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10 novembre 2022 4 10 /11 /novembre /2022 03:27
Lepetitfils : L’ébauche est là, en 2025 tout le monde serait candidat, et d’autre avec l’ambition de conserver le pouvoir a tout prix. Alors, pourquoi ne pas opter pour une organisation politico-électorale, adapté à la situation de crise ivoirienne ? C’est à dire un organisme électoral APOLITIQUE, AUTONOME et Indépendant des hommes politiques et organisations politiques, puisqu’il y a des gens dans ce pays qui ne connaissent et ne parle que de leur GNAMIEN-PWGLI, DES DIEUX au-dessus des candidatures politiques et qui ne prônent que la paix ? Oui, il y a péril !

Lepetitfils : L’ébauche est là, en 2025 tout le monde serait candidat, et d’autre avec l’ambition de conserver le pouvoir a tout prix. Alors, pourquoi ne pas opter pour une organisation politico-électorale, adapté à la situation de crise ivoirienne ? C’est à dire un organisme électoral APOLITIQUE, AUTONOME et Indépendant des hommes politiques et organisations politiques, puisqu’il y a des gens dans ce pays qui ne connaissent et ne parle que de leur GNAMIEN-PWGLI, DES DIEUX au-dessus des candidatures politiques et qui ne prônent que la paix ? Oui, il y a péril !

 «D’emblée disons que, tout récemment, au Brésil, Luiz Inacio Lula Da Silva, a battu avec 50,9% - « voix 60 345 999, à 77 ans et après un passage en prison, «au Trou quoi ! Comme on dit ici A-chez-nous-pays», Jair Bolsonaro président sortant qui a plafonné à 49,1% - «voix 58 206 354», parce que ce dernier bien que président de la république, n’avait aucune emprise sur le processus électoral, situé au-dessus de lui, et qui enfante les élus. D’où le désespoir de ses camionnés partisans. Oui, Rien à faire quand le cadre organisationnel des élections démocratique est normal et homogénéité ».

*- Chronique « Kouma: A LIRE ET COMPREDRE : « De par le monde, les peuples libres, cultivés, éveillés et réveillés sont ceux qui lisent, pensent et s’expriment beaucoup».

BON ! disons, qu’ il nous faut soigner la plaie ivoire sur sa surface réelle, bien que, nous avons vu depuis quelques moment que cela fait mal, sinon très mal même. Et pourtant, il va absolument nous falloir avoir le courage de panser la plaie béante-saignante de la côte d’ivoire qui s’exsangue, sur sa vraie surface réelle, sinon elle va inexorablement se gangrénée pour arriver à l’amputions membrane irréparables. Autrement dit, il va falloir dire ou se dire les vérités crues et nues, pour que les mensonges politiciennes orchestrés n’arrivent pas à obstrué, ou a absoudre les vrais risques, les réelles conséquences, et les indispensables solutions sociétales. Donc, continuons à panser la plaie de la côte d’ivoire sur sa surface infectée. Oui, dans la vie humaine, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, redisons que, sont vouées à l’échec, au désordre électoral, et ne peuvent que conduire les peuples, qu’au chaos sempiternel : Toutes organisations sociales, toutes pratiques démocratiques, toutes actions politiques sociétales, toutes actions publiques de gouvernances et toutes entités sociales de multiples communautés, qui ne se fondent pas sur un système qui respecte les principes internationaux, les règles coutumières, et qui ne garantissent les droits des citoyens, égaux en droit et en devoir.

Donc, partant de là, qui ne se fondent pas sur l’acceptations des différences, sur la reconnaissance mutuelle de l’autres dans son originalité absolue, sur le respect du consensus sociopolitique, sur le respect des résolutions des dialogues républicains, sur le respect des  pratiques coutumières communes élaborées librement dans le consensus impartial, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité, de droits et de devoirs, sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et sur des normes de régulations sociales acceptées par tous, sur le respect d’un organisme électoral Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, totalement Indépendant, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à l’affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes, sur le respect des principes de représentations sociopolitiques, prescrits dans un corpus de normes électorales, qui met tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord, parce que tous égaux en droits et devoirs, disons-nous donc, en l’absence de ces grands principes tous sont vouées à l’échec et ne peuvent que conduire le peuples au chaos.

Oui répétons-le, la voie souveraine, du dernier pansement sans succédané a administré  à la plaie ivoire, pour une guérison définitive, est une Amnistie générale référendaire, de l’ensemble des faits criminels de la crise ivoirienne du 24 décembre 1999 au 18-19 septembre 2002 en passant par 2011-2020 jusqu’au au jour du vote référendaire. Et de dédommagé de droit, toutes les victimes de la crise. La CDVR de Konan Banny, en n’a fait échos. Bon ! De toute évidence la chose la plus difficile juridiquement à faire à nos yeux dans la résolution « Amnistiante » de la crise ivoirienne est incontestablement la quantification des victimes de la crise, qui se chiffre au-dessus des dix milles « 10.000 » morts. Puisqu’un nombre considérable de victimes vivantes, préfère garder l’anonymat pour des raisons d’honneur. « Je vais expliquer à qui ? ». Donc, la résolution « Amnistiante » doit partir du postulat que, la crise ivoirienne n’a plus besoin de diagnostics causal connu de tous, c’est  le pouvoir absolu, le carriérisme pathologique et l’arrivisme politique qui en sont la cause unique. Donc elle n’a besoin que de diagnostic solutionnaire, qui pour être efficace et définitive, doit tenir compte que, plus qu’Hier, qu’Aujourd’hui les ambitions politiques multiples carriéristes claniques et arrivistes renégats, sont plus que jamais montés d’un cran pour se fixé à la limite de l’acceptable. Se faisant de réarmée la crise sociopolitique d’une main de fer contre la totalité sociale souveraine. Donc, cette œuvre solutionnaire de la crise, doit s’appuyée sur un système de jeu politique Autonome et Apolitique. 

*- C’est de l’avenir qu’il s’agit, quand le peuple délibère par voie d’Amnistie référendaire sur les grandes questions.

Oui ! Tout le problème sociopolitique est manifestement et incontestablement là, un système de jeu politique Autonome et Apolitique. Sinon comment les hommes politiques ivoiriens spécialistes des dribles d’adversaires et partenaires, des endurcie à prendre tout le monde à contre-pied, sous les narrations élucubrées ou commentaires et l’applaudissement des juridictions électorales, pourrons arriver à se regarder dans un miroir, au mépris de leurs  intérêts politiques ou politiciennes du moment, mis en jeu dans une situation de crise électorale et sociopolitique abracadabrantesque. Des hommes politiques ivoiriens qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir leur dessein mafieux d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses. Leur credo politique au tour du système des élections démocratiques est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Leur unilatéralisme monarchiste est l'affirmation en acte de la volonté dictatoriale d'infléchir, ils ne désespèrent pas de pouvoir corrompre le destin du peuple pour le réduire à leur seule exigence mercantiliste, pécuniaire, égocentrique au service de  Dieu l’Argent. Oui, La maladie de mensonges incurables s’est installée au cœur du système politique ivoirien et au sommet de l’état ivoirien. D’où incontestablement le carriérisme pathologique, l’arrivisme renégat, la défense des intérêts particuliers, l’affairisme mafieux ont fini de désintégré le corps de la totalité sociale et le corpus social, pour ensuite rendre tous inconciliables.

Tous inconciliables : La société devenue aujourd’hui inconciliables avec ses valeurs sociales d’antan et ses mœurs ataviques. La nation souveraine une et indivisible devenue inconciliable avec la solidarité communautaire diverse. La politique ivoirienne devenue inconciliable avec la démocratie réelle. Les élections devenues conciliables avec les votes citoyens 90% à 80% d’abstention aux dernières élections. L’exercice du pouvoir d’état devenu inconciliables avec les droits inaliénables du peuple et les libertés publics et individuelles. Le pouvoir d’état devenus inconciliables, avec l’opposition politique réelle. Un parti politique au pouvoir avec une composante attrape-tout aux positions devenues inconciliables. Les hommes politiques divers aux multiples ambitions carriéristes devenues inconciliables. Les communautés nationales diverses devenues inconciliables et antagonistes au tour d’un simple « bonjour » pour que vive les dégâts. La valeur socialiste qu’est le Vivre Ensemble « C’est-à-dire, faire société ensemble dans le consensus, accepter les différences, être à l'écoute d’autrui, faire preuve d'estime, de respect et de reconnaissance envers autrui, vivre dans un esprit de stabilité sociopolitique, de paix et d'harmonie », est devenues inconciliable et antagoniste avec la politique unilatéraliste, absolutiste, dirigiste, et ploutocratique des tenants d’un pouvoir, qui le chante à tout bout de champs. Le Monarque républicain lui-même résultante de notre système politique vermoulu, archaïque, démodé, enfermé dans sa tour illusoire est devenue inconciliable avec toute ouverture politique, démocratique, et électorale. Et pire des pires : Des nihilistes et iconoclastes Houphouët-istes Rassemblés dans un saugrenu panier attrape-tout, devenus inconciliables avec la philosophie politique de  paix, de dialogue et de  entente de l’Houphouët-isme. Des éléphanteaux d’hier devenus inconciliable avec leur forêt atavique, dorment avec les chameaux du désert, «courbettes et génuflexions pour avoir des places à la table nocturne des convives, bouffe-tout oblige », et Hélas ! De sentir le chameau demain. Que la nature protège le pays  d’Houphouët Boigny.

Oui ! Tous Inconciliables. Bon ! Cependant, peut-être, il y a  une seule toute petite lueur d’espoir, les désintéressées et répétées Analyses systémiques, expertes, doctes, et esthètes de la LC_CRS, et les vérités crues, les vulgarités nues, des KOUMA intempestives sans nuances, directes et surtout citoyennes, demeurent aussi inconciliables avec l’obscurantisme politique de l’état, et le mensonge éhonté de l’état. L’espoir est là ! Sur cette route de l’espérance citoyenne, vers une régulation juridico-socio-politique, couronnée par une Amnistie générale référendaire. L’espoir est en homme. Donc, il convient ou importe encore ici, de rappeler une fois de plus, que, c’est de l’avenir de la totalité sociale souveraine qu’il s’agit, quand l’entièreté du Corps social solidaire devenue unique, délibère par la voie d’Amnistie générale référendaire sur les grandes questions rattachées à la souveraineté de la nation, ou sur les grandes questions structurantes de la totalité sociale, le tout motivé par/et articulé, à l’intérêt public, à l’avenir de tous et à l’avenir de chacun et au demain de tous. Et c’est là que la totalité sociale souveraine, vise principalement la stabilité sociopolitique de la nation, et la paix sociale pérenne. C’est à cela que la totalité sociale souveraine, doit savoir tout « sacrifier », au bénéfice du bien de tous, de la souveraineté étatique et pour une perspective d’avenir meilleur de la société souveraine, qu’elle anticipe ainsi. Parce qu’en politique, rien ne vaut la préservation des chances de l’avenir, surtout au terme des crises sociopolitiques, et  en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions, pour des intérêts obscurs, pour des avantages pécuniaires, même au détriment de l’intérêt national, de la totalité sociale souveraine et du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état.

*-En 2025 les auras nébuleux et les fausses notoriétés, ne pèseront pas, si son organisation est normal et homogène.

Donc répétons-nous,  pour ne jamais l’oublier, l’état est et reste une conception dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont les multiples populations ataviques, renoncent à une partie de soi, à une partie de leur droit naturels individuels ou parcellaires, donc, à une partie de leur liberté naturelle, de leur libre arbitre, et entrer dans les rapports d’une entité commune, et pour faire société unique ensemble, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir dans le respect du libre arbitre de chacun, non-nuisible à autrui, «parce ce que, la valorisation de soi, ne doit absolument pas passer par la négation d’autrui», donc le consensus, et par le dialogue forgé une communauté une et indivisible, ou tout est du convenus. Ici rien n’est unilatéral, rien n’est personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du moi ou rien. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire conquis ou privé, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à tous et tous les citoyens ont le même droit et le même devoir, la même chance, sans condescendance aucune, dans l’assiette territoriale nationale, tous égaux et consentants. C’est notre vision de la vie sociopolitique, et c’est pourquoi, nous ne cessons de Kouma, et c’est pourquoi, nous vomissons les armes en politique. Oui, face à la difficile régulation sociopolitique d’après-guerre ou d’après-crise, qui passe absolument par l’abandon des désirs de vengeances et de la défense éperdue des intérêts particuliers du moment pour s’inscrire résolument dans la logique souveraine de la défense des intérêts vitaux du pays par une option politique claire, adaptée aux pays du monde du 21e siècle, et opposé aux voracités de toutes sortes. La Côte d’Ivoire doit prendre le train du monde 

Donc ressassons, ceux ci-dessus écrit plus haut : « toutes organisations sociales, toutes pratiques démocratiques, toutes actions politiques sociétales, toutes actions publiques de gouvernances et toutes entités de multiples communautés humaines, qui ne se fondent pas sur l’acceptations des différences, sur la reconnaissance mutuelle de l’autres dans son originalité marquante et absolue, sur le respect du consensus sociopolitique, sur le dialogue social et républicain, sur des règles communes élaborées librement, impartialement, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité de droits et de devoirs, sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et sur des normes de régulations sociales acceptées par tous, parce qu’inscrites dans les grands principes internationaux du concours de représentativité sociopolitiques, parce que tous égaux en droits et devoirs, sont vouées à l’échec et ne peuvent que conduire le peuples au chaos sempiternel. Ce qui est dit est dit». Donc une communauté égalitaire des citoyens aux droits et aux devoirs égaux à toutes épreuves, ainsi la compétition démocratique pluraliste devient un concours de représentativité sociopolitique dans une condition égale pour tous. Donc nul « portion » n’a intérêt de rendre cette organisation compliquée aux autres. Egale pour tous indique que dans la totalité sociale et dans le processus démocratique pluraliste, aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre : le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. C’est vous et nous, c’est un député ou un sénateur, un maire ou un conseiller général, un gouverneur de région ou un conseiller d’état, un ministre ou un président de la république, chacun étant soumis aux mêmes règles et conditions et chacun étant redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels, et les mêmes droits et devoirs que tous les autres.

Oui, L’ébauche est là, la température du moment de l’arène politique ivoirienne montre que, tout le monde serait visiblement candidat en 2025 et d’autre avec l’ambition affichée déjà de conserver le pouvoir. Alors, pourquoi ne pas souscrire déjà à un système d’organisation adapté à la réelle situation sociopolitique ivoirienne ? C’est à dire un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à l’affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. La chose est d’autant plus facile, qu’il y a des gens dans ce pays qui ne connaissent et ne parle que de leur GNAMIEN-PWGLI, «DES DIEUX» au-dessus des candidatures politiques dans ce pays, qui ne prônent que la paix. Où est donc le problème ? Donc, il faut souligner ici, que les élections de 2025 ou d’avant 2025, se joueront avant tout, par la normalité de son cadre organisationnel, par l’homogénéité des normes de régulations sociopolitique que cela sous-tend, et imbriqué dans l’harmonie cohérente des règles coutumières démocratiques. Et viendra ensuite les  voies les meilleures indiquées par les prétendants aux postes électifs, les assurances de stabilité sociopolitique dans les porteurs d’alternances, les capacités reconnues des candidats à pouvoir redresser le navire ivoire en perdition. Oui, les auras factices ventilés et les fausses notoriétés, ne pèseront pas pour grande chose, si le cadre organisationnel est juridiquement et politiquement normal et homogène, dans le respect des différences quelles qu’elles soient.

*-La conquête du pouvoir est une épreuve de l’inconnue, de surprise, si elle est débarrassée des scories passéistes.

Mais hélas ! Mille fois hélas ! Nous constations au terme d’un projet de loi anomique, qui porte tous les germes de futures crises sociopolitiques, qu’on veut récidiver au mépris du peuple. Oui, qu’est-ce que la main du président de la république certainement futur candidat et celles de ses démembrement institutionnel « préfets de régions et préfets départements » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains des partis politiques futurs candidats « accompagnateurs désignés du système actuel » viennent faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains d’une dite société civile qui ne comprend pas les gestes de la main-dieu, vient faire dans le système d’organisations électorale ? Qu’est-ce que les mains du temple de la vérité, qui ressorte du contradictoire «magistrature et barreaux» vient faire dans le système d’organisations électorale au mépris de leurs religion, qu’est de dire le droit et faire germer la vérité dans une situation de banditisme politico-électorale, dont les derniers mots sur les fraudes et trucages des vulgaires fraudeurs et des bandits endurcis, revient déjà à une juridiction constitutionnelle ? Ici, c’est une constance indéniable, sauf à vouloir s’auto-leurrer et s’auto-tromper, comme toujours dans une politique des yeux fermés expressément ; que tant que ces bras armés de partisanneries, de défenses des intérêts partidaires particuliers « joueurs et arbitres », demeureront dans l’organisme électoral, il demeurera un lieu de confrontations glauques, d’antagonismes visqueux, de luttes roublards et nombrilistes, donc un lieu de division dissolvantes, de conflits d’intérêts insolubles, qui enfantera toujours des morts et des crises comme à chaque élection depuis la morts d’Houphouët en 1993.

Nous vivons aujourd’hui un nombrilisme politique, qui s’est mué peu à peu, en un rugbyman endurcis solidement entrainer à Linas-Marcoussis, et devenu spécialiste des passages en forces électoraux.  Donc, l’organisme de gestion électorale ivoirienne doit être inscrit au cœur de l’APOLITISME, dans le respect des valeurs universelles et des principes démocratiques, affirmés par les instruments internationaux. Qui encouragent et protègent, la tenue d’élections propres. Et de par le monde, ce système est adapté au contexte sociopolitique de chaque pays. Pour la côte d’ivoire, qui vit une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, l et qui est en Mal du vivre en commun d’égalité dans le respect des normes juridiques de régulations sociales, c’est l’APOLITISME ABSOLUE de l’organisme électorale Autonome. Nous a la légitimité citoyenne « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée, ne vous suivrons pas. Là où toute la souveraineté échappe au peuple ivoirien pour échoir à l’Absolutisme, « mouk » jamais de la vie. La LC_CRS avec les citoyens-libres ne sont pas couillon pour faire des élus couillonnades, jamais! Il faut absolument un système d’organisation sociopolitique adapté à la situation sociopolitique ivoirienne et un organisme électoral Impartial, Neutre, APOLITIQUE, Autonome, Totalement Indépendant des hommes politiques et des organisations politiques, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, qui concours incontestablement à affirmation des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. La LC_CRS ? « Mouk ! »

C’est pourquoi, les élections locales dans un An « octobre-novembre 2023 », pour élire les maires et conseillers régionaux, ne nous intéressent POINT. Son cadre et système organisationnel, et la non-homogénéité des normes de régulations, en sont la cause unique. « Oui, retenons pour exemple qu’au brésil, tout récemment, Luiz Inacio Lula da Silva, avec 50,9% - voix 60 345 999, à 77 ans a battu après un passage en prison, « au Trou quoi ! Comme on dit ici A-chez-nous pays», Jair Bolsonaro président sortant qui plafonné à 49,1% - voix 58 206 354, malgré-lui, parce que ce dernier bien que président de la république en exercice, n’avait aucune emprise sur le processus électoral, situé au-dessus de lui et qui enfante les élus quels qu’ils soient, d’où le désespoir de ses partisans, les routes et casseroles Brésiliennes en ont souffert un tout petit peu, mais l’arbitre impartial avait sifflé la fin, hélas ! Peut-être qu’ils espéraient d’un but de la main-de-Dieu, a la Maradona stars incontesté de Foot de l’Argentine voisine». Bon ! C’est une évidence, qu’en politique aussi, qu’on peut rallonger sa taille avec une main-de-dieu sur la tête, si l’arbitre impartial ne voit pas, on arrivé à ses fins victorieuses légales, mais c’est aussi une évidence, que le pouvoir d’état s’acquiert au prix de mille effort, et celui qui l’acquiert passivement au prix de quoi que ce soit d’autres, ne fera jamais le bonheur du peuple, ultime détenteur du pouvoir. La conquête du pouvoir d’état quand la normalité de son cadre organisationnel et l’homogénéité des normes de régulations sociopolitique sont évidentes, elle devient une épreuve de l’inconnue, et des surprises, d’où les vainqueurs ne sont pas forcément les meilleurs. Donc en 2025, les circonstances heureuses ou malheureuses auront toujours leurs par de légalité et de légitimité dans les jeux. Et les circonstances heureuses d’un jeu politico-démocratique et électorale se préparent sérieusement, en se fondant uniquement sur les principes internationaux, et sur des substrats universels.  

*-Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. C’est notre But.

Donc, ici au terme de ce KOUMA, ré-indiquons notre cocktail de remèdes synergiques et salvateurs à la crise ivoirienne et pour la côte d’ivoire, qui a besoin avant toute chose de régulation sociopolitique et d’une intégrité du processus électorale. Donc, égrainons nos remèdes : Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale d’un pays « 30 Millions d’habitants » *-5- Qui fera une identification claire des électeurs légaux, en proscrivant les acquisitions frauduleuses de la nationalités et du droit de votes*-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales, pour qu’ils résultent Tous du suffrage universel direct et qui veillera que le lien de rattachement social et territorial des candidats soit très solide*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. Il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Le mal connu et le remède connu, il ne reste plus que la volonté politique de privilégié l’intérêt national, et de la totalité sociale qu’est le peuple. C’est notre But.

Puisque la Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances, alors qu’ils en chérissent les causes de ces souffrances. Pour arriver consensuelle-ment à ce remèdes synergiques et salvateurs à la crise ivoirienne et pour la côte d’ivoire, il faut absolument aller à l’officine souveraine de la pharmacie populaire du peuple, qu’est un Dialogue sociopolitique républicain, sur les questions clés, qui porteront sur des sujets d’intérêts nationaux, d’intérêt étatique ou de sauvegarde de la spécificité de certaines  valeurs nationales et de souveraineté nationale absolue, notamment les questions exigeantes du socle d’une nouvelle société : l’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement Autonome, Indépendante et Apolitique. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel, « qui regorge déjà quelques bonnes têtes largement à la hauteur du métier et de la matière assujettie ». *- la révision experte du découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale nationale. « Ici, l’espace étendu, Non ! Le nombre de population, Oui ! » *- Un Dialogue sociopolitique républicain qui proposera par le biais d’une Assemblée constituante, une Amnistie générale référendaire au peuple souverain, « l’ultime souverain et l’ultime Amnistiant », sur les faits criminels de 1999 au jour du vote référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale consensuelle-ment élaborer et devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement dans un fichier électoral manifestement bancal et sur une liste électorale manifestement ressortissant du dégout citoyen pour la chose sociopolitique, et partant pour la chose électorale. * L’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité « la perpète » et a 20 ans de détention, prison». C’est ce qu’il faut, mais…

*- Donc, se faisant, pour pouvoir œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales de tous les citoyens, et de la loi, dans l'indispensable reconnaissance de l'autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous.  *- Afin de rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative, pour la Transformation de notre pays, pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde. Voici le système qui est adapté au conteste sociopolitique actuel de la cote d’ivoire. Mais les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Oui, de par le monde, cette élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, et un système électoral équitable qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, sous l’égide du système décrit plus haut. Qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. « De par le monde les peuples cultivés, éveillés et réveillés sont ceux qui lisent et pensent beaucoup et s’expriment librement. Donc sur ceux citoyens ! Nous, on n’a Kouma, pian ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA routinier de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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30 octobre 2022 7 30 /10 /octobre /2022 03:06
Lepetitfis : Bien n’arrêté et droit dans nos petites chaussures Kitos le regard fixé sur l’horizon, le yeux GRANDEMENT ouverts, nous ne tomberons pas dans la politique du médecin après la mort, dans la société a laquelle nous devons tout, et dans une nation sans laquelle notre existence aurait peut d’épaisseur. Nous sommes, LC_CRS, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, Houphouëtiste enragée par les écueils politiciens de toute sorte de 1999-2000 à ce jour, L’ORCHESTRATION POLITICIENNE DES VOLS A REPETITIONS NE NOUS CHANGERONS EN RIEN.

Lepetitfis : Bien n’arrêté et droit dans nos petites chaussures Kitos le regard fixé sur l’horizon, le yeux GRANDEMENT ouverts, nous ne tomberons pas dans la politique du médecin après la mort, dans la société a laquelle nous devons tout, et dans une nation sans laquelle notre existence aurait peut d’épaisseur. Nous sommes, LC_CRS, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, Houphouëtiste enragée par les écueils politiciens de toute sorte de 1999-2000 à ce jour, L’ORCHESTRATION POLITICIENNE DES VOLS A REPETITIONS NE NOUS CHANGERONS EN RIEN.

« La vie politique et démocratie se nourrit de débats d’idées et d’analyse sociopolitiques. Et analyser un système, une situation, ou une pratique, c’est se pencher sur ces faits, dans une perspective d’évaluation, puis participer à son amélioration, en persuadant le souverain absolu qu’est le peuple, en convainquant la totalité sociale souveraine, en entraînant le corps social dans son entièreté solidaire, à l’intelligence de la situation qui s’impose et d’y remédier. Donc, analyser une situation signifie de séparer un tout en ses éléments, cela ne va pas sans vérité crue et nue. Donc, l’analyse est  normative, elle nécessite donc une explicitation large, étayée et détaillée, d’un modèle référentiel, afin de son transfert éventuel dans l’organisation sociopolitique par le biais de normes consensuelles élaborées dans une situation épurée, par des acteurs politiques et des citoyens participants sans responsabilités publiques effectives. Ici le succincte n’explique pas assez, la litote convainc peu. Ici, la vérité se trouve dans le large, étayé et détaillé ».

Chroniques « Kouma » : Qui lira verra la voie de la  paix, de la stabilité, et des élections Zéro-mort.

