, et de boues rependues. Et boucler le tout par une Amnistie générale référendaire unificatrice et fédératrice. Parce qu’il est constant en politique que, la souveraineté nationale, la dignité humaine, le progrès social, le développement économique de la nation et de chaque citoyen, la défense de la nation, de la république, et la réciprocité étatique, rien de tout ceci, n’a de sens et d’importance, si les diverses communautés nationales et toute la classe politique nationale diverse dans son entièreté, ne se reconnaissent pas chacune fièrement et ostensiblement dans une appartenance nationale commune et unique. Oui, si entre les diverses communautés nationales et la nation souveraine, il n’y a plus rien d’autres que, la loi du plus fort. Si entre la nation souveraine et le monde universel, il n’y a plus rien d’autres que l’interpénétration des affaires mafieuses d’une mafia internationale des grands usuriers internationaux dans la politique nationale sensée édicté des décisions souveraines pour la vie de la nation, qui est supposé être sans interférence étrangère et de souveraineté.

Donc méfions-nous de ce clanisme hyper Ambitieux, il n’y a aucune paix possible avec son socle systémique qu’est le mercantilisme ambiant. Il n’y a aucune route avec ces gens-là, d’un Rassemblement vampirique d’affairistes, qui ne reculent devant aucune catastrophe sociopolitique, pour assouvir leur dessein. Ce qui est l'affirmation en acte de la volonté d’un clan, d'infléchir, de corrompre, le destin de la nation et du peuple, pour le réduire à leur seule exigence politique. D’où leur credo politique compromissoire sans projets, de cadenas-sage au tour du système des élections démocratiques est l'expression la plus antagonique du droit à la stabilité sociopolitique, à l’harmonie sociale et intercommunautaire, à la paix nationale et internationale. Oui, leur crédo est connu, ne pas résoudre les crises, mais les aggraver à dessein, qui dénote non seulement le ridicule politique, mais aussi la bassesse d’ambitions politiques perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs, artisans d’entretien sciemment d’une situation sociopolitique abracadabrantesque. Et ouvriers notoires d’une versatilité effrénée et saccadée, dans l’action politique salvatrice de régulation sociale. Surtout ce agissement est porteur de péril pour la totalité sociale souveraine. Oui, ici, leur pitance est la priorité absolue et le reste on verra bien. Or il est d’une absolue constance indéniable, qu'en politique, c’est en permettant à chacun de poursuivre sans violence le redressement de ses griefs sociétaux, qu’on arrive aisément à désarme la violence. Par conséquence, on arrive à investir le pouvoir politique d’état, d'une force morale immense. Ce qui rend toute entreprise factieuse impossible. Répétons : Ce qui rend toute entreprise factieuse impossible, dispense de recourir à la force en politique. Le redressement de ces griefs sociétaux annihile le désir de vengeance au terme d’une réconciliation nationale post-crise sociopolitique, ou post-guerre.

*- Les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir, pour sauver la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny.

 Oui, au terme d’une crise sociopolitique, permettre à chacun sans violence de voir le redressement de ses griefs sociétaux, signifie pour nous, dédommager les victimes, aller tous unis, au pardon, a l’autocritique, à la contrition et à la repentance. Et de conclure le tout par une Amnistie générale référendaire, qui repose sur le droit international coutumier, «le droit des droits ». Qui tient en l’état, le droit d’application sans frontière, qu’est le droit international des droits de l’homme, avec sa politique humaniste de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité. Depuis que le monde est monde ça toujours été comme cela. Nul par au monde, l’humanité n’est allé contre la volonté exprimée d’un peuple souverain. Même en 1933, avec l’élection Adolf Hitler, elle s’est contentée de souligner, qu’il ne convient pas d’aller à l’encontre de la volonté d’un peuple souverain. « Aussi, il faut retenir formellement, que la politique humaniste de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité, est l’apanage des défenseurs des droits de l’homme, qui veille dans le respect strict des exceptions, sur les valeurs prescrites que toute l’humanité s’est donné».

Donc, une Amnistie générale référendaire, s’impose à tous. Sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence dans les affaires souveraines d’un autre état devenu paisible. Une paix instaurée souverainement, consensuelle-ment, et unanimement par la totalité sociale de ce état souverain, au terme d’une Amnistie générale référendaire, voté par un peuple souverain. Oui, elle  s’impose à tous, sauf à vouloir voir de très près, les couleurs des murs de la MACA nationale, dans l’attente d’une prise de conscience, de la souveraineté absolue d’un peuple sur les affaires intérieurs de sa nation libre et souveraine. Puisqu’il est d’une constance indéniable, de par le monde que : Quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire consentie par un peuple libre, peut ramener à l’amour, à l’harmonie communautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre sociopolitique, à la paix sociale pérenne, et au respect des lois prescrites, ceux qu’une inflexible sévérité politico-judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est recommandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre social, dans la stabilité sociale et dans la paix nationale et internationale, tout est inextricablement liée. C’est pourquoi tous les grandes nations ont eu recours à cette valeur.

Les ivoiriens unis, solidaires, en mettant en commun volontés, idées, pensées, actions, peuvent réussir l’impossible.

Donc, pour nous, «a la légitimité citoyenne», un dialogue se doit d’être peuplé de discussions franches sans tabous, de soins et pansements des plaies sociales béantes et puantes, de rafistolages du tissus sociocommunautaires, de désaccords politiques maîtrisés, du respect de l’intérêt général de la totalité sociale, de compromis sociopolitiques réalistes d’intérêts nationaux et de coopérations de tous entre tous, pour que chacun soit restaurer dans ses droits inaliénables. Et aussi pour nous, «échanger dans la vérité sur les points de vue de toutes les grandes questions de la nation», cela inclus la sécurité nationale, au moment où les criminalités transfrontalières sous couverture religieuse, volent en escadrille dans la sous-région Ouest Africaine. La lutte contre le trafic de drogue «des tonnes de cocaïne», constamment dans nos cités, en passe de devenir une vraie passoire, cela pour que la vie sociale ne soit pas droguée à la cocaïne des narcotrafiquants. Et le trafic d’être humain, comme les 8 jeunes filles mineures, convoyées de leurs Nigeria natal pour la côte d’ivoire, destinées à une activité de mœurs dépravée, et interpellées dans le nord ivoirien, cela pour ne pas que, comme d’autres l’ont déjà dit que « les seins et fesses n’aient plus de valeurs que l’intellect dans notre pays », notre pays qui ne peut s’accommoder avec la moutonnerie du proxénétisme ambiant, immoral et amoral. Et aussi «échanger dans la vérité sur les points de vues de toutes les grandes questions de la nation», suppose de se pencher sur des mesures capables de restaurer la cohésion social et intercommunautaire, de restaurer la confiance et la solidarité agissante entre ivoirien et dans tout le système de l’organisation sociale, et un processus électoral, qui rassurent tout le monde. Et ensuite de s’inscrire tous résolument dans la logique de la seule voie praticable vers une vraie réconciliation nationale, vers la stabilité et la paix sociopolitique en côte d’ivoire.

Une solution principale, pyramidale qui n’a pas de succédané et un tout inextricablement lié convergent vers la stabilité politique. comme suit: 1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques, 3)- Ouvrir le dialogue social sincère 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, 5)- élaborer un vrai système de dédommagement de toutes les victimes de la crise querellée de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour. 6)- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale devenue fiable. Mais hélas ! Pour nous, le frottement des 3 grandes montagnes de la politiques ivoiriennes, à contribuer au terme d’un communiqué laconique de maintenir les craintes, mêmes sur les accessoires, «équilibrage du découpage électoral, brossage et restructuration du conseil constitutionnel, commission électorale, liste électorale, d’un pays de 30.000.000 d’habitants et 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral, manifestation du dégout citoyen ».

Un communiqué expéditif et lapidaire qui maintien la question de savoir, qui décide, qui a l’initiative, à quel niveau ça va ou ça doit se décider, de qui ça dépend et de quoi ça dépend, etc. Malgré un système institutionnel de gestions électorales confligène et un cadre organisationnel opaque des élections, qui ne rassure personne et qui exige solution et urge remède. Oui à défaut d’un acte concret inscrit dans une dynamique de paix sociopolitique, qui pouvait solutionner la crise, les citoyens sont restés dans l’appréhension, sachant avec conscience et fort des antécédents que, les sociétés humaines progressent non pas de façon linéaire, mais par fracture aussi imprévisible que le tremblement de terre. Que ceci est valable pour sa société ivoirienne qui peine à monter à la surface d’une crise *- Retenons-le, la crise n’est pas derrière nous. La crise demeure dans la société a nos côté et chaque jour elle est un peu plus visible, parce que  logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris a la haine de l’autre et dans une organisation sociopolitique, qui abhorre les différences sociopolitiques, pour n’adorer que le clanisme des appartenances affairistes, de copinages, de concussions, etc.

Donc c’est parce que, nous vivons une accalmie qui précède l’orage et la tempête, et que nous tendons vers une nouvelle crise sociopolitique certaine et le pire des périls sociétal guette la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qu’il y a urgence à remédier au mal sociétal. Oui, si nous voulons obvier d’autres crises sociales plus graves, une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire est la seule voie possible de droit. Oui, il est constant de par le monde, qu’en politique, qu’en démocratie, et dans l’ordre du public, ou il s’agit de la chose publique ou de l’intérêt général, tout doit être consensuel, et le referendum est le meilleur outil d’expression de la souveraineté populaire. Ou le peuple souverain agit alors dans sa souveraineté pleine et entière, autrement que par procuration politique élective, ou d’adhésion politico-idéologique. Donc au terme d’une vraie réconciliation nationale, donnons la parole au peuple ivoirien, allons chercher la vérité ou elle se trouve dans le peuple souverain, allons chercher le bon remède ou il se trouve et la vérité germera ou émergera, et la côte d’ivoire sera guérie une fois pour toute. N’oublions pas, les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles, cette politique n’a de limite que dans les peuples souverains. Oui, aussi ne l’oublions pas que notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit par une meute de politicards, incapables de s’adapter à l’art du vivre en commun dans le respect des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Oui, les ivoiriens réunis tous ensemble solidaire, en mettant en commun volonté, discussions, idées, pensées et actions peuvent réussir l’impossible, l’impensable, n’importe quel miracle et peuvent relever n’importe quel défi sociopolitique. La crise ivoirienne qui perdure depuis 22 ans pleins, avec des violences armées cycliques, «24 décembre 1999, 18-19 septembre 2002, 2011 et 2020» situe désormais sa solution au stade d’urgence absolue et de l’immédiateté d’intérêt public. C’est de cela qu’il s’agit, ici et maintenant pour la côte d’ivoire qui peine à sortir dans une honteuse crise. 

«La paix n'est pas un vain mot, mais un comportement», a dissuadé nos petits tendons qui n’aspiraient qu’à GNAGA.

Oui, la côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par le régulation intercommunautaire et sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’ordre social restaurer, qui proscrit la loi de la jungle, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la stabilité sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’harmonie intercommunautaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la paix Houphouët-ienne, d’où l’injustice judiciaire est préféré au désordre sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par une Amnistie générale référendaire des faits querellés de 1994 à la date du vote référendaire de cette Amnistie générale consensuelle. Ce qui signifie pour nous, (à la Légitimité Citoyenne, Citoyen et républicain social «LC-CRS,», doublement centriste, mouvement d’utilité citoyenne né à partir d’un besoin d’utilité citoyenne, stabilité-paix, face à l’ébauche d’une crise en 1994, après avoir existé sous diverses dénominations «d’association de jeunesses-H» à partir de 1983. Nous abhorrons le rigorisme inflexibles des clivages politiques, notre éclectisme impassible s’accommode peu avec  la défense des appartenances d’intérêt particulier, l’antagonisme de la division dissolvants. Et surtout, fortement attaché aussi à la légitimité citoyenne et aux droits et libertés des citoyens, nous revendiquons ainsi souvent le droit ponctuellement d’aller en enfer pour nos opinions politiques et de déplaire à certains hommes politiques. Nous n’œuvrons pas dans l’exhibitionnisme visuel et la propagande orale, nous inscrirons nos actions sur le registre de l’efficacité, du durable et du concret. Mais nous sommes disciples d’une philosophie politique de paix et partisane des politiques de paix sociales, quelles qu’elles soient), donc Amnistie générale consensuelle disons-nous, signifie pour nous que, les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain «l’état républicain de droit», et pour sauver ou orienter, la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny, vers sa mœurs atavique.

Il est question pour chaque ivoirien de soulever sa tête pour dépasser son être pour la patrie déchirée en péril. Oui, tous fondus dans une moule ivoire régulatrice, est l’unique solution invariable. Le combat de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique. Le peuple ivoirien, ne veut plus de juridisme intempestif cyclique et effréné, qui trouble l’ordre de la totalité social souveraine. Donc, disons-nous que, dialogue politique-réconciliation ou pas. La côte d’ivoire a besoin de stabilité sociopolitique et de paix «Houphouët-enne» d’abord. La conquête du pouvoir d’état, ou la recherche de s’éternisé au pouvoir d’état, ou même la personnalisation de fait ou de force, du pouvoir d’état, ne doit pas se faire au mépris de la volonté de la totalité sociale souveraine et en dépit de l’impérieuse nécessité d’y ’aller à la paix sociopolitique. Qui ne doit pas se faire dans une politique, de dévalorisation du reste de la composante sociétale étatique et de la totalité sociale souveraine diverse, en se privant ainsi de l’expérience des autres différences et appartenances ou de l’idéal sociétal commun. Donc nous, nous  répétons, la vie démocratique est l’apprentissage des limites, avec selfs contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible conformément aux règles et aux droit universel. Et l’exercice politique exige l’autocontrôle, l’autocritique, la contrition la repentance. Et qu’à chaque crise, que les dirigeants obéissent aux règles universelles de refaire la réelle preuve de leurs légitimité et de leurs légalité qui en ressort ou qui en dépend.

L’exercice politique exige ainsi le respect de la diversité politique, la pluralité d’opinion, le consensus sociopolitique à toute épreuve, au tour des règles loyales, qui régissent la vie en commun, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir. La détention du pouvoir d’état doit obéir aux respects des droits et des règles préétablies. Oui la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, rabaisser et souffrante, a besoin de stabilité sociopolitique et de paix d’abord. Ce qui exhibe un grand défi politique de recherche de la cohésion sociale, de l’harmonie communautaire, et de la paix sociopolitique. Ici ce qui doit être recherche inlassablement, c’est la Paix, la Paix, et la Paix. (*- La paix ne naîtra que de la paix: non point de la paix conclue après une bataille, mais de la paix débattue sans bataille et érigée en victoire définitive de l'idée sur le sabre. *- La tolérance est mère de la paix. *- La paix n'est pas un don de Dieu à ses créatures, c'est un don que nous nous faisons les uns aux autres.*- La paix n'est pas un vain mot, mais un comportement, etc.) «Sur ceux, nous avons Kouma »… Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
12 juillet 2022 2 12 /07 /juillet /2022 01:26
Lepetitfils : Si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes. Et il faut que, le fondement de cette démocratie soit impérativement le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales, de paix nationale et de paix internationale

Lepetitfils : Si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle, qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes. Et il faut que, le fondement de cette démocratie soit impérativement le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales, de paix nationale et de paix internationale

(Dans une crise sociopolitique sempiternelle entretenue sciemment, on ne se tait pas puis s’en sortir par la bonne porte. Et la litote, le succinct, la brièveté, ne solutionnent pas. La solution se trouve dans le large détail des: Qu’est-ce qu’il y a ? Comment ? Pourquoi ? Et après ? Pourquoi ce merdier ? Et la totalité sociale dans tout ça ? ) Oui, La Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances alors qu’ils en chérissent les causes. Voilà pourquoi l’homme politique doit continuer de parler, parler, toujours parler aux citoyens)

*- Kouma ou Chronique: Il y a trop d’Apories et de Diversions dans mon pays.                                

Donc nous disons que, la politique est avant tout la gestion des hommes, les CV «Curriculum Vitae» ont peu d’importance en politique.  Docteur en ceci, Expert en cela, Spécialistes de notoriété, savant international en tout genre, etc. Tous ceci ne valent que pour leurs sujets scientifiques, que la gestion de hommes transcende pour n’obéir qu’à la parfaite connaissance de la société humaine composite a dirigé, qui sont l’une différente de autre. C’est pourquoi, la politique n’est ni UFR, ni Science-Po, ni Normal-Sup. Elle est une science exacte, un art noble, qui admet sans faux fuyant, les différences sociopolitiques. Et la politique est un concours de représentativité au terme duquel se joue  le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Dès qu’on ne maîtrise pas ceci, il faut s’abstenir de faire la politique, au risque de créer des monstres dans la société. Surtout contre le peuple souverain, qui n’aspire qu’à vivre en paix. La politique n’est certes pas l’UFR, ni la Fac, ni Normal-Sup, ni  Science-Po, mais elle est un noble art, qui s’exerce dans le respect des droits et des règles, ou les meilleurs pour la gestion sociétale ne sont pas souvent les vainqueurs majoritaires, encore moins les plus grands lettrés, «puisqu’on nait intellectuel, et prédisposé a la gestion des hommes». Tous les grands magiciens politiques vous diront que l’exercice de ce noble art est inné.

Et surtout il faut retenir ici que, paradoxalement, ce sont les plus grands malhonnêtes et affairistes mafieux, qui réussissent en politiques Africaines. Ceux qui sont capables de volé le bien public et d’en distribuer à volonté. Donc, nous disons que la politique, n’est pas la bataille entre scientifiques, « docteurs, experts, et spécialistes ». La politique, n’est pas non plus, la guerre entre groupes armés, ni la bagarre entre grands lettrés ou des règlements de comptes entre grands savants, Non ! Rappeur, comédiens, paysans, ouvriers, artisans, commerçants, transporteurs, autodidactes, agriculteurs et analphabètes « qui connaissent à la perfection la société dans laquelle il vivent », s’y excellent avec réussite. Donc la politique est un concours national de représentativité nationale, qui s’exerce dans le respect des droits, des règles et des libertés inaliénables. Et qui se gagne avec l’adhésion libre du peuple souverain, qui demeure le seul socle de pouvoir légitime. Et il est de notoriété universelle, que les plus grands meilleurs gouvernants de par le monde, lettrés ou analphabètes, sont ceux qui connaissent à la perfection la société dans laquelle ils vivent. (Doit-t-on saluer ici Karl Rove, l’architecte de la stratégie gagnante de campagne des Bush père et fils «de gouverneurs à présidents ?» Sa parfaite connaissance de sa société est son unique atout de faiseur de gouvernants.). Pas de stratégies politiques vainqueurs, sans la parfaite connaissance de son objet ou sujet, qu’est la société a gouvernée. Il est ainsi aisé de savoir pourquoi les pouvoir par les Armes impies échouent sur toute la ligne sociopolitique en Afrique. La politique est un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple devenu maitre de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple et le pouvoir d’oppression au service de DIEU l’argent. Ou la cause d’intérêt public n’est toujours gagnante.

