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22 avril 2024 1 22 /04 /avril /2024 11:38
Lepetitfils : Le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce quand il tue c’est insidieusement d’élections à élection, de crises à crise, de façon obscurantiste et nébuleuse, le mensonge d’état contre l’intérêt général, est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan. Un Arrêt de cette dynamique démoniaque s’impose absolument comme droit inaliénable des peuples libres.

Lepetitfils : Le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce quand il tue c’est insidieusement d’élections à élection, de crises à crise, de façon obscurantiste et nébuleuse, le mensonge d’état contre l’intérêt général, est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan. Un Arrêt de cette dynamique démoniaque s’impose absolument comme droit inaliénable des peuples libres.

CITOYEN, A LIRE ABSOLUMENT POUR VOIR LA VOIE A SUIVRE, POUR OBVIER LA VOIE DU SERPENT A SONNETTE EN EXTASE.

Pour l’Afrique notre destin commun : « Disons d’emblée entre Guillemet, qu’avec l’avènement d’un nouveau panafricanisme d’auto-enfermement, d’auto-cadenas-sage, ou on ne voit pas la carence de droit des pouvoirs en Afrique, mais partout la main de la France, comme fonds de commerce de toutes les insuffisances politiques en Afrique francophone. Le nom du colonisateur chanté dans un  rythme de populisme effréné est devenu la diversion manipulatrice des peuples martyrisés d’Afrique, et l’exutoire prépayé de la  médiocrité des hommes politiques Africains, face aux peuples gouvernés réduit à la crédulité. La crédulité et le panurgisme moutonnier des peuples assujettis qui vénèrent les Zorro-héros et sont favorables à une hiérarchisation très strict en fonction de puissance criminel du porteur de fusils et du bien matériel, ou de l’aura factice « culte du chef». Oui, les fusils ouest Africain ont enfanté un nouveau panafricanisme croupion insaisissable et un souverainisme morpion sangsue des peuples éclose sous nos yeux. D’où, on s’arc-boute aux faits de la colonisation civilisatrice, ou tout n’a pas été mauvais, et en même temps, on se plait a adorer religieusement l’exercice des pouvoir dictatoriaux, autocratiques, autoritaires et assujettissants calqués sur la pratiques des pouvoirs coutumiers ancestraux, fondés sur la forces des fusils « j’étais vaincu avec les armes». Et d’ainsi composé avec le pire que le colonialisme que l’on dénonce au Nom d’un souverainisme isolationniste. Et c’est les pauvres peuples devenus tellement riches, qui rempliront un vieux sac de riz de billet de banque, pour aller acheter un nouveau sac de riz. L’exemple des monnaies Africaines flottantes, qui se sont passés d’Arrimage extérieur <Garantie morale ou Caution morale ou Matérielle>, la Guinée de Sékou Touré et sa kyrielle de Francs guinéen, le Zaïre de Mobutu et ses milliardaires Zaïrois, le Mali de Modibo Keita à un moindre degré etc. etc. etc.  Puisque le Cédi Ghanéen sent la locomotive du dollar US. <1 000 Franc CFA égal 21,83 Cédi>. Parce que la création d’une monnaie n’est pas seulement l’expression de la souveraineté internationale, elle a d’autres exigences plus importantes.»

*- Chronique « Kouma » Arrêter les décomptes macabres, depuis 2000, Plus de 10.000 Morts, et autant de Blessés.

Bon ! la LC-CRS soucieuse que si la côte d’ivoire doit être au rendez-vous de la démocratie moderne du 21e siècle qui banni à jamais l’usage des armes dans l’arène politique, certains comportements anti-démocratiques sont à bannir avec ses supports d’hommes politiques absolutistes qui se nourrissent de l’obscurantisme et le fondement de cette démocratie doit impérativement être le droit dans toute sa rigueur, dans toutes sa rigidité légale. Avec des citoyens qui respectent les règles de la convivialité, sources d’harmonies sociales. Donc, pour la LC-CRS, si dans notre pays la côte d’ivoire, le pouvoir doit être dévolu par élection libre et honnête comme l’exigent les principes démocratiques coutumiers, cela au mépris de la volonté du pouvoir Attrape-tout d’Abidjan et de sa camarilla théâtrale ubuesque et bouffonne, il nous faut un corpus d’organisme électoral Autonome et Apolitique, qui puisse mettre tout le monde en confiance et tous les acteurs d’accord, sinon les élections seront toujours sans enjeu majeur dans une démocratie de commodité formaliste de façade. Les principes de démocratie électorale accordent à tous les citoyens des droits égaux, exigent un système et des lois qui prévoient une administration électorale équitable et non partisane. D’où le pouvoir ne serait plus au bout d’une élection de façade avec 80% d’abstention, sinon ne serait plus au bout de  fusils et ne serait plus jamais acquis sous la base de fausses notoriétés ventilés et entretenus à dessein et assise sur des faux prismes, et l’escroquerie coupable, morale et intellectuelle.

C’est pourquoi, la situation politico-électorale de la côte d’ivoire  impose d’aujourd’hui à la génération d’après 1960, le tous ensembles sur une seule voie, celle de la paix Houphouët-ienne, de nos enfance, celle des élections «fêtes» que nous appelons à la LC_CRS l’olympiade démocratique discursive, donc, tous unis vers un seul but, le progrès social, qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du développement économique, « les ponts, les goudrons payants et bulldozers effréné casse-tout ne signifient pas au progrès et au développement, ils doivent privilégier le citoyen ivoirien sans autres couleurs d’abord ». Et tous unis vers un seul objectif, le changement politique radical, le consensus républicain sans autres considérations. C’est ce que d’aucuns taxent d’éclectisme anti-systémique. Donc, de récupérer le tout ivoirien de façon synergique, toutes nos ataviques valeurs sociétales et intercommunautaire, dans un tous fédéré, soudé et solidaire, et de tout revendiquer solidairement : «socialisme conformiste respectueux des différences, républicanisme moniste, souverainisme non-frileux, patriotisme ouvert non-allergique, nationalisme censé, libéralisme véritable non-bradeur», pour mieux tout transcendé, et refonder sur le socle de tout ce que les grandes expériences de nos référents sociopolitiques et idéologiques, nous ont légué comme valeurs sociétales.

Donc, un retour systématique à l’ordre atavique ancien, pour bâtir une société neuve, stable, solidaire, cohérente, juste, paisible, dans l’exaltation de la diversité solidaire et dans la reconnaissance de tous dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous en droit et devoir. Une société de droit universel, de liberté fondamentale, de démocratie réelle, qui se nourrirait de la sève de la solidarité agissante soutenue et de la citoyenneté commune qui permet de gérer politiquement sans accrocs. Le tout convergent dans une nation souveraine ouverte sur le monde, naviguant a vue, sans nuance, ni opacité, vers le concert des nations. Il s’agit pour nous aujourd’hui de replacer au centre de la société ivoirienne avons-nous toujours dit et répété, non pas l’état ploutocrate prédateur, la bureaucratie mafieuse, le fascisme de la répression arbitraire, les armes comme mesure de valeur sociale, la terreur des plus puissants. Mais de replacer l’homme et le citoyen au centre du débat politique, économique, social et développemental pour une nation une et indivisible garantissant droits, libertés, justice juridique et justice sociale pour tous. «Ceci est dû déjà dit sur notre route linaire de soit dit en passant», a destination unique de la terre de l’espérance et du pays de l’hospitalité, tous ensembles dans la vraie fraternité. Retenons-le, l’état républicain de droit s’oblige d’exprime sa volonté unificatrice dans une organisation électorale paisible et dans des normes de régulations sociopolitiques acceptées par tous. Et veiller ainsi qu’elles ne soient pas la volonté d’un groupe politique, d’un parti politique, d’un clan, et qu’elle ne soit pas non plus le décret arbitraire d’un despote effréné. Mais qu’elles restent l’expression de la volonté générale et permet la libre concurrence dans la quête de la représentation nationale avec la participation des citoyens à la vie sociopolitique de l’état. Ainsi la représentation nationale transportera une voix qui loin d’être la sienne uniquement s’identifiera à ce que le peuple veut, à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut. Ainsi les élus ne seront plus des Dieu… Cela protège la société des désagrégations graves.

*- Le républicanisme-social veut qu’on s'accepte mutuellement autour de la chose publique, dans l’ordre du public.

Bon ! Nous avons bien dit plus haut, une société démocratique ! Une société démocratique ? C’est une société a élections Zéro mort et à Zéro urne cassée. C’est une société de l’exaltation de la diversité solidaire, une société ou les minorités électorales bénéficie du respect et de la reconnaissance des majorités électorales, donc, une société qui organise la solidarité envers les plus faibles de la société commune. C’est une société qui permet la participation libre de tous les citoyens mis sur la même ligne a équidistance du pouvoir d’état dans la vie publique et politique de leur nation, sans manichéisme, sans anathème sociopolitique, sans excommunication juridique, sans apartheid socioéconomique. C’est une société ou le lien social est flexible et incassable, une société qui ne laisse personne au bord de la route du progrès social. Une société démocratique ? C’est une société qui met le citoyen contributeur social par excellence au cœur de la société de solidarité agissante. C’est une société de consensus ou le citoyen est un passeur de lien entre les groupes sociaux et les individus, un fusible de connections entre les groupes sociaux et les individus, pour mieux vivre en harmonie. C’est une société ou le citoyen instaure ou restaure le lien social, et donne ou redonne l’envie aux plus fragiles ou martyrisés de reprendre pleinement leur place dans la société, qui se doit d’être paisible. En les rendant acteurs du développement sociétal commun et ainsi acteurs de leur propre développement personnel par un processus électoral fiable. La côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny doit pouvoir être cette société démocratique et humaniste débarrassée d’une politique ploutocratique de jungle, de désordre, de l’autoritarisme inflexible, du dirigisme économique, de l’escroquerie morale et intellectuelle, de l’affairisme aux couleurs blanches de la Cocaïne et de tous les qu’est-ce qu’il y a ? Des scories prédatrices passéistes animalisées.

Oui, nos convictions entamées ci-dessus, sont nos motivations de républicain-social, et du républicanisme-social. Cela veut dire quoi, au juste ? Cela veut dire que, les ballons de Basket de la ploutocratie ultralibéral de jungle aillent crever au diable avec l’assistance de leurs voisin Satan, ainsi notre monde devenu vivable se porterait mieux. Que le souverainisme frileux qui abhorre les exigences des relations internationales pour s’agripper aux mercenaires pilleurs reconnus du monde aillent se faire acculé avec leurs assujettissements. Que le patriotisme borné qui a unique fonds de commerce les chansons populistes d’anticolonialisme hermétique est démodé, et trop bête, bête. Oui, républicanisme-social ? Cela veut dire que, les pouvoir dictatoriaux de trucages électoraux du monde aillent se faire foutre. Que l’arbitraire obscurantiste de certaines confessions nébuleuses criminelles aille se faire enculé. Que le panurgisme politique moutonnier aille piaffer en enfer de l’assujettissement des pouvoirs déviants auxquels ils sont destinés. Que plus jamais aucun citoyen ne soit pris par sa différence sociopolitique, et que personne ne soit jamais réduit à ce à quoi sa spécificité biologique ou confessionnelle le destine. Que l’autre dans sa différence quelle qu’elle soit, demeure un frère ou un ami, mais ne soit plus jamais un ennemi. Que comme dans toute nation souveraine et dans tout état républicain de droit, que l’homme politique ou l’homme public l’emporte sur son appartenance biologique, politique, sociale et religieuse. Que les personnes physiques en politique ne soient plus jamais une fixation politique. Que le social prime à jamais sur la génétique, que la nationalité commune prime sur le tribalisme-ethno-communautarisme. Que la citoyenneté commune prime sur le clanisme des intérêts politiciens. Que la laïcité universelle prime sur la confession. Que le collectif prime sur la politique des murs diviseurs dans la société commune. Que l’universalisme prime sur le nationalisme primaire. Et que la société policée prime sur la société ploutocratique prédatrice de jungle ou l’arbitraire est Roi, et règne sans partage sur une société hallucinée et martyrisée.

*- La véritable démocratie, c’est quand des millions de non-convaincus choisissent leur représentation nationale.

Oui, républicanisme-social, nous savons où nous allons, donc, pas besoin de boussole, pour  Aider la côte d’ivoire à reprendre les rails de stabilités socio-politico-électoral, de l’ordre social, de l’état républicain de droit, et de la démocratie réelle, le gyroscope du vrai Houphouët-isme suffit, pas besoin de nouveau pour que le Train ivoire vacillant, oscillant sur ses bases souveraines ne finit pas ses zigzags, ses micmacs et ses Ping-pongs de politiques politiciennes orchestrée dans un précipice abyssal. Destination retour à la source atavique paisible et harmonieuse. Oui, déplorons-le, ici encore, chaque jour un peu plus, la manière dont le pouvoir d’état est exercé dans notre pays, « devenu le pays des élections de morts partout» piétine les valeurs démocratiques, les valeurs juridiques, les valeurs sociales, les valeurs républicaines et menace l’effectivité de la démocratie pluraliste par un système électoral démodé, par des institutions vermoules, par une politique de répression matérielle tous azimuts, de juridisme expéditif, de confiscation clanique orchestré du pouvoir d’état. Or les règles de vivre en société commune et de vivre commun en paix, dans une société humaine harmonieuse digne de ce Nom, exigent qu’on s’adapte à l’évolution du temps des grandes ouvertures démocratiques et électorales, qu’on s'accepter mutuellement comme égal autour de la chose publique et dans l’ordre du public, en dialoguant, en négociant, en recherchant le consensus républicain au tour des affaires publiques, en communiquant sainement en toute liberté «au tour de ce qui n’appartient exclusivement à personne», en recherchant obstinément la cohérence sociopolitique, sans contrainte politicienne, sans intermédiaire intéressé, sans interférence du pouvoir d’état passager, sans interactions sociales opposées «la côte d’ivoire rien que la côte d’ivoire», en acceptant les différences sociocommunautaires, sans vouloir être le  juge désigné de l’exception des autres. 

Mais hélas ! Certains ignorent que: la dignité humaine « n’est jamais dans le grossier », elle est basée sur la modestie, que le haut rang social « n’est jamais dans le bien matériel Châteaux et Avions » il est enraciné dans l'humilité, que la sagesse « n’est jamais dans le poste et titre »  elle tire sa source de la grandeur d'âme, que l'intelligentsia est innée, « même si le savoir scientifique demeure son appoint légitime », qu'on nait intellectuel, « même si l’éducation didactique le complète », tout comme on nait noble avec la sagesse innée et avec la faculté de pouvoir diriger une entité sociopolitique et même le monde ou l’humanité et ses valeurs. Que les meilleurs ne sont pas forcément lettrés ou bardés de diplômes toutes catégories confondues, « parce que le naturel est maitre du scientifique ». L’utopiste ignorant dans l’exercice du pouvoir d’état est très dangereuse pour ses porteurs et pour la société entière. Surtout quand au sommet de la hiérarchie de l’état, le magistrat suprême «suzerain», n’est pas entouré par des grands commis de l’état, mais bien par des courtisant plus soucieux de leurs carrières que du bien public. Et soutenu une minorité bruyante de foules agitées de citoyens monarchistes dans l’âme et par culture atavique. il nous faut s’efforcé de bâtir une vrai république avec des citoyens conscients de la relation dialectique qui doit exister entre l’Etat et le citoyen. Pour que notre pays puisse commence par sécréter dès maintenant de Vrais hommes politiques capables de défendre les intérêts vitaux de notre pays. Et qui seront soucieux des règles coutumières et des principes internationaux en matière démocratiques chez nous. Oui,  Il est constant de par le monde qu’une machette mal tenue peut blesser grièvement celui qui l’utilise et peut causer de graves dommages collatéraux dans l’environnement de ceux qui le manipulent à desseins et à but controuvé. Idem pour outil politique, démocratique et électoral, qui mal exploité a fin de confiscation du pouvoir d’état, et mal orienté par un système électoral bâtard et non-conventionnel, peut briser le substrat existentiel de la société commune, peut tuer les droits inaliénables, les libertés individuelles et les citoyens acteurs.

Bon ! Nous sommes peut-être prolixes, « comme l’a déjà dit un éminent journaliste, expert en communication de notre pays», parce que nous savons où nous allons, et une destination sérieuse doit être expliquée de long en large et dans tous ses contours. Donc, nous analysons dans ce but, d’éveiller les consciences, «donc de faire comprendre», d’éclairer les lanternes, « donc de faire savoir », de débattre des faits sociaux pertinents qui demande régulations, « donc d’être parolier du citoyen », de convaincre les réticences citoyennes, «donc d’être large, clair, surtout fédérateur au tour de l’essentiel sociétal», d’agiter des idées novatrices, «onc de provoquer la contradictions politique autour du systémique, pour faire germer la vérité, le réel», d’orienter les réflexions citoyennes, « donc d’opposer nos vues et nos voies, que nous jugeons meilleures pour la totalité société souveraine au jugement collective de la totalité sociale souveraine », de soulever les problèmes sociaux, politiques, démocratiques et électoraux quand il le faut et au moment qu’il le faut, « donc se faisant de déplaire au pouvoir et aux puissants », d’étayer dans le moindre détail les voies systémiques, la nôtres d’abord et celles de tous les acteurs politiques à la lampe des lumières des savoirs admis de traditions universels, international, coutumier, qui proscrit le jamais vu au paravent dans notre pays, «donc ne pas faire dans la dentelle de commodités politiques et dans le formalisme diplomatique de convenance, qui proscrit le litote et se passer du succincte ». 

Qu’on n’espère pas de la LC_CRS pour desserrer les mâchoires des fourmis magnas sur l’essentiel sociétal, Non !

Peut-être prolixe, nous assumons parce que sommer dans l’urgence de la prévention sociétale. Ainsi nous analysons ou nous dénonçons, en espérant la prise des mesures collectives et citoyennes, qui prises ensemble par la totalité sociale souveraine, concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du bien public et du pouvoir d’État et du système d’organisation sociopolitique et son mode systémique d’accession par élections claires, propres sans aucune tâche, cela en s’appuyant sur des visions communes, consensuelles, qui peuvent conduire a la délibération sur une organisation sociopolitique, tout à fait nouvelles, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie universelle, du droit universel, des libertés individuelles, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne. Sans casse, ni cassure. D’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Et peut-être prolixe parce que nous sommes conscient que, lorsqu’on contourne cette régulatrice réalité irréfragable, par des questions politiciennes, qui paraissent impropres à la pratique démocratie, le rapport de force d’animosité politique supplante la démocratie. Et qu’on entre alors dans un système mafieux de non-droit et la sphère publique et électorale se trouve désertée par boycott « 80% de l’électorat total ivoirien depuis 2010 à ce jour». Car les citoyens libres savent pertinemment que ce n’est pas là que s’attribuent les pouvoirs démocratiques, et accrédite l’idée illusoire qu’il pourrait exister des solutions légales, qui n’est passent pas de politique politicienne, ou fruit des rapports de forces d’Animosité ou d’Animalier, au mépris des règles et des droits du citoyen, et ce n’est pas là, que se prennent les décisions publiques équitables, salvatrices, novatrices. Puisque, le fonctionnement de la démocratie représentative se trouve radicalement faussé, quand la souveraineté populaire se trouve aliénée.

Ce qui fait naitre des griefs sociétaux et des dangereux ressentiments qui fragmentent encore plus la cohésion sociale. Puisque la véritable démocratie, c’est quand des millions de non-convaincus font de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale. A défaut, les citoyens utilisent alors leur seul autre moyen d’exercer un contre-pouvoir, «le boycott» pour espérer obvier une aliénation de fait, de la souveraineté populaire. Puisqu’ici la véritable démocratie, c’est quand l’ensemble de la totalité sociale fait de la politique, en choisissant librement leur représentation nationale.Donc que l’on ne compte pas et espère pas de la LC_CRS pour desserrer les mâchoires des fourmis magnans, sur l’essentiel sociétal, Non ! Ce serait trahir le peuple de côte d’ivoire. Or, en démocratie « politico-électorale ou le peuple souverain est l’ultime détenteur du pouvoir d’état, les traces de la trahison d’un peuple souverain, ne s’effacent pas du jour au lendemain, son empreinte est indélébile, et résiste au temps, dans l’espace. Et là, on ne joue pas avec le sens de l’honneur, de la dignité d’un peuple souverain. Au moment d’une période de crise socio-électorale, où rien pour la société ne vaut la préservation des chances de l’avenir du peuple. Donc, desserrer les mâchoires des fourmis magnans, Non ! Mais, dans notre visée, point de terrorisme intellectuel, point de lynchage politico-judiciaire d’un homme politique, même taxé de pro-X ou de pro-Y la personne physique de l’homme public ne nous intéresse pas, encore moins l’excommunication politique sectaire, l’anathème social, l’apartheid électoral  ou la damnation diabolique a vie. Donc, peut-être prolixe, mais pour nous l’intérêt de l’analyse sociopolitique, ou de la dénonciation politique, est de tenter, de réguler la vie sociopolitique, l’action publique dans son ensemble, par des critiques légales et par des dénonciations légales, soumises aux règles du contradictoire et du démenti, aussi d’orienter les mouvements sociaux de la vie sociale de notre pays. Le poisson pourri par sa tête. 

*- Le système Ploutocratique Néo-monarchiste vie de mensonge d’état qui est le pire des maux pour l’humanité.

Oui, analysons-nous et dénonçons-nous, parce que transporté par des intérêts obscurantiste, le ver est dans le fruit, qui pourri sournoisement et insidieusement, tout le corps social, et les dégâts seront énormes. Il y a un risque sérieux de crise perpétuelle chez-nous. « chacun son tour de prison à la  Pinochet ou à la Pol-Pot et compagnie», sans une Amnistie générale référendaire de solde de tous comptes de crises, Il s’agit ici là « Amnistie générale référendaire » d’une mesure de Gendarme sociopolitique qui est, de la responsabilité régalienne du dirigeant d’état en fonction à la sortie d’une grave crise sociopolitique, qui a vu commettre de graves crimes contre l’humanité. Même si ses dirigeants acteurs de ladite crise sociopolitique, ont enfreint eux-mêmes les obligations que leurs imposaient la situation. Cette responsabilité absolue tire sa source de la souveraineté internationale étatique qui impose la prévention absolue. Bon ! Comment se mettre en cause quand on a pour habitude d’érigé les éloges, les flatteries, et les fanfaronnades comme religion ? C’est vrai, la politique du ventre banni toute dignité, toute fierté, tout orgueil positif, pour se muer en motifs de snobisme. Ainsi l’ignorance, et la bêtise humaine se retrouvent glorifiées, et le glas de l’intelligence humaine sonné, parce que le ventre est devenu le maitre incontestable de l’intellect, et l’œuvre principale devient l’endormissement du peuple, engrené dans un panurgisme suiviste moutonnier d’une gestion monarchiste des affaires étatiques dégrevé de toute essence démocratique. Ainsi puisqu’ils ne sont pas issus des «élus» d’élections claires, ils se moquent non-seulement de l’anticipation de l’avenir dans le temps et dans l’espace, aussi que les citoyens participent ou ne participent pas aux élections par votes du moment, mais seulement que les citoyens ne font rien d’autre pour leur ôter leur pouvoir mal-acquit.

C’est cela la politique politicienne des Nais démocratiques, des politicards électoraux, des dégonflés politiquement décourageant, des Patates systémiques impénitents,  des politiques trameurs et outrageux, des affairistes truands et magouilleurs, qui sont bien logé à la limite des voleurs endurcie de deniers publics. Qui n’aiment que, parader bruyamment avec une escouade de porteurs de codasses armés jusqu’aux nuques, près à opprimé en tous lieux et en tout temps. Le tout pour se faire voir, dans les brouillaminis d’une meute d’exhibitionnistes flanqués de bérets rouges, cabriolant autour des escortes ubuesques de potentats, pour obstruée nos rues et nos patte-d’oies, pour dire au fichu peuple, «je suis le maitre absolu de ton destin, que nous avons déjà décidé, hein ! » cela uniquement pour faire sentir aux citoyens le poids politique obscurantiste de leurs autorités brutes, de domination funeste de plus en plus écrasant, au mépris des droits et en dépit des libertés et au dédain des réalités sociales. D’où ici, la pratique de l’exercice du pouvoir d’état, contredit la théorie des grands penseurs de la démocratie, d’Abraham Lincoln, « le gouvernement du peuple, par le peuplepour le peuple », cette valeur sociopolitique qui prend sa source dans la Grèce athénienne de l'Antiquité, se trouve ici pris a contre-pieds lamentablement par une pratique monarchiste et ploutocratique, peut orthodoxe. Pour gêner ainsi à dessein la marche démocratique et l’évolution sociale de notre pays vers un état de droit, vers un état Républicain démocratique. Ce système Ploutocratique néo-monarchiste, se nourri de mensonge d’état.  Or le mensonge d’état est le pire des maux pour l’humanité, pire que Covid-19, pire que la peste, pire que le Sida, pire qu’Ebola, pire que le Cancer, pire que le Poison mortel dans l’eau de robinet. Parce quand il tue c’est insidieusement d’élections a élection, de crises à crise, de façon obscurantiste et nébuleuse, le mensonge d’état contre l’intérêt général, est non seulement dévastateur, mais quand il tue c’est sournoisement de masse, pire que le Volcan « reprenons nos décomptes macabres, depuis le 24 décembre 1999 a ce jours » plus de 10.000 Morts et autant de Blessés. Un Arrêt de cette dynamique démoniaque s’impose absolument comme droit inaliénable des peuples libres. Sur ceux, citoyen ! Condamné par le monarchisme ploutocratique ivoirien, a Kouma toujours, Nous avons Kouma malgré-nous ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

.Pour tous autres et pour ample infos parcourez votre Blog: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 04:01
Lepetitfils : La génération d’après l’indépendance offrira à la Côte d’Ivoire une pépinière de nouveaux politiciens honnêtes, qui combattront sans relâche toute velléité de ressusciter le pouvoir absolu ou le pouvoir par les armes. Oui, pour cette génération le sectarisme électoral du combat politique personnifié, n’a rien à voir avec le noble art du discursif démocratique dont le peuple est le destinateur privilégié. Elle sait que le pouvoir est logé dans le peuple de 80% d’abstention depuis 2010, et qu’elle doit pouvoir amener son peuple, avec son pouvoir dans les urnes.