C’est parce qu’au-delà de la culture politique obscure de l’Autriche, qu’on voit manifestement le feu qui couve à la maison ivoire, que l’ivoirien doit refuser l’enfermement sectaire et partisan, le repli d’appartenance quelle qu’elle soit, « ethnicisé, identitaires, communautariste et politico-idéologiques » qu’il doit KOUMA, pour privilégier l’union de tous. La côte d’ivoire n’est plus maitresse d’elle-même et de son destin dans le concert des nations civilisées. Elle n’est plus qu’une immense déchirure sociopolitique, un vaste champ de ruine sociocommunautaire, à la merci des vautours professionnels, des pilleurs endurcis, des escrocs ataviques. Elle offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, une société qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, même pas pour les ennemis des ivoiriens. Donc, il nous faut KOUMA. Aujourd’hui, les rapports Opposition/Pouvoir en côte d’ivoire est semblable aux rapports entre un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois, ou d’un petit Ukrainien revendiquant sa souveraineté devant un oligarque Russe, sous l’arbitrage de Bombes. Cette opposition ivoirienne, est entrainée autour des principes d’organisations socio-politico-électorale, vers l’engrenage et trimbaler petit-a-petit vers une crise, qui donnera la parole aux armes. « Le grand PDCI incontestablement parti de gouvernement est Dribblé à la roublardise, le PPA-CI, a pris un poignard de 20 Ans dans le dos, et est en passe d’être mis hors-jeu, le FPI est-il dans le rang pour dévier ou obvier les buts de la main de Dieux ?  Pour les autres sont-ils là malgré-eux ? Ou c’est pour la malbouffe ? Or en politique le bouffe-tout ne paye pas. D’où si le défi à un sens, il convient de défier le non-droit. La LC_CRS avec les citoyens libres vit, rempli d’appréhension pour les élections à venir, quand les maitres des jeux entonnent leurs ritournelles de la rhétorique autosatisfaction sur les élections. Alors même que les citoyens voient le chaos socio-politico-électoral à l’horizon et dans les travers d’actions politiques publiques mal maitrisées ».

Oui, Il nous faut Kouma pour arriver tous ensemble à l’élaboration consensuelle des normes juridiques conformes aux droits et principes internationaux irréfragables. Oui, il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politique d’accord. Pour enfin obtenir, une vraie réconciliation nationale, une vraie stabilité sociopolitique, une vraie paix sociale pérenne, et avant les élections majeures. Oui, l’élection est une lutte loyale pour le pouvoir légitime, donc elle n’est pas un moyen d’éviter la confrontation politique mais plutôt de la gérer et de la contenir à l’intérieur de limites acceptables. Dans un système qui respecte les principes internationaux, et qui garantissent les droits et le cadre institutionnel d'élections honnêtes, en conformité avec les obligations étatiques contractées en vertu du droit international. L'Etat doit en particulier. Donc, l’ensemble du système électoral est par principe international coutumier, situé au-dessus des pouvoirs qu’ils enfantent.  Et dans un état républicain de droit et démocratique, le processus électoral se situe par conséquent hors de la portée de mains partisanes des hommes politiques quels qu’ils soient. Ici il n’y a que des citoyens libres, égaux en droit et en devoir, dirigeants de partis, candidats potentiels et citoyens électeurs, qui discutent les conditions du concours national de représentativité, qu’est les élections démocratiques pluralistes consensuelle-ment au terme d’un dialogue ouvert à tous, qui transcende les tenants momentanés du pouvoir d’état.

Parce que disons-nous, les élections sont l’expression active de la souveraineté populaire du peuple, donc, c’est un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes, qui se situent en droit, et en fait , au-dessus des institutions de la république, que les peuples souverains enfantent, y compris la présidence de la république. Les obligations relatives aux élections démocratiques relèvent de cinq grands principes internationaux coutumiers: 1) l’exigence de tenir des élections honnêtes 2) l’exigence fondamentale relative à la primauté du droit. 3) l’engagement de l’état à prendre les mesures requises pour remplir ces obligations internationales de protéger les droits et les libertés,  4) l’exigence procédurière, centrée sur le processus électoral à proprement parler,  et 5) les droits et les libertés individuels. Mise ensemble, ces exigences orientent une démarche de l’évaluation des élections qui est fondée sur les droits de la personne humaine, ou l’homme est la centralité absolue de tout le système électorale, au mépris des intérêts politiciens. Ainsi se faisant, pour obvier que, le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale sans lesquels, il n’y a point de développement, le respect de la volonté d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, et une gouvernance conforme à la moralité internationale voulu par le père Felix Houphouët Boigny, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Parce obstrué par un carriérisme nombriliste aveugle et un arrivisme absolutiste égoïste et égocentrique. Ou le Moi est maitre absolu de l’intérêt général, de l’ordre social, et de la vie publique et qui se subordonne la Nation.

Oui, osons le dire ici et maintenant, la terre de nos ancêtres, Aujourd’hui côte d’ivoire, hier destination de prédilection des dislocations des empires Ouest-Africaines, avec à la suite une migration humaine transfrontalière incontrôlable, est de par sa peuplade composite une entité étatique, avec une sociologie électorale très complexe. Oui, la grande partie des conflits armés internes et des crises sociopolitiques Africaines, ressortissent de la conquête du pouvoir d’état ou de son mode d’acquisition prescrit dans des normes personnelles et protecteurs des intérêts inavoués. Oui, de par le monde, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions exigeantes respecté contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. Donc ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent absolument s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens universel le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements et principes internationaux en matière de paix nationale et internationale, et en matière rigoriste du respect des droits de l’homme. D’où l’appel de pied conjugué des KOUMA, d’un ressortissant du Chenil pacifiste, rigoriste, de Félix Houphouët Boigny qu’est la légitimité citoyenne « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée. Pour que toute la souveraineté échoie au peuple, et pour que rien n’échoie de non-droit à l’Absolutisme obscurantiste. SANS LE RESPECT DE CE PRINCIPE, LES ELECTIONS IVOIRIENNES NE LES SERONT QUE DE NOMS…

Ne l’oublions pas, la pratique politique absolutiste sectaire n’a besoin que de suivismes, de silences, de panurgismes moutonniers. Oui, l’absolutisme politique ou le clanisme politique est toujours mafieux, toujours Sado-Pervers-Narcissique, qui ne recule devant aucune catastrophe, et sa logique d’appareil de confiscation hermétique du pouvoir d’état, est rapides à se mettre en place, par la division pour régner. Donc, sa logique absolutiste est que, ceux qui ont la force matérielle « armée » sont des savants et ne doivent pas parler. Or cette force matérielle  support ne sait rien du tout, elle est totalitaire et de jungle. Donc, la critique « notre Kouma » est son pire ennemi. Bon ! il est constant qu’en politique, il est des agissements ubuesques qui dénotent, non seulement le ridicule politique, mais la bassesse d’ambitions politiques perverses, en ce sens que ces agissements sont porteurs de périls pour leurs auteurs et pour la nation toute entière. Donc, ici, reprenons nos habituelles citernes d’eaux, contre le feu qui couve dans notre société commune. Oui, répétons-le toujours, notre crise est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect des principes des droits universels. Donc il nous faut être capable de nous adapter à l’exigence de l’art du vivre en commun dans le respect des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. Pour afin pouvoir replacer l’être humain au centre du débat, l’humanisme Houphouët-ien au centre de la problématique sociale et sociétale et le citoyen au cœur de toute politique socioéconomique et développementale. Ou l’être humain, l’homme incarnerait la centralité politique et le citoyen le cœur de l’action politique développementale.

*- On ne se tait pas dans une société en crise sociopolitique sempiternelle et sortir par la bonne porte. Non !!!

Donc disons ou ressassons, l’absence d’un organisme électoral Impartial, Neutre, Apolitique, Autonome, Totalement Indépendant, capable d’organisé des élections réellement démocratiques, pluralistes, multipartites, justes, et propres, concours incontestablement à l’anéantissement des droits des peuples a disposé d’eux-mêmes. « On ne se tait pas dans une société en crise sociopolitique sempiternelle et sortir par la bonne porte. Non !!! » Nous avons toujours dit et répété qu’il ne doit rien avoir de fétiche dans les élections démocratiques, que le tout doit être a porté de vues et de mains de tous, partis politiques, candidats, citoyens électeurs, et observateurs électoraux. Que parce que, les élections démocratiques sont un droit inaliénable des peuples à disposer d'eux-mêmes, ou un droit inaliénables des peuples à l’autodétermination souveraine. Et partant de ces principes de droits inaliénables, les élections démocratiques s’avèrent être l’expression active de la souveraineté du peuple  réconforté dans ses assises. *- Donc, est démocratie de façade que de faire obstruction à l’expression des droits civiques et politiques qui permette à chaque citoyen  de participer à la vie publique et politique de sa citée, avec une organisation sélective des élections dites démocratiques. Selon les principes internationaux, la citoyenneté ne se définit pas uniquement d’un point de vue juridique, par la possession d’un passeport de sa nationalité et de ses droits civiques et politiques prescrit avec restriction positiviste. Elle se définit réellement au terme de la participation à la vie publique de la cité, largement ouvert à tous, tant dans son organisation, que dans son jeu politique, tout est inextricablement lié. 

*- Donc, est démocratie de façade  l’absence d’un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs politiques d’accord, pour ne pas tomber dans les travers systémiques des élections de démocraties truquées d’avance sous l’influence d’un politicien ou d’un parti politique quel qu’il soit. *- Est démocratie de façade  le découpage électoral non-équilibré, non-consensuel et non-basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré, partout dans l’assiette territoriale, et qui permet d’obtenir une majorité parlementaire factice, ou une majorité d’élus locaux factice qui éliront eux aussi à leur tour des législateurs contre le suffrage universel direct.

Donc, est démocratie de façade, le parrainage des candidatures. Oui, le parrainage des candidats par des élus ou par signatures citoyennes pour être admis candidat, est un procédé peu démocratique, et un outil manifeste d’élimination orchestrée par normes juridiques positivistes, et un objet d’obstruction de tous candidats gênants, à l’électorat épars dans toute l’assiette territoriale. Ce système favorisé les politicien ventrus de fiefs, alors même que sur le plan national, il ne pèse pas grande chose. Et le plus souvent ces signatures sont monnayables. Il n’y a pas plus démocratique et légitime qu’un citoyen égal un vote au cours des élections au suffrage universel direct, ou tout le monde par sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, dans ce noble concours de représentativité nationale.

*- Donc, est démocratie de façade, l’octroi ou l’acquisition du droit de votes, par la nationalité frauduleuse acquise à des fins électorales, sciemment orchestré par un parti politique ou par le pouvoir d’état. *- Est donc, démocratie de façade, la Fraudes massives lors de l’enrôlement sur les listes électorales des personnes de nationalité étrangères, ainsi enrôlées massivement sur les listes électorales afin de vote panurgismes et moutonniers, en complicité avec des politiques mafieux, et/ou des agents intéressés de l’organisme électoral pour servir d’appoint illégal électoral en vue d’une élection et afin de servir de bétail électoral pour un homme politique a une minorité acquise, manifeste. *- Donc, est démocratie de façade, l’enrôlement sur la liste électorale, de façon frauduleuse, dispensée de toute justification juridique à plusieurs endroits ou centres de votes « l’acte de naissance et la pièce d’un parent, père ou mère » et permettant le vote multiples ou tout moins la possibilité de double vote dans au moins deux (2) circonscriptions électorale.

*- Donc, est démocratie de façade, l’obstruction massive faite aux nationaux à l’obtention du droit de vote, « manque de moyens d’acquisitions de pièces d’identités qui est trucage électoral» entrainant un manque de documents ou de pièces d’identités justifiants sa qualité de nationales, qui permet l’accès au processus électoral. *- Est donc, démocratie de façade, les lieux de compilations décentralisés et/ou  le lieu de centralisation définitive pour la proclamation des résultats définitifs sous l’emprise de  l’influence des hommes politiques. Se faisant, quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes, fruit d’un travail politique sérieux, qui a obtenu l’aval des citoyens et leurs votes, hélas ! Ce sont les craps Poilus qui sortent des urnes  de l’espérance citoyenne.

*- Donc, aussi démocratie de façade, le Vote électronique y est très propice. L’irruption des « machines à voter » pour enregistrer des suffrages et les compter sans intervention humaine à signer l’entrée de l’univers industriel dans l’ordre politique, «organisationnel, systémique et électoral ». Ce vote électronique a été expérimenté pour la première fois en Belgique en 1991. Mais n’a jamais été considéré par les grands techniciens électoraux, comme une évolution du système électoral. Au contraire il a démontré toute ses failles, qui donne une véracité incertaine au résultat des votes et est très couteux, avec les failles générales ci-dessus : « *- 1*- Ce système a l'inconvénient de ne pas pouvoir être contrôlé par le public, donc de rendre la fraude possible et difficile à détecter et à prouver, et par conséquent de la rendre probable *1)-Possibilité de « bourrage électronique d'urnes »  *2)-Possibilité d'orienter le vote des indécis *3)-Possibilité de payer un électeur en échange de son vote (l'électeur filme son vote avec son téléphone portable). *4)-Possibilité de remplacer le vote affiché par un vote réellement décompté différent *5)-Impossibilité du recomptage en cas de contestation *6)-Possibilité de violer le secret du scrutin de manière subreptice et difficile à détecter *7)- l’opacité des résultats, parce que, la validité et la véracité du vote électronique ne sont garanties que par les entreprises fabriquant ou certifiant ces machines,  sans moyens de contrôle des citoyens *8)- en plus la machine à voter a beaucoup plus de chances de tomber en panne que l'urne, dispositif infiniment plus simple *9)-puisqu'il y a un logiciel dans la machine à voter, ce logiciel peut être bogué, même sans intention de frauder. *10)- Avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr et certain, c'est de ne rien pouvoir contrôler. Cette absence de contrôle du citoyen remet en doute la validité du vote. Le vote électronique permet le truquage à grande échelle et indétectable par le citoyen votant, toutes les fraudes et truquages sont possibles avec le vote électronique. Aussi les statistiques des pays qui utilisent ce vote électronique montrent, que les machines à voter favorisent le vote blanc/nul, intentionnellement orchestré ou par méconnaissance de l’électeur ou du système par l’agent de bureaux. Donc le vote électronique n’est pas une évolution du système électoral. Ici, est donc, démocratie de façade, le Vote électronique dans un système électoral non-affranchi des hommes politiques. « Avec le vote électronique, la seule chose dont on est vraiment sûr, c'est de ne rien pouvoir contrôler. Or, les urnes transparentes et l'accès du public à la vérification du vote ont l'avantage de garantir la confiance de tous. 

Donc, est démocratie de façade, le Vote électronique, avec une massive déclaration en nullité des votes valables dans les fiefs d’un homme politique candidat. Aussi les grandes contradictions en nombres supérieurs ou inférieurs entre les votes inscrits sur les procès-verbaux des bureaux de votes et les bulletins de votes dans les urnes. Et les lieux de centralisations des votes s’avèrent souvent comme le lieu de prédilection des grandes erreurs techniques sciemment ou inconsciemment qui aboutissent à la dénaturalisation des résultats. *- Est démocratie de façade, le lieu de validation judiciaire de tous le processus électoral mis sous la coupe des hommes politiques en compétition.

 *- Donc, démocratie de façade, tant qu’il n’existerait pas un système d’organisation électorale, non-pas consensuel des partis politique, mais plutôt Apolitique, Autonome, Indépendant, Neutre Impartial et totalement dédouané des Hommes politiques. Donc, de par cette absence systémique, aucune élection ivoirienne ne peut aboutir sur la stabilité sociopolitique, et ne peut aucunement garantir la paix sociale à la côte d’ivoire. Et les élections continueront à s’inscrire dans la  trajectoire d’une  démocratie de façade. Nous l’avons dit et nous le ressassons, il faut pour la côte d’ivoire un système électoral qui échappe au contrôle des hommes politiques, qui sont tenus par des intérêts politiques logiquement partisans, donc forcément de parti-pris, donc partial. «Le but des partis  politiques étant de conquérir le pouvoir d’état, la présence de la main de ses hommes politiques dans le système électoral, équivaut à être des joueurs enquête de buts de la main de Dieu, et en même temps être membre du staff Arbitral ». C’est pourquoi, il faut que les Analyses sociopolitiques fondées sur les valeurs universelles que l’humanité s’est donné, les expertises sociétales doctes, fondées sur les grands principes coutumiers, et les organisations esthètes protectrices de la paix nationale et de la paix internationale retrouvent leurs justes places dans notre société ivoirienne en crise. En politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis, au terme des élections aussi libres et sans reproches.

Donc, ici au terme de ce KOUMA, c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché, par le biais d’une commission électorale Apolitique, Autonome, Neutre, Impartiale et Transparente. Qui doit être assise sur un ensemble de conditions basées sur les grands principes universels démocratiques, et qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Et ce système est par nature adapté au contexte sociopolitique de chaque pays. Le contexte sociopolitique de la côte d’ivoire exige un système ci-dessous décrit, exigible en droit inaliénable: Une commission électorale Autonome et Apolitique, qui gèrera librement tout le système électoral, sans aucune interférence de qui que ce soit, et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils et expertises des spécialistes qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle et fiable, conforme à la démographie nationale du pays « 30 Millions d’habitants » *-5- Qui fera une identification claire des électeurs légaux, en proscrivant les acquisitions frauduleuses de la nationalités et du droit de votes*-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature aux postes électifs de représentations nationales*- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et les modes de scrutins adaptés*- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale conforme aux normes et  standard internationaux, pour le bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. Voici le système qui est adapté au conteste sociopolitique actuel de la cote d’ivoire. Mais les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Oui, de par le monde, cette élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, et un système électoral équitable qui puisse garantir des chances égales pour tous les participants, sous l’égide du système décrit plus haut. Qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit.

Puisque la Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances, alors qu’ils en chérissent les causes de ces souffrances. C’est pourquoi, Ici, nous plaidons, pour un Dialogue sociopolitique républicain, avec la participation de toutes les forces vives de la Nation, pour aborder tous ensembles les questions clés qui porteront sur des sujets d’intérêts nationaux, et de souveraineté nationale absolue, de stabilité sociopolitique, de paix nationale et internationale, du progrès pour tous et le bonheur pour chacun. Notamment les questions exigeantes du socle d’une nouvelle société : l’élaboration d’une constitution consensuelle qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement Autonome, Indépendante et Apolitique. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel, « qui regorge déjà quelques bonnes têtes largement à la hauteur du métier et de la matière assujettie ». *- la révision experte du découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale nationale. « Ici, l’espace étendu, Non ! Le nombre de population, Oui ! » *- Un Dialogue sociopolitique républicain qui proposera une Amnistie générale référendaire au peuple souverain, « l’ultime souverain et l’ultime Amnistiant », sur les faits criminels de 1999 au jour du vote référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 70% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale consensuelle-ment élaborer et devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement dans un fichier électoral manifestement bancal et sur une fiche électorale, de manifestation ressortissant du dégout citoyen pour la chose sociopolitique, et partant pour la chose électorale. * L’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison» *- Pour pouvoir œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales, de tous les citoyens, et de la loi, dans l'indispensable reconnaissance de l'autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous.  *- Afin de rétablissement de la confiance entre les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative, pour la Transformation de notre pays, pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère qui rayonne en Afrique et dans le monde.

Enfin, il en va de la médecine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, nous ne tomberons jamais dans la politique du médecin après la mort, dans la société a laquelle nous devons tout, et dans une nation sans laquelle notre existence aurait peut d’épaisseur, parce que déraciné, dénaturé, et dépravé. Nous sommes la LC_CRS, L’ORCHESTRATION POLITICIENNE DES VOLS AVEC EFFRACTIONS A REPETITIONS NE NOUS CHANGERONS EN RIEN. « Tous les spécialistes de la science sociale vous diront que : des dirigeants malhonnêtes, voleurs et criminels transforment la peuplade sociétale en malhonnête, en voleur et en criminelle. Ce qui est dit est dit ». Bon ! Continuons, d’autres dirons a quoi nous aspirons ? A mettre l’homme au centre du débat politique, le citoyen au cœur du débat développemental, à l’avènement d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire et régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Voilà! Cela veut dire quoi ? Cela veut dire qu’à l’Aune de notre, républicanisme-social: Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme. Que la laïcité prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune. Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Que le social prime sur la génétique, que la nationalité prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que l’homme politique ou l’homme public l’emporte sur son appartenance biologique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques en politique ne soient pas une fixation. Et que la société policée prime sur la société de jungle. Que plus jamais dans notre pays, personne ne soit réduit à ceux a quoi son appartenance sociale ou sa spécificité biologique et religieuse le destine, pour des raisons politiques ou politiciennes ». Le tout dans une côte d’ivoire véritablement « ivoirienne » nouvelle, où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit et les règles de notre seule raison d’être des humains. Une côte d’ivoire de toutes les variances légitimes, ou on pourra faire la politique et aller dormir tranquillement chez-soi.  Voilà pourquoi, nous on « Kouma » ! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et sociale pour tous.

*- UN KOUMA routinier de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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20 octobre 2022 4 20 /10 /octobre /2022 05:04
Lepetitfils : Que les griots des temps nouveaux, mandants de postes et leurs anathèmes, les manges-mils saisonniers et leurs excommunications politiques et les bouffe-tout politiques et leurs apartheid économico-social, sachent que,  notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui a soutenu nos premiers pas dans l’arène politique ivoirienne, glauque et visqueuse en 1994, ou seuls les distributeurs de deniers comptent, qui est de préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. LC_crs.

Lepetitfils : Que les griots des temps nouveaux, mandants de postes et leurs anathèmes, les manges-mils saisonniers et leurs excommunications politiques et les bouffe-tout politiques et leurs apartheid économico-social, sachent que, notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui a soutenu nos premiers pas dans l’arène politique ivoirienne, glauque et visqueuse en 1994, ou seuls les distributeurs de deniers comptent, qui est de préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. LC_crs.

RETRO : « Kouma» un sacerdoce de recherche inlassable, hélas, parfois ingrate, de l’intérêt général.

Disons d’emblée que, nous nous essayons, au métier politique qui consiste en partie pour nous à saisir le moment favorable pour soulever un problème socio-politico-économique, d’intérêt  général et/ou d’ordre public, quand bien-même le problème existait avant et existe toujours dans la réalité. Pour nous ne pas s’inscrire dans ce principe, équivaut à vouloir pomper du vent aux citoyens par le dévouement de la pratique politique. Oui, nous à la légitimité citoyenne « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée, nous sommes des apprentis politiques dans la suite de la philosophie politique de Félix Houphouët Boigny et Suivants. Ou la vie politico-démocratique est l’apprentissage des limites, avec selfs contrôle, jusqu’à la limite de l’humainement admissible, et ou l’exercice politique exige l’autocontrôle, l’autocritique et la contrition, ou elle est aussi le respect de la diversité, de la pluralité, du consensus, à toute épreuve, au tour des règles loyales qui régissent la vie en commun, tout en admettant l’autre comme son égal en droit. Donc, les choses doivent changer du tic au tac, lorsqu’un élu tend à convertir un principe étatique en un privilège indu. Oui ! Quand certains principes fondamentaux de l’état de droit, certains principes  des règles institutionnelles étatiques sont violés, la boite noire étatique de l’organisation sociale et le voile institutionnelle étatique doivent être percé, faute de quoi les principes universels, les droits universels, et les règles universelles seront piétinés, les vérités historiques seront bafoués. Or dans ce cas précis, les libertés publiques et individuelles, seront mis en danger de péril, et les auteurs de sabotages institutionnels seront assurés illégalement d’une ’existence, avec le fonctionnement du système étatique galvaudé.

Autant dire ici que, la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique, ce sont ses actions politiques et gouvernementales, son aspiration systémique, qui décident de notre vie, de la vie de tous et qui décident de la vie de chacun de nous. En clair, ce que nous voulons,  c’est d’apporté de droit et par devoir, aux citoyens ivoiriens, apporté humblement à l’humanité par la culture de non-violence et de paix Houphouët-ienne. Et pour qu’on puisse Gouverner dans notre pays, avec l’obéissance des citoyens gouvernés et servir désintéressement la société à laquelle nous sommes tous redevables.  Donc, s’efforçons-nous au mépris des risques et des intérêts pécuniaires, d’œuvre pour l’intérêt général et s’oublier pour la côte d’ivoire. Pour que la légitimité absolue appartienne à la majorité absolue des citoyens, qui se jauge légalement et légitimement à l’aune des élections aux suffrages universels et au prisme d’un processus électoral transparent. D’un système d’organisation sociopolitique qui obligerait les gouvernants d’état de faire constamment à chaque occasion de crises,  la preuve de leur légitimité populaire émanant du peuple souverain. Oui, nous sommes la légitimité citoyenne « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, et  Houphouët-iste enragée. D’où tout pour le peuple souverain, rien pour l’Absolutisme. Ce qui est dit est dit

Donc ici, continuons le « kouma » d’il y a 10 jours: L’idée de l’Etat de droit et la séparation des pouvoir résultant.

Donc, il convient  ici, de revenir sur un sujet que nous avons abordé d’il y a quelque mois seulement, cela dans la suite de celui abordé d’il y a dix « 10 » jours, qui constitue un pan, du bloc hermétique du premier abordé, d’il y a quelques mois, comme dit plus haut, qu’est le concept et la notion de l’état de droit et ses rapports existentiels avec les citoyens, comme voulu par ses initiateurs entre le 16 e siècle et le 17 e siècle. Pour que le tout pouvoir partisans de la monarchie républicaine, et de la ploutocratique dirigiste, sachent que l’état de droit, se pratique, mais ne se chante pas. L’état de droit se défini comme un système institutionnel dans lequel la puissance publique est soumise au droit universel. Ainsi, faisant du droit un instrument privilégié de régulation de l’organisation politique et sociale, il subordonne le principe de légitimité au respect de la légalité. Donc pour être effectivement appliqué, l’état de droit suppose la séparation des pouvoirs, qui vise à éviter la concentration du pouvoir dans les mains d'un despote. Le pouvoir est ainsi distribué entre des organes indépendants et spécialisés «exécutif, législatif, et judiciaire». Donc, le concept d’état de droit est juridique, philosophique et politique, qui suppose dans un état, la prééminence du droit sur les pouvoir, ainsi que le respect de la loi par chacun, « gouvernants et gouvernés ». C'est une approche où chaque individu, tout comme la puissance publique, est soumis à un même droit fondé sur le principe du respect des droits. Cela suppose le respect des principes de juxtapositions sans lien de subordination, dans une logique de régulation ou de coordination institutionnelle du système étatique, le respect de la hiérarchie des normes, le respect de l'égalité devant le droit, le respect de la non-rétroactivité des lois et le respect de l'indépendance de la justice.