Oui, depuis que le monde est monde, les grands dirigeants d‘état qui ont gouvernés dans la durée, ne sont pas les plus grands hommes savant et avertis de la société qu’ils gouvernent, en matière scientifiques, et des rafistolages économico-financières. Les plus grands Lettrés « puisqu’on nait intellectuel de façon héréditaire » réussissent rarement dans l’arène politique, qui obéit a d’autre critère souverain, leur intégrité rigoriste se retourne contre eux comme contre-productif. « Nous saluons Chapeau à la main, les présidents Pascal Lissouba du Congo et Nicéphore Soglo du Benin. Le rigorisme scientifique et intellectuel ne marche pas souvent en politique ». Et réussissent encore moins, les plus grands jongleurs alpiniste, qui cabriolent a toutes les destinations du Monde. Mais les plus grands dirigeants solides, sont ceux qui sont en phase avec la légitime aspiration profonde de leurs peuples souverains consentants. Une aspiration qui s’oppose souvent à la réalité du moment et aux analyses scientifiques et expertises, doctes et esthètes. Ces dirigeants porteurs d’aspiration, qui se plaisent à transporter la voix et la volonté générale de leurs peuples souverains, pourvu qu’elle soit électoralement payante. Le droit inaliénable des peuples a disposé d’eux même le prescrit ainsi, au mépris souvent des irréfragables connaissances scientifiques. Dès lors tant pis, si le gouvernant est Planteur, paysan, Cow-Boy cinéaste, Footballeur, boxeur, comédien, rappeur, musicien-chanteur et/ou enfant de riche ou de pauvre. Le seul validant reste le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir

*- La politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité sociétale réelle.

Le peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état, qui choisit librement son représentant en fonction de ses  critères majoritaires de représentations nationales et de valeurs sociétales. Au terme des élections qui se doivent d’être conforme aux normes internationales. «C’est ça qui est la vérité !». La vérité qui exige aussi, que les règles de l’organisme électoral chargé du déroulement du processus électoral, doivent être consensuelles et universelles, et doivent être mis à l'abri de toute ingérence de la part des pouvoirs d'États. Principalement du pouvoir Exécutif, et l’organisme électoral chargé du déroulement du processus électoral, doit faire preuve de neutralité et d’impartialité totale, qui rassurent tous les participants aux élections. Pour ainsi veiller au respect scrupuleux des règles de droits universels, des valeurs juridique et des principes démocratiques universels. Toujours affirmés et réaffirmer par les instruments nationaux de régulations sociopolitiques conformes aux normes internationales, qui régissent de façon clair la matière des élections démocratiques, pluralistes, multipartites de par le monde. Parce que dans une élection démocratique pluraliste et multipartite, il n’y a pas de parti au pouvoir détenteur du pouvoir absolu de tous décider.

Mais, Hélas ! Malgré tout ceci, la politique ivoirienne offre un dialogue de spectacle stupéfiant, dans un processus de réconciliation nationale époustouflant, de par son caractère voulu de simple formalité exutoire à remplir. « On parle de dialogue et de réconciliation, on se quitte en fanfare, point ». Or, en politique, la vraie politique, le dialogue politique, la paix sociopolitique par une vraie réconciliation à ses exigences d’intérêt général, qui proscrivent le Moi-ou-Rien. Et oblige les politiques d’agir jusqu’à la limite de l’humainement admissible pour l’intérêt général. D’où faire la politique n’a  rien de mafieux, n’a rien d’unilatéral, n’a rien de personnel, n’a rien d’exclusif, n’a rien du moi ou rien. Oui, ici, il n’y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif dans toute l’assiette territoriale nationale, ni tabou dans toute la sphère publique nationale. Ici les politiques s’inscrivent dans la logique rigoriste du respect des droits, du respect des libertés, du respect des règles démocrates, et d’une société de paix pérenne. En politique, la vraie politique, le rôle assigné aux hommes politiques en période de turbulence sociétale est de rendre la société plus intelligible, plus compréhensible. Ce premier rôle d’éclaireur de la totalité sociale les revient. Ils doivent œuvrer à la proclamation des idéaux politiques intransigeants, l’expression forte des convictions idéologiques, philosophiques et doctrinaires «Ni gonflement-dégonflement, ni extase, ni transe, ni casse, ni saccage, ni brulure, ni armes fusils». Donc, toute la primauté est accordée à l’intérêt général de la totalité sociale souveraine.

Ici nous parlons des politiques, qui croient en une idéologie, et ont l’intime conviction qu’elle  servirait au bien de la société dans laquelle ils vivent, et au bien de l’humanité toute entière. Et c’est cela faire la politique et exercice du noble art politique. Oui c’est cela faire la politique, conformément aux règles universelles admises de par le monde. Oui, tout comme la boxe, la politique est un noble art loyal, l’arène politique loin d’être le théâtre des grossiers mensonges, et des fanfaronnades insensées, est le noble lieu du consensus désintéressé, de la recherche de la paix pour la totalité sociale, lieu des débats d’idées, des confrontations d’arguments, des combats loyaux. Ou le politique doit s’inscrire réellement dans une démarche d’éveil de la conscience politique de la totalité sociale. Un politique digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un politique doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses. En se comportant avec exactitude dans l’action politique et en agissant à la limite d’humainement admissible. Donc la politique, c'est l'art de rendre possible ce qui est une nécessité réelle.

*- En politique bien comprise, il n’y a pas de parti présidentiel qui impose tout.

Donc, la politique est la juste appréciation des réalités en s’oubliant soi-même et ses intérêts personnels, au terme de ses prises de positions politiques et sociétales, qui doivent bannir tout comportement clanique assis sur des clubs de soutien ou de brigades d’acclamations à but de confiscation du pouvoir d’état. Répétons-le, ici, le lien social est éminemment politique. C’est pourquoi le lien de rattachement social atavique, le lien de rattachement territorial ancestral, les liens de rattachement Moraux et de mœurs, les liens de rafistolages des fibres intercommunautaires immémoriales des dirigeants politiques avec les peuples qu’ils gouvernent ou prétendent vouloir gouverner, doivent être extrêmement très solides. Ce qui est un gage de la reconnaissance de tous dans leurs originalités absolues à l’intérieure de l’égalité de tous. Cela au-delà des diplômes et spécialités scientifiques. Sinon les crises sociopolitiques sempiternelles, deviennent la règle de gouvernance dans la société. Oui, le sentiment d’appartenance sociale atavique annihile les instincts de violences et de barbaries des plus forts à l’égard des plus faibles dans une société. Et amène les plus forts de la  totalité sociale à organiser la solidarité envers les plus faibles dans la société solidaire.

Oui répétons-le, la compétition politique qui s’exerce dans le respect des règles universelles démocratiques, n’est ni Normal -Sup, ni UFR, ni Science-po. C’est un concours de représentativité au terme duquel se joue  le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Donc, pour un meilleur destin de notre patrie la côte d’ivoire, pour un meilleur destin de tous, et pour un meilleur destin de chacun. Il est temps pour chaque citoyen de se poser la question de savoir que, jusque-là: « Ais-je fais, bien fais pour mon pays ce que le dois ». Oui, le dialogue politiques est un désir de rendre la condition de vie meilleur dans la totalité sociale souveraine, une lassitude des conflits sociaux intempestifs, des crises sociopolitiques répétitives, la crainte des mauvais évènements sociopolitiques funestes et mortifères. Il est la recherche inlassable de la renonciation au désir de vengeance par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé. « D’où la charité bien comprise commence par soi-même, le faiseur de miracle doit pouvoir faire des miracles chez lui-même ». Oui, faire la politique noble art, c’est dissuader et convaincre, c’est persuader, et persévérer, à toute épreuve dans les mêmes positions et discours, c’est persister dans la pire des situations au risque de sa vie. Mais hélas ! Mille fois hélas ! On parle de dialogue politique ivoirien alors que chaque homme politique ivoirien est prêt à liquider son voisin de table au dialogue politique, dans des hallalis des pièges roublards qui volent en escadrilles dans les baffons du dialogue de diversions. Ils opèrent comme des cowboys Américano-mexicain. Tout en épargnant leurs applaudimètres et leurs brigades d’acclamation. Bon ! Une véritable menace pour la société et les citoyens, quoi ! Leurs l’Animosité intolérante, et leurs haines de l’autre, au sein d’une meute de bouffes-tout, sauteurs, arides, soudards, exhibitionnistes, et une horde de cooptés politiques, devenue une clownesque et lamentable cantonade clanique, qui ne songent qu’à japper aux mollets des politiques récalcitrants, rend périlleux la vie dans la société. Leur credo compromissoires de cooptations monnayables, portent en eux-mêmes les germes de toutes les crises sociopolitique, comme les muées portent inexorablement l’orage. 

Oui, retenons-le, le travail du gouvernant, est un métier de gestionnaire des biens publics, de sauvegarde saine des ressources naturelles souveraines, qui exige l’anticipation des perspectives d’avenir de la totalité sociale souveraine dans le temps, et d’obvie les crises sociopolitiques et la course dénaturante effrénée à une vitesse incontrôlée, acculturant, désocialisant, vers un but de développement désordonné. «L’Afrique de l’ouest à ses pratiques politiques exemplaires et à ses bonnes marches de gestions sociopolitiques qui progresse sûrement et a dent de scie, gradué et graduel, «au Ghana et sinon même au Sénégal». Oui, des pratiques et des marches qui proscrivent les dettes astronomiques dépossédant, véritable fardeau social, qui tend vers la systémique  dénationalisation économique des réalisations infrastructurelles». Oui, à l’aune des pratiques universelles, et à regarder à la lampe des lumières que projette le prisme des règles universellement admises de par le monde, dans une élection démocratique pluraliste et multipartite, il n’y a pas de parti présidentiel qui impose tout. Il ne doit pas y avoir un groupement politiques « qui exerce le pouvoir d’état momentanément jusqu’à l’échéance électoral prescrite », qui doit décider du processus électoral unilatéralement. Oui, il n’y a que des potentiels candidats aux élections démocratiques, et des citoyens électeurs libres de tout engagement, ou de la société civile, des partis politiques ou mouvements politiques, qui décident consensuelle-ment tous ensembles unis du processus électoral.

*- Si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie du 21e siècle il faut bannir à jamais l’usage des armes.

Oui, en politique, il est illusoire de vouloir installer un Etat républicain de droit démocrate, là où derrière une république de façade, se cache un système politique absolutiste. D’où l’inutilité d’espérer d’un dialogue politique sincère, d’une vraie réconciliation et d’une paix sociale. Dans ce cas, s’il n’y a pas de régulation de la totalité sociale, c’est une politique politicienne de démocratie de façade qui s’installe en maitre absolue de la totalité sociale.

A –* démocratie de façade parce que, l’arène politique nationale serait fragilisée à l’extrême par l’élément clanique, partisan, tribal, ethnique, régional, religieux et autres intérêts spéciaux mafieux, nationaux ou internationaux.  

-* Démocratie de façades parce que, la complaisance politique intéressée serait toujours présent lors du choix des gouvernants chargé de la gestion des affaires publiques de la totalité sociale et de la gestion des deniers publics.

–* Démocratie de façade parce que, la corruption à grande échelle « ou la me-gestion généralisée » serait toujours au rendez –vous dans les différents sphères de l’Etat dirigé par l’absolutisme qui veut tout le pouvoir sans retenue.

-* Démocratie de façade parce que le magistrat suprême « président de la république et chef de l’état », lié à telle ou telle puissance extérieur auprès desquelles et en contre partie du soutien effectif ou promis, il reçoit directive mots d’ordres et consignes, et avec lesquels il partage les bons procédés de gouvernances par ordonnances Monarchistes et la politique politicienne d’attrape-tout, pomperont à souhait, à volonté le bien public, les ressources naturelles.

 -* Démocratie de façade, parce que, le combat politique loyal pour le développement intégral de l’homme sans exception, et de tout citoyen demeurerait un simple slogan ventiler par les dirigeants absolutistes et dirigistes, pour arriver à leurs fins de vols, de pillages, de défenestration économique, de concussions, de copinages et corruption.

-* -Démocratie de façade enfin parce que, les libertés individuelles et les droits fondamentaux élémentaires du citoyen et de toute personne humaine seront toujours loin d’être garantis dans les faits dans notre pays martyrisé.

*- Démocratie de façade, parce que, la sphère politique, l’espace public, encore moins le pourvoir d’Etat, ne sont pas des plantations d’une meute aride, de ballons de Basket, « BLÄ BLÄ BLÄ», d’une camarilla d’affairistes et dirigiste.

B- Donc il faut avoir le courage politique de réclamer et revendiquer ce qu’est de droit citoyen, de droit républicain

 1-) Il faut que les actions politiques qui gardent des hommes politiques inférieurs face aux supérieurs détenteurs du pouvoir d’état, soit complètement et pour toujours discréditées et abandonnées par ses initiateurs au pouvoir.

2-) Il faut que toute politique qui crée des citoyens complets et des sous-citoyens dans notre pays la Côte d’Ivoires soit bannie à jamais de la sphère publique, de l’arène politique et des conceptions et mentalités politiques.

3-) Il faut que la couleur politique de quelqu’un n’est plus de signification que la couleur de ses idées novatrices.

4-) Il faut que les droits humains basiques inaliénables soient garantie d’une manière égale pour tous, sans attacher d’importance à la couleur politique et à l’idéal sociétale défendu, sans différenciation aucune « ethnique, tribale, communautaire, régionale, « nord-sud et est-ouest,  je suis X, je vais le montrer X, il ne connaît pas X, est un volcan».

5-) Il faut que ces valeurs deviennent une réalité incontournable dans notre pays la Côte d’Ivoire, sinon les rêves d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels il y a point de développement, d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement et d’une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par Félix Houphouët Boigny, demeureront une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable.

6-) Il faut que les citoyens ivoiriens aient le courage de parler dans l’arène politique, comme les citoyens libres et égaux en droit civil et politique de nos dirigeant ivoirien, dirigeants, qui doivent accepter par conséquent la contradiction d’idées, et la confrontation des arguments autour de la chose public et l’opposition philosophique et idéologique. Tant qu’il n’en sera pas ainsi dans notre pays, la Côte d’Ivoire ne connaîtra jamais la paix sociale pérene

7-) Il faut que la pluralité des conceptions politiques et sociétales, les positions idéologiques et morales soient une réalité manifeste et soient considérer comme un enrichissement de la diversité solidaire, au cas contraire les crises sociopolitiques et civiles continueront à peuplé le présent et l’histoire de notre pays la Côte d’Ivoire d’Houphouët.

8-) Il faut que la tolérance réciproque et le respect des différences politiques, ethniques, communautaires, tribales, et régionales « sans ouest-est et nord-sud » d’autrui, soient accepter par tous comme règle de la vie en commun et baliser par des normes de régulations sociales acceptées par tous, qui nous éviteront les crises et de morts à l’avenir

9-) Il faut que la politique ivoirienne ait pour substrat le respect des règles démocratiques, des libertés et du droit universel, pour permettre d’obvier d’autres crises sociopolitiques latentes et des crimes plus graves dans l’avenir.

10-) Il faut que les partis politiques ivoiriens soient des outils citoyens d’intelligences collectives, pour transformer l’expérience concrète de chacun en une stratégie nationale commune d’ensemble. Le tout évoluant dans un espace national civilisé dans lequel espace national policé se reconnaissent et se battent démocratiquement à la loyal ceux qui n’envisagent pas le débat politique loyal et le combat démocratique à essence contradictoire, sous la forme d’une guerre civile opposant deux armés rivales et ennemis juré qui ne pensent qu’a exterminés mutuellement.

11-) Il faut que, si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports qui sont des hommes politique absolutistes qui ne reculent jamais, qui se nourrissent de l’obscurantisme.

12-) Et il faut que, le fondement de cette démocratie soit impérativement le droit dans toute sa rigueur, dans toute sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales, de paix nationale et de paix internationale. Sur ceux citoyen ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

*- Pour tous autres et pour ample infos continuez sur www.dacandylepetitfils.over-blog.com

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2022 5 01 /07 /juillet /2022 23:17
Lepetitfils : Tout comme la Grande France, « la mère patrie », les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence de politique partisane. De même, ou les partis politiques et les candidats aux élections ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie.

Lepetitfils : Tout comme la Grande France, « la mère patrie », les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence de politique partisane. De même, ou les partis politiques et les candidats aux élections ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie.

*- Chronique ou Kouma : Depuis 22 Ans  la côte d’ivoire va mal, très mal même.

 

Oui, disons-le ici, concernant le dialogue sociopolitique sensé aboutir sur la réconciliation nationale et sur la paix sociopolitique, qu’il faut que ce dialogue soit largement inclusif, républicain. Que le parti attrape-tout au pouvoir, à roue libre ne doit pas décider de tout dans la vie sociopolitique, dans les sphères et sur des sujets ou la souveraineté absolue reste au peuple souverain. Donc, qu’on se détrompe sur la possibilité du respect des recommandations du exclusif dialogue politique, qui prescrivent semble-t-il, «la libération de tous les prisonniers politiques issus des crises électorales, la réforme de la CEI, le redécoupage électoral, l’audit de la liste électoral, le retour de tous les exilés politiques et une rencontre des trois Grands « Ouattara, Bédié et Gbagbo », pour en finir totalement avec les contentieux sociopolitique qui résultent des crises querellées ». Tout cela ne servira à Rien à l’absence de la présence inclusive de la totalité sociale souveraine légalement représentée à ce dialogue « le lien social est politique ». Donc, Non !  Il n’y aura rien de toute cette recommandation du 5e round du dialogue qui s’est avéré totalement exclusif.