Lepetitfils : La génération d’après l’indépendance offrira à la Côte d’Ivoire une pépinière de nouveaux politiciens honnêtes, qui combattront sans relâche toute velléité de ressusciter le pouvoir absolu ou le pouvoir par les armes. Oui, pour cette génération le sectarisme électoral du combat politique personnifié, n’a rien à voir avec le noble art du discursif démocratique dont le peuple est le destinateur privilégié. Elle sait que le pouvoir est logé dans le peuple de 80% d’abstention depuis 2010, et qu’elle doit pouvoir amener son peuple, avec son pouvoir dans les urnes.

 

« Il faut noter ici entre Guillemet qu’au Sénégal, trois candidats poids lourds de la politique sénégalaise, viennent d’être expédiés deux (2) coups K.O-54,28% par la conjugaison de deux (2) uppercuts de deux gentlemen expéditifs, calculateurs, à stratégie gagnante mais un peu fulminatoire, mais dont les discours ont rencontré l’agrément du peuple souverain sénégalais. Et les  trois poids lourds attendu à l’arrivée que sont : Khalifa Sall,  68 ans, Idrissa Seck, 64 ans, Amadou Ba, 62 ans, le Candidat du président sortant Macky, n’ont eu d’autre solution que de félicité ces deux «petits» gentleman dans leur (Enjaillement-Ruel) bien mérité. Pour notre part, nous disons Bravo ! A tout ce monde, certes à commencer par les vainqueurs d’abord, mais surtout les vaincus, parce que le grand vainqueur c’est le Sénégal debout, du haut de son piédestal de stabilité, ininterrompue depuis 64 Ans, avec douze (12) présidentielles au suffrage universel, avec trois (3) Alternance sans accroc majeur, dont une (1) dès le premier tour, 54,28%. Et surtout ZERO coup d’état depuis l’indépendance en 1960. Bravo ! Messieurs ! Bravo à tous ».

*-Chronique «Kouma» changer notre pays, un mal sociétal non diagnostiqué se gangrène et pourri le corps social.

Bon ! Revenons chez-nous en côte d’ivoire, ou en prélude des élections de 2025, la danse des diables et des sorciers à commencer, le ton est donné par les presses interessées, supports des voix politiciennes, le candidat R?DP est dit « à roue libre et imbattable », d’autres tirent à leur Une, « a dix-huit (18) mois de la présidentielle de 2025, Alassane  Ouattara met K.O ses adversaires et gouvernera encore la côte d’ivoire jusqu’en 2030, n’en déplaise à l’opposition ». Le rapport ainsi livré est martial, rien à faire, c’est géré, c’est calé, c’est bouclé, 2025 se trouve désormais dans le coffre présidentielle de Ouattara. Bon ! Pour notre part, nous disons comme les grands-mères au village, SAFROULAYE ! Donc, il est clair et net que, la Côte d’Ivoire hallucinée, ira encore aux élections en 2025, ignorant tout du cauchemar auquel ces élections vont donner naissance. Un cauchemar qui va encore sans doute hanter bien des nuits à venir des ivoiriens et la LC_CRS. La LC_CRS ne serait jamais complice d’un système qui retire au peuple et aux citoyens ce qui les revient de droit, la part de leurs destins communs, qu’ils peuvent maîtriser sans eux, « hommes politiques porteurs de crises ». Notre but a la LC-CRS n’est pas, et n’a jamais été d’arriver au pouvoir à tous les prix, par tous les moyens, à toutes les conditions, ou d’être dans une équipe dirigeante à tous prix, sinon dans un cercle ou proche d’un pouvoir à tous les prix, Non ! Nous somme a la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique, dans notre pays, conscient que nous sommes, que ceci acquit, tout le reste suivra, avec la paix électorale et l’acceptation des différences. Donc, redisons-le, la LC_CRS ne serait jamais complice d’un système qui retire au peuple électeur ce qui le revient de droit, la part de son destin, qu’il peut maîtriser sans les porteurs de politiques de crise. Là il y a une ligne rouge à ne pas franchir.

Donc, la LC_CRS ne composerait jamais avec le système électoral des gens, d’une certaine race d’hommes politiques assoiffé du pouvoir absolu, Adorateur de Dieu l’argent, et fous de notoriété sociopolitique. Un système carriériste et arriviste renégat, qui ne reculent devant aucune catastrophe pour assouvir son dessein d’interpénétration de la politique avec les affaires mafieuses. Un système dont le credo politique au tour des élections démocratiques est l'expression la plus antagonique du droit de suffrage. Son unilatéralisme monarchiste est l'affirmation en acte de la volonté d'infléchir et de corrompre le destin du peuple pour le réduire à sa seule exigence égocentrique et à Dieu l’Argent. Sa gestion des affaires étatiques et de gouvernances politiques sont plus fondamentalement, un mode d’imposition unilatéraliste, monarchiste, arbitraire et de domination tenu pour archaïque au 21e siècle. Son action politique de credo compromissoire entre système électorale et pouvoir d’état porte en elles-mêmes les germes de la guerre civile et de toutes sortes de crises sociopolitiques comme les nuées portent inexorablement l’orage.

La société que ce système-là, nous annonce ressemble à une assemblée inconsciente d’individus, sans repère moral, sans doctrine, sans idéologie et sans racine sociale, réduit à suivre la direction du vent et de leurs ventres,  incapable de réactions citoyennes, de protestations légitimes. Et une société confiné dans un train d’enfer et de damnation au couleur ivoire piloté par des fanfarons, des truands, des malhonnêtes, des voleurs, des sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs ventres et pour leurs intérêts égoïstes, égocentriques. Une peuplade systémique broyeuse de droit et de liberté, qui veut que la valorisation du pouvoir absolutiste, unilatéraliste, et autoritaire, passe par la négation des autres appartenances politiques. Où les individus s’entre-déchirent autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux, qui n’envisagent le combat politique et le débat démocratique, autrement que sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales, qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement. Donc une société pilotée par une cohorte lamentable de politicards Alpinistes, absolutiste et utopiste qui ne désespère pas d’accaparer le destin de la nation ivoirienne pour le plier à ses seules exigences égocentriques et claniques. Faire tout pour garnir la table des convives  nocturnes de deniers publics. Donc il y a péril avec ce système-là d’un pouvoir ploutocratique, dirigiste, iconoclaste, nihiliste, arriviste, renégat, despotique, unilatéraliste et absolutiste dans l’âme

*- La côte d’ivoire est sous un système qui a la réputation d’être intraitables et cruels autour de la chose publique.

Puisque le Gong de Ring a sonné avant l’heure, nous disons qu’à défaut d’un système électoral qui offre les mêmes chances à tous. Donc, capable de déclaré la défaite du tenant du pouvoir d’état avec ses moins de 20% bouclé, calé et géré, dans une compétition ou les citoyens-candidats partent sur la même ligne équidistante du pouvoir d’état, oui, à défaut, citoyen ! Allons à la sécession systémique, a l’implosion des blocs politiques et des appartenances, à l’insurrection mentale des idéaux, face au despotisme unilatéraliste. Oui détrompons-nous, devant la docilité de notre système électoral soumis aux caprices des pouvoirs, pour la LC-CRS, c’est tout sauf un jeu de rôle régulateur de routine ou une simple réaction sentimentale. Donc, c’est une rupture mentale entre la réalité et le rêve, une sécession entre le poids de ce qui est, de ce qui doit être, et tout ce qui peut exister. Pour nous c’est vouloir ouvrir les regards citoyens vers l’avenir et revendiquer que non seulement une citoyenneté commune qui proscrit les appartenances artificielles, dans un vivre en commun paisible est possible, au prix de la fédération salvatrice des luttes citoyenne, synergique et assidue. Mais surtout qu’avec l’abandon des appartenances diviseuses, qu’en plus, nous commençons à apprendre et à voir cette citoyenneté commune, dans un vivre en commun de partage paisible, pour la faire exister. Car cette citoyenneté dans un vivre en commun paisible, est la terre par excellence sur laquelle on bâtit les empires citoyens harmonieux et paisibles. Oui le citoyen libre n’a rien à faire avec un système de formalisme électoral conçu par des gens. Oui, dans un système sociopolitique et électoral qui repose sur le respect strict des limites prescrites, le peuple est détenteur ultime du pouvoir d’état, et est le destinateur privilégié de tous les discours politiques qui ouvrent sur les postes électifs dans le respect des normes de régulations sociopolitiques.

Par conséquence, en politique le citoyen qui veut le pouvoir du peuple, doit parler au peuple, doit se soumettre au jugement souverain du peuple, doit respecter les normes de régulations sociopolitique et doit respecter les règles universelles. Et doit constamment à chaque occasion de crises sociopolitiques, faire la preuve de sa légitimité populaire et de sa légalité juridique, devant le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir à lui délégué. C’est ça la démocratie ! C’est ça gouverné, avec le consentement du peuple souverain gouverné, qui obéit-là par conviction. Oui, une élection n’est crédible que si, elle rencontre l’agrément du consensus de la totalité sociale consentante, à prendre les urnes de votes comme l’arbitre du corps social. Donc la participation politique attendue du citoyen à une telle élection, se résume donc à une activité spécifique : celle par laquelle les membres de la Nation prennent collectivement part à la sélection des dirigeants en application strict des normes de régulation sociale impartiale et ainsi participent indirectement à la formation des politiques publiques. A défaut de ce principe aucun pouvoir n’est légitime. Et son contraire n’est qu’un coup d’arrêt irrecevable et inacceptable au processus démocratique et à l’état républicain de droit.

*- Les droits mis à zéro n’est Possible que si un coup de force a fait table rase, du système institutionnel existant.

Or la pauvre côte d’ivoire ira encore aux élections de 2025, avec DES candidats a mandatures illimitées qui cumulent des postes électifs tous confondues, « mandat législatif des deux chambres illimité, mandant municipales illimité, mandat conseils-régional illimité, mandat de gouverneur illimité », et surtout des candidats enquêtent de quatrième mandat présidentiel illimité par la mise à ZER0, déjà déclaré vainqueur imbattable. Elle ira à ces élections «la pauvre côte d’ivoire», en 2025 surement sans des potentiels candidats en exil extérieur, ou contraint à l’exil extérieur « dégouté, souvent avec le dossard perpète », condamné à la prison à perpétuité pour « atteinte à la sûreté de l'État », peine soutenu par la confiscation des biens pour les uns. Et pour d’autres « potentiels candidats » des condamnations judiciaires par défauts inscrites dans les casiers judiciaires, avec privations de droits civiques et politiques, qui sous-tend l’absence sur les listes électorales par effets judiciaires, donc, écarté de fait de la course électorale de 2025. Des condamnions contre des pesants-acteurs, poids lourd politiques des élections à venir, qui de par leurs poids électoral peuvent changés les résultats des élections dans les urnes de votes, « si des gentlemen ivoirien ne vienne pas perturber la fête électorale avec la sortie dans les urnes des crabes poilues ». Donc, des condamnations qui serviront d’intimidation, de dissuasion de toutes revendications de droits civils et politiques. Parce que la Gestapo ivoirienne et les sicaires de la république seront aux trousses  du peuple libre pour le rappeler les conséquences judiciaires d’une condamnation judiciaires par défaut, ce qui sent le « TROU » ouvert.

Oui, donc, pour nous a la LC_CRS, question : Quel avenir pour cette côte d’ivoire jetée aux orties par une nouvelle ploutocratie inhumaines, jetée aux affres les plus monstrueuses de l’épreuve de force politico-électorale et/ou des arrestations arbitraires. Cela au Nom des élections « supposées fête populaire des peuples libres civilisés ». Et un regard dans le rétroviseur permet de constater que c’est l’occasion de massacre par-ci, de zigouille par-là, et que partout on commet «des crimes contre l’humanité », des crimes crapuleux contre des enfants innocents aux mains nues en pleine rue, condamnés à ramasser les siens martyrs tombés au Nom des élections, téléguidées, calées, bouclées, et gérées. Parce que le système est réputé être intraitables, cruels autour de la chose publique électorale. Bon ! Parlons-en, un quatrième mandat après la consommation totale et définitive, d’un délai de rigueur prescrit de  deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé sous l’empire d’une constitution dite ancienne source des deux (2) mandats consommé, « mais, en fouis au sous-sol des tabou-judiciaires, à la portée des excavations des Cricétomes des savanes Africaines, (Toto-Ko-Gbê, fins limiers), et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels limité toujours à deux (2) mandats constitutionnels. « Mais, cette fois le troisième devient le premier et le quatrième le deuxième ». Cela en soutenant péremptoirement que le compteur des mandats consommés est remis à zéro. Cela peut paraitre aujourd’hui comme un débat dépassé, sinon peut paraitre « légal » si on se tient ou se limite au troisième « devenu premier mandat » qui ouvre sur un deuxième mandat qui veut que le quatrième mandat soit « devenu deuxième mandat ».

*- Les droits mis à zéro n’est imposable que si un coup de force a fait table rase, du système institutionnel existant.

A regarder à la lunette du droit international public coutumier, nous avons trouvé cela, ridicule et insensé. Parce qu’on ne peut pas faire table rase du droit préexistant consommé, de l’éligibilité à la présidence de la république avec un délai de rigueur de deux (2) mandats constitutionnels, légalement consommé, sous l’empire d’une constitution dite ancienne «mis sous-sol» et recommencer de zéro le comptage des mandats présidentiels initialement consommé par un citoyen/individu, qui revendique que ce droit consommé est mis a ZERO, en faisant table rase du passé, Non ! Ce n’est pas juridiquement explicable par la meilleure élucubration judiciaire du monde, Non !  Et ce n’est pas compréhensible non plus, en droit international coutumier, Non !  Et ce n’est pas soutenable par une argumentation audible et intelligible, en droit international des droits civils et politiques, Non ! Ceci n’est pas possible, ni en politique, ni en droit. Non !  C’est juridiquement impossible ! C’est socialement incohérent ! Mais seulement, par extraordinaire ou par exception « qui est le contraire du droit », ceci serait seulement possible si, un acte quel qu’il soit, avait entièrement fait table rase, du système institutionnel existant , en pulvérisant l’ordre juridique préexistant, en anéantissant et balayant toute les institutions républicaines sur son passage (Constitution, institutions, gouvernants, par voie de conséquence, président de la République » qui tire leurs légalité existentielle de la Constitution ancienne balayée « ce qui est par nature un coup de force, un coup d’état dans tous les sens».

En l’absence de cette infraction criminelle assujettissante, briseur de souveraineté, on ne peut nullement revendiquer la mise à ZERO des compteurs de droits définitivement consommés. Et effacer l'origine juridique des institutions et l’effet de norme ancienne, paradoxalement en prétendant reste dans une logique de continuité juridique de l’état, Non !. Cela en faisant fi d’ignorer, que la norme juridique nouvelle ne peut effacer les effets juridiques, qui se sont produit sous l’empire de la norme juridique ancienne. Qu’on ne peut pas effacer les actes consommés sous l’emprise d’une prescription juridique ancienne, par les effets juridiques d’une prescription nouvelle. Sinon n’importe quelle prescription impérative pourrait être remise en cause dans le temps par une nouvelle prescription par rétroactivité. Et n’importe quel agissement, pourtant régulier et totalement consommer pourrait être remis en cause par une nouvelle norme juridique. Un droit positif de votation politique, à délai de rigueur consommé par le détenteur, est un droit anéanti à jamais, un droit soldé a jamais, un droit périmé a jamais, d’où le détenteur qui a consommer ses droits n’a aucune possibilité de s’en revendiquer. Même si ici le bon sens vous sommera que cette polémique d’impair judiciaire est définitivement soldée par le 1er 3e mandat qui ouvre un 2e quatrieme mandat. Mais n’empêche les grandes sociétés civilisée s’appui sur le passé pour construire un avenir meilleur.

*- Ex-Afrique occidentale française, il y a matière à aller se référé aux sages du conseil constitutionnel Français.

Donc, un quatrième mandat en 2025, ne serait certes que formalité, qui découle du troisième mandat de 2020. Mais elle serait sans racine de Droit réel et sans substrat juridique défendable et légale. Ici, les faits « jurisprudence » qui plaident pour ceux, ci-dessus mentionnés sont lésion. Notons qu’en France après la modification constitutionnelle qui a réduit la mandature du septennat au quinquennat, Jacques Chirac élu président de la République française en 1995 pour un mandat de sept (7) ans, Mandat marquées sur le plan institutionnel par le raccourcissement du mandat présidentiel à (5) ans, Jacques Chirac a été réélu en 2002 pour cinq (5) ans, après une modification constitutionnelle, d'inspiration chiraquienne. Mais Chirac n’a jamais revendiqué un troisième mandat après un seul mandat de la mandature du quinquennat. En côte d’ivoire on nous afflige d’argument soporifiques que la constitution de 2016 à mis les compteurs du droit positif qui prescrit la limitation de mandats a 2 constitutionnels à Zéro. Qui ouvre sur un nouveau droit positif prescrit qui anéanti par rétroactivité le droit consommé au titre de la prescription du droit positif  antérieur, que par conséquent donne Droit, de briguer deux (2) autres mandats de cinq (5) ans, un troisièmes puis un quatrième, les deux (2) premier ne comptant plus parce que mis a ZERO. (SIC)…

Or « pour exemple » la constitution Française avait déjà été réformée à dix-neuf reprises depuis 1958 a l’arrivée au pouvoir de Jacques Chirac, mais aucun président de la république Française n’a oser parler de la mise à zéro des compteurs de limitations des mandatures à deux (2) constitutionnels, qui a pourtant oscillé entre septennat et quinquennat. Et depuis 1958, la France, la Mère patrie, est sous la cinquième république «régime présidentielle» malgré sa kyrielle de modifications constitutionnelles, aucun pouvoir de Gauche ou de Droite n’à oser donner le nom de sixième république, à une modification constitutionnelle. Donc, pourquoi, a l’avènement controuvée d’un bidonnage de texte, quel que soit, son caractère symbolique voulu par ses initiateurs, mais, qui ne modifie en Rien l’architecture institutionnel d’un régime présidentiel, la côte d’ivoire qui depuis 1960 est sous le régime présidentiel hérité de la France, doit-elle arriver à une troisième république, qui se subordonne tous les droits, « sans mentions expresse ou mentions exceptionnelle mais par simple déduction judiciaire interprétative », en mettant le compteur des droits à Zéro et les droits de mandatures limités à 2, anéantis, tout en maintenant la continuité de l’architecture du régime présidentiel avec institutions vermoulues Non ! «Ça ne coche pas comme Rome, ce n’est pas catholique».

Oui, au surplus de la question de la mise à ZERO des compteurs des droits a délai de rigueur, convenons-en, qu’une Constitution n'est pas une norme de loi ordinaire.  C’est la loi des lois, c’est un acte solennel par lequel une société déclare les principes de droit qui la fonde, qui la rassemblent et qui l'organisent. Ce texte-là, ne peut être changé aussi facilement qu'une loi ordinaire. Il faut une procédure particulière, consensuelle, d’intérêt public, plus solennelle, plus exigeante, qui corresponde à la qualité de l'acte à modifier et qui cadre à l’extrême perfection avec la volonté du peuple souverain et les intérêts de la totalité sociale. Donc, dès lors, il faut une procédure normale d’intérêt public, d’intérêt général, débarrassé des intérêts politiciens. Cette nouvelle norme doit être rédigée par une assemblée constituante élue à cette fin unique. Ce qui est en droit internationale coutumier plus légale et plus légitime que la rédaction unilatérale commandité par le pouvoir exécutif, qui certes peut s’avérer plus rapide « Là où on a nullement besoin de course contre la montre » Mais dont irréfragable-ment la légalité juridique conforme au droit et la légitimité populaire conforme à la volonté du peuple souverain, prête à caution, en raison de la possible utilisation de la nouvelle norme dans l’unique objectif de faire légitimer le dessein de domination sociopolitique de l’exécutif», donc, une assemblée constituante élue ou des commissions spécialisées étudient des propositions « venu du bas vers le haut » qui sont ensuite discutées et adoptées en séance plénière. Le mandat de l’assemblée constituante cesse dès qu’elle a adopté le texte, à soumettre ensuite à la votation politique  référendaire. Il y a quelque chose qui ne va pas du tout. En tant qu’ex-Africain de l’Afrique occidentale française, il y a manifestement matière à aller se référé aux sages du conseil constitutionnel Français. Et à défaut d’appeler l’avis des éminents constitutionalistes du monde cohérent. L’ordre international, la paix national et la paix international en dépend.

*- L’avenir, est déjà décidé sans nous, sans notre droit de regard, par des puissances économiques et financières.

Oui, rappelons-nous, avant de parler des élections de 2025, que les crises électorale sciemment entretenue qui trouble l’ordre social, ont conduit des milliers de personnes a la mort chez nous en côte d’ivoire, et partout en Afrique, ou la logique de mettre les compteurs de droits a ZER0 se trouve désormais dans les discours des hommes politiques Africains, d’autres pour s’en plaindre, et d’autres pour y adhérer comme jurisprudence constitutionnelle. Ce qui met incontestablement la paix internationale a danger, surtout en Afrique Noire détentrice des leviers de forcing ou coup de force, qui mettent les compteurs de droits à ZERO. Or, on n'a pas besoin de chercher longtemps des arguments pour appuyer l'idée que le fait de préparer et de mener une société a une crise est, au point de vue moral, le pire des crimes contre l’humanité. Les criminels de cette crise électorale ivoirienne, n'ont plus qu'un seul espoir, celui que l’action politique soit resté tellement en retard sur le sens moral de l'humanité que ce crime, selon la conscience, ne soit combattu comme tel. Ici la question n'est pas de savoir comment rendre les crises électorales impossibles, mais comment des actions politiques, fondée sur les droits civils et politiques universels et les règles démocratiques coutumières que l’humanité s’est donné, pèseront dans la balance pour préserver désormais la paix, et pour permettre aux hommes et aux femmes de bonne volonté de vivre les élections libres et sous la protection des mêmes normes juridiques de régulations sociopolitiques. Le droit internationale coutumier est intransgressible et irréfragable quant à la gouvernance d’un état républicain de droit. Ici, le contrôle systémique de la souveraineté populaire du peuple et sa volonté populaire électorale doit échapper totalement à un pouvoir d’état. Souvent lequel même est fondamentalement opposé par abus à ce que la souveraineté populaire appartient au peuple souverain. 

Donc, peut être à l’exemplaire image salutaire de certains pays d’Afrique notre destin commun, «qui ont agencés douze (12) présidentielles au suffrage universel, avec trois (3) Alternance sans accroc, dont une (1) dès le premier tour, et surtout zéro coup d’état depuis l’indépendance en 1960, voici ce qui devrait être enviable en Afrique. Mais même si nous devons reconnaitre le mérite des acteurs de cette olympiade démocratique et les en félicité, parce qu’il ne convient pas d’aller contre la volonté d’un peuple souverain, pour autant la LC_CRS  n’envie rien du tout. Même si notre éclectisme impassible, qui soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne, peut être taxé par les non-avertis d’antisystème Mais cet exemple de vie démocratique n’a rien motivé ici, nous sommes dans notre routine». Oui, la règle universelle édictée depuis la nuit des temps par le droit international est que, les républiques ne sont pas statiques et figées. Donc, qu’une nation républicaine de droit doit en permanence réapprendre qu’elle existe et continuer de l’exprimer par le biais d’actions populaires, symboliques, collectives, d’intérêt général, qui reforment son substrat social et démocratiques, aux nombres desquelles figure les élections démocratiques pluralistes pour s’adapter aux besoins du souverains absolu qu’est le peuple, aussi à l’évolution du temps et du monde. Donc, c’est notre éclectisme impassible, qui nous incite à appeler les citoyens ivoirien à mener le combat du changement libérateur, régénérateur, salvateur, tous ensembles pour reconquérir le pouvoir. Et pour se faire, avant tout, il faut croire qu’il est effectivement possible de pacifier l’espace publique et de démocratiser les relations humaines. Ensuite, il faut croire qu’un autre monde est possible.

Mais quel monde ? Ce monde autrement n’est pas une idéologie, mais une constatation qui tient de l’évidence que: c’est à partir des personnes que se construit une nation forte et paisible, et s’anticipe son avenir dans le temps et dans l’espace, que c’est à partir de la solidarité des personnes que se bâtit la réalité du quotidien de chacun, que c’est à partir de la société civile organisée, cohérente et harmonieuse que s’exerce de fait une prise de pouvoir par l’espérance à travers des actions sociopolitiques concrètes, que c’est à partir de la progressive unification des différents combats sociaux et sectoriels pour la Vie, pour l’homme et la liberté, que les luttes citoyennes se gagnent. Donc, c’est un acte d’insurrection de la pensée sociopolitique et une révolte de la volonté commune citoyenne, un acte de résistance sociale pour la libération de l’avenir, un combat sociopolitique à Mort pour le destin de chacun, qui font naitre ce monde. En un moment où tout est fait par une politique monarchiste sûr de son emprise sur la société, pour revendiquer que l’avenir, est déjà décidé sans nous, et sans notre consentement, sans notre droit de regard, «réduit à des vaches qui ne demandent qu’à manger» par des puissances économiques et financières.

