Lepetitfils : L’ébauche est là, en 2025 tout le monde serait candidat, et d’autre avec l’ambition de conserver le pouvoir a tout prix. Alors, pourquoi ne pas opter pour une organisation politico-électorale, adapté à la situation de crise ivoirienne ? C’est à dire un organisme électoral APOLITIQUE, AUTONOME et Indépendant des hommes politiques et organisations politiques, puisqu’il y a des gens dans ce pays qui ne connaissent et ne parle que de leur GNAMIEN-PWGLI, DES DIEUX au-dessus des candidatures politiques et qui ne prônent que la paix ? Oui, il y a péril !
«D’emblée disons que, tout récemment, au Brésil, Luiz Inacio Lula Da Silva, a battu avec 50,9% - « voix 60 345 999, à 77 ans et après un passage en prison, «au Trou quoi ! Comme on dit ici A-chez-nous-pays», Jair Bolsonaro président sortant qui a plafonné à 49,1% - «voix 58 206 354», parce que ce dernier bien que président de la république, n’avait aucune emprise sur le processus électoral, situé au-dessus de lui, et qui enfante les élus. D’où le désespoir de ses camionnés partisans. Oui, Rien à faire quand le cadre organisationnel des élections démocratique est normal et homogénéité ».
*- Chronique « Kouma: A LIRE ET COMPREDRE : « De par le monde, les peuples libres, cultivés, éveillés et réveillés sont ceux qui lisent, pensent et s’expriment beaucoup».
BON ! disons, qu’ il nous faut soigner la plaie ivoire sur sa surface réelle, bien que, nous avons vu depuis quelques moment que cela fait mal, sinon très mal même. Et pourtant, il va absolument nous falloir avoir le courage de panser la plaie béante-saignante de la côte d’ivoire qui s’exsangue, sur sa vraie surface réelle, sinon elle va inexorablement se gangrénée pour arriver à l’amputions membrane irréparables. Autrement dit, il va falloir dire ou se dire les vérités crues et nues, pour que les mensonges politiciennes orchestrés n’arrivent pas à obstrué, ou a absoudre les vrais risques, les réelles conséquences, et les indispensables solutions sociétales. Donc, continuons à panser la plaie de la côte d’ivoire sur sa surface infectée. Oui, dans la vie humaine, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, redisons que, sont vouées à l’échec, au désordre électoral, et ne peuvent que conduire les peuples, qu’au chaos sempiternel : Toutes organisations sociales, toutes pratiques démocratiques, toutes actions politiques sociétales, toutes actions publiques de gouvernances et toutes entités sociales de multiples communautés, qui ne se fondent pas sur un système qui respecte les principes internationaux, les règles coutumières, et qui ne garantissent les droits des citoyens, égaux en droit et en devoir.
Donc, partant de là, qui ne se fondent pas sur l’acceptations des différences, sur la reconnaissance mutuelle de l’autres dans son originalité absolue, sur le respect du consensus sociopolitique, sur le respect des résolutions des dialogues républicains, sur le respect des pratiques coutumières communes élaborées librement dans le consensus impartial, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité, de droits et de devoirs, sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et sur des normes de régulations sociales acceptées par tous, sur le respect d’un organisme électoral Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, totalement Indépendant, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à l’affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes, sur le respect des principes de représentations sociopolitiques, prescrits dans un corpus de normes électorales, qui met tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord, parce que tous égaux en droits et devoirs, disons-nous donc, en l’absence de ces grands principes tous sont vouées à l’échec et ne peuvent que conduire le peuples au chaos.
Oui répétons-le, la voie souveraine, du dernier pansement sans succédané a administré à la plaie ivoire, pour une guérison définitive, est une Amnistie générale référendaire, de l’ensemble des faits criminels de la crise ivoirienne du 24 décembre 1999 au 18-19 septembre 2002 en passant par 2011-2020 jusqu’au au jour du vote référendaire. Et de dédommagé de droit, toutes les victimes de la crise. La CDVR de Konan Banny, en n’a fait échos. Bon ! De toute évidence la chose la plus difficile juridiquement à faire à nos yeux dans la résolution « Amnistiante » de la crise ivoirienne est incontestablement la quantification des victimes de la crise, qui se chiffre au-dessus des dix milles « 10.000 » morts. Puisqu’un nombre considérable de victimes vivantes, préfère garder l’anonymat pour des raisons d’honneur. « Je vais expliquer à qui ? ». Donc, la résolution « Amnistiante » doit partir du postulat que, la crise ivoirienne n’a plus besoin de diagnostics causal connu de tous, c’est le pouvoir absolu, le carriérisme pathologique et l’arrivisme politique qui en sont la cause unique. Donc elle n’a besoin que de diagnostic solutionnaire, qui pour être efficace et définitive, doit tenir compte que, plus qu’Hier, qu’Aujourd’hui les ambitions politiques multiples carriéristes claniques et arrivistes renégats, sont plus que jamais montés d’un cran pour se fixé à la limite de l’acceptable. Se faisant de réarmée la crise sociopolitique d’une main de fer contre la totalité sociale souveraine. Donc, cette œuvre solutionnaire de la crise, doit s’appuyée sur un système de jeu politique Autonome et Apolitique.