Oui, il n’y aura point de consensus sociopolitique, point de réforme de l’organisation sociopolitique et point d’équilibrage systémique des organismes et institutions chargées de la régulations sociopolitiques, pour permettre aux hommes politiques ivoiriens et partis politiques ivoiriens, ou même à tous les citoyens ivoiriens libres, de partir sur la même ligne de départ équidistante du pouvoir d’état à la conquête du pouvoir d’état, aux élections démocratiques propres, comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Il n’y aura rien de ladite recommandation du 5e round du dialogue exclusif «nous n’étions pas ». Or, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Un organisme qui ne peut susciter de quelque manière que ce soit les votes de la main de Dieu, parce qu’un candidat vient après Dieu dans sa suite. Donc unir la totalité sociale, pour avoir des élections libres et démocratiques, dédouanées de toutes les scories passéistes de fraudes et trucages électoraux. Un système électoral consensuel indépendant, Apolitique, distant de tous les partis et intérêts politiques

Oui, depuis 2011, la côte d’ivoire va mal, très mal même. Le parti attrape-tout, au pouvoir depuis cette date, décide seul de tout. Or quand un seul parti politique, un seul groupe d’homme ou une seule personne, décide de tout dans un état de droit dit républicain, c’est ce qu’on appelle la dictature ou la monarchie républicaine. Et ce parti attrape-tout au pouvoir, avec son dialogue politique exclusif et sélectif, qui a conclu au terme d’un 5e round, a déjà rependu volontiers la boue dans l’arène sociopolitique ivoirienne, en prélude des élections à venir, avec un accord ou une recommandation en partie compromissoire, sur le dos du peuple. Et sauf miracle, tout le monde politique, tous les honnêtes citoyens et tous les hommes politiques, seraient obliger de patauger dans cette boue, et ensuite pour s’entendre dire d’une voix sournoise insistante et alpiniste, à l’endroit de tout cet ensemble sali, regardez les, ces pauvres gens-là, politicards pleurnichards, d’une minable typologie-là, comment ils sont puants, allez crever en enfer fichus sales mecs de pauvres. Oui, l’unilatéralisme intransigeant autour des élections est le credo de survie de ce parti attrape-tout au pouvoir, qui décide seul de tout, ce qui est le présage divinatoire des crises postélectorales.

Et les élections locales à venir ne feront pas l’exception, rien ne doit pouvoir contrarier le projet funeste de ce parti politique attrape-tout pour la côte d’ivoire. Donc il n’y aura pas de révision d’équilibrage du frauduleux découpage électoral actuel, la commission électorale ne changera pas non-plus. Parce que le découpage électoral frauduleux qui permet d’obtenir une majorité parlementaire factice, et la partisane CEI actuelle servent trop, trop, bien la cause de ce parti attrape-tout, pour que quiconque en côte d’ivoire, puisse exiger ou espérer de  leurs équilibrages, pour obtenir des élections libres et démocratiques, dédouanées de toutes les habilités de scories passéistes de trucages électoraux. Comme dit c’est une évidence manifeste, il nous faut, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. Un organisme qui ne peut susciter de quelque manière que ce soit un vote de main de Dieu parce qu’un candidat vient après Dieu dans sa suite.

*- Mettre une fois pour toute, notre pays qui roule sur une route déviationniste, sur les rails de la démocratie.

Donc, c’est cela qu’un dialogue inclusif de la totalité sociale souveraine, un dialogue non-sélectif qui n’obvie ni prisonnier politiques actuels, ni exilés politiques actuels, doit espérer ou exiger, comme fixation absolue dans sa finalité. Un dialogue qui tient en l’état, les luttes de leadership, les brouilles personnifiées, les rigoristes clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, les antagonismes artificiels, la division dissolvants, et les défenses hermétique de dividendes des actions politiques légitimes  en temps normal, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt général de la totalité sociale. Se faisant, prendre ensemble un certain nombre de mesure nécessaires et indispensable à l’organisation des élections apaisées «qui impose confiance à tous», à la stabilité sociopolitique, à la cohésion sociale, à l’harmonie communautaire. Des mesures consensuelles, qui prises ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception absolutiste actuelle du pouvoir d’État, par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute, notre pays qui roule sur une route déviationniste, sur les rails de la démocratie, du droit universel, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne, surtout de nos mœurs sociétale atavique. Oui, c’est d’une constance universelle, que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale, de la totalité politique à un système régulateur de la société, que le système des interactions sociales peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. La côte d’ivoire a besoin de régulations sociopolitiques pour devenir stable et paisible.

Parce que ceci faits que, les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Oui, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, disons-le, de par  notre désintérêt pour les actions régulatrices synergiques, chaque jour nous défaisons un nouveau pan de ce que construisirent nos devanciers. Prenons l’option d’un bon remède, au cas contraire, l’hermétique cadenas-sage du processus électoral ivoirien demeurera, avec lui la confiscation du pouvoir d’état dans la durée par un parti ou un groupe d’hommes. Parce qu’ici, le parti attrape-tout au pouvoir, est sûr de son fait, très sûr de son emprise sur la société ivoirienne et sur certains de ses hommes politiques affairistes et aussi, face à des acteurs politiques ivoiriens et des acteurs de la société civile, pour le moment aux stratégies trop crédules, face à une stratégie habile, alpiniste et hermétique, dans son jeu de l’entrainement jusqu’au moment fatidique, sinon, d’autres plus soucieux de leurs carrières d’arrivistes renégats et d’affairismes mercantilistes, que de la cause d’intérêt national, qu’est le nécessaire arrêt de la dynamique démoniaque du parti attrape tout au pouvoir qui décide seul de tout. Cette opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera la parole aux armes. Se limité au financement de certains partis signifie, la bouffe d’abord, le reste on verra

Oui, l’unanimité n’est pas mauvaise en soi dans la société, si elle peut se retrouver présente dans tout le système entier de l’organisation sociopolitiques, et surtout démocratique et électorale. Mais avec l’unanimité de l’élection consensuelle d’un des principaux faiseurs de couillonnade au perchoir de l’Assemblée nationale ivoirienne, donc, une Assemblée nationale devenue désormais, le symbole de la vision d’un parti, dont un des principaux faiseurs de couillonnade est élu président et qui traduit en véritable automate les visions de ce parti en acte politique. Un parti attrape tout qui opère de façons insidieuses et vicieuses pour instrumentaliser le processus démocratique et électoral, pour le réduire à sa seule exigence égocentrique de confiscation du pouvoir d’état. Nous disons dès lors que, sauf si cette élection a l’unanimité cache une stratégie bien peaufinée, mais illisible et inintelligible pour le commun des mortel, parce que ce fauteuil est réputé ou est avéré être la ligne de départ d’une course d’ostracisme effrénée et nébuleuse avec la perpète comme dossard, « dans ce cas, à vos marque messieurs, bon-posément, le top départ de cette course poursuite avec la perpète comme dossard ne saurait durée 5 ans, le chrono est en marche». Mais si tel n’est pas le cas, cette unanimité est une très mauvaise passe à l’adversaire politique qui joue bien son jeu, dans s. on système preferé de tous les temps depuis 2011 et toujours en possession du ballon.

*- Prenons la seule voie praticable vers une vraie réconciliation nationale et vers la paix sociopolitique.

Oui, hélas ! Au cas contraire de cette probabilité de stratégie politique peaufinée,  le parti attrape-tout au pouvoir sûr de son  fait, aura réussi un grand coup, qui laissera des traces, tant sur le plan politique, que sur plan électoral dans l’avenir. Parce qu’en politique, la vrai politique noble art « Houphouët-ien », on ne fait pas de passe à l’adversaire au point de pénalty, de sa propre surface de réparation à défendre contre vent et marée, contre Becs et Oncles. « C’est pourquoi en France, Emmanuel Macron avec son couloir de doublement centriste, de 2017, aujourd’hui très rétrécit en 2022, en ses extrêmes «gauche et droite», tente des dribles à gauche, des dribles à droite, et s’auto-drible lui-même souvent, à la recherche de la solution qui sied à sa posture ou la solution idoine a sa situation. Une coalition inattendue, l’a mis en face de certaines pièces cassées dans sa machine en pleine course, une pièce que les partis politique Français conscientisés et détenteurs ne veulent pas le revendre les pièces de rechanges. Donc, les 5 ans à venir risque d’être laborieux pour lui, et c’est cela la vraie politique noble Ar,  dont nous nous sommes pratiquants.».

Oui, comme la Grande France, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence de politique partisane. De même, ou les partis politiques et les candidats aux élections ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Donc, ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, pour le dialogue après-guerre et la réconciliation nationale post-guerre ivoirienne, il faut proscrire les Fourberies carriéristes qui n’admettent jamais s’être tromper dans l’action politico-gouvernementale et qui n’avouent jamais leurs forfaitures sociopolitiques par contrition et dans les actions et discours de repentances.

Donc ici, citoyen ! Terminons ce Kouma «Chronique» par les mots que nous avons déjà ressassé ou dit et répéter depuis 2012. La seule voie praticable vers une vraie réconciliation nationale et vers la paix sociopolitique en côte d’ivoire, qui n’ a pas de succédané possible, qu’est un processus pyramidale ou tout est inextricablement lié, comme suit:  1)- Libéré les prisonniers politiques, 2)- Faire rentrer les exilés politiques par la bonne porte, « pour que la maison ivoire pleine de toutes ses filles et de tous ses fils, décident consensuelle-ment, coude-à-coude et main dans la main, tous ensembles de tourner une page plus que sombre de notre pays, par la seule voie possible, celle consensuelle ». 3)- Ouvrir le dialogue politique républicain et social, sincère et largement inclusif 4)- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité 5)- Couronné le tout par une populaire Amnistie générale référendaire qui doit être votée à 80% de «Oui» au moins.

*- Non ! Le UNHCR ne doit retirer le statut juridique a des refugiés ivoiriens sur la base des allégations mensongères.

« Concernant les exilés, il faut noter formellement ici, que la délibérée guerre ivoirienne postélectoral-2010-2011, a contraint trois « 3 » catégorie de citoyens ivoiriens à prendre la route de l’inconnu, qu’est l’exil: La première catégorie, la plus nombreuse est ceux qui ont craint d’être tué gratuitement au terme de la guerre. La deuxième catégorie, la moins nombreuse, est ceux dont leurs appartenances qui sont de plusieurs ordres leurs prédisposaient aux tueries, aux persécutions et aux représailles armées. La troisième catégorie, minoritaire est ceux qui sont ciblés pour ce qu’ils ont été, pour ce qu’ils sont, et pour ce qu’ils ont légalement fait pour que la crise postélectorale soit soldé conformément aux normes de régulations sociopolitiques et aux lois préétablies et dont l’acceptation par tous a permis ladite élections, qui a aboutie a la crise querellée. Et disons-le, aujourd’hui encore, il y a plus de trente milles « 30.000 » ivoiriens en exil de par le monde, dont les un tiers n’émarge pas au UNHCR et souvent non-déclaré au UNHCR. Donc il serait honteux pour les Nations Unies « 0NU » et très malheureux pour l’esprit qui a enfanté le UNHCR, qu’une tractation politique avec le pays d’origine de ces réfugiés, qu’on appelle volontiers (changement fondamentaux et durables. SIC), et uniquement appuyé sur la base des institutions coquilles vident, dont l’existence n’a eu aucun impact sur les causes qui ont conduit ces citoyens ivoiriens en exil, deviennent une cause qui les retire le droit des droits, codifié par l’humanité comme tel. Non ! Le UNHCR ne doit retirer le statut juridique a des refugiés ivoiriens sur la base des allégations mensongères de leurs pays d’origines, dont ils ne revendiquent pas la protection, d’où refugiés. Et surtout, sur présentations des institutions vermoulues devenues paravent justificatives pour des dirigeants acteurs de la crise querellée du pays d’origine des refugiés. Non ! Non ! Et Non ! Le bon sens humanitaire exige, qu’il faut d’abord aider, la côte d’ivoire à respecter les droits inaliénables, les libertés individuelles et à bâtir la paix sociale, pour que la vie sociopolitique soit assurée de la paix intérieure. Il faut d’abord aider, la côte d’ivoire, à sortir de la situation de crise sempiternelle, ne l’oublions pas, la dernière élection présidentielle de 2020 a fait plus de 150 morts et de nouveaux réfugiés. Oui, par le rigorisme du droit international et l’intransigeance des institutions onusiennes, il faut d’abord aider, la côte d’ivoire à obvier les crises sociales qui peuvent entrainer des bains de sangs. Et l’imposition sans maquignonnage de la réconciliation nationale par les institutions internationales politiques et humanitaire est une voie pour se faire ». La réconciliation nationale de la totalité sociale ivoirienne et la paix sociopolitique nationale et internationale sont à ce prix pour la côte d’ivoire. Avec l’homme comme centralité.

Parce qu’il est constant de par le monde, que c’est à partir des personnes que se construit l’avenir, que c’est à partir de la solidarité de la totalité sociale souveraine que se bâtit la nation forte et s’améliore la réalité quotidienne de chaque citoyen, que c’est à partir de l’harmonie sociocommunautaire que s’exerce de fait une prise de pouvoir à travers des actions harmonieuses, concrètes, concertés, synergiques, avec la progressive unification des différentes expériences de combats sectoriels pour la Vie, pour l’homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité. Oui, il est constant de par le monde qu’en politique, qu’en démocratie, et dans l’ordre du public, ou il s’agit de la chose publique, qui décide de la vie de la nation, de la vie tous et de la vie de chacun, ou de l’intérêt général, de la société que tout doit être consensuel, et le referendum est le meilleur outil d’expression de la souveraineté populaire. D’où, le peuple souverain agit alors dans sa souveraineté pleine et entière autrement que par procuration politique élective ou d’adhésion politico-idéologique. Donc au terme d’un vrai dialogue sociopolitique national, donnons la parole au peuple ivoirien, allons chercher la vérité ou elle se trouve dans le peuple souverain, allons chercher le bon remède ou il se trouve dans le peuple souverain et la vérité germera ou émergera en flèche, et la côte d’ivoire sera guérie une fois pour toute. N’oublions pas les crimes contre l’humanité sont imprescriptibles cette Humaniste politique n’a de limite que dans le peuple souverain, consentant au pardon pour arriver à l’ordre et paix.

*- si la côte d’ivoire doit aller à la vraie réconciliation, ces victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles 

Donc, de droit et pour le droit, il convient ici de rappeler que, la crise ivoirienne de 2002 à 2012 et suivants a fait près de 7000 morts. Donc, ce dialogue doit prévoir un mécanisme institutionnel de dédommagent aussi pour que la réconciliation soit total et solidifier sur des soles de droit universel. Donc, il faut dédommager les victimes de guerres en tenant compte, que vouloir dédommager des victimes de guerres, oblige d’avoir une lecture claire des faits de guerre, de sortes que cette lecture puisse être un support de droit, même en l’absence de justice judiciaire internationale ou nationale. Mais il faut noter que cette lecture claire ou pas, cela n’entrave en rien, et en aucun cas les droits acquis des victimes de guerres aux dédommagements. Puisque son support de droit qu’est le principes de la responsabilité civile étatique pour des faits d’ordre des dirigeants d’état et sur ordres du supérieur dans la chaine de commandement, est de s’assurer que la responsabilité pénale des personnes dirigeants étatiques, tout au long de la chaîne de commandement, ayant directement ou indirectement contribué à la violation des règles du droit international, est suffisamment engagée, avant de parler de dommage à réparer. «Pour ce cas précis,  il faut noter entre guillemet que les deux parties de la guerre ivoirienne ont acquis le statuts de belligérant à Linas Marcoussis».

Donc, disons formellement qu’au terme de cette crise ivoirienne « guerre-interne» conflit national, c’est du statut de belligérance acquit à Linas Marcoussis, que découle la responsabilité civile de l’état «de côte d’ivoire» pour les préjudices subi par des tiers pendant la crise dans l’ensemble, «carence de l’état en matière de prévention de risques de conflit». Donc si la côte d’ivoire doit aller à la vraie réconciliation, ces victimes doivent être dédommagées à toutes les échelles « économiques, sociales, et même morale » pour les dégâts causés par l’antagonisme des deux (2) belligérances ressortissants de l’Accord de Linas Marcoussis. Et c’est une constance qu’en l’espèce pour permettre aux victimes d’obtenir réparation il y a  au moins deux voies de droits distincts : 1- La voie administrative : qui équivaut à obtenir réparation auprès de l’Etat en faisant appel à des institutions légales ou des lois légiférant en la matière, 2- La voie judiciaire : qui consiste à obtenir réparation par recours aux tribunaux « ou justice traditionnelle ». Ce processus de dédommagement nécessite un substrat légal. Donc une structure d’identification des victimes et de dédommagement «commission ou autre» qui doit impérativement pouvoir s’appuyer sur tous les moyens légaux, pour établir les réalités des faits et situer les responsabilités sans parti-pris en toute indépendance impartiale.

Puisqu’en la matière,  pour que, la responsabilité de l’état soient formellement engagée, il faut l’identification des actes réels et des auteurs réels, légalement reconnus ou identifiés, auteurs des carences ou des insuffisances des actions qui entre en conflit, avec des droits réels détenus par des tiers, ainsi en droit même la simple carence de l’état en matière de prévention des risques de conflit, entraîne la responsabilité civile étatique vis-à-vis de ces ressortissants, «l’obligation de savoir et le devoir absolu de s’informer ». Ce principe de droit irréfragable, de la responsabilité du supérieur hiérarchique, tire son origine de la responsabilité pénale individuelle «chef hiérarchique», tel qu’appliqué par les juridictions de Nuremberg et de Tokyo et ultérieurement codifié par le statut du tribunal Pénal International pour le Rwanda à l’article 6, il est irréfragable en droit international pénal. Donc, si l’ivoirien veut aller à la vraie réconciliation nationale via un dialogue sociopolitique sincère largement inclusif, non-sélectif, «qui proscrit la Bouffe » il faut réellement dédommager les victimes dans un processus qui réaffirme les droits, qui proscrit l’esprit de donation gratuite étatique. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » routinière de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
22 juin 2022 3 22 /06 /juin /2022 12:29
Lepetitfils : cette Couillonnade de fichu pouvoir d’Abidjan, devenu depuis très longtemps, suffisant, fou furieux de notoriété sociopolitique, sourd et aveugle, allergique à la contradiction, astreint le peuple ivoirien au summum de tous les  foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et libertés, de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. Allons à la vraie réconciliation nationale, qui proscrit « le Moi ou Rien», pour avoir la stabilité sociopolitique et la paix nationale et internationale. Ce qui est dit, est dit.