Sans casse, ni cassure, ni GbanGban ! où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés

Donc il est question d’affirmer que non seulement nous n’en croyons rien dans cette utopie d’avenir déjà décidé, avec des élections gagnées avant la compétition électorale, mais que nous allons maintenant prouver le contraire, en se faisant un chemin dans le béton de la pensée arbitraire de la ploutocratie monarchiste devenue dominante avec l’appui de ses médias applatis. En offrant aux mouvements graduels de la société commune une authentique perspective d’alternance à cette politique monarchiste et ploutocratique, d’insolence politique et de bradages économique, de défenestration économique et de détournement financière, d’injustice juridique et d’injustice sociale. En créant tous ensemble une société du vivre en commun de partage, ou l’ivoirien serait libre de faire la politique, avec la certitude qu’il peut gagner comme il peut perdre, et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé, ou d’être embastillé, sinon être arrêté. Cela pour changer notre pays, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny, qui n’est plus qu’une immense ruine de l’humanité, qui n’est plus qu’une immense déchirure sociale et sociétale, une société dispensatrice de désespoir, de misère et de désolation, plus 10.000 morts depuis octobre 2000 à ce jour, une société ou le vol, les détournement de dénié public, l’escroquerie morale et intellectuelle, la tricherie à ciel ouvert, le copinage et la concussion sont devenues ostensiblement des valeurs morales et sociopolitiques.

La chose est aisé, parce qu’il est de notoriété mondiale, que quand l’exercice du pouvoir d’état rend un peuple fou de quelque manière que ce soit, ce peuple se réveille brutalement, et souvent dans les urnes électorales, autrement que par procuration, et ce pouvoir se met lui-même à la merci de cette  crises de folie, qui se manifeste a toute les occasions sociopolitiques, y compris électorale. Idem pour les générations conscientisées, qui balaient tout sur leurs passages au réveil brutal, y compris dans les urnes électorales. C’est pourquoi nous avons appelé et nous appelons toujours celle de l’après l’indépendance ivoirienne, à l’éveil de conscience pour Demain, c’est de demain qu’il s’agit, oui demain, sans faute demain, on sera dans les urnes demain. Avec la conscience endurcie par les écueils de toute sortes, et guidé par la réelle conviction fortifiée, par l’ostracisme politique et l’Apartheid socioéconomique, que chaque génération de citoyen dans une nation qui se veut civilisée et moderne, à une obligation générationnelle absolue de remplir sa mission, de demander des comptes au terme d’une crise sociopolitique. Nous appelons cette génération toujours, convaincu qu’elle est capable d’offrira à coups sûrs demain à la Côte d’Ivoire une pépinière de nouveaux politiciens honnêtes, qui combattront sans relâche toute velléité de ressusciter le pouvoir absolu ou le pouvoir par les armes. Oui, le sectarisme électoral du combat politique personnifié, n’a rien à voir avec le noble art du discursif politique, dans laquelle le peuple souverain est le destinateur privilégié de tous les discours politiques, par ce que détenteur ultime du pouvoir d’état. Donc, cette génération sait que le pouvoir est logé dans le peuple avec plus de 80% d’abstention depuis 2010, elle doit pouvoir amener son peuple, avec son pouvoir dans les urnes.

Oui, une génération d’hommes politiques « les enfants de l’indépendance et consorts » forgée dans les combats politiques discursifs sans violence physique. Et formée dans la lutte pacifique du débat d’idée, endurcie dans l’action politique soutenue, éduquée par les écueils de toute sorte dans l’espace public, orienté vers la sagesse de Félix Houphouët Boigny, par les travers politiques d’un dirigisme ultralibéral prédateur de jungle et ses faits électoraux chaotiques. Nous en sommes certains, parce que tout comme un corps malade secrète des anticorps, la démocratie désenchantée de la côte d’ivoire doit instruire, inventer, appeler de nouvelles pratiques politiques, secréter des actions collectives, qui tenteront de faire porter la délibération politique collective sur des sujets et des objets réels et non sur des fictions politiques et des mythes fabriqués de toutes pièces. C’est le prix à payer pour la mise en place d’une démocratie plus prosaïque mais plus consistante. Ça ne tombe pas du ciel, ça vient petit-a-petit, un jour il fera jour. Nous espérons que des mesures manquantes prisent ensemble par la totalité sociale souveraine, concourrait à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État, par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, du droit universel, libertés, de la stabilité politique et de la paix sociale pérenne. Sans casse, ni cassure, ni GbanGban ! D’où les gouvernants seront obligés de persuader et de convaincre les gouvernés consentants. Citoyen ! Au premier coup de Gong du Ring visqueux des politicards effrénés nous avons Kouma malgré nous. Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

 

 

 

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20 mars 2024 3 20 /03 /mars /2024 20:06
Jean-Claude DJEREKE : l’intellectuel n’a pas uniquement vocation à éclairer; il est appelé aussi à se tenir aux côtés des vaincus de l’Histoire, à s’approprier leurs malheurs, échecs et luttes. C’est la raison pour laquelle sa mission, “incompatible avec la poursuite d’intérêts égoïstes” (Fabien Eboussi Boulaga), est hautement dangereuse. Critiquer tous les pouvoirs, n’être à la solde de personne, se dresser contre ceux qui oppriment, exploitent ou affament et être prêt à payer pour ses convictions, telle devrait être pourtant sa devise.

Jean-Claude DJEREKE : l’intellectuel n’a pas uniquement vocation à éclairer; il est appelé aussi à se tenir aux côtés des vaincus de l’Histoire, à s’approprier leurs malheurs, échecs et luttes. C’est la raison pour laquelle sa mission, “incompatible avec la poursuite d’intérêts égoïstes” (Fabien Eboussi Boulaga), est hautement dangereuse. Critiquer tous les pouvoirs, n’être à la solde de personne, se dresser contre ceux qui oppriment, exploitent ou affament et être prêt à payer pour ses convictions, telle devrait être pourtant sa devise.

Débats et Opinions: Tout diplômé n’est pas un intellectuel, Par Jean-Claude DJEREKE. (Source Presse-Ivoirienne Mars 2024).

Commençons par faire le distinguo entre «diplômé et intellectuel» car tous les diplômés ne sont pas des intellectuels et on peut être intellectuel sans nécessairement avoir fait des études supérieures, sans travailler dans un centre de recherches ou enseigner dans une université. Le romancier français Émile Zola, le cinéaste sénégalais Sembène Ousmane et l’écrivain ivoirien Bernard Dadié n’étaient ni enseignants ni chercheurs. Et pourtant, de manière constante, ils épousèrent et défendirent la cause du petit peuple, s’engagèrent en faveur des exploités, humiliés et opprimés, se mobilisèrent pour le triomphe de la vérité, de la justice et de la liberté. Car l’intellectuel n’est pas seulement un penseur de métier, c’est-à-dire un producteur de savoirs et un agitateur d’idées; il est aussi et surtout « celui qui porte la parole et dit la vérité au pouvoir, au nom des opprimés » (Gérard Noiriel).

Ces opprimés, Albert Camus les appelait ceux qui subissent l’Histoire. Pour lui, l’intellectuel doit être au service de ces gens-là au lieu de travailler pour et avec ceux qui font l’Histoire. Il ajoute : « Notre seule justification, s'il en est une, est de parler, dans la mesure de nos moyens, pour ceux qui ne peuvent le faire » (cf. “Discours de Suède”, Paris, Gallimard, 1958). En un mot, l’intellectuel devrait, non pas s’acoquiner avec les « vainqueurs et dominateurs », mais prendre en compte le souvenir des voix et personnes oubliées  (Edward Said, «Des intellectuels et du Pouvoir », Paris, Seuil, 1996). Sur cette base, l’intellectuel est en quelque sorte obligé de “se mêler de ce qui ne le regarde pas” (Jean-Paul Sartre), de s’intéresser au combat politique sans militer forcément dans un parti politique. C’est cette conception du rôle de l’intellectuel dans la Cité qui poussa l’auteur de “Les Mains sales” à soutenir les manifestations étudiantes de mai 1968.

Dans une interview accordée à des journalistes, le 13 mai 1968, Sartre osera même affirmer ceci: “La violence est la seule chose qui reste, quel que soit le régime, aux étudiants qui sont jeunes, qui pensent qu’ils ne sont pas encore entrés dans le système que leur ont fait leurs pères, et qui ne veulent pas y entrer. Autrement dit, ils ne veulent pas de concessions, ils ne veulent pas qu’on aménage les choses, qu’on leur donne satisfaction sur une petite revendication, pour en fait les coincer, leur faire prendre la filière et leur faire être dans trente ans le vieux bonhomme usé qu'est leur père. Ils ne veulent pas du tout y entrer et, par conséquent, ce refus est évidemment un refus de violence. Donc si vous voulez, on peut considérer que le seul rapport qu’ils puissent avoir avec cette université, c’est de la casser et, pour la casser, il n’y a qu'une solution : c’est descendre dans la rue.”
Avant Sartre, Émile Zola (1840-1902) n’avait pas hésité à voler au secours d’Alfred Dreyfus qu’il ne connaissait pas personnellement. Pour mémoire, le capitaine français d’origine juive avait été accusé d’avoir livré des documents secrets français à une puissance étrangère (l’Empire allemand). Il s’agissait en réalité d’une fausse accusation parce que le vrai coupable s’appelait Walsin Esterházy.

C’est à cet homme injustement condamné, Alfred Dreyfus, que Zola décida de venir en aide en adressant une lettre ouverte à Félix Faure, le président de la République d’alors. Zola s’était engagé pour Dreyfus car il disait “n’avoir qu’une passion, celle de la lumière, au nom de l’humanité qui a tant souffert et qui a droit au bonheur”. Se taire lorsqu’un innocent est condamné pendant que les vrais coupables circulent librement lui semblait insupportable. Le 23 février 1898, au cours du procès, il déclare comme s’il prophétisait: “Tout semble être contre moi, les deux Chambres, le pouvoir civil, le pouvoir militaire, les journaux à grand tirage, l’opinion publique qu’ils ont empoisonnée. Et je n’ai pour moi que l’idée, un idéal de vérité et de justice. Et je suis bien tranquille, je vaincrai. Je n’ai pas voulu que mon pays restât dans le mensonge et dans l’injustice. On peut me frapper ici. Un jour, la France me remerciera d’avoir aidé à sauver son honneur.” Bref, dans le cas de Dreyfus, il ne nous paraît pas exagéré de dire que la justice et la vérité avaient été bafouées. Or, si l’on en croit Arendt Hannah, “dire le vrai, telle est la seule responsabilité des intellectuels en tant qu'intellectuels”, ce qui ne veut pas dire que les intellectuels devraient se prendre pour “la conscience de la nation” (H. Arendt, “Les intellectuels et la responsabilité”, Cahiers du GRIF, 33, 1986).

Comme Soriba et ses camarades dans le roman “Les crapauds-brousse” de Tierno Monénembo, nombre de diplômés africains critiquent facilement la dictature dans leur pays quand ils sont dans leurs salons ou autour d’un verre de bière. Une fois sortis de ces lieux-là, ils deviennent muets alors qu’il y a tant de choses qui pourraient susciter leur colère et révolte. Pourquoi? Parce qu’ils ont peur d’être arrêtés et incarcérés, parce qu’ils ne veulent pas risquer leur vie ni celle de leurs proches, parce qu’ils n’ont pas envie de provoquer l’ire du dictateur. Or, écrit Edward Wadie Said, “l’intellectuel, au sens où je l’entends, n’est ni un pacificateur ni un bâtisseur de consensus, mais quelqu’un qui engage et qui risque tout son être sur la base d’un sens constamment critique, quelqu’un qui refuse, quel qu’en soit le prix, les formules faciles, les idées toutes faites, les confirmations complaisantes des propos et des actions des gens de pouvoir et autres esprits conventionnels. Non pas seulement qui, passivement, les refuse, mais qui, activement, s’engage à le dire en public” (Edward W. Said, “Des intellectuels et du pouvoir”, op. cit.).

Ainsi que nous pouvons le voir, réfléchir, produire des savoirs et s’engager dans et pour la société dans laquelle il vit sont deux éléments importants dans la compréhension de la mission de l’intellectuel. Pour le dire autrement, l’intellectuel ne peut se borner à penser le monde; il ne peut “se réfugier dans le petit monde académique, où [il] s’enchante [lui]-même de [lui]-même, sans être en mesure d’inquiéter qui que ce soit en quoi que ce soit” (P. Bourdieu, “Contre-Feux 2”, Paris, Raisons d’agir, 2001). Ce qu’on attend aussi de lui, c’est qu’il s’engage en prenant publiquement la parole, au nom de ceux qui n’ont pas voix au chapitre.

Il va sans dire qu’une telle mission n’est pas sans risques.

Selon E. Said, c’est précisément cette mission qui fait de l’intellectuel un “exilé et marginal, amateur et auteur d’une langue qui essaie de dire la vérité au pouvoir” car parler au nom des “damnés de la terre” (Frantz Fanon), prendre la défense de ceux qui subissent l’Histoire, être “la bouche des malheurs qui n’ont point de bouche” (Aimé Césaire), c’est inéluctablement "s’exposer à la persécution, au rejet, à la prison, à l’exil, voire à la mort sans ceinture de sécurité" (Bruno Chenu, “L’urgence prophétique, Dieu au défi de l’histoire”, Paris, Bayard/Centurion, 1997). Zola paya cher sa solidarité avec le capitaine Dreyfus: menaces de mort, livres et portrait publiquement incendiés, retrait de son nom de la Légion d’honneur, onze mois d’exil en Angleterre. En Afrique francophone plus qu’en Afrique anglophone, les intellectuels qui prirent fait et cause pour les laissés-pour-compte en rendant compte de leur situation dans leurs essais, romans ou pièces de théâtre eurent maille à partir avec les régimes autoritaires qui ont pris nos pays en otage. C’est le cas du Nigérian Wole Soyinka qui séjourna plusieurs fois en prison, du Camerounais Mongo Beti dont l’ouvrage "Main basse sur le Cameroun" fut interdit au Cameroun et en France, du Guinéen Tierno Monénembo et de l’Ivoirien Ahmadou Kourouma contraints de s’exiler en France. Le Kenyan N’Gugi Wa Thiongo, que Daniel Arap Moi jeta en prison à cause de ses écrits jugés subversifs, et le Congolais Mudimbe, durent, eux aussi, quitter leur pays.

En conclusion, l’intellectuel n’a pas uniquement vocation à éclairer; il est appelé aussi à se tenir aux côtés des vaincus de l’Histoire, à s’approprier leurs malheurs, échecs et luttes. C’est la raison pour laquelle sa mission, “incompatible avec la poursuite d’intérêts égoïstes” (Fabien Eboussi Boulaga), est hautement dangereuse. Critiquer tous les pouvoirs, n’être à la solde de personne, se dresser contre ceux qui oppriment, exploitent ou affament et être prêt à payer pour ses convictions, telle devrait être pourtant sa devise. *- (FIN-*)

Jean-Claude DJEREKE.  « Source Presse-Ivoirienne »

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(AVIS ET COMMENTAIRES)

COMMENTAIRE : C’est une constance qu’on nait intellectuel, même si l’éducation didactique le complète en facilitant son exercice, et l'intelligentsia est innée, même si le savoir scientifique demeure son appoint légitime, aussi la sagesse est innée, « prédisposé a la gestion des hommes», avec la faculté de pouvoir diriger une entité sociopolitique ou l’humanité et ses valeurs. « Tout diplômé n’est pas un intellectuel », « comme tout intellectuel n’est forcément pas un diplômé ». En ce sens, « Intellectuels ? » Oui ! Nous parlons ici des intellectuels qui croient en un idéal sociétal, donc, qui défendent une idée, une idéologie, et ont l’intime conviction qu’elle pourrait servir au bien de la société dans laquelle ils vivent, et surtout au bien de l’humanité. Nous parlons ici des intellectuels de combats justes, menés souvent au prix de leurs vies, et d’être exposés à toutes sortes de surprises désagréables, ou d’être la cible de tous les attentats et de toutes les atteintes à leurs intégrités physiques et morales. Autrefois, on les assassinait carrément « point-final », c’était l’âge d’or, aujourd’hui contre eux, ce même risque d’assassinat crapuleux ou de disparition forcée existe, et persiste dans nos sociétés.  Et contre eux « ces intellectuels de combats » l’entreprise réputée la plus infâme paraît légitime ou devient logique ; contre eux le mensonge grossier d’Etat parait conventionnel, contre eux la délation éhontée devient vérité tangible d’état; contre eux la calomnie ignoble devient louage griot-tique au service des dirigeants d’état; contre eux la trahison funeste du peuple martyrisé devient la loyauté militante, contre eux l’obscurantisme nébuleux de l’absolutisme du pouvoir d’état devient lumière gyroscope d’état, contre eux, la persécution crime contre l’humanité se trouve des raisons  d’existence, contre eux, l’apartheid socioéconomique, les anathèmes juridiques, les excommunications sociopolitiques se font ostensiblement une place royale dans la société face aux droits bafoués mis a Zéros. Etc…  Ce commentaire n’engage nullement l’Auteur  de la tribune « Tout diplômé n’est pas un intellectuel », (dont commentaire DE LEPETITFILS. LC_CRS)

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10 mars 2024 7 10 /03 /mars /2024 07:33
Lepetitfils : La LC_CRS Au terme de ses «10 Commandements», ira aux  élections ce  jour-là, avec dans son objectif discursifs les TRUANDS et VOLEURS. Et un peuple nouveau restauré en l’état initial naitra, contre vent et  marrée, bon an mal an, car dans nos cœurs de citoyen libre, l’espérance est gravée. C’est un serment et une promesse. Nous danseront ce jour-là, le «Zaouli-national»,  heureux de récolter au bout, les plus de 50% des voix ou les moins de 50% des voix, mais fier d’avoir subi l’honorable jugement du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état.

Lepetitfils : La LC_CRS Au terme de ses «10 Commandements», ira aux élections ce jour-là, avec dans son objectif discursifs les TRUANDS et VOLEURS. Et un peuple nouveau restauré en l’état initial naitra, contre vent et marrée, bon an mal an, car dans nos cœurs de citoyen libre, l’espérance est gravée. C’est un serment et une promesse. Nous danseront ce jour-là, le «Zaouli-national», heureux de récolter au bout, les plus de 50% des voix ou les moins de 50% des voix, mais fier d’avoir subi l’honorable jugement du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état.

LIRE POUR PRÉVENIR, L’INTERVENTION EST CERTES LÉGALE MAIS LA PRÉVENTION  EST D'INTÉRÊT PUBLIC/GÉNÉRAL

*-KOUMA : Aller de l'avant sans renier et sans tourner le dos à notre passé qui constituent notre originalité «FHB».

Bon ! Il en va de la médecine comme de la politique, celui qui ne veut pas, et qui n’admet pas le diagnostic, son mal le tue toujours, parce qu’il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, d’emblée commençons par souligner ici, que la Camarilla électorale Kafkaïenne de pétaudière nous afflige déjà, de discours creux dits préparatifs de 2025, édicté par le R?DP attrape-tout et de copinage, comme si le socle de la société ivoirienne était perfectionné. Oui, comme si, une élection présidentielle pouvait réguler la vie sociale. Une élection présidentielle ne régulera jamais la société ivoirienne, et ne la restaurera jamais dans son originalité absolue, en l’absence de l’ordre social. Et sans une juste réforme de la nature même de la société avec des normes juridiques qui restaurent notre spécificité socioculturelle, nos valeurs sociales et nos mœurs ataviques. Parce qu’il est constant que c’est seulement avec l’adhésion de la totalité sociale et de la totalité politique à un vrai système régulateur, que le système des interactions sociopolitiques peut fonctionner sans dégénérer en conflits ouverts ou latents. Donc, ériger la présidence de la république en fauteuil de fixation d’un monarchisme débridé et bâtard ne restaurera rien. La source et les causes d’une crise sociopolitique ne peuvent jamais être le remède à cette même crise sociale. NON !

Oui, en l’absence de l’ordre social établi dans toute sa rigueur, en l’absence de l’ordre inflexible de la sociabilité «qui proscrivent la loi de la jungle dans la vie en société et qui criminalise le grand désordre actuel à tous les niveaux de la société», aucune régulation sociale n’est possible, aucun développement n’est possible, aucune paix durable n’est possible. Dans une situation ou le rapport de force financière est régie en règle, au mépris de l’impérieuse nécessité de construire une société ordonnée, humaniste et solidaire. Oui tout indique actuellement dans ce grand cafouillage sociétal de tout permis, de paternalisme pueril, donc de panurgisme, de docilité, et de profit malhonnête, qui rend Aveugle, que 2025  sera sans échappatoire possible, 2010, sera 2015, sera 2020. La parole risque d’être donnée en nouveau aux armes, «fusils ou Marfa» comme 1999, 2002, 2011, 2020. C’est une évidence absolue et incontestable. Puisque, l’ordre social qui Manque a l’appel, est le préalable incontournable à toute stabilité et paix sociale, à tout développement. A juste titre, Houphouët Boigny disait : «Nous voulons aller de l'avant, assurément, mais sans, pour autant, renier notre passé, sans tourner le dos à celles de nos formes de civilisation qui constituent notre originalité et dont le monde a grand besoin, nous le savons. Ce que nous voulons, c'est réaliser un social des plus hardis. FHB».

*- Avec le grand désordre social actuel, 2025 sent la poudre funeste et la tempête mortifère à l’horizon glauque.

Donc, fier de nous, d’être sur nos sillons ataviques, nous disons ici, qu’en lieu et place de l’émergence économique, la côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a plutôt besoin de l'émergence d'ordre social, qui favoriser un état réel d’harmonie sociale entre les hommes RÉSIDANTS de tous horizons, entre les hommes  et la réelle nature originale ivoirienne. Il est question pour nous, d’affirmer la souveraineté nationale pleine et entière, face à toutes les sociétés et cultures de conquête expansionniste, et des puissances avec de nouvelles conceptions condescendantes, dans le concert des nations ordonnées et civilisées. Donc nous disons qu’en côte d’ivoire post-guerre, l’ordre social manque ostensiblement dans la vie sociopolitique, sacrifié peut-être sur l’autel d’une soi-disant émergence économique. Alors que, le pays affiche des indicateurs de développement sociaux indignes d’un pays candidat à l’émergeant économique. Parce que le progrès social et le développement bien partagé, exige l’ordre social, et un système social capable de trouver des solutions aux tensions sociocommunautaire, et de pouvoir amortir les chocs nés du grand Bazar de désordre d’un développement déséquilibré. Les salaires élevés et aussitôt absorbés par la vie très chère ne suffissent pas au progrès pour tous. Il faut, l’ordre social et l’ordre de la sociabilité, comme substrat, pour que la vie sociopolitique ait pour but de renforcer les institutions républicaines. Ainsi la stabilité sociopolitique, et la confiance qui en résultent, auront pour but de renforcer, de soutenir le développement intégral du progrès social POUR TOUS.

Donc, la recherche de ce développement total et intégral, exige un souci l’ordre social et d’équité sociale entre les hommes. Qui doit s’étendre du bas vers le haut de la totalité sociale, dans l’ordre du public. Ici avec cette émergence de l’ordre social, la côte d’ivoire serait en mesure de reformer et d’améliorer réellement son  organisation sociopolitique, de manière à ouvrir la voie idoine à une nouvelle ère sociopolitique et d’émergence économique. D’où le citoyen ivoirien serait le cœur de toute action développementale. Un développement qui cadrerait à la perfection avec nos réalités économiques et financières sans surendettement, dans le respect strict de nos réalités sociales ivoiriennes, pour une vie libre ivoirienne, ordonnée, débarrassée de toutes les scories passéistes et des anxiétés électorales qui présage l’orage pour demain. Donc ce qui signifie clairement, une transformation de l’ordre économique mise au service du développement de l’ordre sociopolitique. Donc, contrairement, à un développement qui laisse l’homme au bord de la route du progrès sociopolitique. Oui, une société humaine doit progresser avec une marche sûre, sans désordre, sans tambour et sans brouhahas, ou l’ordre impose la discipline, ou la morale enfante la conscience, ou la sagesse imprime la cadence, ou la vision éclairée d’une anticipation des perspective d’avenir dans le temps, a mission de gyroscope sociétal, ou le rythme de la marche citoyenne infaillible dans l’ordre vers le progrès pour tous, obvie les sortis de route sociétales en obéissant qu’aux moyens nationaux. Oui, hélas ! Milles fois hélas ! La société ivoirienne semble s’accommode avec le grand Bazar, le grand désordre ou quelques nantis minoritaires ont voix aux chapitres semblent avoir pris goût aux profits hégémonique et condescendant, du désordre sociétal actuel. Et 2025 sent lamentablement la poudre. Il y a une tempête à l’horizon, son l’orage est funeste et mortifère.

Se défaire de l’engrenage d’une politique de tout permis, pour réguler tous ensemble la société et la vie publique.

Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience d’abord, mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même. En ce moment précis de notre jeune histoire d’existence étatique et souveraine, nos valeurs sociétales sont en périls, l’homogénéité des sous cultures nationales qui permettent la consolidation du tissus socioculturel est attaqué dans sa racine, par l’épreuve de l’acculturation, la volonté d’une citoyenneté commune sans différenciation qui permet de gérer politiquement est obstruée par les égos d’une politique d’apologie des appartenances, qui enfante des crises intercommunautaires cycliques, ou chacun dans son assise existentielle est pris par sa spécificité biologiques ou confessionnelle, ethnique, tribale ou régionale. La gouvernance conforme à la moralité internationale voulue par le père de la nation Félix Houphouët Boigny est prise en otage par une ploutocratie condescendante. Le rêve d’une paix durable, et d’une stabilité sociopolitique sans lesquelles aucun développement n’aurait de sens humain est confisqué par l’entretien sciemment d’une crise sociocommunautaire et politique depuis 1999, et peuplé de luttes intestines de leadership ou d’appartenance. D’où, il s’en suit logiquement, l’impossible restauration de notre pays dans son état initial, et dans son statut atavique d’Havre de paix, de stabilité, de droit, de respect des différences, de démocratie. Des valeurs qui sont par conséquent devenues aujourd’hui une illusion pour le peuple ivoirien, un objectif éperdument recherché par les ivoiriens avec torches en plein midi, mais devenue inatteignable pour la côte d’ivoire. Hélas ! Répétons-le-déjà-dit, encore et toujours ici, il est de notoriété mondiale, qu’un peuple qui se noie, n’a généralement pas conscience du danger avant la phase terminale de sa noyade. Il ne faut pas se leurrer, la côte d’ivoire se noie dans l’océan des nations civilisée. Il y a danger, il y a péril, et il y a mort sciemment et habilement préparée par désocialisation à l’horizon pas très lointain, du destin ivoire dans le concert des nations civilisées.