*- C’est de l’avenir qu’il s’agit, quand le peuple délibère par voie d’Amnistie référendaire sur les grandes questions.
Oui ! Tout le problème sociopolitique est manifestement et incontestablement là, un système de jeu politique Autonome et Apolitique. Sinon comment les hommes politiques ivoiriens spécialistes des dribles d’adversaires et partenaires, des endurcie à prendre tout le monde à contre-pied, sous les narrations élucubrées ou commentaires et l’applaudissement des juridictions électorales, pourrons arriver à se regarder dans un miroir, au mépris de leurs intérêts politiques ou politiciennes du moment, mis en jeu dans une situation de crise électorale et sociopolitique abracadabrantesque. Des hommes politiques ivoiriens qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leur dessein mafieux d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses. Leur credo politique au tour du système des élections démocratiques est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Leur unilatéralisme monarchiste est l'affirmation en acte de la volonté dictatoriale d'infléchir, ils ne désespèrent pas de pouvoir corrompre le destin du peuple pour le réduire à leur seule exigence mercantiliste, pécuniaire, égocentrique au service de Dieu l’Argent. Oui, La maladie de mensonges incurables s’est installée au cœur du système politique ivoirien et au sommet de l’état ivoirien. D’où incontestablement le carriérisme pathologique, l’arrivisme renégat, la défense des intérêts particuliers, l’affairisme mafieux ont fini de désintégré le corps de la totalité sociale et le corpus social, pour ensuite rendre tous inconciliables.
Tous inconciliables : La société devenue aujourd’hui inconciliables avec ses valeurs sociales d’antan et ses mœurs ataviques. La nation souveraine une et indivisible devenue inconciliable avec la solidarité communautaire diverse. La politique ivoirienne devenue inconciliable avec la démocratie réelle. Les élections devenues conciliables avec les votes citoyens 90% à 80% d’abstention aux dernières élections. L’exercice du pouvoir d’état devenu inconciliables avec les droits inaliénables du peuple et les libertés publics et individuelles. Le pouvoir d’état devenus inconciliables, avec l’opposition politique réelle. Un parti politique au pouvoir avec une composante attrape-tout aux positions devenues inconciliables. Les hommes politiques divers aux multiples ambitions carriéristes devenues inconciliables. Les communautés nationales diverses devenues inconciliables et antagonistes au tour d’un simple « bonjour » pour que vive les dégâts. La valeur socialiste qu’est le Vivre Ensemble « C’est-à-dire, faire société ensemble dans le consensus, accepter les différences, être à l'écoute d’autrui, faire preuve d'estime, de respect et de reconnaissance envers autrui, vivre dans un esprit de stabilité sociopolitique, de paix et d'harmonie », est devenues inconciliable et antagoniste avec la politique unilatéraliste, absolutiste, dirigiste, et ploutocratique des tenants d’un pouvoir, qui le chante à tout bout de champs. Le Monarque républicain lui-même résultante de notre système politique vermoulu, archaïque, démodé, enfermé dans sa tour illusoire est devenue inconciliable avec toute ouverture politique, démocratique, et électorale. Et pire des pires : Des nihilistes et iconoclastes Houphouët-istes Rassemblés dans un saugrenu panier attrape-tout, devenus inconciliables avec la philosophie politique de paix, de dialogue et de entente de l’Houphouët-isme. Des éléphanteaux d’hier devenus inconciliable avec leur forêt atavique, dorment avec les chameaux du désert, «courbettes et génuflexions pour avoir des places à la table nocturne des convives, bouffe-tout oblige », et Hélas ! De sentir le chameau demain. Que la nature protège le pays d’Houphouët Boigny.
