Lepetitfils : Le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce quand il tue c’est insidieusement d’élections à élection, de crises à crise, de façon obscurantiste et nébuleuse, le mensonge d’état contre l’intérêt général, est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan. Un Arrêt de cette dynamique démoniaque s’impose absolument comme droit inaliénable des peuples libres.
CITOYEN, A LIRE ABSOLUMENT POUR VOIR LA VOIE A SUIVRE, POUR OBVIER LA VOIE DU SERPENT A SONNETTE EN EXTASE.
Pour l’Afrique notre destin commun : « Disons d’emblée entre Guillemet, qu’avec l’avènement d’un nouveau panafricanisme d’auto-enfermement, d’auto-cadenas-sage, ou on ne voit pas la carence de droit des pouvoirs en Afrique, mais partout la main de la France, comme fonds de commerce de toutes les insuffisances politiques en Afrique francophone. Le nom du colonisateur chanté dans un rythme de populisme effréné est devenu la diversion manipulatrice des peuples martyrisés d’Afrique, et l’exutoire prépayé de la médiocrité des hommes politiques Africains, face aux peuples gouvernés réduit à la crédulité. La crédulité et le panurgisme moutonnier des peuples assujettis qui vénèrent les Zorro-héros et sont favorables à une hiérarchisation très strict en fonction de puissance criminel du porteur de fusils et du bien matériel, ou de l’aura factice « culte du chef». Oui, les fusils ouest Africain ont enfanté un nouveau panafricanisme croupion insaisissable et un souverainisme morpion sangsue des peuples éclose sous nos yeux. D’où, on s’arc-boute aux faits de la colonisation civilisatrice, ou tout n’a pas été mauvais, et en même temps, on se plait a adorer religieusement l’exercice des pouvoir dictatoriaux, autocratiques, autoritaires et assujettissants calqués sur la pratiques des pouvoirs coutumiers ancestraux, fondés sur la forces des fusils « j’étais vaincu avec les armes». Et d’ainsi composé avec le pire que le colonialisme que l’on dénonce au Nom d’un souverainisme isolationniste. Et c’est les pauvres peuples devenus tellement riches, qui rempliront un vieux sac de riz de billet de banque, pour aller acheter un nouveau sac de riz. L’exemple des monnaies Africaines flottantes, qui se sont passés d’Arrimage extérieur <Garantie morale ou Caution morale ou Matérielle>, la Guinée de Sékou Touré et sa kyrielle de Francs guinéen, le Zaïre de Mobutu et ses milliardaires Zaïrois, le Mali de Modibo Keita à un moindre degré etc. etc. etc. Puisque le Cédi Ghanéen sent la locomotive du dollar US. <1 000 Franc CFA égal 21,83 Cédi>. Parce que la création d’une monnaie n’est pas seulement l’expression de la souveraineté internationale, elle a d’autres exigences plus importantes.»
*- Chronique « Kouma » Arrêter les décomptes macabres, depuis 2000, Plus de 10.000 Morts, et autant de Blessés.
Bon ! la LC-CRS soucieuse que si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports d’hommes politiques absolutistes qui se nourrissent de l’obscurantisme et le fondement de cette démocratie doit impérativement être le droit dans toute sa rigueur, dans toutes sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales. Donc, pour la LC-CRS, si dans notre pays la côte d’ivoire, le pouvoir doit être dévolu par élection libre et honnête comme l’exigent les principes démocratiques coutumiers, cela au mépris de la volonté du pouvoir Attrape-tout d’Abidjan et de sa camarilla théâtrale ubuesque et bouffonne, il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord, sinon les élections seront toujours sans enjeu majeur dans une démocratie de commodité formaliste de façade. Les principes de démocratie électorale accordent à tous les citoyens des droits égaux, exigent un système et des lois qui prévoient une administration électorale équitable et non partisane. D’où le pouvoir ne serait plus au bout d’une élection de façade avec 80% d’abstention, sinon ne serait plus au bout de fusils et ne serait plus jamais acquis sous la base de fausses notoriétés ventilés et entretenus à dessein et assise sur des faux prismes, et l’escroquerie coupable, morale et intellectuelle.