 Donc ici, nous parlons de Droits universel et non des normes positives: Parce que les normes ne sont pas souvent l’émanation du droit universel ou du droit tout court. Donc, elles ne sont pas souvent forcément des normes conformes au droit. Exemple une constitution « normes positive » dont l’élaboration a été unilatérale et imposée, donc soustrait à la procédure d’élaboration constitutionnelle normale, et ainsi dédouanée de la technisation d’un comité d’Experts, pour la rendre conforme au droit universel, n’est pas une norme qui peut asseoir le concept de l’état de  droit. Parce qu’elle est la volonté abstraite d’un homme politique ou d’un groupe politique initiateur, soucieux d’arrivée à ses fins de dominations par le biais du renforcement d’un pouvoir exécutif, par exemple en conférant au mépris du suffrage universel dans ses prescriptions, le droit au pouvoir exécutif de nommé le tiers des législateurs du pouvoir l’législatif, ne peut nullement et n’aucunement contribuer à la lubrification des interactions sociopolitiques du système institutionnel de l’état de droit et partant la régulation de l’organisation sociale qui exige l’égalité devant le droit. Non ! C’est ce qui est par essence l’autre figure du despotisme, et au finish une norme qui ne bénéficie que d’une votation politique de moins de 10% de taux de participation réelle de l’électorat total, et de 99% de Oui, de ce taux de participation en dessous de 10%. Cette norme ne peut s’inscrire dans les critères de l’état de droit. Parce qu’elle exprime manifestement l’absolutisme dans tous ses états. Donc, ici, Droit universel et non Normes. Donc, répétons encore que l’esprit  initial  du concept créateur de l’état de droit, ne tient qu’au respect des principes et des règles de fonctionnement institutionnelles, qu’à l’ensemble des citoyens mis à égalité de droits.

*- L’état de droit exige que les pouvoirs exercent leurs fonctions selon les balises définies par des principes de droits

Donc, redisons de façon très litote que : L’idée de l’Etat de droit à fait son apparition, pour la première fois, en Angleterre, au XVIIe siècle, dans le contexte des disputes entre Parlement qui se voulait indépendant et la monarchie qui voulait tout le pouvoir, dans un abracadabrantesque poulailler étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger de Loup totalitaire et de renard arbitraire, et qui voulait que les citoyens assujettis à la soumission seigneuriale, puissent organiser leur propre défense dans ce poulailler étriqué. Donc, le premier essayant de limiter le pouvoir discrétionnaire du Roi, et d’instituer la suprématie de la Loi dans toute l’activité de l’Etat. Les sources d’inspiration de cette conception devenue universelle, se trouvent dans l’Antiquité grecque, dans la philosophie politique d’Aristote. Ce dernier considère que le mieux serait que la loi gouverne les rapports sociaux, plutôt que n’importe lequel des citoyens soit maitre du fonctionnement social. Parce que, la loi consensuelle, élaborée souverainement par la totalité sociale souveraine  en tant qu’expression de la liberté, de la justice et du bien général, se trouvera au-dessus des passions, des intérêts et de la subjectivité des individus. Et ainsi devenue consensuel et strictement impersonnelle et d’application strictement égal pour tout citoyen, elle se situe au-dessus.

Ceci, sinon, les passions, intérêts et subjectivité des individus, triomphent lorsque, tout est décidé par le pouvoir d’état ou par les pouvoirs d’état. Et non pas décidé par la loi d’intérêt général et d’ordre public. Et ainsi, quand les gouvernants ne ressortissent pas du droit égal pour tous, et consensuelle-ment voulu par le peuple souverain consentant, les pouvoirs d’état deviennent despotiques et ne sont plus libre, car la «loi» consensuelle voulue par le peuple consentant, devrait être au-dessus de tout ce qui est, et de tout ce qui doit être dans la société. Et en considérant que la «loi» consensuelle voulue par le peuple consentant doit être le fondement de toutes les relations sociales et de toutes les actions publiques, les promoteurs de cette idée seront les initiateurs de la théorie de l’Etat de droit, laquelle deviendra une conception dominante des sociétés modernes, et comme déjà dit, la première impulsion à cet égard viendra de la part des penseurs politiques, éclaireurs d’opinions, lesquels se rapporteront directement au conflit apparu vers le milieu du XVIIe siècle entre l’absolutisme monarchique exigeant tous les pouvoirs et les tendances d’émancipation politiques des sujets de Sa Majesté, en Angleterre. Conflit parce que, fondamentalement, un État de droit exige que les pouvoirs publics exercent leurs fonctions selon les balises définies par un ensemble de principes de droits universels afin de fonctionner sans interaction institutionnelle conflictuelle.

*- La totalité sociale se trouve attaqué dans son substrat d’existence quand l’état de droit vire à l’Absolutisme.

Donc, ressassons-le, ici, parce qu’une vérité mille fois dites vaut mieux que, les mensonges soutenus par les milliards du banditisme politique et du gangstérisme systémique. Oui, disons-le, il faut pour la côte d’ivoire post-guerre le respect strict des grands principes universels qui certifient l’existence de l’état républicain de droit, le respect strict des droits universels et le respect strict des règles universelles. Et une vraie réconciliation nationale, assise sur des normes de régulations sociopolitiques consensuelles conformes au droit universels impersonnels, qui soldent tous les griefs sociétaux, en conférant l’égalité de chances à tous et l’égalité de tous devant les droits, pour consolider les fibres du lien social, de l’harmonie communautaire et de la paix sociale. Parce que, le lien social est politique. Et sa consolidation ne peut se faire que par le rafistolage juridique impersonnel et consensuel. Oui, c’est parce que le lien social, est politique et diplomatique, que les institutions politiques étatiques, l’organisation sociopolitique, et les mécanismes de fonctionnements de l’appareil étatique, avec son principe pyramidal de séparation des différents pouvoirs étatiques doivent respecter, les principes universelles, les droits universels, les règles universelles et que chacun doit être reconnu dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, et chacun doit pouvoir voir ses griefs sociétaux soldé par les principes de l’état de droit, par le droit lui-même qui en résulte, dans le consensus, dans l’exaltation de la diversité solidaire. « Pour que les faiseurs de couillonnade dans l’antichambre qui sont perché haut sachent qu’ils ne savent pas et ne peuvent pas faire président de la république.» Bon ! Continuons, le lien social bien compris, fondé sur le respect des principes universels, des droits universels, et des règles universelles, est ce qui permet aux groupes sociaux, aux mouvements graduels de la société, aux organisations corporatives et aux individus, de vivre paisiblement en commun dans un état républicain de droit, et dans une société bien Cohérente.

Et surtout, permet de faire société et vie commune, sans heurt majeur, dans l’acceptation des différences sociétales. Et d’obvier les mutations sociales d’irruption imprévue, qui  engendrent souvent la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société commune. Pour enfin de compte, affaiblir l’état de droit et la société démocratique. Donc, ici, les choses doivent changer du tic au tac, lorsque la personne qui a reçu l’investiture de la communauté unique, tend à convertir un principe étatique, un droit étatique, une règle étatique, en un privilège indu. Quand il ambitionne de se muer de serviteur en maîtres absolu. Si telle est la situation, la composante étatique fort des principes sources, des droits incitatifs, des règles universelles,  a le droit inaliénable de tout peuple a disposé de lui-même, et le devoir absolu ou l’obligation rigoriste, d’exiger le respect des principes, des droits et règles sur la base desquels fut institué l’état républicain de droit. Et, si la personne qui a reçu l’investiture de la communauté, oppose de la résistance quelle qu’elle soit, à cette sollicitation légale, légitime, alors son remplacement devient inévitable par la composante sociale, dont il est ressortissant. Parce que la composante sociale se trouve attaqué dans son substrat d’existence. Et l’état républicain de droit aurait viré à l’état de nature.

*- La personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel.

Donc, que les griots des temps nouveaux mendiants de postes et leurs anathèmes, les manges-mils saisonniers et leurs excommunications politiques, et les bouffe-tout politiques et leurs apartheid économico-social, sachent que,  notre position d’aujourd’hui est édictée par notre très difficiles premier choix, qui a soutenu nos premiers pas dans l’arène politique ivoirienne, glauque et visqueuse ou en politique en 1994, ou seuls les vainqueurs distributeurs de deniers publics comptent, qui est de : préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens à notre vie. Notre sacerdoce et notre credo, est la recherche inlassable, hélas parfois ingrate, de l’intérêt général, du bien commun, et de la paix sociale Houphouëtienne, avons-nous fait le serment dès le départ. Si les postes, les titres, et le bien matériel peuvent venir à la remorque de nos actions édictées par cette position première, tant mieux pour nous. Mais nous n’en faisons pas une fixation. Donc la personne physique de l’homme politique ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Ce qui nous intéresse en l’homme politique ce sont ses actions politiques et gouvernementales, qui décident de notre vie, qui décident de la vie de tous, et qui décident de la vie de chacun. Et c’est pourquoi peut être, nous sommes ce que nous sommes, pauvre éveilleurs de conscience, parolier du citoyen.

Oui ! Les allégations moutonnières des chansonniers d’un panurgisme aveugle, qui nous piaillent à volonté ou par orchestration politicienne, « pauvre type, malheureux, et autres », ces piaillements de bassesses, sont nos médailles préférées d’aujourd’hui. Parce que nous espérons de demain dans un corpus générationnel de politiciens formés à l’exercice du noble art politique, qui est une science exacte ou toutes paroles, toutes actions donnent les résultats escomptés, mis au service du peuple souverain, un bloc générationnel de politiciens forgés dans les combats politiques discursifs, sans violence physique. Et formée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, éduquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public, «même les livres de toute une Vie et destinés aux travaux de celle-ci, et pouvant tomber dans une succession humaine, on commandite le vol, et là nous sommes parait-il en politique, ou il sied de fermer la bouche de tout ce qui bouge», et qui n’aspire qu’à vivre dans une nation une et indivisible garantissant droit, liberté, justice sociale et juridique pour tous.

Nous en sommes d’autant plus à l’aise aujourd’hui et consolidé pour le futur que, nous n’espérons que de demain, en refusant aujourd’hui, de nous s’inscrire sur le registre des fossoyeurs de la démocratie, des gens qui ne s'intéressent pas à l'homme, mais à dieu l’argent. Ces forces rétrogrades du mal, qui violent les règles préétablies du droit et de la démocratie. Oui ! Nous espérons de demain, en évitant aujourd’hui, la politique aveugle et nombriliste de l’absurde, qui ne dessine pas l’horizon d’un avenir commun et meilleur pour les citoyens, mais qui le met en danger. Ce qui n’est autre chose qu’un coup d’arrêt injustifiable, irrecevable et inacceptable, aux principes républicains de l’état de droit, pourtant qui peut conduire au développement politico-économique et au progrès social pour tous dans notre pays la côte. Sur ceux citoyens, nous avons satisfait à la routine, oui, nous avons Kouma pour le souverain peuple ivoirien. Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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10 octobre 2022 1 10 /10 /octobre /2022 03:30
Lepetitfils : Nous on veut réguler, sinon nous on voit la Bulle dans haut : président qui veut tous les pouvoirs. Ministre nihilistes de partage de gâteaux. Des opportunistes logés dans l’héréditaire antichambre Wouyâ-Wouyâ. Des Députés automate Flêkê-Flêkê. Des sénateurs pour bouffer. Un congrès de jeu de morpion. Des Maires Gnâffou-Gnâffou déconnectés des réalités sociales. Des conseillers généraux pour rien. Des grilleurs d’arachides aux gueules puant le bien public. Le tout ressortissant d’un système électoral zéro-pointé qui ne rassure personne… Voilà !!!

Lepetitfils : Nous on veut réguler, sinon nous on voit la Bulle dans haut : président qui veut tous les pouvoirs. Ministre nihilistes de partage de gâteaux. Des opportunistes logés dans l’héréditaire antichambre Wouyâ-Wouyâ. Des Députés automate Flêkê-Flêkê. Des sénateurs pour bouffer. Un congrès de jeu de morpion. Des Maires Gnâffou-Gnâffou déconnectés des réalités sociales. Des conseillers généraux pour rien. Des grilleurs d’arachides aux gueules puant le bien public. Le tout ressortissant d’un système électoral zéro-pointé qui ne rassure personne… Voilà !!!

*- Chronique « Kouma » : Notre mission est d’autant plus facile qu’on compte très peu sur quelqu’un.

Nous disons donc ici d’emblée que : En  ce 21e siècle tout coup d’état contre un pouvoir démocratique issus des urnes est un crime, comme tous les autres crimes, contre l’humanité, contre la paix nationale et internationale. Parce qu’il s’inscrit dans la logique des crimes d’esclavages, qui dénie le libre arbitre aux peuples souverains. Donc la CEDEAO est tombée très bas, et rampe toujours au sol en légalisant les effractions des débiles et  hautains putschistes armés. Donc, citoyen ivoirien ! La Légitimité Citoyenne, convaincue que c’est une certaine idée confuse, lugubre, et un certain esprit manipulateur et obscurantiste, appuyé sur des tares et insuffisances institutionnelles, mis au service des desseins glauques, funestes, macabres, ont permis la guerre, et les crises postélectorales ivoiriennes, s’est donné pour mission de Kouma pour tamiser l’espace public, en espérant obtenir la solidarité autour de l’intérêt général et de l’unicité des positions politiques dans la gestion des crises. Parolier dévoué du citoyen, notre mission est d’autant plus facile qu’on compte peu sur quelqu’un. La galère assumée est notre Amie. N’en déplaise! Voyons ci-dessous !

*- Il faut en côte d’ivoire, un système d’organisation socio-politico-économique qui rassure la composante sociale.

Donc, disons-le, 33 sénateurs nommé par le président, sur un total de 99 membres, dont 66 sénateurs élus donc, un sénat dont le tiers est dédouané du suffrage universel direct, est une violation grave du principe républicain de la séparation des pouvoir. La nomination du pouvoir législatif par la pouvoir exécutif, « suprême soit-il », est une violation fragrante des principes républicains de la séparation stricte des pouvoirs, institutionnels d’état. Et un autre quelconque procédé politique d’accession à cette fonction, autre que le suffrage universel relève de la même  violation grave et flagrante du principe républicain de la séparation coutumière des pouvoir. Oui, quelle régulation sociopolitique peut-on attendre de deux «2» chambres de députés «assemblée et Senat, avec un tiers d’emblée de cooptation présidentielle», qui se doivent dès lors d’être automates dans l’exécution des projets d’organisations sociopolitiques soutenus ou émanent du pouvoir exécutif. Donc, une seule personne, décide seul de tout. Or dans un état de droit républicain, quand une seule personne décide de tout, c’est ce qu’on appelle la dictature ou la monarchie républicaine. Oui, que peut-t-on espérer, de deux chambres suivistes de députés automates, prêt à jeter l’organisation sociale au pied du pouvoir exécutif ? Même au besoin en le permettant de gouverner unilatéralement par ordonnance. Rien à espérer pour la régulation sociopolitique, pour l’aspiration souveraine du peuple. RIEN !

Aussi, l'amnistie présidentielle est une dérogation au principe de séparation de pouvoir, une violation flagrante de ce principe, et ici, une prescription positiviste constitutionnelle, ne saurait annihiler ce principe universel coutumier. C’est une extrême violation de la souveraineté populaire du peuple, l’absolu souverain et l’ultime Amnistiant. Donc aujourd’hui l’ivoirien a-t-il conscience que, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a viré lamentablement à l’état totalitaire déviant et à la Monarchie absolutiste ? La séparation des pouvoirs de Locke et de Montesquieu sont soldé sur toute la ligne par une monarchie républicaine. Bon ! Il est constant, qu’au terme de l’immersion d’un état de droit dans l’absolutisme totalitaire, le peuple souverain ne prend conscience le plus souvent du danger réel qu’au stade irréversible de l’anéantissement total des droits, des libertés, de la démocratie et du substrat sociétal. Oui, pour susciter la confiance des citoyens il faut un système politique fiable, un système socio-politico-économique ouvert. Une ouverture qui responsabilise le peuple souverain, qui comprend dès lors que les outils démocratiques lui appartiennent, qu’il peut s’en emparer pour être le maitre absolu de son destin et dans  sa vie sociopolitique.

Oui, il est de notoriété mondiale, ou sinon universelle que, quand un homme ou un clan politique s’accapare le rôle souverain du peuple et décide de tous lui seul unilatéralement, c’est ce qu’on appelle techniquement la dictature ou la monarchie républicaine. C’est du classique dans la gestion des affaires de la totalité sociale souveraine ou étatique. Oui, un sénateur est un parlementaire qui, au sénat chambre du parlement participe au travail législatif et surtout au travail de contrôle du pouvoir exécutif. Le Sénat forme avec l'Assemblée nationale, le pouvoir législatif. Et la séparation des pouvoir vise à séparer les différentes fonctions de l’État, afin de limiter l’arbitraire et d’empêcher les abus liés à l’exercice de missions souveraines. Donc les institutions publiques sont divisées entre le pouvoir législatif qui fait les lois, l'exécutif qui les met en œuvre et les fait appliquer, ces deux «2» dernier doivent ressortir du suffrage universel direct, « tout autre mode d’accession à ces prérogatives est une violation flagrante du principe régalien de la séparation des pouvoirs », et le pouvoir  judiciaire qui les interprète et les fait respecter. Oui, la côte d’ivoire a besoin d’un système d’organisation socio-politico-économique qui rassure la composante sociale.

*- le substrat principal de la séparation des pouvoirs en trois «3» organes, est dans l'interdiction de l’assemblage.

Donc, nous disons que, la théorie de séparation des pouvoirs, plaide pour que chacune d’entre elles, soit exercée par des organes distincts, totalement indépendants les uns des autres, tant par leur mode de désignation que par leur fonctionnement. Chacun de ces organes devient ainsi l’un des trois pouvoirs : le pouvoir législatif est exercé par des assemblées représentatives, le pouvoir exécutif est détenu par le chef de l’État et les membres du Gouvernement, le pouvoir judiciaire, enfin, revient aux juridictions publiques. Mais dans un système de monarchie républicaine, à l’ivoirienne, le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif, ont été soustrait au contrôle strict des juridictions judiciaires en mettant le parquet avec l’initiative des poursuites, sous la coupe de démembrement du pouvoir exécutif, «Ministre de la justice» parait-il au motif que celles-ci ne disposaient pas d’une légitimité suffisante pour s’opposer, réguler ou juger des actes émanant d’autorités ressortissants du suffrage universel et supposés agir au nom du peuple. Et ces trois fonctions par principe séparées sont ainsi confondues et détenues par une seule personne.

Donc, ici ces trois fonctions sont confondues et évolues, vers la détention absolue d’un  monarque. « L’Assemblée Nationale automate, Senat suiviste, justice aux ordres du monarque ».  Or, par principe d’état républicain de droit, bien qu’élu dans le cadre d’une circonscription, chaque législateur, compte tenu de la mission de vote de la loi, et de contrôle de l’action du pouvoir exécutif, dévolue au pouvoir législatif, représente la Nation tout entière, et exerce à ce titre un mandat national. Ce qui oblige la dévolue absolue de ces fonctions de législateurs par vote au suffrage direct. Parce que, la souveraineté nationale appartient au peuple, qui l’exerce par ses représentants par lui procurés avec une limitation de pouvoir et par la voie du référendum de lui-même peuple. En conséquence, les législateurs se déterminent librement dans l’exercice de leur mandat. C’est ainsi qu’en 1964 Michel Ameller disait que « c’est à l’étendue de leurs moyens de contrôle du pouvoir exécutif que se mesure la force du pouvoir législatif parlementaire ». Ceci es leur mission, bien que d’autres contre-pouvoir légaux existent: les associations, les médias, la société civile dans son ensemble. Mais, dans une démocratie représentative, c’est aux législateurs, qu’il appartient d’exercer au premier plan cette mission ressortissante du suffrage universel à leurs confiée par le peuple. Donc, le substrat principal de la séparation des pouvoirs en 3 organes, est dans l'interdiction de l’assemblage, direct ou indirect, de la totalité du système d’organisation sociopolitique entre les mains du même pouvoir politique. 

*- Mais le législateur peut partager avec exécutif certaines fonctions des démembrements du pouvoir exécutif.

Oui, par le contrôle strict et impartial, le parlement à obligation de montrer que, loin de toujours faire prévaloir des considérations d’ordre politique, que le pouvoir législatif a pour mission de porter la voix du peuple souverain contre toute autre considération sociopolitique. Oui le pouvoir de contrôler du législatif ne doit pas, par une voie détournée, se muer en soutien du pouvoir  exécutif. Et il doit ainsi veiller et participer au respect des strictes exigences de l’architecture composite de l’État républicain de droit. Le pouvoir législatif toute tendance confondue, se doit d’interroger le pouvoir exécutif,  examiner son action, pour rendre effective sa mission de représentation du peuple souverain, en  vérifiant que le pouvoir exécutif agit conformément aux objectifs qui lui sont assignés par la majorité des citoyens. Il peut également, en initiant des motions de censures objectifs, qui sera soumise au vote de l’ensemble des législateurs mettant ainsi en cause le pouvoir exécutif, duquel il lui est interdit par principe d’être dépendant. Mais néanmoins, sauf dans des systèmes autoritariste, totalitariste, monarchiste, et de féodalisme, le Conseil constitutionnel à le devoir d’exerce un droit de regard sur les activités de contrôle du pouvoir législatif.

Même si, pour se faire le Conseil doit ou peut être saisi par le Président de la République, et/ou  le Premier ministre. Mais, aussi légalement, les législateurs peuvent partager avec le pouvoir exécutif certaines fonctions d’intérêt public, exercés par les démembrements du pouvoir exécutif: conseiller municipal, conseiller régional, conseiller départemental. Ces possibilités d’imbrication sont admissent parce que la détention d’un de ces mandats peut être un moyen pour les législateurs d’avoir une meilleure connaissance de certains dossiers locaux importants. Donc, pas de compromission, mais nécessité de savoir pour servir et non d’avoir des avantages pécuniaires. Oui, la dictature c’est quoi? C’est quand une seule personne décide de tout dans un état dit de droit et de démocratie. *- 10 = Nous ne revendiquons pas ici pour le pays de Félix Houphouët Boigny, de refonder un nouveau pacte républicain, mais nous plaidons pour rétablir le pacte républicain dessous. Ce pacte salvateur n’existe plus pour une très grande partie du peuple souverain ivoirien, du fait des institutions vermoulues, des normes juridiques anomiques, d’une organisation politico-électorale démodée, du fait de la ségrégation socio-politico-économique, de l’Apartheid démocratico-électoral et de la sécession mentale consommée entre diverses communautés, qui alimentent des affrontements intercommunautaires. Ou les différences des personnes physiques en politique, sont devenues une fixation absolue.

Donc, ici, on entend par pacte républicaine une collaboration entre toute les sensibilités politique pour sortir le pays d'une situation de crises aigues.  Au lieu de ces actions politiques salvatrices, novatrices, concrètes, convergent vers cet idéal, qui concourent au rétablissement du pacte social dissout, les citoyen subissent une meute de camarilla bouffes-tout, qui ne songent qu’à zapper aux mollets des éclaireurs et à zigouillés les citoyens récalcitrants, ou à expédier toute opposition politique au Trou. Or, un politique digne de ce Nom, doit tout simplement pouvoir dire non ! à la politique de l'autruche et savoir lire entre les lignes. Un politique doit s’efforcer de connaître avec certitude la réalité scientifique des choses et se montrer juste dans l'appréciation des justes réalités des choses. En se comportant avec exactitude dans l’action politique et en agissant à la limite d’humainement admissible. Notre mouvement d’utilité citoyenne né à partir d’un besoin de régulation sociale en 1994 ne peut varier. La côte d’ivoire a besoin de régulation sociopolitique d’abord, il faut un système de régulations sociopolitiques et que toutes les autres appartenances, quelles qu’elles soient viennent après avec leurs logiques de luttes de leadership.

 C’est pourquoi la vraie politique est souvent définie comme, un combat permanent entre ceux qui veulent le bonheur du peuple devenu maitre de son destin, de son émancipation, de son épanouissement, de sa liberté, de son droit à réaliser son désir d’avenir et ceux qui à l’opposée n’ont d’autre vision du monde que l’enrichissement perpétuel au détriment du peuple et le pouvoir d’oppression au service de DIEU l’argent. Ou la cause d’intérêt public n’est toujours pas gagnante, ou l’intérêt général est le sacrifice du mafieux. Le tout dans une situation sociale où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine.  Donc voilà la coexistence institutionnelle dans un état républicain de droit auquel notre pays et nous même  aspirons et qui  permettra de retrouver les repères d’un état de droit et d’une démocratie moderne. Pour que le Bateau du progrès humain commun, reprend la voie royale vers la lumière du développement socio-politico- économique au service du citoyen ivoirien et de tout homme. Donc, citoyen ! Ici l’essentiel dit ci-dessus, est dit pian!  

*- Bon ! Citoyens, causons ici dans un langage de citoyen libre, de toute procuration élective. On va cadavéré qui ?