Le président américain Abraham Lincoln ! Disait que : « On peut mentir à quelqu’un tout le temps, on peut mentir à tout le monde un certain temps mais on ne peut mentir à tout le monde tout le temps ». Donc, soyons attentifs, aujourd’hui plus que jamais ! Soyons prêts, aujourd’hui, plus que jamais ! Soyons déterminés, aujourd’hui, plus que jamais ! Oui, le peuple ivoirien n’est plus acculturé, mais, il se dénature, il se désocialise, il se dépayse progressivement dans son pays sur la terre de nos ancêtres. Oui, nous ne changerons rien à du déjà dit : Il faut au peuple ivoirien de tous bords de se mettre à rang très serré, compact, synergiques et rafistolé a jamais, épaules contre épaules, coudes-à-coudes, côte-à-côte, mains dans les mains, dans une irréversible marche citoyenne vers la restauration dans son vrai état moral initial, dans sa réelle identité socioculturelle et intercommunautaire, dans ses mœurs sociétal de civilisation de notre pays. Afin d’arrêter absolument la dynamique d’une dénaturation avancée, condescendante, défigurant, obscurantiste, transplantée, mafieuse, démoniaque. Et tous ensemble de réguler la vie sociopolitique, pour se défaire de l’engrenage politique de tout permis, de profits, qui risque d’être fatal à l’arrivée dans quelques Années. Il nous faut faire preuve d'une intégrité morale et d'une objectivité intellectuelle, de sorte que cette crise «1999 à 2025» s'impose à la postérité comme ayant répondu aux aspirations profonde de justice juridique et de justice sociale en côte d’ivoire. Oui, il faut au peuple un sursaut collectif, une évolution synergique des mentalités, une sécession des idées politiques, «que la science politique définit comme un changement radical».

*- La vie politique à l’image des vautours autour d’une proie en décomposition se battant dans les décombres.

Oui, s’unir pour la restauration de notre pays dans son état original, face a cette situation socioculturelle dépravée, cette culture de pratique politique folklorique d’éloge fanfaronnées au service de l’ivraie, cette acculturation confuse de la totalité sociale déboussolée, cette criminalité organisée par les bradeurs du bradage des ressources naturelles souveraines, sous un système de gestion politique amateur, de gestion socioéconomique d’escroquerie morale et intellectuelle à ciel ouvert, cette pratique d’affairisme d’accaparement obscurantiste de gains faciles, de profits mafieuse, pour satisfaire aux exigences d’une mafia internationale. Donc une situation de panurgisme suiviste et moutonnier crée à dessein pour pouvoir gouverner et asservir. De laquelle, il en résulte une situation économico-sociopolitique, où chaque portion de la société ivoirienne composite se sent attaqué par une invasion massive incontrôlée et par une conquête expéditive imprévue très mal contrôlée. Donc, se sent attaqué dans son assisse culturelle et morale, sociale et politique. Et se sent assiéger par la négation orchestrées par des pratiques amorale et immorale de profits. D’intérêts mafieux, exploiteurs par excellence de la misère du peuple, qui fait leur piteuse fortune, maculée de sang citoyen et imbibée de larmes d’orphelins de pères et/ou de mères depuis 1999. La force restant au plus forts. D’où chacun est pris par sa différence sociopolitique et réduit à ce à quoi sa spécificité socioculturelle, biologique ou confessionnelle « devenue crimes » le destine, ou l’autre n’est plus un frère, même pas un ami, mais un ennemi à exterminer ou à abattre a tout prix sur l’autel des intérêts à défendre. Cela au mépris du tout homme est homme indépendamment des castes distinctives sociologiques, biologiques, et culturelles.

*-Et les conséquences ou le résultat de ce bouleversements sociopolitiques suscité, dans un duel d’intérêt de clans sur un tapis glauque et visqueux, sont terrifiant, elle offre l’image des vautours et des rapaces, autour d’une proie en décomposition avancée, ou chacun tire de son côté, n’importe comment, en épiant les autres différences dans les décombres d’une côte d’ivoire pillée privée de toutes ses valeurs ataviques et morales ancestrales, et de toutes ses ressources naturelles souveraines et économiques, toujours à l’image des rapaces rassemblés autour d’une proie en décomposition avancée, en se battant parfois avec leurs semblables, « ne touche pas ou ne t’approche pas de mes affaires dans le partage des butins. Bon ! Ici la croissance économique affairiste, du dirigisme qui oriente l'activité économique par ses interventions afin d’accaparement, appelle toujours le partage mafieux de gâteux», donc, comme dit en cohabitant le reste du temps, dans l’attente du coup de poignard fatal bien administré dans le dos des uns par les autres. Tout en s’efforçant de porter au crédit des autres différences, les désastres qu’ils déclencheront dans la société commune, afin de se poser en référents et sauveurs, et de préserver leurs intérêts mafieux. C’est du classique en politique. En effet pour ligoter psychologiquement un homme quel que soit sa carrure politique ou un dirigeant politique quel que soit le poste qu’il occupe ou le titre qu’il détient, il suffit de l’entraîner dans des mensonges éhontés, dans des compromissions politico-électorales fondés sur des intérêts réciproques, dans la manipulation mercantiliste, qui le rendront lié et feront de lui le complice du processus malhonnête et corrompu, dont il restera complice par intérêt ou pour avoir trempé dans la combine dolosive. Cela au mépris de son libre arbitre.

La porte de sortie de la crise est là, avec les clés connus de tous, un organisme électoral Apolitique et Autonome.

Ceci ci-dessus, est la base même du fonctionnement de ce genre de mafia politique ou des régimes totalitaires. Et répétons-le encore, se faisant ainsi, ces genres de pouvoirs totalitaires s’arrangent toujours pour porter au crédit des autres, les désastres qu’ils déclenchent dans la société commune, afin de se poser en unique réfèrent sociétal absolu et en sauveurs éternel pour préserver leurs intérêts mafieux. Donc rependre la boue et oblige les honnêtes citoyens et tous les passants à patauger dans cette boue et ensuite s’écrier d’une voie sournoise, à l’endroit de tout ce beau monde salie, en disant regardez les, ces gens-là, comment ils sont sales, allez crever en enfer fichus sales mecs. Le peuple souverain ivoirien n’a peut-être pas conscience mais la côte d’ivoire, n’est plus elle-même. La côte d’ivoire ne fait plus partie des nations paisibles enviées du monde. Donc, aujourd’hui, l’essentiel sociétal est en jeu, l’ordre social est en péril, avec l’engrenage mortifère actuel. Il nous faut donc, la constance dans l’action politique de lutte pacifique, le rigorisme dans les positions politiques, la fermeté face au pouvoir prédateur, le synergique dans le combat de survie en non-stop, et souscrire volontiers avec le risque qui sied en politique, à l’affirmation sans retenue des idéaux fortes. La porte de sortie légale de crise est là, avec comme clés d’ouverture, les élections d’organisation Apolitique. Notre crise actuelle, n’a pu se concevoir et se faire que dans la seule hypothèse ou notre pays est devenue l’ombre de lui-même, en déviant de la voie royale tracée par Félix Houphouët Boigny vers la paix.

Cette clef qui est incontestablement une commission électorale totalement indépendante, Autonome et Apolitique, donc, totalement indépendant des partis, des politiques, de la politique, pour n’être que gestionnaire désintéressé. Donc, 1*- Une commission électorale qui gèrera librement tout le système électoral sans aucune interférence de qui que ce soit et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils des experts qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle  *-5- Qui fera une identification claire des électeurs fondée sur une nouvelle option de la nationalité « un nouveau code de la nationalité » *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature  *- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et des modes de scrutins lisibles pour tous *- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale adaptées au bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. ». Mais hélas ! Certainement avec les yeux bandés, on ira encore aux élections « mariage de l’eau avec le feu » en 2025, «unis» par la bénédiction des accords controuvés d’une cohorte politique lamentable, d’aveugles mercantilistes, claudiquant vers un destin mortifère et funeste, qu’on appelle volontiers élections démocratiques.

Ignorant ainsi, la jauge «R?DP cet anti-Houphouëtisme sous couverture de l’Houphouëtisme réduit à la Bâtardise» qui est là, avec sa mesure invariable. Parce que sortie largement majoritaire de toutes les élections « présidentielle, législative, « sénatoriale », locales » avec entre les mains la Glaive de toutes les nominations ». Un alibi toute trouvé d’une légitimité et d’une légalité dans la boite noire étatique, d’une république devenue voyou indécrochable. Donc, l’échelle gondolé en zigzag et micmac «R?DP » oscillant, est bien dressée sur un tapis visqueux pour la montée dans le supersonique «concorde » comme en 2010, 2015, 2016, 2020. Oui, sauf sauvetage par un retour à l’ouverture politique et démocratique, c’est sûre qu’en 2025 ça fera grand bruit dans le ciel ivoire avec ce système cadenassé, et ça sera tant pis pour la stabilité, tant pis pour la paix, tant pis pour la démocratie, et tant pis pour l’état républicain de droit, qui doit se faire enculé sa composante existentielle, qu’est droits et libertés. D’où, malgré nous, les (10 commandements) ci-dessous conditions de participation aux élections de LC_CRS, doublement centriste. D’un éclectisme impassible qui soutient sa foi inébranlable à l’avenir de sa optionnelle position socio-politico-idéologique dans la visqueuse arène politique ivoirienne. Notre crise sociopolitique est une crise du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect des grands principes internationaux en matière électorale, et du non-respect du droit universel de gestions électorales coutumières. Une crise entretenue à VAINCRE ou MOURIR.

                                                                        *- (2)-*

*-Les conditions de la participation aux élections quelles qu’elles soient de, LC_CRS. (Les 10 commandements).

*1)- La LC_CRS ira aux  élections, à l’aise avec sa médaille préférée de tous les temps, estampillée « Pauvre-type », le jour où, la conquête du pouvoir d’état demeurera une épreuve de l’inconnue et des surprises, agréables et désagréables, d’où les vainqueurs ne seront pas forcément les plus nantis ou outillés sinon les meilleurs. Et ou la démocratie se réaffirmera comme la possibilité offerte aux citoyens de créer par leurs votes une majorité politique, démocratique électorale réelle, qui devient alors l’institution politique centrale de l’état républicain de droit.

*2)- La LC_CRS ira aux  élections le jour où, elle sera convaincue, de l’impartialité du système électoral à proclamer la défaite du détenteur du pouvoir d’état.  Le pouvoir des mythomanes doit payer dans les urnes, c’est le seul vaccin contre la maladie de mensonge de la camarilla bouffe-tout. Or, aujourd’hui nous n’y croyons pas. Puisque conscient de sa minorité électorale acquise moins de 20%, le pouvoir d’Abidjan ne peut pas oser ouvrir volontiers, le jeu électoral, qui signifie sa perte du pouvoir. « OUVREZ SEULEMENT, KÖGNINA-MÄ-WROULÖN ». Donc, le ver est dans le fruit depuis 2000, les dégâts sont énormes. D’où se leurrer ici, le réveil serait brutal et cauchemardesque demain.

*3)- La LC_CRS ira aux  élections le jour où, tous citoyens compétiteurs à la représentions nationale, du pouvoir d’état consignée dans sa source qu’est le souverain peuple, pour des élections démocratiques et multipartites. Ou il n’y aura pas de président candidat ou président de la république qui décide de tout le processus, en se revendiquant détenteur du pouvoir mis en jeu, autour du processus électoral, en droit situé au-dessus de lui et hors de sa portée.

*4)- La LC_CRS ira aux  élections le jour où, celles-ci seront conformes aux principes internationaux, aux instruments internationaux et aux pratiques coutumières internationales qui exigent que le cadre des élections démocratique doive pouvoir rassurer les peuples. Au mépris de la volonté des institutions de la république, astreintes à rester les subordonnées du processus conformément aux engagements internationaux en matière de droits de l’homme. 

*5)- La LC_CRS ira, aux  élections le jour où, le consensus s’imposera dans l’ordre du public, au tour de la chose publique. Donc, au terme d’un recensement citoyen distinct du fiche électoral issu de l’enrôlement proprement dite. Pour que les résultats électoraux soient déterminés de manière sincère en évitant les divers mécanismes d’une fraude électorale planifiée. Donc, des élections qui seront la réaffirmation de la souveraineté du peuple, comme ultime détenteur du pour d’état, qui  enfante par ce biais la représentation nationale élus, au terme des élections qui exigeront formellement l’absence d’intimidation dans le processus, d’où qu’elle vienne et quelle qu’elle soit.

*6)- La LC_CRS ira aux  élections le jour où, dans un processus électoral paisible, avec une commission électorale Apolitique, Autonome, neutre, impartiale, la population a gouvernée aura acquis la conviction que les résultats des scrutins reflèteront bien la volonté populaire, donc une confiance inébranlable, avec un corpus électoral, qui encourage et protège, de par ses normes et de par son organisation la tenue d’élection démocratique, qui garantit des chances égales pour tous les participants. Dans une organisation dont la pratique ou l’exercice ne contredit pas la théorie démocratique, donc, réellement fondatrice d’un ordre nouveau, respectueux des droits et des libertés.

*7)- La LC_CRS ira aux  élections le  jour où, les partis politiques et les candidats aux élections, auront l’assurance totale qu'ils seront traités avec égalité par le système électoral tout au long du processus électoral. Ce qui, confèrera confiance à tous les acteurs, citoyens électeurs, partis politiques, groupement politique, et candidats en compétition dans tout le processus et dans chaque étape du processus électoral, qui est indispensable à l’intégrité électorale. 

*8)- La LC_CRS ira aux  élections le jour où, les élections constitueront un outil qui servira à débarrassée la côte d’ivoire, de toutes les scories passéistes d’implantations mafieuse, et conduiront à la stabilité politique et à la paix sociale Houphouët-enne. Avec un système électorale qui garantit le ZERO Mort, et veille a l’Olympiade discursive, ou l’homme politique serait contraint de convaincre, de persuader, de dissuader, de jouer le gyroscope éclaireur, pour gagner l’adhésion du peuple a ses idées et partant pour gagner les élections démocratiques pluralistes. 

*9)- La LC_CRS ira aux  élections le  jour où, soutenue par des citoyens convaincus en la voie royale à suivre «celle de Felix Houphouët Boigny» vers la lumière du développement intégral de l’homme, ou le pouvoir d’état ne serait plus au bout des fusils, et/ou acquit sur la base des faux auras, des fausses notoriétés et des faux prismes d’escroquerie morales et intellectuelles, ventilés dans des Brouhahas polémistes de publicité, ou d’auto publicité de propagande personnelle ou personnalisée, qui font diversion, par manipulation de la réalité et de la vérité les ennemis numéros UN (1). Et diantre ! Ignorant royalement que les faits sur lesquels nous tergiversons aujourd'hui, au gré de nos intérêts politiques sont, ceux-là sur lesquels l'Histoire nous jugera et la postérité ne nous pardonnera pas demain.

*10)- Enfin, LC_CRS ira aux  élections le jour où, le pouvoir d‘état serait capable de souscrire à un processus électoral respectueux des conditions universelles coutumières des élections. Et fondées sur des règles communes élaborées en conscience, librement, impartialement, qui mettent les citoyens sur le même pied d’égalité et sur la même ligne de départ vers toutes les chances sociétales dans l’ordre du public, et le tout articulées à des normes de régulations sociales acceptées par tous, convergeant vers les principes de représentations sociopolitiques, parce que tous égaux en droits et devoirs. Où tous les changements seront possibles dans l’ordre socio-juridique et dans la paix. Ainsi, la compétition électorale de la démocratie pluraliste, devient un concours de représentativité sociopolitique avec des conditions et chances  égales pour tous. Dans un système électoral Dépolitisé, Apolitique, Autonome, qui rassure de son professionnalisme. Parce que avéré n’être pas issus d’un consensus politique, mais plutôt  totalement dédouané des Hommes politiques, tenus a équitante sur la même ligne de départ. Oui, on ne peut pas rassurer les ivoiriens de toutes obédiences sur la crédibilité d’un système électoral faiseur de couillonnade républicain dans une organisation électorale avérée couillonne, peuplé de partisans irréductibles tenus et engorgés par des intérêts de partis politiques mandants, et qui à sa racine partidaire indéboulonnable au cœur du Bouffi Alassane-land hors-la-loi. Accroché à des lois positifs de votations politiques qui n’est pas souvent des lois conformes au droit universel. Or une norme de régulation sociopolitique n'est pas un texte de loi ordinaire, elle a besoin de l’universalisme coutumier du droit

*- Nous chanterons tous l’hymne national en l’honneur des plus de 10.000 citoyens Zigouillés de 2000 à 2020

Quand ce jour se lèvera, la LC_CRS ira aux  élections ce  jour-là, avec dans son objectif discursifs les TRUANDS, VOLEURS, BRADEURS, de notre pays. Qui contournent sciemment la réalité sociopolitique, par des questions politiciennes, impropres à la pratique électorale et à l’exercice de la démocratie, pour supplanter le tout politique par des rapports de forces financiers. Et ce jour-là, un peuple nouveau restauré en l’état initial naitra. Car dans nos cœurs de citoyen libre, l’espérance Houphouët-ienne est profondément gravée. D’autres disent que les nerfs de l’exercice politique c’est l’Argent soit, mais pour nous a la LC_CRS les nerfs de la politique c’est la constance, la persistance et la persuasion, même si les analyses expertes, doctes, et esthètes pour faire entendre sa voix autour de la chose publique et voir ses griefs soldées dans l’ordre public, ne sont plus audibles et même si toute pensée authentiquement politiques porteuses de valeurs universelles peines à se faire entendre A-CHEZ-NOUS-PAYS. BON ! « Richard NEUSTAD un grand expert des présidences américaines observait en 1960 dans un livre qui est devenu la bible de KENNEDY que le président des Etats Unis ne possède qu’un seul pouvoir, le pouvoir de persuader ». Notons, qu’en 1981 « j’avais 19 ans » le FN de Jean Marie Le Pen n’a pas réussis a réunir les 500 parrainages nécessaire pour être candidat 1981 et Valérie Giscard d’Estaing en a déduit après que Jean Marie Le Pen n’a pas osé se présenter contre lui parce que le FN et Jean Marie Le Pen  ne représentait que 2%. Bon ! Aujourd’hui le même FN au-dessus de 23%, file vers les 30% et s’impose comme la première force politique Française. C’est ça le prix de la constance. La capacité de persuader est une arme plus efficace que les mensonges d’état, que les armes des rebelles maquisards et plus que les armes d’une alliance de putschistes, vulgaire Malfrats, briseurs avérés de souverainetés nationales.

Donc, loin d’être un rêve puéril ou crédule, c’est un serment et une promesse. Nous danseront ce jour-là, aux sons de la musique Zaouli dans toute sa cohérence. L’olympiade démocratique aurait ainsi retrouvé son champ réel. Donc LC-CRS dansera, heureuse ce jour-là, de récolter au bout du rouleau électoral, les plus de 50% des voix d’un taux de participations de plus 85% , ou de récolter au bout du rouleau électoral les moins de 50% des voix des 100% de citoyens inscrits sur la liste électorale, devenue fiable. Sinon devenue conforme à l’électorat d’un pays de près de 30.000.000 d’habitants, mais qui n’a que, 7.397.413 électeurs seulement sur un fichier électoral bancal, manifestation du dégout citoyen pour la chose sociopolitique et partant pour la chose électorale. Donc, les 100% de l’électorat ressortissant d’un découpage électoral, basée sur la quantification de la population administrée au prorata du même nombre d’élu pour le même nombre d’administré partout dans l’assiette territoriale. Puisque l’élu représente les populations humaines en nombres égaux définit, et non l’étendu de l’espace administré. Quel que soit le score obtenu, rester serein et fier d’avoir subi l’honorable jugement du peuple souverain, ultime détenteur du pouvoir d’état. Donc, fier de s’être soumis et d’être jugé sur notre valeur réelle de représentativité nationale fondée sur la confrontation des idées politiques et les voies sociétales proposées. Qui donnera des résultats sans reproche nationale. Peuplées de messages à la la manière de Hong Gong envoyé à pékin. Des tirs pleine lucarne à la LULA DA SILVA. Des penalties imparables à la Emmanuel Macron. Des contre pieds parfaits a la Gloria Meloni ou a la Gert Wilders. Des tirs sur intérieur de la barre a la George WEAH. Des forfait préventifs et préservateurs à la François Hollande . Et Des défaites a la Javier Milei. Etc. Pour afin aboutir à un pouvoir d’état conforme au principe du : « le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple » de la Grèce antique, adopté par  Abraham Lincoln. Ce jour-là, nous chanterons tous un véritable hymne en l’honneur des plus de 10.000 citoyens libres tombés, zigouillés aux termes des élections de 2000 à 2020 sur l’autel de l'acquisition du pouvoir et de sa conservation à tout prix... *- Sur ceux, et bien que dégouté, nous avons Kouma, Citoyens ! Que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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16 février 2024 5 16 /02 /février /2024 02:29
Lepetitfils : D’après les sages c’est au terme de la réflexibilité qu’on peut voir un charbon et dire de quel arbre de nos savanes il est issu. Que c’est la sagesse qui permet de connaitre un homme qui transpire la sueur sous la pluie ». Oui, la LC_CRS, de par nos longs écrits, nous espérons de la sagesse protectrice de notre gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance lampadaire de Nelson Mandela, de l’endurance luminaire de Gandhi, et du courage luminescent de Martin Lutter King, la victoire de ses illustres personnes par la force de la parole éclairante est une Boussole.

Lepetitfils : D’après les sages c’est au terme de la réflexibilité qu’on peut voir un charbon et dire de quel arbre de nos savanes il est issu. Que c’est la sagesse qui permet de connaitre un homme qui transpire la sueur sous la pluie ». Oui, la LC_CRS, de par nos longs écrits, nous espérons de la sagesse protectrice de notre gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance lampadaire de Nelson Mandela, de l’endurance luminaire de Gandhi, et du courage luminescent de Martin Lutter King, la victoire de ses illustres personnes par la force de la parole éclairante est une Boussole.

«CITOYEN, A LIRE ABSOLUMENT POUR REGARDER TA SOCIÉTÉ, OU SE RÉVEILLER DEMAIN DÉPAYSÉ DANS UNE AUTRE SOCIÉTÉ»

D’emblée disons Bravo ! Bravo ! Et Bravo aux éléphants qui ont refusé d’être traité comme des éléphanteaux. C’est leur victoire contre la résignation, contre le fatalisme et contre le découragement, la voix gyroscope la plus hautes de la côte d’ivoire nous a enseigné que « découragement n’est pas ivoirien ». Merci et Bravo ! Ceci étant revenons à nos moutons pour ne pas qu’ils pourrissent. Oui, au-delà de l’euphorie festive, une société doit pouvoir se miré et se reconnaitre. Donc, citoyen ivoirien, voici le miroir de ta social. Puisque, dans une crise sociopolitique entretenue sciemment, on ne se tait pas puis s’en sortir par la bonne porte. Oui, la Nature se marre des peuples qui se plaignent des conséquences de leurs souffrances alors qu’ils en chérissent les causes. Voilà pourquoi l’homme politique doit parler, parler, toujours parler »). La vérité qui a horreur de l’emballage et du saupoudrage se trouve dans le détail.

*- Notre méthode sacerdotale d’éclaireur ne changera jamais, tant que le besoin de régulation sociale existera.

Détaillons et étayons, donc, puisqu’on ne se tait pas dans une crise sociale puis s’en sortir par la bonne porte, nous soutenons ici au risque de déplaire à ce qui ne comprendra pas le sens de notre recherche inlassable, parfois ingrate de l’ordre social, de la paix sociopolitique réelle, que «l’absence de détonations de fusils n’est pas la paix réelle» que, dans une société en crise aiguë, l’acculturation, la dénaturation, la désocialisation, la dégénérescence sociale, morale et des mœurs sont extrêmement périlleuses, que, « une crise sociopolitique n’est pas assujettie aux armes matérielle fusils, elle est souvent de destruction socioculturelle», et que la division dissolvant est contre-productif et aussi périlleux pour une nation en criseDonc, face à notre crise de changement incontrôlé et dénaturante, devons-nous, nous résigner face à notre façonnage mental, systémique et socioculturel, et face à la tempête des mensonges mercantilistes, des trucages électoraux et des élucubrations politiciennes de toutes sortes, qui ont pour fins essentielle de soutenir une ambition monarchiste d’un républicanisme non avouée ? Nous résigner, en devenant des citoyens vaches qui ne demandent qu’à manger dans une société de suivisme mentonnier tirant à hue et à dia pour leur ventre uniquement ? Non !

Redisons Non ! Puisque le citoyen digne de ce Nom, est astreint à être le régulateur de la société dans laquelle il vit, et a le devoir d’être acteur du développement social de cette société, et surtout à être acteur de  son propre développement personnel. Donc, ne rien céder à la destruction galopante des mœurs sociale, a la dégénérescence socioculturelle planifiée et organisée. Afin de construire une société dont, non plus l’état truand, malfrat, et riche, mais l’homme incarnerait la centralité, et le citoyen le cœur de toute action économico-socio-politique. Qui mettra l’homme au centre du débat économico-politique, le citoyen au cœur du débat développemental, et qui conduirait à l’avènement d’une société à identité culturelle reconnue qui organise la solidarité envers les plus faible d’une société plus juste, plus cohérente, plus égalitaire, plus humaine, plus solidaire, régie par des normes de régulation sociale acceptées par tous. Dès lors, le citoyen ivoirien gyroscope légal et légitime du peuple ivoirien, doit résister et espérer. Puisque c’est une réalité de par le monde que, l'espérance est une détermination héroïque de l'âme, et sa plus haute forme est la résistance pour pouvoir surmonté le désespoir. Donc se résigner Non ! Mais plutôt espérer qui est résisté dans ses droits, avec ses droits, pour les droits du peuple, et les libertés fondamentales de l’homme.