Lepetitfils : cette Couillonnade de fichu pouvoir d’Abidjan, devenu depuis très longtemps, suffisant, fou furieux de notoriété sociopolitique, sourd et aveugle, allergique à la contradiction, astreint le peuple ivoirien au summum de tous les foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et libertés, de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. Allons à la vraie réconciliation nationale, qui proscrit « le Moi ou Rien», pour avoir la stabilité sociopolitique et la paix nationale et internationale. Ce qui est dit, est dit.

*- Mille rencontres des trois Grands ne serviront à Rien.

Bon ! Redisons-ici comme ça recommence, qu’une vraie réconciliation nationale, est une œuvre sociopolitique d’union nationale, de rassemblement national, de sursaut national, de retissage des liens de la totalité social, de ré-soudage des liens intercommunautaire, de reformatage de l’esprit social commun. Elle est donc, incompatible avec l’entretien sciemment par des diversions, sur la crise qu’elle en résulte et dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée. Donc la réconciliation nationale post-crise nécessite et doit avoir pour but, qu’on arrive à réapprendre au pays à se parler en nouveau, réapprendre aux peuples à s’admettre en nouveau et à se reconnaitre en nouveau, réapprendre aux communautés nationales diverses à se côtoyer en nouveau, et à s’admettre mutuellement dans la concorde civile, comme l’égal les uns des autres en nouveau, réapprendre aux hommes politiques à accepter les différences idéologiques dans l’ordre du public en nouveau, réapprendre aux citoyens ivoiriens à vivre paisiblement sans heurt dans une société commune qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales en nouveau, Réapprendre aux peuples nationaux et les peuples venus d’horizons diverses, à se réadmettre conformément à l’idéal du vivre ensemble, cette valeur idéologique de Gauche. Et que tout ce monde est une seule limite le droit universel, dans toute sa rigueur, une seule valeur notre raison d’être des êtres Humains.

Donc pour que la réconciliation soit productive pour la Côte d’ivoire, elle ne peut se faire en dehors du consensus des acteurs politiques, « ou il n’y aura ni petit acteur et ni grand acteur, tous égaux au tour de la table ». Donc,  les hommes politiques de tous bords politiques d’abord dans un premier temps. Oui ! Ce sont les acteurs politiques a quelques nivaux qu’ils se situent, qui sont les problèmes, ce sont eux qui font les problèmes et ce sont eux qui posent des problèmes à résoudre, ou il n’y a n’en pas de problèmes majeurs, en tout cas, ou le commun des mortels n’en voient pas. La vraie réconciliation nationale ne se fait pas avec des discours creux de diversions, déconnecté de la réalité sociopolitique, et des actes quotidiens posés par les acteurs politiques et les gouvernants étatiques. Donc, pour arriver à la réconciliation nationale les problèmes sociopolitiques doivent se résoudre au niveau de tous les acteurs sociopolitiques d’abord consensuelle-ment. Et cela de façon impartiale, indépendante et dans une optique d’avenir paisible. Donc, en examinant le passé d’hier tous ensemble unis, pour mieux préparer le futur de demain.

Donc, tous ensembles, retisser le tissu social, restaurer les droits inaliénables et les libertés fondamentales, réécrire les normes de régularisation sociale, devenue anomique et restaurer les valeurs humaines bafouées. Oui, les acteurs de tous bords politiques d’abord dans un premier temps, parce que tous les problèmes sociopolitiques non résolus à leur niveau par le dialogue, la discussion, l’unanimité et le consensus, reste un problème non traité, qui gâchera tout un jour ou l’autre. Au cas contraire, même mille rencontres des trois grands ne résoudra rien, tant qu’un seul de leurs subordonnés placé sous leurs  subordinations au moment de faits de la crise sociopolitique querellée serait privé d’un droit inaliénable et d’une liberté fondamentale, «le lien social est politique et diplomatique». La réconciliation nationale post-guerre et l’autocritique qu’elle impose à chacun, n’est pas possible avec des hommes qui n’admettent pas la rigueur du consensus sociopolitique.  Et surtout, qui n’admettent jamais et au grand jamais s’être tromper. Or, un processus de réconciliation nationale, doit avoir la possibilité d’agir dans un cadre plus large et consensuel que celui d’une procédure judiciaire, qui s’astreint judiciairement aux violations supposées de droits humains individuels ou de groupe social a lui doigté, et dont les chefs hiérarchiques sont les premiers responsables, sans cette responsabilité les subordonnés n’ont aucun motif d’être  poursuite par une quelconque justice judiciaire. 

*- Arrêter le cycle infernal de la violence en politique et la politique violente dans l’arène sociale.

Donc, nous sommes convaincus qu’un vrai processus national de réconciliation, est impossible avec des hommes qui veulent paraitre blanc comme neige au terme d’une crise sociopolitique dont les responsabilités sont graduées et graduelles. Et plus souvent cela malgré leurs mains aux couleurs Rouge du sang humain versé. Surtout, pour lesquels hommes politiques souvent gouvernants, la paix sociopolitique est l’absence de guerre et l’absence de corps humains a ramassé dans la rue et transporté à destination des lieux de disparitions forcé. Oui, des hommes avec une constance déconcertante qui proscrivent l’autocritique, la repentance, la contrition. Or ces valeurs humaines réelles, s’assignent comme but la renonciation au désir de vengeance et l’abandon des blessures de la crise du passé. Donc s’assignent comme but pour la totalité sociale souveraine, de rebâtir tous ensemble dans le respect mutuelle la nation souveraine en crise des piliers solides de droits, sur des substrats fiables de libertés, et de démocraties, qui lui éviteront de chanceler à nouveau dans un avenir proche dans la crise qu’elle tente d’effacer dans la mémoire collective ou même s’écrouler à jamais. La vraie réconciliation nationale sincère devient alors, la recherche inlassable d’arrêter le cycle infernal de la violence en politique et de la politique violente dans l’arène sociale.

Mais ici, au terme de la crise ivoirienne, le gouvernement nous dit que « Tous les prisonniers politiques sont sorties de prison » Donc, qu’il n’y a plus de prisonniers politiques en côte d’ivoire. Le degré de la subtilité sophiste de cette diversion gouvernementale, cette aporie politicienne d'obscurantisme, cette manipulation médiatique orchestrée est au-dessus de l’humainement acceptable. Oui, l’affaire cette mythomanie est gravissime, parce que ce sophisme est du gouvernement ivoirien atteint de maladie de mensonge incurable. Oui, cette fabrique aporétique est trop grosse pour passer inaperçue devant nos yeux et dans nos oreilles de citoyen libre, tant la diversion politicienne le dispute à la contradiction obscurantiste. Parce qu’il dénie un droit inaliénable à d’autres citoyens dans un cas exceptionnel « liberté c’est un  droit inaliénable et la détention « prison » est une l’exception ». Et hélas ! Se faisant, il prétend vouloir renforcer la cohésion nationale par la réconciliation bâclée et vidée de tous sens sociologique. Une chose et son contraire en même temps dans le même plat sur la table, l’indigestion ne saurait alors tarder dans le temps. Oui, en côte d’ivoire, il n’y a plus de prisonniers politiques de la crise postélectorale et sociopolitique de 2010, n’est autre chose que la parole publique décontenancée et la roublardise dans l’arène politique, qui pomper le vent aux citoyens

Oui,  le statut de prisonnier politique ne se décrète pas par un gouvernement, il est universellement prescrit dans des normes juridiques internationales et/ou conventionnelles. En effet, nous avons toujours dit et répéter, que n’importe quel acte judiciaire conduisant à une justification de crises politiques donne automatiquement le statut de prisonnier politique. Donc, si les ivoiriens veulent la vraie réconciliation, qui est incompatible avec l’entretien sciemment des crises, dont elle a pour objet d’effacer, il faut libérer les très nombreux prisonniers politiques de la crise électorale et sociopolitique de 2010, comme unanimement demander par le peuple ivoirien, et certains leaders politiques devenu solidaire sur cette question. La recherche de la stabilité politique et de la paix sociale l’oblige. Donc le postulat de la vraie réconciliation nationale ivoirienne est simple aujourd’hui, ni Saints ni papes. Il est question de prendre conscience pour le moment que la côte d’ivoire a besoin de sincérités, de sérieux, de concrets, de concis et de vérités nues et crues. Parce que la crise demeure dans la société a nos côté, logé dans des bicoques de l’injustice juridico-judiciaire et de l’injustice sociale et politique, nourris à la haine des appartenances. Donc,  il ne suffit pas aujourd’hui d’éluder habilement les problèmes par crainte  de perdre des intérêts sociopolitiques ou de faire sciemment fi de voir les causes de la crise sociale, pour pouvoir protéger des intérêts politiques mercantilistes, en se leurrant dans une politique de l’Autriche. Mais il convient plutôt d’agir constamment sur les causes premières pour pouvoir obvier les crises sociales et ainsi d’anticiper les perspectives d’avenir meilleur pour la totalité sociale.

*- En droit international pénal, le subordonné bénéficie des motifs qui ont prévalus à la libération de son supérieur.

Comment avec des prisonniers politiques collectionnés dans des lieux de détentions et des jeunes dirigeants de l’opposition véritablement pourchassés, réduit à l’état de cauchemar ambulant dans la nature en exil forcé, et avec tout ce corollaire-là, peut-on prétendre réussir une réconciliation vraie ? Nous n’y croyons pas. Si oui comment ? Parce qu’ils sont encore peut-être, nombreux ces prisonniers politiques selon l’acception ou la détermination de prisonniers politiques du conseil de l’Europe. Qui prescrit que, toute personne est prisonnier politique: « )- A. si la détention a été imposée en violation de la liberté de pensée, de conscience et de religion, la liberté d’expression et d’information et la liberté de réunion et d’association; )- B. si la détention a été imposée pour des raisons purement politiques sans rapport avec une infraction quelle qu’elle soit; )- C. si, pour des raisons politiques, la durée de la détention ou ses conditions sont manifestement disproportionnées par rapport à l’infraction dont la personne a été reconnue coupable ou qu’elle est présumée avoir commise; )- D. si, pour des raisons politiques, la personne est détenue dans des conditions créant une discrimination par rapport à d’autres personnes; ou, )- E. si la détention est l’aboutissement d’une procédure qui était manifestement entachée d’irrégularités et que cela semble être lié aux motivations politiques des autorités ». Au vu de ces principes susmentionné des critères universels de désignations ou de détermination de statut de prisonniers politiques « surtout en ses C-D-E ». Il est difficile de soutenir aujourd’hui qu’il n’y a pas de prisonniers politiques de la crise électorale et sociopolitique de 2010 en côte d’ivoire.

Surtout cela, tant qu’un seul acteur majeur et chef de file politique « assumé » de son camp, pendant ladite crise politique postélectorale ivoirienne, revendiquera des subordonnés toujours en prison depuis 2010, a la suite la guerre qui s’en est résulté. Donc, ici lesdits subordonnés revendiqués par un acteur majeur, et chef de file politique garderont le statut juridique international légal de prisonniers politiques. Donc pour la réconciliation nationale il faut les libérer. D’autant plus qu’un acteur majeur de la crise postélectorale et sociopolitique plaide en ces termes en faveur de ses subordonnés, «j’étais leurs chefs de file, moi je suis dehors aujourd’hui eux sont toujours en prison. Ces propos ne se confinent pas seulement à leur hauteur diplomatique, à leurs carrures politiques et à leurs responsabilités de dirigeants d’état, mais ils sont aussi très bien audibles au bas de l’échelle de la société ivoirienne et dans le français du village. «Même pour nous-là, c’est Français très propre, même autour de notre plat de Garba, on peut t’expliquer-ça,  parce que Kouma-là est Gbê-de-Gbê». Oui, aux yeux du droit international pénal, aux yeux du droit international Humanitaire, les subordonnés sont automatiquement bénéficiaire des motifs qui ont prévalus à la libération du supérieur hiérarchique au terme d’une procédure judiciaire et aussi en conséquence de tous actes juridiques et/ou politiques. Parce que les subordonnés sont emprisonnés pour les mêmes faits reprochés à leur chef hiérarchique devenu judiciairement ou juridiquement, sinon politiquement libre.

Oui, à partir du moment que les subordonnés sont individuellement et nommément identifiés, qui font d’eux des subordonnés du chef hiérarchique, il est irréfragable en droit international pénal, que toute action pénale qui leurs est reprochés dépend et s’éteint avec l’action pénale engager à l’encontre du chef hiérarchique. Oui, c’est de droit réel, que quant au terme d’une procédure pénale judiciaire, le lien qui unit les subordonnés exécutants à leurs chef hiérarchique, est pyramidé tel que, ce lien place les subordonnés exécutants sous la subordination institutionnelle et systémique du supérieur hiérarchique étatique, qui répond pénalement d’un quelconque acte, la solidarité des conséquences judiciaires devient indélogeable et inextricablement liée. Surtout quand l’infraction est supposée commise sous l’ordre matériel du supérieur hiérarchique. Oui, l’action pénal devient un tout in-détachable. Et en droit international public, surtout en droit international général, qui a pour sujet les états souverains, ce sont les autorités legitimes-légales hiérarchiques qui nomment les subordonnés, qui reçoivent en retour les ordres et commandements, auxquels ils ont le devoir légal d’obéissance rigoureuse absolu, ceci est d’ordre républicain. Ceci est conforme au fonctionnement de l’état républicain de droit qui est ainsi pyramidé, afin de légalement lubrifié le fonctionnement systémique de l’organisation étatique et sociale, et de le mettre à l’abri des interactions délibérées.

*- Le UNHCR n’est pas mère du droit d’Asile, il est gestionnaire conventionnel, il n’est qu’appliquant de ce droit.

Donc nous disons fermement ici, que « Tous les prisonniers politiques sont pas sorties de prison », Non ! « Mouk » jamais de la vie, il y a prisonniers politiques en prison, c’est clair et net, même la MACA  peut témoigner. Et aussi, depuis les crises cycliques en répétition régulière, il y a des exilés politiques partout, qui ne dépendent pas en droit international, d’un état délivreur de passeport. Le statut d’exilé est ressortissant du droit international coutumier « le droit des droits » qui se situe au-dessus des états, parce que hors de la portée des exigences de principes d’appartenances étatiques. Oui, « dix (10) ans d’enfer, dix (10) ans de vie gâchée, dix (10) ans d’ostracisme haineuse afin de hypothéqué à jamais toutes avenir meilleure ou de survie pour les exilés et consorts,  avec à la clé la damnation à une improbable possibilité textuelle de réinsertion économico-social, dans leurs pays, qui manifestement n’est plus soudé et n’est plus solidaire, comment au temps de la solidarité agissante Houphouët-ienne, ou ici, tous leurs devenir se retrouve en péril. Donc, ceci ne se solde pas avec des tractations de non-droit et des discours conventionnels interétatiques creux déconnecté des droits réels des tiers et de la réalité économico-sociopolitique du pays querellé ». Et le UNHCR n’est pas mère du droit d’Asile, il est gestionnaire conventionnel, il n’est qu’appliquant de ce droit, le UNHCR n’est pas aussi propriétaire moutonnier des exilés dans leurs pays d’exil. 

Disons ici, aussi au surplus, qu’il n’y a rien a fêté, ni a revendiqué comme motif de satisfaction sociopolitique, quand il s’agit d’un passeport remis à un citoyen par l’état de sa nationalité, ou en vertu d’une convention internationale dont celui-ci est parti, et qui a l’obligation de délivré des pièces à ses ressortissants attestant de leurs nationalités ou de leurs appartenances à leurs nation. Sauf si la déportation équivaut à changement de nationalité ? Et si tel est le cas, cet état aurait viré en état paria et policier, sinon voyou. Délivré des pièces à ces ressortissants s’impose à l’état. Donc, terminons en disant que, ceux qui croient encore à la réconciliation nationale version et option  du pouvoir d’Abidjan, qu’ils ne se leurrent pas. Il n’y aura pas de dialogue politique sincère, inclusif, républicain, entre l’opposition et le pouvoir, pour arriver à la vraie réconciliation, si les jeux demeurent truqués d’avance, non ! La réconciliation nationale suppose le dialogue largement inclusif, dans un cadre républicain et social, et dans un consensus sociopolitique national. Or le pouvoir d’Abidjan ne recule devant aucune catastrophe pour assouvir son dessein sociopolitique, parce que réputé intransigeant autour de la chose publique et dans l’ordre du public.

Oui le pouvoir d’Abidjan devenu depuis fulminatoire, outrageux, fou furieux de notoriété sociopolitique, sourd et aveugle, dégonflé, Niais, allergique à la contradiction du débat démocratique, n’admettra jamais une reforme sérieuse du système de l’organisation sociale et de la gestion sociopolitique étatique, qui met ses chances de s’éternisé au pouvoir d’état en péril. Et dans sa compréhension, la réconciliation nationale et la paix sociale doivent obéir aux exigences de sauvegarde des acquis de sa conservation du pouvoir d’état dans la durée du temps. Et c’est pour cela que ce pouvoir d’Abidjan, astreint le fichu peuple souverain ivoirien au summum de tous les  foutages de gueule, de tous les foulages au pied des droits et des libertés et de tous les fouages démocratiques et électoraux digne d’un état paria, d’un état policiers, et d’un état voyou. « Donc, comme dit plus haut, une vraie réconciliation nationale, est une œuvre sociopolitique de d’union nationale, de rassemblement national, de sursaut national, de retissage des liens de la totalité social, de ré-soudage des liens intercommunautaire, de reformatage de l’esprit social commun. Elle est donc,  incompatible avec l’entretien sciemment par des diversions sur la crise qu’elle en résulte et dont elle a pour objet d’effacer la douleur dans la mémoire collective traumatisée ». Allons a la vraie réconciliation nationale, pour avoir la stabilité sociopolitique et la paix nationale et internationale, tout est lié. Sur ceux, citoyen ! J’ai Kouma !  Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous ».

Un KOUMA, dit en passant de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

Partager cet article
Repost0
11 juin 2022 6 11 /06 /juin /2022 01:55
Lepetitfils : Les hommes politiques Africains ou dirigeants d’états Africains, doivent proscrire énergiquement en synergie, le panurgisme politique alimentaire, le suivisme moutonnier pour des raisons de ventre. Oui face aux exigences juridiques des normes positives étatiques consensuelle-ment prescrites, et face aux rigorisme du droit universel, l’Afrique doit se tenir debout et droit sur son piédestal, sans trembler, sans osciller, sans vaciller, sans versatilité, face aux sentences des droits inaliénables universellement reconnus et admis comme tel par les nations civilisées.