Au surplus : Citoyen Ivoirien ! Nous avons dit nomination au mépris du suffrage universel direct. Donc, = Un président de la république qui veut tous les pouvoirs du système de fonctionnement étatique. Certains Ministres nihilistes et iconoclastes par partage de gâteaux. Des logés dans l’héréditaire antichambre Wouyâ-Wouyâ du pouvoir par allégeance alimentaire. Des députés Flêkê-Flêkê, automate, auto-assujettissants. Des sénateurs de nominations de récompenses pour bouffer. Donc, un congrès d‘enregistrement clownesque de jeu de morpion. Des Maires Gnâffou-Gnâffou déconnectés des réalités de leurs administrés. Des conseillers généraux pour rien. Des présidents et grilleurs d’arachides de toutes sortes aux gueules puant l’arachide, très occupées à mâcher le bien public. Le tout ressortissant d’un système électoral zéro-pointé qui ne rassure personne qui légitime le tout. Et qui est sempiternellement abonné aux crises électorales et aux morts et blessés de citoyens qui ne veulent que vivre. Ils sont diffus dans les affaires publiques ces bouffe-tout et estampillés à des postes de responsabilités, dont ils ignorent tous des prérogatives. Quoi de plus normal : Les nommées sont nommés ici, pour leur capacité à trahir l’intérêt général au profit du clan du monarque et pour servir la table des convives. Donc des nommés et cooptées qui n’accèdent pas aux postes de responsabilités pour appliquer un programme, au préalable présenté et défendu devant le peuple, et pour l’intérêt du peuple, ni pour travailler pour l’intérêt général. Mais pour se plier aux injonctions du pouvoir pour pomper les deniers publics. Et se contenter de faire des flatteries dans les couloirs du pouvoir et dans les cercles de pouvoirs. Evoluant dans une myopie totale, articulé à un dit développement effréné non-balisé pour les perspective d’avenir, ou on ne mangera pas goudron et béton. Un progrès social propagandiste de fausse notoriété et de auras factices surtout d’escroquerie morale et intellectuelle a la remorque de la vie très chère, masqué par des salaires publics poudre aux yeux, qui vont flotter demain pas lointain, jusqu’à terre sous la pression des dettes contractés.

*- Bon ! Vous z’a bouffeurs de jetons, nous z’a pauvre citoyen qui Kouma, mais  vous va voir ! On sera ! On vous voit !

Il y a des gens qui disent vouloir cadavéré les gens à cause de kouma, on dirait que, eux-mêmes ne vont pas faire cadavre un jour, yeux ouverts devant tout le monde ici dans ce pays-là. («- C’est ainsi qu’on peut commanditer le vol de la bibliothèque « des ouvrages ou livres » péniblement acquit sur des dizaines d’années, par un homme qui n’a jamais émarger dans les caisses publiques étatiques de quelques manières que ce soit, et d’une valeur de plus de douze millions de francs CFA « 12 000 0000F, ce forfait criminel, comme couronnement des vols avec effractions répété dans les mêmes lieux, qui est la propriété de la victime de vols, au seul motif d’appartenance sociale. Oui, après 10 ans hors du pays, pendant ce temps une résidence saccagée et pillée trois « 3 » fois, la première fois pour le vidé de son contenu, la deuxième fois pour récupérer le peu résiduel qui restait et la troisième fois pour s’en servir peut-être de lieu de débouche. Même ma bibliothèque qui était mon plus grand souci, qu’on m’avait dit épargnée dans une chambre principale, ou si l’argent peut-être la mesure de valeur, il y avait au moins pour 12 000 000 CFA d’ouvrages, soit 18.300 Euros ou 26.430 Dollar canadien, des livres à 80 % de Droit et a 20% de science politique. Ce qui n’est pas de la tarte, pour quelqu’un qui n’est pas né dans l’or, donc pauvre type, comme nous. Un enfant qui a côtoyé les pôtô-pôtô de Mamiani à Bouaké pied plat, sous les lourds sons «gbou-gbou-gbou» de l’énergie électrique, avant de prendre tremplin à Ebillassokro pour trouver ses assises dans Abobo-la-guerre ou le Coudou-bâtard servait de mode de règlement des petit-tchocoyâ, de coexistence communale et de cohabitation des cours communes surpeuplées 

Donc, une bibliothèque péniblement acquis, la plupart par voie de commande, via une Librairie de renommée internationale de la place. Oui, à mon arrivée ces livres n’y étaient pas, non ! Leur côte d’ivoire nouvelle est passée là. Il y avait plus de livre. Peut-être question de nous privé de savoir, sinon dans leurs essences, ces livres ne sont pas destinés aux communs des mortels. Bon ! Violence gratuite ? Anathème politique ? Excommunications sociale ? Crime d’expression ? Condamnation sectaire pour crime d’opinion pour plaire à un pouvoir déviant ? Peu importe ! Les faits sont-là, têtus et explicites… Citoyen Ivoirien ! Nous disons ceci juste pour une mise au point, la bibliothèque de notre vie et pour notre Vie et notre personne physique, ne sont pas la question centrale ici, qui est la totalité sociale. Oui, Hier, à partir de 2011, la côte d’ivoire est devenue une société mercantiliste et antiélitiste, aujourd’hui elle est devenue une société violente, criminelle et anti-savoir. C’est ça! - ») Même Kouma une camarilla belliciste de rassemblement de menteurs, tchatche de çà, flèche empoisonnée. Nous on ne fait pas du politique mange-ment ou du griottisme politique de bouffement. Nous, à la légitimité citoyenne -LC-CRS-, on ne kouma pas à cause des jetons, ou à cause d’un quelconque «Dieu»-Gbwli-suprême. Notre Kouma, est citoyenne, qui n’a aucune connexion avec Gnamien-Gbwli, ou autres–Gbwli-suprême. Nous, et les (Dieux)-Gbwli-suprême, y a pas contact possible. On ne se connait pas du tout, c’est chacun dans son chacun, donc y a pas de communication entre nous, parce que, y a pas réseau, jamais. Oui, tout pour le citoyen libre d’où qu’il mène. D’où la légitimité citoyenne, mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, Houphouëtiste enragée par les écueils politiciens de toute sorte depuis 1999-2000

*- Nous, on Kouma pour tamiser le système de fonctionnement de la vie socio-politico-économique de notre pays.

Oui, pour nous la politique n’est ni UFR, ni Science-Po, ni Normal-Sup, puisqu’on nait intellectuel, et prédisposé a la gestion des hommes. Tous les grands magiciens politiques vous le diront que l’exercice de ce noble art est inné. Que la politique est une science exacte, un art noble, qui admet sans faux fuyant, les différences sociopolitiques, que la politique est un concours de représentativité au terme duquel se joue  le destin de la nation, le destin de tous et le destin de chacun. Dès lors qu’on ne maîtrise pas ceci, il faut s’abstenir de faire la politique. Donc, nous, on kouma, sans haine, sans accès, sans rancune viscérale, pour tamiser le fonctionnement systémique de la vie socio-politico-économique de notre pays. Et nous disons que, l’état de droit réel doit être rétabli dans l’ensemble de l’assiette territoriale nationale. Avec les mêmes principes universels, les mêmes droits, les mêmes libertés, les mêmes règles, les mêmes possibilités de s’en sortir dans la société pour tous, ou que l’on soit dans l’assiette territoriale de ce pays, sur le territoire de la république de côte d’ivoire, dans le pays d’Houphouët Boigny, sans chasse gardée, sans terrain conquis et sans de petits terrain électoraux bouclé ou géré, et que le fonctionnement normal de l’état républicain de droit doit être impérativement garanti. D’où l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Nous espérons de cette voie salvatrice vers l’Aube anti-obscurantiste, qui mène à l’anéantissement de la déchirure fratricide. Pour que sur cette voie consensuelle éclairée et éclairante par le droit, tout le monde « ivoirien » se rejoint à nouveau et continuer à nouveau, à se battre et à combattre dans le même rang solidaire pour le progrès pour tous et pour le développement sociopolitique de l’entièreté de la nation. Ou l’homme, l’être humain, serait la centralité absolue du tout sociétal. Sur ceux citoyens Ivoiriens, cadavéré ou pas, nous avons Kouma. Pian !!! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy, Leader de la Légitimité Citoyenne.

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30 septembre 2022 5 30 /09 /septembre /2022 02:40
Lepetitfils : La nouvelle reconstitution de la CEI ne rassure personne. « MOUK ! » jamais de la vie. En tout cas PAS la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste et  Houphouët-iste enragée, donc ne peut être rassuré par « Fait-nous-fait» compromissoire démocratico-électoral. C’est clair et net, l’opposition sera réduite à l’état d’accompagnateur et de cachet validant des élections avenir. Il nous faut absolument changer de système électoral, donc changé de route tous ensembles unis, sans exclusive.

Lepetitfils : La nouvelle reconstitution de la CEI ne rassure personne. « MOUK ! » jamais de la vie. En tout cas PAS la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste et Houphouët-iste enragée, donc ne peut être rassuré par « Fait-nous-fait» compromissoire démocratico-électoral. C’est clair et net, l’opposition sera réduite à l’état d’accompagnateur et de cachet validant des élections avenir. Il nous faut absolument changer de système électoral, donc changé de route tous ensembles unis, sans exclusive.

*-Chronique « Kouma » ; Le pays fonce dans le Mur sous un pouvoir danger public.

La nouvelle reconstitution de CEI en l’état ne rassure personne. Dans une situation socio-politico-électorale délétère, de chaos en perspective, de désordre programmé, de tension sempiternelle, d’incertitude anxieuse, et de désespérance qu’ils sous-tendent, qui règne actuellement, avec un horizon ivoire électorale de 2025 nuageuse, avec un système électoral volcanique entre les mains des pyromane endurcis. Ou la culture de paix et de cohésion sociale, ont été soldée, et les fibres de l’harmonie intercommunautaire sont sectionnées. Ou le Diable nébuleux et le grand Satan se donnent les mains pour avancer en claudiquant vers un destin qu’ils aiment à dire de paix, d’émergence, de développement économique, au terme de dialogue politique goupillé, Tant qu’il n’existerait pas un système d’organisation électorale, non-pas consensuel des partis politique, mais plutôt Apolitique  Autonome, Indépendant, Neutre Impartial et totalement dédouané des Hommes politiques, aucune élection ivoirienne ne peut aboutir sur la stabilité sociopolitique, et ne peut aucunement garantir la paix sociale à la côte d’ivoire. Nous l’avons dit et nous le ressassons, il faut pour la côte d’ivoire un système électoral qui échappe au contrôle des hommes politiques, tenus par des intérêts politiques logiquement partisans, donc forcément de parti-pris donc, malhonnête et partial. La paix est à ce prix. Or, le pouvoir d’Abidjan est conscient de sa minorité électorale acquise, donc, il ne peut pas oser ouvrir le jeu démocratique et électoral face à une force composite, éparse et diffuse largement majoritaire. Non ! Cela signifie la perte du pouvoir d’état confisqué dans un système. Donc, ce pouvoir sera l’arbitre du processus électoral comme toujours, avec sifflet d’arbitrage aveugle et téléguidé, la commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral, le mode de scrutins  électoral «supports de votes» resteront sous sa coupe calée-réglée d’autoritarisme unilatérale.

Chemin faisant disons : que c’est une honte institutionnelle de voir, d’entendre à l’unisson les deux «2» chambres de député, se congratulé, en s’inscrivant dans une logique de « Fraternité politique, de complicité politique, et de complémentarité politique » au service du pouvoir exécutif. Et l’à, ou le peuple souverain attend absolument des confrontations houleux, des débats chauffés à blanc. Ou souvent, les chaises se trouvent des ailles, les vestes se déboutonnent, pas par leur porteurs, cela pour que la juste réalité des problèmes sociopolitiques trouve remédier dans des légiférations idoines, adaptées, d’intérêts général et d’intérêt public. Les représentants élus du peuple n’ont pas besoin d’interconnexion d’intelligence politique particulière, ils sont astreint au respect des principes institutionnels et se doivent de  transporter une voix qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à e que les citoyens veulent, et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Et cela dans le respect de la volonté générale, d’où qu’elle peut mener, sans manipulation et sans fabriques politiciennes. C’est de cela qu’il s’agit. Non ! C’est une honte institutionnelle, l’a ou l’intérêt du peuple se défend contre oncles et becs. Mais, nous ne sommes pas du tout étonnés, après avoir vécu la gouvernance par ordonnance présidentielle pour transcender les prérogatives du parlement ivoirien consentante. Ici, nous plaignons les élections de façades, qui sont l’origine de ces deux (2) chambres suivistes de députés, « assemblée-Senat, Flêkê-Flêkê», aux votes automates dans l’exécution des projets qui émanent du pouvoir exécutif assujettissant, et qui pourront au terme d’une génuflexion seigneuriale, jeter l’organisation de la totalité sociale souveraine au pied du pouvoir exécutif, en le permettant encore de gouverner par ordonnance présidentielle. Oui, nous disons, que pour faire de la côte d’ivoire un état de droit réel, il faut revoir entièrement le système électoral. Oui, insistons-en ici: Au moment où notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, destinée à être un état de droit, est mal piloté par une politique de monarchisme ploutocratique désormais failli. Et qui nous afflige de travers politiques nébuleux pour occulter les défaillances de fonctionnement institutionnels, qui nous infortune de procédés de diversions, pour masquer la carence réelle de démocratie et qui nous infortune de discours creux déconnectés de toute réalité sociopolitique. Oui, c’est connu de tous, que tout comme un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée doit instruire, doit inventer et doit appeler de nouvelles pratiques politiques qui porteront la délibération collective, sur des sujets et objets réels et non sur des fictions et mythes fabriqués de toutes pièces.

Donc, le citoyen ivoirien n’a plus le droit de se leurrer. Il faut le dire de façon clair et net, l’opposition ivoirienne toutes tendances confondues, bien que largement majoritaire, ne peut aucunement espérer reprendre le pouvoir d’état au terme d’une  quelconque élection, entamée par la Reconstitution en l’état, de la commission électorale, « CEI » maitresse du reste de ce processus électoral Bidon, soumis et subordonné aux politiques. Oui, l’opposition ivoirienne, est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers une crise postélectorale, qui donnera encore la parole aux armes « fusils » en 2025, comme en toujours. Sauf à nous convaincre, de par quelle Force ce système électoral va proclamer la défaite de son système politique source ?  Non ! Nous n’y croyons pas, notre degré de crédulité n’a pas encore atteint ce niveau de naïveté. Avons-nous déjà dit. Oui, c’est du classique, le rejeton ne contredit jamais le géniteur.  Non ! Oui depuis 1999, la côte d’ivoire est habilement entrainée petit à petit dans un engrenage fatal par une politique et ses escouades phalangistes peuplé d’une aride meute, de moins honnête, fraudeur et maitre des trucages électoraux. La côte d’ivoire, d’élection a élections confisquées, entre les mains d’un nombrilisme politique Amoral, est en péril démocratique le pouvoir absolu a vaincu les règles démocratiques universelles. La vérité universelle bafouée a mis les droits, les règles, les libertés en danger.

*- Les élections doivent rester l’expression de la volonté générale dans le respect des règles convenues.

(Bon ! Nous avons dit règles démocratiques, et voici ce que le président Nigérian, Muhammadu Buhari à pilonné a la face du monde a la tribune de la 77e Assemblée générale des nations unies le 21 Septembre 2022 « Nous croyons au caractère sacré des LIMITATIONS CONSTITUTIONNELLES DES MANDATS PRESIDENTIELS. Et nous avons vu l’impact corrosif lorsque les dirigeants ailleurs cherchent à changer LES REGLES pour rester au pouvoir. Vos troisièmes 3e mandats font du tort à vos peuples. En tant que président en fin de mandat, je me suis fixé comme objectif que l’un des véritables héritages que j’aimerais laisser est d’ancrer un PROCESSUS D’ELECTION LIBRE, EQUITABLE et TRANSPARENTE. Grâce auquel les Nigérians élisent les dirigeant de leurs choit ». Oui Monsieur le président Buhari, c’est de cela qu’il s’agit, le peuple de demain, la société de demain, la civilisation du 21e siècle).

Chapeau, SEM Muhammadu Buhari, c’est ce que ton Afrique a besoin, des systèmes électoraux qui rassurent la totalité sociale souveraine. Donc, comme nous le ressassons toujours, l’ivoirien doit œuvrer désormais à ce que les hommes politiques ivoiriens partent à des élections démocratiques pluralistes, propres, comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Dans un système électoral qui rassurer tout le monde du professionnalisme dépolitisé de l’organisme électoral, devenu un arbitre, Apolitique  Autonome, Indépendant, Impartial, Neutre. Cela conduira à une vie sociopolitique ivoirienne, pacifiste débarrassée de toutes les scories passéistes de trucage criminel, de fraude éhonté et d’implantation mafieuse importée. Donc une côte d’ivoire de l’Olympiade discursive démocratique avec des paris largement ouvert, ou l’homme politique serait contraint de convaincre, de persuader, de dissuader, de jouer le rôle de gyroscope, d’éclaireur, pour gagner l’adhésion du peuple a ses idées et partant pour gagner les élections démocratiques pluralistes. Ou le pouvoir ne serait plus au bout des  fusils et ne serait plus jamais acquis sous la base de fausse notoriété, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux prismes ventilés et entretenus à dessein. Mais ou le pouvoir serait au bout de la volonté générale de la majorité absolue de la totalité sociale souveraine électrice et votante. D’où en l’absence de volonté générale il n’aura plus de legitimité.

La volonté générale ainsi est celle qui se détermine sur le plan universel, se ramène à la volonté raisonnable, qui herche le bien de tous unis. D’où tous les pouvoirs se doivent de rechercher la légitimité populaire qui émane de la volonté générale, dans le respect scrupuleux des normes de régulations sociales consensuelles. C’est ainsi que l’état républicain de droit s’obligerait d’exprime sa volonté unificatrice et paisible dans des normes de régulations sociopolitiques. Et veiller ainsi que les normes juridiques de régulations sociopolitiques, ne soient pas la volonté d’un groupe politique, d’un parti politique, d’un clan, et qu’elle ne soit pas non plus le décret arbitraire d’un despote effréné. Mais qu’elles restent l’expression de la volonté générale et que les institutions étatiques soient constituées de sortes que ces normes s’expriment dans toutes les formes de l’organisation sociopolitique et permettent la libre concurrence dans la quête de la représentation sociétale et de la participation des citoyens à la vie sociopolitique de l’état. D’où la représentation sociétale se doit de transporter une voix qui loin d’être la sienne uniquement s’identifier à ce que le peuple veut, à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut.

*- Un nombrilisme piteux panier de politicards rugbymans ressortissants avérés de Linas Marcoussis.

Et ainsi les droits civils et politiques transcrits dans ces normes doivent permettre de sauver et de garantir les droits inaliénables et libertés fondamentales de tous. Cela protège la société des désagrégations graves. Parce que quand la vérité historique et coutumière est violée ce sont les libertés publiques et individuelles qui sont mis en péril. Mais, ici il faut prendre garde que les lois humaines et politiques sont une association positiviste d’idéale sociétale dont le fondement est toujours moral, qui ressortir d’une volonté générale non-assujettie. Une volonté générale qui s’identifie a la volonté et l’intérêt de chaque membre de la société commune. Pour que chaque citoyen puise s’identifier cette volonté générale, puis la recevoir et l’admettre comme sienne. Ici chaque citoyen s’oblige à mettre en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale, et ils reçoivent tous le corps de chaque membre sociétal comme une partie individuelle du tout sociétal. Ce qui n’est autre chose que le dépassement de l’individualisme qui ne peut s’entendre et s’admettre clairement que, sauf si on saisit la volonté générale a une signification plus profonde que la volonté commune ou le consensus.

Voilà ! Ce qui exige que le pouvoir soit dévolu par élection libre et honnête. Au mépris de la volonté gestapiste du pouvoir Attrape-tout d’Abidjan et de sa camarilla théâtrale et bouffonne. Pour lequel piteux panier de politicards rugbymans ressortissants avérés de Linas Marcoussis, l’honnêteté politique est un crime de naïveté, les jeux fairplays démocratiques est une docilité politiques, la roublardise politique est une intelligence d’importation, la violation des normes de régulations sociopolitiques est une force politique, les fraudes et les trucages sont déterminants de la majorité électorale, les actes ou les actions d’intérêt public est un péché, l’originalité politique est une tare partiaire à éliminer, toute exception de pensée ou de distinction morale est une folie, et l’alternative démocratique par des élections libres, justes, équitables, transparentes et démocratiques est un crime ouverte sur l’entrée dans l’opposition. Que notre destin est désormais dans le suivisme moutonnier et le panurgisme de l’acceptation d’un monarchisme sans perspective. Qu’en politique  tout doive être pécuniaire et politicienne.

Et tout cela dans un système politique nombriliste, pour nous dire quoi ? Qu’on est d’abord de son ethnie, de sa région, de sa communauté régionale, musulman ou catholique, puis ivoirien riche ou pauvre. Autrement dit qu’on relève en priorité de ce qu’un héritage biologique ou d’Appartenance quelconque a fait de nous. Donc que tous les ballons sont jouables aux termes des élections mêmes les plus insolites, sado-pervers et inhumains. Donc une concrétion égocentrique de moi, plutôt qu’une convergence de nous, l’ouverture conditionnelle par des murs diviseurs aux autres, plutôt que l’intégration salutaire et salvatrice des autres. La société que ce nombrilisme débridé, démodé et sans perspective, de ce piteux panier de politicards rugbymans ressortissants avérés de Linas Marcoussis, appelle de ses vœux, est celle qui permet non pas de rassembler les spécificités ou d’intégrer des différences, mais de diviser pour régner «comme Charlemagne», dans l’ombre opaque, glauque et visqueuse d’un monarque. Donc de désintégrer les destins collectifs pour mieux exacerber les particularités qui les ont enrichit.

*- Hollande a battu proprement Sarkozy en quête de 2eme mandat, c’est ce que nous rêvons pour notre pays.

Et ainsi, ce nombrilisme piteux panier de politicards, peut pilonner a la face du monde que, la paix sociopolitique est revenue en Côte d’Ivoire, malgré l’extase constante de l’entièreté du corps social, malgré les affrontements intercommunautaires constants, ou tous se règlent par la force arbitraire. Donc, question de rester dans la logique de condescendance politique, de la domination sociopolitique. Et qui veut que l’affirmation de soi passe par la négation d’autrui, que la valorisation de soi passe par la dévalorisation d’autrui. Donc, se  faisant ainsi, en matière électorale et de gestions étatiques, ne pas reculer sur aucun sujet, même le pied sur le droit des autres, ni hésiter devant une quelconque catastrophe sociopolitique, ou souffrance du peuple. Ainsi se nombrilisme débridé, s’est mué peu à peu, en un rugbyman solidement entrainer à Linas-Marcoussis, et devenu spécialiste des passages en forces électoraux. Peu lui importe les conséquences sociopolitiques, le Pouvoir Absolu reste la règle.

Les principes de démocratie électorale qui accordent à tous les citoyens des droits égaux, exigent un système et des lois qui prévoient une administration électorale équitable et non partisane. Oui, comme la Grande France, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté générale, sans interférence de politique partisane. De même, ou les partis politiques et les candidats aux élections ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. D’où, ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. C’est ainsi que, François Hollande a battu Nicolas Sarkozy président sortant en quête de deuxième mandat, obtenant 51,67% des suffrages exprimés face à Nicolas Sarkozy (48,33%) au second tour d’une l'élection présidentielle. Et aussi, au terme de son premier mandat, François Hollande rassurer de sa minorité acquise à jette l’éponge en décidant de ne pas être candidat à sa propre succession pour un deuxième mandat prescrit constitutionnellement. Et Emmanuel Macron pourtant oscillant du haut de son piédestal présidentiel, n’a pu avoir son deuxième mandat présidentiel, que grâce à l’orthodoxie hermétique de l’extrême gauche. Et patatras, Macron triomphant hier en 2017, dans son couloir de l’évolution centriste, hélas ! Aujourd’hui très rétrécit en 2022, en ses extrêmes gauche et droite a du mal a circulé  et comme les choses légales donnent un peu le dernier mot au président, serait-il tenter par une dissolution surprise à la chiraquienne ? Et peut être contraint serait-il à une cohabitation à la jospiniste-chiraquienne ? Parce que l’Assemblée nationale est devenue un mur sur lequel ses coups-francs présidentiel vont échouer, sauf à composer chaque fois avec la lucarne gauche ou droite. Casse-tête-chinois/tête-de-turque peu importe, les 5 ans à venir risque d’être laborieux pour Lui. «Osons dire, pauvre-de-lui»

*- Au surplus il y a un fait très marquant, après la révision constitutionnelle de 2000 pour passer du septennat en vigueur en France depuis 127 ans au quinquennat en 2000, le Président Jacques Chirac avait le droit de briquer un troisième  mandat, il ne l’a pas fait par principe, qui veut que l’exception positiviste, bien que légale n’est pas du droit universel. Et le peuple à apprécier, sinon, aurait inévitablement prix position dans les urnes. C’est cela la vraie politique, la vraie démocratique, et ceci est notre rêve pour notre pays, est notre  but rechercher mais qui s’affirme inatteignable pour le moment, face à la force obscurantiste des fossoyeurs de la démocratie. Oui il y a absolument matière à combat ou débat pour que le rêve d’une paix durable et pérenne, d’une stabilité sociale, d’un respect scrupuleux de la volonté générale et d’une citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement, dans une gouvernance conforme à la moralité internationale, et de réinstaurer un réel état républicain de droit, maitre absolu de son destin, ne demeurent pas une illusion pour la Côte d’Ivoire, un objectif recherché mais inatteignable pour notre pays. Il y a matière, si nous devons obvier les crises de légalités et de légitimités, les sempiternelles crises sociopolitiques, qui résultent d’élections bâclées de démocraties de façade.

*-  Ya plus de Route avec le pouvoir déviationniste d’Abidjan. Il nous faut changer de système, tous ensembles.