*- Une opposition corbillard pour toutes les espérances, pour toutes les compétences, pour les Ambitions légitimes

Ici, Résister dans la non-violence contre une autorité de fait, c’est non seulement refuser de se soumettre au non-droit d’un pouvoir dénaturant, désocialisant, acculturant, démoralisant, dépravant, donc oppressant, c’est aussi contester son principe d’organisation économico-sociopolitique, dénoncer publiquement son mode d’accession au pouvoir et s’opposer à sa politique de gouvernement, ou se désolidarisé de ses formes d’exercice du pouvoir, et à l’existence dictatoriale de sa politique obscurantiste. L’ivoirien doit résister au chevet de sa société malade, en voie de changement d’identité culturelle et morale et de désocialisation. Parce que le citoyen gyroscope d’une société en crise, n’a pas le droit de se résigner, en procédant à la prosternation intéressée, a la courbette carriériste, a la génuflexion loufoque d’arriviste, à la soumission seigneuriale assujettissante, ou de céder au fatalisme résignant et suicidaire face au devoir citoyen de résister. Oui, la LC-CRS mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, Républicain-Social, né dans la douleur et dans la peur du lendemain du décès du vieux « fin 1993 », ne peut varier là où rien n’a changé, Non ! Mouk ! Jamais de la vie ! Ça doit changer. Donc notre méthode d’éclaireur ne changera jamais, tant que le besoin de régulation existera, dans notre désormais fichu de pays de merde.

Notre crédo sacerdotal est de dissuader, convaincre, persuader et persévérer à toute épreuve dans les mêmes positions et dans les mêmes discours, et y persister dans la recherche inlassable parfois ingrate de la paix sociopolitique. Nous y sommes et nous y vivront a vie, et pour la vie. Donc, la LC_CRS, fort d’une foi inébranlable et d’une espérance nouvelle qui surmonte le désespoir va résister dans ses droits, avec ses droits, pour les droits des citoyens contre la dégénérescence sociale. Résister donc, dans une société a identité socioculturelle spécifique dans le monde. Le citoyen n’a plus le droit de se leurrer, il faut le dire de façon clair et net. L’opposition ivoirienne toutes tendances confondues, « peut être largement majoritaire, puisque les dispersions, les mésententes, les rééditions et les capitulations intéressées, ont fini par créé un doute quant a la majorité de l’opposition», ne peut aucunement espérer reprendre le pouvoir d’état, au terme d’une quelconque  élection générale. L’opposition est devenue le corbillard des ambitions légitimes et des compétences scientifiques, elle est devenue surtout le cimetière des droits inaliénables et de toutes oppositions politiques et démocratiques. Cette opposition ivoirienne martyrisée qui était une Ambulance depuis 2011, a été mitraillée par les élections locales dernières, elle risque de devenir un corbillard pour elle-même, mais aussi pour toutes les espérances, pour toutes les compétences, pour les Ambitions légitimes.

*- La crise sempiternelle demeure à nos côté, logé dans une bicoque d’injustice organisationnelle et sociopolitique.

Cette opposition attentiste, observatrice, pour éviter le mot « résignation », est entrainée vers l’engrenage de sa perte, et trimbaler petit-a-petit vers un précipice abyssal, qui donnera la parole aux élucubrations judiciaires de piètres juristes et de malhonnêtes politicards, et surtout, aux armes « fusils » en 2025 comme en 2010, 2015, 2016, et surtout 2020. Le pouvoir d’Abidjan d’un despotisme moutonnier à réussit le plus difficile, qu’est la conversion des mentalités sociétales, en créant un nouveau paternalisme de panurgisme, terreau fertile du monarchisme «C’EST UN PAPA, C’EST UNE MAMAN, LE VIEUX, LA VIEILLE des mots infantiles, crédules à tout bout de champs qui n’a aucun sens respectueux ou de civilité courtoise, et qui a fragilise, voir, mit en lambeaux les fondements sociologiques, culturels, étatiques, économiques de la côte d’ivoire». Les identités souveraines nationales, ne peuvent être altérées par une politique universaliste. Ou par une pratique de politique sociale d’implantation expérimenté par le pouvoir d’Abidjan à vocation ou à tendance monarchiste. Ce pouvoir qui abhorre le peuple éveillé et debout, et qui adore le peuple mouton soumis à la terreur des actions arbitraire, et/ou des procédant nantis et puissant, est conscient de sa minorité électorale acquise de moins de 20% de taux de participations et plus de 80% de taux d’abstention constant.

Ce pouvoir ne peut, donc pas oser, ouvrir le jeu politique, démocratique et électoral. Non ! Cela signifie sa perte du pouvoir d’état confisqué depuis 2010. Donc, ce pouvoir sera l’arbitre du processus électoral de 2025, avec sifflet d’arbitrage a la bouche, la commission électorale, le conseil constitutionnel, le découpage électoral et le mode de scrutins  électoral «supports des votes citoyens », ne sont pas à toucher dans un Processus électorale de foutaise. Et par conséquent, ce pouvoir nous impose et continuera à nous imposer, tous ses travers politiques d’Animosités, tous ses errements économico-sociopolitiques de ballon de basket, et nous affligea à volonté de discours creux déconnecté de la réalité, qu’est la décomposition social avancée et l’acculturation du terrain sociopolitique, par des actes politiques qu’il pose, et nous impose depuis 15 ans de gestion sociopolitique puérile et de despotisme. Leur action politique amateur de credo compromissoire, qui décontenance la totalité sociale rendu résignant et puéril, par un matraquage mental, par une escroquerie morale et intellectuelle propagandiste et fanfaronne, portent en elles-mêmes, les germes de la guerre civile, de toutes sortes de crises sociopolitiques, comme les nuées portent inexorablement l’orage. Nous disons a l’ivoirien, que son pays sous l’emprise du laisser-aller, du tout-permis, de la tyrannie, de la dictature, du despotisme vire a une politique sociale liberticide et chaudronnière pour les droits.

*- Citoyen ! Voici ci-dessus entamé et continuer ci-dessous les maux contre lesquels, il faut absolument résister.

Bon ! Continuons, étayons ces régimes liberticides euthanasistes des droits auxquels il faut résister: *- La tyrannie est un régime politique, ou on appelle tyran tout homme qui, dans une cité, s'empare illégalement du pouvoir souvent par les armes et le conserve par la force de ses armes, au mépris des normes juridiques de la société commune. *- La dictature est un régime politique autoritaire, établi et maintenu par la violence, à caractère exceptionnel et illégitime. Elle surgit souvent dans des crises sociales très graves, il s'agit en général d'un régime très personnel ; mais l'armée ou le parti  peuvent servir de base à des dictatures institutionnelles. *- Le despotisme est un régime qui donne une marche de conduite à suivre, tel que le ferait un père envers ses enfants, ma position ou rien, ce que j’ai dit ou rien. « Rousseau dans son Contrat Social en disant que « le tyran peut n’être pas despote, mais le despote est toujours tyran illustre magnifiquement cette acception « dictateur, despote et tyran ». Ainsi ils détournent habilement la politique de sa destination sociale et la déroute insidieusement de son acception littérale, qu’est ce qui a trait au collectif, au général, au commun, donc à ce qui a trait à une somme d’individualités et/ou de multiplicités. A cet égard toute personne qui ne s’intéresse pas qu’à elle-même, pratique donc de fait, la politique.

Nous disons donc, attention au citoyen ivoirien, qui n’a pas le droit de ne s’intéressé qu’à lui seul, que son pays se désocialise, s’acculture, ses mœurs ataviques foutent le camp, sa morale cède la place publique sociétale à celle d’implantation in-enviable, qui ne lui ressemble pas du tout, que son pays vire à une usine à gaz anti-droit, anti-liberté, antidémocratique, à l’état monarchiste dénaturant, à l’état despotique paternaliste, paria et d’escroquerie et vols, devenus des valeurs sociopolitiques à lui imposé progressivement. Avec la condition unique de la soumission seigneuriale ou la prison, sinon la persécution pour toute sorte d’opposition. Et que les petits malins avec des forces nouvelles résultantes des tous-permis prennent progressivement le contrôle de sa société dans des Bicoques criminelles d’obscurantismes et estampillées lieux de cultes ou temples-états dans l’état. Dans capharnaüm kafkaïen d’une société de pétaudière, ou Force reste désormais à la criminalité de toutes sortes, « Agression délibérée, physiques et morale, escroquerie morale et intellectuelle légalisée, vols sacralisé et socialisé, et admise comme règle de profit, bradage des ressources naturelles souveraines etc., couvert par des  mots et des phrases inhumaine, du genre ( il croit que c’est la lois et la justice, il me connait pas. Aujourd’hui je peux tout faire il n’y aura rien. Hôh, qui va me chercher même). Oui, Il est de notoriété universelle que les pouvoirs absolutistes, sectaires instaurent le tout permis tout et comme les sectes criminelles, les confréries criminelles, les sociétés secrètes criminelles attirent toujours l’ignorance vache et la criminalité de toutes sortes dont la tentation la plus forte est de violé les interdits sociaux sous leurs coupes, en levant les interdits sociaux ou en fermant les yeux sur l’amorale et l’inhumain tout en se posant en référant absolus». Oui, c’est une constance qu’aujourd’hui, les lois normes identificatrice de la société sont soumises et assujetties à la force du vouloir criminel, et l’honnêteté est devenue un crime dans un Bazar destiné aux profits et aux Gains dolosifs faciles à prendre sans se faire de soucis pour les méfaits. Donc citoyen ! Voici ci-dessus entamé et continuer ci-dessous les maux contre lesquels, il faut absolument résister.

*-La meute politicarde prédatrice imperturbable attend son festin sinistre, sadique, pervers et macabre en 2025.

Et sacrilège d’hier de nos enfance, l’enfant se prostitue sous les yeux de ses géniteurs « elle ou il est courtisé » se contenteront indifférent de te rassurer, en ignorant totalement que tout courtisant est malhonnête, que seul le but qu’il recherche l’importe. Le Racolage est devenu une activité lucrative et valorisante dans notre pays. L’intellect est en passe d’être vaincu sur un Ring socioculturel d’exhibitionnisme des volumes de postérieurs et en passe d’être assujettie aux invites capricieuses des Arrière-trains convexe et marchandes. Dans un désordre de discours creux « MÖGÖ-FÄGÄ-WOUYÄ » déconnecté de la réalité économico-sociopolitique ne rassurent plus personne. Oui, cette dégénérescence sociale dénaturante, n’est pas une évolution, n’est pas un développement, n’est pas un progrès social. Non! La côte d’ivoire ne doit être l’image d’aucun autre état, riche soit-il, elle doit rester conforme à ses valeurs initiales pour pouvoir compter dans le concert des nations. Donc, si on doit arrêter cette décomposition sociale il faut certes résister dans le temps, mais aussi se réveiller très tôt des maintenant. Une société se règle ou se régule a la base, la gouvernance  politique et économique du haut vers le Bas ne suffit pas, pour nous. Or ce pouvoir camarilla de bouffe-tout, d’attrape-tout, de renégats, de nihiliste, d’iconoclastes, de mafieux Bazardeurs, n’a plus honte de ses actions de plantages sociopolitiques catastrophiques et de ses échecs électoraux répétés. Il porte ainsi ostensiblement ses fiascos de gouvernances fièrement en bandoulière, ses plantages économico-sociopolitiques catastrophiques sont ses fières consécrations, « la crise ivoirienne est finie ». Alors que  logé dans des bicoques obscurantistes de l’injustice organisationnelle et dans des poches d’injustice économico-sociopolitique, nourrie à la haine des autres différences, qui n’adorer que le clanisme d’appartenances mafieuses, affairistes, de copinages, de concussions, etc., la crise sempiternelle demeure à nos côté évoluant avec nous vers un précipice sociétal abyssal.

Donc, nous tendons inexorablement vers une nouvelle crise sociopolitique en 2025. Puisque toutes les crises ont pointé leurs nez renifleurs à l’horizon, « crise de non-respect du droit, crise nourrie par les normes de régulations sociopolitiques personnalisées de confiscations du pouvoir d’état, crise de droit civil et politique, crise sociale, crise intercommunautaire, crise civique et sociétale, crise morale et des mœurs sociétales, crise de confiance dans les gouvernant mal élus par seulement 20% de dégoutants contre 80% de dégoutés, crise de légalité textuelle, crise de légitimité populaire du pouvoir d’état, crise de vérité et pire, crise identitaire », avec plus de 80% de dégoutés exclus de la vie politique de leurs pays face à 20% de dégoutants soutenants leurs pouvoir élus. Nous le disons par devoir sacerdotal de citoyen libre. Et nous sommes la LC_CRS, Mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicaine sociale, et Houphouétiste endurcie, qui a préféré l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle, bien que le monnayage de nos activités nous aurait rendu milliardaire, parce qu’il y a des gens qui en connaissent sa valeur sociopolitique et le prix juste de son apport en politique», notre éclectisme impassible soutient notre foi inébranlable en l’avenir de notre position socio-politico-idéologique dans l’arène politique ivoirienne, malgré le sempiternel chaos social à nous imposer.

*-Depuis 1999 le pays est habilement entrainer petit à petit dans l’engrenage fatal par la logique du pouvoir absolu

Bon ! «Les sages ont l’habitude de dire, que c’est au terme de réflexibilité qu’on peut voir un charbon et dire de quel arbre de nos savanes il est issu. Que c’est la sagesse qui permet de connaitre un homme qui transpire la sueur sous la pluie ». Oui, la LC_CRS, de par nos longs écrits, nous espérons de la sagesse éclairée de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance lampadaire de Nelson Mandela, de l’endurance luminaire de Gandhi, et du courage luminescent de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes par la force de la parole éclairante, doit être un exemple, un éclairage pour nous. Une espérance pour nous de pouvoir restaurer a initiale notre pays la côte d’ivoire d’une manière ou d’une autre. Donc, nous espérons de demain en refusant aujourd’hui de nous s’inscrire sur le registre dénaturant et fossoyeurs de la démocratie, qui ne s'intéresse pas à l'homme, mais à dieu l’argent. Oui, 2025 est programmé pour être explosif et ce pouvoir gèrera les décombres après. C’est ainsi qu’à dessein, à souhait et a volonté, ce pouvoir monarchiste et despotique sacralise les institutions étatiques au point, où toute position contraire à la sienne, toute proposition ou décision d'organisation alternative, est perçue comme un acte de criminalité. Un pouvoir bouffe-tout, attrape-tout, fait-tout, et du tout permis, qui revendique que les citoyens devenus « vaches et/ou moutons » puissent organiser leur propre défense dans un enclos étriqué, sans ouverture aucune, sans issue de secours en cas de danger et de prédation. Ainsi, la vraie démocratie, qui est l’apprentissage des limites prescrites, dira alors au-revoir à notre pays martyrisé. Ainsi, la démocratie serait alors définitivement morte, et dès lors elle ne serait qu’à expédier au cimetière sociopolitique de, « A-chez-nous-pays » devenue une société «salades de lagune» hybridée, Bâtardise, dénaturée sans repère atavique

Oui, nous avons toujours dit et répéter, donc, Répétons-nous ici encore, la côte d’ivoire va mal, très mal même, depuis le 24 décembre 1999, date du coup d’état arriviste dénommé « révolution des œillets », pour arriver aux 18-19 septembre 2002 « coup d’état manqué transformer en rébellion », jusqu’au 11 avril 2011 « date du honteux kidnapping postélectoral » la côte d’ivoire vie le chaos sempiternel des élections calamiteuses, qui sont toujours la cause controuvée par des politicards expéditifs et carriéristes. Oui depuis 1999, la côte d’ivoire est habilement entrainer petit à petit dans un engrenage fatal par la logique du pouvoir absolu d’un homme et son escouade phalangiste peuplé d’une aride meute toujours en élucubrations mégalomaniaque. Oui, la côte d’ivoire, d’élection, a élections confisquées, entre les mains d’un nombrilisme Amoral, est comme un homme emporter par la violence de la puissance du courant de l’eau du fleuve, « comme la puissance de l’eau du fleuve Bawoulé «ou Bawouré» ancestral quelques par sur la terre de nos ancêtres dit aujourd’hui Nord », qui se noie petit-a-petit, tout en faisant des mimiques désespérées chemin faisant vers la gueule du prédateur crocodile, bien attentiste a l’image de sa proie résignée, qui s’essaie intempestivement de rassurer tout le monde en faisant des grimaces désespéré, que tout allait bien, qu’il est grand nageur. Alors qu’il n’a plus de souffle, il est épuisé et résigné et le prédateur crocodile imperturbable attend son festin immanquable, sinistre, sadique, pervers et macabre prévu pour octobre 2025.

*- Au total, nous disons Non ! Non ! Et Non ! Pas pour aujourd’hui, mais demains, le demain de notre pays.

Il en va de la médicine comme de la politique, il n’y a pas de bon remède sans un juste diagnostic. Donc, disons que, depuis 13 Ans,  la côte d’ivoire conduit sur la voie déviationniste d’une nouvelle ploutocratie rigide, est devenue une société de désordre a ciel ouverte. Ou la morale sociétale Atavique est en congé, les mœurs dépravées, lhonnêteté devenue un crimeOui, un grand Bazar s’est installé dans la société ivoirienne comme règle de vie, une grande foire aux larrons s’est ouverte sous nos yeux sur la terre de nos ancêtres. Une vie sociale de sectarisme nébuleux, est née sous nos tropiques, une réelle crise identitaire et sociologique pointe à l’horizon et son nuage est trop épais. Une mutation sociale d’irruption imprévue, à engendrer une dégénérescence sociale qui affaiblit la société, l’existence de la nation et de la paix. Puisque la paix est une valeur qui recherche des formes supérieures de coexistence. C'est un idéal qui évite l'hostilité et la violence, qui génèrent des conflits sociaux inutiles. D’où, une exigence de la paix Houphouët-ienne est que le Bidon de Bandji-Blanc atavique côtoie, le Céri-Dagâ et se congratulent, dans le respect mutuel, comme deux camarade d’une même citoyenneté commune. Donc, que l’arrivant n’annihile pas l’accueillant.

Oui, la côte d’ivoire vit une transformation qui cause une désagrégation sociale : De déculturation «destruction totale d'une culture » D’acculturation «des transformations qui affectent le modèle socioculturel original atavique» D’Amoralité « ce qui est étranger à la morale, qui ne prend pas la morale en considération ». D’Immoralité, « l'immoralisme nihiliste qui s’oppose à la moralité,  Ici, l’immoralité consiste à transgresser délibérément les règles de la morale originelle atavique, qui consiste à refuser ou nier l'existence d'une morale ancestrale, voire à encourager sa transgression ».  Donc, la dépravation des mœurs sociétales « Comportement dénaturé, manière de se conduire immorale ». De dénaturation sociale, « altérer la nature de la société et déformer les mœurs sociétales». Donc une politique gouvernementale de  conjugaison de toutes les criminalités. Et la société que cette ploutocratie nouvelle Anti-Houphouët-isme sous couverture de l’Houphouët-isme réduit à la bâtardise, nous annonce, ressemble à une assemblée inconsciente d’individus, sans repère moral, sans doctrine, sans idéologie et sans racine sociale réduit à suivre la direction du vent et incapable de réactions citoyennes, de protestations légitimes. Et confinés dans un train d’enfer et de damnation au couleur ivoire piloté par des fanfarons, des truands, des malhonnêtes, des voleurs, des sans foi ni loi ; tirant à huer et à dia pour leurs ventres et pour leurs propres intérêts égoïstes, égocentriques. Alors que, le pays bat et se débat toujours sous vingt-quatre «24» Ans de gravats sociaux «1999-2024» où valeurs sociales et sociétales sont en Ruine. Donc, au total, nous disons Non ! Non ! Et Non ! Pas pour nous même aujourd’hui, mais pour un demain non-dénaturé, le demain de notre pays, la côte d’ivoire d’Houphouët.  

*- Voici le système qui est adapté au conteste sociopolitique de crise de la cote d’ivoire pour rassurer tout le monde.

La côte d’ivoire au-delà de l’aspiration légitime de toutes nations d’aller vers le développement et le progrès social, a besoin avant tout d’une sérieuse restauration identitaire, une légitime et légale resocialisation à l’identique du initiale socioculturelle Atavique, pour pouvoir sauvegarder son identité de source multiséculaire, dans le concert des nations civilisées ou chacun est reconnaissable par une identité culturelle spécifique. Donc nous disons que, pour la côte d’ivoire post-guerre, l’ordre socioculturel manque dans la vie publique. La côte d’ivoire de Félix Houphouët Boigny a donc, plutôt besoin de l'émergence d'ordre socioculturel, qui favoriserait un état réel d’harmonie entre les hommes de tous horizons et entre l’homme et la réelle nature ivoirienne. Oui, avec l’ordre socioculturel et l’ordre de la sociabilité, comme substrat, et avec le respect strict des normes de régulations sociopolitiques adaptées, la pratique démocratique bien comprise, auront pour but de renforcer les institutions républicaines. Ainsi la stabilité sociopolitique, et la confiance qui en résultent, auront pour but de renforcer et de soutenir le développement total et intégral, le progrès social pour tous. D’où le citoyen ivoirien serait le cœur de toute action développementale. Oui, pour la stabilité sociopolitique, la côte d’ivoire avec l’ordre socioculturel revenu a besoin d’un système électoral qui rassure tout le monde. Disons, de façon claire et nette, tant qu’il n’existerait pas un système d’organisation électorale, non pas consensuel des partis politique, mais plutôt Apolitique, Autonome, Indépendant, Neutre Impartial et totalement dédouané des Hommes politiques, aucune élection ivoirienne ne peut aboutir sur la stabilité sociopolitique, et ne peut garantir la paix sociale à la côte d’ivoire. N’oublions jamais que notre crise  ivoirienne, est une crise sempiternelle du dévoiement des pratiques démocratiques et du non-respect du droit universel.

Donc, la côte d’ivoire a besoin, d’une commission électorale totalement indépendant, Autonome et Apolitique, donc, totalement indépendant des politiques, de la politique pour n’être que gestionnaire désintéressé. Donc, 1*- Une commission électorale qui gèrera librement tout le système électoral sans aucune interférence de qui que ce soit et qui s’adjoindra librement tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera librement des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». 3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils des experts qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral consensuelle  *-5- Qui fera une identification claire des électeurs fondée sur une nouvelle option de la nationalité « un nouveau code de la nationalité » *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature  *- 7- Qui se procurera des Instruments électoraux fiables et des modes de scrutins lisibles pour tous *- 8- qui exigera de l’état, des normes juridiques de régulation sociale et de régulation électorale adaptées au bon fonctionnement juridico-politique de son organisme etc. ». Voici le système adapté à l’actuel conteste identitaire de la côte d’ivoire et à la situation socioculturelle et politique, actuelle de crise de la cote d’ivoire, pour rassurer tout le monde. Les objectifs fondamentaux d’un tel système électoral est la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. IL Y A TROP D’IMPAIRS ET DE MALFRATS DANS NOTRE PAYS, PAROLE DE LA « LC_CRS ». Le peuple qui fuit la vérité pour aller soutenir le mensonge, ce mensonge le tue toujours. Tout comme un arbre déraciné meurt toujours ou reste à vie a terre gondolé, ses branches a la recherche de la bonne position vers le ciel. Progrès de « MÖGÖ-FÄGÄ-WOUYÄ » déconnecté de la réalité. Sur ceux, citoyen ! Nous avons Kouma. Bon ! Soumis aux coups de poignards répétés dans le dos de sa souveraineté socio-politico-culturelle réelle, que la nature protège la côte d’ivoire de Felix Houphouët Bopigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir, droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

De Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

Pour tous autres et pour ample infos parcourez votre Blog: www.dacandylepetitfils.over-blog.com

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2 février 2024 5 02 /02 /février /2024 16:38
Lepetitfils : les pauvres et malheureux auteurs avérés de graves infractions unis dans une quelconques fédération exutoire, et pour validé leurs crimes sociopolitiques et leurs trahisons de leurs Peuples, donc, dédouanés de souveraineté n’arriveront a RIEN dans ce monde sauf dans l’Abime socioéconomique des états qu’ils ont kidnappés. Rendez-Vous dans quelques petites Années, les peuples assujettis et martyrisés payeront cash la facture de la criminalité

Lepetitfils : les pauvres et malheureux auteurs avérés de graves infractions unis dans une quelconques fédération exutoire, et pour validé leurs crimes sociopolitiques et leurs trahisons de leurs Peuples, donc, dédouanés de souveraineté n’arriveront a RIEN dans ce monde sauf dans l’Abime socioéconomique des états qu’ils ont kidnappés. Rendez-Vous dans quelques petites Années, les peuples assujettis et martyrisés payeront cash la facture de la criminalité

Chronique, « KOUMA » de façon litote, l’Afrique-Occidentale Française est Mal Partie.

Disons ici, de façon litote qu’Apres l’adoption de la loi-cadre DEFFERRE du 23 juin 1956 et Après avoir été membre de l’A-OF,  jusqu'en 1958, et à la suite de la conférence de Bamako initiée par Gabriel d’ARBOUSSIER, le Sénégal, le Mali, la Haute Volta et Dahomey, ont créé la Fédération du Mali. Dans une commune foi dans le destin d'une Afrique forte de l'union de tous ses membres sans discrimination d'aucune sorte. Et seulement, 1 An et demi après l’acte solennel 2 pays «la Haute Volta et Dahomey » se retirent de la Fédération du Mali, pour laisser le Sénégal et le soudan français  (actuel Mali), porter le projet fédéraliste. Et tout explose le 20 Aout 1960 sous le poids du leadership et des différences socioculturelles. C’est une constance universelle, qu’il est techniquement indispensable que ce genre de fédéralisme doit être porté par une locomotive incontestée. Donc, se réunir autour d’une idéologie anticoloniale ne suffit, et un socle cultuel et/ou culturel ne garantit jamais un tel Fédéralisme sans la cohérence partagée d’un substrat culturel, sociologique et comportemental, qui garantit cette autre fédération des US et Coutumes partagés qui résulte de ce fédéralisme étatique.