Lepetitfils : Les hommes politiques Africains ou dirigeants d’états Africains, doivent proscrire énergiquement en synergie, le panurgisme politique alimentaire, le suivisme moutonnier pour des raisons de ventre. Oui face aux exigences juridiques des normes positives étatiques consensuelle-ment prescrites, et face aux rigorisme du droit universel, l’Afrique doit se tenir debout et droit sur son piédestal, sans trembler, sans osciller, sans vaciller, sans versatilité, face aux sentences des droits inaliénables universellement reconnus et admis comme tel par les nations civilisées.

*- Un Kouma pour l’Afrique. 

 

Bon ! ici, récitons l’expression bis repetita, ce mot d’origine latine, qui provient d’une autre formule un peu plus longue, « bis repetita placent », qui est une idée d’Horace, un poète latin de l’Antiquité, dont les année 1980 à donner une autre forme abrégée qu’est bis repetita, que nous citons ici, et avec le sens qu’on lui donne aujourd’hui. Bis repetita ! Donc, puisque faute d’accord  les dirigeants ouest-africains réunis à Accra se sont séparés le samedi 04 juin 2022 sans s'entendre sur les sanctions à l'encontre de certains régimes putschistes l’Afrique «Mali, Burkina Faso et Guinée ». Bon ! Ils se retrouveront le 3 juillet prochain mais n’empêche le vert demeure dans le fruit le mal demande  sans remède. L’Afrique noir est Mal partie. L’Afrique de l’ouest incapable de s’entendre sur le minimum nécessaire au règlement rigoriste des crises et solution des violations flagrantes des droits inaliénables est à la remorque du Monde.

 

Oui, il nous revient ici de droit « à la légitimité citoyenne, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste » de faire ressortir de façon litote, avec le courage qui sied à cet exercice, un fait indéniable en Afrique: l’Organisation de l’unité africaine (OUA) dans sa version Union Africaine (UA) et la CEDEAO, n’ont jamais réussi à règle une crise sociopolitique Africaine ou Ouest-Africaine, dans le respect des droits inaliénables irréfragable et universels. Or quand la politique bafoue les droits inaliénables qui sont son substrat d’existence légale, la totalité sociale, fonce tout droit dans la jungle, ou les plus forts et les plus violents sont les Rois. Face à la médiation de ces organisations étatiques Africaines chapeauté par l’organisation des nations Unies «0NU» transcripteur des décisions de ces organisations Africaines en 2010, que quand a la crise ivoirienne querellée des élections présidentielles de 2010, que vouloir sortir du cadre strict constitutionnel, c’est vouloir foncer dans la jungle qui est toujours totalitaires. Hélas ! Nous connaissons la suite dramatique pour la côte d’ivoire, mon pays. Oui, c’est une évidence, là où il n’y a pas de respect scrupuleux des normes juridiques de régulations sociales, qui est l’œuvre de la totalité sociale souveraine, l’arbitraire est Roi.

 

Et nous y sommes, l’arbitraire est Roi dans les pays suscités, et dans un nombre important de pays Africains ou le pouvoir a été confiné au bout des fusils, décroché au bout des fusils. Avec la complicité de certains pays imposants d’Afriques et de leurs puissants soutiens extérieurs à l’Afrique. Pour les crises querellées soumis a décision à Accra, face aux condamnations fermes de départ, d’aucuns avaient espéré pour une fois la rigueur en Afrique, à l’écoute des différentes déclarations. L'Union africaine par la voie de son président en exercice, d’alors avait fermement condamné toute action visant à déstabiliser les pays suscités, en appelant tous les acteurs à la retenue, ainsi qu'au respect de la Constitution. RETENONS LE RESPECT DE LA CONSTITUTION. Mais chose très saugrenue, cela tout en ne demandant pas, le retour des anciens présidents et Premiers ministres illégalement renversés par la force des armes et poussé à la démission théâtrale. Donc condamné fermement les coups d'État africains, en obvier toutes actions de forces concrètes de retour immédiat à l’ordre constitutionnel bafoué et piétiné par une soldatesque fort des armes «fusils».

 

Or, en Afrique, se soumettre aux règles démocratiques et aux droits inaliénables des peuples, à ses occasions de crises répétées  sans état d’âme, est la solution pour l’Afrique. Donc, l’Afrique ne s’en sortira que par le changement évolutif des mentalités des hommes politiques dirigeants d’état, vieux ou jeunes. D’où les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous seraient l’unique seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Le rattachement des dirigeants Africains a des charte de transitons unilatéralement rédigés souvent par des organes intéressés, inféodés aux putschistes et leurs acceptations des textes d’arrangements politiques, au mépris des constitutions, et qui n’ont aucune valeur juridique en l’absence d’une incontestable conformité aux prescriptions constitutionnelles, surtout des textes controuvés, qui n’engagent que ses signataires, donc, des textes qui doivent tirer son essence de la constitution, pour y être conforme aux prescriptions constitutionnelles, afin d’être regardant en droit universel, sont l’une causes des pouvoirs par les armes en Afriques. Non ! L’Afrique ne s’en sortira, que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, ou l’homme, oui ! L’être Humain serait la centralité de toutes les actions sociopolitiques et de toutes les œuvres développementales, avec des peuples souverains avant-gardistes restauré dans leurs droits inaliénables de propriétaires exclusifs du pouvoir d’état, dans des états de droits.

 

Mais ici l’Afrique a un problème crucial, et c’est notre souci majeur. Oui, face aux crises sociopolitiques, il est très difficile d’avoir une fermeté absolue pour la stabilité sociopolitique et la paix pérenne du continent Africain, quand on a l’habitude de subir depuis les indépendances en 1960, les contraintes des coups d’états armés qu’on gère par affinité, par appartenance sponsorisés, par intérêt et par clanisme au mépris du droit du peuple, ainsi il devient très douloureux de se redresser quand on plie depuis si longtemps sous ces non-droits depuis l’indépendance, face aux travers des petits rebelles à la loi commune, bien bornés parce que fort du chacun a son parrain de dirigeants Africains et bien armé pour conquérir le pouvoir d’état au mépris du droit et en dépit de la volonté du peuple souverain estampillé ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc, il est impossible de se départir de la totalité de ces petits calculs politiciens que l’on considère désormais comme une prérogative de souveraineté personnelle et d’autonomie étatique. Oui, dans une société qui à ancrée les coups d’états dans les mœurs sociétales, il est douloureux de se redresser, quand on plie depuis si longtemps sous le joug des armes, des petits coups d’état, depuis l’indépendance d’où l’Afrique a un problème. L’UA et la CEDEAO, soufflent en permanence sur les braises du non-droit, qui a alimenté les crises des coups d’état en Afrique. Leur credo politique compromissoire porte en lui-même les germes des crises sociopolitiques qui seront soumis non pas au droit inaliénables des peuples souverains à choisir librement leurs dirigeants, mais au dialogue et arrangement politiques intempestifs. Oui, un des grands problèmes pour l’Afrique est le mode d’acquisition des pouvoirs d’états en Afrique et leurs exercices effrénés dédouanés souvent de tous droits et au mépris des règles universelles, en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par tous.

 

Et chaque crise Africaine fait naitre une division groupusculaire au mépris de l’union qui sied pour la résolution de la crise, en fonction du droit préétablie sans état d’âme. Il en va de la politique comme de la circulation routière sur une route balisée, quand on enlève arbitrairement les balises protecteurs, les usages de la routes font des sorties de routes dramatiques ou déroutent tout simplement dans les décors. Donc disons-nous, une division groupusculaire, dont les grimaces ironiques et sarcastiques qui craquellent leurs masques de faiseur de paix de circonstance montrent qu’il est très difficile décidément de prendre de la hauteur après un décollage raté. C’est une évidence, comment retrouver des marques stables lorsque l’instabilité s’est installée en maîtresse du continent Africain ? Comment avoir la maîtrise majestueuse du dirigeant politique d’état qui ne saurait se rétablir que dans le respect strict du droit inaliénable des peuples quand on estime que les armes sont un moyen en politique ? Oui, impossible défi quand le réalisme des fondamentaux étatiques, les corps « armés » qui se doivent d’être la grande muette se font incontrôlable, par les dirigeants politiques divisés en groupe d’intérêt, de sponsor ou de parrainage. L’Afrique ne s’en sortira qu’en s’inscrivant résolument dans le schéma rigoriste du respect du droit, de l’imposition forcée des normes de régulations sociopolitiques préétablie par les peuples souverains avant les crises. L’Afrique ne s’en sortira que sauf les armes Africaines resteront la propriété exclusive des peuples. Et le respect des normes de régulations sociopolitiques comme instrument d'ordre social, de stabilité sociopolitique et de paix nationale et internationale par excellence, et surtout par la recherche inlassable parfois ingrate de l’état républicain de droit, de la démocratie universelle et participative. 

 

Tant que les coups d’états contre un pouvoir légal et légitime et les rebellions armées contre un pouvoir légal et légitime ne seront pas considérés comme un suicide en Afrique, parce que reconnus inadmissibles par les dirigeants et les peuples Africains, les crises sociopolitique continuerons en Afrique. Ainsi tant que les peuple Africains seront mal gouvernés, parce que leurs États sombrent dans le chaos social sempiternel où les pouvoirs d’État virent à l’arbitraire, à la dictature, au despotisme, à la tyrannie, les peuple Africains ne pourront pas profiter de la richesse de leur pays et des retombées de l’organisation politique et sociale de leur société, devenue le creuset convoité par tous les moyens illégaux par des petits maquisard, ou tous les affamés viennent se nourrir dans les deniers publics, dans les ressources naturelles souveraines au nom de la protection des peuples martyrs. Et aussi, l’Afrique doit non seulement, se méfier de l’imbrication habile ou de l’interconnexion mafieuse de la religion et de la politique, mais aussi la combattre avec fermeté et la dernière énergie synergique. Oui, dans la gestion de «l’état-Nation», le rapport de force souvent nébuleux, entre la politique religieuse et la politique laïque du pouvoir étatique, ne profite qu’aux petits malins délinquants notoires, escrocs moraux et intellectuels. Oui, c’est une exigence de l’escroquerie morale et intellectuelle, que de composer avec la croyance libre des peuples souverains et la mentalité souvent docile des peuples gouvernés. En cherchant, non pas de servir le peuple  souverain, mais plutôt l’asservir la totalité sociale, pour se servir dans les deniers et dans les ressources naturelles souveraines. Cela en se posant en défenseur des peuples.

 

Donc, la stabilité sociopolitique et la paix en Afrique sont à ce prix du refus catégorique de l’illégal et de l’illégitime. Du refus catégorique des pouvoirs par les armes, des pouvoirs par manipulations constitutionnelles pour s’éternisé au pouvoir d’état. Du refus catégorique des pouvoirs anticonstitutionnels quels qu’ils soient, y compris des pouvoirs issus des constitutions élaborées unilatéralement au mépris des règles universelles reconnus, qui en font les peuples souverains les exclusifs rédacteurs et les uniques votants politique par la suite. Oui, l’organisation des états, qui impose les normes juridiques de régulations sociales qui régissent ses états membres comme substrat et qui l'impose au respect de tous dispense ses état de crises sociopolitiques. Et se faisant arrive au redressement des griefs sociétaux sans violence, donc elle désarme la violence. Et cet acte rend toute entreprise factieuse impossible et dispense de recourir à l'emploi de la force armée dans la conquête du pouvoir d’état. Oui, en se conformant aux normes universelles, cela débouche sur un ordre conventionnel qui désarme la violence. Et vient interdire l’usage d’un certain répertoire d’action politique criminelles et des travers politiques, dans la conquête du pouvoir d’état, et proscrit ainsi l’arbitraire, l’absolutisme, le despotisme. Ainsi cette organisation interétatique, en se voyant chargé d'exprimer fidèlement la souveraineté des peuples, de ses états membres, son action acquiert les attributs symboliques du sacré.

 

Donc, contrairement au proverbe Africain qui dit qu’un sac sans contenance ne tient jamais debout, ou qu’un sac vide ne s’arrête pas debout, l’Afrique doit proscrire la politique du ventre. Oui, les hommes politiques Africains ou dirigeants d’états Africains, toutes tendances idéologiques et appartenances philosophiques confondue et le peuples souverains Africains dans son entièreté, doivent proscrire énergiquement en synergie absolue, le panurgisme politique alimentaire, le suivisme moutonnier sociétal pour des raisons de ventre. Oui face aux exigences juridiques des normes positives étatiques consensuelle-ment prescrites, et face aux rigorisme du droit universel, l’Afrique doit se tenir debout et droit sur son piédestal, sans trembler, sans osciller, sans vaciller, sans versatilité, face aux sentences des droits inaliénables universellement reconnus et admis comme tel par les nations civilisées. Ainsi l’Afrique, notre destin commun s’en sortira tête haute dans le concert des nations civilisées. Oui, l’Afrique ne sera politiquement stable que par la force des droits inaliénables des peuples. Ce qui est dit, est dit.

 

Donc nous disons « à la légitimité citoyenne, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste » que, l’Afrique, notre Afrique,  a besoin de stabilité sociopolitique et de paix d’abord. La personnalisation de la conquête du pouvoir d’état, ne doit pas se faire au mépris de la volonté de la totalité sociale souveraine et en dépit de l’impérieuse nécessité de sauvegarder la paix sociopolitique. La vie démocratique est l’apprentissage des limites, avec un self contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible. La conquête légitime et la détention légale du pouvoir d’état doivent obéir aux respects des droits et des règles préétablies. Ici ce qui doit être recherche inlassablement par les Africains en général et par les dirigeants Africains en particuliers, c’est la légalité, c’est la légitimité. Oui, ce qui doit être recherche ici, c’est le maintien des peuples souverains Africains dans leurs droits inaliénables de disposé d’eux-mêmes, avec la possibilité de se choisir librement à échéances renouvelées ses dirigeants d’états sans interférence des armés, sans modifications constitutionnelles pour s’éternisé au pouvoir d’état. Ce qui doit être recherche ici, en Afrique c’est la volonté unanime des dirigeants Africains de mettre l’homme au centre du débat sociopolitique, le citoyen Africain au cœur du débat développemental. Ce qui doit être recherche ici, en Afrique, c’est l’avènement d’une société Africaine plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous et respecté à toute épreuve par les dirigeants, le respect par les armées Africaines s’imposerait de lui-même, « la grande Europe ne connait pas de coup d’état, parce qu’aucun pays Européen ne l’admettra jamais et n’en sera jamais caution, aval, ou parrain ». Oui, Bis repetita, le 3 juillet 2022 à Accra, sera encore une rencontre pour rien, une rencontre Zéro-pointé. Que la nature protège l’Afrique, notre destin Commun, l’Afrique …

 

Un Kouma pour l’Afrique. De Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne, pour satisfaire aux exigences de son sacerdoce citoyen.

Partager cet article
Repost0
31 mai 2022 2 31 /05 /mai /2022 18:29
Lepetitfils : C’est par l’abandon d’une partie des droits naturels au profit de la société commune qui rend l’état de droit effectif. Donc, d’où la seule manière dont chacun renonce de soi à ses droits et à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la totalité sociale commune dénommée état, est celle dont chacun s’entend avec les autres composantes de la société, afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état républicain de droit, en vue d’un mode commune de vie sécurisé, commode sûr et paisible. Avec un souverain « l’état » qui protège les personnes physiques et leurs biens.

Lepetitfils : C’est par l’abandon d’une partie des droits naturels au profit de la société commune qui rend l’état de droit effectif. Donc, d’où la seule manière dont chacun renonce de soi à ses droits et à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la totalité sociale commune dénommée état, est celle dont chacun s’entend avec les autres composantes de la société, afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état républicain de droit, en vue d’un mode commune de vie sécurisé, commode sûr et paisible. Avec un souverain « l’état » qui protège les personnes physiques et leurs biens.

«KOUMA» : chacun s’occupe de son coin ? » 

(Disons d’emblée ici, que le métier politique, la vrai politique d’intérêt public, consiste en partie pour nous à saisir le moment favorable pour soulever un problème sociopolitique. Quand bien même le problème existait avant et existe dans la réalité, ne l’oublions pas, sans quoi la politique ne serait que du vent à pomper aux honnêtes citoyens et l’orchestration de l’obscurantisme et des actes du nébuleux). 

Donc disons ici qu’avec l’idée saugrenue de l’auto-surveillance sectorielle et communautaire, « chacun s’occupe de son coin d’évolution ? » le droit qui sied à un état de droit réel, a foutu le camp de notre état dit républicain de droit. En convenons-en  que, c’est par l’abandon par chacune des communautés diverses et par chacune des sociétés composites, et aussi par chacun des citoyens libres, d’une partie de leurs droits naturels au profit de la totalité sociale commune, pour pouvoir arriver à une entité abstraite commune, qui rend l’état républicain de droit effectif. L’esprit  initial  de cette   conception de l’état républicain de droit, réduit son  existence matérielle, à l’ensemble des citoyens mis à égalité de droits et de chances, inscrit dans une logique de commune protection des personnes et des biens. Nous disons donc de façon Litote que : L’idée de l’Etat républicain de droit à fait son apparition, pour la première fois, en Angleterre, au XVIIe siècle, dans le contexte des disputes entre le Parlement et la monarchie, le premier essayant de limiter le pouvoir discrétionnaire du Roi et d’instituer la suprématie de la Loi dans toute l’activité de l’Etat. Les sources d’inspiration pour une telle conception se trouvent dans l’Antiquité grecque, dans la philosophie politique d’Aristote. Ce dernier considère que le mieux serait que « la loi gouverne, plutôt que n’importe lequel des citoyens ».

Parce que la loi, en tant qu’expression du droit naturel, de la liberté, de la justice et du bien général, se trouvera au-dessus des passions, intérêts et de la subjectivité des individus. En considérant ainsi que, la loi voulue par le peuple consentant, doit être le fondement de toutes les relations humaines et de toutes actions publiques. Les promoteurs de cette idée seront les initiateurs de la théorie de l’Etat de droit, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes. C’est pourquoi la privatisation sécuritaire « chacun s’occupe de son coin ? » contredit la notion de l’état républicain de droit, qui veut que la loi doit être impersonnelle et d’assurer les droits et les libertés de tous. Parce que, les passions, les intérêts et la subjectivité des individus, triomphent lorsque, tout est décidé sectorielle-ment dans des chasses gardes «ou, chacun s’occupe de son coin d’évolution ?», ou par un pouvoir d’état déviant non maitrisé, qui veut que les citoyens puissent organiser leur propre défense, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger de renard et de Loup, la raison du plus fort est toujours la règle dans ce cas. D’où les fanfaronnades d’éloges mytho-maniaque intéressées et soutenues par des brigandes d’acclamations sectorielles disposent se faisant des expertises sociétales doctes et des analyses esthètes.