Il nous faut donc, un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord. C’est ça ! Le système électoral impartial que nous voulons pour notre Pays à la « légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste ». Ou le pouvoir est inexorablement au bout de la volonté générale de la totalité sociale, qu’est le peuple souverain. Oui, n’oublions jamais que notre crise sociopolitique ivoirienne, est une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par des gens avéré incapables de s’adapter à l’art universel du vivre en commun dans l’égalité de tous, dans le respect de normes juridiques de régulations sociales préétablies. Et qu’elle  «crise ivoirienne», qui a pris ses terreaux fertiles dans les fausses élections, n’a été possible, n’a pu se concevoir et n’a pu se faire, que dans la seule hypothèse, ou notre pays côte d’ivoire est devenu l’ombre de lui-même, en se déniant a la face du monde, « de pays de paix en devenant pays belliqueux » par la faute des politiques renégats, carriéristes, primaires, cyniques, et obscurantistes. Oui, comme partout dans le monde universel, les difficultés que les diverses communautés nationales constituées en une entité abstraite, éprouvent souvent à vivre pacifiquement ensemble, sont souvent dues aux multiples tensions attisés par les hommes politiques, faute de dialogue inclusif, faute de consensus républicain et faute de respect des droits et des règles universellement admissent. Un pouvoir ressortissant des crises sociopolitiques de peut créer des crises

Or, c’est ce qui risque d’être fatale pour la côte d’ivoire, et pour le citoyen ivoirien, s’ils doivent exister, par la côte d’ivoire souveraine, dans le concert des nations. Donc, aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin d’un consensus républicain dans l’ordre du public, et au tour de la chose publique étatique, et surtout d’un système sociopolitique rigoriste sur les droits inaliénables, incisive sur les libertés fondamentales, intransigeante sur les règles démocratiques et extrêmement pugnace face à l’autoritarisme d’un nombrilisme unilatéraliste et absolutiste, devenu sacrement un danger public.  Il n’y a plus de Route avec le pouvoir déviationniste d’Abidjan. Comme nous l’avons déjà dit, le Bordel à gagner la république et le système d’état républicain  de droit.  Il nous faut absolument changer de système électoral, donc changé de route tous ensembles unis, sans exclusive. La nouvelle reconstitution de CEI en l’état ne rassure personne. « MOUK ! » jamais de la vie. En tout cas PAS la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste et  Houphouët-iste enragée, donc ne peut être rassuré par le « Fait-nous-fait» compromissoire démocratico-électoral. C’est clair et net, l’opposition ivoirienne sera réduite à l’état d’accompagnateur et de cachet validant des élections à venir. «Sur ceux Citoyen ! Nous avons Gbê-Kouma pour donner au peuple» … Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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20 septembre 2022 2 20 /09 /septembre /2022 02:39
Lepetitfils. Des putschistes morpions politicards carriéristes, relayeurs de leurs propres Ambitions Populistes qui aveuglent les peuples Africains, ainsi dérouté de l’essentiel sous couvertures du panafricanisme, sont devenus inutiles. Oui, a défaut d’un État fédéral d’Afrique, c’est d’une évidence absolue que, l’éternel victimisation, les propagandes de martyrisation, l’esprit l’infériorité, transportée par un populisme de diversions, ne serviront pas l’Afrique. Notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne se décrocherait pas à la remorque du monde.

Lepetitfils. Des putschistes morpions politicards carriéristes, relayeurs de leurs propres Ambitions Populistes qui aveuglent les peuples Africains, ainsi dérouté de l’essentiel sous couvertures du panafricanisme, sont devenus inutiles. Oui, a défaut d’un État fédéral d’Afrique, c’est d’une évidence absolue que, l’éternel victimisation, les propagandes de martyrisation, l’esprit l’infériorité, transportée par un populisme de diversions, ne serviront pas l’Afrique. Notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne se décrocherait pas à la remorque du monde.

*- RETRO-Chronique « Kouma », les putschistes comme model d’émancipation Africaine ? Non !!!

Les putschistes sont une Honte pour l’Afrique, ainsi  jugé immature a appliqué les règles de droits, de démocraties. Oui, les coups d’états sont un déshonneur pour le peuple Africain réduit à l’état puéril, ainsi certifié « Bougnoul » à la face du monde. Oui, après les Sergents faiseurs de manche-courts, après le printemps des Capitaines expéditives et mégalomanes, nous voilà dans la loge ubuesque des Colonel robotisés, et tout cela présage pour demain, l’arrivé des «Godassiers» généraux logiquement brutes avec aucune possibilité de raffinement, qui chercheront cireurs. Pauvre Afrique, hélas ! Qui ne peut transcender aujourd’hui le mode de conquête du pouvoir d’hier. Désolé ! Oui, une meute aride de soldats carriéristes qui se lève un Matin, pour donner un coup d’arrêt inacceptable, injustifiable et irrecevable au système de  l’état républicain de droit, au processus démocratique, en s’aliénant les normes de régulations sociopolitiques de la totalité sociale, est plus assujettissant que le colonialisme décrié. Oui, des chassons panafricanistes exutoire ne peuvent solder cette tare morale. Donc, il est question de nous juger d’abord, nous même, pour le relèvement de l’Afrique martyre le relèvement de notre destin commun à la remorque du monde. Ou bien l’Afrique, fait le choix irrévocable de la civilisation, qui obliger la dévolution du pouvoir d’état par des élections, libres, transparentes, justes et ouvertes, ou bien nous demeurons tous Africains dans la barbarie sanguinaire des coups d’états. Qui, quelle que soit leurs natures relèvent du choix du désordre et non de l’option exigeante pour la civilisation. Des coups d’états, souvent l’œuvre de fous furieux sans projets, ni perspectives, des aventuriers pathologiques, qui conduisent les pays dans l’impasse générateur de chaos sempiternels. Et soutenus en cela par les embrouillaminis de leurs soutiens politico-étatiques extérieurs et par des courtisans aveuglés par les profits faciles. L’Afrique ne sait plus que faire de la loi d’effraction armée et de gouvernances des fusils sur la tempe des peuples.

Oui, l’Afrique, notre Afrique, reste fermement attaché aux modes de conquêtes du pouvoir ou d’accessions au pouvoir, calqués sur les pratiques des pouvoirs coutumiers ancestraux, fondés sur les forces des fusils. J’étais vaincu avec les armes, c’est tout, et c’est un antagonisme entre « Garçons », dans la jungle etc. pourvu que le colonisateur ou l’occident reste l’ennemi juré des gouvernants. Surtout pour l’Afrique occidentale Française, tout est et reste la faute de la France, pour rester dans les grâces des populations populistes et antiélitiste. Or la realpolitik veut que l’Africain, n’est aucune crainte, aucune peur, et aucune répugnance face à ses colonisateurs, sans lesquels un pays Africain n’ira nulle part, sans le respect scrupuleux des valeurs humaines et civilisatrices de sa puissance colonisatrice, et d’ancré ces valeurs dans les faits de sa vie économico-sociopolitique. Oui, toujours au lieu du populisme propagandiste anti-colonisateur, l’Afrique doit chercher, dans la saine appréciation des réalités du moment, des nouveaux moyens d’approches, de nouvelles attaches, sans faux-fuyant politicienne de paravent justificatif aux tares ou incompétences, la médiocrité et la démagogique de diversion, pour rediscuter les liens socio-politico-économiques, relationnels, interétatiques, avec les ex-colonisateurs sans nombrilisme politique.

Oui, les discours anticolonial, antioccidental, anti-impérialiste, qui étaient admis à la veille des indépendances Africaines comme prétention légitime, sont démodés, dépassés et contre productifs aujourd’hui, ou le monde ouvert à plutôt besoin de compétition loyale. Donc, l’Afrique à plutôt besoin de frottement, de compétition, et de confrontation, avec tous les peuples du monde sur la planète terre commune. Se faisant, se départir de la politique de recherche éperdue de nouvelle puissance tutélaire à tout bout de champs. Redisons-le: «nos sportifs sont des grands sportifs reconnus par tout, parce qu’ils ont joué avec les meilleurs de l’Occident et bénéficié de la technique occidentale des sports, ceci est valable pour toutes les relations humaines ». Donc, l’Afrique n’a pas besoin d’auto-enfermement victimaire et de l’auto-cadenassage destructrice. L’Africain doit plutôt refuser, d’être des valets «morpions», par lequel Occident vient pomper nos ressources souveraines. Ou d’être imposé à son peuple souverain dans le feu et dans le sang au prix d’un soutien monnayable en billets de banques, ou au terme d’un surendettement éhonté. Donc, il est question pour l’Afrique de se départir de la victimisation pleurnicharde, de la martyrisation soporifique, de l’esprit d’infériorité, et sans complexité, sans complaisance avec notre identité historique atavique d’ex-colonisé, pour aller à la rencontre des peuples, dans le monde concurrentiel et compétitif. La recherche éperdue de tutelle exprime, l’état d’âme puéril d’une société.

Les coups d’états militaires expriment l’immaturité des peuples gouvernés par les armes matérielles « fusils ». Oui, aujourd’hui avec la résurgence des coups d’état expéditive et lapidaire, l’Afrique noire, notre Afrique, est face à la difficile émergence d’une élite dirigeante Africaine vrai gyroscope, capable de défendre les intérêts du continent par une option politique d’apprentissage, saine et claire, adaptée aux besoins des pays émergents. Donc l’Afrique crétinisée, est tiraillée entre les puissances nouvelles, non-colonisatrices et face aux voracités de toutes sortes. Oui, l’Afrique n’a pas besoin de rupture solitaire, brutale, irréfléchie et systématique avec les ex-colonisateurs. L’Afrique en retard, incontestablement a la remorque des puissances du monde, doit vouloir tout à la fois, Renégocier les liens économiques et politiques avec les ex-colonisateurs, sans pour autant mettre ceux-ci, «et leurs machine infernale de l’intelligentsia occidentale» en procès permanent, donc sur son dos. Donc, Consensus, Oui, mais rupture brutale politico-économique et/ou monétaire, Non ! Non ! Et non !

*- Propagandes populistes des antis ex-colonies, n’est rien d’autre que la diversion politicienne

Le populisme de diversion anti ex-colonies, colorée au Blanc en Afrique noire, Non! Ceci est conformément à la politique de négociation des indépendances des pères fondateurs. Oui, rien que la Diversion, un exutoire à la réalité gênante, dans une politique de l’Autriche « faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face » et s’en donner à des coups d’états carriéristes, dans les baffons politiciennes avalisés. La guinée paye toujours,  le Non ! Solitaire, Suicidaire, Propagandiste et Inutile de Sékou Touré, face à un mastodonte mondial de son temps, le GL De gaulle « Hors-gabarit ». Ici, la realpolitik a lamentablement manqué au leader guinéen des indépendances. La saine appréciation des réalités du moment a raté le rendez-vous de 1958 en Guinée. Tout comme le « Soviet » malien Modibo Keita, qui s’est tourné vers l’URSS, en moins de 10 Ans d’indépendance, avec la déchirure et la création de sa monnaie Malienne détaché du franc CFA, Français. Et le pire pour le Mali arriva dans la nuit du 18 au 19 novembre 1968, un putsch prévisible, le premier au Mali. Les putschistes avaient des revendications précises. Ils demandaient a Modibo Keita de renoncé au socialisme «version Russe», qu’il cultivait jusqu’à l’extrême et prônait depuis l’indépendance, le Président Modibo Keita donna une réponse  négative. Et la boucle était bouclée, et tout comme aujourd’hui dans ce même Mali, avec une nouvelle option tutélaire de la même Russie, les épaulettes et uniformes militaires, ont remplacés la souveraineté absolue du peuple, supplanté les droits fondamentaux, les libertés publiques et individuelles, et les règles démocratiques universelles. Pour se confiné dans «Marfâ» fusils.

Au surplus, que dire des prétentions étouffées de tant d’autres: le jamaïcain  Marcus Garvey qui rêvait d'une Afrique socialiste forte, solidaire et prospère, le Ghanéen Kwame Nkrumah et son idéologie politique du consciencisme socialiste et panafricaniste, qu’est une adaptation des principes socialistes aux données culturelles africaines, le panarabe l’Egyptien Gamal Abdel Nasser, qui adopta des mesures socialistes dans son pays, le panafricaniste de notoriété mondiale le Congolais Patrice Émery Lumumba, lui n'aura fait qu'un passage furtif sur le devant de la scène, et pour être litote citons les :  Barthélémy Boganda, Gorge Padmore, Jomo Kenyatta. Oui, il est question pour l’Afrique, de tirer des leçons de la vie sociopolitique de ces illustres prédécesseurs «soviets. C’est de cela qu’il s’agit aujourd’hui. Oui, plus larges, que ceux dessus cités, ils sont légions les dirigeants Africains qui a l’aube des indépendances, soucieux du devenir de leurs peuples sont tombés lamentablement dans le piège hermétique de la recherche éperdue de nouvelles puissances tutélaires et dans la diversion populiste de l’anti-ex colonisateurs. Or aucune puissance tutélaire nouvelle n’apportera quoi que ce soit à un pays Africain plus que sa puissance ex-colonisatrice. L’Afrique doit respecter et même adorer ses héros, mais en tenant compte de la realpolitik qui impose la saine appréciation des réalités socio-politico-économiques du moment, pour se départir de la victimisation, de la martyrisation, et de l’esprit d’infériorité.

Oui, l’Afrique, notre Afrique, doit oser être lui-même, en conjuguant tous les registres d’émancipation des peuples solidaires sans pleurnichement, sans rechercher a tout bout de champ des paravents justificatifs des incompétences politiques et des incohérences systémiques, ou en s’accrochant, en s’agrippant aux noms des ex-colonisateurs, coopérants de bonne foi. Et les bateaux du progrès sociopolitique reprendront la voie royale, universelle vers la lumière du développement économique et développemental destinée à rendre la raison à la nécessité populaire, dans la stabilité, sans qu’un seul coup d’état ne soit accrédité comme mode d’accession légal au pouvoir d’état, et sans qu’une goutte de sang ne soit versée. Cela dans ouverture totale sur le monde « colonisateur » sans rancune, et sans qu’un seul putsch, se voit caressé dans le sens du poil par les organisations. Oui, les Africains généralement aveuglé par la diversion populiste, des Gourous anti-Français, véhiculée par des populistes Africains version loufoque et extravagant, ne voient pas la carence de droit des pouvoir en Afrique, mais uniquement la main de l’ex-colonisateur. Surtout la France, comme fonds de commerce de toutes les insuffisances politiques en Afrique francophone. Oui tout est la faute du colonisateur, est l’outil idéal, tout trouvé, ou controuvé, au service de la diversion manipulatrice des peuples martyrisés, un exutoire prépayé par les douleurs antécédentes, qui occultent la  médiocrité criante des hommes politiques Africains, face aux peuples réduit à la crédulité.

*- La propagande anti ex-colonie offre des soutiens aux pouvoirs illégaux ou issus de coups d’états carriéristes.

« Oui, il y a une chose et son contraire dans les propagandes populiste anti ex-colonisateurs des politiques Africains, on s’arc-boute aux faits de la colonisation pourtant avérée civilisatrice aux yeux de l’universalisme, ou tout n’a pas été mauvais, et en même temps, on se plait a adorer religieusement, à soutenir fermement, l’exercice des pouvoir issus des coups d’états ubuesques, et les pouvoirs dictatoriaux, autocratiques, autoritaires et assujettissants de potentats, calqués sur la pratiques des pouvoirs coutumiers ancestraux, fondés sur la forces brutes des fusils. Oui, n’ignorons pas, le vieux principe qui veut que: Pour voir une société, pour connaitre une société, pour dire une société, pour rencontrer une société, pour raconter une société, pour peser une société, il n’est pas, en droit, d’autre instrument plus que la constitution, norme de régulations sociales par excellence, sans le respect de laquelle aucune paix durable n’est possible. Elle est l’acte fondateur de l’état de droit, et le substrat de la société, en ce qu’elle énonce les principes, autour desquels se construit le vivre paisible en commun de partage d’une société ; elle est un acte organisateur de la totalité sociale souveraine, en ce qu’elle définit les mécanismes du gouvernement politique et son mode d’accession au pouvoir d’état; elle est un acte scientifique pensé, écrit et technicisé dans la forme voulu par la totalité sociale souveraine, en ce qu’elle marque, le consensus sociopolitique républicain, autour des principes et modes d’organisation politique de la société. Ainsi, elle échappe au contrôle des groupuscules d’hommes mal intentionné, et se situe au-dessus de tous les pouvoirs d’état, en ce qu’elle enfante et fait la légalité et la légitimité des dirigeants du pouvoir d’état. Une telle norme Suprême, on la respecte strictement, jusqu’à ce qu’on arrive à la changer par la souveraineté du peuple souverain absolu légiférant. Et cas de violation de cette norme Suprême quel que soit le mode, la société fonce dans la jungle, qui est toujours totalitaire, les prédateurs y règnent en maitre».

Donc, l’Afrique noire, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne s’en sortira que par le changement évolutif de mentalités des politiques dirigeants d’état, ou en quête de pouvoir d’état. Ou les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous, seraient la seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Et elle s’en sortira l’Afrique, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, d’une société humaine, moniste, droit-de-l'hommiste, ou l’être Humain en général, serait la centralité absolue de toutes les actions sociopolitiques, et de toutes les œuvres développementales. Oui, l’Afrique, notre Afrique, doit retrouver la culture juridique universelle d’état de droit. D’où ce sont les lois qui déterminent les modes de transmission et d'exercice des différents pouvoirs étatiques. Si l’Afrique noire, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, doit s’en sortir, la politique spécifique non-contraignante et les pouvoir a adhésion facultative après les effractions, doivent concéder la place, oui toute la place, aux règles universelles contraignantes, communes à tous, acceptées dans toute sa rigueur et dans tout son rigorisme de principes universels d’état de droit Laïc. Ainsi les crises d’intérêts perdront une partie de ses racines.

L’anticolonialisme hermétique ne servira jamais l’Afrique, l’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés, en Afrique comme théâtre d’opération, ne servira pas notre destin commun l’Afrique, une quelconque tutelle étrangère en remplacement des ex-colonisateurs « Russie ou Chine » comme dossier pour un pouvoir d’état illégal, soutenu par sa tutelle ou imposé armes aux-poings, ne servira pas l’Afrique noire. Oui,  l’Afrique noire, notre Afrique, a besoin de stabilité sociopolitique, dédouanée de toute emprise politique ou religieuse. Elle a besoin de paix pérenne dans toute l’assiette territoriale continentale Africaine, avec l’acceptation des différences quelles qu’elles soient, indépendamment des croyances et des Castes. Ainsi le développement trouverait son terreau fertile de progrès avec l’être Humain au centre de tout. L’anticolonialisme primaire irréfléchi, de façon exaltée, fiévreux, imprudent, frénétique, et le panafricanisme hermétique, irréductible, antagoniste, ne payent plus dans les réelles luttes démocratiques.  Oui en Afrique, tant que la lutte des hommes politiques Africains, pour les droits inaliénables des peuples, pour les libertés fondamentales, pour les développements économiques et sociaux, pour la démocratie en Afrique, ne se détacherait pas «des propagandes anti ex-colonies» des combats politiques nationaux, de la lutte démocratique des nations Africaines, contre l’arbitraire des pouvoirs illégaux, issus le plus souvent de coups d’états carriéristes et arrivistes, ou contre un pouvoir devenu sanguinaire, dans les pays Africains, l’Afrique noire, notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, armerait d’avantage, d’une force d’appoint supplémentaire, et d’une  force d’acier, les pouvoirs illégaux issus de coups d’états, ou les pouvoirs arbitraires dans les pays. Les propagandes anti ex-colonies, endurcis d’avantage de soutiens extérieurs les régimes autoritaires attrape-tout.

*- L’Afrique, le destin commun des peuples Africains, a besoin de compétition pour se peser à l’aune des réalités.

Oui, en conséquence, les pouvoirs illégaux et sanguinaires Africains, qui s’efforceront de rassurer politiquement, économiquement et diplomatiquement les puissances extérieurs, dénoncées au terme des propagandes populistes de diversions, et de manipulations, dans des discours paravent justificatifs, fonds de commerce politique de pleurnichards, et a toutes les carences et incompétences, pour leurrer et tromper les peuples Africains de la novatrice voie vers l’essentiel sociétal du moment. Oui, les colonisateurs ne sont pas les problèmes de l’Afrique, Non ! Mais le grand problème pour l’Afrique, pire que la colonisation est le mode d’acquisition des pouvoir d’état en Afrique, et son exercice effrénée, dédouané souvent de tous droits et au mépris de règles universelles, sinon en dépit des normes de régulations sociopolitiques librement acceptées par la totalité sociale souveraine consentante. Notre Afrique a devoir de compétition, n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec nos ex-colonisateurs. L’Afrique doit oser être et oser rester elle-même dans le concert des nations civilisées en compétition. Oui, un pays Africains peut, aujourd’hui  bien faire fausse route un moment, avec une nouvelle puissance tutélaire, a l’image de certains de nos pères des indépendances, qui étaient soucieux des libertés Africaines et de l’égalité entre les peuples, mais, hélas ! La note serait très, très, très, salée demains au bout du rouleau, a l’heure des décomptes.

Puisqu’il est d’une évidence absolue, qu’impose la realpolitik, la saine appréciation politique du moment présent,  qu’un pays Africain n’ira nulle part, sans le respect scrupuleux des valeurs humaines de sa puissance colonisatrice, ancrée dans les faits économico-sociopolitiques. Donc, un pays Africain  n’ira nulle part, sans la compagnie loyale de son ex-colonisateur, et faisant chemin ensemble, dans le respect strict des intérêts socio-politico-économiques. Oui, sauf à être capable pour l’Afrique unie de créer un État fédéral, chapeautés par un pouvoir exécutif centrales, qui coordonne les relations interétatiques d’Afrique, entre les gouverneurs étatiques, qui serait salvateur pour l’Afrique et dispensatrice des relations privilégiée avec un seul ex-colonisateur, qui sont nombres. Parce qu’un État fédéral permettrait la progressive unification des différents combats socio-politico-économiques Africaines, pour l’Afrique, par l’Afrique, pour la Vie Africaine, pour l’homme, pour tout homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité Africaine. Une nouvelle politique Africaniste par l’Afrique et pour l’Afrique, peut conduire progressivement à cet État fédéral salvateur, chapeautés par un pouvoir exécutif central, qui coordonne les relations interétatiques Africaines, entre les gouverneurs étatiques Africains. Et il y a une ébauche nouvelle à la corde de certains vieux briscards de la politique Africaine de renommé Mondiale, porteurs d’alternatives et profs d’idées.

Mais en revanche sont devenus inutiles, de simples politicards carriéristes relayeurs de leurs propres Ambitions Populistes qui aveuglent les peuples souverains Africains dérouté de l’essentiel sous couvertures du panafricanisme. Oui, a défaut d’un État fédéral d’Afrique, il est d’une évidence absolue que, l’éternel victimisation, les propagandes de martyrisation, l’esprit l’infériorité, transportée par un populisme de diversions malsaines ne serviront pas l’Afrique noire. Notre Afrique, le destin commun des peuples Africains, ne se décrocherait pas à la remorque du monde universel par la cherche effrénée de nouvelles puissances tutélaire ou réduit à l’état d’éternel supporteur vacillant et oscillant entre les puissances tutélaires. L’Afrique a besoin de compétition pour se peser à la bascule du monde concurrentiel, et pour se jauger à l’aune des réalités socio-politico-économiques.*-  (Parole de la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste). Sur ceux citoyens ! Nous avons Kouma pour l’Afrique sans démagogie politicienne. Que la nature protège l’Afrique notre destin commun. L’AFRIQUE !

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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12 septembre 2022 1 12 /09 /septembre /2022 15:05
Lepetitfils : Il faut tout changer, y compris les institutions républicaines, pour les dédouanées de toutes les scories passéistes d’état voyou et paria, les normes anomiques qui les soutiennent, en appelant le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état au secours. Et surtout, changer tout le système électoral, pour le rendre Apolitique et Autonome « CEI, découpage électoral, conseil constitutionnel, liste électorale, droit de vote, de nationalité, mode de scrutin et organisation du scrutin » qui rassurerait tout le monde avec une nouvelle norme.

Lepetitfils : Il faut tout changer, y compris les institutions républicaines, pour les dédouanées de toutes les scories passéistes d’état voyou et paria, les normes anomiques qui les soutiennent, en appelant le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état au secours. Et surtout, changer tout le système électoral, pour le rendre Apolitique et Autonome « CEI, découpage électoral, conseil constitutionnel, liste électorale, droit de vote, de nationalité, mode de scrutin et organisation du scrutin » qui rassurerait tout le monde avec une nouvelle norme.

*- Chronique « Kouma » contre MALADIE DE MENSONGE.

Nous, on Kouma sans démagogie politicienne, et on va Kouma toujours Pian !!! Parce que, si nous voulons que notre organisation sociopolitique se fonde sur le droit universel, et que notre processus démocratique débouche sur le droit, la liberté, et le respect des règles, des valeurs universelles qui peuvent aider notre pays la côte d’ivoire, à sortir de la situation de crise sempiternelle, et à conduire au développement de notre pays, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, dès lors aujourd’hui  et demain il ce serait trop tard, il urge pour l’ivoirien, de revendiquer les valeurs universelles irréfragables du vivre en commun, de droit, de liberté, de solidarité sociale et d’harmonie communautaire, de démocratie réelle. Et il est grand temps d’inculquer ces valeurs universelles au peuple consentant, ces valeurs qui peuvent constituer une réelle sève nourricière à la construction d’une nation ivoirienne réconciliée, paisible et évoluée, dans le concert des nations. Pour que notre démocratie soit assise sur le dialogue social, sur le consensus politique, sur le droit, la liberté et le respect des règles universelles. Donc, de par ces valeurs universelles, aider la démocratie réelle à respecter les droits inaliénables, les libertés individuelles et à construire la paix sociopolitique. Pour qu’ainsi la pratique du pluralisme démocratique et l’exercice du noble Art, politique, soient assurés dans notre pays par le consensus national républicain, dans la stabilité et la paix.