C’est pourquoi, la situation politico-électorale de la côte d’ivoire impose d’aujourd’hui à la génération d’après 1960, le tous ensembles sur une seule voie, celle de la paix Houphouët-ienne, de nos enfance, celle des élections «fêtes» que nous appelons à la LC_CRS l’olympiade démocratique discursive, donc, tous unis vers un seul but, le progrès social, qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du développement économique, « les ponts, les goudrons payants et bulldozers effréné casse-tout ne signifient pas au progrès et au développement, ils doivent privilégier le citoyen ivoirien sans autres couleurs d’abord ». Et tous unis vers un seul objectif, le changement politique radical, le consensus républicain sans autres considérations. C’est ce que d’aucuns taxent d’éclectisme anti-systémique. Donc, de récupérer le tout ivoirien de façon synergique, toutes nos ataviques valeurs sociétales et intercommunautaire, dans un tous fédéré, soudé et solidaire, et de tout revendiquer solidairement : «socialisme conformiste respectueux des différences, républicanisme moniste, souverainisme non-frileux, patriotisme ouvert non-allergique, nationalisme censé, libéralisme véritable non-bradeur», pour mieux tout transcendé, et refonder sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents sociopolitiques et idéologiques, nous ont légué comme valeurs sociétales.
Donc, un retour systématique à l’ordre atavique ancien, pour bâtir une société neuve, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire et dans la reconnaissance de tous dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et devoir. Une société de droit universel, de liberté fondamentale, de démocratie réelle, qui se nourrirait de la sève de la solidarité agissante soutenue et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement sans accrocs. Le tout convergent dans une nation souveraine ouverte sur le monde, naviguant a vue, sans nuance, ni opacité, vers le concert des nations. Il s’agit pour nous aujourd’hui de replacer au centre de la société ivoirienne avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état ploutocrate prédateur, la bureaucratie mafieuse, le fascisme de la répression arbitraire, les armes comme mesure de valeur sociale, la terreur des plus puissants. Mais de replacer l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental pour une nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et justice sociale pour tous. «Ceci est dû déjà dit sur notre route linaire de soit dit en passant», a destination unique de la terre de l’espérance et du pays de l’hospitalité, tous ensembles dans la vraie fraternité. Retenons-le, l’état républicain de droit s’oblige d’exprime sa volonté unificatrice dans une organisation électorale paisible et dans des normes de régulations sociopolitiques acceptées par tous. Et veiller ainsi qu’elles ne soient pas la volonté d’un groupe politique, d’un parti politique, d’un clan, et qu’elle ne soit pas non plus le décret arbitraire d’un despote effréné. Mais qu’elles restent l’expression de la volonté générale et permet la libre concurrence dans la quête de la représentation nationale avec la participation des citoyens à la vie sociopolitique de l’état. Ainsi la représentation nationale transportera une voix qui loin d’être la sienne uniquement s’identifiera à ce que le peuple veut, à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Ainsi les élus ne seront plus des Dieu… Cela protège la société des désagrégations graves.
*- Le républicanisme-social veut qu’on s'accepte mutuellement autour de la chose publique, dans l’ordre du public.