Oui ! Tous Inconciliables. Bon ! Cependant, peut-être, il y a une seule toute petite lueur d’espoir, les désintéressées et répétées Analyses systémiques, expertes, doctes, et esthètes de la LC_CRS, et les vérités crues, les vulgarités nues, des KOUMA intempestives sans nuances, directes et surtout citoyennes, demeurent aussi inconciliables avec l’obscurantisme politique de l’état, et le mensonge éhonté de l’état. L’espoir est là ! Sur cette route de l’espérance citoyenne, vers une régulation juridico-socio-politique, couronnée par une Amnistie générale référendaire. L’espoir est en homme. Donc, il convient ou importe encore ici, de rappeler une fois de plus, que, c’est de l’avenir de la totalité sociale souveraine qu’il s’agit, quand l’entièreté du Corps social solidaire devenue unique, délibère par la voie d’Amnistie générale référendaire sur les grandes questions rattachées à la souveraineté de la nation, ou sur les grandes questions structurantes de la totalité sociale, le tout motivé par/et articulé, à l’intérêt public, à l’avenir de tous et à l’avenir de chacun et au demain de tous. Et c’est là que la totalité sociale souveraine, vise principalement la stabilité sociopolitique de la nation, et la paix sociale pérenne. C’est à cela que la totalité sociale souveraine, doit savoir tout « sacrifier », au bénéfice du bien de tous, de la souveraineté étatique et pour une perspective d’avenir meilleur de la société souveraine, qu’elle anticipe ainsi. Parce qu’en politique, rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir, surtout au terme des crises sociopolitiques, et en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions, pour des intérêts obscurs, pour des avantages pécuniaires, même au détriment de l’intérêt national, de la totalité sociale souveraine et du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état.
*-En 2025 les auras nébuleux et les fausses notoriétés, ne pèseront pas, si son organisation est normal et homogène.
Donc répétons-nous, pour ne jamais l’oublier, l’état est et reste une conception dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont les multiples populations ataviques, renoncent à une partie de soi, à une partie de leur droit naturels individuels ou parcellaires, donc, à une partie de leur liberté naturelle, de leur libre arbitre, et entrer dans les rapports d’une entité commune, et pour faire société unique ensemble, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir dans le respect du libre arbitre de chacun, non-nuisible à autrui, «parce ce que, la valorisation de soi, ne doit absolument pas passer par la négation d’autrui», donc le consensus, et par le dialogue forgé une communauté une et indivisible, ou tout est du convenus. Ici rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à tous et tous les citoyens ont le même droit et le même devoir, la même chance, sans condescendance aucune, dans l’assiette territoriale nationale, tous égaux et consentants. C’est notre vision de la vie sociopolitique, et c’est pourquoi, nous ne cessons de Kouma, et c’est pourquoi, nous vomissons les armes en politique. Oui, face à la difficile régulation sociopolitique d’après-guerre ou d’après-crise, qui passe absolument par l’abandon des désirs de vengeances et de la défense éperdue des intérêts particuliers du moment pour s’inscrire résolument dans la logique souveraine de la défense des intérêts vitaux du pays par une option politique claire, adaptée aux pays du monde du 21e siècle, et opposé aux voracités de toutes sortes. La Côte d’Ivoire doit prendre le train du monde
Donc ressassons, ceux ci-dessus écrit plus haut : « toutes organisations sociales, toutes pratiques démocratiques, toutes actions politiques sociétales, toutes actions publiques de gouvernances et toutes entités de multiples communautés humaines, qui ne se fondent pas sur l’acceptations des différences, sur la reconnaissance mutuelle de l’autres dans son originalité marquante et absolue, sur le respect du consensus sociopolitique, sur le dialogue social et républicain, sur des règles communes élaborées librement, impartialement, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité de droits et de devoirs, sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et sur des normes de régulations sociales acceptées par tous, parce qu’inscrites dans les grands principes internationaux du concours de représentativité sociopolitiques, parce que tous égaux en droits et devoirs, sont vouées à l’échec et ne peuvent que conduire le peuples au chaos sempiternel. Ce qui est dit est dit». Donc une communauté égalitaire des citoyens aux droits et aux devoirs égaux à toutes épreuves, ainsi la compétition démocratique pluraliste devient un concours de représentativité sociopolitique dans une condition égale pour tous. Donc nul « portion » n’a intérêt de rendre cette organisation compliquée aux autres. Egale pour tous indique que dans la totalité sociale et dans le processus démocratique pluraliste, aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre : le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. C’est vous et nous, c’est un député ou un sénateur, un maire ou un conseiller général, un gouverneur de région ou un conseiller d’état, un ministre ou un président de la république, chacun étant soumis aux mêmes règles et conditions et chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels, et les mêmes droits et devoirs que tous les autres.