Nous, on Kouma sans démagogie politicienne, et on va Kouma toujours Pian !!! Parce qu’un pays qui a connu des conflits armées ou des crises sociopolitiques organisationnelles, est plus exposé à une rechute de l’hostilité ou de la crise. Même si ce risque peut diminues dans le temps, au terme d’une bonne politique de réorganisation sociopolitique, qui s’efforcerait a solder les griefs sociétaux. En effet la persistance de la crise provient le plus souvent des ressentiments antécédents et si ceci, ne sont pas obvier, ils se poursuivent dans le temps et/ou dans la relative facilité à s’accaparer le pouvoir d’état et partant les ressources nationales souveraines par la force ou dans une économie dirigiste, qui ne vise qu’à se servir de l’organisation commune sociopolitique pour arriver à ses fins, d’enrichissement mafieux. Oui, dans un contexte d’après-guerre ou crise, l’absence de perspectives de vraie réconciliation nationale capable de pansé les plaies et l’absence de vrai processus de dédommagement pour les victimes favorisent également les comportements sociopolitiques inflexibles. Oui, si nous tenons à organiser ou reformer une société paisible réellement démocratiques et fondatrice d’un ordre sociopolitique nouveau en côte d’ivoire, ou on pourrait faire la politique et aller dormir chez soi en toute quiétude, nous devons commencer par nous lever dès maintenant, aujourd’hui et demain se serait trop tard, pour dire non à une organisation sociétale unilatéraliste et a dépolitisé et autonomisé les élections, en les confinant dans l’Apolitisme entre les mains d’un organisme non-inféodée a un quelconque pouvoir et prendre un certain nombre de mesure nécessaires et indispensables. Et ces mesures méritent Kouma, en espérant d’une prise de conscience collective.

Donc, nous,  on Kouma sans démagogie politicienne, et on va Kouma toujours, même demain Pian !!!, Parce que notre pays la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, a besoin des mesures salvatrices et désintéressée, qui prises consensuelle-ment tous ensemble, concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’état, et du système d’organisation sociopolitique, par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie universelle, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne. Dans le strict respect des valeurs de la souveraineté, qui réside dans l’entièreté du peuple souverain, cela dans une dynamique de paix sociopolitique. Ou tous les changements doivent être possibles dans l’ordre social et dans la paix sociale. A notre humble sens, ce qui permettrait d’arriver à ce postulat salvateur, est de trouver un accord à partir d’un compromis obtenu après des négociations franches entre toutes les parties sociétales. Oui, une crise sociopolitique peut être libératoire pour le peuple et pour le citoyen, ou pour la société, dès lors qu'il est maîtrisé par la conclusion d'un nouveau pacte social inscrit dans de nouvelles normes de régulations sociopolitiques plus juste et consensuel entre les parties en cause. C’est ainsi qu’une crise sociopolitique peut présenter une fonction de rassemblement ou de salut public. Dans un état de paix ou, un homme, un groupe voit ses éléments de griefs antagonistes vivre entre eux, dans un espace public circonscrit par des normes de régulations sociopolitiques, élaborées dans une logique de paix. Parce que chacun peut suivre son chemin conformément à ces normes de régulations sociopolitiques et éviter les heurts. Nous, on Kouma contre MALADIE DE MENSONGE INCURABLE.

Oui, nous-là on Kouma sans démagogie politicienne, et on va Kouma toujours Pian !!! Avec un seul objectif visé, la stabilité politique, l’harmonie intercommunautaire, la paix sociale, et la restauration de la démocratie réelle, le rétablissement du consensus, et la confiance réciproque dans le système du pluralisme politique, et organisation des électoraux honnêtes, dans un système d’organisation sociopolitique fiable et inclusive de la totalité sociale souveraine, sans exclusion. Qui remettrait en question la politisation de l’organisation des élections, et pour avoir une représentation nationale de grande valeur. Et renouveler les normes  juridiques du système de l’organisation sociopolitique, en réconciliant le pays avec lui-même et avec le monde. C’est ce qui doit constituer la feuille de route des mesures appelé ci-dessus. Oui, après une crise sociopolitique d’une telle durée et d’une telle ampleur, qui n’a été possible que par la violation grave et flagrante des normes du socle sociétale et soutenue par une démocratie de façade, avec des intempestifs passages en forces électoraux, il faut tout changer, y compris les institutions républicaines, pour les dédouanées de toutes les scories passéistes d’état voyou et paria, les normes anomiques qui les soutiennent, en appelant le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état au secours.

Et surtout, changer tout le système électoral, pour le rendre Apolitique et Autonome « CEI, découpage électoral, conseil constitutionnel, liste électorale, droit de vote, de nationalité, mode de scrutin et organisation du scrutin » qui rassurerait tout le monde, parce ce que strictement soutenue par une nouvelle norme consensuelle de régulation sociopolitique, élaborée dans le strict respect des règles de l’art qui sied. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. Oui, tout changer au terme d’un dialogue et d’une négociation qui, instaurer comme système d’interactions entre différentes parties viserait à l’obtention d’un accord consensuelle. Surtout afin que les politiques de représentations, individuelles et collectives, intègrent de nouveaux concepts soumis à accord et consensus. Puisqu’une crise sociopolitique naît quand des buts sont antagonistes, les intérêts de chacun des tenants partiaux de légitimité populaire, sont opposés et porteurs de valeurs différentes, souvent incompatibles. Donc, qui implique des réformes, pour ainsi être le point de départ de rénovation ou d'innovation, où vont se réduire les antagonismes artificiels, l’opposition des intérêts politiques. Pour ainsi transcender tous les rigoristes faux clivages politiques, les appartenances d’intérêt particulier, la division dissolvante, les luttes de leadership, pour ne retenir que la côte d’ivoire et l’intérêt de la totalité sociale. 

Oui, nous on Kouma sans démagogie politicienne, on va Kouma toujours Pian !!! Parce qu’il est incontestable de par le monde qu’une organisation sociopolitique qui se veut réellement fiable, démocratique et pluraliste, ne peut connaître de succès, que si toutes les composantes sociétales participantes au processus électoral croient que les administrateurs de l’organisation sociopolitique accomplissent leurs tâches de gestions, de façon neutre et sans partialité politique possible. S'il en était autrement sous l’emprise des appartenances politiques des administrateurs de gestions électorales, l’organisme de l’administration sociopolitique et la crédibilité de toutes leurs gestions sociétales, seraient mise en jeu, la réputation de tout le système d’organisation sociopolitique en souffrirait. Surtout que les régimes autoritaires, du fait de la faiblesse de leur système de partis politiques, qui est très souvent un système politique attrape-tout, tendent à reposer leur existence sur la force matérielle. Dans ce régime particulier et personne, les groupes hommes politiques allant et revenant, au gré des intérêts du moment, se constituent sur la base de réseaux de défenses des intérêts obscurs, ancrés dans les différences sociétales, communautaires, régionales, religieuses, ethniques. Ce qui favorise et renvoie à la division en plusieurs segments d’unités qui s’opère au sein de ce réseau de compilation et partant dans le corps social et politique : ce qui génère l’entretien sciemment des causes de la crise sociale, pour obtenir l’impossibilité de la vraie réconciliation.

Surtout une division qui, inéluctablement entraine ou enfante, les  instabilités structurelles des démocraties, qui sont principalement des freins à leur consolidation et au développement d’une démocratie réelle. Parce que l’instabilité structurelle propre aux autocraties repose sur la rigidité des positions politique et sur l’inflexibilité politique du (leader) ou la force matérielle à disposition du régime et d’usage à volonté. Donc, nous disons que, l’extirpation consensuelle, par la voie du dialogue et de la négociation, des hommes politiques, nommés aux seins d’un organisme électoral par les partis politiques, et par les différents pouvoirs de l’état «exécutif, législatif et judiciaire» ou même nommés par d’autres hommes politiques, « candidats indépendants en compétition », obvierait ces desseins autocratiques et permettrait à l’organisme de gestion électorale chargé de la gestion, apolitique et autonome, du déroulement du processus électoral, d’être à l'abri de toute ingérence et rassurerait tous les participants de la composante sociale dans le processus, et affirmerait la fiabilité de tout le système de l’organisation sociopolitique. Organisme de gestion électorale ainsi prescrit au cœur de l’Apolitisme, pourrait veiller scrupuleusement au respect des valeurs universelles et des principes démocratiques affirmés par les instruments internationaux. Donc, un système électoral, qui encouragerait, protègerait, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Et ce système devrait est adapté ou indispensable, au contexte sociopolitique de notre pays. Qui vit une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel, par des gens avéré incapables de s’adapter à l’art universel du vivre en commun d’égalité dans le respect des normes juridiques de régulations sociales préétablies. 

RETENONS ICI QUE L’ESSENTIEL DE CE KOUMA SE TROUVE DANS LES LIGNES CI-DESSUS : «donc, ici répétons nous encore et toujours, Nous, on Kouma sans démagogie politicienne, et on va Kouma toujours Pian !!! Puisqu’une vérité mille fois dit vaut mieux que le mensonge mielleux pour la diversion alpinistes. Donc, disons que, la côte d’ivoire ne s’en sortira pas par un juridisme expéditif et aveugle, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la consensuelle régulation sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’ordre social restaurer qui proscrit la loi de la jungle, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la stabilité sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par l’harmonie intercommunautaire, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par la paix Houphouët-ienne, d’où l’injustice judiciaire est préféré au désordre sociopolitique, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par une Amnistie générale référendaire des faits querellés de 1999 à la date du vote référendaire de cette Amnistie générale consensuelle.  L’Amnistie générale référendaire post-guerre, ou crise consentie par le peuple souverain, s’impose à tous. Sauf à vouloir troubler l’ordre social dans une nation souveraine, devenue paisible après une crise aigüe.

L’Amnistie général référendaire, est un droit inaliénable des peuples à disposer d’eux-mêmes. C’est un espace de souveraineté protégé. C’est un champ d’application du droit international coutumier « le droit des droits » et c’est un acte public dévolution souveraine très balisé. C’est un espace de droit souverain inaliénable universellement reconnu. Et c’est ainsi que ; quand la clémence qui résulte d’une Amnistie générale référendaire consentie par le peuple souverain libre, peut ramener à l’amour, à l’harmonie intercommunautaire, à la stabilité sociopolitique, à l’ordre social, à la paix sociale pérenne, et au respect des lois, ceux qu’une inflexible sévérité judiciaire tiendrait armée contre la totalité sociale, l’Amnistie générale référendaire, est commandée par la grande loi du bien public, fin essentielle de tout gouvernement, qui ne peut exister que dans l’ordre social. D’où le Mémorial « je préfère l’injustice judicaire au désordre social ». Une amnistie est jugé légale quand son processus s’inscrit dans deux « 2 » schémas, «législatif et référendaire», mais quand il s’agit des crises touchants au socle de la totalité sociale souveraine, a la souveraineté nationale absolue, à la paix nationale et à la paix internationale, dès lors l’Amnistie référendaire est prescrite et d’obligation. Parce que toutes autres sortes d’Amnistie ne résistent pas à la volonté populaire du peuple souverain rétractant, à part l’Amnistie référendaire qui est du ressort de lui seul, peuple souverain rétractant. Donc pour nous à la Légitimité citoyenne « LC-CRS », les ivoiriens de tout bord politique doivent pouvoir s’unir pour être le gyroscope du souverain «  l’état » et pour sauver la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Aujourd’hui plus que jamais, il est question de soulever sa tête pour dépasser son être pour la côte d’ivoire en péril, déchirée en lambeaux. Oui, tous fondus dans une moule ivoire régulatrice pour la côte d’ivoire, est la solution invariable. Les combats légitimes de leaderships politiques, d’appartenance idéologique doivent pouvoir attendre l’après régulation juridico-sociopolitique, avant 2025,  ou en 2025, sinon après, 2025.

Bon ! Les comportements auto-leurrant et mystifiant de l’ivoirien devient très inquiétant. Le théâtre d’ombre à recommencer, les supposés remèdes a la crise qui dure depuis 22 ans, dialogues et rencontres omettent la cause de la crise, en faisant fi d’ignorer le départ de la crise, qui est articulé aux normes de régulation sociales et aux organismes de conquêtes du pouvoir d’état, donc d’intérêt politique partisan. Ici il est question de retenir que, la condition de membre d’une communauté ou entité unique, et de citoyen d’un Etat de droit, a pour toute origine la volonté de multiples sociétés composites peuplées de gens libres, qui ont volontiers accepté une certaine limitation de leur liberté naturelle en échange des avantages évidents, résultant de leur intégration dans une communauté ou entité unique appelée l’état républicain de droit. Donc, c’est incontestablement ainsi que, la personne jugé représentative, qui reçoit en tant que dirigeant, l’investiture de cette communauté unique, afin de veiller au respect des règles introduites pour la défense/protection des droits communs, des libertés, de la propriété et de la vie de ses membres, le reçois en vertu des normes devenues intransgressibles, dans un temps déterminé par cette norme de régulation sociale. C’est ainsi qu’un mandat d’élu limité à un nombre d’années prescrit, est renouvelable autant de fois que prescrit par la norme juridique, source du premier mandat déjà acquit. Donc un mandat prélude d’autre possibilité de mandats. Sur ceux citoyens, nous avons Kouma Pian !!! Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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3 septembre 2022 6 03 /09 /septembre /2022 06:44
Lepetitfils : Une crise armée contre la totalité sociale, par l’entretien sciemment. Une organisation sociale vermoulue et démodée, un développement économique bâtardise, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès, un système politique hybride, un train de vie étatique sangsue qui est la cause de vie chère, une organisation électorale antidémocratique et non-conventionnel, toujours abonné aux cadavres de citoyens. Toutes les crises sont-là, crises de droit et de liberté, crises de légalités et de légitimités, crises sociales et identitaires. Y a folli ! Ya rien dans tous-ça.

Lepetitfils : Une crise armée contre la totalité sociale, par l’entretien sciemment. Une organisation sociale vermoulue et démodée, un développement économique bâtardise, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès, un système politique hybride, un train de vie étatique sangsue qui est la cause de vie chère, une organisation électorale antidémocratique et non-conventionnel, toujours abonné aux cadavres de citoyens. Toutes les crises sont-là, crises de droit et de liberté, crises de légalités et de légitimités, crises sociales et identitaires. Y a folli ! Ya rien dans tous-ça.

*- Chronique «Kouma» : « il est question de pouvoir remonter les profondeurs abyssales d’une crise ».

Donc, au terme de ce constat, qu’en dire ici, sauf qu’à se répéter encore que : Le citoyen doit prendre sa part de responsabilité, en décidant de participer à la vie sociopolitique de son pays et engageant dans la sphère publique pour faire bouger les lignes sociopolitiques de son pays. La stratégie de lutte par l’abstention endémique de 85 à 90% ne suffit plus, il faut absolument le vote sanction ou autrement dit le vote utile d’intérêt général. Le citoyen doit prendre sa part de responsabilité, parce qu’il ne suffit pas dans une société en crise aigüe, d’éluder habilement les problèmes et les griefs sociaux par crainte de crises sociopolitiques, ou de faire la politique de l’autrice en faisant fi, de ne pas voir les causes de  crise sociale, en voilant sa face avec des voiles partisanes et celle des intérêt obscurs du moment. Mais plutôt, pour les citoyens dignes de ce nom, il convient d’agir constamment sur les causes conflictuelles, pour pouvoir obvier les crises sociales à venir dans le temps. Et d’œuvrer dans la recherche inlassable par fois ingrate de la paix sociopolitique. Oui, le principe d’égalité entre les hommes, et le droit accordé à chacun d’accéder selon ses mérites, aux hautes fonctions sans discrimination d‘appartenance, permet la coexistence des interactions sociales sans dégénérer en conflit. Les idées démocratiques ont fait leur chemin et le droit à un système électoral fiable, n’est autre chose que la participation du peuple souverain aux affaires de l’Etat républicain de droit. Mais, on ne veut rien entendre, on ne veut rien voir, autour du système de l’organisation sociopolitique, cela au mépris des droits civils et politiques, en dépit des libertés fondamentales et des règles démocratiques universelles. 

Or, la stabilité sociopolitique, la paix nationale et internationale, exigent un organisme électoral APOLITIQUE et AUTONOME,  moralement dédouané de l’entrainement dans l’arène politique partisane, ou influencer l’électorat de quelque manière que ce soit, ou suscité de quelque manière que ce soit les votes de la main de Dieu. Parce qu’un candidat vient après Dieu. Oui, il le faut, les hommes sont astreints à des actions, qui peuvent changer leur société. D’où, le tout parti à chance égal, chacun a le droit d’exercer sa libre participation à la vie sociopolitique de sa société. Oui, il appartient en effet à chaque époque, de réorganiser ses normes de régulations sociopolitiques en fonction de l’évolution des règles universelles. Donc, l’erreur serait de réduire l’exercice du pouvoir d’état, ce pouvoir étatique à une autocratie, cette autocratie à une tyrannie illégitime et abusive. Ce pouvoir franchirait dès lors les bornes de son exercice normal  et ne reflèterait plus la volonté du peuple, en se substitue une volonté de concrétion égocentrique. Oui, la stabilité s’arrache des griffes de l’incohérence organisationnelle et le prix de la liberté d’un peuple se mesure à l’aune de sa détermination sans réserve, face à un système politique de régulation non-conventionnelle, usine à gaz pour la paix, anti-droit, anti-liberté, antidémocratique. Bon ! Disons que, détermination ou statisme, inertie ou démission, dans tous les cas, le mal est là, le danger est là, avec la rigidité inflexible des politiques autour des choses publiques, le Volcan dort désormais aux côtés du peuple. Il y a manifestement péril en la demeure ivoire. Oui, à quoi sert une renégociation d’accord politique pour aller dit-on, a une élection supposée démocratique, équitable, libre, juste, transparentes et paisible, après des accords et promesses, non-tenues issue de négociations antérieures ?

Oui, à quoi sert dans une crise aiguë, de s’enfermé dans un illusoire carcan de certitudes bétonnées dans un système politique hyper-judiciarisé, à l’unique écoute des Brouhahas de mange-mils, de renégats nihilistes griots des temps nouveaux. Oui, les crises sociopolitiques s’accumulent, et on adopte toujours la même attitude, ne pas les résoudre, mais les aggrave sciemment. On divise habilement le corps social en segments d’appartenances et on désintègre les destins collectifs pour exacerber les particularités qui les ont enrichis. Et de pour pouvoir ainsi exister politiquement dans une nation martyrisée. Ce qui remet en cause une profession de foi, Foi en l’homme, foi en l’exercice de la gouvernance sociale au service du citoyen et de la nation. Or, le mieux serait que cette gouvernance suscite, non pas l’obéissance de force mais le consentement sans intimidation. Oui, Gouverner c’est la capacité de se faire obéir avec le consentement du peuple, qui obéit sans menace armée ou judiciaire. Oui, toutes les crises se trouvent logé sur la dans notre pays, « terre de nos ancêtres » : Crise de non-respect du droit, crise issue des mépris pour les normes de régulations sociopolitiques, crise de droits civils et politiques, crise sociopolitique, crise intercommunautaires, crise du vivre en commun, crise civique, crise morale, crise de confiance dans les gouvernants, donc crise de légalité, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de vérité et pire crise identitaire. Et toutes ces crises évoluent à nos côté.

 Il est temps, grand temps, qu’un dépassement de soi, qu’un abandon des intérêts politiques obscurs du moment, qu’une volonté dynamite citoyenne, sauvent notre pays, qui est comme cet homme transporté par la violence du courant de l’eau du fleuve vers la gueule du crocodile, à échéance cyclique. Ainsi le festin voulu par crocodile sera un évènement de fête. Cette croyance citoyenne émane de notre éclectisme foi inébranlable en l’avenir, et en notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne, c’est notre espérance, malgré le sempiternel chaos social à nous imposer. Oui, à la légitimité citoyenne-républicain social « LC-CRS », mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste et Houphouët-iste enragée, notre option de centralité repose sur le besoin de stabilité, de cohérence, d’harmonie et de paix sociale, puisque le lien social est politique. Hélas ! Cette option s’oppose à de gros intérêts politiques, pas du tout de la religion de «PAPE». Mais,  nous espérons de la sagesse de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance de Nelson Mandela, de l’endurance de Gandhi, et du courage de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes, est pour nous, un exemple absolu, un éclairage, un  gyroscope en politique. Et pour nous, la politique est principalement ce qui a trait au collectif, au général, au commun, à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. Donc pour nous, toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique. Oui, la côte d’ivoire va mal, très mal même. Les ponts, les goudrons et les immeubles appartenant à un poignet d’homme nantis ou à un lobby, ne font pas le progrès social dans une nation, ou les griefs sociétaux gangrènent les fonctionnements des interactions sociales, ou les conditions d’accession aux postes électifs ne rassurent personnes, ou le système d’organisation sociopolitique est miné par les germes de conflits, ou les petits rendus misérables et indigents sont écrasés aux pieds des grands. Et l’amoralité, la dépravation de mœurs ataviques gagnent l’entièreté du corps social.

Or tout progrès social et développement économique, qui n’est pas soutenu par une stabilité sociopolitique, et une paix sociale durable et qui ne commence pas par l’homme, n’est que régression de l’humanité et assujettissement sociale de l’homme. Oui, depuis 22 ans, «1999» Rien de concret, le noir, le néant et le vide, pas une seule conception politique et sociale dans le sens de l’apaisement de la tension sociopolitique. Pas une seule mesure de politique économique salvatrice, qui met le citoyen au centre du débat développemental, pas une seule action intelligente, crédible, opportune, novatrice, cohérente dans le sens de la réconciliation nationale et dans la recherche de la paix sociale pérenne. Le chaos sociopolitique assis sur des normes juridiques démodées, anomique et sur des institutions vermoulues, s’est ancré à la vie sociopolitique pour devenir sempiternel, sous le poids des mensonges d’états. Voilà pourquoi nous avons souligné a d’autres occasions pertinentes que : « Si le mensonge pathologique est à la base de la fiction fantasmatique des actions politiques du mythomane ? Qu’alors la mythomanie a gagné toute l’arène politique ivoirienne». Or ne dirige pas une société composite avec versatilité des actions, on ne gouverne pas, un peuple avec le mensonge politique, le mensonge d’état, la diversion politicienne et la manipulation gouvernante.

*-Elaborer  des normes de régulations sociales consensuelles, est le premier rôle assigné au gouvernant d’état.

Oui, la vie sociopolitique et la gouvernance étatique du 21e siècle, privilégie la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le libre discernement, le dialogue inclusif pour convaincre les réticences, la concertation populaire pour harmoniser les points de vues, le consensus politique pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques conformes aux valeurs que l’humanité s’est donné, la notion du pouvoir au peuple souverain son seul et unique propriétaire, et proscrit le mensonge pathologique d’état et dans la politique. D’où les gouvernants sont obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Oui, au-delà des besoins de ventres, ne nous leurrons pas, la côte d’ivoire ne serait jamais paisible, sans le consensus populaire autour de la chose publique, sans le dialogue républicain dans l’ordre du public, sans le respect scrupuleux de l’intérêt général, sans l’acceptation des différences sociopolitiques solidarisées, sans une réelle harmonie sociétale. Donc, il faut le consensus, l’exigence d’un abandon de soi, pour l’intérêt général des ivoiriens soucieux de la stabilité sociopolitique, de la paix sociale. Il faut une union nationale salvatrice qui proscrit la défense d’intérêt personnel. Donc, des hommes désireux de la stabilité politique et de la paix sociale, un tous a bords solidaire et unis, autour de la Côte d’Ivoire en quelque sorte. Pour ainsi mettre fin au chaos sociopolitique sempiternel, issus des élections.

(Oui, « le citoyen z’a pas bête-bête, le peuple non plus, z’a pas mouton de berger sado-pervers, mouk ! Jamais de la vie ! Pas bête ! Pas mouton ! Ils savent que les môgô-fâgâ marfâ, des gens-môgô-dey-fâgâ-là-fou ! Sont toujours armés dans une crise sociale, elle-même armée contre la totalité sociale, par l’entretien sciemment de cette crise. Une organisation sociale vermoulue et démodée, un développement économique bâtardise, qui laisse le citoyen au bord de la route du progrès, un système politique hybride sangsue, cause de la vie chère, une organisation électorale antidémocratique et non-conventionnel et toujours abonné aux cadavres de citoyens qui ne demande qu’à vivre en paix. Répétons-le, toutes les crises sont-là, crises de droit et de liberté, crises de légalités et de légitimités du pouvoir, crises sociales et identitaires. Y a folli ! Y a rien dans tous-ça. Retenons que L’abstention endémique de 85 à 90% ne suffit plus, on vous attend avec le vote sanction d’intérêt général, Voilà !) Oui, la bonne gouvernance étatique, implique évidemment le respect de la volonté générale de la totalité sociale souveraine, exige l’instauration d’un système sociopolitique au fonctionnement fiable, qui lubrifie les interactions sociales et demande à veiller à la solidité des fibres de liens qui se tissent à l’intérieur de cette collectivité afin de former un tissu social solidaire.

Donc, nous redisons encore ici, et maintenant, qu’il est d’ordre public ou d’ordre social, et d’intérêt général, que de faire de la réconciliation nationale, de la stabilité politique et de la paix sociale, une fixation absolue, au mépris de toute les autres considérations, y compris celles des intérêts politiques partiaires et des considérations juridiques et judiciaires. Donc, c’est le lieu ici, de se répéter toujours, que la clé de la solution de la crise ivoirienne, est entre les mains du peuple souverain de côte d’ivoire, que personne d’autre ne viendra avec une autre clé magique, a la place du peuple souverain de côte d’ivoire, ultime détenteur du pouvoir d’état, pour trouve une solution magique à la crise ivoirienne qui perdure, pour que la vie politique soit UN JEU LUDIQUE. Reprenons donc, notre vieux refrain qui est, qu’il n’y a pas d’autres solutions à la crise ivoirienne, que celle du consensus politique. Oui, de par le monde civilisé, il demeure constant, qu’en politique, noble Art, qu’il n'y a pas de vrai conflit politique sans une solution politique. Mais qu’en politique, les crises insolvables, sont toujours soutenues par l’absence de vrais dialogues inclusifs, fondés sur les défenses des intérêts politiques égoïstes et égocentriques. Or, il est d’une constance absolue qu’en vraie politique, que c’est en cultivant les vertus du dialogue social, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, «hélas ! Où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats, l'intolérance face aux différences quelles qu’elles soient, l’insouciance des conséquences et l'égoïsme », qu’on arrive à la stabilité sociopolitique, à la cohésion intercommunautaire et à la paix, par le biais d’une Vraie réconciliation réussie et ancrée dans les cœurs sociétales.