Ceci est une évidence, «Puisque chacun doit s’occuper de son coin périmètre d’évolution ? » en lieu et place de la loi voulue par le peuple consentant à vivre dans une entité commune dénommée l’état républicain de droit. Et se faisant, quand, la commune régulation sociale ne réside pas dans les lois voulues par le peuple consentant, l’Etat devient paria, balkanique, despotique et n’est plus de droit, car la loi voulue par le peuple consentant, devrait être au-dessus de tout ce qui est, et de tout ce qui doit être. Comme déjà souligné : « En considérant que la loi voulue par le peuple consentant, doit être le fondement de toutes les relations sociétales et de toutes actions publiques. Les promoteurs de cette idée seront les initiateurs de la théorie de l’Etat de droit, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes ». La première impulsion à cet égard viendra de la part des penseurs, éclaireurs, lesquels se rapporteront directement au conflit apparu vers le milieu du XVIIe siècle entre l’absolutisme monarchique et les tendances d’émancipation politiques des sujets de Sa Majesté, en Angleterre ». Oui, l’absolutisme monarchique opposé à l’émancipation citoyenne, c’est de cela qu’il s’agissait hier, tout comme c’est de cela qu’il s’agit aujourd’hui.

Donc nous avons dit que, c’est par l’abandon d’une partie des droits naturels au profit de la société commune qui rend cet état de droit effectif. Donc, d’où la seule manière dont chacun renonce de soi à ses droits et à sa liberté naturelle et entre dans les rapports de la totalité sociale commune dénommée état, est celle dont chacun s’entend avec les autres composantes de la société afin de s’unir en une communauté unique appelée l’état de droit, en vue d’un mode commune de vie commode, sûr et paisible. Fondée sur une commune protection des personnes et des biens, c’est ainsi, qu’aucune approbation d’une majorité ou d’une minorité fractionnelle ou sectorielle de cette communauté unique, «chacun s’occupe de son coin ?», ne saurait être bonne ou valable, parce qu’elle viole déjà, les normes et principes qui régissent le pacte de l’état républicain de droit, qui est le socle fondateur et le substrat d’existence sociétale de cette communauté unique devenu de destin commun. Oui, «chacun s’occupe de son coin d’évolution? »,  l’état républicain de droit est en danger en assignant a population sectorielle ou communautaire, la police de leurs propres existences sociétales, qui va entrainer la violation des pactes/normes qui régissent l’entité qui forme la société commune, d’une citoyenneté commune, qu’on a dénommé volontiers l’état républicain de droit.

Oui, une chose est certaine, si nous devons continuer à croire, que la condition de membre de l’entité commune et unique « l’état républicain de droit », et d’une communauté unique nationale, et des citoyens d’un Etat de droit, a pour toute origine, la volonté de multiples sociétés composites, peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état républicain de droit, a pour mission d’assurer la sécurité des personnes et des biens, dès lors « chacun s’occupe de son coin ? », est une carence et une faillite de l’état républicain de droit. Donc, qu’ainsi, la personne qui a reçu l’investiture de cette communauté unique, afin de veiller au respect des règles introduites pour la défense/protection des droits, des libertés, de la propriété et de la vie de ses membres, l’ayant reçue en vertu des principes, pactes/normes préétablies aurait commis une transgression de la norme de régulation sociale de l’entité commune. Donc ainsi, « chacun s’occupe de son coin ? », est le transfert des prérogatives édictées dans la société commune qui s’accompagne du retour du pouvoir dans le souverain peuple qui l’a investi en fonction de ses socles sociétaux communs. Cet investi démissionne irréfragable-ment et certifie sa trahison envers la société.

Sans cette interdiction formelle, de transfert, «puisque chacun s’occupe de son coin ?» dans l’entité commune de ses prérogatives constituants, ceci aboutirait principalement sur une certaine inertie sociale, qui n’est pas une posture de communauté unique totalement libre. Donc, ici, les choses doivent changer du tic au tac, lorsque la personne qui a reçu l’investiture de la communauté unique, transfert ses prérogatives dans l’entité commune et a la charge de la composante sociale diverse, « chacun s’occupe de son coin? », ou s’il tend à convertir une tâche sociopolitique de la communauté unique, en un privilège indu, ou quand il ambitionne de se muer de serviteur de la communauté en maîtres absolu de cette communauté unique totalement libre, «chacun s’occupe de son coin d’évolution?». Si telle est la situation, la communauté unique solidaire, en vertu des principes et droit naturel de son substrat constitutif, peut recourir au droit inaliénable de tout peuple, librement constitué en une entité commune abstraite « l’état » a disposé de lui-même et au devoir absolu de citoyen libre. Et, en même temps, avec l’obligation rigoriste d’exiger le respect des clauses qui a permis à de multiples communautés ou de sociétés diverses a se constitués en une entité unique et sur la base duquel fut institué la communauté unique et solidaire qui a conduit à l’état républicain de droit.

Si la personne ainsi failli, qui a reçu en vertu des principes et pactes  sociétaux, l’investiture de la communauté unique, oppose de la résistance quelle qu’elle soit à cette sollicitation légale, légitime, alors son remplacement devient inévitable par la communauté unique dont il est ressortissant. Parce que la communauté unique se trouve attaqué dans son substrat d’existence. Et l’état républicain de droit aurait viré à la monarchie aveugle, à l’état de nature ou la force est ROI. Donc nous disons que l’état de droit se vit, se pratique et ne se privatise pas, ne se transfert pas, «chacun s’occupe de son coin d’évolution ?, ne se chante pas. Donc, comme déjà dit,  il faut dès lors retenir que la condition de membre d’une communauté unique et de citoyen d’un Etat républicain de droit, a pour toute origine la volonté de multiples sociétés composites peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté unique appelée l’état protecteur de tous. «Protecteur de la libre circulation, des droits et libertés, des personnes et de leurs biens» ; Donc, un état de droit ne tient qu’à la protection/reconnaisse matérielle des droits fondamentaux de tous, dans leurs originalités absolues, à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et en devoir, et la protection égale de tous de leurs personnes et de leurs biens. C’est-à-dire assurer la totale sécurité physique des personnes, et de leurs biens.

Oui ! Quand ces principes fondamentaux sont violés, la boite noire étatique des relations sociétales et le voile de l’entité sociale commune abstraite doivent être percés. Donc, ici, il ne s’agit de consolider, de respecter le pacte d’état républicain de droit. Avec la pratique édicte de l’auto-surveillance sectorielle ou communautaire, «chacun s’occupe de son coin ?» ce pacte salvateur n’existe plus pour une très grande partie du peuple souverain ivoirien, «nous nous d’ici, nous sommes de-là, ou nous sommes de là-bas » la ségrégation socio-politique, l’Apartheid politico-social, la sécession mentale, dans tous ses états, par la protection des chasses-gardés, par les privilèges indus, qui alimentent souvent des affrontements entre les communautés nationales diverses. Il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne pour laquelle le pacte de l’état républicain de droit, et le pacte intransgressible de l’exigence de la promesse citoyenne d’égalité de tous, même aussi le pacte de la propriété coutumière immémoriale, inaliénable, incessible, incommutable, insaisissable, ne s’appliquent pas, d’où des affrontements intercommunautaires cycliques, des conflits et des litiges renouvelés soumis à la force des muscles, avec tous les travers économico-sociopolitiques.

*- Le lien social, est politique et diplomatique, d’où chacun doit voir ses griefs sociétaux soldé dans le consensus.

A la lampe de la lumière de ce qui précède si dessus, «chacun s’occupe de son coin?» ce que nous visons, est que, dans notre pays la côte d’ivoire, que plus jamais aucun citoyen ne soit pris par sa différence géographique et sociopolitique, que personne ne soit jamais réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Que l’autre dans sa différence quelle qu’elle soit, demeure un frère ou un ami, mais ne soit plus jamais un ennemi, «chacun s’occupe de son coin ?». Que comme dans toute nation souveraine et dans tout état républicain de droit, que l’homme quel qu’il soit l’emporte sur son appartenance géographique, biologique, politique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques ne soient plus jamais une fixation différentialiste. Que le social prime à jamais sur la génétique, que la nationalité commune prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme des intérêts politiciens. Que la laïcité prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune, «chacun s’occupe de son coin Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Et que la société policée prime sur la société prédatrice de jungle ou l’arbitraire est Roi, avec le règne sans partage sur une société hallucinée et martyrisée. Et que l’état républicain de droit soit une réalité visible, ostensible.

Afin de construire une société ou l’homme incarnerait la centralité, et ou le citoyen serait le cœur de toute action économico-socio-politique. Dans une entité commune sociétale, réellement devenue un état républicain de droit, qui mettra l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental et qui conduirait à l’avènement d’une société plus paisible, plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et respectueuse du droit. Une société devenue un état républicain de droit, ou le lien social serait incassable et reconnu éminemment politique. Ce qui permettra aux groupes sociaux, aux mouvements graduels de la société, aux organisations corporatives et aux individus, de vivre paisiblement en commun dans une société cohérente et harmonieuse. Et surtout qui les permettrait tous ensembles de faire société et vie communes, sans heurt majeur, dans l’acceptation réciproque des différences sociétales, sans que «chacun ne soit obliger de s’occupe de son coin ? Notre soucie de toujours est que, dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation sociale d’irruption imprévue, non-contrôlée, non-maitrisée, non-conforme au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs et orchestrée par une politique carriériste aveugle, tend à fragiliser le lien social, qui est éminemment politique. Cela en lieu et place de sa consolidation systémique, par la justice sociale et par la justice juridique, pour chacun, qui témoignerait sans aucun doute de sa très bonne santé, et du dynamisme étatique, et la fiabilité de l’organisation dans la société ivoirienne.

Une mutation sociale d’irruption imprévue qui  engendre la création/formation «chacun s’occupe de son coin ?», des segmentations sociétales, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit la cohésion sociale de la nation une et indivisible, qui dénature l’état républicain de droit et la notion d’une société démocratique. Nous y sommes désormais, et sont devenus des valeurs, le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent n’a plus d’odeur dans la vie sociale, et la dépravation des mœurs sociétales est ostensiblement portée par des pratiques importées «chacun s’occupe de son coin ?. Les ivoirien, hier solidaire à toutes épreuves sont désormais aujourd’hui contraint ou de, tous tomber volontiers dans l’apologie des différences, de toutes sortes. Oui, c’est parce que le lien social, est hautement politique et diplomatique, que chacun doit être reconnu dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, et chacun doit voir ses griefs sociétaux soldé dans le consensus, dans l’exaltation de la diversité solidaire. Avec la protection étatique de tous, digne d’un état républicain de droit, enfanté par le frottement des méninges de l’antiquité grec, cultivé par les idées d’Aristote, à la suite savante de Platon, et ventilé par les soins millimétré de John Locke. Oui, l’état républicain de droit. Ceci est notre but au terme de cette KOUMA.

« Oui, Chacun s’occupe en police de son coin d’évolution ? NON !!! Ceci est ressortissant de la loi de la jungle ou les prédateurs délimitent unilatéralement leurs frontières. Chacun s’occupe ou fait le policier de son coin d’évolution ? NON !!! Cette segmentation de la sécurité commune ou balkanisation est une faillite de l’état républicain de droit, qui ne peut trouver de justificative dans son échappatoire désigné le COVID-19, devenue un malheureux paravent justificative d’une manifeste carence étatique et d’une faillite étatique totalement consommée d’un état devenu paria qui concède la police aux pauvres populations éparses ». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA «chacun s’occupe de son coin ? » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
20 mai 2022 5 20 /05 /mai /2022 20:17
Lepetitfils : Nous voulons une olympiade démocratique en côte d’ivoire notre pays a nous, avec des grands amortis de ballon, des reprises de volets magistrales, des coups-francs destinés aux lucarnes, des penalties justifiés sans discutions, des frappes sèches, des tirs secs, des reprises de la tête de corners rentrant hors-portés, et quelques rares Buts de la main-de-Dieu qui font partie du jeu et dont l’acceptation relève du fair-play. Donc, du jeu conventionnel,  classique, hors-porté des politicards, aux jeux extraordinaires au-dessus des nais et pygmée démocratiques.

Lepetitfils : Nous voulons une olympiade démocratique en côte d’ivoire notre pays a nous, avec des grands amortis de ballon, des reprises de volets magistrales, des coups-francs destinés aux lucarnes, des penalties justifiés sans discutions, des frappes sèches, des tirs secs, des reprises de la tête de corners rentrant hors-portés, et quelques rares Buts de la main-de-Dieu qui font partie du jeu et dont l’acceptation relève du fair-play. Donc, du jeu conventionnel, classique, hors-porté des politicards, aux jeux extraordinaires au-dessus des nais et pygmée démocratiques.

CHRONIQUE-RETRO : KOUMA, LA DANSE DU DIABLE.

 

D’emblée disons-le, tout net, pour les élections locales qui attisent des intérêts politiques légitimes auprès des partis politiques, le décor est planté, le cocktail explosif est là ! Au tour d’une Grenade à goupille tirée, la danse des diables semble prévue pour 2023 ? Donc, plus de nuances comme aux législatives validant d’un pouvoir déviant, c’est sûr et certains qu’avant les élections locales, qu’il n’y aura pas de révision d’équilibrage du frauduleux découpage électoral actuel, la commission électorale ne changera pas non-plus. Pas question ! Parce que le découpage électoral frauduleux qui permet d’obtenir une majorité factice et la CEI actuelle servent trop bien les cause du pouvoir d’Abidjan, pour que quiconque en côte d’ivoire «d’aujourd’hui» puisse exiger leurs équilibrages pour obtenir des élections transparentes, libres, justes et démocratiques, dédouanées de toutes les scories passéistes de trucages électoraux. Quoi de plus normal, avec deux (2) chambres suivistes de députés « assemblée-Senat, Flêkê-Flêkê», aux votes automates dans l’exécution des projets qui émanent du pouvoir exécutif assujettissant, et qui pourront au terme d’une génuflexion seigneuriale, jeter l’organisation sociale au pied du pouvoir exécutif, en le permettant de gouverner par ordonnance.

 

Tout est bouclé semble-t-il, par les champions de l’obscurantisme politique sectaire, qui ignorent les petits marteaux citoyens, qui eux aussi ignorent les grands bouclages nébuleux. Oui, c’est connu de tous, que comme un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire a instruit, inventé et appelé de nouvelles pratiques politiques qui tentent désespérément peut-être, de faire porter la délibération politique, qui se veut collective, sur des sujets et objets réels et non sur des fictions politiques et des mythes fabriqués de toutes pièces. En pensant démocratiquement, que c’est peut-être cela le prix à payer pour la mise en place d’une démocratie plus prosaïque, mais plus consistante. Mais ici, au prisme de la  situation sociopolitique, la voie tracée est connue vers une razzia sur le trucage électoral par ceux, aux commandes de tous leviers du pouvoir d’état, et qui détiennent une sérieuse expertise en la matière et plusieurs fois réaffirmés. Bon ! Que la nature maudisse ces politicards carriéristes ces arrivistes renégats, jusqu’au garage de l’oubliette socio-politico-démocratique-électorale. Soyez condamnés messieurs à vos tonnes de cocaïnes ! Que Dieu d’Abraham veille sur la damnation de l’expiation aux couleurs cocaïnes.

 

Oui ! A la lunette des analyses doctes, esthètes et expertes, des droits civils et politiques, nous pensons que, lorsque des gens ne figurent plus sur la liste électorale, privé du droit élémentaire de la citoyenneté, que lorsque des gens « citoyens » ont déjà été privé de leurs droits civils et politiques, en exécution d’une condamnation à défaut, au terme d’une élection majeure « celle présidentielle », à quoi sert donc de signer des papiers et de s’inscrire dans un processus électoral qui ne solde pas les antécédents judiciaires de faits et dans un processus qui est visiblement bâclé avec des jeux truqués d’avance, « on va aux élections et c’est moi le gagnant désigné ». Sauf à vouloir peut-être espérer se voir signifier à l’arrivée, le rejet de certaines candidatures pour condamnation par défaut judiciairement non soldé. Cela quand la diversion roublard serait obligé de se dévoilé. « Bon ! Nous redoutons et voulons obvier la politique de versatilité, les pactes maléfiques et sataniques et le misérabilisme politique alimentaire de prostitution. Nous en avons horreur »… Donc nous disons, qu’il faut plus que le financement des partis politiques, et les intéressées sélections des interlocuteurs politiques et le théâtre de l’interlocutoire pour arriver à des élections justes et à la paix sociopolitique.

 

Donc, disons-nous, qu’il faut des principes clairs autour desquels se fera la convergence vers le vivre en commun sociopolitique au mépris de la concrétion souhaitée. Donc, disons-nous, qu’il faut des actes organisateurs prescrits, neutres et impartiaux, une norme de régulations sociopolitiques consensuelles qui définissent le système, les mécanismes et mode d’accession au pouvoir d’état, conformément au droit universel, et qui marqueront le consensus social autour de l’organisation sociopolitique, qui échappera ainsi au contrôle des pouvoirs d’états, quel qu’il soit. Donc, disons-nous, qu’il faut une organisation socio-politico-démocratique et électorale, qui donnera la primauté à l’affirmation du «gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple», prescrit dans une norme de régulation sociale nouvelle. Et quant au processus électoral, qu’il faut que ses règles obligent de tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité de tous en droit et devoir, indépendamment de nos castes, de nos origines nationale et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques, de nos croyances religieuses, sans aucune politique de protection des intérêts politiciennes mafieux, des uns et des autres. Et d’ouvrir largement à l’égal accès de tous, les structures de gestions étatiques de souveraineté, de gestions des institutions de l’organisation étatique qui enfantent les pouvoirs.