Oui, L’ébauche est là, la température du moment de l’arène politique ivoirienne montre que, tout le monde serait visiblement candidat en 2025 et d’autre avec l’ambition affichée déjà de conserver le pouvoir. Alors, pourquoi ne pas souscrire déjà à un système d’organisation adapté à la réelle situation sociopolitique ivoirienne ? C’est à dire un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à l’affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. La chose est d’autant plus facile, qu’il y a des gens dans ce pays qui ne connaissent et ne parle que de leur GNAMIEN-PWGLI, «DES DIEUX» au-dessus des candidatures politiques dans ce pays, qui ne prônent que la paix. Où est donc le problème ? Donc, il faut souligner ici, que les élections de 2025 ou d’avant 2025, se joueront avant tout, par la normalité de son cadre organisationnel, par l’homogénéité des normes de régulations sociopolitique que cela sous-tend, et imbriqué dans l’harmonie cohérente des règles coutumières démocratiques. Et viendra ensuite les voies les meilleures indiquées par les prétendants aux postes électifs, les assurances de stabilité sociopolitique dans les porteurs d’alternances, les capacités reconnues des candidats à pouvoir redresser le navire ivoire en perdition. Oui, les auras factices ventilés et les fausses notoriétés, ne pèseront pas pour grande chose, si le cadre organisationnel est juridiquement et politiquement normal et homogène, dans le respect des différences quelles qu’elles soient.
*-La conquête du pouvoir est une épreuve de l’inconnue, de surprise, si elle est débarrassée des scories passéistes.
Mais hélas ! Mille fois hélas ! Nous constations au terme d’un projet de loi anomique, qui porte tous les germes de futures crises sociopolitiques, qu’on veut récidiver au mépris du peuple. Oui, qu’est-ce que la main du président de la république certainement futur candidat et celles de ses démembrement institutionnel « préfets de régions et préfets départements » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains des partis politiques futurs candidats « accompagnateurs désignés du système actuel » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains d’une dite société civile qui ne comprend pas les gestes de la main-dieu, vient faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains du temple de la vérité, qui ressorte du contradictoire «magistrature et barreaux» vient faire dans le système d’organisations électorale au mépris de leurs religion, qu’est de dire le droit et faire germer la vérité dans une situation de banditisme politico-électorale, dont les derniers mots sur les fraudes et trucages des vulgaires fraudeurs et des bandits endurcis, revient déjà à une juridiction constitutionnelle ? Ici, c’est une constance indéniable, sauf à vouloir s’auto-leurrer et s’auto-tromper, comme toujours dans une politique des yeux fermés expressément ; que tant que ces bras armés de partisanneries, de défenses des intérêts partidaires particuliers « joueurs et arbitres », demeureront dans l’organisme électoral, il demeurera un lieu de confrontations glauques, d’antagonismes visqueux, de luttes roublards et nombrilistes, donc un lieu de division dissolvantes, de conflits d’intérêts insolubles, qui enfantera toujours des morts et des crises comme à chaque élection depuis la morts d’Houphouët en 1993.
Nous vivons aujourd’hui un nombrilisme politique, qui s’est mué peu à peu, en un rugbyman endurcis solidement entrainer à Linas-Marcoussis, et devenu spécialiste des passages en forces électoraux. Donc, l’organisme de gestion électorale ivoirienne doit être inscrit au cœur de l’APOLITISME, dans le respect des valeurs universelles et des principes démocratiques, affirmés par les instruments internationaux. Qui encouragent et protègent, la tenue d’élections propres. Et de par le monde, ce système est adapté au contexte sociopolitique de chaque pays. Pour la côte d’ivoire, qui vit une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, l et qui est en Mal du vivre en commun d’égalité dans le respect des normes juridiques de régulations sociales, c’est l’APOLITISME ABSOLUE de l’organisme électorale Autonome. Nous a la légitimité citoyenne « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et Houphouët-iste enragée, ne vous suivrons pas. Là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme, « mouk » jamais de la vie. La LC_CRS avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire des élus couillonnades, jamais! Il faut absolument un système d’organisation sociopolitique adapté à la situation sociopolitique ivoirienne et un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. La LC_CRS ? « Mouk ! »