 *- Gouverner se justifie et s’accrédite par la capacité à produire et maintenir des normes consensuelles reconnues.

La politique de l’Autriche qui consiste à faire sciemment fi d’ignorer la réalité en face, et s’en donner à des coups de poignards dans le dos de la stabilité sociopolitique et de la paix sociale, dans les baffons de l’anonymat des inégalités sociopolitiques, des griefs sociaux accumulés, des dribles roublards politiciennes, sont périlleuses pour la côte d’ivoire. Surtout, avec des sempiternelles crises de légalité et de légitimité des gouvernants que ceci sous-tend, jusqu’au jour où il fera jour. Oui, des gens qui se doivent de transporter des voix, qui loin d’être les siennes, doivent résulter et s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Mais,  ont instruit pour diversion, un dialogue de sourd sur le système électoral, et l’indispensable nécessité, d’avoir aussi, des Juges des élections impartiaux non-redevables a des hommes politiques «conseil constitutionnel judiciaire», et on drible à l’arrivée. La vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont au prix du consensus pour la côte d’ivoire. Un dialogue qui n’a jamais céder le moindre espace de souveraineté opposé à des desseins électoraux et à des intérêts politiques ne peut solutionner. Nous sommes enfermé dans un illusoire carcan de certitudes bétonnées par une bulle d’en haut très lunatique, dans un système politique hyper-judiciarisé, protégé par des gueulards impénitent au service des roublards endurcies. Oui, ici sans leurre, il nous faut se détromper dès maintenant, nous ne vivons qu’une accalmie temporaire avant d’autres crises et un orage économique et des tempêtes financières catastrophiques, résultantes des inflexibilités et rigidité des positions fermées sur des intérêts, qui n’épargneront personne. C’est un constat irréfragable au vu de la situation sociopolitique et économique délétère, de désordre sociétal anomique, de liquidation sociétale inscrit au cœur du pouvoir, qui décide du modèle de société à vivre.

Oui, gouverner se justifie et s’accrédite par la capacité à produire et maintenir des normes consensuelles paisibles. En clair, aucun élu, ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Le peuple est maitre de son destin. Oui, comme déjà dit, il est d’une constance absolue de par le monde qu’en politique, la vraie politique, que c’est en cultivant les vertus du dialogue, de la tolérance mutuelle et de la solidarité diverse, surtout, en organisant la solidarité agissante envers les plus faibles. «Hélas ! Là où l'emportent trop souvent la violence inouïe des diktats inflexible, l'intolérance aveugle face aux différences quelles qu’elles soient, et la rigidité inflexible dans l’ordre du public», qu’on arrive à la stabilité sociopolitique par le biais d’une Vraie réconciliation et à la paix sociale. En clair, aucun élu ou aucun groupe d’élus, ou aucun homme politique, ou aucun groupe d’hommes politiques, ne peut faire le bonheur d’un peuple malgré lui. Le peuple est seul maitre de son  destin. C’est pourquoi le peuple doit rester l’ultime détenteur du pouvoir d’état.

On ne le dira jamais assez, la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, qui  a perdu ses repères sociétaux, a besoin d’union synergique, de sauvetage national, de réglage politique systémique consensuel et paisible. Oui, qu’on se le tient pour dit ; En côte d’ivoire, rien ne se fera dans la division, rien ne sera réussi dans la division, rien ne changera dans la division. C’est en luttant tous ensemble pour l’intérêt supérieur de la nation et pour l’intérêt général, que nous réussirons à restaurer la paix sociopolitique dans notre pays. Et à restructurer le système de fonctionnement étatique du pouvoir d’état à cette fin. Et ensuite a forgé un état républicain de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne en côte d’ivoire. D’où l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Et pour que les hommes politiques ivoiriens partent à des élections démocratiques propres comme les sportifs vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Dans une côte d’ivoire réconciliée, stable, cohérente, harmonieuse, paisible, d’exaltation de la diversité solidaire. Une côte d’ivoire des différences acceptée réciproquement par tous.

*-Une route non-balisée risque de ne mener nulle part, un dirigeant doit refaire sans cesse sa preuve de légitimité.

Donc, une côte d’ivoire des variances légitimes, des insoumissions politico-systémiques et de désobéissances légales obligées par le devoir citoyen et qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales. Une côte d’ivoire largement ouverte sur le monde libre et concurrentiel. La vraie réconciliation nationale et la paix sociopolitique sont à ce prix pour la côte d’ivoire, avons-nous dit. Retenons que, les ivoiriens réunis, tous ensembles unis, solidaire, en mettant en commun savoir, force, volonté, discussions, idées, pensées et actions, peuvent réussir l’impossible, l’impensable, et n’importe quel miracle. Oui, en abandonnant les égos, en ne retenant que la côte d’ivoire, ils peuvent les « ivoiriens », relever n’importe quel défi sociopolitique. Il faut le ressasser, parce que, c’est une constance d’intérêt public, une nécessité d’intérêt général. Oui, rien ne se fera en côte d’ivoire sans réconciliation, sans pardon dans la reconnaissance mutuelle de tous les ivoiriens, rien ne se fera sans une contrition de tous les acteurs politiques, des torts causé au pays et aux citoyens, dans une société qui admette hétérogénéité des sous cultures nationales unies, sans différenciation. Oui, un dialogue triptyque ou un duo d’entente au sommet de la société ne suffiront pas. Il faut une grande ouverture de la boite noire étatique aux regards de la totalité sociale souveraine, et l’exposé aux jugements citoyens, pour aller vers la porte de sortie définitive, d’une crise sociopolitique sciemment entretenue. 

Qu’on se le tient ici pour dit: Nous à la  légitimité citoyenne-citoyen et républicain social, « LC-CRS, fière de notre socle existentiel Muable», mais pour le moment, un inlassable mouvement d’utilité citoyenne, qui cherche avec le peuple les moyens idoine et légal, de se faire un chemin stable et paisible, dans un béton de mensonges politique et de mensonges d’états, d’habilité politicienne, pour arriver, pour nous, à l’ouvertures des droits civiles et politiques. Comme dit, notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en un avenir meilleur de notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne. Si la vérité doit vaincre un jour le mensonge nébuleux, malgré le sempiternel chaos social. Disons-nous donc, que nous ne sommes contre aucune personne physique, ni pour aucune personne physique. Ni poste, ni titre, ni rémunération pécuniaire de cupidité aveugle, ni gonflement mégalomaniaque et dégonflement sado-pervers. Nous sommes seulement à la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitiques, sans laquelle aucun progrès et aucun développement ne sont possibles. Donc, pour nous  tous pour le peuple de côte d’ivoire, tous pour la nation souveraine, tous pour la vie sociale paisible, tous pour les droits inaliénables, tous pour les libertés individuelles citoyennes, tous pour la vraie réconciliation nationale, tous pour le consensus politique et tous pour les élections réellement démocratique, parce que rassurant tout le monde.

En convenons-en, une route non-balisée risque de ne mener nulle part, c’est pourquoi, le gouvernant doit refaire sans cesse sa preuve de légitimité. Il convient de se répéter ici encore, nous ne sommes pas les saints-des-saints ou des papes à Rome. Non ! Mais la personne physique de l’homme politique ou du gouvernant ne nous intéresse pas, encore moins son argent ou son bien matériel. Seule sa politique, ses idées, ses actions, qui décident de notre vie et de la vie de tous et de la vie de chacun, nous intéressent et nous préoccupent. C’est pourquoi, nous sommes peinés, agacés, sinon attristés, de voir et d’entendre officiellement la côte d’ivoire, cette expérience de consensus politique, de dialogue national à toutes épreuves et de paix sociale, cette culture atavique de l’entraide  Africaine. Cette culture de non-violence, d’harmonie communautaire et d’union nationale à toute épreuve. Cette expérience de l’exaltation de la diversité solidaire et cette civilisation atavique de chez nous en côte d’ivoire, qui veut qu’on se parle pour obvier les crises de la société commune, donc d’acceptation réciproque des différences sociopolitiques et  de solidarité agissante dans l’union cohérente de tous. Cette politique sociale assise sur la reconnaissance de l’autre dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, c’est à dire reconnaitre l’autre comme différent et l’admettre comme son égal en droit et en devoir, Initié par FELIX HOUPHOUET BOIGNY, Hélas ! De voir donc, aujourd’hui, la côte d’ivoire de FÉLIX HOUPHOUET BOIGNY, incapable de remonter des profondeurs abyssale de la surface d’une crise sociopolitique, «remplie de larmes citoyen, que l’on cadavre toujours à occasion », et de devenir ainsi le lieu de toutes les crises sociopolitiques d’Animosités, et le lieu de toutes les politiques chaotiques, de toutes les crises sociales d’animosité de la planète. Nous sommes peinés, agacés, sinon attristés. Sur ceux, nous avons Kouma dans la suite des voix politiques plus coutumières». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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20 août 2022 6 20 /08 /août /2022 16:16
Lepetitfils : Hélas ! La légitimité d’un pouvoir d’état est devenue, multiforme, facultative, d’adhésion extérieure, et en mutation permanente. Elle ne résulte plus donc, de la source unique électorale. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États communautaires, des régimes et des gouvernements. Donc, il suffit aujourd’hui de truqué et fraudé des élections et de se faire accepter par un nombre important d’états, et on devient internationalement légitime. Quand a la légitimité «des légitimités» elle est ressortissante des urnes

Lepetitfils : Hélas ! La légitimité d’un pouvoir d’état est devenue, multiforme, facultative, d’adhésion extérieure, et en mutation permanente. Elle ne résulte plus donc, de la source unique électorale. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États communautaires, des régimes et des gouvernements. Donc, il suffit aujourd’hui de truqué et fraudé des élections et de se faire accepter par un nombre important d’états, et on devient internationalement légitime. Quand a la légitimité «des légitimités» elle est ressortissante des urnes

*- Chronique «Kouma» : ON NE PEUT PLUS FAIRE L'ÉCONOMIE DE LA VÉRITÉ. « Môgô-Fâgâ-Wouya-Mâgnî ! »

Face aux éternels jeux de ping-pong, avec des ballons de braises de feux, dans un environnement cynique et sinistré, de pailles imbibées de liquides inflammables au couleur rouge du sang humain, nous avons le devoir de préventions et d’anticipations. Donc, nous disons que cinquième « 5e » du dialogue politique ivoirien ou dixième « 10e »  round à venir, que, la côte d’ivoire ne s’en sortira que par le consensus, qui enfante des normes impartiales de régulations sociopolitiques et des règles de jeux démocratiques claires et limpides. Donc, nous souscrirons aux principes d’un dialogue national inclusif de la totalité sociale souveraine. Pour nous, il faut donc, le Dialogue politique républicain, inclusif, sincère et le Consensus politique et social, au tour de la chose publique. Il faut la Légalité et la Transparence dans l’ordre du public, et des élections dignes de ce Nom. La réconciliation nationale et la paix sociopolitique, sont à ce prix unique pour la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, c’est une constance indéniable que, toutes organisations sociales, toutes pratiques démocratiques, toutes actions politiques sociétales, toutes actions publiques de gouvernances étatiques et toutes entités composées de multiples communautés humaines, qui ne se fondent pas sur l’absolues acceptations réciproques des différences, sur la reconnaissance mutuelle de l’autres dans son originalité différentielle absolue, sur le respect du consensus sociopolitique, sur le dialogue social et républicain, sur des règles communes élaborées en conscience, librement, impartialement, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité de droits et de devoirs, sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et sur des normes de régulations sociales acceptées par tous, pour aller vers les principes de représentations sociopolitiques, parce que tous égaux en droits et devoirs, hélas ! Sont vouées à l’échec. Et ne peuvent que conduire les peuples au chaos sempiternel au couleur du sang humain et peuplé de morts, d’orphelins de père et/ou de mère

Donc, pour nous, il est question de refondé absolument une communauté égalitaire des citoyens libres aux droits et aux devoirs égaux à toutes circonstances. Ainsi, la compétition démocratique pluraliste, devient un concours de représentativité sociopolitique avec des conditions et chances  égales pour tous. Donc, nul « portion sociétale» n’a intérêt de rendre cette organisation compliquée aux autres. Ici Egale pour tous indique que dans la totalité sociale et dans le processus démocratique pluraliste, aucun citoyen n’est davantage citoyen qu’un autre : le citoyen c’est tout homme doué de ses droits civils et politiques. C’est vous et nous, c’est un député ou un maire, un ministre ou un président de la république, un conseiller général ou un conseiller d’état, chacun étant soumis aux mêmes règles et conditions, et redevable devant la loi de la même manière, avec les mêmes attributs naturels et les mêmes droits que tous les autres composantes sociales. C’est pourquoi, nous disons qu’il faut une Amnistie générale référendaire. Il importe encore de rappeler ici, une fois de plus, que, c’est de l’avenir de la totalité sociale souveraine qu’il s’agit, quand l’entièreté du Corps social solidaire devenue unique, délibère par la voie d’Amnistie générale référendaire sur les grandes questions rattachées à la souveraineté de la nation, ou sur les grandes questions structurantes de la totalité sociale. Le tout motivé par/et articulé, à l’intérêt public, à l’avenir de tous et à l’avenir de chacun, au demain de tous. Et c’est là que la totalité sociale souveraine vise principalement la stabilité sociopolitique de la nation et la paix sociale pérenne. C’est en cela que la totalité sociale souveraine, doit savoir tout « sacrifier » au bénéfice du bien de tous, de la souveraineté étatique et d’une perspective d’avenir meilleur de la société qu’elle anticipe ainsi.  

*- Une justice sociale pour tous sans exception, dont la clé est une Amnistie générale référendaire consensuelle.

Parce qu’en période de troubles dans l’ordre social et de secousses extatiques politique, rien ne vaut la préservation de chances de l’avenir, surtout au terme des crises d’intérêts sociopolitiques. Donc, en période de tentation forte de courber l’échine et de procéder à des génuflexions pour des intérêts obscurs, pour des avantages pécuniaires, même au détriment de l’ordre public, de l’intérêt national, et de la totalité sociale. Donc, n’oublions jamais que, l’état est avant tout une conception morale dominante des sociétés modernes, dans laquelle par la seule manière dont les multiples populations ataviques, renoncent à une partie de soi, à une partie de leur droit naturels individuels ou parcellaires, donc, à une partie de leur liberté naturelle et entrer dans les rapports d’une entité commune, et pour faire société unique ensemble, est celle dont on s’entend avec les autres groupes sociaux ou tribus, afin de s’unir dans le respect du libre arbitre de chacun, dans le consensus et par le dialogue, en une entité communautaire, une et indivisible ou tout est du convenu consensuel. Ici rien n’est unilatéral ou personnel, rien n’est exclusif, rien n’est du Moi. Il y a ni chasse-gardée, ni territoire privé ou conquis, ni privilège exclusif. Tout l’espace public appartient à tous, et tous les citoyens ont le même droit dans l’assiette territoriale. C’est notre vision de la vie sociopolitique emprunté au monde civilisée. C’est pourquoi, nous ne cessons de Kouma, et nous vomissons les armes en politique. Oui, face à la difficile émergence d’une élite dirigeante ivoirienne capable de défendre les intérêts vitaux du pays par une option politique claire, adaptée à la clarté politique du monde du 21e siècle, et face aux voracités de toutes sortes notre pays, la Côte d’Ivoire doit oser pouvoir prendre le train du 21e siècle. 

Donc, notre pays, la Côte d’Ivoire doit oser pouvoir restaurer la justice pour tous sans exception, qui passe par la mise en œuvre d’un véritable processus de réconciliation, qui prendra en compte les griefs sociétaux, qui alimentent la crise cyclique actuelle, en armes. Et du comment restaurer la justice pour tous sans exception ? En égrainons-en encore ici : Donc, œuvrer pour le bon retour des exilés par une porte d’entrée idoine et de droit, non-politicienne. La libération des prisonniers politiques et leurs subordonnés à la suite de leur hiérarchie qui plaide. *- L’indemnisation archivable et conséquente des victimes et de leurs familles d’ayants droits respectives. Qui exige l’élaboration d’un vrai système de dédommagement de toutes les victimes ivoiriennes de la crise querellée de 2002 à 2011 jusqu’à ce jour. *- L’élaboration dans le respect strict des règles de l’art qui sied à la matière, d’une constitution consensuelle, qui garantira une stabilité démocratique, avec des institutions républicaines fortes. *- Dissolution et réformation de la Commission Electorale, pour qu’elle devienne véritablement indépendante Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde sociopolitique en confiance et tous les acteurs d’accord. *- Le brossage et restructuration du conseil constitutionnel juridiction politique et juge des élections. *- Le découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale. L’élu représente un nombre de populations humaines et non l’espace étendu.

 *- Donc, disons-nous, Ré-ouvrir le dialogue sociopolitique sincère *- Aller au pardon devant le peuple souverain avec LE POURQUOI DU PARDON, et le courage de dire la vérité, rien que la vérité, *- Couronné le tout par une Amnistie générale référendaire, qui doit être votée à 80% de Oui au moins, et a plus de 90% de l’électorat total inscrit sur une liste électorale devenue fiable. Sinon devenue conforme à un pays de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral bancal, manifestation du dégout citoyen pour la chose sociopolitique et partant pour la chose électorale.*- Et d’organisation des élections transparentes, crédibles et inclusives de tous Amnistiés, dans un climat humaniste, apaisé, civilisé, propre. *- Donc, œuvrer pour le retour réel de l’Etat républicain de droit, respectueux des libertés fondamentales, de tous les citoyens et de la loi«Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison» *- Le rétablissement de la confiance entre tous les ivoiriens et les amis de la Côte d’Ivoire, en assurant la bonne gouvernance économique, politique et administrative. *- Transformer notre pays pour en refaire, demain, une nation fraternelle, démocratique et prospère, qui rayonne en Afrique et dans le monde. Donc, c’est ce que nous appelons,  justice sociale pour tous sans exception, dont la clé est une Amnistie générale référendaire consensuelle.

*-L’humanité s’est construite sur des préalables satisfaits entre hommes libres, entre communautés et entre nations

Ceci est la voie toute tracée vers une vraie réconciliation nationale qui doit passer nécessairement par la clarification des responsabilités des uns des autres dans les tragiques et douloureux évènements qu’a connus la Côte d’ivoire. Il est impérieux pour la mémoire d’innocentes personnes tuées et pour rebâtir tous ensemble, la nation sur les piliers solides véridiques, parce que de droit. Qui lui évitera de chanceler à nouveau dans un avenir proche, ou même s’écrouler à jamais, il est impératif donc, que la vérité-justice-non pénale pour tous soit dite et connue. Oui, pour que les bourreaux soient identifiés, afin de bénéficier après leurs pardon, contritions et repentances, du pardon de leurs victimes qui se verront soulager. Le sentiment de voir leurs bourreaux reconnaitre au terme d’une contrition, d’une repentance leurs crimes, est un réel soulagement. Ainsi le pardon des victimes toutes tendances et catégories confondues, sera issu de l’attitude des coupables reconnus. Ici, face aux options intraitables et l’intransigeance des positions, ou tout le monde est blanche comme neige, ON NE PEUT PLUS FAIRE L’ECONOMIE de la vérité. Ceci est l’objectif premier d’une vraie réconciliation, qui est un désir de rendre la condition de vie sociétale meilleur. Disons, une lassitude des crises sociopolitiques cycliques, répétitives, ou mêmes les guerres civiles et la crainte des mauvais évènements funestes et mortifères. La réconciliation instruit la renonciation au désir de vengeance par l’acceptation de l’abandon des blessures du passé. Cela passe par la vérité et la justice sociale, «ici non-pénale», obligatoirement. Mais surtout la vérité de tous et pour tous, sans différenciation de bloc politique et régionale « Nord Sud ». Et ainsi une fois ce substrat fondateur posé, de converger tous ensembles sans exclusive vers des élections digne de ce Nom.

Cela, dans le respect des règles électorales universelles, fondée sur des normes consensuelles et sur des principes reconnus coutumiers, qui rassurent tout le monde, « Partis, candidats, citoyens, et la totalité sociale souveraine ». Puisqu’en politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état, que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisi. Oui, l’humanité toute entière s’est construite sur des préalables satisfaits entre hommes libres, entre communautés et entre nations. Il n’y a pas de relation humaine sans préalable, sauf entre un monarque et ses sujets destinés à la soumission seigneuriale. Et un préalable ne se satisfait que dans le consensus « adhérer ou convaincre du contraire ». Donc, si cette exigence politico-démocratique doit être de rigueur, les joutes électorales à venir doivent se jouer avant tout, dans la normalité de son cadre organisationnel, et ensuite les  voies les meilleures indiquées par les prétendants, les assurances de stabilité et de paix offerte au peuple, la confiance du peuple dans les porteurs d’alternances ou d’alternatives, les capacités reconnues par le peuple dans les candidats à pouvoir redresser le navire ivoire en perdition. Oui, les auras factices et les fausses notoriétés ne doivent pas peser pour grande chose, quand la transparence qui résulte du débat démocratique existe. Ainsi le pouvoir s’acquerra au prix de mille efforts éclairants. Puisque c’est une évidence, que celui qui acquiert le pouvoir d’état passivement au prix de quoi que ce soit d’autres que de droit, donc comptable et passible de circonstance, ne fera jamais le bonheur du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir. C’est ainsi une évidence, qu’au décès du vieux en 1993, qu’aucun magicien politique soit-il,  ne pouvait parier sur l’accession de Gbagbo au pouvoir d’état, seulement après 7 ans.

*- Un processus électoral doit obéir aux exigences démocratiques, qui obliger la dévolution du pouvoir par élection.

Donc, la conquête du pouvoir d’état est une épreuve de l’inconnue, et des surprises agréables et désagréables, d’où les détenteurs du pouvoir ou les vainqueurs des élections, ne sont pas forcément les meilleurs. Donc, pour les élections à venir, les circonstances heureuses ou malheureuses resteront toujours maitre des jeux, au mépris des fictions politiques. Malgré des mots glauques, des phrases visqueuses et des allégations nébuleuses pour diversion. D’où en politique et en démocratie, souvent quand on espère de la sortie des colombes toutes Blanches dans les urnes pour une victoire assurée, ce sont les crappes « craps » Poilus, qui y sortent pour gâcher la fête électorale. Et les circonstances heureuses d’un jeu se préparent sérieusement. Au terme du processus électoral soucieux de tenir l’exigence de la promesse républicaine de l’égalité, de justice pour tous dans la participation à la gestion des affaires publiques, et de l’égalité de chance de tous en droits et en devoirs, indépendamment de nos origines culturelles et sociopolitiques, de nos convictions philosophiques et de nos croyances religieuses, sans aucune politique clanique. Et d’ouvrir à l’égal accès pour tous, les structures étatiques de souveraineté populaire. Cela dans la reconnaissance de chacun, dans une citoyenneté commune, qui permet de gérer politiquement. L’olympiade démocratique se joue-là. Ici, le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état mis en compétition par élection libre et juste.

Les élections démocratiques de par le monde ont l’obligation de se conformer aux normes juridiques consensuelles, qui régissent le processus électoral consensuel et au terme juridique dudit processus électoral consensuel, pour être légale et de droit. Les principes de démocratie électorale accordent à tous les citoyens des droits égaux, exigent des lois qui prévoient une administration équitable et non partisane. Donc, ici ce qui est recherché, c’est le respect de la volonté générale de la totalité sociale, qui ne peut s’appliquer qu’à défendre les intérêts de tous ses membres. Elle ne peut qu’assurer les droits des contractants consensuels de la société. Et Lorsqu’on contourne sciemment cette réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la pratique électorale et à l’exercice de la démocratie, le rapport de force supplante l’élection et la démocratie. On entre dès lors dans un système de non-droit et la sphère politique et publique se trouve minée et désertée. Car ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques issus des élections honnêtes et ce n’est pas là que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices et salutaires. Qui se trouve logé de droit, dans un processus électoral qui obéit aux exigences démocratiques, qui permettent d’obliger la dévolution du pouvoir d’état, ainsi placé à équidistance des partis politiques et les candidats, pour des élections consensuelles, libres, transparentes, justes et ouvertes.

*-La d’ivoire devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisée, se vide de son image de marque.

Ainsi la république ou l’état républicain, devient le cadre par excellence, dans lequel tous les citoyens s’expriment sur toute l’étendue de l’assiette territoriale nationale, sans craindre de se voir opposer à une chassée-gardée, ou à des petits terrains électoraux. Sinon d’être agressé ou zigouillé par des fantassins se disant justicier des droits civils et politiques. Donc, c’est au terme d’un processus électoral qui réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république, que se construit une société stable, prospère, paisible, harmonieuse  et solidaire. Oui, s’il est encore besoin de  le répéter, « les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. Par ce que le système est Apolitique, au-dessus des politiques politiciennes. De même, les partis et les candidats sont rassurer qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur processus électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité, viabilité à leur démocratie». Ici, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont subordonnées du processus électoral. Et ces institutions sont contraintes de s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens large.

Et par conséquence se voient obliger d’aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Puisqu’ici, c’est de l’homme qu’il s’agit. Et ici c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché pour garantir, neutralité, impartialité, transparente et assise sur un ensemble de conditions fondées sur les principes universels démocratiques. Inscrites résolument dans un système électoral, qui encourage et protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Une élection conforme aux normes de la démocratie universelle, fait partie des droits inaliénables des peuples souverains à disposer d’eux-mêmes. C’est pourquoi, une élection démocratique, libre, juste, équitable et transparente exige, entre autres, la liberté de parole, d’assemblée, d’association et de mouvement, ainsi que l’absence de la crainte d’être zigouillé par des hommes armés. « Point de tête Humain comme ballon de Foot». Une élection juste exige toujours un processus électoral transparent, consensuel, une loi électorale et un système électoral équitable, des chances égales pour tous les participants. Une élection juste exige, une commission électorale autonome, neutre, impartiale et APOLITIQUE, pour être conforme aux normes de démocratie universelle, qui exige formellement l’absence d’intimidation d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit. Les objectifs fondamentaux d’une élection juste sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections démocratiques.