Bon ! Nous avons bien dit plus haut, une société démocratique ! Une société démocratique ? C’est une société a élections Zéro mort et à Zéro urne cassée. C’est une société de l’exaltation de la diversité solidaire, une société ou les minorités électorales bénéficie du respect et de la reconnaissance des majorités électorales, donc, une société qui organise la solidarité envers les plus faibles de la société commune. C’est une société qui permet la participation libre de tous les citoyens mis sur la même ligne a équidistance du pouvoir d’état dans la vie publique et politique de leur nation, sans manichéisme, sans anathème sociopolitique, sans excommunication juridique, sans apartheid socioéconomique. C’est une société ou le lien social est flexible et incassable, une société qui ne laisse personne au bord de la route du progrès social. Une société démocratique ? C’est une société qui met le citoyen contributeur social par excellence au cœur de la société de solidarité agissante. C’est une société de consensus ou le citoyen est un passeur de lien entre les groupes sociaux et les individus, un fusible de connections entre les groupes sociaux et les individus, pour mieux vivre en harmonie. C’est une société ou le citoyen instaure ou restaure le lien social, et donne ou redonne l’envie aux plus fragiles ou martyrisés de reprendre pleinement leur place dans la société, qui se doit d’être paisible. En les rendant acteurs du développement sociétal commun et ainsi acteurs de leur propre développement personnel par un processus électoral fiable. La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny doit pouvoir être cette société démocratique et humaniste débarrassée d’une politique ploutocratique de jungle, de désordre, de l’autoritarisme inflexible, du dirigisme économique, de l’escroquerie morale et intellectuelle, de l’affairisme aux couleurs blanches de la Cocaïne et de tous les qu’est-ce qu’il y a ? Des scories prédatrices passéistes animalisées.
Oui, nos convictions entamées ci-dessus, sont nos motivations de républicain-social, et du républicanisme-social. Cela veut dire quoi, au juste ? Cela veut dire que, les ballons de Basket de la ploutocratie ultralibéral de jungle aillent crever au diable avec l’assistance de leurs voisin Satan, ainsi notre monde devenu vivable se porterait mieux. Que le souverainisme frileux qui abhorre les exigences des relations internationales pour s’agripper aux mercenaires pilleurs reconnus du monde aillent se faire acculé avec leurs assujettissements. Que le patriotisme borné qui a unique fonds de commerce les chansons populistes d’anticolonialisme hermétique est démodé, et trop bête, bête. Oui, républicanisme-social ? Cela veut dire que, les pouvoir dictatoriaux de trucages électoraux du monde aillent se faire foutre. Que l’arbitraire obscurantiste de certaines confessions nébuleuses criminelles aille se faire enculé. Que le panurgisme politique moutonnier aille piaffer en enfer de l’assujettissement des pouvoirs déviants auxquels ils sont destinés. Que plus jamais aucun citoyen ne soit pris par sa différence sociopolitique, et que personne ne soit jamais réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Que l’autre dans sa différence quelle qu’elle soit, demeure un frère ou un ami, mais ne soit plus jamais un ennemi. Que comme dans toute nation souveraine et dans tout état républicain de droit, que l’homme politique ou l’homme public l’emporte sur son appartenance biologique, politique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques en politique ne soient plus jamais une fixation politique. Que le social prime à jamais sur la génétique, que la nationalité commune prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme des intérêts politiciens. Que la laïcité universelle prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune. Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Et que la société policée prime sur la société ploutocratique prédatrice de jungle ou l’arbitraire est Roi, et règne sans partage sur une société hallucinée et martyrisée.
*- La véritable démocratie, c’est quand des millions de non-convaincus choisissent leur représentation nationale.