C’est pourquoi, les élections locales dans un An « octobre-novembre 2023 », pour élire les maires et conseillers régionaux, ne nous intéressent POINT. Son cadre et système organisationnel, et la non-homogénéité des normes de régulations, en sont la cause unique. « Oui, retenons pour exemple qu’au brésil, tout récemment, Luiz Inacio Lula da Silva, avec 50,9% - voix 60 345 999, à 77 ans a battu après un passage en prison, « au Trou quoi ! Comme on dit ici A-chez-nous pays», Jair Bolsonaro président sortant qui plafonné à 49,1% - voix 58 206 354, malgré-lui, parce que ce dernier bien que président de la république en exercice, n’avait aucune emprise sur le processus électoral, situé au-dessus de lui et qui enfante les élus quels qu’ils soient, d’où le désespoir de ses partisans, les routes et casseroles Brésiliennes en ont souffert un tout petit peu, mais l’arbitre impartial avait sifflé la fin, hélas ! Peut-être qu’ils espéraient d’un but de la main-de-Dieu, a la Maradona stars incontesté de Foot de l’Argentine voisine». Bon ! C’est une évidence, qu’en politique aussi, qu’on peut rallonger sa taille avec une main-de-dieu sur la tête, si l’arbitre impartial ne voit pas, on arrivé à ses fins victorieuses légales, mais c’est aussi une évidence, que le pouvoir d’état s’acquiert au prix de mille effort, et celui qui l’acquiert passivement au prix de quoi que ce soit d’autres, ne fera jamais le bonheur du peuple, ultime détenteur du pouvoir. La conquête du pouvoir d’état quand la normalité de son cadre organisationnel et l’homogénéité des normes de régulations sociopolitique sont évidentes, elle devient une épreuve de l’inconnue, et des surprises, d’où les vainqueurs ne sont pas forcément les meilleurs. Donc en 2025, les circonstances heureuses ou malheureuses auront toujours leurs par de légalité et de légitimité dans les jeux. Et les circonstances heureuses d’un jeu politico-démocratique et électorale se préparent sérieusement, en se fondant uniquement sur les principes internationaux, et sur des substrats universels.
*-Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. C’est notre But.
Donc, ici au terme de ce KOUMA, ré-indiquons notre cocktail de remèdes synergiques et salvateurs à la crise ivoirienne et pour la côte d’ivoire, qui a besoin avant toute chose de régulation sociopolitique et d’une intégrité du processus électorale. Donc, égrainons nos remèdes : Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale d’un pays « 30 Millions d’habitants » *-5- Qui fera une identification claire des électeurs légaux, en proscrivant les acquisitions frauduleuses de la nationalités et du droit de votes*-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent Tous du suffrage universel direct et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et standard internationaux, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Le mal connu et le remède connu, il ne reste plus que la volonté politique de privilégié l’intérêt national, et de la totalité sociale qu’est le peuple. C’est notre But.
Puisque la Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances, alors qu’ils en chérissent les causes de ces souffrances. Pour arriver consensuelle-ment à ce remèdes synergiques et salvateurs à la crise ivoirienne et pour la côte d’ivoire, il faut absolument aller à l’officine souveraine de la pharmacie populaire du peuple, qu’est un Dialogue sociopolitique républicain, sur les questions clés, qui porteront sur des sujets d’intérêts nationaux, d’intérêt étatique ou de sauvegarde de la spécificité de certaines valeurs nationales et de souveraineté nationale absolue, notamment les questions exigeantes du socle d’une nouvelle société : l’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement Autonome, Indépendante et Apolitique. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel, « qui regorge déjà quelques bonnes têtes largement à la hauteur du métier et de la matière assujettie ». *- la révision experte du découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale nationale. « Ici, l’espace étendu, Non ! Le nombre de population, Oui ! » *- Un Dialogue sociopolitique républicain qui proposera par le biais d’une Assemblée constituante, une Amnistie générale référendaire au peuple souverain, « l’ultime souverain et l’ultime Amnistiant », sur les faits criminels de 1999 au jour du vote référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale consensuelle-ment élaborer et devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement dans un fichier électoral manifestement bancal et sur une liste électorale manifestement ressortissant du dégout citoyen pour la chose sociopolitique, et partant pour la chose électorale. * L’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité « la perpète » et a 20 ans de détention, prison». C’est ce qu’il faut, mais…
*- Donc, se faisant, pour pouvoir œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales de tous les citoyens, et de la loi, dans l'indispensable reconnaissance de l'autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous. *- Afin de rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative, pour la Transformation de notre pays, pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde. Voici le système qui est adapté au conteste sociopolitique actuel de la cote d’ivoire. Mais les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Oui, de par le monde, cette élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, et un système électoral équitable qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, sous l’égide du système décrit plus haut. Qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. « De par le monde les peuples cultivés, éveillés et réveillés sont ceux qui lisent et pensent beaucoup et s’expriment librement. Donc sur ceux citoyens ! Nous, on n’a Kouma, pian ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.
*- UN KOUMA routinier de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.