Donc, un élu sorti de ce processus est avant tout un serviteur de l’intérêt général, les privilèges et avantages qui lui sont accordés ne peuvent être justes et légitimes, que lorsqu’il y a une contrepartie en termes de services public justes et équitables rendus à la nation, à la totalité sociale souveraine. Donc, vouloir contourner cet espace de liberté, avec des entreprises politiciennes, c’est vouloir conduire cet élan fondateur de liberté sur des terres moins dangereuses, en réduisant la vision de l’avenir de la nation et la gestion publique étatique, à une simple équation économique. Ainsi en inscrivant l’argent au cœur des relations socio-politico-idéologiques, pour coopté des citoyens vaches qui ne demandes qu’à manger, et des politicards renégats et arrivistes à des fins électorales. Alors que devrait être placé le citoyen et sa liberté, ses droits inaliénables au cœur du débat sociopolitique, l’homme au centre des préoccupations économico-développementales. Donc, le tout état au service de l’homme en quelque sorte. Afin de construire une société commune, paisible, dont non plus l’état ou l’argent. Mais ou l’homme et son libre arbitre, incarnerait la centralité de toute politique, et le citoyen le cœur de toute action sociopolitique. Dans une société qui fera de tous les aspects de la vie humaine, régie par les valeurs que l’humanité s’est donner, la valeur fondamentale, sur laquelle doit être construite toute société, toute politique, toute économie, tout développement, toute relation entre citoyens ivoiriens, et entre personnes d’origines diverses, et toute relation entre nations souveraines.

*- Oui, en démocratie la légitimité est ressortissante des urnes au terme d’une bonne organisation électorale.

Donc une société ivoirienne paisible et Houphouët-ienne. Oui, la côte d’ivoire devenue méconnaissable dans le concert des nations civilisée, se vide de son image de marque, de son continu sociétal, de ses mœurs et morales, et de son humanisme. La côte d’ivoire a désormais perdue le leadership politique de la sous-région Ouest-Africaine, ses admirateurs d‘hier la détestent désormais, ce qui l’enviait hier la boudent ostensiblement aujourd’hui, ses soutiens héréditaires la fuient vers d’autres horizons plu paisibles, ses soumis d’hier l’administrent des claques et raclées bien administrées, sa fierté positive ivoirienne est entamé.  Et sous les coups des crises a répétitions, la côte d’ivoire tremble du haut de son piédestal Houphouët-ien et peut s’écroulé à tout moment KO, le Navire ivoire tangue sur son substrat légal, vacille sur ses assises sociétales, oscille sur ses base souveraine, la côte d’ivoire roule vers l’Abime, la côte d’ivoire coule à petit Feu, la côte d’ivoire est devenue un pays de Merde, l’absolue recherche éperdue du pouvoir, l’entretien sciemment des crises en sont la cause unique. Oui, dans une universelle conception procédurale des élections démocratiques, la légitimité du pouvoir d’état est l’acceptation par le peuple souverain du caractère consensuel, moralement juste et nécessaire des institutions constitutives du pouvoir d’état. Mais hélas ! La légitimité d’un pouvoir d’état aujourd’hui est devenue, multiforme, facultative, d’adhésion extérieure, et en mutation permanente. Elle ne résulte plus donc, de la source unique électorale. C’est ainsi que, la légitimité internationale renvoie à la reconnaissance externe des États communautaires, des régimes et des gouvernements.

Donc, il suffit aujourd’hui de truqué et fraudé des élections et de se faire accepter par un nombre important d’états, et on devient internationalement légitime. Quand a la légitimité politico-électorale, elle peut être électorale ou circonstancielle. Ici la légitimité requiert l’adhésion d’un nombre largement majoritaire du peuple souverain. Mais en politique et en démocratie la légitimité, des légitimités est ressortissante des urnes électorales au terme d’une bonne organisation électorale, qui a fait du processus électoral et des lois qui le régissent l'œuvre de tous, en l'impose au respect de tous. Et un processus qui a permis à chacun de voir sans violence le redressement de ses griefs sociétaux, qui désarme la violence sociopolitique. D’où comme déjà dit :  En politique, la vraie, il n'est d'autre moyen de fonder la légitimité démocratique d’un pouvoir d’état que de faire partager à l'ensemble des citoyens libres, la conviction que leur volonté s'exprime à travers les représentants qu'ils se sont librement choisis. Dès lors il devient constant qu’au terme d’un processus électoral, les intérêts politiques des parties aux élections doivent pouvoir se conjugué avec l’affirmation de la souveraineté populaire du peuple, ultime détenteur du pouvoir d’état, une souveraineté absolue inscrite au cœur de la république et de la démocratie populaire, assise sur le principe du « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». « Oui, citoyens ! Au mépris des propagandes monnayables et en dépits des délits de sales gueules, nous avons Kouma ». Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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10 août 2022 3 10 /08 /août /2022 02:41
Lepetitfils : Aujourd’hui, la société ivoirienne a totalement perdu ses repères sociétaux, ses mœurs ataviques, dans un pays « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny », qui offre plus, le visage d’un pays enviable dans le concert des nations, avec son incapacité a remonté à la surface des profondeurs politiciennes d’une abyssale crise sociopolitique, avec l’impossibilité d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire, est-elle encore un état républicain de droit ou la souveraineté absolue réside dans le peuple ?

Lepetitfils : Aujourd’hui, la société ivoirienne a totalement perdu ses repères sociétaux, ses mœurs ataviques, dans un pays « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny », qui offre plus, le visage d’un pays enviable dans le concert des nations, avec son incapacité a remonté à la surface des profondeurs politiciennes d’une abyssale crise sociopolitique, avec l’impossibilité d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire, est-elle encore un état républicain de droit ou la souveraineté absolue réside dans le peuple ?

*- Kouma chronique : La nature de la société altérer, les mœurs sociétales déformé et l’existence souveraine en péril.

Il en va de la médicine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Depuis le 24 décembre 1999, « 22 Ans », incapable de sortir d’une crise sociopolitique funeste et mortifère, incapable de tourner une page marquée du sceaux indélébile de sang Humain versé et désormais dérouter et conduit sur la voie déviationniste d’une nouvelle ploutocratie rigide, la côte d’ivoire est devenue une société de désordre a ciel ouverte. Ou la morale sociétale Atavique est en congé, les mœurs dépravées, l'honnêteté devenue un crime. Or, la sécurité et la crédibilité que l'honnêteté génère, contribuent à construire une société stable, paisible, harmonieuse, qui valorise la vérité, sans tricherie ni fraude, dans le respect des valeurs humaine et des mœurs ataviques. Oui, un grand Bazar s’est installé dans la société ivoirienne comme règle de vie, une grande foire aux larrons s’est ouverte sous nos yeux sur la terre de nos ancêtres. Une vie sociale de sectarisme nébuleux, est née sous nos tropiques, une réelle crise identitaire sociologique pointe à l’horizon et son nuage est trop épais. Une mutation sociale d’irruption imprévue, à engendrer la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit la cohésion sociale de la nation une et indivisible, l’état républicain de droit, et une société démocratique. Ce qui enfante les griefs sociétaux quotidiennement et les divisions socio-inter-communautaires. Ce qui est par définition, depuis la nuit des temps manichéiste, iconoclaste, factieuse, nihiliste, chaotique, antisocial, antihumain, anti-empathique, anti-altérité, éphémère, primaire, anomique, pervers, sans avenir, sans mémoire et porteur des germes des crises sociopolitiques de toutes sortes, évoluant sur une voie avérée de la dégénérescent sociale. C’est pourquoi, désormais, sont devenus valeurs sociopolitiques, le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent du cocaïne n’a plus d’odeur dans la vie, et la dépravation des mœurs sociétales à acquit sa notoriété, écrit en lettre persistante sur une pancarte, reflet d’une société dénaturée. Les Analyses scientifiques, expertes, doctes et esthètes, sont obstruées par l’antagonisme des propagandes intéressées, monnayables, et par des éloges populistes du banditisme politicard.

Par la volonté d’une nouvelle hégémonie ploutocratique qui ne prépare pas l’avenir, la principale valeur humaine l’intellect, est mise KO par la force synergique conjuguée de coups porté par le dessous de ceintures. Des troubles politiques qui dégénèrent constamment en affrontements intercommunautaires, précisément dans le sud-est et le centre-ouest. Pour une seule élection présidentielle celle de 2020, qui devait être logiquement une fête nationale à tourner à une nouvelle catastrophe nationale pour la côte d’ivoire. Une danse maléfique et satanique sur les corps de plus de 150 personnes Morts zigouillés et plus de 700 blessés, avant-scrutin, jour-du-vote et après élections, près de 1000 personnes interpellées, près 200 inculpées, près de la centaine écrouées. Avec une cerise noire-rouge, inhumaine sur le gâteau, est une tête humaine devenue ballon de foot de défoulement, d’enjaillement électoraux, qui enregistrent régulièrement 80% à 85% de taux d’abstention à des élections de façades. Oui, pour la côte d’ivoire, le rêve d’une paix durable est en péril. Retenons que: Les 2 têtes de la même pirogue la grande et la petite converge vers la même Rive. Oui, il y a œuvre utile régulatrice à faire pour la côte d’ivoire, qui exige l’abandon momentané de soi, la subordination des  intérêts et des blessures individuelles ou personnelles du moment. L’arbre à commencer cacher la forêt ivoire dans la mémoire collective ivoirienne. Mais quel que soit l’épaisseur de l’écorce de l’arbre ou le volume du tronc d’Arbre, ils demeurent chacun une partie intégrante de l’autre pour une vie unique où chacun est condamné a porté sa part de fardeau existentielle, puisque, l’un n’aura jamais d’existence en l’absence de l’autre. C’est un corps unique. Dès lors, un homme public ou politique ne peut se conduire comme le commun des mortels.

Ainsi pour l’ordre public, l’intérêt général, la stabilité sociopolitique, tant que ces essentiel sociétaux sont en jeu, «la réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire», homme public ou politique, doit jouer jusqu’à la limite de l’Humainement admissible, pour gagner le jeu d’intérêt général, d’ordre public et de stabilité politique. Et ici, c’est de l’avenir du Corps social, et de sa solidification qu’il s’agit, quand le peuple légifère par une Amnistie générale référendaire post-guerre ou post-crise, consensuelle-ment consentie, Avalisée et Validée, par lui peuple souverain. «Notons que l’Amnistie générale référendaire tient en l’état les condamnations à la perpétuité et a 20 ans de détention, prison». Ensuite tous ensembles consentants, a forgé au mépris et en dépit des procurations électives, un état de droit, une stabilité sociopolitique et une paix sociale pérenne. Disons-le, « La paix est une valeur qui recherche des formes supérieures de coexistence. C'est un idéal qui évite l'hostilité et la violence, qui génèrent des conflits inutiles ». « D’où le Bidon de Bandji-Blanc atavique côtoie, le Céri-Dagâ non moins atavique et se congratulent, dans le respect mutuel, comme deux camarade d’une citoyenneté commune». Donc ici, le droit de tout citoyen commence là où s’arrête le droit des autres citoyens. Donc, question pour nous, de s’allié et se rallié pour l'intérêt général d'abord et rassembler au-delà de ses appartenances idéologico-politiques. Et taire nos querelles personnelles, arrêter nos divisions internes, placarder nos brouilles de leadership, pour montrer notre capacité à faire bouger les lignes de la vie sociopolitique dans notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny

La côte d’ivoire coule, le Navire ivoire tangue sur son substrat légal, vacille du haut de son piédestal, oscille sur ses base souveraine au terme d’une crise sciemment entretenue et devenue statique, la côte d’ivoire roule vers l’Abime, la côte d’ivoire à petit Feu devient un pays de Merde. Et les conséquences sont terrifiantes: l’Humanisme a pris congé de son terreau fertile d’autre fois. Dans ce désordre, les discours creux « MÖGÖ-FÄGÄ-WOUYÄ » déconnecté de la réalité économico-sociopolitique ne rassurent plus personne. Bon ! Aujourd’hui, ceux qui ont le droit légal ou d’attribution illégale, d’émarger dans les caisses publiques de l’état, sont peut-être pécuniairement les mieux traités de la sous-région Ouest Africaine, mais vivent-ils pour autant mieux que, leurs homologues de la sous-région Ouest Africaine ? Puisqu’ici le coût de la vie dispose du revenu mensuel de la composante sociale. Bon ! Grâce par-ci et décret d’Amnistie par-là, le peuple avec la LC-CRS, redoutent le syndrome des généraux Argentins qui s’étaient Auto-exonérés de poursuites par des lois d’Amnistie : Et malgré toutes ces lois scélérates d’autoamnistie proclamées par les putschistes, «point final» et «désobéissance due» des années 86 et 87, qui interdisaient toute plainte contre les militaires et services de sécurité de la part des victimes ou familles de victimes, n’ont pas résistés a la volonté souveraine du peuple argentin, qui détient l’unique, l’ultime et absolue, habilitation de légiféré en la matière. D’où Patatras ! La loi «point final» est devenue par la volonté du peuple, «point de départ des poursuites» et la loi « désobéissance due »  est devenue « désobéissance criminelle », qui a fait pleuvoir des peines, dont le minimum était de 20 à 30 Ans de réclusion criminelle, jusqu’à la perpète incompressible. Il n’a manqué que la  corde de pendaison et le couperet de la guillotine.  Donc, la politique humaniste de l’imprescriptibilité des crimes contre l’humanité à pour limite la volonté générale exprimée du peuple souverain ultime légiférant au terme d’une Amnistie générale référendaire. Sauf à vouloir troubler l’ordre social, par une ingérence dans les affaires souveraines d’un autre état.

*- Des complaintes habiles de diversion pour éluder les causes de la catastrophe économico-sociopolitique.

Oui, c’est au travers des valeurs humaines qu’il est possible de développer sa relation aux autres, de travailler avec l’autre en coopération, de dialoguer ensemble et de résoudre les conflits. Et l’Amnistie référendaire en est Une. Donc, à ce stade du tocsin d’utilité citoyenne et publique, Citons quelques petits faits, 3 à titre d’exemple ci-dessous. 1)- Bon ! Que dire de cette Complainte à la suite d’une pancarte insolite sur laquelle était inscrit « Garçon qui fait 10 coups, c’est moi » avec un numéro de téléphone à contacter. Et dénonciation de l’expansion manifeste et ostensible du proxénétisme, du racolage ainsi que de nombreuses autres atteintes à la moralité publique, aussi incitation au racolage des personnes en vue d’inviter et provoquer à la débauche, etc. y sont citées. Curieuse et saugrenue politique de la recherche du respect de la dignité humaine et de la moralité publique, dans un système politico-gouvernementale de dépravation de mœurs sociétales. Et paradoxalement cela, de la part des tenants du pouvoir de régulation sociopolitique et avéré artisans d’une politique de désocialisation, « une transformation qui cause une désagrégation sociale». De déculturation «destruction totale d'une culture » D’acculturation «des transformations qui affectent le modèle atavique culturel original» D’Amoralité «étranger à la morale, qui ne prend pas la morale en considération ». D’Immoralité « l'immoralisme nihiliste qui s’oppose à la moralité ». (Ici, l’immoralité consiste à transgresser délibérément les règles de la morale atavique, et l'amoralité consiste à refuser ou nier l'existence d'une morale ancestrale, voire à encourager sa transgression) Donc, la dépravation des mœurs sociétales « Comportement dénaturé, manière de se conduire immorale ». De dénaturation sociétale, « altérer la nature de la société et déformer les mœurs sociétales». Donc une politique gouvernementale de  conjugaison de toutes les criminalités.

Oui, le contenu et les faits de la politique étatique et gouvernementale décident du modèle social. Oui, la cause d’un mal non-diagnostiquer rend se mal incurable. Donc, en convenons-en et en consentons-en, ici ! Quand les droits inaliénables et les libertés fondamentales sont violés, la boite noire étatique doit être percée et ouverte au regard du grand public. Oui, parce que, quand la vérité historique est coffrée, de fait et de non-droit, dans la boite noire étatique, toutes les libertés publiques ou individuelles se trouvent mises en danger et s’en suit donc, le chaos social sempiternel, décrit plus haut. Oui, aucun dirigeant au monde n’a remédié aux maux de sa société en restant perché au-dessus du système de l’organisation sociale. Les réalités d’une société se trouvent dans sa profondeur, donc, tout remède qui ne prend sa racine-là est voué à l’échec, et conduit à des crises que cela sous-tend. Or ici, la politique de l’Autriche manifeste, est maitresse du destin sociale et de la nation, quoi de plus normal, face à la dégénérescence sociale en outrance, comment se remettre en cause, quand tous les suiveurs vous renvoient des reflets de mémoire qui continuent à seriner que la laideur de votre politique sociales est la plus belle au monde et en pilonnant sans honte, qu’avec votre tête enfouit dans la boite noire étatique, « je suis le dirigeant », le plus éclairant des dirigeants du monde, alors que vous n’êtes au contact du réel social et de cette dimension du réel qu’est la position versatile et l’avis lunatique du peuple face à ses sorts sociétaux imprévus, qu’à travers les fanfaronnades de griots et suiveurs.

Des griots et des suiveurs, qui se contentent de relayer des éloges et de flatter votre aveuglément politique. Or, vous avez pour mission première, d’anticiper les perspectives d’avenir sociale et sociétale dans le temps, et vous restez redevables des comptes de gestions sociopolitiques aux citoyens, Oui, Malgré une politique avérée de totale dégénérescence sociale, on parle d’un développement socio-économique qui biffe la morale et le citoyen ivoirien du cœur de la politique développementale et qui laisse l’homme au bord de la route du progrès social. Oui, il existe aujourd’hui une grande partie de la population ivoirienne, pour laquelle le développement et le progrès social chanté à tout bout de champ ne s’appliquent pas. Or une bonne politique gouvernemental, une sérieuse politique économique, doit être capable d’offrir une bonne société, dans  le respect des mœurs sociétales et d’offrir à tout homme les mêmes possibilités économico-sociopolitique de s’en sortir dans la vie quotidienne, et à tout citoyen ou que l’on soit dans l’assiette territoriale de la côte d’ivoire, cela devrait être garanti pour tous par les gouvernants. Si gouverner reste servir le peuple avec l’anticipation des perspectives d’avenir meilleur dans le temps et l’espace.

2)- D’autres complaintes gouvernementales saugrenues existent, telles que, celle relative aux prisonniers politique: Il n’y a pas de différence entre les militaires emprisonnés outils de fonctionnement du système républicain et étatique et leurs utilisateurs les hommes politiques gouvernants de l’état. Leur lien de rattachement, est une interconnexion inextricable qui permet, le normal bon fonctionnement légal du système républicain étatique. Et les militaires sont un chainon d’une chaine architecturale de fonctionnement systémique étatique de subordination et d’une communication de commandement, qui font d’eux des outils assujettis au service des hommes politiques gouvernants. Les militaires agissant sous commandement des hommes politiques dirigeants d’état, ne commettent pas à titre personnel d’infraction militaire, mais  des infractions s’il y a ? Commandée par les dirigeants politiques. Ici tout est politique parce que la tête est politique. Donc traitement politique. « Oui, nous avons déjà dit qu’en droit international pénal, les subordonnés emprisonnés pour les mêmes faits reprochés à leur chef hiérarchique sont automatiquement bénéficiaire des motifs qui ont prévalus à la libération de leurs supérieur hiérarchique au terme d’une procédure judiciaire. Donc à partir du moment que les subordonnés sont individuellement et nommément identifiés, comme subordonnés du chef hiérarchique avec un lien de subordination institutionnelle et systémique qui les unit, l’action pénale qui leurs est reprochés dépend et s’éteint ave celle engager à l’encontre du chef hiérarchique.

*-Et aussi, le UNHCR ne doit retirer le statut juridique a des refugiés ivoiriens sur la base des allégations mensongères de leurs pays d’origines, dont ils ne revendiquent plus la protection, d’où refugiés. Et uniquement appuyé sur la base des institutions coquilles vident, dont l’existence n’a eu aucun impact sur les causes qui ont conduit ces citoyens ivoiriens en exil, ne peuvent donc devenir, une cause qui les retire le droit des droits, codifié par l’humanité comme tel. Hélas, Bon ! Ces institutions ne sont que des paravents justificatifs pour des dirigeants acteurs de la crise du pays d’origine de ces réfugiés assujettis ». Bon ! Le monde a ses machins, c’est de GL Charles de Gaulle.

3)-Complainte, aussi sur le Foncier ivoirien: « Attention nos terres sont bradées. Aujourd’hui, on vend, on achète, la souveraineté nationale risque un jour de nous échapper ». Bravo ! Pour ce réveil pas encore tardif, il est salvateur. Oui, aujourd’hui, la côte d’ivoire est installée dans un désordre indescriptible, qui à finit par imposer l’acculturation sociale, la dénaturation, et tend vers la désocialisation. Le socle existentiel de la société ivoirienne et le substrat culturel et identitaire sont atteint dans leurs racines existentielles de survie, pire l’assiette territoriale est soumise au géométral délibéré de ce qui fait la souveraineté nationale, et de ce qui garantit l’existence socioculturelle des peuples. Aujourd’hui, l’état, personne morale, a plus que jamais, le devoir de protéger les propriétaires coutumiers terriens des spoliations. Donc l’état doit remplir son rôle d’interface, se confiner dans son seul rôle de gestionnaire, et doit se contenter de légiférer sur les modalités de transactions entre personnes privées, détentrices de droits coutumiers immémoriaux. C'est-à-dire, légiféré des lois régissant les « location à durée limitée, co-exploitation contractuelle, sous-exploitation contractuelle, exploitation conditionnelle lucrative contractuelle», fondées sur des contrats qui ne peuvent excéder trois (3) fois, trente-trois (33) ans, qui font au total quatre-vingt-dix-neuf (99) ans.

Donc des contrats dont tout en permettant les réaménagements de ses clauses chaque trente-trois « 33 » ans, délai au terme duquel toutes les clauses restent de rigueurs, doivent proscrire toute possibilité de vente de personnes privées ou morales à personnes privées ou morales. (Notre référents a tous, né en 1905, aujourd’hui aurait 117 Ans, donc se délai ne peut être jugé ni long ni court, il est raisonnables pour la sauvegarde de la souveraineté et l‘existence sociale). Oui, les terres coutumières sont inaliénables, incessibles, incommutables et insaisissables. C’est donc, en droit, une mesure de protection forte qui sied à ce droit atavique. Attribuer aux peuples autochtones ou les propriétaires coutumiers terriens, un véritable droit de propriété sur leurs terres ancestrales, qui est un élément nécessaire, indispensable, de leur patrimoine existentiel, sous le respect strict, du caractère inaliénable, incessible, incommutable et insaisissable de leurs biens est d’intérêt public. Donc, leur reconnaître seulement un droit d’usage des terres. Sinon dans moins d’un siècle 100 Ans, les terres appartiendront aux riches exploitants et aux accapareurs illégaux. Et dès cet instant, un Robert Mugabe dans l’avenir, peut se mettre à raser des quartiers par-ci, plantations par-là, des terres devenues domaines privé par la force de dieu l’argent, et des terres illégalement acquises par là-bas, des forêts classées partout dénaturées. Ce qui est un risque réel pour la côte d’ivoire d’Houphouët Boigny. Et se serait catastrophique pour notre pays, surtout se serait le résultat de l’inconséquence, de l’insouciance et de la légèreté des actions politiques, des actions économiques et des actions sociales de scories passéistes d’aujourd’hui. Oui, l’horizon ivoire est passé du sombre et nuageux, à  l’obscurcie et périlleux. Le demain ivoire sent la catastrophe, le péril et le précipice abyssal. Oui, l’identité de la côte d’ivoire de demain doit-elle se réduire à la cartographie des états ? Et l’identité de l’ivoirien de demain doit-elle se réduire uniquement à la pièce d’identité administrative ? Ou doit-elle rester atavique et socioculturelle comme toutes les sociétés non-déracinées du monde réel ?   Et le problème d’accaparement du foncier ivoirien, en serait incontestablement l’une des causes principales évidentes. 

*- Ils font fi d’ignorer, la déliquescence morale, le délitement des mœurs atavique et la dégénérescence sociale. 

Disons pour temporiser ce KOUMA « chronique », qu’aujourd’hui, avec une société ivoirienne qui a totalement perdu ses repères sociétaux, dans un pays « la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny », qui offre plus, le visage d’un pays enviable dans le concert des nations, avec son incapacité a remonté à la surface d’une abyssale crise sociopolitique, par le biais d’une vraie réconciliation nationale couronnée par une Amnistie générale référendaire est-elle encore un état républicain de droit ou la souveraineté réside dans le peuple ? Son fonctionnement socioéconomique désordonné de grand Bazar incontrôlé est-il digne d’un état sérieux ? Son dit développement informel non agencé, dans le tout permis est-il conforme au développement réel graduel des pays développés ? Avec l’escroquerie coupable morale et intellectuelle, à complicité conjuguer à ciel ouvert, le vol des deniers publics et ressources naturelles souveraines, l’inondation du pays de marchant de cocaïne et de drogue de toute sorte, la débauche sexuelle, la dépravation des mœurs sociétales, devenus des activités lucratives et valorisante dans notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny. Oui, les agressions délibérées de toutes sortes, verbales, physiques, et morales assurés d’emblée de l’impunité de poursuite. L’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire dans le monde suite à une crise sociale créé de toute pièce. Ou la fraternité est réduite à celle entre un moine tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois ? Ou la coexiste d’appartenance s’apparente à celle entre un petit thaïlandais sans défense en Chine ? Donc face à une telle catastrophe, au sommet de la hiérarchie de l’état ivoirien, on se fout de qui ? En faisant fi d’ignorer, la déliquescence morale, le délitement des mœurs atavique et la dégénérescence sociale ??? «Sur ceux, nous avons Kouma, Gbê-de-Gbê citoyen»… Que la nature protège la cote d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA « chronique » de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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