Oui, républicanisme-social, nous savons où nous allons, donc, pas besoin de boussole, pour Aider la côte d’ivoire à reprendre les rails de stabilités socio-politico-électoral, de l’ordre social, de l’état républicain de droit, et de la démocratie réelle, le gyroscope du vrai Houphouët-isme suffit, pas besoin de nouveau pour que le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines ne finit pas ses zigzags, ses micmacs et ses Ping-pongs de politiques politiciennes orchestrée dans un précipice abyssal. Destination retour à la source atavique paisible et harmonieuse. Oui, déplorons-le, ici encore, chaque jour un peu plus, la manière dont le pouvoir d’état est exercé dans notre pays, « devenu le pays des élections de morts partout» piétine les valeurs démocratiques, les valeurs juridiques, les valeurs sociales, les valeurs républicaines et menace l’effectivité de la démocratie pluraliste par un système électoral démodé, par des institutions vermoules, par une politique de répression matérielle tous azimuts, de juridisme expéditif, de confiscation clanique orchestré du pouvoir d’état. Or les règles de vivre en société commune et de vivre commun en paix, dans une société humaine harmonieuse digne de ce Nom, exigent qu’on s’adapte à l’évolution du temps des grandes ouvertures démocratiques et électorales, qu’on s'accepter mutuellement comme égal autour de la chose publique et dans l’ordre du public, en dialoguant, en négociant, en recherchant le consensus républicain au tour des affaires publiques, en communiquant sainement en toute liberté «au tour de ce qui n’appartient exclusivement à personne», en recherchant obstinément la cohérence sociopolitique, sans contrainte politicienne, sans intermédiaire intéressé, sans interférence du pouvoir d’état passager, sans interactions sociales opposées «la côte d’ivoire rien que la côte d’ivoire», en acceptant les différences sociocommunautaires, sans vouloir être le juge désigné de l’exception des autres.
Mais hélas ! Certains ignorent que: la dignité humaine « n’est jamais dans le grossier », elle est basée sur la modestie, que le haut rang social « n’est jamais dans le bien matériel Châteaux et Avions » il est enraciné dans l'humilité, que la sagesse « n’est jamais dans le poste et titre » elle tire sa source de la grandeur d'âme, que l'intelligentsia est innée, « même si le savoir scientifique demeure son appoint légitime », qu'on nait intellectuel, « même si l’éducation didactique le complète », tout comme on nait noble avec la sagesse innée et avec la faculté de pouvoir diriger une entité sociopolitique et même le monde ou l’humanité et ses valeurs. Que les meilleurs ne sont pas forcément lettrés ou bardés de diplômes toutes catégories confondues, « parce que le naturel est maitre du scientifique ». L’utopiste ignorant dans l’exercice du pouvoir d’état est très dangereuse pour ses porteurs et pour la société entière. Surtout quand au sommet de la hiérarchie de l’état, le magistrat suprême «suzerain», n’est pas entouré par des grands commis de l’état, mais bien par des courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Et soutenu une minorité bruyante de foules agitées de citoyens monarchistes dans l’âme et par culture atavique. il nous faut s’efforcé de bâtir une vrai république avec des citoyens conscients de la relation dialectique qui doit exister entre l’Etat et le citoyen. Pour que notre pays puisse commence par sécréter dès maintenant de Vrais hommes politiques capables de défendre les intérêts vitaux de notre pays. Et qui seront soucieux des règles coutumières et des principes internationaux en matière démocratiques chez nous. Oui, Il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise et peut causer de graves dommages collatéraux dans l’environnement de ceux qui le manipulent à desseins et à but controuvé. Idem pour outil politique, démocratique et électoral, qui mal exploité a fin de confiscation du pouvoir d’état, et mal orienté par un système électoral bâtard et non-conventionnel, peut briser le substrat existentiel de la société commune, peut tuer les droits inaliénables, les libertés individuelles et les citoyens acteurs.
Bon ! Nous sommes peut-être prolixes, « comme l’a déjà dit un éminent journaliste, expert en communication de notre pays», parce que nous savons où nous allons, et une destination sérieuse doit être expliquée de long en large et dans tous ses contours. Donc, nous analysons dans ce but, d’éveiller les consciences, «donc de faire comprendre», d’éclairer les lanternes, « donc de faire savoir », de débattre des faits sociaux pertinents qui demande régulations, « donc d’être parolier du citoyen », de convaincre les réticences citoyennes, «donc d’être large, clair, surtout fédérateur au tour de l’essentiel sociétal», d’agiter des idées novatrices, «onc de provoquer la contradictions politique autour du systémique, pour faire germer la vérité, le réel», d’orienter les réflexions citoyennes, « donc d’opposer nos vues et nos voies, que nous jugeons meilleures pour la totalité société souveraine au jugement collective de la totalité sociale souveraine », de soulever les problèmes sociaux, politiques, démocratiques et électoraux quand il le faut et au moment qu’il le faut, « donc se faisant de déplaire au pouvoir et aux puissants », d’étayer dans le moindre détail les voies systémiques, la nôtres d’abord et celles de tous les acteurs politiques à la lampe des lumières des savoirs admis de traditions universels, international, coutumier, qui proscrit le jamais vu au paravent dans notre pays, «donc ne pas faire dans la dentelle de commodités politiques et dans le formalisme diplomatique de convenance, qui proscrit le litote et se passer du succincte ».