Puisque les frontières socioculturelles, coutumière, comportementale, sont plus larges et difficilement soudables, que le frontières terrestres arrimé à une idéologie opportuniste anticoloniale, peut-être même cultuelle et/ou culturelle, qui ne peuvent éluder les réalités coutumières et ataviques. Oui, de par leurs conceptions coutumières, sociologiques, comportementale, la fédération ne réussit pas aux pays de l’Afrique-Occidentale Française, pour s‘en convaincre, revoir la multiplicité des mœurs coutumières et des empires ancestraux dans ce tout petit périmètre de l’ex-Afrique-Occidentale Française. Donc, le fédéralisme s’est déjà cassé ici et ça va se cassé toujours là, autours des questions principales qui s’articulent autour, « de locomotive et gyroscope ». Des soldats qui ont commis délibérément, infraction et effraction, qui ont délibérément violé la constitution de leurs pays pour s’accaparé les pouvoirs d’état n’iront nulle part avec une quelconque fédération d’état, leurs socle reste délinquant et criminel. Donc, dédouané de l’art politique, de la notion diplomatique et toute légalité de droit. 

Donc, pour rester dans la litote, comme dit plus haut, nous disons que l’ex-Afrique-Occidentale Française est Mal partie, Elle n’a pas encore les dirigeants politiques d’état qu’elle mérite. L’ex-Afrique-Occidentale Française, ne s’en sortira pas par le changement générationnelle d’âge de ses dirigeants politiques, comment le pensent d’autres, Non ! Il faut plus que ça. L’ex-Afrique-Occidentale Française, ne s’en sortira que par le changement évolutif des mentalités des hommes politiques dirigeants d’état ou non, vieux ou jeunes, ou les normes juridiques de régulations sociales acceptées par tous seraient la seule source légale de l’acquisition du pouvoir d’état. Et l’ex-Afrique-Occidentale Française ne s’en sortira que par de nouvelles conceptions politiques anticipatives des perspectives d’Avenir dans le temps, sans populisme exutoire ou de recherche de soutien d’un peuple qui n’est pas encore politiquement mature. De nouvelles conceptions ou l’homme, oui, l’être Humain serait la centralité absolue de toutes les actions sociopolitiques et de toutes les œuvres développementales. Oui, disons-le, la défense des intérêts politiques claniques et personnifié, couvert par des chansons populistes de diversions, ne servira pas l’ex-Afrique-Occidentale Française.

L’anticolonialisme hermétique cette politique qui est par nature antiélitiste, ne servira jamais l’ex-Afrique-Occidentale Française, l’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés, avec comme l’ex-Afrique-Occidentale Française théâtre d’opération ne servira pas l’ex-Afrique-Occidentale Française, une quelconque tutelle étrangère, comme dossier pour un pouvoir d’état accapareur de la souveraineté des peuples, donc, illégal et illégitime imposé par sa tutelle ou par les armes ne servira pas l’ex-Afrique-Occidentale Française. L’ex-Afrique-Occidentale Française, a besoin de stabilité sociopolitique dédouanée de toute emprise politique ou religieuse, elle a besoin de paix pérenne dans toute l’assiette territoriale de l’ex-Afrique-Occidentale Française, avec l’acceptation des différences quelles qu’elles soient, indépendamment des Castes. Ainsi le développement trouverait son terreau fertile de progrès avec l’être Humain au centre de tout. Le panafricanisme chansonnier de diversion populiste et à commodité nombriliste, n’est pas non plus la solution aux problèmes économico-sociopolitiques de l’ex-Afrique-Occidentale Française et partant développementaux ou l’homme serait la centralité absolue.

Oui, l’éternelle victimisation ne servira jamais l’ex-Afrique-Occidentale Française, qui a besoin de compétition. Oui, Compétition, les colonisateurs ne sont pas les problèmes de l’ex-Afrique-Occidentale Française, Non ! Mais le grand problème pour l’ex-Afrique-Occidentale Française, pire que la colonisation est le mode d’acquisition par les armes et par des élections truquées sur toutes les lignes des pouvoir d’état en Afrique, et son exercice effrénée dédouané souvent de tous droits et au mépris de règles universelles et en dépit des normes de régulations sociopolitiques violées armes aux points, des normes pourtant l’expression de la souveraineté des peuples, parce que, librement votées et acceptées par tous. Oui, une soldatesque qui se lève un Matin, pour donner un coup d’arrêt inacceptable, injustifiable et irrecevable, a l’état de droit, au processus démocratique, en s’assujettissant avec les armes les normes de régulations sociopolitiques de la totalité sociale consentante et votante, est plus que le colonialisme, qu’un populisme panafricaniste exutoire et chansonnier ne pourrait solder, l’acte criminel de bafoué la conception institutionnelle et la morale sociétale. Même fédéré cette criminalité politique n’ira NUL part au monde sauf dans l’abime sociétale.

Même par contre, si une entité unique « peu importe son Nom », des états Africains chapeautés par un pouvoir exécutif centrales, qui coordonne les relations interétatiques d’Afrique entre les gouverneurs étatiques, toute chose qui n’est pas dans la vision sociopolitique de l’Afrique d’Aujourd’hui, qui est toujours à la recherche de nouvelles puissances tutélaires, serait dès lors se faisant dans une entité unique serait salvateur pour toute l’Afrique. Parce qu’il permettrait la progressive unification de différentes forces de pensées politiques et économiques de l’Africaines, pour l’Afrique, pour la Vie Africaine, pour l’homme, pour tout homme, pour les droits inaliénables et pour la liberté dans la dignité. Oui, les pauvres et malheureux auteurs avérés de graves infractions unis dans une quelconques fédération exutoire, et pour validé leurs crimes sociopolitiques et leurs trahisons de leurs Peuples, donc, dédouanés de souveraineté n’arriveront a RIEN dans ce monde sauf dans l’Abime socioéconomique des états qu’ils ont kidnappés. Rendez-Vous dans quelques petites Années pour voir et constaté, puisque la vérité et le réel ne sauraient être occulté par l’euphorie populiste de diversions exutoires des peuples. Et les peuples assujettis et martyrisés, estampillés souverain absolu payeront cash la facture de la criminalité. 

 

Une Chronique, « KOUMA » soit dit-en-passant litote, de Lepetitfils Da Candy, Leader de la légitimité citoyenne.

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16 janvier 2024 2 16 /01 /janvier /2024 11:44
Lepetitfils: Nous avons un doute sérieux de l’écologie mentale, de ceux qui pensent que tout va bien dans la société ivoirienne. Alors qu’en 14 Ans la côte d’ivoire originale, coutumière, a perdu ses repères socioculturels, sa culture de paix et ses sources culturelles sociétales. Oui, notre peuple, la terre de nos ancêtres, la patrie immémoriale de nos aïeux, vit un moment de crise historique sous l’emprise d’un changement politico-économico-socioculturelle d’implantation, dont l’ivoirien doit, œuvrer pour qu’il ne tourne à l’acculturation, a la dénaturation et à la dégénérescence sociale.

Lepetitfils: Nous avons un doute sérieux de l’écologie mentale, de ceux qui pensent que tout va bien dans la société ivoirienne. Alors qu’en 14 Ans la côte d’ivoire originale, coutumière, a perdu ses repères socioculturels, sa culture de paix et ses sources culturelles sociétales. Oui, notre peuple, la terre de nos ancêtres, la patrie immémoriale de nos aïeux, vit un moment de crise historique sous l’emprise d’un changement politico-économico-socioculturelle d’implantation, dont l’ivoirien doit, œuvrer pour qu’il ne tourne à l’acculturation, a la dénaturation et à la dégénérescence sociale.

(A LIRE ABSOLUMENT MËME ENTRE 2 MATCHS DE CAN, LA FËTE NE DOIT PAS CACHER NOTRE DEMAIN. MERCI)

*- Chronique « KOUMA » : Une mission de parolier du citoyen pour tamiser les maux sociétaux.

Bon ! D’emblée soulignons ici, que Malgré l’exutoire évènement footballistique festifs circonstancielle, nous avons le devoir absolu a la Légitimité citoyenne LC_CRS de continuer notre légale et légitime Marche Citoyenne de l’Esperance, vers une société cohérente, conforme à l’Idéal sociétal et au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs de la côte d’ivoire indépendante, donc conforme à notre identité ivoirienne Atavique. C’est notre mission sacerdotale de citoyen. Puisqu’il est connu de tous, qu’au terme de l’immersion « Acculturant, Dénaturant, Désocialisant et déracinant » d’une société  humaine dans le désordre et le tout permis sous un pouvoir absolutisme dont le seul soucis est la conservation du pouvoir, le peuple souverain ne prend conscience le plus souvent du danger réel qu’au stade irréversible, de l’anéantissement total de toutes ses valeurs sociétales et identitaires et des droits, libertés, de la démocratie et du substrat sociétal que cela génère absolument. Oui, la Légitimité citoyenne LC_CRS continuera la légale et légitime Marche Citoyenne/Républicaine de l’Esperance, vers une société cohérente, conforme à l’Idéal sociétal et au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs de la côte d’ivoire, donc conforme à notre identité ivoirienne Atavique. Parce que LC_CRS a pour bréviaire et gyroscope de transporter une voix, qui, loin d’être la sienne uniquement, s’identifie à ce que les citoyens veulent et à ce que la volonté générale exprime du bas vers le haut, au cœur du centre des prises de décisions publiques. Que les bruits des bidonnages, brouhahas et hallalis empêchent souvent cette voix de se faire entendre. Or il est constant que, le lien social, est ce qui permet aux groupes sociaux, aux mouvements graduels de la société, aux organisations corporatives et aux individus, de vivre paisiblement en commun dans une société cohérente et harmonieuse. Et surtout, pour faire société et vie communes, sans heurt majeur, dans l’acceptation réciproque des différences sociétales. La situation socioculturelle et politico-économique exige que nous fassions un état des lieux de notre « vivre ensemble.

Puisque, dans notre pays la côte d’ivoire, une mutation sociale d’irruption imprévue, non-conforme au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs, orchestrée par une politique carriériste aveugle, tend à fragiliser le lien social et rapport social. En lieu et place de sa consolidation par la justice sociale et juridique pour chacun, qui témoignerait sans aucun doute de la très bonne santé et du dynamisme de/dans la société ivoirienne. Une mutation sociale d’irruption imprévue, qui  engendre la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit les droits immémoriaux et la cohésion sociale, de l’état de droit et d’une société démocratique. Nous y sommes désormais. Et sont devenus valeurs, le grand désordre, le tout permis, le bradage des ressources naturelles, la concussion, le copinage, l’argent n’a plus d’odeur dans la vie sociale, et la dépravation des mœurs sociétales. La côte d’ivoire n’est pas l’Amérique, elle ne le sera jamais. Elle n’est pas le Canada elle ne le sera point. Elle n’est pas la Colombie elle ne doit pas l’être. Le développement matériel bétonné et goudronné ne doit altérer les mœurs et les valeurs sociétales ataviques ou dénaturer nos sous-cultures nationales qui font notre identité et civilisation existentielle spécifique dans le monde. La communauté internationale est fondée sur la réciprocité et le respect des différences ou chaque composant intègre avec son identité socioculturelle spécifique. Cela résulte de la compréhension coutumière du lien social, qui est hautement politique et diplomatique, qui veut que chacun doit rester ce qu’il est par essence, au-delà des espaces de la cartographie des états, et doit être reconnu dans son originalité absolue à l’intérieur de l’égalité de tous, « qui ne doit se limité à la cartographie des états décontenancés». Et chacun doit voir ses griefs sociétaux soldé dans une nation qui garde et surveille son identité dans le respect des autres origines de provenance extérieure donc, dans l’exaltation de la diversité solidaire

*- Des dolosives fabriques absolutistes pour être indépendant du peuple ultime détenteur du pouvoir d’état.

Oui, nous ne manquons de courage pour dire que, la côte d’ivoire a amorcer le début d’une crise de désocialisation, d’acculturation sociale, de formatage mental orchestré des citoyens, au bénéfice du bien matériel devenu maitres incontesté d’un monde dépravé au mépris des valeurs ancestrales et au bénéfice de Dieu l’argent, au dédain des morales et castes sociétaux graduées. Donc, le départ d’un euthanasiste systémique des valeurs socioculturelles, d’une dépravation des mœurs culturelles, communautaires de la Côte d’Ivoire, qui peut conduire à coup sûr, sur l’état policier et paria. Sous la conduite d’une nouvelle hégémonie ploutocratique, une pratique politique avouée de dévalorisation des valeurs sociales au profit des valeurs d’implantations et de transplantation, et une gouvernance politique et étatique assise sur la  sélection incompétente des siens, ou concussions et copinages sont régis en règles de gouvernance étatiques. Ce qui provoque l’effondrement total de l’image de la Côte d’Ivoire dans le monde. Hélas comme sous tous pouvoirs absolutistes et autoritariste, avec des entorses répétées aux principes pluralistes de la démocratie moderne, qui provoque une dégénérescence sociale effarante, sous un pouvoir mal maitrisé, qui suscite tant d’injustice, et de consternation des citoyens ivoiriens face à la décadence sociale, de la morale sociétale, des mœurs sociétaux. Oui,  à la Légitimité Citoyenne, nous avons un doute sérieux de l’écologie mentale, de ceux qui pensent que tout va bien dans la société ivoirienne. Alors que, de toute évidence, en 14 Ans la côte d’ivoire originale coutumière, a perdu ses repères ataviques socioculturels, sa culture de paix et ses sources culturelles sociétales. Oui, notre peuple, la terre de nos ancêtres, la patrie immémoriale de nos aïeux, vit un moment de crise historique sous l’emprise d’un changement politico-économico-socioculturelle d’implantation, dont l’ivoirien doit, œuvrer sans relâche, pour empêcher, qu’il ne tourne à l’acculturation, a la dénaturation et a la désocialisation dégénérescente. Ou à de nouvelles tragédies gouvernées par les armes impies intérieur et extérieur au prix des intérêts mafieux

Donc, convaincue que nous sommes à la LC_CRS, que c’est une certaine idée confuse, lugubre, et un certain esprit manipulateur et obscurantiste, appuyé sur des tares et insuffisances institutionnelles, mis au service des desseins arrivistes, carriéristes, renégats, glauques, visqueux et funestes, ont permis la décadente guerre du 24 décembre 1999 à 2011 et les crises sociopolitiques et postélectorales suivantes qui ont conduit à la dégénérescence sociale, nous, nous sommes donné une mission de parolier du citoyen pour tamiser les maux sociétaux dans l’espace public, en espérant obtenir la solidarité autour de l’intérêt général de la société commune et de l’unicité des positions sociopolitiques dans la gestion de la totalité sociale souveraine et dans la gestion des crises. Parolier dévoué du citoyen, notre mission est d’autant plus facile qu’on compte peu sur quelqu’un. La galère assumée est notre Amie. N’en déplaise ! Une société Humaine se régule, se redresse, et se gère dans l’architecture institutionnelle de l’état. Oui, que peut-t-on régler dans une société, quand le pouvoir souverain et absolue échappe au peuple souverain, pour échoir à une politique systémique démodée soutenue par la force Brute des fusils. Que peut-t-on régler dans une société, quand le concours de la représentativité est retiré au suffrage universel direct pour devenir semi-censitaire. Que peut-t-on régler dans une société, quand l’Assemblée nationale charger de transporter la voix du peuple souverain et de prendre le relai légal et légitime du contre-pouvoir citoyen, est d’une majorité factice fabriquée par des textes positivistes et des modes d’accession impropres aux principes républicains. Des dolosives fabriques politicardes absolutistes pour être indépendant du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état.

*- Diffamations et calomnies de toutes sortes de certains BâBiê, Mère-con, une Pratique de SECTES CRIMINELLES.

Donc, que peut-t-on régler dans une société, avec un parlement automate d’enregistrement à la solde d’un seul homme rendu imperturbable par la force des armes systémiques et des armes matérielles serviles au service des ambitions personnelles de dominations condescendantes. Que peut-t-on régler dans une société en dégénérescence avancée avec une majorité parlementaire aveugle missionnaire d’un pouvoir sectaire, dans une assemblée nationale suiviste, de source, « Flêkê-Flêkê », dévalorisée, automate d’enregistrement. C’est pourquoi, La côte d’ivoire a viré lamentablement à une société fourre-tout, dépravée, paria, sans racine, sous un état totalitaire déviant et un état de Monarchisme absolutiste, se revendiquant hélas, républicaine. La société ivoirienne paye et payera le prix fort. Donc dans une telle situation d’absence de toute possibilité de régulation, il ne reste plus à LC-CRS que de se retourner vers le peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état, avec des analyses sociopolitiques, expertes, doctes, et esthètes en espérant l’adhésion du souverain et des citoyens avec leurs cartouches en mains, puisque le bulletin de votes du citoyen contre les fusils de l’absolutisme autoritariste, c’est cartouche contre cartouche.  C’est le seul contre-pouvoir qui reste aux citoyens, puisqu’Analyser une pratique c’est se pencher sur un événement dans une perspective d’évaluation, puis éventuellement participer à son amélioration et son transport vers les centres de délibérations citoyens et de décisions publique. Donc, qu’on le veuille ou non, l’analyse est forcément normative. Elle nécessite l’explicitation d’un modèle référentiel, celui des pratiques internationales coutumières attendues. La vie socioculturelle et politique, se nourrit de débats et d’analyse. Dans la vie en société personne ne soumet de fait personne avec la contrainte de la force de non-droit, tout le monde se soumet par obéissance aux normes et organisations consensuelles, et aux institutions qui en résultent. D’où les vérités ressortissent des idées sociétales.

Cette évaluation analytique de l’action sociopolitique est liée à son futur transfert éventuel sur le terrain vers des normes à élaborées dans une situation anomiques querellée et souvent émis ou soutenue, par des hommes publics ou des acteurs politiques et des citoyens participants sans responsabilités publiques effectives, du moins par  rapport à la situation sociopolitique donnée. Analyser une situation sociopolitique signifie de séparer un tout en ses éléments cela ne va pas sans vérité crue et nue. A fin de l’entraînement de tous les membres du groupe socioculturel à l’intelligence des situations politiques et économiques qui s’imposent et qu’ils peuvent rencontrer. Donc, Analyser une situation c’est étudier un événement inachevé, ou dont l’achèvement est suspendu afin de servir de support projectif au groupe social. Donc, c’est parce que, la vérité est citoyenne que nous poursuivons contre vents et marrées notre sacerdoce, combat contre le l’absolutisme délinquant et le fascisme, contre le terrorisme financières des élites malsains, contre les mensonges d’états, contre l’acculturation, la désocialisation, la dépravation des mœurs sociétales, la liquidation de la morale sociétale atavique, contre l’interpénétration de la politique étatiques et les affaires mafieuses, contre les politiques obscurantistes et contre les plantages de couteux dans le dos des honnêtes citoyens et de la démocratie électorale. Qui se dissimulent tous derrière la dogmatique ou le politiquement correct du monarchisme ploutocratique. Oui, l’objectif de la Légitimité Citoyenne « LC_CRS » n’a jamais été pécuniaire, nous avons préféré l’enfer dès le départ, donc les diffamations et les calomnies de toute sortes, y compris la délation ISLAMISTE, de certains BâBiê, autrement dit des Mère-Con a ciel ouvert. Qui est ISLAMISTE ? Les Sales Pratiques de SECTES CRIMINELLES, ne sauraient avoir d’effet négatif sur nous, et sur notre marche citoyenne de l’Esperance, vers une société cohérente, conforme à l’Idéal sociétal et au calendrier d’agencement sociétale des pères fondateurs de la côte d’ivoire indépendante, donc conforme à notre identité ivoirienne Atavique. Au contraire elles « médisances » nous disent que nous sommes dans le vraie, que nous touchons a la plaie sociétale sur sa vraie surface, ce qui nous motive plus d’avantage dans notre mission sacerdotale de parolier des citoyens libres face à l’absolutisme autoritaire, face à l’obscurantisme nébuleux masqué.

*-Parque qu’il y a le feu à la maison, il faut la sauvegarde stricte des différentes identités nationales et extérieures.

Ces diffamations et calomnies obscurantistes sont l’apanage de sociétés mal gouverné, et des pouvoirs mal maitrisé, d’où les criminels obscurantistes diffament, calomnient et médisent les honnêtes citoyens avec allégation des maux sociétaux, dont ils sont l’incarnation, «pourtant qui ne résistent pas à une bonne enquête de vérification d’intérêt public ou d’intérêt général d’un ETAT SERIEUX , qui ne peut se contenter de ON DIT ou laisser la proie pour l’ombre », cela pour pouvoir éluder leurs piteux état de rébuts de la société. Ils sont conscients que les pouvoirs absolutistes ne se soucient, que de la sauvegarde de leur pouvoir. Ainsi se faisant, tout comme les confréries criminelles et les sectes criminelles, ils lèvent les interdits sociétaux pour attirer l’ignorance en leurs seins et se posé en référant absolu. Bon ! Continuons, l’objectif de la Légitimité Citoyenne « LC_CRS » n’a jamais été pécuniaire, l’objectif de la Légitimité Citoyenne « LC_CRS », est d’abord et avant tout de servir la cause générale, l’intérêt général, et l’intérêt des citoyens libres, même si notre engagement citoyen a effectivement généré des intérêts et des intéressements. Malgré l’obstruction visqueuses et les menaces sempiternelles de toutes sortes, les persécutions politiques « crime contre l’humanité », ou souvent, «nous sommes tout sauf ce que nous sommes en réalité». C’est pourquoi, attaché à notre dignité, à notre liberté, à notre indépendance, non inféodé à qui que ce soit et à quoi que ce soit, fortement attaché aussi à notre libre arbitre, qui fonde notre légitimité citoyenne et soumis aux droits et respectueuse des libertés citoyennes, nous revendiquons ainsi souvent ponctuellement le droit d’aller en enfer pour nos opinions politiques et de déplaire à certains hommes politiques absolutistes, autoritaristes. Qui ignorent que la grandeur ce n’est pas le bien matériel mal acquit dans caisses de l’état, et dans ressources naturelles souveraines, ce n’est pas le poste quel qu’il soit que l’on occupe, la grandeur est dans l’âme. Donc on ne doit pas la chercher ou on ne peut pas la trouver. Ici, c’est l’homme qui donne la valeur aux postes et titres et non le contraire, l’Homme tiré des valeurs dans postes et titres.

Mouvement d’utilité citoyenne, Républicaine Sociale et Doublement Centriste, la légitimité citoyenne (LC_CRS) ne se leurre jamais, au grand jamais. Oui, pour nous, malgré l’évènement festifs footballistique, exutoire de circonstance des réalités sociopolitiques, il est question d’obvier l’euthanasie du socle existentiel de la pauvre côte d’ivoire, pour qu’elle reste socioculturelle de civilisation atavique, respectueuse des morales ancestrales, et NON se réduire à la cartographie des états sans contenance de source, demain !  Il est question pour nous sans aucune temporisation soporifique, de soutenir la société et la culture atavique pour qu’elle ne se noie pas dans l’océan des dépravations des mœurs et des morales sociétales, orchestrées et activées, ou tout simplement qu’elle ne se suicide pas. La côte d’ivoire émerge, se développe, en bétons et en goudrons dit-t-on aujourd’hui, dans un Bazar de tous permis, avec le bradage des terres immémoriales et les pillages sauvages des ressources naturelles souveraines, la cocaïne, la défenestration économiques, le fait nous fait, la concussion, le copinage et la corruption, régies en règle de société permettent certes aux hommes d’horizon divers de s’enrichir facilement en côte d’ivoire, mais hélas ! Le pays de l’hospitalité et de la vraie fraternité perd son identité socioculturelle, et lamentablement, il n’est plus maitre de son destin dans le concert des Nations, cela présage l’enfer pour l’ivoirien de demain, dans un pays vidée de l’essentiel de son contenu. Parole de l’avant-gardiste Leader de la LC_CRS mouvement d’utilité citoyenne doublement centriste. Donc pour nous a la LC_CRS, à ce stade de l’inconséquence dans l’entretien de la débâcle ivoirienne, la question centrale est l’intégration des citoyens libres dans la délibération sociétale. Oui, c’est la délibération sociétale citoyenne qui peut promouvoir une éthique en cultivant dans les consciences individuelles et collectives le sens du commun et de la citoyenneté. C’est cette délibération sociétale citoyenne qui peut motiver les différentes opinions nationales ou venues chez nous, à transcender leurs particularités pour se fédérer autour de desseins culturels et sociopolitiques communs. Dans la sauvegarde stricte de différentes identités nationales et extérieures. Parque qu’il y a le feu à la maison… Citoyens libres, malgré la CAN, nous avons KOUMA. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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7 janvier 2024 7 07 /01 /janvier /2024 02:06
LE TOCSIN: Pour un système électoral Apolitique, Autonome, inamovible, sinon 2025 sera 2010-2015-2020.

*- Chronique: Le présage de 2025, n’est qu’un quatrième mandat arrimé au troisième de 2020, SI ?

L’euphorie festive de nouvelle Année ayant boosté l’espérance sociétale dans son exigence d’être un modèle sociétal respectueux de nos mœurs ataviques sur une nouvelle voie socio-identitaire. Et les compétitions de la fête du ballon rond du 13 janvier au 11 février 2024, qui font éluder les problèmes sociopolitiques, obvier les écueils de la vie au quotidien, unifier les cœurs ou une victoire suffira a danser tous ensembles, en anéantissant ainsi les préoccupations d’avenir, autres que Foot et les anxiétés divers pendant 30 Jours. Commençons par dire ici, qu’en cette Année capitale de 2024 pour la côte d’ivoire, Capitale puisque ce n’est pas en 2025 Année électoral que se règlera  le système électorale: Que, la LC-CRS , mouvement d’utilité citoyenne, doublement centriste, républicain social, Houphouët-iste endurcie, qui œuvre pour que la souveraineté échoie au peuple et que rien n’échoie de non-droit à l’Absolutisme obscurantiste, ne se taira jamais, tant que l’essentiel sociétal est en jeu. Une société ne peut se réduire a être gouverner seulement que par la gestion administrative et par la gestion financière des ressources étatiques, naturelles y compris, elle se protège de l’intérieure, elle se régule  dans/par l’action sociopolitique, tout en prenant soins de ne jamais descendre dans la boue des combats nauséabonds de politique politicienne. Et en clair un peuple souverain se gouverne avec son consentement sans violences armées, avec son obéissance sans contrainte armée. 