 

Donc, comme nous avons toujours dit et redit : Ceci permettra d’obliger la dévolution du pouvoir d’état placé à équidistance de tous les citoyens candidats sur la même ligne de départ, pour des élections, libres, transparentes, justes et ouvertes. Surtout ou l’homme incarnerait la centralité de toute politique et le citoyen le cœur de toute action sociopolitique. Donc, ceci débouchera sur une voie légale de conquête ou de reconquête du pouvoir d’état. Dans le respect des droits, dans le respect des libertés, dans le respect des règles démocrates et dans une société de paix pérenne, qui admette l’hétérogénéité des sous cultures nationales. D’où le citoyen libre, enfin totalement libre, n’aura plus que le droit et les règles librement établies, pour limite. Où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront dans le respect de nos mœurs sociétales ataviques et selon le droit et règles de notre seule raison d’être des humains. Hélas ! Sans ses mesures souveraines, la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny vivra encore et toujours des crises socio-politico-électorales malgré elle. Que ceci ressort du classique universel démocratique, socio-politico-électoral.

 

Ici nous ne voulons pas prédire la future débâcle d’une stratégie politique peaufinée, bien agencée, ou anticiper les comportements des acteurs politiques d’en face gouvernants. Mais nous voulons ressortir certaines conséquences possibles de la coopération qui laisse l’espace électoral et le champ politique libre au fricotage et rafistolage électoral de non-droit. « Nous voulons une olympiade démocratique en côte d’ivoire notre pays a nous, avec des grands amortis de ballon, des reprises de volets magistrales, des coups-francs destinés aux lucarnes, des penalties justifiés sans discutions, des frappes sèches, des tirs secs, des reprises de la tête de corners rentrant hors-portés, et quelques rares Buts de la main-de-Dieu qui font partie du jeu et dont l’acceptation relève du fair-play. Donc, du jeu conventionnel,  classique, hors-porté des politicards, aux jeux extraordinaires au-dessus des nais et pygmée démocratiques. C’est de ça qu’il s’agit. La politique comme un jeu, comme un jeu d’équipe qui se gagne sur les terrains légaux avec ses règles universelles surveillées par des arbitres impartiaux et totalement indépendants des partis politiques».

 

Donc, ici nous plaidons pour des actions politiques, exigée par la situation sociopolitique, par rapport à l’évolution de l’engrenage du système démocratique, politico-électoral et de gouvernance. Et enfin pour qu’échoit au peuple souverain, sa légitime versatilité électorale, face aux faits et situations sociopolitiques, qui sied au peuple souverain libre de par le monde et toujours soutenue par la redistribution constante du personnel politique renouvelé, dans l’espace étatique et dans toute l’assiette territoriale nationale, qui fait naitre de nouvel intérêt dans la totalité sociale et qui change aussi la sociologie électorale par nature versatile. « Nous osons dire que c’est un tout petit couloir du jeu démocratique de marchepied, « doublement centriste » entre les deux grandes voies principales, traditionnelles de gouvernements, la Gauche et la Droite, qui a ouvert en 2017 la voie de l’Elisée a Macron, qui trône aujourd’hui sur un  gouvernement panier-a-Grappes ». Oui,  nous disons que la sociologie électorale est un contrat moral, une question de confiance, d’intérêt, de représentativité, dont le peuple contractant est le seul juge qui monnaie souvent sa docilité légendaire en versatilité cyclique, constante et régulière face aux imprévus sociaux. 

 

Bon ! Notre sujet, d’Aujourd’hui, est qu’un rapport final dit 5e round de dialogue politique ivoirien a permis l’attelage consensuel de ceux toujours sous l’emprise du Diable nébuleux avec le grand Satan en personne toujours au commande de tous les leviers démocratique et électorale, ces deux se donnent désormais les mains pour avancer en claudiquant vers un destin d’enfer pour le peuple souverain, qu’ils aiment à taxé de débauche de bonnes élections pour 2023, et à dire de progrès social et de paix sociale pérenne. Or dans cet attelage circonstanciel d’une assemblée à composition diabolique, démoniaque et satanique, l’autre est prêt à liquider son voisin, et les clans fractionnistes d’appartenances se regardent comme des armées rivales. Et les prisonniers politiques depuis onze «11» ans garnissent les lieux de détentions tous ressortissants d’une crise électorales, celle de 2010. Or on veut faire croire ici, que ceci ne solde nullement le socle de la paix sociopolitique, en réalité soldé depuis 2010, le substrat de l’état de droit républicain et démocratique est annihilé et anéantie depuis 2010. Ce qui a entraîné la lamentable déchirure sociale difficilement oubliable et les ostensibles affrontement intercommunautaire constantes, la dévalorisation de la représentation nationale ivoirienne dans le concert des nations par la promotion clanique des gens qui sont plus soucieux de leurs intérêts que du Bien public est-là patent, l’amateurisme sociopolitique et la haine insatiable dans la gestion étatique, soutenue par la génuflexion, la courbette, la prosternation, le « Flêkê- Flêkê » semblent réduire la politique à la piteuse tentative de gommage des sources de paix et de dégommage des substrats de stabilité politique des traces politiques indélébiles du mastodonte Felix Houphouët Boigny. Et avec le règne de Dieu l’argent, le bonheur perdu à trouver un support dans les tonnes de cocaïnes pour aller se refugié dans les Bétons et les goudrons en dehors du progrès humain. En compagnie de la vie très chère, un petit exemple dans les pays de la zone UMOA le sachet d’Eau coute 25 F CFA ici a-chez-nous-pays c’est 50 F CFA. Parce que nous sommes un pays à développement de vitesse effrénée et incotùolée.

 

Oui, l’emprise des politicards impénitents, fulminatoires, trameurs, outrageux, affairistes, truands, magouilleurs, logé à la limite du voleur, gêne la marche de notre pays vers un état de droit, vers un état Républicain démocratique. Leurs  pouvoir du système Ploutocratique se nourri de mensonge d’état.  Or le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce qu’il tue insidieusement et le mensonge d’état est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan « le troisième Mandat a fait combien de Morts et de Blessés ? ». Et hélas ! Cette barbarie affairiste et de voyoucratie politique, est devenue maitre de notre destin commun, et reste confortablement au commande du navire ivoire, qui roule vers l’abime économico-socio-politico-électoral en 2023-2025 et suivants. Donc, il est question pour nous de dénoncer ce pouvoir ploutocratique, mytho-maniaque et ses mensonges d’état, autour des élections qui se doivent d’être transparentes démocratiques, pluralistes en 2023-2025 et suivantes et dans un processus, qui doit se situé au-dessus de tous les pouvoirs d’états, en ce qu’elles enfantent les pouvoirs d’états. « Pouvoir d’état né du peuple s’entend». Oui, la côte d’ivoire va mal et très mal même. Donc, comme nous l’avons toujours dit, la côte d’ivoire est devenue un pays de Merde dans le concert des nations policées. Le mépris des droits et l’obstruction aux règles démocratiques universelles par une ploutocratie affairiste et mafieuse en sont la cause. « Il n’a pas de bon remède, sans un juste diagnostic. C’est le but visé par cette C-KOUMA avant la danse du Diable en 2023-2025 et suivants.». La côte d’ivoire d’aujourd’hui est le produit du pouvoir absolu d’hier, seuls les ivoiriens unis feront la côte d’ivoire de demain. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

Un KOUMA, dit en passant de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

Partager cet article
Repost0
7 mai 2022 6 07 /05 /mai /2022 02:11
Lepetitfils : Peut-être, cette Chronique pourrait être considéré comme les débris épars et diffus, d’une Guelle cassée d’un éclectisme impassible de combattant, par une tentative de fermeture forcée, mais rester rigide dans une position ouverte à impossible fermeture. Mais, c’est connu de tous, les esquives stratégiques ou synchroniques dans une résilience endurcie, sont l’apanage des vrais combattants. Même si, cette espèce est visiblement en voie de disparition en côte d’ivoire à cause d’une extermination ploutocratique d’ultralibéralisme de jungle, ou tout a un Prix, et où Dieu Argent règne en maitre et Roi absolu.

Lepetitfils : Peut-être, cette Chronique pourrait être considéré comme les débris épars et diffus, d’une Guelle cassée d’un éclectisme impassible de combattant, par une tentative de fermeture forcée, mais rester rigide dans une position ouverte à impossible fermeture. Mais, c’est connu de tous, les esquives stratégiques ou synchroniques dans une résilience endurcie, sont l’apanage des vrais combattants. Même si, cette espèce est visiblement en voie de disparition en côte d’ivoire à cause d’une extermination ploutocratique d’ultralibéralisme de jungle, ou tout a un Prix, et où Dieu Argent règne en maitre et Roi absolu.

*- Chronique KOUMA : Un Affairisme à visée ploutocratique dédouanée de morale.

 

Bon ! Revenons-en ici pour nécessité absolue sur des dires déjà lus et entendus, face aux enjaillements puérils et illusoires orchestrés par idées obscurantiste et un démoniaque dynamique exutoire, qui veut que, notre pays pourtant installé dans un capharnaüm kafkaïen chez pétaudière, serait en voie de développement. Que, la côte d’ivoire dans le désordre systémique aspire à devenir une économie a revenue intermédiaires d’ici 2035, et à rejoindre les pays à revenus élevés à l’horizon 2050 avec une dette astronomique sur la tête dans le concert des nations indépendantes et souveraines. Quel diversion mytho-maniaque, quel leurre exutoire, quand on voit le pays installé dans le plus grand désordre social d’Afrique. Une des tous petits exemples de ce désordre dit évolution pris à bas échelles dans le commun des mortel, est d’entendre dire par un individu a un autre « tu ne sais pas que le pays à changer, aujourd’hui-là, je peux t’agresser puis y a rien » et de grommeler au départ de l’agressé verbal. Et la bulle d’en haut vous dira certainement que c’est entre eux, qu’elle n’est nullement concerner par ce résultat d’une politique gouvernante de la totalité sociale. Oui, le pays a peut être changé.

 

Or lesdites grandes institutions financières, «pourtant support systémique du pouvoir d’Abidjan», en conviennent que: «L’embellie économique cache encore des poches d’inégalités sociales et des courbes de chômage en côte d’ivoire». Donc ici, il y a lieu de mettre l’homme au centre du débat économique, le citoyen au cœur de toute politique économico-sociopolitique et développementale. Oui au-delà de l’éphorie suscitée par les gains facile que l’on tire du chaos social, au-delà d’enjaillement enfantin, au-delà des rêves soporifiques, notre patrie la côte d’ivoire est devenue, comme un homme, qui marche sur la tête ou  qui a chuté du dixième étage d’un immeuble, et chemin faisant dans sa chute vers les rochers au sol, qui se répète sans cesse, « jusque-là tout va bien ! Jusque-là tout évolue le plus normalement du monde». Ici nous appelons la nature au secours pour qu’elle nous en garde des effets catastrophiques évidents et des conséquences désastreuses certaines d’un atterrissage non-amorti sur les rochers désordonné à l’arrivée au sol. Bon ! La cause de cette chute du dixième étage de l’honneur ? Eh bien !  Une politique Affairiste démoniaque dédouanée de morale, une gestion gouvernementale ploutocratique non-maitrisée sourde et aveugle, une société dévalorisée, déroutée, déshumanisée, dénaturée, et dépravée.

 

Oui, ici sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant l’orage économique cyclique et des tempêtes financières catastrophiques résultantes d’une dette astronomique, qui n’épargneront personne en côte d’ivoire. C’est un constat irréfragable au vu de la situation sociopolitique et économique délétère, de désordre sociétal anomique, de liquidation sociétale public, qui décide du sort du modèle de société à vivre. Notre pays la côte d’ivoire doit, au-delà de la course mafieuse à l’enrichissement, au-delà du développement bétonnier et de l’évolution goudronnière, doit pour soulever la tête pour regarder bien la distance à parcourir, a l’image de certains dits petits pays Africains de l’Ouest, « 2 aujourd’hui » qui se sont abstenus de s’inscrire dans une logique de progrès étoiles-filantes, pour préférer marcher a petit pas bien mesurés et infaillibles. Donc pour la côte d’ivoire, il est question de visé un développement gradué et graduel, infaillible, bien agencé, dans l’ordre social, et dans le respect de nos valeurs sociales. La côte d’ivoire a besoin d’abord et avant tout, d’ordre social, d’ordre de la sociabilité humaine. Oui, on ne peut pas vouloir aller à un développement et entretenir sciemment une cause de crise économico-sociale pour des intérêts mafieux, égoïstes, égocentriques.

 

Vouloir aller à un développement social, c’est soutenir une grande cause qui garantit les perspectives d’avenir économico-sociopolitique de la totalité sociale dans le temps, débarrassée des scories passéistes de la défense de tous intérêts ciblés « autres que généraux » et particuliers. Vouloir aller à un développement, c’est œuvrer à restaurer l’ordre social au terme d’une politique fédérative et c’est défendre l’intérêt général de la totalité sociale dans un agencement doctes, et avec des lunettes esthètes futuristes, en transcendant son propre être. On ne peut prétendre vouloir aller à un développement social et d’entretenir sciemment la course diabolique, démoniaque et désordonné, a un enrichissement à tout prix, à tous les coups. Le tout sous la gouvernance des petites brouilles politiciennes d’intérêts égoïstes, égocentriques et compromissoire a fin de préservé des intérêts indus. Là où la règle édictée, est que les individus s’entre-déchirent autour des intérêts contre-publics, contre-nature, égoïstes, égocentriques et mafieux. Des individus adeptes et adorateurs de Dieu l’argent, du gain facile, avec des politiques qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement. Oui, vouloir aller à un développement c’est défendre les sujets d’intérêts publics biens maitrisé et bien contrôlé, dans tous ses contours présent et futur, qui se rapporte à la vie de demain, de l’harmonie en société et à l’avenir de la nation dans le concert des nations.

 

Et surtout vouloir aller à un développement, c’est inscrire le bien commun dans la durée et dans schéma de la conduite de la nation qui doit rester souveraine à sa juste place dans le concert des nations. En l’absence de tous crépitements des armes  «fusils. Surtout dans la stabilité économico-sociopolitique, dans l’unité et dans le respect strict de la diversité sociale, de la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieure de l’égalité de tous, dans le renforcement du substrat de la société par le rigorisme juridique et par des lois nationales en tenant compte de la nature propre aux différentes traditions sociales, culturelles et religieuses de chaque communauté nationale et de chaque localité de sous-groupe. Aussi dans la préservation dans la paix de l’intégrité territoriale, de la cohésion sociale, de la solidarité diverse nationale et de l’harmonie communautaire, aujourd’hui soldées, par une politiques mercantiliste abjectes, ou même les propriétés immémoriale passe à la trappe de la loi de la jungle, ce qui a entraîné la déchirure sociale, la fracture communautaire et la dégénérescence de la totalité sociale ivoirienne au profit de la quête effrénée de dieu l’argent ou les tonnes de cocaïnes se trouvent intempestivement déversé dans notre société, en dépit de nos valeurs sociétales. D’où dans la société ivoirienne, c’est installé le clanisme mal saint, et s’est ancré l’intolérance et le sectarisme dans sa vie quotidienne, donc plus de réflexions collectives, plus d’ouverture vers l’autre, la priorité demeurant le moi et Dieu l’argent ou rien.

 

Donc, notre pays, la côte d’ivoire diamétralement opposée à l’ordre social, s’est inscrite sur un registre, véritable sécession mentale soutenue pour la défense des intérêts individuels ou particuliers, qui a pris pied, soutenue par une criminelle et politicienne politique économique dirigiste d’emprisonnement volontaire du peuple souverain dans un illusoire carcan de certitudes bétonnées. Où les slogans exutoires sur le développement et sur le progrès social tambourinés, étouffent la moindre prise en compte des analyses doctes, esthètes, intellectuellement critiques, objectives, scientifiques. Or la côte d’ivoire a besoin d’abord et avant tout de l’ordre social systémique, et de nouvelles pratiques politiques qui feront porter la délibération politique collective sur des sujets et objets réels et non sur des fictions politiques et des mythes fabriqués de toutes pièces, que de prétendu développement dédouané de stabilité économico-sociopolitique. Donc, comme le lien social est éminemment politique, notre pays se voit astreinte de faire tout pour que chacun soit restauré dans ses droits, dans tous ses droits juridiques, civils et politiques, y compris le droit de la propriété immémoriale régis par le droit international coutumier. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie communautaire est à ce prix, la paix sociopolitique est à ce prix, le réel progrès social pour tous est à ce prix, le vrais développement est à ce prix.

 

Mais hélas ! Aujourd’hui toutes les analyses à cette fin pour qu’advienne l’ordre social systémique, et de nouvelles pratiques politiques, s’opposent à un affairisme au cœur de l’état, qui ne se fait pas de soucis pour la gestion paisible de la totalité sociale souveraine. La côte d’ivoire est sous une mafieuse ploutocratie hermétique d’un régime déviant. Une ploutocratie extatique a occasion, schizophrénique face à l’adversité, et atteint de maladie de mensonges au sommet de sa hiérarchie, a la recherche éperdue du sensationnel, de l’extraordinaire et du jamais vue au pays. Quoi de plus normal, une ploutocratie est le pouvoir de/par l’argent. Et est un état de société où la richesse est le nerf principal des choses, où l’on ne peut rien faire sans être riche, où l’objet principal de toute ambition économico-sociopolitique et même électorale est de devenir riche. Où la capacité et la moralité s’évaluent par la fortune même à la couleur de la cocaïne et du sang. La ploutocratie est l’idéologie  politique de survie des sujets du Fonds monétaire international (FMI), de la Banque mondiale, de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et des finances internationale grandes usurières internationales. Nous y sommes. Oui, il est constant de par monde, que l’on ne se tait pas dans une crise, pour sortir par la bonne porte de cette crise sociale.

 

Oui, en côte d’ivoire la recherche de la docilité du peuple par la levée des interdits sociaux,  ou la fermeture des yeux sur des non-droits sociétaux par les gouvernants ploutocrates a fini de provoqué l’amoralité, la dépravation des mœurs. Et entrainer des bouleversements de valeurs sociales avec la force matérielle et Dieux l’argent comme mesure de valeurs sociales, l’exclusion économico-sociopolitique schématisée sur des bases partisanes, le tissus de la cohésion sociopolitique mis en lambeau par lutte et courses des intérêts opposés, les fibres communautaires sectionnées par la logique du plus fort nantis, de la loi sourde et aveugle de jungle, la chasse aux sorcières soutenu par la concrétion de la haine insatiable, les persécutions politiques téléguidées, les anathèmes sociopolitiques orchestrés, les excommunications démocratique-électorales planifiées, le harcèlement socio-moral, l’escroquerie morale et intellectuelle, l’obstruction à la paix sociale, aux droits et à la liberté, par le refus de tourner une page sombre a  jamais honteuse, par une voie légale d’Amnistie générale référendaire, que connait notre pays la côte d’ivoire, a fini par plongé la totalité sociale dans l’obscurantisme moutonnier et le panurgisme d’animal dressés, qui ne demande qu’à manger. Une partie naïve du peuple entrainer dans la levée d’interdits ce fait complice.