Qu’on n’espère pas de la LC_CRS pour desserrer les mâchoires des fourmis magnas sur l’essentiel sociétal, Non !
Peut-être prolixe, nous assumons parce que sommer dans l’urgence de la prévention sociétale. Ainsi nous analysons ou nous dénonçons, en espérant la prise des mesures collectives et citoyennes, qui prises ensemble par la totalité sociale souveraine, concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du bien public et du pouvoir d’État et du système d’organisation sociopolitique et son mode systémique d’accession par élections claires, propres sans aucune tâche, cela en s’appuyant sur des visions communes, consensuelles, qui peuvent conduire a la délibération sur une organisation sociopolitique, tout à fait nouvelles, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie universelle, du droit universel, des libertés individuelles, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne. Sans casse, ni cassure. D’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Et peut-être prolixe parce que nous sommes conscient que, lorsqu’on contourne cette régulatrice réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la pratique démocratie, le rapport de force d’animosité politique supplante la démocratie. Et qu’on entre alors dans un système mafieux de non-droit et la sphère publique et électorale se trouve désertée par boycott « 80% de l’électorat total ivoirien depuis 2010 à ce jour». Car les citoyens libres savent pertinemment que ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques, et accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions légales, qui n’est passent pas de politique politicienne, ou fruit des rapports de forces d’Animosité ou d’Animalier, au mépris des règles et des droits du citoyen, et ce n’est pas là, que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée.
Ce qui fait naitre des griefs sociétaux et des dangereux ressentiments qui fragmentent encore plus la cohésion sociale. Puisque la véritable démocratie, c’est quand des millions de non-convaincus font de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. A défaut, les citoyens utilisent alors leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir, «le boycott» pour espérer obvier une aliénation de fait, de la souveraineté populaire. Puisqu’ici la véritable démocratie, c’est quand l’ensemble de la totalité sociale fait de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale.Donc que l’on ne compte pas et espère pas de la LC_CRS pour desserrer les mâchoires des fourmis magnans, sur l’essentiel sociétal, Non ! Ce serait trahir le peuple de côte d’ivoire. Or, en démocratie « politico-électorale ou le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état, les traces de la trahison d’un peuple souverain, ne s’effacent pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile, et résiste au temps, dans l’espace. Et là, on ne joue pas avec le sens de l’honneur, de la dignité d’un peuple souverain. Au moment d’une période de crise socio-électorale, où rien pour la société ne vaut la préservation des chances de l’avenir du peuple. Donc, desserrer les mâchoires des fourmis magnans, Non ! Mais, dans notre visée, point de terrorisme intellectuel, point de lynchage politico-judiciaire d’un homme politique, même taxé de pro-X ou de pro-Y la personne physique de l’homme public ne nous intéresse pas, encore moins l’excommunication politique sectaire, l’anathème social, l’apartheid électoral ou la damnation diabolique a vie. Donc, peut-être prolixe, mais pour nous l’intérêt de l’analyse sociopolitique, ou de la dénonciation politique, est de tenter, de réguler la vie sociopolitique, l’action publique dans son ensemble, par des critiques légales et par des dénonciations légales, soumises aux règles du contradictoire et du démenti, aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de notre pays. Le poisson pourri par sa tête.
*- Le système Ploutocratique Néo-monarchiste vie de mensonge d’état qui est le pire des maux pour l’humanité.