Dès lors, faire la politique concerne alors les actions politiques de régulation systémique et d’équilibrage sociopolitique, le développement interne ou externe de cette société, ses rapportes internes entre sa propre composante sociale composite et hétéroclite, et ses rapports à d’autres ensembles socioculturelles de par le monde, dans le respect stricte des différences socioculturelles, « a chacun son identité sociale ». *- Oui, de par notre obstination et persistance dans nos longs écrits, nous espérons de la sagesse éclairée de notre éternel gyroscope Félix Houphouët Boigny, de la persévérance lampadaire de Nelson Mandela, de l’endurance luminaire de Gandhi, et du courage luminescent de Martin Lutter King, l'ampleur de la victoire remportée par ses illustres personnes par la force de la parole éclairante, doit être un exemple, un éclairage pour nous. Une espérance pour nous de pouvoir changer notre pays la côte d’ivoire d’une manière ou d’une autre. Oui, quand le concours de la représentativité est retiré au suffrage universel direct pour devenir semi-censitaire, fabriqué par des textes vermoulus dolosifs véritables fabriques d’absolutistes, C’est du TRUCAGE ELECTORAL. Dans un système électoral ou 33 sénateurs sont nommés par le pouvoir exécutif pour aller siégé aux cœurs du pouvoir législatif  sur un total de 99 membres, dont 66 sénateurs élus au suffrage «censitaire» au mépris du suffrage universel direct, c’est du TRUCAGE ELECTORAL.

Oui, on ne peut taxer ce TRUCAGE ELECTORAL de notion de « grand-électeur ». Donc, ainsi dédouané des élus au nom du peuple et la totalité sociale souveraine du suffrage universel direct, est non seulement un TRUCAGE ELECTORAL à ciel ouvert, mais surtout est une violation grave du principe républicain de la séparation des pouvoir. Oui, quant au sein des instances de décisions d’un organisme électoral, siègent les institutions qu’il enfante, et les partis politiques  siègent en devenant ainsi joueurs/arbitres, en transportant par ce fait la concurrence électorale aux cœurs de l’organisme électoral, c’est du TRUCAGE ELECTORAL, et surtout un déni de démocratie, d’une foutaise et puérile organisation électorale immature. Aussi est TRUCAGE ELECTORAL, quand le principe qui veut que, le peuple souverain soit à l’origine de la création libre du gouvernement par son vote, fort qu’il est de la puissance arithmétique qu’il possède de produire une majorité politique institutionnelle, est faussé d’’entrée de jeux, c’est du TRUCAGE ELECTORAL. Et quand le processus électoral, n’offre pas la possibilité aux citoyens de créer par leur vote une majorité politique, une représentation nationale qui tire sa légitimité de son vote par lequel le gouvernement devient alors l’institution centrale de la démocratie électorale c’est du TRUCAGE ELECTORAL. Toujours, Est TRUCAGE ELECTORAL, quand le prix très élevé des cartes nationales d’identités, vident l’espace électoral, en lieu et place de la gratuité d’intérêt public ou d’intérêt général, c’est du TRUCAGE ELECTORAL. Car l’organisation sociale doit servir avant tout la totalité sociale souveraine, qui ne peut se réduire à être la vache à lait des institutions républicaines, sauf dans système de vrai TRUCAGE ELECTORAL.

LC_CRS préfère l’embarras matériel dans l’aisance intellectuelle à l’embarras intellectuel dans l’aisance matérielle

C’est pourquoi la légitimité citoyenne, LC_CRS, tout comme tout mouvements d’utilités citoyennes, Fier de son bréviaire doctrinale d’humanisme solidaire, qui est que face aux tentations de reddition mercantiliste ou de capitulation pécuniaire de  «préféré l’embarras matériel, dans l’aisance intellectuelle, à l’embarras intellectuel, dans l’aisance matérielle. Qui est aussi, Ni postes, ni titres, pour donner un autres sens de compromission à notre vie  politique ou publique». Ainsi fidèle à notre mission avant-gardiste hérité de la philosophie politique d’Houphouët Boigny, surtout, créer en 1994 à partir d’une demande pressante d’intérêt public, a fin de régulation politique et sociale de nombres de sociétés qui aspirent à la paix sociale pérenne, à la stabilité sociopolitique, fondée sur le pluralisme politique accepter par tous, de l’exaltation de la diversité solidaire dans une nation une et indivisible. La LC_CRS a ainsi pour sacerdoce de dénoncer la dilution du politique dans les affaires mafieuses, la dislocation de la société commune par l’acculturation, la dénaturation sociétale, et la dépravation des mœurs sociétales, le bradage des droits immémoriaux sont les raisons de son existence. Parce que sommés d’agir dans l’extrême urgence et dans la proximité pour pallier les carences et les manques systémiques de l’état, policier, de l’état voyou, de l’état paria et de l’autoritarisme absolutiste en les dénonçant publiquement. « Oui, contrairement à d’autres suivistes et malléables, qui la ferme comme des carpes, parce que subventionné dans les caisses publiques, nous ne recevons aucune subvention des caisses étatiques, Rien. Et cela ne fait pas parti de nos objectifs visés ». Oui, loin d’être inscrit dans une logique de diabolisation,  les mouvements d’utilités  publiques citoyennes entendent au contraire restaurer dans toutes leur essence de droit, de liberté et de démocratie sans faux-fuyant.   C’est pourquoi, la légitimité citoyenne respectueuse du sacerdoce et fier du bréviaire qu’il partage avec tous les mouvements d’utilités citoyennes, plaide, revendique, réclame, demande et exige une commission électorale Autonome, Apolitique, Inamovible et totalement indépendant des politiques quelles qu’elles soient.

 Ici, c’est l’intégrité du processus électorale que nous recherchons, pour pouvoir garantir par le biais d’une commission électorale Apolitique, Autonome, neutre, impartiale, transparente, inamovible. Qui doit être assise sur un ensemble de conditions basées sur les principes universels démocratiques pluralistes et multipartites. Donc, un système électoral, qui encourage, protège, de par son organisation, la tenue d’élections démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Et ce système est exigé par le contexte social et politique de la côte d’ivoire. Oui, elle exige un système ci-dessous décrit, qui est exigible en droit inaliénable des peuples à disposer d’eux, c’est ce que nous faisons ici et c’est ce que nous exigeons tous les temps: Donc, Une commission électorale Autonome, Apolitique, Inamovible, qui gèrera tout le système électoral sans  interférence de qui que ce soit et qui s’adjoindra a volonté, tous les expertises quelles qu’elles soient.*- 2- qui nommera des Juges des élections impartiaux « conseil constitutionnel judiciaire ». *3- Qui procédera à un Découpage électoral équilibré sous les conseils des experts qu’elle s’attachera. 4*- Qui produira une liste électoral fiable  *-5- Qui fera une identification claire des électeurs *-6- Qui fixera une Condition claire d’accession à la candidature  *- 7- Qui se procurera des Instruments fiables et des modes de scrutins *8- qui exigera de l’état, des normes de régulation sociale et de régulation électorale pour, le bon fonctionnement juridico-politique de l’organisme inamovible etc. »

*-Si la côte d’ivoire peut revendiquer une maturité électorale c’est celle qui a conduit à plus de 80% d’abstention.

Voici ci-dessus, le système qui est adapté au conteste sociopolitique actuel de la cote d’ivoire. Mais les objectifs fondamentaux de tous les systèmes électoraux sont les mêmes et relèvent de la nécessité de tenir des élections propres, démocratiques, libres, justes, équitables et transparentes. Disons-le, l’état de droit n’est effectif que par l’abandon par chacun d’une partie de ses droits naturels au profit de la société commune. C’est pourquoi l’organisation sociale doit être régis et gouvernée par des organismes totalement indépendants, plutôt que n’importe lequel des citoyens. Parce que l’organisme indépendant en tant qu’expression de la volonté de tous, de la liberté, de la justice et du bien général se trouve au-dessus des passions, des intérêts et de la subjectivité des individus. Or, les passions, les intérêts et la subjectivité des individus, triomphent lorsque tout est décidé par une seule personne ou par le pouvoir d’état, et non pas par un système d’organisation voulue par le peuple souverain consentant, qui sait refuser l’ivraie et la forfaiture. Si aujourd’hui la côte d’ivoire peut revendiquer une maturité électorale c’est celle qui a conduit a plus de 80% d’abstention depuis 2011, c’est constante, qu’une société électoralement mature ne vote pas dans n’importe quel système électorale. Parce que consciente que son vote ne changera rien, surtout permettra aux tenants du système de jongle avec les pourcentages pour validé leurs forfaitures. D’où le refus de voter par maturité électorale. Le présage des élections de 2025 vu à l’aune de la situation de l’organisation actuelle ivoirienne est sans ambiguïté, qu’un quatrième mandat en 2025, ne serait que formalité qui découle du troisième mandat de 2020 querellé dans le sang, sur les corps de centaine de citoyens.  

Oui, disons de façon claire sans saupoudrage, le système électoral ivoirien va mal, très mal même, par la volonté de certains citoyens vaches, qui ne demandent qu’à manger même, à l’Abattoir d’un boucher, dans un système condescendent de panurgisme moutonnier, hélas ! En ce 21e siècle. D’où toutes les crises sont présentes : « crise de droit civil, crise politique, crise civique, crise morale, crise des mœurs sociétales, crise de confiance dans les gouvernants, crise de légitimité du pouvoir d’état, crise de légalité systémique et organisationnelle, crise de vérité et pire crise identitaire ». Donc, il nous faut absolument tirer le tocsin, pour réveiller, éveiller, alerter et dénoncer ce Mal sociétale, cela au risque de déplaire, est notre sacerdoce. Donc, osons le redire ici et maintenant, la terre de nos ancêtres, Aujourd’hui côte d’ivoire, hier destination de prédilection des dislocations des empires Ouest-Africaines avec à sa suite une migration humaine transfrontalière, désordonnée, envahissante, continue, devenue incontrôlable, est de par sa peuplade résultante composite une entité étatique, avec une sociologie électorale très complexe, qui mérite un système adapté à cette situation sociologique spécifique. Et aussi, osons le redire ici et maintenant, la grande partie des conflits armés internes et des crises sociopolitiques Africaines, ressortissent de la conquête du pouvoir d’état ou de son mode d’acquisition prescrit dans des normes personnelles et protecteurs des intérêts inavoués. Il nous faut un véritable système, de régulation  électorale et sociopolitique. Pour espérer obtenir au bout du rouleau une côte d’ivoire à sa juste place dans le concert des nations civilisée.

LC_CRS Rêve et œuvre pour la restauration socioculturelle de la côte d’ivoire au-delà des chansons d’émergence

Donc, une côte d’ivoire où les hommes d’horizons diverses et les citoyens ivoirien vivront selon le droit universel, «puisque le droit positif prête à caution», et les règles coutumières « puisque le fabriques politicardes ne le sont que de nom » et selon notre seule raison d’être des humains. Pour une nouvelle société ivoirienne qui s’assume, ou la Gestapo ivoirienne « police politique » deviendra une vraie police politique avec moins de travail à faire dans une arène politique civilisée. Où l’on ne substituera plus volontiers aux débats d’idées fut-il rudes les lynchages obscurantistes, propagandistes de ballons de Basket. D’où, aux confrontations contradictoires des arguments pour que la vérité germe, on préfèrera plus l’utilisation des poignards plantés dans le dos, des droits, des libertés et de la démocratie électorale, dans l’anonymat des bas-fonds .D’où les individus ne s’entre-déchirent plus autour des intérêts égoïstes égocentrique et mafieux. Des individus qui n’envisageront plus le combat politique et le débat démocratique, sous la forme d'une guerre civile opposant deux armées rivales qui ne pensent qu’à s’exterminé mutuellement, « a la guerre comme à la guerre ». Non ! Donc, ou l’ivoirien serait libre de faire la politique et aller dormir chez lui sans craindre d’être zigouillé ou d’être embastillé, sinon être arrêté ou expédié au mépris de la règles coutumières qui veut qu’aucune nation civilisée n’extrade ses ressortissants, et qu’aucun citoyen libre ne doit être contraint à l’exil politique extérieur et à l’exil politique intérieur silencieux

Oui, une côte d’ivoire ou les hommes politiques candidats,  les partis politiques ivoiriens partiront à des élections démocratiques pluralistes, propres, comme les sportifs qui vont aux compétitions sportives, avec la certitude qu’ils peuvent gagner, comme ils peuvent perdre. Une côte d’ivoire,  ou l’élection serait une lutte loyale pour la conquête d’un pouvoir devenu légitime. Donc où elle ne serait pas un moyen d’éviter la confrontation politique, le débat démocratique, mais plutôt un moyen de les gérer et de les contenir à l’intérieur des limites acceptables. Dans un système qui respecte les principes internationaux, qui garantissent les droits et le cadre institutionnel d'élections honnêtes, en conformité avec les obligations qui s‘imposent par les engagements étatiques contractés en vertu du droit international général garant de la souveraineté internationale de tous états. Une côte d’ivoire ou la justice judiciaire devenue totalement indépendante, ne serait plus un couperet du pouvoir exécutif pendu sur la tête de toute opposition. Une côte d’ivoire ou l’Armée devenue la grande muette serait confinée dans les casernes loin les politiques politiciennes et dans sa seule mission de protection du peuple. Une côte d’ivoire socioculturelle atavique, donc, de l’hétérogénéité des sous cultures nationales, et de multi-croyance, donc, des variances légales admises, ou le bidon de Bandji-Blanc et le Séri-Daga se côtoient, chacun avec sa contenance citoyenne. Une côte d’ivoire stable, cohérente, harmonieuse, paisible et de l’exaltation de la diversité solidaire.

Oui, une côte d’ivoire ou les élections ne mettront plus jamais en péril des vies citoyennes. Une côte d’ivoire de la différence acceptée par tous, ou les élections seront un jeu et la politique un lieu de débats contradictoires, sous l’arbitra du peuple souverain ultime détenteur du pouvoir d’état. Une côte d’ivoire de toutes les variances légales légitimes, qui admet l’hétérogénéité des sous cultures nationales ou on pourra faire la politique et aller dormir tranquillement chez-soi. Une côte d’ivoire unie, rassemblée, réconciliée et ouverte sur le monde. Pour que le Bateau du progrès humain commun, reprend la voie royale vers la lumière du développement économique et social, au service du citoyen ivoirien et de tout homme devenus, la centralité de toutes œuvres sociopolitiques, dans la stabilité sociopolitique et dans la paix sociale pérenne. Donc, se faisant, point ne serait besoin par un gouvernant d’exhiber sa réussite «dite développementale» dans une autosatisfaction puérile démesurée. Qui fera à coût sûr la misère des générations futures, parce que rien n’appartient au peuple souverain, tout est issu du surendettement, donc payant à l’usage et à l’utilisation. Non ! L’émergence, le développement, le progrès, et le bonheur dans une nation ne se limite pas au développement économique d’un système dirigiste qui écrase les petits aux pieds des grands intérêts mafieux des usuriers internationaux. Non ! Le progrès, et le bonheur dans une nation exigent plus de dépassement de soi, plus de désintérêt dans la gestion des affaires publiques au profit de l’intérêt général. Et une meilleure politique économico-sociale commence par celle qui met l’homme au centre du débat politique et des actions économique, et le citoyen au cœur du débat développemental et des actions du progrès social, pour l’avènement d’une société ivoirienne plus juste, plus solidaire qui ne laisse aucun citoyen au bord de la route du progrès social de la société. Et surtout qui organise la solidarité agissante envers les moins nantis, le plus grand nombre de la peuplade sociétale. La LC_CRS Rêve/œuvre pour la restauration socioculturelle de la côte d’ivoire, au-delà des chansons économico-financières mielleuses d’émergence à croissance chiffrée

Exigeons, un système électoral Apolitique, Autonome, Inamovible, qui rassure tout le monde.

C’est une constance universelle, que lqa vie politique et démocratie se nourrit de débats d’idées et d’analyse sociopolitiques. Son absence est l’inexistence de la démocratie et son obstruction relève du fossoyeur de la démocratie. Et que, analyser un système, une situation, ou une pratique, c’est se pencher sur ces faits, dans une perspective d’évaluation, puis participer à son amélioration, en persuadant le souverain absolu qu’est le peuple, en convainquant la totalité sociale souveraine, en entraînant le corps social dans son entièreté solidaire, à l’intelligence de la situation qui s’impose et d’y remédier. Aujourd’hui, dans la vie sociopolitique et au tour des élections qui enfantent la représentation nationale, les rapports Opposition/Pouvoir en côte d’ivoire est semblable aux rapports entre un Moine Tibétain entre les mains d’un dignitaire Chinois, ou d’un petit Ukrainien revendiquant sa souveraineté nationale et territoriale devant un oligarque Russe, sous l’arbitrage des Bombes. Il faut un système de régulation électoral et sociopolitique qui rassure tout le monde. Et dont le jugement de la fiabilité et de la maturité ne dépendra pas d’un seul citoyen, d’un seul parti politique en compétition. Il faut retenir ici que, quand il s’agit de l’organisation des élections démocratiques pluralistes et multipartites, il n’y a pas de président de la république en compétition et arbitre du jeu, qui décide de tout le processus électoral.

Oui, ici, le président de la république est un citoyen comme tous les autres citoyens, s’il peut se prévaloir encore de cette qualité. Donc, ici,  dans un état démocratique et républicain de droit, on ne se revendique pas ostensiblement détenteur du pouvoir ou président de la république autour du processus électoral juridiquement situé hors de la portée de sa main. Ici il n’y a que des citoyens libres, égaux en droit et en devoir, dirigeants de partis, candidats potentiels, et citoyens électeurs, qui discutent des conditions des élections démocratiques pluralistes et multipartites, consensuelle-ment, qui transcende les tenants momentanés du pouvoir d’état. Parce que les élections sont un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes, qui se situent au-dessus en droit et en fait des institutions de la république. Que les peuples souverains enfantent, y compris la présidence de la république par ce biais. Donc ici, les institutions étatiques sont les subordonnées du processus électoral, par conséquence, elles doivent s’affranchir des visions étroites pour s’enraciner résolument dans la politique démocratique des élections pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et d’aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme, « égalité en droit civils et politiques, égalité de chances électorale». Cela inclut un engagement à faire preuve de transparence, d’honnêteté et de responsabilité. Et cela exclu formellement un système politisé de rafistolage électoral pour préserver des intérêts partidaires, claniques mafieux. Donc, allons vers un système électoral Apolitique, Autonome, inamovible, et totalement indépendant, qui rassure tout le monde. Au terme duquel chaque citoyen pourra soumettre ses prétentions politiques et ses ambitions électorales au souverain peuple ultime détenteur du pouvoir d’état. Et au terme d’une élection réellement démocratique et participative qui serait l’expression de la souveraineté populaire du peuple. L’ordre social est à ce prix, la stabilité sociopolitique est à ce prix, l’Harmonie intercommunautaire est à ce prix, la paix sociopolitique Houphouët-ienne est à ce prix, le progrès social de tous est à ce prix… Citoyens libres, restons dans la logique des exigences de notre sacerdoce légitime et éminemment légale. Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix HOUPHOUET BOIGNY. Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN TOCSIN de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

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28 décembre 2023 4 28 /12 /décembre /2023 02:13
Lepetitfils : 2024 doit pouvoir offrir un cadre électoral ou, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, seront les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes e au sens le plus large. Elles doivent aligner le cadre organisationnel des élections avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, Citoyen ! La bonne année 2024, est astreint à une vie sociopolitique normale, a un processus électoral qui rassure tout le monde.

Lepetitfils : 2024 doit pouvoir offrir un cadre électoral ou, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, seront les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes e au sens le plus large. Elles doivent aligner le cadre organisationnel des élections avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, Citoyen ! La bonne année 2024, est astreint à une vie sociopolitique normale, a un processus électoral qui rassure tout le monde.

(LIRE TOUT, POUR TOUT COMPRENDRE).

*-Les conditions d’une Bonne et Heureuse Année 2024 pour l’Afrique et pour la côte d’ivoire de DEMAIN…

Pour les vœux de nouvel An 2024, Cette fois pour LC_CRS, il n’est pas question de s’appesantir sur les Salamalecs de saupoudrages traditionnels et routiniers des faits annuels de 2023 et après de faire miroiter la lune. C’est-à-dire, genèse, critiques, propositions et conclusions,  des faits de l’année écoulée. Non ! Ces Analyses scientifiques, expertes, doctes, esthètes ne prospèrent plus en côte d’ivoire, et en Afrique abroutie par des coups d’état, elles sont obstruées par l’antagonisme des propagandes intéressées, monnayables à but de blanchir les crimes contre les droits des peuples et par des fanfaronnades d’éloges populistes d’un nouveau banditisme politicard. Donc, ici dénoncer et appeler à la régulation socioculturelle politico-démocratique est notre option légale et citoyenne.

*- En 2023 l’Afrique de l’Ouest a amorcé un virage très dangereux pour la sous régions, qui nécessite régulation.

Donc, ici rendons à césar ce qui est à césar. Commençons donc, par notre destin commun l’Afrique. En 2023 l’Afrique de l’ouest a ouvert les portes à toutes les dérives. La force française de stabilisation et les unités des forces spéciales des Nations Unies, qui étaient en appoint, ont plié bagages dans certains pays Africains, par respect des règles internationales coutumières, en laissant un boulevard de débordement tout ouvert pour le djihadisme unitariste de conquête et ses djihadistes lancé vers leur but désigné, qu’est l’unitarisme monothéisme de provenance méditerranéenne, «puisqu’elle n’est pas d’Afrique noire», qui Abhorre à extrême les différences humaines, et siège depuis les décadences socioculturelles a la porte de toute l’Afrique de l’ouest.  L’Afrique de l’ouest qui est toujours à la recherche éternelle de nouvelle puissance tutélaire. L’Afrique de l’ouest se plait désormais entre les mains d’un mercenariat qui n’a que des intérêts mafieux a protège contre vent et marrée, et qui se dédouane habilement de la responsabilité de son état commanditaire et bénéficiaire. Un mercenariat qui soutient et fortifie les coups d'État en cascades en Afrique Francophone prédisposée. Se faisant, ainsi, des indigents avant d’accaparer le pouvoir d’état avec les Armes pourront certes s’enrichir et enrichir leurs complices tutélaires, mais les peuples ainsi mal gouvernés ne bénéficieront jamais des retombées de leurs organisation sociale et des fruits de leurs richesses naturelles souveraines. Ce qui est une honte pour les pays concerné et un  déshonneur pour l’Afrique entière. Ici les constats les plus malheureux et déshonorant dans le concert des nations pour l’Africains est que, 1)- On ne voit pas la carence de droit en Afrique, mais la main des colonisateurs, le fonds de commerce de toutes les insuffisances politiques en Afrique francophone. Oui, doigté le colonisateur est la diversion nombriliste, manipulatrice des peuples ignorants et crédules d’Afrique, mais pourtant martyrisés. Doigté le colonisateur est l’exutoire prépayé des crimes graves de coups d’état, et de la  médiocrité des hommes auteurs de coups d’état en Afrique noire, face aux peuples réduit à la crédulité. 2)- l’Organisation de l’unité africaine (OUA) dans sa version Union Africaine (UA) et la CEDEAO, n’ont jamais réussi à règle une crise sociopolitique Africaine ou Ouest-Africaine, dans le respect des droits irréfragable et universels. Elles viennent de reculées de façon honteuse face à des putschistes « des infractionnistes et éffractionnistes primaires », qui n’ont exigé et revendiqué que l’accaparement du pouvoir d’état par les armes impies. Une honteuse contre nature, pour toutes les forces légales impliquées dans la gestion de la crise dans la sous-région Ouest Africaines.

Or quand la politique étatique bafoue les droits inaliénables, son substrat d’existence légale, la totalité sociale, fonce tout droit dans la jungle, ou les plus forts et les plus violents sont les Rois. Oui, Là où il n’y a pas de respect scrupuleux des normes juridiques de régulations sociales qui est l’œuvre de la totalité sociale, l’arbitraire est Roi. 3)- Il y a une chose et son contraire chez les Africains de l’Ouest et dans la politique Africaine, on s’arc-boute aux faits de la colonisation civilisatrice, ou tout n’a pas été mauvais, et en même temps, on se plait a adorer religieusement les coups d’état, qui balaient tout ce qui fait la souveraineté des peuples libres sur son passage, et on soutient fermement en cabriolant intempestivement en minorité dans les Rues, l’exercice des pouvoir dictatoriaux, autocratiques, autoritaires et assujettissants, calqués sur la pratiques des pouvoirs coutumiers anciens « ancestraux », fondés sur la forces aveugle des fusils « j’étais vaincu avec les armes, c’est tout » ou «c’est l’antagonisme des Garçons de jungle etc.» Ce qui est une porte ouverte sur la Chaos sempiternel. Bon ! Si le républicanisme se plait a chanté de par le monde que, le fusil opposé au bulletin de vote, c’est fusil contre fusil, Hélas ! En Afrique de l’Ouest le fusil est devenu le maitre absolu du bulletin de vote. Donc, disons que : « Aucune nouvelle puissance tutélaire n’apportera quoi que ce soit à un pays Africain, plus que sa puissance ex-colonisatrice. Un pays Africain, n’ira nulle part sans le respect scrupuleux des valeurs humaines Héritées de sa puissance colonisatrice, et ancrée dans les faits économico-sociopolitiques. L’éternelle victimisation ne servira jamais l’Afrique, qui a besoin de compétition. Oui, Compétition de compétences humaines ». Oui, Est-il  possible aujourd’hui après 63 Ans d’indépendances de montré ou de cité un seul pays Africain, qui a réussi à émerger son pays dans ce populisme et/ou avec cette voie d’’anticolonialisme hermétique ? Oui, que les putschistes hors la loi, qui s’appuient sur cette diversion politicardes nous montre un seul pays. Notre Afrique  n’a pas besoin de rupture brutale et systématique avec nos ex-colonisateurs. Elle n’a pas besoin de chanson populiste de nationalisme primaire.