 

Bon ! Maintenant que la réconciliation se limite aux modes d’organisation des  élections a venir,  que chaque jour des failles et fricotages se dévoilent et qu’on déserte en foule les positions de certains officines politiques, avec une intelligentsia pas moutonnière mais n’a plus de voix, l’angoisse est désormais partout permanente comme s’il fallait redouter chaque jour et chaque heure le risque de voir s’abattre des décisions puériles d’une gouvernance mal maitrisée. Nous voilà aux aguets à tout redouter des inconséquences d’un pouvoir non-maîtrisé dérivant vers un but que les tenants de ce pouvoir sont incapables de préciser, emportés qu’ils sont par le courant d’administration ploutocratique sacro-saint en son sein. Oui, désormais entre nous citoyens « Légitimité Citoyenne qui tient à son compteur de droit» et les tenants du pouvoir par mise du compteur de droit à Zéro, dans tous les sens, la rupture est totalement consommée. Rupture insignifiante aujourd’hui, mais peut-être tragique demain pour la démocratie et l’état de droit, est là, béante. Chaque citoyen vertueux et conscient vit, rempli d’appréhension, quand malgré le désordre social et l’instabilité socio-économique, le chef ploutocrates et ses séides entonnent la ritournelle de la rhétorique auto-satisfactionnelle sur le progrès et le développement.Et ainsi de dangereux ressentiments susceptibles de fragmenter encore plus la cohésion sociale évidemment ainsi mis en pépinière en résulter. L’horizon ivoire n’est plus ombrageux mais très nuageux, pas besoin de lunette pour le voire.

 

La vie sociale ivoirienne à franchit une ligne rouge entre notre atavique civilité, courtoisie et paix, vers une société de haute criminalité, de grand désordre et d’immoralité. Ou même les propriétés immémoriales sont assujetties à la force matérielle des muscles et des armes. La côte d’ivoire est devenue la terre de tous les chaos sociaux, plus grave, elle est engrenée progressivement dans un multiculturalisme criminel, ou tous les petits malins ont leurs Lois importées de diverses horizons, a dictée l’obscurantisme aidant et a imposé au peuple ivoirien, désormais docile, acculturé. D’où un besoin de régulation sociale, prescrite dans une nouvelle norme de régulation sociale, élaborée strictement dans les règles de l’art qui sied à la matière. Une nouvelle norme de régulation sociale, qui doit proscrire la multi-culturalité d’implantation dans la société ivoirienne, désormais aux mœurs dépravées  La côte d’ivoire déboussolée est devenue une société aux mœurs dépravée. Une société ou la transplantation des cultures sociétales de certains pays ouest Africains est sources de valeurs. Donc une société ou la mesure de valeur sociale est prise à l’aune des cultures d’implantions.

 

Une société ou le socle moral se mesure aux prismes des pratiques d’importations de petits malins obscurantistes. Une société ivoirienne qui ne présente rien qui est porteur de lendemain meilleur, même pour les ennemis jurés. La légalisation par cautionnement du désordre délinquant des larrons dans une foire n’est pas développement, la vulgarisation de l’anarchisme social des petits anarchistes délibérés n’est pas progrès social, l’instauration sociétale du tout permit par une politique Attrape-tout n’est pas construction national. Le progrès social d’après l’indépendance sous Félix Houphouët Boigny ou l’ivoirien était logé au pavillon d’honneur dans son pays, est tel identique au estampillé dit progrès d’aujourd’hui non !!! Oui, non !! La ploutocratie en est la cause, le désordre en n’est la cause, le tout permis mafieux en n’est la cause. Et n’en déplaise, cela se remédie.  Pauvre côte d’ivoire !  Il en va de la médecine comme de la politique il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. La côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive. Et comme le dit, l'ambassadeur des États-Unis d'Amérique en Côte d'Ivoire, Richard K. Bell « La liberté de penser et d’exprimer sa pensée publiquement est fondamentale pour un environnement sociopolitique sain. Car c’est en exposant les problèmes que l’on se donne le plus de chance de les corriger. La meilleure protection contre le risque de tyrannie, c’est la liberté de critiquer les gouvernants ».

 

Voilà ce qui est dit, est dit, en essentiel si dessus.

 

(« Maintenant, ceci étant dit, il faut ré-souligner ici, entre guillemet en accessoire à l’essentiel ci-dessus: Que «Anti-X ? Anti-Y ? Lutte personnifié ? NON !!! La personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent, ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous, et qui décident de la vie de chacun. Donc Engager dans la recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de la stabilité sociopolitique, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix Houphouët-ienne, nous avons depuis le départ bien avant 1994, librement préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, ni rémunération pécuniaire, pour donner un autres sens à notre vie. Ce choix libre est soutenu par notre éclectisme impassible, qui ne peut s’accommodé avec le panurgisme moutonnier bouche-cousue. Il faut le dire, pour nous à la légitimité citoyenne, la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général et au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Donc, pour nous toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique Donc pour nous la politique n’est certes pas l’UFR, ni la Fac, ni Normal-Sup, ni  Science-Po, mais elle n’en demeure pas moins un noble art, puisqu’on nait intellectuel. Donc c’est un concours national de représentativité, qui se gagne avec l’adhésion libre du peuple souverain, qui demeure le seul socle de pouvoir légitime. Et la vie démocratique est l’apprentissage des limites, avec selfs contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible, et l’exercice politique exige l’autocontrôle, l’autocritique et la contrition, elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité, du consensus, a toute épreuve, au tour des règles loyales, qui régissent la vie en commun, tout en admettant l’autre comme son égal en droit et devoir.

Par ailleurs, dans un sens beaucoup plus restreint, dans notre entendement, le terme politique renvoie à des luttes pacifiques de pouvoirs, des actions d’équilibrage de la société commune et de la représentativité entre hommes et femmes de pouvoirs et les différents partis politiques qui les soutiennent, auxquels ils appartiennent, avec la participation de tous à la vie politique de leurs pays sans exclusive. Ici rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à toutes les citoyennes et à tous les citoyens qui ont le même droit dans l’assiette territoriale nationale. Pour nous donc, la politique, la vraie ! C’est dissuader, c’est convaincre et persuader, c’est persévérer, à toute épreuve dans les mêmes positions et dans les mêmes discours et y persister dans la pire des situations au risque de sa vie physique. «Mouvement d’utilité citoyenne, Doublement Centriste, Républicaine Sociale, et Houphouétiste enragée, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre pays et de notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne et surtout notre espérance à un avenir meilleur, malgré le sempiternel chaos social du moment à nous imposer »).

 

Enfin soulignons ensemble que : La côte d’ivoire ne s’en sortira jamais par la voie judiciaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par le régulation économico-sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’ordre social restaurer, qui proscrit la loi de la jungle, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la stabilité sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’harmonie communautaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la paix Houphouët-ienne, d’où l’injustice judiciaire est préférable au désordre sociopolitique endémique , la côte d’ivoire ne s’en sortira que par une Amnistie générale référendaire des faits querellés de 1994 à la date du vote référendaire de cette Amnistie générale référendaire et consensuelle. Ce qui signifie pour nous ivoirien que, les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du peuple souverain et l’état, pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Aujourd’hui plus que jamais, il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril sociologique, déchirée en lambeaux entre des intérêts obscurs. Donc, tous fondus dans une moule ivoire régulatrice pour la côte d’ivoire,  est l’unique solution invariable.   Les combats légitimes de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique avant 2025. Le peuple ivoirien, ne veut plus de procès judiciaire intempestif cycliques qui trouble l’ordre social ivoirien.

 

Bon ! Aujourd’hui, peut-être, cette tribune pourrait être considéré comme les débris épars et diffus, d’une Guelle cassée d’un éclectisme impassible de combattant, par une tentative de fermeture forcée, mais rester rigide dans une position ouverte à impossible fermeture. Mais, c’est connu de tous, les esquives stratégiques ou synchroniques dans une résilience endurcie, sont l’apanage des vrais combattants. Même si, cette espèce est visiblement en voie de disparition en côte d’ivoire à cause d’une extermination ploutocratique d’ultralibéralisme de jungle, ou tout a un Prix, et où Dieu Argent règne en maitre et Roi absolu. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

 

*-De Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

Partager cet article
Repost0
22 avril 2022 5 22 /04 /avril /2022 13:30
Procès de Nuremberg: Le procureur général américain Robert H. Jackson le 21 novembre 1945

Procès de Nuremberg: Le procureur général américain Robert H. Jackson le 21 novembre 1945

« EXTRAIT LITOTE. A relire après ajustement de l’erreur. MERCI»

Après la première guerre mondiale, les hommes de bon sens avaient demandé qu'une législation condamne plus sévèrement la guerre et qu'elle condamne non seulement les méthodes barbares des guerres modernes, mais encore les guerres d'agression ou les guerres dirigées contre la civilisation. Une fois de plus, les hommes d'Etat n'ont pas osé aller jusqu'au bout et se sont arrêtés en route. Ils ont été, dans leurs tentatives, trop timides, trop prudentes et souvent trop confuses. Cependant, après 1920, les guerres d'agression ont fini par être déclarées contraires à la loi.

Le principe selon lequel les guerres d'agression sont contraires à la loi a surtout été fixé dans le pacte Briand-Kellog conclu en 1928 et par lequel l'Allemagne, l'Italie, le Japon et presque toutes les nations du monde renonçaient à la guerre comme instrument de politique internationale, s'engageaient à chercher les moyens de régler à l'amiable les différends qui pourraient s'élever entre eux et déclaraient la guerre hors la loi en tant que moyen de régler des différends internationaux. Ainsi que l'avait déclaré en 1932 M. Stimson, ministre des Affaires étrangères des Etats-Unis, une telle guerre ne peut plus être ni le fondement, ni l'objet de droits ; elle ne peut plus être le moyen de défendre les traditions ou les droits d'une nation ; elle est tout simplement contraire à la loi.

Le protocole de Genève de 1924, relatif au règlement à l'amiable des différends internationaux, et signé par les représentants de quarante-huit gouvernements, a déclaré qu'une guerre d'agression était un crime international. Dans une résolution adoptée à l'unanimité par les représentants de quarante-huit Etats, y compris l'Allemagne, la huitième séance plénière de la Société des Nations a déclaré à son tour en 1927 qu'une guerre d'agression constituait un crime international. A la sixième conférence panaméricaine de 1928, les vingt et une républiques américaines ont adopté à l'unanimité une résolution disant que la guerre d'agression était un crime international commis contre l'humanité.

Recourir à la guerre, à n'importe quelle guerre, signifie avoir recours à des moyens qui, dans leur essence, sont criminels ; car elle représente inévitablement une série d'assassinats, d'agressions, d'attentats contre la liberté et d'atteintes à la propriété. Une guerre défensive est bien entendu légale et ceux qui la font conformément aux conventions et règles en vigueur ne se rendent pas coupables d'un crime. Il en va tout autrement pour les accusés. J'ai dit qu'il existait un accord qui interdisait les guerres d'agression et que ceux qui ont poussé à la lutte ou à la guerre se sont mis eux-mêmes hors la loi, et qu'obligatoirement ils doivent se soumettre à un jugement qui s'appuie sur les principes d'incrimination universellement reconnus. Les principes qui permettent d'établir les crimes de guerre et les crimes contre l'humanité nous sont connus et ne nécessitent pas d'autres commentaires.

A la lumière des sentences du droit international et autant qu'il puisse être prouvé dans ce cas, je propose de qualifier d'agresseur l'Etat qui, le premier, commet un des actes suivants :

1°) déclaration de guerre à un autre Etat ;

2°) agression armée contre le territoire d'un autre Etat avec ou sans déclaration de guerre ;

3°) agression contre le territoire d'un autre Etat, à l'aide de forces terrestres, navales ou aériennes, avec ou sans déclaration de guerre ;

4°) mesures pour soutenir des bandes armées dans le territoire d'autres Etats, ou refus, malgré la demande du pays attaqué, de prendre des mesures dans son territoire, de retirer à ces bandes tout appui et toute protection

Je pense qu'on estime en général que des considérations politiques, militaires, économiques ou autres ne doivent pas servir d'excuse ou de justification à de telles mesures, mais que s'il s'agit du droit de légitime défense, c'est-à-dire de s'opposer à un acte d'agression, ou d'une aide accordée à un Etat attaqué, on ne peut parler de guerre d'agression. Le principe de la responsabilité personnelle pour la piraterie et le vol sur les grands chemins, qui ont été reconnus depuis longtemps par le droit des gens comme des crimes passibles d'être punis, est très ancien et bien fondé. Il en est de même de la conduite d'une guerre illégale. Ce principe de la responsabilité personnelle est aussi nécessaire que logique, si le droit des gens doit servir au maintien de la paix. Un droit des gens qui ne se rapporte qu'à des Etats, ne peut être pratiqué que par la guerre, parce que la méthode la plus efficace pour exercer une pression contre un Etat est la guerre.

Mais l'expérience a également montré que les guerres ne se laissent plus localiser. Toutes les guerres modernes aboutissent finalement à des guerres mondiales et il n'est pas possible à une grande nation d'éviter d'être entraînée. Si nous ne pouvons pas éviter d'être mêlés à la guerre, il reste l'espoir de la prévenir. Je me rends trop bien compte des faiblesses d'une intervention purement juridique pour prétendre que la décision prise d'après ce seul statut peut empêcher toute guerre future. Les procédures juridiques suivent toujours le fait accompli. On n'entreprend des guerres que lorsqu'on croit pouvoir les gagner. Menacer les fauteurs de guerre de sanctions sur leur personne s'ils perdent la guerre n'est pas un moyen suffisant pour l'empêcher, si les agresseurs estiment que le danger d'une défaite est minime. Mais le dernier moyen d'empêcher le retour continuel de guerres qui seront inévitables tant qu'existera un système d'illégalités internationales, est de rendre les hommes d'Etat responsables devant la loi. La seule façon d'en finir avec les tyrans, la force et les agressions est de soumettre tous les hommes à la même loi.

La véritable accusatrice ici est la civilisation. Elle attire l'attention sur les conséquences effroyables des attaques et des crimes. Elle attire l'attention sur l'affaiblissement physique, sur l'épuisement des sources de revenu et sur la destruction de tout ce qui avait été si beau et si utile dans de si nombreuses parties du monde et sur la possibilité de destruction encore beaucoup plus grande à l'avenir. Au milieu des ruines de cette ville antique et belle, où des milliers de personnes se trouvent encore enterrées sous les décombres, on n'a pas besoin de chercher longtemps des arguments pour appuyer l'idée que le fait de préparer et de mener une guerre d'agression est, au point de vue moral, le pire des crimes.

Les accusés n'ont plus qu'un seul espoir, celui que le droit des gens soit resté tellement en retard sur le sens moral de l'humanité qu'un crime, selon la conscience, ne soit pas considéré comme tel devant la loi. La civilisation se demande si la justice est tellement arriérée qu'elle se trouve complètement impuissante devant des crimes d'une telle ampleur et commis par des criminels d'une telle envergure. La question n'est pas de savoir comment rendre la guerre impossible, mais comment une procédure, fondée sur le droit des gens, pèsera dans la balance pour préserver désormais la paix et pour permettre aux hommes et aux femmes de bonne volonté de vivre libres et sous la protection de la loi.

Procès de Nuremberg: Le procureur général américain Robert H. Jackson le 21 novembre 1945

---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

 

(NOTRE COMMENTAIRE ? NOUS EN OSONS UN « 1 ».

 

De 1914-1918 et 1935-1945 au 24 février 2022 et suites ou suivants, les principes sont-ils devenus monnayables ? Et à quel prix ?

 

Comment prétendre respecter le sens de la justice internationale et resté passive devant une guerre d’agression délibérée ?

 

Quelle fierté peut-on tirer de la destruction d’une nation et du génocide d’un peuple ?

 

Le droit et la liberté, l’espoir et la quête de paix d’un peuple, peuvent-ils être soumis aux chantages des armes matériels ?

 

Les rapports étatiques du 21e siècle, comme depuis la nuit des temps doit-elle s’éternisé dans la logique de jungle ?

 

Oui, dans ce monde, du 21e siècle,  si le défi doit avoir un sens pour l’humanité et la civilisation, il importe dès lors de défier le camp de la  barbarie de la guerre d’agression, de l’injustice et de l’arbitraire, qui s’en prend aux valeurs de droits, de libertés, et de paix internationale.

 

Bon !  Face à une guerre d’agression, ou bien le monde fera le choix de la civilisation, ou bien nous demeurons tous dans la barbarie sanguinaire, des guerres agressions, injustifiable, irrecevable et inacceptable pour le sens de l’Humanité. Guerres d’agressions qui, est un Phénomène révélateur de la mentalité retardataire et de la culture de l’arbitraire, fondée sur la loi de la jungle, qui peuvent conduire a tout, oui a tout.

 

Hélas ! C’est un constant aujourd’hui en ce 21e siècle, la civilisation et l’humanité pèse quoi face aux Bombes de toutes sortes, surtout le nucléaire et le chimique et autres ? Donc pauvre du Monde, pauvre de Moi. Tout comme abasourdie face à la côte d’ivoire Du 18-19 septembre 2002, face à l’Ukraine de février 2022 qui suis-je ? Oui, qui suis-je ?

 

Mais de 1914-1918 et 1935-1945 au 24 février 2022 et suites ou suivants, les principes sont-ils devenus monnayables ? Et à quel prix ?  La civilisation et l’Humanité espère connaitre ce prix « nouveau ».)

 

Lepetitfils Da Candy Leader de la legitimité citoyenne.

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le blog de Lepetitfils Da Candy
  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
  • Contact

Profil

  • dacandylepetitfils
  • DA CANDY LEPETITFILS:
Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...
  • DA CANDY LEPETITFILS: Juriste (publiciste et internationaliste) militant des droits de l'homme et des libertés publiques et leader d'un mouvement politique d'utilité citoyenne en côte d'ivoire. En exil forcé...

Texte Libre

Recherche

Catégories

Liens