Oui, analysons-nous et dénonçons-nous, parce que transporté par des intérêts obscurantiste, le ver est dans le fruit, qui pourri sournoisement et insidieusement, tout le corps social, et les dégâts seront énormes. Il y a un risque sérieux de crise perpétuelle chez-nous. « chacun son tour de prison à la Pinochet ou à la Pol-Pot et compagnie», sans une Amnistie générale référendaire de solde de tous comptes de crises, Il s’agit ici là « Amnistie générale référendaire » d’une mesure de Gendarme sociopolitique qui est, de la responsabilité régalienne du dirigeant d’état en fonction à la sortie d’une grave crise sociopolitique, qui a vu commettre de graves crimes contre l’humanité. Même si ses dirigeants acteurs de ladite crise sociopolitique, ont enfreint eux-mêmes les obligations que leurs imposaient la situation. Cette responsabilité absolue tire sa source de la souveraineté internationale étatique qui impose la prévention absolue. Bon ! Comment se mettre en cause quand on a pour habitude d’érigé les éloges, les flatteries, et les fanfaronnades comme religion ? C’est vrai, la politique du ventre banni toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise humaine se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre est devenu le maitre incontestable de l’intellect, et l’œuvre principale devient l’endormissement du peuple, engrené dans un panurgisme suiviste moutonnier d’une gestion monarchiste des affaires étatiques dégrevé de toute essence démocratique. Ainsi puisqu’ils ne sont pas issus des «élus» d’élections claires, ils se moquent non-seulement de l’anticipation de l’avenir dans le temps et dans l’espace, aussi que les citoyens participent ou ne participent pas aux élections par votes du moment, mais seulement que les citoyens ne font rien d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit.
C’est cela la politique politicienne des Nais démocratiques, des politicards électoraux, des dégonflés politiquement décourageant, des Patates systémiques impénitents, des politiques trameurs et outrageux, des affairistes truands et magouilleurs, qui sont bien logé à la limite des voleurs endurcie de deniers publics. Qui n’aiment que, parader bruyamment avec une escouade de porteurs de codasses armés jusqu’aux nuques, près à opprimé en tous lieux et en tout temps. Le tout pour se faire voir, dans les brouillaminis d’une meute d’exhibitionnistes flanqués de bérets rouges, cabriolant autour des escortes ubuesques de potentats, pour obstruée nos rues et nos patte-d’oies, pour dire au fichu peuple, «je suis le maitre absolu de ton destin, que nous avons déjà décidé, hein ! » cela uniquement pour faire sentir aux citoyens le poids politique obscurantiste de leurs autorités brutes, de domination funeste de plus en plus écrasant, au mépris des droits et en dépit des libertés et au dédain des réalités sociales. D’où ici, la pratique de l’exercice du pouvoir d’état, contredit la théorie des grands penseurs de la démocratie, d’Abraham Lincoln, « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple », cette valeur sociopolitique qui prend sa source dans la Grèce athénienne de l'Antiquité, se trouve ici pris a contre-pieds lamentablement par une pratique monarchiste et ploutocratique, peut orthodoxe. Pour gêner ainsi à dessein la marche démocratique et l’évolution sociale de notre pays vers un état de droit, vers un état Républicain démocratique. Ce système Ploutocratique néo-monarchiste, se nourri de mensonge d’état. Or le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce quand il tue c’est insidieusement d’élections a élection, de crises à crise, de façon obscurantiste et nébuleuse, le mensonge d’état contre l’intérêt général, est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan « reprenons nos décomptes macabres, depuis le 24 décembre 1999 a ce jours » plus de 10.000 Morts et autant de Blessés. Un Arrêt de cette dynamique démoniaque s’impose absolument comme droit inaliénable des peuples libres. Sur ceux, citoyen ! Condamné par le monarchisme ploutocratique ivoirien, a Kouma toujours, Nous avons Kouma malgré-nous ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.
De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.
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