Oui, disons-le, la défense des intérêts personnifié, mercantilistes, pécuniaires, de  cow-boys armés, ne servira pas l’Afrique. L’antagonisme des puissances étrangères aux intérêts opposés, avec l’Afrique comme théâtre d’opération ne servira pas l’Afrique, une quelconque tutelle étrangère, comme dossier pour un pouvoir d’état illégal, imposé par sa tutelle ou par les armes ne servira pas l’Afrique. Et singulièrement certains pays de l’Afrique de l’ouest qui aujourd’hui Vacillent, oscillent du haut du piédestal de leurs légendaires noblesses, et sur leurs bases souveraines assujetties dans le concert des Nations civilisées. Les putschistes hors la loi Ouest Africains fort uniquement que par armes impies de contraintes illégale et du haut de leurs Godasses devenues détestables, doivent avoir le courage de se regarder dans un miroir avant toute chose. Ils font parties des causes des problèmes Africains et dans certains pays ils sont les premiers problèmes. Donc, pas besoin de tout Réduire à rejeter toute la responsabilité de toutes les crises sociopolitiques et/ou de tous les problèmes économiques et tous les malheurs de l’Afrique sur les colonisateurs. Non ! Eux même sont plus que  des colonisateurs, ils anéantissent tous les droits des peuples avec les Armes, de droit universel propriété des peuples. Dans leurs logiques tous les droits restent aux fusils qu’ils jettent en pâture aux peuples décontenancés. C’est malheureux ! Pour l’Africains lesquels doivent être réveillé par l’Année 2024, s’ils doivent être au rendez-vous de la société civilisée du 21 e siècle. Oui, disons-le et retenons-le, se soumettre aux règles démocratiques et aux droits universels inaliénables, sans état d’âme est la solution pour l’Afrique. Qui a besoin de stabilité sociopolitique dédouanée de toute emprise politique, religieuse ou sectaire, elle a besoin de paix pérenne, avec l’acceptation des différences Humaines quelles qu’elles soient, indépendamment des Castes dans sa composante. 2024 est une bonne année de départ vers cet objectif, qui rendra aux peuples Oust Africains et Africains tout court, leurs souverainetés.

*- Pour la côte d’ivoire qui est devenue un pays de Merde et qui demande régulation, recadrage et corrections.

Aujourd’hui, la côte d’ivoire est a la dérive absolutiste et autoritariste soutenue par des institutions vermoulues et normes anomiques. Donc, nous optons ici, au mépris de: « genèse, critiques, propositions et conclusions » pour la dénonciation d’intérêt public, duquel dépend les futures bonnes Années à venir dans le temps. Donc, ici, commençons par dire que, la côte d’ivoire offre aujourd’hui le visage d’une société à la dérive, qui ne présente rien qui soit porteur de lendemain meilleur qui chantent, pas même pour les ennemis des ivoiriens. Une société ou en lieu et place de « pas une seule goutte de sang humain versée sur le sol ivoirien »,  s’est installé une société criminelle qui verse le sang citoyen à chaque élection, mineure soit-elle. Depuis le 24 décembre 1999, « 23 Ans », et empiré depuis 2011, la côte d’ivoire, est incapable de sortir d’une crise sociopolitique funeste et mortifère, incapable de tourner une page marquée du sceaux indélébile de sang Humain versé, et désormais dérouter et conduit sur  une voie déviationniste d’une nouvelle ploutocratie rigide. Elle est devenue une société de désordre a ciel ouverte, une société de tous permis. Ou la morale sociétale Atavique est en congé, ou les mœurs dépravées ont pris leurs racines, ou l'honnêteté est devenue un crime, le bradage des propriétés terrienne immémoriales est devenue une règle sociétale. L’escroquerie morale et intellectuelle ont acquis leurs lettres de noblesses. D’où, un grand Bazar de truands et de truanderie s’est installé dans la société en règle de vie, une grande foire aux larrons sous l’aval du mot développement, pourtant uniquement bétonné et goudronné au mépris du développement  humain s’est ouverte sous nos yeux sur la terre de nos ancêtres.

Une vie sociale de sectarisme nébuleux, est née sous nos tropiques, une réelle crise identitaire socioculturelle pointe à l’horizon et son énorme nuage est trop épais. Une mutation sociale d’irruption imprévue, à engendrer la création/formation, des compartiments d’intérêts personnels et des murs diviseurs dans la société. Une tendance qui affaiblit la cohésion sociale de la nation une et indivisible. Ainsi est mis en péril ’état républicain de droit pour l’autoritarisme aveugle d’un monarchisme débridé. La société démocratique est progressivement liquidée pour la société ploutocratique qui aspire jusqu’au vote censitaire des électeurs nantis. Ce qui enfante les griefs sociétaux qui tourner de façon cyclique aux drames électoraux et sociétaux, aux divisions socio-inter-communautaires. Oui, Hélas ! Par la volonté d’une nouvelle hégémonie ploutocratique qui ne prépare pas l’avenir, d’où la principale valeur humaine l’intellect et la morale sont mise KO par la force conjuguée de coups savamment administrés aux dessous des ceintures. La côte d’ivoire est devenue une société manichéiste, iconoclaste, factieuse, nihiliste, chaotique, antisocial, antihumain, anti-empathique, anti-altérité, éphémère, primaire, anomique, pervers, sans avenir, sans mémoire, dépravée, porteur des germes des crises sociopolitiques de toutes sortes, et évoluant sur une voie avérée de la dégénérescent sociale grâce aux tous permis,. Nous y sommes. Pauvre côte d’ivoire !!!

C’est pourquoi, sont devenus désormais valeurs sociopolitiques, le grand désordre, le tout permis, la concussion, le copinage, l’argent du cocaïne n’a plus d’odeur dans la vie, et la dépravation sexuelles et des mœurs sociétales ont à acquit leurs notoriété, écrit à l’horizon pas lointain en lettre persistante sur une pancarte , reflet d’une société sans repère, acculturée dénaturée. Les Analyses scientifiques, expertes, doctes et esthètes, sont obstruées par l’antagonisme des propagandes intéressées, monnayables, et des éloges populistes du banditisme politicard qui dévalorisent la représentation nationale. Oui, La côte d’ivoire ne s’en sortira de cet engrenage qu’au terme d’un processus électoral Apolitique, Autonome, Inamovible, et qu’avec coalition politico-électorale forte.  C’est-à-dire la fédération désintéressée de toutes les forces régulatrices pour le changement dans notre pays la côte d’ivoire, pour l’alternance en 2025 ; Oui, il nous faut absolument unir la nation ivoirienne contre ce qui n’existent que de par sa division, qui les permet de mieux la déchirer, a fin de régner. C’est de cela qu’il s’agit, si nous « ivoiriens » tenons à des bonnes élections en 2025, à la paix sociopolitique, à un ordre sociopolitique nouveau dans notre pays, où on pourrait faire la politique et aller dormir chez soi en toute quiétude, nous devons commencer par nous unir dès maintenant  en 2024 pour rechercher un système politique lisible, et de prendre un certain nombre de mesure nécessaires et indispensable à la neutralité et la transparence électorale en 2025.

Des mesures salvatrices pour arriver à un système électorale Apolitique, fiable, qui prise ensemble concourraient à remplacer la mauvaise conception actuelle du pouvoir d’État, par une vision tout à fait nouvelle, qui mettront une fois pour toute notre pays sur les rails de la démocratie, du droit universel, de la stabilité politique, de la paix sociale pérenne, de l’égalité et la reconnaissance absolu de tous. Pour ainsi mettre fin au chaos sociopolitique sempiternel. Qu’on le veuille ou non, qu’on ose ou non, c’est la seule solution, il n’y a pas deux (2) postulats. Oui, depuis 2011, de par l’options politiques mercantilistes de certains hommes politiques avec des retournement de vestes spectaculaires, sources de divisions internes passéistes, et vecteur de de l’inertie dans le débat et combat sociopolitique face aux payeurs, et surtout notre passivité dans les actions désintéressés de régulations synergiques indispensables de la société, chaque jour nous défaisons un nouveau pas du modèle socioculturelle de la côte d’ivoire, que construisirent nos devanciers « Félix Houphouët Boigny en tête ». Nos devanciers qui pendant quarante (40) ans n’ont eu pour quelques raisons que ce soient recours aux armes « fusils » en politique et ont proscrit avec la dernière énergie le sang humain versé sur le sol ivoirien et dans la société ivoirienne. Et on admit sans faux fuyant des systèmes politiques et électoraux de l’égalité des chances. C’est ainsi que dans les Années 1980 et suivant, le vote des étrangers a été proscrit en côte d’ivoire, par la force de dénonciation d’une opposition politique en accès de vitesse effréné, qui prétendait pouvoir battre l’imbattable mastodonte, de tous les temps sans le vote étranger. A ayant obtenu gain de cause elle s’en sortant avec un « 17, % arrondit a 18%.

 Voilà ce que nous revendiquons, de droit, en demandant un organisme dépolitisé donc, une commission électorale Apolitique, Autonome, neutre, impartiale et transparente sans aucune présence de politiques et d’institutions politiques d’état ou siègent les hommes politiques des partis politiques candidats. Le mastodonte Houphouët nous l’aurait accordé pour justifier sa légitimité incontestable et incontestée. Parce qu’ici, on ne se revendique pas détenteur du pouvoir d’état, autour du processus électoral, juridiquement situé hors de sa portée de main, dans un état républicain de droit et démocratique. Ici il n’y a que des citoyens libres, égaux en droit et en devoir, dirigeants de partis, candidats potentiels et citoyens électeurs, qui discutent des conditions des élections démocratiques pluralistes et multipartites. Donc, ici c’est l’intégrité du processus électorale qui est recherché pour garantir, neutralité, impartialité, transparente. Ce qui conduit sans faux fuyant à une élection d’Olympiade discursive démocratique ou l’homme politique serait contraint de convaincre, de persuader, de dissuader, de jouer le rôle de gyroscope, d’éclaireur, pour gagner l’adhésion du peuple a ses idées et partant pour gagner les élections démocratiques pluralistes. D’où, le pouvoir ne serait plus jamais au bout des  fusils et ne serait plus jamais acquis sous la base de fausse notoriété, assise sur l’escroquerie morale et intellectuelle, sur les faux prismes ventilés et entretenus à dessein. Ainsi le peuple souverain,  ultime détenteur du pouvoir d’état serait devenu libre, enfin totalement libre, il n’aura plus que le droit inaliénable et les règles librement établies, pour limite. Et il pourra élire sa représentation nationale revalorisée dans le concert des nations, au terme des élections, qui mérite ce Nom. A défaut les vœux de bonne année mielleuse 2024 seront dits et âpres en 2025 d’enjamber les Morts électoraux qui doivent se contenter a jamais de bon cimetière. Ce qui ferait des vivants des cyniques sado-pervers et sinistres personnages, qui chantent les bonnes et heureuses Années pour RIEN…

Oui, disons-le, pour la côte d’ivoire le ver est dans le fruit depuis avril 2011 et les dégâts sont énormes. Donc, ici, il n’y pas meilleur présage pour la nouvelle Année 2024, qui est l’antichambre de 2025 que les faits prémonitoires du présent à recadrés, à résoudre, sans état d’âme, «constitution, découpage électoral, loi électorale, l’organisme électoral, suffrage universel a toutes les élections etc.». Ce présage indique que  sans régulation, sans correction et à ce rythme 2025 serait incontestablement 2010-2015-2020. Ça se voit à l’œil nu, pas besoin des lunettes des experts de l’antiquité Grec. Oui, le décor est manifestement planté, sauf à vouloir se leurrer, la bonne Année 2024 dépend de l’anticipation de la résolution du problème électoral de 2025. Oui, le mal est là, le danger est là, sauf miracle le volcan dort toujours sur la terre de nos ancêtres. Donc, voilà toute la nécessité pour les citoyens ivoiriens de s’inscrire dans une logique d’un  côtes-à-côtes et coudes-à-coudes, tous ensembles pour exiger la régulation du système électoral en 2024 avant les élections de 2025, avec des normes juridiques nouvelles et des modes de scrutins nouveaux qui respectent les exigences du suffrage universel direct « un citoyen égal une voix électorale ». Oui, cette nécessité qui tient à l’évidence que : c’est à partir des personnes que se construit l’avenir de tous, que c’est à partir de la solidarité des personnes que se bâtit la nation forte et unie, que c’est à partir de la résistance don-de-soi, que se réalise la réalité quotidienne de chacun, que c’est à partir de la société civile harmonieuse que s’exerce de fait une prise de pouvoir à travers des actions concrètes, concertés, synergiques, que c’est à partir de l’engagement citoyenne que se produit par l’action la progressive unification des différents combats pour la Vie, pour l’homme, pour les droits inaliénables, pour les libertés  fondamentales, pour la dignité et pour le progrès humain. Et que tout progrès qui ne commence pas par l’homme est régression sociopolitique

Ces nécessités suscités, proscrivent pour les citoyens libres acteurs de la vie sociopolitique da la société dans laquelle il vit, les comportements de vaches qui ne demande qu’à manger, elles plaident et privilégient la persuasion discursive, l’obéissance volontaire, le dialogue pour convaincre les réticences, la concertation pour harmoniser les points de vues, le consensus pour arriver à la vie commune paisible, l’autonomie individuelle pour le respect du libre arbitre de chacun, et le consentement fondé sur l’acceptation des valeurs d’intérêt général, des idées et des actions publiques. D’où les politiques, les partis politiques et les gouvernants sont obligés de persuader les citoyens libres et de convaincre les gouvernés consentants. Oui, les élections sont un droit inaliénable des peuples a disposés d’eux-mêmes qui se situent au-dessus, en droit et en fait des institutions de la république. Et c’est au terme des élections, que se réaffirme la souveraineté populaire du peuple souverain, qui  enfante par ce biais électoral la représentation nationale élus, y compris la présidence de la république. Oui, les pays à processus électoral paisible, sont ceux dont/ou les populations ont acquis la conviction que le résultat des scrutins reflète bien la volonté populaire, sans interférence politique. De même, les partis et les candidats ont appris qu'ils sont traités avec égalité tout au long du processus électoral. Ces conditions contribuent à la légitimité et à la stabilité de leur environnement électoral, et confèrent vitalité, dynamisme, fiabilité et viabilité à leur démocratie. 2024 doit pouvoir offrir un tel cadre électoral aux ivoiriens avant 2025. Un cadre électoral ou, les institutions étatiques quelles qu’elles soient, sont les subordonnées du processus électoral, elles doivent s’affranchir des visions étroites, pour s’enraciner résolument dans la démocratique pluralistes et multipartites au sens le plus large. Et doivent aligner le cadre organisationnel des élections démocratiques avec les engagements internationaux en matière de droits de l’homme. Donc, Citoyen ! La bonne année 2024 et suivant est astreint à une vie sociopolitique normale, a un processus électoral qui rassure tout le monde. Nous espérons a la LC_CRS  de ce cadre de vie sociopolitique pour que les nouvelles années a venir soient réellement de bonnes et heureuses, au-delà de tout formalisme langagière. Sur ceux et en espérant de la réalisation conditionnée, Bonne  et Heureuse Année 2024, citoyen !

De Lepetitfils Da Candy,  Leader de la légitimité citoyenne. (LC_CRS)

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17 décembre 2023 7 17 /12 /décembre /2023 22:21
Lepetitfils : Bon ! Ça cabriole en nouveau dans l’arène politique ivoirienne, après d’autres soubresauts qui ont scindé des partis « FPI, PPA-CI». Le jeu est connu de tous, s’imposé par le biais de la justice à ceux qui détiennent la légitimité aux seins des partis politiques, mais qui ne font pas l’affaire du pouvoir absolutiste, totalitaire et autoritaire déviant. Or, techniquement et scientifiquement, la chose est simple, toute association politique, tout mouvement humain ont besoin d’ordre, de discipline, de cohérence pour assurer son bon fonctionnement interne.

Lepetitfils : Bon ! Ça cabriole en nouveau dans l’arène politique ivoirienne, après d’autres soubresauts qui ont scindé des partis « FPI, PPA-CI». Le jeu est connu de tous, s’imposé par le biais de la justice à ceux qui détiennent la légitimité aux seins des partis politiques, mais qui ne font pas l’affaire du pouvoir absolutiste, totalitaire et autoritaire déviant. Or, techniquement et scientifiquement, la chose est simple, toute association politique, tout mouvement humain ont besoin d’ordre, de discipline, de cohérence pour assurer son bon fonctionnement interne.

« CHRONIQUE : Puisque c’est plus fort que nous, limitons-nous aux principes au mépris du nominal »

Bon ! Face à la judiciarisation extrême de la gouvernance politique de l’état, disons que c’est une constance dans les pays démocraties, qu’aucun état « sauf absolutiste et totalitaire », ne demande à ces citoyens d’organiser leurs associations civiles ou partis politiques à sa manière, tout ce qu’un état sérieux exige d’eux, c’est la conformité de leurs objets aux lois de la république, sans plus.  Ils ne doivent ni tenter de perturber les réunions des partis rivaux, ni entraver le droit à la libre expression de points de vue opposés non plus. Puisque que les partis adoptent en général des statuts qui énoncent les relations entre les différents niveaux de responsabilité au sein du parti et définissent les procédures de prise de décision. Ces règles exposent de façon détaillée comment les dirigeants du parti sont choisis au plan local et national (et souvent, comment ils peuvent être destitués), comment les candidats aux postes de responsabilité publique sont choisis, et qui est éligible à ces deux types de responsabilité. Ces choix organisationnels des partis politiques s’imposent à  toutes autres considérations et prévisions hypothétiques des gouvernant d’état eux-mêmes issus de partis politiques concurents, sauf si des considérations résultantes des actions du parti politique en question rentrent ouvertement en contradiction avec les normes juridiques nationales, de façon concrète, palpable sans supposition hypothétique. Des normes qui varient largement dans le temps et d’un pays à l’autre. Bon ! Néanmoins, il existe des problèmes d’organisations des partis politiques qui n’ont pas souvent leurs solutions dans les normes internes des partis.

Donc, disons qu’avec le pouvoir judiciaire sous la coupe d’un autre parti politique via le pouvoir d’état en sa possession comme arme fatale, la côte est le seul pays au monde ou le pouvoir judiciaire sous la coupe du pouvoir exécutif de l’état, fait immixtion dans le fonctionnement des associations ou partis politiques par les biais de sa justice mis sous l’emprise du pouvoir exécutif pour interférer « ou référé nuitamment » dans le fonctionnement et l’organisation des associations ou partis politiques, pour qu’ils soient organiser de la manière voulue par le pouvoir exécutif et de respecter les intérêts politiques du pouvoir exécutif. Oui dans les pays civilisés seul les rapports des associations ou partis politiques à l’’état sont de la compétence de la justice judiciaire étatique. Ces pays civilisés laissent les associations ou partis politiques, à leurs systèmes d’organisations internes et leurs fonctionnements internes aux normes de régulations, de fonctionnements, et d’organisations qu’ils ont eux-mêmes rédigé et qui font leurs lois internes et c’est de droit. Le respect de ces règles pour la résolution interne des divergences à l’interne d’un parti évitent d’’aggravation des conflits et de rendre moins probable, sinon de disqualifié le recours aux tribunaux de la part de membres qui se sentent lésés. Donc, les conflits internes des partis politiques doivent échoir en priorité à l’organe de recours « indépendant » au sein du parti dans les cas où des membres du parti ou des représentants du parti sont exclus du parti. Le fait de disposer et de respecter les décisions de l’organe de recours au sein du parti non seulement conduit à des décisions mieux motivées, mais permet également d’éviter l’interférence d’une justice téléguidée par un autre parti politique momentanément au pouvoir d’état et surtout permet de rendre plus difficile à des organisations locales ou nationales du parti de recourir aux mécanismes d’exclusion pour imposer leur autorité ou régler des comptes personnels. Mais ici, la judiciarisation de la gouvernance politique aidant les attrape-tout, bouffe-tout et fourre-tout ont ré-ouvert leurs paniers a serpents et a scorpions pour recevoir les débris des gueules cassées

Donc, comme dit ci-dessus, un état sérieux par le biais de sa justice ne se mêle pas de l’organisation interne des associations et partis politiques, qui relève du droit international civils et politique et des droits fondamentaux de l’homme prescrites dans des normes internationales supérieures aux normes et lois ordinaires nationales. La seule exigence conventionnelle ici, est la conformité des objets des associations ou partis politiques, aux lois de la république et aux normes internationales.  Ce qui astreint légalement, les responsables et les employés du parti de se conformer aux règlements du parti en matière de prise de décision, y compris les décisions portant sur les règles prescrites à l’interne du parti politique, pour le fonctionnement démocratique du parti politique. Le choix libres sans interférences judiciaires des dirigeants et des candidats, le respect des procédures, ne peut que contribuer à la stabilité du parti sur le long terme, si les membres du parti s’accordent à respecter les règles établies. Ceci ne signifie pas que les rivaux au sein du parti soient en permanence bloqués par une quelconque procédure. Non ! Les statuts du parti et règlement intérieur  comprennent, les procédures d’amendement des statuts et en général, les statuts et règlement intérieur du parti, sont plus faciles à amender que les lois et les constitutions nationales. Cela veut dire que les concurrents acceptent de respecter les règles en vigueur, et de se conformer aux procédures prévues à moins que et jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de changer les règles de façon à ce qu’elles leur soient plus favorables. Sinon c’est la porte ouverte sur la jungle ou l’arbitraire à force de loi. L’existence du respect des normes internes en vue de se conformer aux procédures internes fixées, aide à clarifier les opportunités et les limites de désaccord interne légitime. En outre, le parti qui respecte ses propres règles renforce la culture démocratique dans leur pays en démontrant à travers leurs actions que les règlements ont leur importance. Mais hélas ! La côte d’ivoire est sous un pouvoir absolutiste, totalitaire et autoritaire sacrement déviant, avec un monarchisme unilatéraliste arbitraire, une dictature en fait et en droit, véritable chambre à Gaz anti-droit et anti-liberté.

C’est pourquoi actuellement sous l’orchestration de l’autoritarisme unilatéraliste aveugle et sous l’emprise des intérêts politiques a sauvegarder dans le temps, ça cabriole en nouveau dans l’arène politique ivoirienne, après d’autres soubresauts qui ont scindé de nombreux partis politiques « FPI, PPA-CI». C’est pourquoi comme dit plus haut, le panier a serpents et scorpions a ré-ouvert sa corbeille pour recevoir les débris des gueules cassées. Le jeu est connu de tous, s’imposé par le biais de la justice à ceux qui détiennent la légitimité populaire aux seins des partis politiques, mais qui ne font pas l’affaire du pouvoir absolutiste, totalitaire et autoritaire déviant. Or, techniquement et scientifiquement, la chose est manifestement simple, parce que, toute association politique, tout mouvement humain ont besoin d’un minimum d’ordre, de discipline, de cohérence pour assurer son bon fonctionnement interne. C’est ainsi que, l’état, les associations, les partis politiques érigent un ensemble de normes juridiques impératives destinées à garantir l’ordre et la discipline en leurs seins. Singulièrement en politique les règles doctrinales et les principes internationaux imposent le respect des instances de directions et du chef légal et légitime du moment qui veuillent au bon fonctionnement interne du parti politique ou du groupement de partis politiques, parce que sans cela il n’y a pas d’ordre et de discipline. Et sans cela il n’y a pas de pouvoir à conquérir, parce qu’impossible dans un capharnaüm kafkaïen de pétaudière.

Donc ces principes et règles font la loi de régulation interne de ses organisations politiques, sans interférence « ou référé nocturne, donc, obscur comme la nuit », de la justice judiciaire, qui dans notre système dépend du pouvoir exécutif conquit ou acquit par un parti politique. Ici, il est irréfragable et incontestable que la participation à un parti politique et à un groupement de partis politiques ou un mouvement politique engendre au profit de ceux-ci un certain pouvoir de régulation interne, en particulier celui d’édicter des règles de disciplines et assurer le respect de ses principes. Qui assurent la lisibilité du groupement politique, son message, sa cohésion, son autonomie, son indépendance, l’ordre, la discipline et la cohérence qu’exige la réalisation du but légitime de sa création qu’est la conquête du pouvoir par les urnes démocratiques et pluralistes. Ce pouvoir est reconnu par la doctrine qui régit la matière. « Un parti politique est avant tout un interet politique balisé ou tout compte ». La démocratie interne d’un parti politique n’exclut en rien l’ordre, la cohérence et une certaine discipline du parti. Donc ne pas être d’accord avec la majorité du parti politique, proposer des idées alternatives, une autre pensée, tout est possible dans un parti politique en interne. Ce qui permet d’éviter l’arme fatale d’autodestructrice qu’est la justice judiciaire sous la coupe d’un autre parti politique via le pouvoir d’état acquit et en sa possession comme arme fatale. Bon ! Que la nature protégé le PDCI parti avant-gardiste. Bon ! Puisque c’est plus fort que nous… Que la nature protège la Côte d’Ivoire de Félix Houphouët Boigny, Nation une et indivisible, qui se doit de garantir droit, liberté, justice juridique et justice sociale pour tous.

*- UN KOUMA de Lepetitfils Da Candy Leader de la Légitimité Citoyenne.

LIRE CI-DESSOUS SVP.

 

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  • : Lepetitfils Da Candy: (Juriste politologue) militant des droits de l'homme et des libertés. Leader d'un mouvement d'utilité citoyenne la légitimité citoyenne (LC-CRS) en côte d'ivoire. Ce blog est destiné à tout les citoyens et citoyennes épris de paix ,de justice, de solidarité, de liberté, de tolérance, dans ce monde planétaire, dans lequel les hommes sont condamnés a vivre en commun dans le respect des lois que l'humanité s'est donner...
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